rodolph a écrit :L'usage primant sur le droit,
Pardon ???
En droit du travail,
l'usage est une règle non écrite qui s'impose à l'employeur.
Elle tire sa force obligatoire dans le fait qu'elle résulte d'une pratique d'application.
Cette regle est commune à tous les codes,
et lorsque l'usage est constaté
pendant un certain temps (variable certes) il prime sur le droit.
Un autre exemple, si vous squattez un appartement depuis 5 jours, vous
obtenez des droits liés à cet usage.
Fin de la leçon.
rodolph a écrit :
L'usage primant sur le droit,
Pardon ???
En droit du travail,
l'usage est une règle non écrite qui s'impose à l'employeur.
Elle tire sa force obligatoire dans le fait qu'elle résulte d'une pratique d'application.
Cette regle est commune à tous les codes,
et lorsque l'usage est constaté
pendant un certain temps (variable certes) il prime sur le droit.
Un autre exemple, si vous squattez un appartement depuis 5 jours, vous
obtenez des droits liés à cet usage.
Fin de la leçon.
rodolph a écrit :L'usage primant sur le droit,
Pardon ???
En droit du travail,
l'usage est une règle non écrite qui s'impose à l'employeur.
Elle tire sa force obligatoire dans le fait qu'elle résulte d'une pratique d'application.
Cette regle est commune à tous les codes,
et lorsque l'usage est constaté
pendant un certain temps (variable certes) il prime sur le droit.
Un autre exemple, si vous squattez un appartement depuis 5 jours, vous
obtenez des droits liés à cet usage.
Fin de la leçon.
Le droit social est du droit civil alors qu'on parle de droit pénal !
Et en quoi cela prime-t-il sur le droit ?
Le droit social est du droit civil alors qu'on parle de droit pénal !
Et en quoi cela prime-t-il sur le droit ?
Le droit social est du droit civil alors qu'on parle de droit pénal !
Et en quoi cela prime-t-il sur le droit ?
Il n'existe aucune règle non écrite.
faux
Si une libéralité d'un employeur est régulièrement attribué aux employés
(obtention d'un droit d'absence, de ticket restaurant,...) il ne peut la
retirer qu'après consultation des DP, syndicat et information individuelle
à chaque employé, avec délai de prévenance conséquent.
Ainsi, l'on voit bien que l'employé possède un droit non écrit à
l'obtention, dans notre cas d'espece, d'absence, de tickets restaurant,
etc.
On pourait aussi parler du droit des contrats (qui n'exisge en rien qu'il
soit écrit), mais faut-il tirer sur l'ambulance ?
Sans texte pas de sanction donc pas d'application puisqu'il est
impossible de sanctionner une irrégularité.
l'usage reconnu et régulier d'une libéralité (par exemple) fait naitre une
obligation de continuité de la part de celui qui l'émet.
Vous évoquez les usages et autres acquits, mais ces usages obéissent à
des règles précises de dénonciation et/ou de poursuite.
pas toujours, mais même si il en était ainsi, cela n'en fait pas moins un
droit.
les regles proviennent souvent de jurisprudences issues des crours de
cassation, et ne sont pour la plupart nullement, ni précises ni écrites
formellement.
Elle tire sa force obligatoire dans le fait qu'elle résulte d'une
pratique d'application.
La conviction reste une opinion.
la votre n'échappe pas à la règle.
Jamais rien ne prime sur le droit dans un pays démocratique.
1) l'usage donne des droits, qui prime sur les droits antérieurs. Le cas
d'immeuble squatté en est la parfaite illustration.
2) le juge, souverain dans l'apprécisation du cas, peut parfaitement ne
jamais appliquer le droit.
On dit alors que le droit tombe en désuétude. fin
2003 le député de l'Indre l'a appris, lui aussi, tout comme vous
aujourd'hui semble t-il.
Parce que c'est codifié dans un texte.
oui, l'usage primant sur un droit antérieur peut etre codifié dans un
texte, je ne dis pas le contraire, mais peut aussi ne pas l'etre, comme
l'interdiction faite aux femmes du port du pantalon .
Il n'existe aucune règle non écrite.
faux
Si une libéralité d'un employeur est régulièrement attribué aux employés
(obtention d'un droit d'absence, de ticket restaurant,...) il ne peut la
retirer qu'après consultation des DP, syndicat et information individuelle
à chaque employé, avec délai de prévenance conséquent.
Ainsi, l'on voit bien que l'employé possède un droit non écrit à
l'obtention, dans notre cas d'espece, d'absence, de tickets restaurant,
etc.
On pourait aussi parler du droit des contrats (qui n'exisge en rien qu'il
soit écrit), mais faut-il tirer sur l'ambulance ?
Sans texte pas de sanction donc pas d'application puisqu'il est
impossible de sanctionner une irrégularité.
l'usage reconnu et régulier d'une libéralité (par exemple) fait naitre une
obligation de continuité de la part de celui qui l'émet.
Vous évoquez les usages et autres acquits, mais ces usages obéissent à
des règles précises de dénonciation et/ou de poursuite.
pas toujours, mais même si il en était ainsi, cela n'en fait pas moins un
droit.
les regles proviennent souvent de jurisprudences issues des crours de
cassation, et ne sont pour la plupart nullement, ni précises ni écrites
formellement.
Elle tire sa force obligatoire dans le fait qu'elle résulte d'une
pratique d'application.
La conviction reste une opinion.
la votre n'échappe pas à la règle.
Jamais rien ne prime sur le droit dans un pays démocratique.
1) l'usage donne des droits, qui prime sur les droits antérieurs. Le cas
d'immeuble squatté en est la parfaite illustration.
2) le juge, souverain dans l'apprécisation du cas, peut parfaitement ne
jamais appliquer le droit.
On dit alors que le droit tombe en désuétude. fin
2003 le député de l'Indre l'a appris, lui aussi, tout comme vous
aujourd'hui semble t-il.
Parce que c'est codifié dans un texte.
oui, l'usage primant sur un droit antérieur peut etre codifié dans un
texte, je ne dis pas le contraire, mais peut aussi ne pas l'etre, comme
l'interdiction faite aux femmes du port du pantalon .
Il n'existe aucune règle non écrite.
faux
Si une libéralité d'un employeur est régulièrement attribué aux employés
(obtention d'un droit d'absence, de ticket restaurant,...) il ne peut la
retirer qu'après consultation des DP, syndicat et information individuelle
à chaque employé, avec délai de prévenance conséquent.
Ainsi, l'on voit bien que l'employé possède un droit non écrit à
l'obtention, dans notre cas d'espece, d'absence, de tickets restaurant,
etc.
On pourait aussi parler du droit des contrats (qui n'exisge en rien qu'il
soit écrit), mais faut-il tirer sur l'ambulance ?
Sans texte pas de sanction donc pas d'application puisqu'il est
impossible de sanctionner une irrégularité.
l'usage reconnu et régulier d'une libéralité (par exemple) fait naitre une
obligation de continuité de la part de celui qui l'émet.
Vous évoquez les usages et autres acquits, mais ces usages obéissent à
des règles précises de dénonciation et/ou de poursuite.
pas toujours, mais même si il en était ainsi, cela n'en fait pas moins un
droit.
les regles proviennent souvent de jurisprudences issues des crours de
cassation, et ne sont pour la plupart nullement, ni précises ni écrites
formellement.
Elle tire sa force obligatoire dans le fait qu'elle résulte d'une
pratique d'application.
La conviction reste une opinion.
la votre n'échappe pas à la règle.
Jamais rien ne prime sur le droit dans un pays démocratique.
1) l'usage donne des droits, qui prime sur les droits antérieurs. Le cas
d'immeuble squatté en est la parfaite illustration.
2) le juge, souverain dans l'apprécisation du cas, peut parfaitement ne
jamais appliquer le droit.
On dit alors que le droit tombe en désuétude. fin
2003 le député de l'Indre l'a appris, lui aussi, tout comme vous
aujourd'hui semble t-il.
Parce que c'est codifié dans un texte.
oui, l'usage primant sur un droit antérieur peut etre codifié dans un
texte, je ne dis pas le contraire, mais peut aussi ne pas l'etre, comme
l'interdiction faite aux femmes du port du pantalon .
Le droit social est du droit civil alors qu'on parle de droit pénal !
on parle du droit en général.
Et en quoi cela prime-t-il sur le droit ?
l'usage du bien ainsi squaté depuis plusieurs jours (48h ou 5 j, les
versions divergent) ouvre aux squatters des droits qui priment sur celui de
la propriété privée.
Nous sommes bien dans l'exemple demandé, je vous laisse le soin de me
contredire.
Le droit social est du droit civil alors qu'on parle de droit pénal !
on parle du droit en général.
Et en quoi cela prime-t-il sur le droit ?
l'usage du bien ainsi squaté depuis plusieurs jours (48h ou 5 j, les
versions divergent) ouvre aux squatters des droits qui priment sur celui de
la propriété privée.
Nous sommes bien dans l'exemple demandé, je vous laisse le soin de me
contredire.
Le droit social est du droit civil alors qu'on parle de droit pénal !
on parle du droit en général.
Et en quoi cela prime-t-il sur le droit ?
l'usage du bien ainsi squaté depuis plusieurs jours (48h ou 5 j, les
versions divergent) ouvre aux squatters des droits qui priment sur celui de
la propriété privée.
Nous sommes bien dans l'exemple demandé, je vous laisse le soin de me
contredire.
Mais par contre j'ai assez fréquenté les tribunaux comme défendeur ou
demandeur et comme expert pour vous en remontrer.
Alors une autre règle toujours à PARIS : tout stationnement en bataille
doit se faire en marche arrière, pour être dans le sens de la marche au
départ.
Pas plus abrogé que l'autre.
Mais par contre j'ai assez fréquenté les tribunaux comme défendeur ou
demandeur et comme expert pour vous en remontrer.
Alors une autre règle toujours à PARIS : tout stationnement en bataille
doit se faire en marche arrière, pour être dans le sens de la marche au
départ.
Pas plus abrogé que l'autre.
Mais par contre j'ai assez fréquenté les tribunaux comme défendeur ou
demandeur et comme expert pour vous en remontrer.
Alors une autre règle toujours à PARIS : tout stationnement en bataille
doit se faire en marche arrière, pour être dans le sens de la marche au
départ.
Pas plus abrogé que l'autre.
rodolph a écrit :L'usage primant sur le droit,
Pardon ???
En droit du travail, l'usage est une règle non écrite qui s'impose à l'employeur.
Elle tire sa force obligatoire dans le fait qu'elle résulte d'une pratique d'application.
Cette regle est commune à tous les codes, et lorsque l'usage est constaté
pendant un certain temps (variable certes) il prime sur le droit.
rodolph a écrit :
L'usage primant sur le droit,
Pardon ???
En droit du travail, l'usage est une règle non écrite qui s'impose à l'employeur.
Elle tire sa force obligatoire dans le fait qu'elle résulte d'une pratique d'application.
Cette regle est commune à tous les codes, et lorsque l'usage est constaté
pendant un certain temps (variable certes) il prime sur le droit.
rodolph a écrit :L'usage primant sur le droit,
Pardon ???
En droit du travail, l'usage est une règle non écrite qui s'impose à l'employeur.
Elle tire sa force obligatoire dans le fait qu'elle résulte d'une pratique d'application.
Cette regle est commune à tous les codes, et lorsque l'usage est constaté
pendant un certain temps (variable certes) il prime sur le droit.
Un autre exemple, si vous squattez un appartement depuis 5 jours, vous
obtenez des droits liés à cet usage.
Fin de la leçon.
Un autre exemple, si vous squattez un appartement depuis 5 jours, vous
obtenez des droits liés à cet usage.
Fin de la leçon.
Un autre exemple, si vous squattez un appartement depuis 5 jours, vous
obtenez des droits liés à cet usage.
Fin de la leçon.
Le droit social est du droit civil alors qu'on parle de droit pénal !
on parle du droit en général.Et en quoi cela prime-t-il sur le droit ?
l'usage du bien ainsi squaté depuis plusieurs jours (48h ou 5 j, les
versions divergent) ouvre aux squatters des droits qui priment sur celui de
la propriété privée.
Le droit social est du droit civil alors qu'on parle de droit pénal !
on parle du droit en général.
Et en quoi cela prime-t-il sur le droit ?
l'usage du bien ainsi squaté depuis plusieurs jours (48h ou 5 j, les
versions divergent) ouvre aux squatters des droits qui priment sur celui de
la propriété privée.
Le droit social est du droit civil alors qu'on parle de droit pénal !
on parle du droit en général.Et en quoi cela prime-t-il sur le droit ?
l'usage du bien ainsi squaté depuis plusieurs jours (48h ou 5 j, les
versions divergent) ouvre aux squatters des droits qui priment sur celui de
la propriété privée.
Le droit social est du droit civil alors qu'on parle de droit pénal !
on parle du droit en général.Et en quoi cela prime-t-il sur le droit ?
l'usage du bien ainsi squaté depuis plusieurs jours (48h ou 5 j, les
versions divergent) ouvre aux squatters des droits qui priment sur
celui de la propriété privée.
Le droit social est du droit civil alors qu'on parle de droit pénal !
on parle du droit en général.
Et en quoi cela prime-t-il sur le droit ?
l'usage du bien ainsi squaté depuis plusieurs jours (48h ou 5 j, les
versions divergent) ouvre aux squatters des droits qui priment sur
celui de la propriété privée.
Le droit social est du droit civil alors qu'on parle de droit pénal !
on parle du droit en général.Et en quoi cela prime-t-il sur le droit ?
l'usage du bien ainsi squaté depuis plusieurs jours (48h ou 5 j, les
versions divergent) ouvre aux squatters des droits qui priment sur
celui de la propriété privée.
Moisse a écrit :Mais par contre j'ai assez fréquenté les tribunaux comme défendeur ou
demandeur et comme expert pour vous en remontrer.
Ah tiens, moi jamais comme expert. Par contre, j'ai assisté un expert à la
demande d'un juge d'instruction. C'était d'ailleurs assez amusant, pour
moi qui n'était pas directement visé, de l'écouter vilipender une
responsable de mon employeur avec des menaces que, moi, je savais vide de
sens.Alors une autre règle toujours à PARIS : tout stationnement en bataille
doit se faire en marche arrière, pour être dans le sens de la marche au
départ.
Pas plus abrogé que l'autre.
Hum, ça n'a pas été abrogé en 2003, ça ?
Moisse a écrit :
Mais par contre j'ai assez fréquenté les tribunaux comme défendeur ou
demandeur et comme expert pour vous en remontrer.
Ah tiens, moi jamais comme expert. Par contre, j'ai assisté un expert à la
demande d'un juge d'instruction. C'était d'ailleurs assez amusant, pour
moi qui n'était pas directement visé, de l'écouter vilipender une
responsable de mon employeur avec des menaces que, moi, je savais vide de
sens.
Alors une autre règle toujours à PARIS : tout stationnement en bataille
doit se faire en marche arrière, pour être dans le sens de la marche au
départ.
Pas plus abrogé que l'autre.
Hum, ça n'a pas été abrogé en 2003, ça ?
Moisse a écrit :Mais par contre j'ai assez fréquenté les tribunaux comme défendeur ou
demandeur et comme expert pour vous en remontrer.
Ah tiens, moi jamais comme expert. Par contre, j'ai assisté un expert à la
demande d'un juge d'instruction. C'était d'ailleurs assez amusant, pour
moi qui n'était pas directement visé, de l'écouter vilipender une
responsable de mon employeur avec des menaces que, moi, je savais vide de
sens.Alors une autre règle toujours à PARIS : tout stationnement en bataille
doit se faire en marche arrière, pour être dans le sens de la marche au
départ.
Pas plus abrogé que l'autre.
Hum, ça n'a pas été abrogé en 2003, ça ?