Mais j'attends patiemment : tôt ou tard, un indépendant talentueux va
se retrouver dans la situation de Revaux par rapport à My Way par
exemple, ou Loulou Gasté ou qui on veut... et on verra alors ce que ça
vaut l'indépendance, non pas pour le fric qu'on n'a pas gagné et dont
on peut se foutre, mais pour l'interdiction d'utiliser sa propre
création sans avoir à payer, en plus, des droits au salaud qui l'a
volée et déposée ce qui peut bien agacer n'importe quel créateur,
non?
Mais j'attends patiemment : tôt ou tard, un indépendant talentueux va
se retrouver dans la situation de Revaux par rapport à My Way par
exemple, ou Loulou Gasté ou qui on veut... et on verra alors ce que ça
vaut l'indépendance, non pas pour le fric qu'on n'a pas gagné et dont
on peut se foutre, mais pour l'interdiction d'utiliser sa propre
création sans avoir à payer, en plus, des droits au salaud qui l'a
volée et déposée ce qui peut bien agacer n'importe quel créateur,
non?
Mais j'attends patiemment : tôt ou tard, un indépendant talentueux va
se retrouver dans la situation de Revaux par rapport à My Way par
exemple, ou Loulou Gasté ou qui on veut... et on verra alors ce que ça
vaut l'indépendance, non pas pour le fric qu'on n'a pas gagné et dont
on peut se foutre, mais pour l'interdiction d'utiliser sa propre
création sans avoir à payer, en plus, des droits au salaud qui l'a
volée et déposée ce qui peut bien agacer n'importe quel créateur,
non?
"Gerald" a écrit dans le message de news:
1gm1166.1xogwun1rdqsv2N%Siegfried wrote:Non, en ce moment, je numérise tranquillement ma vieille collection de
vinyl. C'est un vrai plaisir, ça se fait en temps réel, on prend le
tempsd'écouter ce qu'on transfère et c'est plus sexy qu'une barre
d'avancement deprocessus d'un quelconque logiciel de rip !
tiens, tiens ! Peut-on avoir quelques détails sur la manière dont tu
opères : convertisseurs utilisés, logiciel d'acquisition (plateforme),
type de traitement, en particulier de la dynamique mais également des
"pétouilles" : jusqu'où vas-tu (ou bien : où t'arrêtes-tu) dans la
démarche de "restauration" ?
Je te pose cette question car elle est en fait préalable à la démarche
(pour réaliser une collection homogène) et les essais que j'ai tentés,
sur bandes d'une part et sur vieux vinyls d'autre part ont donné des
résultats trop variables et disparates : certains fichiers ont un niveau
trop élevé, d'autres trop faibles et surtout je ne sais pas comment
homogénéiser la dynamique.
d'avance merci
(je change le titre intentionellement)
--
Gérald
Tiens oui, revenons un peu en charte.
En fait et après plusieurs essais insatisfaisants, je suis arrivé à la
solution suivante :
La platine (kenwood) est reprise dans ma table Mackie 1604 vlz pro, prise
RCA tape in.
Tout sur midi et activation du tape to main mix switché.
C'est ensuite que je pense faire une hérésie, mais comme le résultat me
plait...
Je branche la line out de la mackie sur un petit preamp bluetube de Presonus
qui file vers l'entrée analogique de ma Pulsar II.
Ca me permet de compenser l'absence de préampli hifi qui utilisé dans ce
contexte a souvent donné des résultats pitoyables.
Je me repose uniquement sur les convertiseurs creamware et je passe par un
routing très simple avec juste le "analog pulsar in" branché sur le "wave
in" et le "wave out" sur la table virtuelle STM 1632, le mix out repartant
par l'"analog pulsar out" vers les moniteurs.
Une fois l'acquisition faite sur Cool Edit, j'opère les petits nettoyages à
la main (mes vinyls sont plutôt en excellent état, il faut bien être
maniaque sur un point dans la vie), j'utilise le desesseur de Cool Edit,
mais surtout, je ne touche à rien qui pourrait rajouter de la dynamique ou à
un EQ.
Une fois le traitement opéré, je charge un nouveau projet creamware qui va
me permettre de redonner un peu de dynamique aux fichiers.
Cette fois-ci, je balance le wave out sur la sortie de la Luna (oui, j'ai
deux cartes creamware dans ma machine) qui est branchée sur un Ultrafex II
de Behringer et sur mon patch bay (au prix que ça coûte faut pas se passer
d'un truc pareil), je branche la sortie de l'ultrafex II vers le pulsar IN
et je refais une acquisition.
J'avoue ne pas chercher à homogénéiser la dynamique, mais plutôt à en
récupérer un tout petit de clarté et d'air et avoir une cohérence au niveau
du disque plutôt qu'au niveau de ma discothèque.
Maitenant, comme le processus est assez long, je pense me mettre à utiliser
les plugs livrés avec les cartes creamware, ils offrent une palette d'outils
de traitement assez extraordinaire.
Surtout que la version 4 du soft qui est sortie récemment (mise à jour
gratuite pour les utilisateurs enregistrés) ajoute encore plus de stabilité
au système.
A bientôt,
Siegfried
"Gerald" <Gerald@alussinan.org> a écrit dans le message de news:
1gm1166.1xogwun1rdqsv2N%Gerald@alussinan.org...
Siegfried <siegfriedNO.hulot@SPAMclub-internet.fr> wrote:
Non, en ce moment, je numérise tranquillement ma vieille collection de
vinyl. C'est un vrai plaisir, ça se fait en temps réel, on prend le
temps
d'écouter ce qu'on transfère et c'est plus sexy qu'une barre
d'avancement de
processus d'un quelconque logiciel de rip !
tiens, tiens ! Peut-on avoir quelques détails sur la manière dont tu
opères : convertisseurs utilisés, logiciel d'acquisition (plateforme),
type de traitement, en particulier de la dynamique mais également des
"pétouilles" : jusqu'où vas-tu (ou bien : où t'arrêtes-tu) dans la
démarche de "restauration" ?
Je te pose cette question car elle est en fait préalable à la démarche
(pour réaliser une collection homogène) et les essais que j'ai tentés,
sur bandes d'une part et sur vieux vinyls d'autre part ont donné des
résultats trop variables et disparates : certains fichiers ont un niveau
trop élevé, d'autres trop faibles et surtout je ne sais pas comment
homogénéiser la dynamique.
d'avance merci
(je change le titre intentionellement)
--
Gérald
Tiens oui, revenons un peu en charte.
En fait et après plusieurs essais insatisfaisants, je suis arrivé à la
solution suivante :
La platine (kenwood) est reprise dans ma table Mackie 1604 vlz pro, prise
RCA tape in.
Tout sur midi et activation du tape to main mix switché.
C'est ensuite que je pense faire une hérésie, mais comme le résultat me
plait...
Je branche la line out de la mackie sur un petit preamp bluetube de Presonus
qui file vers l'entrée analogique de ma Pulsar II.
Ca me permet de compenser l'absence de préampli hifi qui utilisé dans ce
contexte a souvent donné des résultats pitoyables.
Je me repose uniquement sur les convertiseurs creamware et je passe par un
routing très simple avec juste le "analog pulsar in" branché sur le "wave
in" et le "wave out" sur la table virtuelle STM 1632, le mix out repartant
par l'"analog pulsar out" vers les moniteurs.
Une fois l'acquisition faite sur Cool Edit, j'opère les petits nettoyages à
la main (mes vinyls sont plutôt en excellent état, il faut bien être
maniaque sur un point dans la vie), j'utilise le desesseur de Cool Edit,
mais surtout, je ne touche à rien qui pourrait rajouter de la dynamique ou à
un EQ.
Une fois le traitement opéré, je charge un nouveau projet creamware qui va
me permettre de redonner un peu de dynamique aux fichiers.
Cette fois-ci, je balance le wave out sur la sortie de la Luna (oui, j'ai
deux cartes creamware dans ma machine) qui est branchée sur un Ultrafex II
de Behringer et sur mon patch bay (au prix que ça coûte faut pas se passer
d'un truc pareil), je branche la sortie de l'ultrafex II vers le pulsar IN
et je refais une acquisition.
J'avoue ne pas chercher à homogénéiser la dynamique, mais plutôt à en
récupérer un tout petit de clarté et d'air et avoir une cohérence au niveau
du disque plutôt qu'au niveau de ma discothèque.
Maitenant, comme le processus est assez long, je pense me mettre à utiliser
les plugs livrés avec les cartes creamware, ils offrent une palette d'outils
de traitement assez extraordinaire.
Surtout que la version 4 du soft qui est sortie récemment (mise à jour
gratuite pour les utilisateurs enregistrés) ajoute encore plus de stabilité
au système.
A bientôt,
Siegfried
"Gerald" a écrit dans le message de news:
1gm1166.1xogwun1rdqsv2N%Siegfried wrote:Non, en ce moment, je numérise tranquillement ma vieille collection de
vinyl. C'est un vrai plaisir, ça se fait en temps réel, on prend le
tempsd'écouter ce qu'on transfère et c'est plus sexy qu'une barre
d'avancement deprocessus d'un quelconque logiciel de rip !
tiens, tiens ! Peut-on avoir quelques détails sur la manière dont tu
opères : convertisseurs utilisés, logiciel d'acquisition (plateforme),
type de traitement, en particulier de la dynamique mais également des
"pétouilles" : jusqu'où vas-tu (ou bien : où t'arrêtes-tu) dans la
démarche de "restauration" ?
Je te pose cette question car elle est en fait préalable à la démarche
(pour réaliser une collection homogène) et les essais que j'ai tentés,
sur bandes d'une part et sur vieux vinyls d'autre part ont donné des
résultats trop variables et disparates : certains fichiers ont un niveau
trop élevé, d'autres trop faibles et surtout je ne sais pas comment
homogénéiser la dynamique.
d'avance merci
(je change le titre intentionellement)
--
Gérald
Tiens oui, revenons un peu en charte.
En fait et après plusieurs essais insatisfaisants, je suis arrivé à la
solution suivante :
La platine (kenwood) est reprise dans ma table Mackie 1604 vlz pro, prise
RCA tape in.
Tout sur midi et activation du tape to main mix switché.
C'est ensuite que je pense faire une hérésie, mais comme le résultat me
plait...
Je branche la line out de la mackie sur un petit preamp bluetube de Presonus
qui file vers l'entrée analogique de ma Pulsar II.
Ca me permet de compenser l'absence de préampli hifi qui utilisé dans ce
contexte a souvent donné des résultats pitoyables.
Je me repose uniquement sur les convertiseurs creamware et je passe par un
routing très simple avec juste le "analog pulsar in" branché sur le "wave
in" et le "wave out" sur la table virtuelle STM 1632, le mix out repartant
par l'"analog pulsar out" vers les moniteurs.
Une fois l'acquisition faite sur Cool Edit, j'opère les petits nettoyages à
la main (mes vinyls sont plutôt en excellent état, il faut bien être
maniaque sur un point dans la vie), j'utilise le desesseur de Cool Edit,
mais surtout, je ne touche à rien qui pourrait rajouter de la dynamique ou à
un EQ.
Une fois le traitement opéré, je charge un nouveau projet creamware qui va
me permettre de redonner un peu de dynamique aux fichiers.
Cette fois-ci, je balance le wave out sur la sortie de la Luna (oui, j'ai
deux cartes creamware dans ma machine) qui est branchée sur un Ultrafex II
de Behringer et sur mon patch bay (au prix que ça coûte faut pas se passer
d'un truc pareil), je branche la sortie de l'ultrafex II vers le pulsar IN
et je refais une acquisition.
J'avoue ne pas chercher à homogénéiser la dynamique, mais plutôt à en
récupérer un tout petit de clarté et d'air et avoir une cohérence au niveau
du disque plutôt qu'au niveau de ma discothèque.
Maitenant, comme le processus est assez long, je pense me mettre à utiliser
les plugs livrés avec les cartes creamware, ils offrent une palette d'outils
de traitement assez extraordinaire.
Surtout que la version 4 du soft qui est sortie récemment (mise à jour
gratuite pour les utilisateurs enregistrés) ajoute encore plus de stabilité
au système.
A bientôt,
Siegfried
je suis impréssionné par cette débauche de technique...
Ma méthode est plus simple et encore pas au point.
- platine: une kenwood à bras radial... parce que mes platines à
- j'ai trouvé un autre produit, "denoise" qui fait du débruitage
d'un rouleua de cire où on entend Caruso accompagné (un peu) par un
orchestre et (beaucoup) par des craquements
je suis impréssionné par cette débauche de technique...
Ma méthode est plus simple et encore pas au point.
- platine: une kenwood à bras radial... parce que mes platines à
- j'ai trouvé un autre produit, "denoise" qui fait du débruitage
d'un rouleua de cire où on entend Caruso accompagné (un peu) par un
orchestre et (beaucoup) par des craquements
je suis impréssionné par cette débauche de technique...
Ma méthode est plus simple et encore pas au point.
- platine: une kenwood à bras radial... parce que mes platines à
- j'ai trouvé un autre produit, "denoise" qui fait du débruitage
d'un rouleua de cire où on entend Caruso accompagné (un peu) par un
orchestre et (beaucoup) par des craquements
- logiciel : Audacity, réglage de niveau très facile, balance
problématique (utilise les contrôles fournis par windows, et partage les
commandes avec eux > donner la main aux controles de windows fait faire
un saut aux niveaux, pas glop, faut choisir, j'ai choisi windows hélas
parce que Audacity a des volumes et aucune balance > pas glop.
J'envisage un mixer en shareware, qui règle tout au % près, avec
interface assez facile
- logiciel : Audacity, réglage de niveau très facile, balance
problématique (utilise les contrôles fournis par windows, et partage les
commandes avec eux > donner la main aux controles de windows fait faire
un saut aux niveaux, pas glop, faut choisir, j'ai choisi windows hélas
parce que Audacity a des volumes et aucune balance > pas glop.
J'envisage un mixer en shareware, qui règle tout au % près, avec
interface assez facile
- logiciel : Audacity, réglage de niveau très facile, balance
problématique (utilise les contrôles fournis par windows, et partage les
commandes avec eux > donner la main aux controles de windows fait faire
un saut aux niveaux, pas glop, faut choisir, j'ai choisi windows hélas
parce que Audacity a des volumes et aucune balance > pas glop.
J'envisage un mixer en shareware, qui règle tout au % près, avec
interface assez facile
Un tribunal à décidé que la protection des CD pour qu'ils ne soient pas
copiables est illégale,
que le client l'accepte ou non. Le DRM c'est la
même chose. S'il n'est pas encore interdit, il y a la jurisprudence
pour qu'il le soit.
La loi sur le droit d'auteur autorise explicitement la copie à usage
privé, sans aucune limitation.
La rendre impossible unilatéralement est
une restriction de la liberté individuelle, et le commencement de la
dictature.
Un tribunal à décidé que la protection des CD pour qu'ils ne soient pas
copiables est illégale,
que le client l'accepte ou non. Le DRM c'est la
même chose. S'il n'est pas encore interdit, il y a la jurisprudence
pour qu'il le soit.
La loi sur le droit d'auteur autorise explicitement la copie à usage
privé, sans aucune limitation.
La rendre impossible unilatéralement est
une restriction de la liberté individuelle, et le commencement de la
dictature.
Un tribunal à décidé que la protection des CD pour qu'ils ne soient pas
copiables est illégale,
que le client l'accepte ou non. Le DRM c'est la
même chose. S'il n'est pas encore interdit, il y a la jurisprudence
pour qu'il le soit.
La loi sur le droit d'auteur autorise explicitement la copie à usage
privé, sans aucune limitation.
La rendre impossible unilatéralement est
une restriction de la liberté individuelle, et le commencement de la
dictature.
La différence entre le voleur et le créateur, c'est que le voleur vole
et le créateur crée. Le voleur doit avoir quelque chose à voler, mais
le créateur crée avec rien. Le créateur ne se fait voler qu'une fois,
mais peut créer plusieurs fois. De plus, le voleur ne sait pas quoi
faire de ce qu'il a volé, puisqu'il l'a volé et ne l'a pas créé.
Aujourd'hui, le créateur a tous les moyens dont il a besoin pour créer,
produire et distribuer ses oeuvres.
Mais le voleur, ce qu'ont toujours
été les majors, est incapable de s'adapter et disparaîtra. Ce sont ses
derniers râles qu'on entend actuellement. Il faudra bientôt creuser
profondément sous les couches de CD pour trouver leurs fossiles.
La différence entre le voleur et le créateur, c'est que le voleur vole
et le créateur crée. Le voleur doit avoir quelque chose à voler, mais
le créateur crée avec rien. Le créateur ne se fait voler qu'une fois,
mais peut créer plusieurs fois. De plus, le voleur ne sait pas quoi
faire de ce qu'il a volé, puisqu'il l'a volé et ne l'a pas créé.
Aujourd'hui, le créateur a tous les moyens dont il a besoin pour créer,
produire et distribuer ses oeuvres.
Mais le voleur, ce qu'ont toujours
été les majors, est incapable de s'adapter et disparaîtra. Ce sont ses
derniers râles qu'on entend actuellement. Il faudra bientôt creuser
profondément sous les couches de CD pour trouver leurs fossiles.
La différence entre le voleur et le créateur, c'est que le voleur vole
et le créateur crée. Le voleur doit avoir quelque chose à voler, mais
le créateur crée avec rien. Le créateur ne se fait voler qu'une fois,
mais peut créer plusieurs fois. De plus, le voleur ne sait pas quoi
faire de ce qu'il a volé, puisqu'il l'a volé et ne l'a pas créé.
Aujourd'hui, le créateur a tous les moyens dont il a besoin pour créer,
produire et distribuer ses oeuvres.
Mais le voleur, ce qu'ont toujours
été les majors, est incapable de s'adapter et disparaîtra. Ce sont ses
derniers râles qu'on entend actuellement. Il faudra bientôt creuser
profondément sous les couches de CD pour trouver leurs fossiles.
HyperDupont a écrit :- logiciel : Audacity, réglage de niveau très facile, balance
problématique (utilise les contrôles fournis par windows, et partage
les commandes avec eux > donner la main aux controles de windows fait
faire un saut aux niveaux, pas glop, faut choisir, j'ai choisi windows
hélas parce que Audacity a des volumes et aucune balance > pas glop.
J'envisage un mixer en shareware, qui règle tout au % près, avec
interface assez facile
Pourquoi pas une vraie carte son pas chère (E-MU 0404) ?
Avec sa vraie table de mix numérique...
Pourquoi pas un logiciel spécialisé abordable (Audio Cleanic de Magix) ?
HyperDupont a écrit :
- logiciel : Audacity, réglage de niveau très facile, balance
problématique (utilise les contrôles fournis par windows, et partage
les commandes avec eux > donner la main aux controles de windows fait
faire un saut aux niveaux, pas glop, faut choisir, j'ai choisi windows
hélas parce que Audacity a des volumes et aucune balance > pas glop.
J'envisage un mixer en shareware, qui règle tout au % près, avec
interface assez facile
Pourquoi pas une vraie carte son pas chère (E-MU 0404) ?
Avec sa vraie table de mix numérique...
Pourquoi pas un logiciel spécialisé abordable (Audio Cleanic de Magix) ?
HyperDupont a écrit :- logiciel : Audacity, réglage de niveau très facile, balance
problématique (utilise les contrôles fournis par windows, et partage
les commandes avec eux > donner la main aux controles de windows fait
faire un saut aux niveaux, pas glop, faut choisir, j'ai choisi windows
hélas parce que Audacity a des volumes et aucune balance > pas glop.
J'envisage un mixer en shareware, qui règle tout au % près, avec
interface assez facile
Pourquoi pas une vraie carte son pas chère (E-MU 0404) ?
Avec sa vraie table de mix numérique...
Pourquoi pas un logiciel spécialisé abordable (Audio Cleanic de Magix) ?
Que m'apporterait cette solution ? je ne compte pas créer de la musique,
juste numériser des vyniles, pas besoin de vrai "mixer", juste de
controler niveau/balance d'une entrée unique (ligne).
Et pour le débruitage, en quoi cela serait-il supérieur ?
Dans tous les cas, le plus contraignant est d'écouter le résultat du
débruitage et de le comparer à la capture brute, mais il y a 2 outils
(dont ABX) pour comparer en temps réel deux versions différentes d'un
même wav..
je refuse d'avoir besoin de 6
mois de pratique intensive pour savoir utiliser un outil).
Que m'apporterait cette solution ? je ne compte pas créer de la musique,
juste numériser des vyniles, pas besoin de vrai "mixer", juste de
controler niveau/balance d'une entrée unique (ligne).
Et pour le débruitage, en quoi cela serait-il supérieur ?
Dans tous les cas, le plus contraignant est d'écouter le résultat du
débruitage et de le comparer à la capture brute, mais il y a 2 outils
(dont ABX) pour comparer en temps réel deux versions différentes d'un
même wav..
je refuse d'avoir besoin de 6
mois de pratique intensive pour savoir utiliser un outil).
Que m'apporterait cette solution ? je ne compte pas créer de la musique,
juste numériser des vyniles, pas besoin de vrai "mixer", juste de
controler niveau/balance d'une entrée unique (ligne).
Et pour le débruitage, en quoi cela serait-il supérieur ?
Dans tous les cas, le plus contraignant est d'écouter le résultat du
débruitage et de le comparer à la capture brute, mais il y a 2 outils
(dont ABX) pour comparer en temps réel deux versions différentes d'un
même wav..
je refuse d'avoir besoin de 6
mois de pratique intensive pour savoir utiliser un outil).
S'agit-il de savoir si un CD-audio peut être protégé ou non ? La
réponse est alors : non car cette protection le fait sortir de la
norme "red book", *MAIS* s'il s'agit d'un CD non estampillé "CD audio"
et simplement "compatible", chacun fait skiveut ! À la limite c'est
comme de fournir un fichier AIFF sur "support" CD sans la TOC et les
caractéristiques du CD audio et avec les compressions et autorisations
d'accès qu'on veut.
> La loi sur le droit d'auteur autorise explicitement la copie à usage
> privé, sans aucune limitation.
...à partir d'originaux dont on détient légalement les droits !
> La rendre impossible unilatéralement est
> une restriction de la liberté individuelle, et le commencement de la
> dictature.
Tu décides donc (dictature suprème a contrario, je trouve) que la
standardisation est obligatoire à partir de maintenant !
Dans tous les
domaines et pour tous les supports ? Que plus aucune marque ni aucun
constructeur n'a le droit de réaliser un dispositif qui ne permettrait
QUE de lire ses propres données ?
Tu oublies bien vite que le CD-audio lui-même n'est qu'un standard *de
fait*, mais a été créé par Philips (et Sony ?) qui n'ont autorisé les
autres à l'utiliser que sous license.
Que se serait-il passé s'il ne
l'avaient pas fait : il n'y aurait que des CD Phillips et un autre
support (MD peut-être) aurait fait le bonheur d'autres marques.
Inversement, les autres marques auraient tout à fait pu refuser
d'acheter ces licenses et jouer cavalier seul. Cf la situation du
système Apple par rapport au système Microsoft.
Et si on parle de copie, il ne faut pas confondre copie analogique
(que les drms n'entravent en rien) et copie numérique.
Ce qui me chagrine, pardonne-moi, c'est que même si ta démarche est
juste et tes revendications légitimes, la manière dont tu t'y prends
discrédite ta cause et que c'est un crève-coeur pour ceux qui
voudraient la partager. Des noms, des lieux, des dates, et des liens
qui y donnent accès, bordel ! ...pardonne-moi !
S'agit-il de savoir si un CD-audio peut être protégé ou non ? La
réponse est alors : non car cette protection le fait sortir de la
norme "red book", *MAIS* s'il s'agit d'un CD non estampillé "CD audio"
et simplement "compatible", chacun fait skiveut ! À la limite c'est
comme de fournir un fichier AIFF sur "support" CD sans la TOC et les
caractéristiques du CD audio et avec les compressions et autorisations
d'accès qu'on veut.
> La loi sur le droit d'auteur autorise explicitement la copie à usage
> privé, sans aucune limitation.
...à partir d'originaux dont on détient légalement les droits !
> La rendre impossible unilatéralement est
> une restriction de la liberté individuelle, et le commencement de la
> dictature.
Tu décides donc (dictature suprème a contrario, je trouve) que la
standardisation est obligatoire à partir de maintenant !
Dans tous les
domaines et pour tous les supports ? Que plus aucune marque ni aucun
constructeur n'a le droit de réaliser un dispositif qui ne permettrait
QUE de lire ses propres données ?
Tu oublies bien vite que le CD-audio lui-même n'est qu'un standard *de
fait*, mais a été créé par Philips (et Sony ?) qui n'ont autorisé les
autres à l'utiliser que sous license.
Que se serait-il passé s'il ne
l'avaient pas fait : il n'y aurait que des CD Phillips et un autre
support (MD peut-être) aurait fait le bonheur d'autres marques.
Inversement, les autres marques auraient tout à fait pu refuser
d'acheter ces licenses et jouer cavalier seul. Cf la situation du
système Apple par rapport au système Microsoft.
Et si on parle de copie, il ne faut pas confondre copie analogique
(que les drms n'entravent en rien) et copie numérique.
Ce qui me chagrine, pardonne-moi, c'est que même si ta démarche est
juste et tes revendications légitimes, la manière dont tu t'y prends
discrédite ta cause et que c'est un crève-coeur pour ceux qui
voudraient la partager. Des noms, des lieux, des dates, et des liens
qui y donnent accès, bordel ! ...pardonne-moi !
S'agit-il de savoir si un CD-audio peut être protégé ou non ? La
réponse est alors : non car cette protection le fait sortir de la
norme "red book", *MAIS* s'il s'agit d'un CD non estampillé "CD audio"
et simplement "compatible", chacun fait skiveut ! À la limite c'est
comme de fournir un fichier AIFF sur "support" CD sans la TOC et les
caractéristiques du CD audio et avec les compressions et autorisations
d'accès qu'on veut.
> La loi sur le droit d'auteur autorise explicitement la copie à usage
> privé, sans aucune limitation.
...à partir d'originaux dont on détient légalement les droits !
> La rendre impossible unilatéralement est
> une restriction de la liberté individuelle, et le commencement de la
> dictature.
Tu décides donc (dictature suprème a contrario, je trouve) que la
standardisation est obligatoire à partir de maintenant !
Dans tous les
domaines et pour tous les supports ? Que plus aucune marque ni aucun
constructeur n'a le droit de réaliser un dispositif qui ne permettrait
QUE de lire ses propres données ?
Tu oublies bien vite que le CD-audio lui-même n'est qu'un standard *de
fait*, mais a été créé par Philips (et Sony ?) qui n'ont autorisé les
autres à l'utiliser que sous license.
Que se serait-il passé s'il ne
l'avaient pas fait : il n'y aurait que des CD Phillips et un autre
support (MD peut-être) aurait fait le bonheur d'autres marques.
Inversement, les autres marques auraient tout à fait pu refuser
d'acheter ces licenses et jouer cavalier seul. Cf la situation du
système Apple par rapport au système Microsoft.
Et si on parle de copie, il ne faut pas confondre copie analogique
(que les drms n'entravent en rien) et copie numérique.
Ce qui me chagrine, pardonne-moi, c'est que même si ta démarche est
juste et tes revendications légitimes, la manière dont tu t'y prends
discrédite ta cause et que c'est un crève-coeur pour ceux qui
voudraient la partager. Des noms, des lieux, des dates, et des liens
qui y donnent accès, bordel ! ...pardonne-moi !
> > Aujourd'hui, le créateur a tous les moyens dont il a besoin pour
> créer, produire et distribuer ses oeuvres.
Je suis d'un avis contraire : jamais le choix réel du public (de la
masse) n'a été aussi limité ! Alors même que les moyens de diffusion
auraient du obtenir ce contraire que tu appelles de tes voeux.
- réduction du nombre des points de vente et normalisation maximale
des oeuvres disponibles. Des boutiques comme Harmonia Mundi sont
devenues des exceptions culturelles totalement minoritaires (ce qui
n'était pas le cas dans les années 70 où de très nombreux disquaires
spécialisés existaient partout).
- diminution des occasions d'accès aux oeuvres musicales vivantes,
réduites à quelques festivals. Qu'est devenu l'accès important que
représentaient les abonnements en particulier aux JMF ou dans les MJC
et dans les grandes salles dédiées ?
- saturation de l'environnement sonore par un bain unique et normalisé
à l'extrême, incapable d'aucune création, pressant jusqu'à l'écorce le
citron des "reprises". Disparition corps et biens de pans entiers de
la culture (musicale et autre). Qui se souvient ici de Môrice Bénin ?
Du mode de réalisation et de diffusion de ses disques ? De leur
contenu ? De leur maquette ? De quoi parlait Henri Tachan ?
Je suis bien plus pessimiste que toi à ce sujet ! L'expérience des
anciens sert bien peu aux nouveaux. La diffusion "parallèle" est
parfaitement gérée par les majors, qui y voient une source inépuisable
de naïfs capable de leur fournir à peu de frais le "neuf" de demain.
Dans une ancienne émission de variétés à public jeune, un animateur
demandait un jour à Nicoletta quel conseil elle pourrait donner à ceux
qui l'entouraient et qui voudraient se lancer dans la chanson. Elle
répondit avec un petit pli amer au coin des lèvres "Qu'ils se
choisissent un bon avocat !". Je crains que ça ne soit désespérément
d'actualité.
> > Aujourd'hui, le créateur a tous les moyens dont il a besoin pour
> créer, produire et distribuer ses oeuvres.
Je suis d'un avis contraire : jamais le choix réel du public (de la
masse) n'a été aussi limité ! Alors même que les moyens de diffusion
auraient du obtenir ce contraire que tu appelles de tes voeux.
- réduction du nombre des points de vente et normalisation maximale
des oeuvres disponibles. Des boutiques comme Harmonia Mundi sont
devenues des exceptions culturelles totalement minoritaires (ce qui
n'était pas le cas dans les années 70 où de très nombreux disquaires
spécialisés existaient partout).
- diminution des occasions d'accès aux oeuvres musicales vivantes,
réduites à quelques festivals. Qu'est devenu l'accès important que
représentaient les abonnements en particulier aux JMF ou dans les MJC
et dans les grandes salles dédiées ?
- saturation de l'environnement sonore par un bain unique et normalisé
à l'extrême, incapable d'aucune création, pressant jusqu'à l'écorce le
citron des "reprises". Disparition corps et biens de pans entiers de
la culture (musicale et autre). Qui se souvient ici de Môrice Bénin ?
Du mode de réalisation et de diffusion de ses disques ? De leur
contenu ? De leur maquette ? De quoi parlait Henri Tachan ?
Je suis bien plus pessimiste que toi à ce sujet ! L'expérience des
anciens sert bien peu aux nouveaux. La diffusion "parallèle" est
parfaitement gérée par les majors, qui y voient une source inépuisable
de naïfs capable de leur fournir à peu de frais le "neuf" de demain.
Dans une ancienne émission de variétés à public jeune, un animateur
demandait un jour à Nicoletta quel conseil elle pourrait donner à ceux
qui l'entouraient et qui voudraient se lancer dans la chanson. Elle
répondit avec un petit pli amer au coin des lèvres "Qu'ils se
choisissent un bon avocat !". Je crains que ça ne soit désespérément
d'actualité.
> > Aujourd'hui, le créateur a tous les moyens dont il a besoin pour
> créer, produire et distribuer ses oeuvres.
Je suis d'un avis contraire : jamais le choix réel du public (de la
masse) n'a été aussi limité ! Alors même que les moyens de diffusion
auraient du obtenir ce contraire que tu appelles de tes voeux.
- réduction du nombre des points de vente et normalisation maximale
des oeuvres disponibles. Des boutiques comme Harmonia Mundi sont
devenues des exceptions culturelles totalement minoritaires (ce qui
n'était pas le cas dans les années 70 où de très nombreux disquaires
spécialisés existaient partout).
- diminution des occasions d'accès aux oeuvres musicales vivantes,
réduites à quelques festivals. Qu'est devenu l'accès important que
représentaient les abonnements en particulier aux JMF ou dans les MJC
et dans les grandes salles dédiées ?
- saturation de l'environnement sonore par un bain unique et normalisé
à l'extrême, incapable d'aucune création, pressant jusqu'à l'écorce le
citron des "reprises". Disparition corps et biens de pans entiers de
la culture (musicale et autre). Qui se souvient ici de Môrice Bénin ?
Du mode de réalisation et de diffusion de ses disques ? De leur
contenu ? De leur maquette ? De quoi parlait Henri Tachan ?
Je suis bien plus pessimiste que toi à ce sujet ! L'expérience des
anciens sert bien peu aux nouveaux. La diffusion "parallèle" est
parfaitement gérée par les majors, qui y voient une source inépuisable
de naïfs capable de leur fournir à peu de frais le "neuf" de demain.
Dans une ancienne émission de variétés à public jeune, un animateur
demandait un jour à Nicoletta quel conseil elle pourrait donner à ceux
qui l'entouraient et qui voudraient se lancer dans la chanson. Elle
répondit avec un petit pli amer au coin des lèvres "Qu'ils se
choisissent un bon avocat !". Je crains que ça ne soit désespérément
d'actualité.