Existe-il un un autre logiciel qu'iTunes pour télécharger tous mes CD
Music et ensuite transférer sur mon iPOD ?
Ras le bol d'iTunes. Pourtant voilà des mois que je persiste.
Je passe un temps fou à essayer de comprendre sa façon de "ranger" dans
la bibliothèque pour pouvoir m'y retrouver par la suite. Mais c'est la
caverne d'Alibaba, des dossiers, des sous-dossiers, des
sous-sous-dossiers... Impossible d'obtenir un rangement simple à mon goût.
Merci pour vos réponses
Marie
--
Imac 24", 3.06 GHz Intel Core 2 Duo, OS 10.5.8
Existe-il un un autre logiciel qu'iTunes pour télécharger tous mes CD Music et ensuite transférer sur mon iPOD ? Ras le bol d'iTunes. Pourtant voilà des mois que je persiste. Je passe un temps fou à essayer de comprendre sa façon de "ranger" dans la bibliothèque pour pouvoir m'y retrouver par la suite. Mais c'est la caverne d'Alibaba, des dossiers, des sous-dossiers, des sous-sous-dossiers... Impossible d'obtenir un rangement simple à mon goût.
Merci pour vos réponses Marie
Sans reprendre ce qui a déjà été dit, ton problème vient du fait que la ou les bases de données qu'iTunes interroge sont très mal remplies s'agissant des titre classiques.
Typiquement, il y a une redodance des mêmes informations, qui se retrouvent dans le titre, le nom de l'album, voire l'artiste et le compositeur, ce qui est totalement illisible...
Importer du classique est donc plus laborieux car il faut systématiquement, et avant l'importation pour des raisons pratiques, retagger les morceaux.
Personnellement, comme PO, je mets systématiquement le nom du compositeur dans le champ artiste, et je transfère le nom des interprètes dans le champs commentaires. Ce n'est pas orthodoxe mais plus pratique à l'usage quand on a à la fois du classique et de la variété.
Une fois que tes morceaux seront correctement taggés, il apparaîtront correctement dans iTunes, mais également sur le disque, puisqu'iTunes trie les morceaux sur le disque en fonction des tags !
Par ailleurs, ton problème d'ordre des morceaux ne vient pas des tags, qui sont correctement remplis à ce niveau.
Cela vient du fait que tu a dû changer l'ordre de tri des morceaux dans iTunes en cliquant sur une autre colonne que "Albums" ou "Artistes".
Pour finir, oublie pour l'instant les listes de lecture et concentre toi sur le tags, ce qui devrait normalement te permettre d'écouter tes morceaux directement depuis la bibliothèque (personnellement, je n'ai quasiment plus de listes depuis que mes morceaux sont taggés, à part des trucs ponctuels, genre une liste pour une soirée).
Existe-il un un autre logiciel qu'iTunes pour télécharger tous mes CD
Music et ensuite transférer sur mon iPOD ?
Ras le bol d'iTunes. Pourtant voilà des mois que je persiste.
Je passe un temps fou à essayer de comprendre sa façon de "ranger" dans
la bibliothèque pour pouvoir m'y retrouver par la suite. Mais c'est la
caverne d'Alibaba, des dossiers, des sous-dossiers, des
sous-sous-dossiers... Impossible d'obtenir un rangement simple à mon goût.
Merci pour vos réponses
Marie
Sans reprendre ce qui a déjà été dit, ton problème vient du fait que la
ou les bases de données qu'iTunes interroge sont très mal remplies
s'agissant des titre classiques.
Typiquement, il y a une redodance des mêmes informations, qui se
retrouvent dans le titre, le nom de l'album, voire l'artiste et le
compositeur, ce qui est totalement illisible...
Importer du classique est donc plus laborieux car il faut
systématiquement, et avant l'importation pour des raisons pratiques,
retagger les morceaux.
Personnellement, comme PO, je mets systématiquement le nom du
compositeur dans le champ artiste, et je transfère le nom des
interprètes dans le champs commentaires. Ce n'est pas orthodoxe mais
plus pratique à l'usage quand on a à la fois du classique et de la
variété.
Une fois que tes morceaux seront correctement taggés, il apparaîtront
correctement dans iTunes, mais également sur le disque, puisqu'iTunes
trie les morceaux sur le disque en fonction des tags !
Par ailleurs, ton problème d'ordre des morceaux ne vient pas des tags,
qui sont correctement remplis à ce niveau.
Cela vient du fait que tu a dû changer l'ordre de tri des morceaux dans
iTunes en cliquant sur une autre colonne que "Albums" ou "Artistes".
Pour finir, oublie pour l'instant les listes de lecture et concentre toi
sur le tags, ce qui devrait normalement te permettre d'écouter tes
morceaux directement depuis la bibliothèque (personnellement, je n'ai
quasiment plus de listes depuis que mes morceaux sont taggés, à part des
trucs ponctuels, genre une liste pour une soirée).
Existe-il un un autre logiciel qu'iTunes pour télécharger tous mes CD Music et ensuite transférer sur mon iPOD ? Ras le bol d'iTunes. Pourtant voilà des mois que je persiste. Je passe un temps fou à essayer de comprendre sa façon de "ranger" dans la bibliothèque pour pouvoir m'y retrouver par la suite. Mais c'est la caverne d'Alibaba, des dossiers, des sous-dossiers, des sous-sous-dossiers... Impossible d'obtenir un rangement simple à mon goût.
Merci pour vos réponses Marie
Sans reprendre ce qui a déjà été dit, ton problème vient du fait que la ou les bases de données qu'iTunes interroge sont très mal remplies s'agissant des titre classiques.
Typiquement, il y a une redodance des mêmes informations, qui se retrouvent dans le titre, le nom de l'album, voire l'artiste et le compositeur, ce qui est totalement illisible...
Importer du classique est donc plus laborieux car il faut systématiquement, et avant l'importation pour des raisons pratiques, retagger les morceaux.
Personnellement, comme PO, je mets systématiquement le nom du compositeur dans le champ artiste, et je transfère le nom des interprètes dans le champs commentaires. Ce n'est pas orthodoxe mais plus pratique à l'usage quand on a à la fois du classique et de la variété.
Une fois que tes morceaux seront correctement taggés, il apparaîtront correctement dans iTunes, mais également sur le disque, puisqu'iTunes trie les morceaux sur le disque en fonction des tags !
Par ailleurs, ton problème d'ordre des morceaux ne vient pas des tags, qui sont correctement remplis à ce niveau.
Cela vient du fait que tu a dû changer l'ordre de tri des morceaux dans iTunes en cliquant sur une autre colonne que "Albums" ou "Artistes".
Pour finir, oublie pour l'instant les listes de lecture et concentre toi sur le tags, ce qui devrait normalement te permettre d'écouter tes morceaux directement depuis la bibliothèque (personnellement, je n'ai quasiment plus de listes depuis que mes morceaux sont taggés, à part des trucs ponctuels, genre une liste pour une soirée).
pour faire plus simple, il suffit de numéroter les fichiers comme on le souhaite, d'afficher le Finder en mode liste et de taper une fois sur la barre d'espace pour écouter ses morceaux sans lancer d'applications. Même pas besoin d'iTunes pour écouter, un bon coup de barre d'espace et ça repart.
Où donc as-tu vu un Finder dans un iPOD (question initiale, je le rappelle) ?
pour faire plus simple, il suffit de numéroter les fichiers
comme on le souhaite, d'afficher le Finder en mode liste et
de taper une fois sur la barre d'espace pour écouter ses
morceaux sans lancer d'applications. Même pas besoin d'iTunes
pour écouter, un bon coup de barre d'espace et ça repart.
Où donc as-tu vu un Finder dans un iPOD (question initiale, je le
rappelle) ?
pour faire plus simple, il suffit de numéroter les fichiers comme on le souhaite, d'afficher le Finder en mode liste et de taper une fois sur la barre d'espace pour écouter ses morceaux sans lancer d'applications. Même pas besoin d'iTunes pour écouter, un bon coup de barre d'espace et ça repart.
Où donc as-tu vu un Finder dans un iPOD (question initiale, je le rappelle) ?
-- Gérald
Gerald
Benoit wrote:
Je me contre-fous de l'endroit où le fichier se trouve, c'est d'un intérêt tendant vers zéro (par valeur négative) par rapport à la qualité des enregistrements et des enceintes qui les retranscrivent.
Tiens, c'est marrant les variations de centres d'intérêt d'une personne à l'autre : moi je me contre-fous de la qualité des enregistrement et des enceintes qui les retranscrivent... par rapport à la musique à laquelle ils me permettent d'accéder (tu sais : les notes, les silences etc.). :-)
Je me contre-fous de l'endroit où le fichier se trouve, c'est
d'un intérêt tendant vers zéro (par valeur négative) par rapport à la
qualité des enregistrements et des enceintes qui les retranscrivent.
Tiens, c'est marrant les variations de centres d'intérêt d'une personne
à l'autre : moi je me contre-fous de la qualité des enregistrement et
des enceintes qui les retranscrivent... par rapport à la musique à
laquelle ils me permettent d'accéder (tu sais : les notes, les silences
etc.). :-)
Je me contre-fous de l'endroit où le fichier se trouve, c'est d'un intérêt tendant vers zéro (par valeur négative) par rapport à la qualité des enregistrements et des enceintes qui les retranscrivent.
Tiens, c'est marrant les variations de centres d'intérêt d'une personne à l'autre : moi je me contre-fous de la qualité des enregistrement et des enceintes qui les retranscrivent... par rapport à la musique à laquelle ils me permettent d'accéder (tu sais : les notes, les silences etc.). :-)
-- Gérald
Gerald
Patrick Stadelmann wrote:
Et aux utilisateurs "intellectuels" qui préfèrent consacrer leur temps de cerveau disponible à des activités un peu plus enrichissantes que renommer, copier et organiser des fichiers !
Suivant la nature des sources correspondant à ces fichiers, cette activité peut être non seulement enrichissante mais d'une grande utilité collective.
Tant qu'il s'agit de "musique en conserve" de marques de "grands distributeurs", tu peux sans doute avoir raison (modulo quelques réserves éventuelles), mais certaines sources peuvent aussi être rares voire uniques (enregistrements originaux) et justifier une attention particulière non seulement pour leur "labelling" mais zégalement pour leur accessibilité et leur distribution.
J'ai même le sentiment que ce problème de sources rares numérisées et de leur pérénité va être un des enjeux majeurs de ce siècle (avec la guerre des droits ou du libre y-afférant) au niveau de la *connaissance*. Il y a en tout cas une quantité non négligeable de gens qui s'énervent dessus et pas des moindres : Projet Gutemberg, TLFI, Google, BNF (Gallica), INA... sans parler de la diffusion/distribution de cours et conférences en ligne et des documents liés (pdfs etc.) aux niveaux scolaires et universitaires...
-- Gérald
Patrick Stadelmann <Patrick.Stadelmann@unine.ch> wrote:
Et aux utilisateurs "intellectuels" qui préfèrent consacrer leur temps
de cerveau disponible à des activités un peu plus enrichissantes que
renommer, copier et organiser des fichiers !
Suivant la nature des sources correspondant à ces fichiers, cette
activité peut être non seulement enrichissante mais d'une grande utilité
collective.
Tant qu'il s'agit de "musique en conserve" de marques de "grands
distributeurs", tu peux sans doute avoir raison (modulo quelques
réserves éventuelles), mais certaines sources peuvent aussi être rares
voire uniques (enregistrements originaux) et justifier une attention
particulière non seulement pour leur "labelling" mais zégalement pour
leur accessibilité et leur distribution.
J'ai même le sentiment que ce problème de sources rares numérisées et de
leur pérénité va être un des enjeux majeurs de ce siècle (avec la guerre
des droits ou du libre y-afférant) au niveau de la *connaissance*. Il y
a en tout cas une quantité non négligeable de gens qui s'énervent dessus
et pas des moindres : Projet Gutemberg, TLFI, Google, BNF (Gallica),
INA... sans parler de la diffusion/distribution de cours et conférences
en ligne et des documents liés (pdfs etc.) aux niveaux scolaires et
universitaires...
Et aux utilisateurs "intellectuels" qui préfèrent consacrer leur temps de cerveau disponible à des activités un peu plus enrichissantes que renommer, copier et organiser des fichiers !
Suivant la nature des sources correspondant à ces fichiers, cette activité peut être non seulement enrichissante mais d'une grande utilité collective.
Tant qu'il s'agit de "musique en conserve" de marques de "grands distributeurs", tu peux sans doute avoir raison (modulo quelques réserves éventuelles), mais certaines sources peuvent aussi être rares voire uniques (enregistrements originaux) et justifier une attention particulière non seulement pour leur "labelling" mais zégalement pour leur accessibilité et leur distribution.
J'ai même le sentiment que ce problème de sources rares numérisées et de leur pérénité va être un des enjeux majeurs de ce siècle (avec la guerre des droits ou du libre y-afférant) au niveau de la *connaissance*. Il y a en tout cas une quantité non négligeable de gens qui s'énervent dessus et pas des moindres : Projet Gutemberg, TLFI, Google, BNF (Gallica), INA... sans parler de la diffusion/distribution de cours et conférences en ligne et des documents liés (pdfs etc.) aux niveaux scolaires et universitaires...
-- Gérald
Gerald
Bazto FEBOR wrote:
Sans reprendre ce qui a déjà été dit, ton problème vient du fait que la ou les bases de données qu'iTunes interroge sont très mal remplies s'agissant des titre classiques.
Bases de données qui sont utilisées par iTunes mais qui n'ont pas de lien avec. Donc ne pas se tromper dans l'attribution des responsabilités.
Sans reprendre ce qui a déjà été dit, ton problème vient du fait que la
ou les bases de données qu'iTunes interroge sont très mal remplies
s'agissant des titre classiques.
Bases de données qui sont utilisées par iTunes mais qui n'ont pas de
lien avec. Donc ne pas se tromper dans l'attribution des
responsabilités.
Sans reprendre ce qui a déjà été dit, ton problème vient du fait que la ou les bases de données qu'iTunes interroge sont très mal remplies s'agissant des titre classiques.
Bases de données qui sont utilisées par iTunes mais qui n'ont pas de lien avec. Donc ne pas se tromper dans l'attribution des responsabilités.
-- Gérald
benoit.sansspam
Gerald wrote:
Benoit wrote:
> Je me contre-fous de l'endroit où le fichier se trouve, c'est > d'un intérêt tendant vers zéro (par valeur négative) par rapport à la > qualité des enregistrements et des enceintes qui les retranscrivent.
Tiens, c'est marrant les variations de centres d'intérêt d'une personne à l'autre : moi je me contre-fous de la qualité des enregistrement et des enceintes qui les retranscrivent... par rapport à la musique à laquelle ils me permettent d'accéder (tu sais : les notes, les silences etc.). :-)
Bin justement, les silences, parlons-en... Si c'est pour avoir du son comme celui qu'on obtient sur les ondes longues...
-- Benoît http://www.duvallois.com/
Avec des fumeurs c'est difficile de s'arrêter. Avec des branleurs, là, par contre, c'est difficile de continuer.
> Je me contre-fous de l'endroit où le fichier se trouve, c'est
> d'un intérêt tendant vers zéro (par valeur négative) par rapport à la
> qualité des enregistrements et des enceintes qui les retranscrivent.
Tiens, c'est marrant les variations de centres d'intérêt d'une personne
à l'autre : moi je me contre-fous de la qualité des enregistrement et
des enceintes qui les retranscrivent... par rapport à la musique à
laquelle ils me permettent d'accéder (tu sais : les notes, les silences
etc.). :-)
Bin justement, les silences, parlons-en... Si c'est pour avoir
du son comme celui qu'on obtient sur les ondes longues...
--
Benoît http://www.duvallois.com/
Avec des fumeurs c'est difficile de s'arrêter. Avec des branleurs,
là, par contre, c'est difficile de continuer.
> Je me contre-fous de l'endroit où le fichier se trouve, c'est > d'un intérêt tendant vers zéro (par valeur négative) par rapport à la > qualité des enregistrements et des enceintes qui les retranscrivent.
Tiens, c'est marrant les variations de centres d'intérêt d'une personne à l'autre : moi je me contre-fous de la qualité des enregistrement et des enceintes qui les retranscrivent... par rapport à la musique à laquelle ils me permettent d'accéder (tu sais : les notes, les silences etc.). :-)
Bin justement, les silences, parlons-en... Si c'est pour avoir du son comme celui qu'on obtient sur les ondes longues...
-- Benoît http://www.duvallois.com/
Avec des fumeurs c'est difficile de s'arrêter. Avec des branleurs, là, par contre, c'est difficile de continuer.
thomas_no_masp_
Gerald wrote:
Bazto FEBOR wrote:
> Sans reprendre ce qui a déjà été dit, ton problème vient du fait que la > ou les bases de données qu'iTunes interroge sont très mal remplies > s'agissant des titre classiques.
Bases de données qui sont utilisées par iTunes mais qui n'ont pas de lien avec. Donc ne pas se tromper dans l'attribution des responsabilités.
Tout à fait d'accord, je n'ai jamais dit le contraire !
En l'ocurrence, sauf erreur de ma part, on ne même pas accuser lesdites bases qui sont remplies, par des contributions externes (utilisateurs, éditeurs ?).
En tout cas, pour le classique, c'est une horreur.
> Sans reprendre ce qui a déjà été dit, ton problème vient du fait que la
> ou les bases de données qu'iTunes interroge sont très mal remplies
> s'agissant des titre classiques.
Bases de données qui sont utilisées par iTunes mais qui n'ont pas de
lien avec. Donc ne pas se tromper dans l'attribution des
responsabilités.
Tout à fait d'accord, je n'ai jamais dit le contraire !
En l'ocurrence, sauf erreur de ma part, on ne même pas accuser lesdites
bases qui sont remplies, par des contributions externes (utilisateurs,
éditeurs ?).
En tout cas, pour le classique, c'est une horreur.
> Sans reprendre ce qui a déjà été dit, ton problème vient du fait que la > ou les bases de données qu'iTunes interroge sont très mal remplies > s'agissant des titre classiques.
Bases de données qui sont utilisées par iTunes mais qui n'ont pas de lien avec. Donc ne pas se tromper dans l'attribution des responsabilités.
Tout à fait d'accord, je n'ai jamais dit le contraire !
En l'ocurrence, sauf erreur de ma part, on ne même pas accuser lesdites bases qui sont remplies, par des contributions externes (utilisateurs, éditeurs ?).
En tout cas, pour le classique, c'est une horreur.
Personnellement, comme PO, je mets systématiquement le nom du compositeur dans le champ artiste, et je transfère le nom des interprètes dans le champs commentaires. Ce n'est pas orthodoxe mais plus pratique à l'usage quand on a à la fois du classique et de la variété.
Je plussoie.
-- XAv In your pomp and all your glory you're a poorer man than me, as you lick the boots of death born out of fear. (Jethro Tull)
Personnellement, comme PO, je mets systématiquement le nom du
compositeur dans le champ artiste, et je transfère le nom des
interprètes dans le champs commentaires. Ce n'est pas orthodoxe mais
plus pratique à l'usage quand on a à la fois du classique et de la
variété.
Je plussoie.
--
XAv
In your pomp and all your glory you're a poorer man than me,
as you lick the boots of death born out of fear.
(Jethro Tull)
Personnellement, comme PO, je mets systématiquement le nom du compositeur dans le champ artiste, et je transfère le nom des interprètes dans le champs commentaires. Ce n'est pas orthodoxe mais plus pratique à l'usage quand on a à la fois du classique et de la variété.
Je plussoie.
-- XAv In your pomp and all your glory you're a poorer man than me, as you lick the boots of death born out of fear. (Jethro Tull)
Gerald
Benoit wrote:
Bin justement, les silences, parlons-en... Si c'est pour avoir du son comme celui qu'on obtient sur les ondes longues...
Dans le sens où je l'évoquais c'est sans problème. On a retrouvé récemment un enregistrement (1) de Dizzy Gillespie et Charlie Parker dans un concert du JATP (prise de son : inconnu !) qui est probablement le concert fondateur du be-bop. Non seulement le son est mono et de qualité médiocre mais dans le premier morceau on entend nettement que la balance n'est pas faite et que le preneur de son la fait en "live" (ou déplace le ou les micros... va savoir).
Pour un musicien : peu importe et je n'échange pas cet enregistrement contre dix "reprises en DDD" donnant l'impression que j'ai l'oreille dans le pavillon du sax. Chaque impro du Bird était unique (et de Dizzy donc !), celle-là a une valeur musicale inestimable et l'émotion résultant à la fois du contexte, des instrumentistes et des lignes qu'ils jouent est telle qu'en quelques secondes l'inconfort de l'écoute disparaît complètement.
Pour moi, la hifi (ou l'audiophilie), c'est des gens qui confondent le contenu et le flacon (et s'énervent sur le flacon !).
(1) <http://www.amazon.fr/Town-Hall-NYC-June-1945/dp/B0009Q0EQ0/ref=sr_1_5?s =music&ie=UTF8&qid86205299&sr=1-5> tu peux écouter l'extrait du début de "Bebop" pour comprendre de quoi je veux parler : la trompette est vraiment loin ! Le début de "Hot House" donne aussi une idée de l'ambiance, essentielle.
Bin justement, les silences, parlons-en... Si c'est pour avoir
du son comme celui qu'on obtient sur les ondes longues...
Dans le sens où je l'évoquais c'est sans problème. On a retrouvé
récemment un enregistrement (1) de Dizzy Gillespie et Charlie Parker
dans un concert du JATP (prise de son : inconnu !) qui est probablement
le concert fondateur du be-bop. Non seulement le son est mono et de
qualité médiocre mais dans le premier morceau on entend nettement que la
balance n'est pas faite et que le preneur de son la fait en "live" (ou
déplace le ou les micros... va savoir).
Pour un musicien : peu importe et je n'échange pas cet enregistrement
contre dix "reprises en DDD" donnant l'impression que j'ai l'oreille
dans le pavillon du sax. Chaque impro du Bird était unique (et de Dizzy
donc !), celle-là a une valeur musicale inestimable et l'émotion
résultant à la fois du contexte, des instrumentistes et des lignes
qu'ils jouent est telle qu'en quelques secondes l'inconfort de l'écoute
disparaît complètement.
Pour moi, la hifi (ou l'audiophilie), c'est des gens qui confondent le
contenu et le flacon (et s'énervent sur le flacon !).
(1)
<http://www.amazon.fr/Town-Hall-NYC-June-1945/dp/B0009Q0EQ0/ref=sr_1_5?s
=music&ie=UTF8&qid86205299&sr=1-5>
tu peux écouter l'extrait du début de "Bebop" pour comprendre de quoi je
veux parler : la trompette est vraiment loin ! Le début de "Hot House"
donne aussi une idée de l'ambiance, essentielle.
Bin justement, les silences, parlons-en... Si c'est pour avoir du son comme celui qu'on obtient sur les ondes longues...
Dans le sens où je l'évoquais c'est sans problème. On a retrouvé récemment un enregistrement (1) de Dizzy Gillespie et Charlie Parker dans un concert du JATP (prise de son : inconnu !) qui est probablement le concert fondateur du be-bop. Non seulement le son est mono et de qualité médiocre mais dans le premier morceau on entend nettement que la balance n'est pas faite et que le preneur de son la fait en "live" (ou déplace le ou les micros... va savoir).
Pour un musicien : peu importe et je n'échange pas cet enregistrement contre dix "reprises en DDD" donnant l'impression que j'ai l'oreille dans le pavillon du sax. Chaque impro du Bird était unique (et de Dizzy donc !), celle-là a une valeur musicale inestimable et l'émotion résultant à la fois du contexte, des instrumentistes et des lignes qu'ils jouent est telle qu'en quelques secondes l'inconfort de l'écoute disparaît complètement.
Pour moi, la hifi (ou l'audiophilie), c'est des gens qui confondent le contenu et le flacon (et s'énervent sur le flacon !).
(1) <http://www.amazon.fr/Town-Hall-NYC-June-1945/dp/B0009Q0EQ0/ref=sr_1_5?s =music&ie=UTF8&qid86205299&sr=1-5> tu peux écouter l'extrait du début de "Bebop" pour comprendre de quoi je veux parler : la trompette est vraiment loin ! Le début de "Hot House" donne aussi une idée de l'ambiance, essentielle.
-- Gérald
Patrick Stadelmann
In article <1jpukqk.16e3wupqldmpsN%, (Bazto FEBOR) wrote:
En l'ocurrence, sauf erreur de ma part, on ne même pas accuser lesdites bases qui sont remplies, par des contributions externes (utilisateurs, éditeurs ?).
Utilisateurs en tout cas, si on a un disque qui n'est pas reconnu et que l'on a taggué à la main, on peut d'ailleurs l'ajouter à la base directement depuis iTunes.
Patrick -- Patrick Stadelmann
In article <1jpukqk.16e3wupqldmpsN%thomas_no_masp_@ibaza.net.invalid>,
thomas_no_masp_@ibaza.net.invalid (Bazto FEBOR) wrote:
En l'ocurrence, sauf erreur de ma part, on ne même pas accuser lesdites
bases qui sont remplies, par des contributions externes (utilisateurs,
éditeurs ?).
Utilisateurs en tout cas, si on a un disque qui n'est pas reconnu et que
l'on a taggué à la main, on peut d'ailleurs l'ajouter à la base
directement depuis iTunes.
Patrick
--
Patrick Stadelmann <Patrick.Stadelmann@unine.ch>
In article <1jpukqk.16e3wupqldmpsN%, (Bazto FEBOR) wrote:
En l'ocurrence, sauf erreur de ma part, on ne même pas accuser lesdites bases qui sont remplies, par des contributions externes (utilisateurs, éditeurs ?).
Utilisateurs en tout cas, si on a un disque qui n'est pas reconnu et que l'on a taggué à la main, on peut d'ailleurs l'ajouter à la base directement depuis iTunes.
