Jacqueline Sauvage, condamnée à dix ans de prison pour le meurtre de son
mari en 2012, a vu jeudi 24 novembre sa demande de libération
conditionnelle une nouvelle fois rejetée.
C'est une bonne nouvelle concernant le fonctionnement de la Justice en
France.
Hors cas de légitime défense, on ne tue pas impunément.
Jacqueline Sauvage, condamnée à dix ans de prison pour le meurtre de son
mari en 2012, a vu jeudi 24 novembre sa demande de libération
conditionnelle une nouvelle fois rejetée.
C'est une bonne nouvelle concernant le fonctionnement de la Justice en
France.
Hors cas de légitime défense, on ne tue pas impunément.
Jacqueline Sauvage, condamnée à dix ans de prison pour le meurtre de son
mari en 2012, a vu jeudi 24 novembre sa demande de libération
conditionnelle une nouvelle fois rejetée.
C'est une bonne nouvelle concernant le fonctionnement de la Justice en
France.
Hors cas de légitime défense, on ne tue pas impunément.
Jacqueline Sauvage, condamnée à dix ans de prison pour le meurtre de son
mari en 2012, a vu jeudi 24 novembre sa demande de libération
conditionnelle une nouvelle fois rejetée.
C'est une bonne nouvelle concernant le fonctionnement de la Justice en
France.
Hors cas de légitime défense, on ne tue pas impunément.
Jacqueline Sauvage, condamnée à dix ans de prison pour le meurtre de son
mari en 2012, a vu jeudi 24 novembre sa demande de libération
conditionnelle une nouvelle fois rejetée.
C'est une bonne nouvelle concernant le fonctionnement de la Justice en
France.
Hors cas de légitime défense, on ne tue pas impunément.
Jacqueline Sauvage, condamnée à dix ans de prison pour le meurtre de son
mari en 2012, a vu jeudi 24 novembre sa demande de libération
conditionnelle une nouvelle fois rejetée.
C'est une bonne nouvelle concernant le fonctionnement de la Justice en
France.
Hors cas de légitime défense, on ne tue pas impunément.
Jacqueline Sauvage, condamnée à dix ans de prison pour le meurtre de
son mari en 2012, a vu jeudi 24 novembre sa demande de libération
conditionnelle une nouvelle fois rejetée.
C'est une bonne nouvelle concernant le fonctionnement de la Justice en
France.
Hors cas de légitime défense, on ne tue pas impunément.
Jacqueline Sauvage, condamnée à dix ans de prison pour le meurtre de
son mari en 2012, a vu jeudi 24 novembre sa demande de libération
conditionnelle une nouvelle fois rejetée.
C'est une bonne nouvelle concernant le fonctionnement de la Justice en
France.
Hors cas de légitime défense, on ne tue pas impunément.
Jacqueline Sauvage, condamnée à dix ans de prison pour le meurtre de
son mari en 2012, a vu jeudi 24 novembre sa demande de libération
conditionnelle une nouvelle fois rejetée.
C'est une bonne nouvelle concernant le fonctionnement de la Justice en
France.
Hors cas de légitime défense, on ne tue pas impunément.
Le 25/11/2016 à 14:44, Desmond a écrit :Jacqueline Sauvage, condamnée à dix ans de prison pour le meurtre de son
mari en 2012, a vu jeudi 24 novembre sa demande de libération
conditionnelle une nouvelle fois rejetée.
C'est une bonne nouvelle concernant le fonctionnement de la Justice en
France.
Hors cas de légitime défense, on ne tue pas impunément.
L'extension de la notion de légitime défense était justement justement
l'objectif de la médiatisation de ce procès par les féministes françaises à
l'image de ce qu'ont réussi les féministes canadiennes.
http://tinyurl.com/h6vnfay
http://www.assemblee-nationale.fr/14/propositions/pion3605.asp
Le 25/11/2016 à 14:44, Desmond a écrit :
Jacqueline Sauvage, condamnée à dix ans de prison pour le meurtre de son
mari en 2012, a vu jeudi 24 novembre sa demande de libération
conditionnelle une nouvelle fois rejetée.
C'est une bonne nouvelle concernant le fonctionnement de la Justice en
France.
Hors cas de légitime défense, on ne tue pas impunément.
L'extension de la notion de légitime défense était justement justement
l'objectif de la médiatisation de ce procès par les féministes françaises à
l'image de ce qu'ont réussi les féministes canadiennes.
http://tinyurl.com/h6vnfay
http://www.assemblee-nationale.fr/14/propositions/pion3605.asp
Le 25/11/2016 à 14:44, Desmond a écrit :Jacqueline Sauvage, condamnée à dix ans de prison pour le meurtre de son
mari en 2012, a vu jeudi 24 novembre sa demande de libération
conditionnelle une nouvelle fois rejetée.
C'est une bonne nouvelle concernant le fonctionnement de la Justice en
France.
Hors cas de légitime défense, on ne tue pas impunément.
L'extension de la notion de légitime défense était justement justement
l'objectif de la médiatisation de ce procès par les féministes françaises à
l'image de ce qu'ont réussi les féministes canadiennes.
http://tinyurl.com/h6vnfay
http://www.assemblee-nationale.fr/14/propositions/pion3605.asp
L'extension de la notion de légitime défense pour les femmes supposées
battues était justement l'objectif de la médiatisation de ce procès par
les féministes françaises à l'image de ce qu'ont réussi les féministes
canadiennes.
L'extension de la notion de légitime défense pour les femmes supposées
battues était justement l'objectif de la médiatisation de ce procès par
les féministes françaises à l'image de ce qu'ont réussi les féministes
canadiennes.
L'extension de la notion de légitime défense pour les femmes supposées
battues était justement l'objectif de la médiatisation de ce procès par
les féministes françaises à l'image de ce qu'ont réussi les féministes
canadiennes.
Proposition d'article de loi:
"Art. 122-1-1. – N’est pas pénalement responsable la personne qui était
atteinte, au moment des faits, en raison de la répétition de violences
conjugales, d’un trouble psychique ou neuropsychique, ayant altéré son
discernement ou entravé le contrôle de ses actes."
Ce n'est pas une extension de la notion de légitime défense, c'est la
dépénalisation d'une situation qui constitue habituellement une
circonstance atténuante.
Pourquoi seulement lors de la "répétition de violences conjugales" ? Et
comment la preuve de cette répétition est-elle établie ? Dans le cas de
Jacqueline Sauvage, il n'y a aucune preuve et aucun risque que la victime
rende compte de son point de vue.
Il n'y a aucun vide juridique puisque depuis longtemps, la loi tient
compte de la notion de discernement lors de l'acte criminel et appelle à
tenir compte de circonstances atténuantes.
Pour se donner le beau rôle, les parlementaires qui proposent cette loi
surfent simplement sur une affaire ultra-médiatisée, à une époque où le
féminisme névrotique est à la mode.
Bravo à la Justice de ne pas s'être laisser prendre.
Proposition d'article de loi:
"Art. 122-1-1. – N’est pas pénalement responsable la personne qui était
atteinte, au moment des faits, en raison de la répétition de violences
conjugales, d’un trouble psychique ou neuropsychique, ayant altéré son
discernement ou entravé le contrôle de ses actes."
Ce n'est pas une extension de la notion de légitime défense, c'est la
dépénalisation d'une situation qui constitue habituellement une
circonstance atténuante.
Pourquoi seulement lors de la "répétition de violences conjugales" ? Et
comment la preuve de cette répétition est-elle établie ? Dans le cas de
Jacqueline Sauvage, il n'y a aucune preuve et aucun risque que la victime
rende compte de son point de vue.
Il n'y a aucun vide juridique puisque depuis longtemps, la loi tient
compte de la notion de discernement lors de l'acte criminel et appelle à
tenir compte de circonstances atténuantes.
Pour se donner le beau rôle, les parlementaires qui proposent cette loi
surfent simplement sur une affaire ultra-médiatisée, à une époque où le
féminisme névrotique est à la mode.
Bravo à la Justice de ne pas s'être laisser prendre.
Proposition d'article de loi:
"Art. 122-1-1. – N’est pas pénalement responsable la personne qui était
atteinte, au moment des faits, en raison de la répétition de violences
conjugales, d’un trouble psychique ou neuropsychique, ayant altéré son
discernement ou entravé le contrôle de ses actes."
Ce n'est pas une extension de la notion de légitime défense, c'est la
dépénalisation d'une situation qui constitue habituellement une
circonstance atténuante.
Pourquoi seulement lors de la "répétition de violences conjugales" ? Et
comment la preuve de cette répétition est-elle établie ? Dans le cas de
Jacqueline Sauvage, il n'y a aucune preuve et aucun risque que la victime
rende compte de son point de vue.
Il n'y a aucun vide juridique puisque depuis longtemps, la loi tient
compte de la notion de discernement lors de l'acte criminel et appelle à
tenir compte de circonstances atténuantes.
Pour se donner le beau rôle, les parlementaires qui proposent cette loi
surfent simplement sur une affaire ultra-médiatisée, à une époque où le
féminisme névrotique est à la mode.
Bravo à la Justice de ne pas s'être laisser prendre.
anyone. a écrit :Le 25/11/2016 à 14:44, Desmond a écrit :Jacqueline Sauvage, condamnée à dix ans de prison pour le meurtre de son
mari en 2012, a vu jeudi 24 novembre sa demande de libération
conditionnelle une nouvelle fois rejetée.
C'est une bonne nouvelle concernant le fonctionnement de la Justice en
France.
Hors cas de légitime défense, on ne tue pas impunément.
L'extension de la notion de légitime défense était justement justement
l'objectif de la médiatisation de ce procès par les féministes françaises à
l'image de ce qu'ont réussi les féministes canadiennes.
http://tinyurl.com/h6vnfay
http://www.assemblee-nationale.fr/14/propositions/pion3605.asp
Proposition d'article de loi:
"Art. 122-1-1. – N’est pas pénalement responsable la personne qui était
atteinte, au moment des faits, en raison de la répétition de violences
conjugales, d’un trouble psychique ou neuropsychique, ayant altéré son
discernement ou entravé le contrôle de ses actes."
Ce n'est pas une extension de la notion de légitime défense, c'est la
dépénalisation d'une situation qui constitue habituellement une
circonstance atténuante.
Pourquoi seulement lors de la "répétition de violences conjugales" ? Et
comment la preuve de cette répétition est-elle établie ? Dans le cas de
Jacqueline Sauvage, il n'y a aucune preuve et aucun risque que la
victime rende compte de son point de vue.
Il n'y a aucun vide juridique puisque depuis longtemps, la loi tient
compte de la notion de discernement lors de l'acte criminel et appelle
à tenir compte de circonstances atténuantes.
Pour se donner le beau rôle, les parlementaires qui proposent cette loi
surfent simplement sur une affaire ultra-médiatisée, à une époque où le
féminisme névrotique est à la mode.
Bravo à la Justice de ne pas s'être laisser prendre.
anyone. a écrit :
Le 25/11/2016 à 14:44, Desmond a écrit :
Jacqueline Sauvage, condamnée à dix ans de prison pour le meurtre de son
mari en 2012, a vu jeudi 24 novembre sa demande de libération
conditionnelle une nouvelle fois rejetée.
C'est une bonne nouvelle concernant le fonctionnement de la Justice en
France.
Hors cas de légitime défense, on ne tue pas impunément.
L'extension de la notion de légitime défense était justement justement
l'objectif de la médiatisation de ce procès par les féministes françaises à
l'image de ce qu'ont réussi les féministes canadiennes.
http://tinyurl.com/h6vnfay
http://www.assemblee-nationale.fr/14/propositions/pion3605.asp
Proposition d'article de loi:
"Art. 122-1-1. – N’est pas pénalement responsable la personne qui était
atteinte, au moment des faits, en raison de la répétition de violences
conjugales, d’un trouble psychique ou neuropsychique, ayant altéré son
discernement ou entravé le contrôle de ses actes."
Ce n'est pas une extension de la notion de légitime défense, c'est la
dépénalisation d'une situation qui constitue habituellement une
circonstance atténuante.
Pourquoi seulement lors de la "répétition de violences conjugales" ? Et
comment la preuve de cette répétition est-elle établie ? Dans le cas de
Jacqueline Sauvage, il n'y a aucune preuve et aucun risque que la
victime rende compte de son point de vue.
Il n'y a aucun vide juridique puisque depuis longtemps, la loi tient
compte de la notion de discernement lors de l'acte criminel et appelle
à tenir compte de circonstances atténuantes.
Pour se donner le beau rôle, les parlementaires qui proposent cette loi
surfent simplement sur une affaire ultra-médiatisée, à une époque où le
féminisme névrotique est à la mode.
Bravo à la Justice de ne pas s'être laisser prendre.
anyone. a écrit :Le 25/11/2016 à 14:44, Desmond a écrit :Jacqueline Sauvage, condamnée à dix ans de prison pour le meurtre de son
mari en 2012, a vu jeudi 24 novembre sa demande de libération
conditionnelle une nouvelle fois rejetée.
C'est une bonne nouvelle concernant le fonctionnement de la Justice en
France.
Hors cas de légitime défense, on ne tue pas impunément.
L'extension de la notion de légitime défense était justement justement
l'objectif de la médiatisation de ce procès par les féministes françaises à
l'image de ce qu'ont réussi les féministes canadiennes.
http://tinyurl.com/h6vnfay
http://www.assemblee-nationale.fr/14/propositions/pion3605.asp
Proposition d'article de loi:
"Art. 122-1-1. – N’est pas pénalement responsable la personne qui était
atteinte, au moment des faits, en raison de la répétition de violences
conjugales, d’un trouble psychique ou neuropsychique, ayant altéré son
discernement ou entravé le contrôle de ses actes."
Ce n'est pas une extension de la notion de légitime défense, c'est la
dépénalisation d'une situation qui constitue habituellement une
circonstance atténuante.
Pourquoi seulement lors de la "répétition de violences conjugales" ? Et
comment la preuve de cette répétition est-elle établie ? Dans le cas de
Jacqueline Sauvage, il n'y a aucune preuve et aucun risque que la
victime rende compte de son point de vue.
Il n'y a aucun vide juridique puisque depuis longtemps, la loi tient
compte de la notion de discernement lors de l'acte criminel et appelle
à tenir compte de circonstances atténuantes.
Pour se donner le beau rôle, les parlementaires qui proposent cette loi
surfent simplement sur une affaire ultra-médiatisée, à une époque où le
féminisme névrotique est à la mode.
Bravo à la Justice de ne pas s'être laisser prendre.
Proposition d'article de loi:
"Art. 122-1-1. – N’est pas pénalement responsable la personne qui était
atteinte, au moment des faits, en raison de la répétition de violences
conjugales, d’un trouble psychique ou neuropsychique, ayant altéré son
discernement ou entravé le contrôle de ses actes."
Proposition d'article de loi:
"Art. 122-1-1. – N’est pas pénalement responsable la personne qui était
atteinte, au moment des faits, en raison de la répétition de violences
conjugales, d’un trouble psychique ou neuropsychique, ayant altéré son
discernement ou entravé le contrôle de ses actes."
Proposition d'article de loi:
"Art. 122-1-1. – N’est pas pénalement responsable la personne qui était
atteinte, au moment des faits, en raison de la répétition de violences
conjugales, d’un trouble psychique ou neuropsychique, ayant altéré son
discernement ou entravé le contrôle de ses actes."
Desmond wrote:"Art. 122-1-1. – N’est pas pénalement responsable la personne qui était
atteinte, au moment des faits, en raison de la répétition de violences
conjugales, d’un trouble psychique ou neuropsychique, ayant altéré son
discernement ou entravé le contrôle de ses actes."
Ce n'est pas une extension de la notion de légitime défense, c'est la
dépénalisation d'une situation qui constitue habituellement une
circonstance atténuante.
Pourquoi seulement lors de la "répétition de violences conjugales" ? Et
comment la preuve de cette répétition est-elle établie ? Dans le cas de
Jacqueline Sauvage, il n'y a aucune preuve et aucun risque que la
victime rende compte de son point de vue.
Il n'y a aucun vide juridique puisque depuis longtemps, la loi tient
compte de la notion de discernement lors de l'acte criminel et appelle
à tenir compte de circonstances atténuantes.
Pour se donner le beau rôle, les parlementaires qui proposent cette loi
surfent simplement sur une affaire ultra-médiatisée, à une époque où le
féminisme névrotique est à la mode.
Bravo à la Justice de ne pas s'être laisser prendre.
Que d'infinitifs.
Desmond <Desmond@Desmonial.com> wrote:
"Art. 122-1-1. – N’est pas pénalement responsable la personne qui était
atteinte, au moment des faits, en raison de la répétition de violences
conjugales, d’un trouble psychique ou neuropsychique, ayant altéré son
discernement ou entravé le contrôle de ses actes."
Ce n'est pas une extension de la notion de légitime défense, c'est la
dépénalisation d'une situation qui constitue habituellement une
circonstance atténuante.
Pourquoi seulement lors de la "répétition de violences conjugales" ? Et
comment la preuve de cette répétition est-elle établie ? Dans le cas de
Jacqueline Sauvage, il n'y a aucune preuve et aucun risque que la
victime rende compte de son point de vue.
Il n'y a aucun vide juridique puisque depuis longtemps, la loi tient
compte de la notion de discernement lors de l'acte criminel et appelle
à tenir compte de circonstances atténuantes.
Pour se donner le beau rôle, les parlementaires qui proposent cette loi
surfent simplement sur une affaire ultra-médiatisée, à une époque où le
féminisme névrotique est à la mode.
Bravo à la Justice de ne pas s'être laisser prendre.
Que d'infinitifs.
Desmond wrote:"Art. 122-1-1. – N’est pas pénalement responsable la personne qui était
atteinte, au moment des faits, en raison de la répétition de violences
conjugales, d’un trouble psychique ou neuropsychique, ayant altéré son
discernement ou entravé le contrôle de ses actes."
Ce n'est pas une extension de la notion de légitime défense, c'est la
dépénalisation d'une situation qui constitue habituellement une
circonstance atténuante.
Pourquoi seulement lors de la "répétition de violences conjugales" ? Et
comment la preuve de cette répétition est-elle établie ? Dans le cas de
Jacqueline Sauvage, il n'y a aucune preuve et aucun risque que la
victime rende compte de son point de vue.
Il n'y a aucun vide juridique puisque depuis longtemps, la loi tient
compte de la notion de discernement lors de l'acte criminel et appelle
à tenir compte de circonstances atténuantes.
Pour se donner le beau rôle, les parlementaires qui proposent cette loi
surfent simplement sur une affaire ultra-médiatisée, à une époque où le
féminisme névrotique est à la mode.
Bravo à la Justice de ne pas s'être laisser prendre.
Que d'infinitifs.
"anyone." a écrit dans le message de groupe de discussion :
5838568d$0$3307$L'extension de la notion de légitime défense pour les femmes supposées
battues était justement l'objectif de la médiatisation de ce procès
par les féministes françaises à l'image de ce qu'ont réussi les
féministes canadiennes.
Ben oui mais chez les féministes canadiennes, les femmes en cause
étaient réellement battues.
Assassiner son mari de trois coups de fusil
dans le dos sans autre raison que de changer la loi, c'est un peu abuser
non?
Il y a plutôt un problème de pousse au crime dans les pays francophones,
sur la base d'une pseudo-science qui répond au barbarisme de
victimologie. C'est la même stratégie de la terreur que pour les
musulmans, qui n'ont même plus le droit d'appeler leur fils Mohamed sans
être menacé de déchéance de la nationalité, et même que pour les
hétéros. Il faut que l'homme ait sans arrêt peur, qu'il se sente
traqué, qu'il n'ose plus faire le moindre geste de crainte d'être accusé
de n'importe quoi.
-- ~~~~ clmasse chez libre Hexagone
Liberté, Egalité, Sale assisté.
"anyone." a écrit dans le message de groupe de discussion :
5838568d$0$3307$426a34cc@news.free.fr...
L'extension de la notion de légitime défense pour les femmes supposées
battues était justement l'objectif de la médiatisation de ce procès
par les féministes françaises à l'image de ce qu'ont réussi les
féministes canadiennes.
Ben oui mais chez les féministes canadiennes, les femmes en cause
étaient réellement battues.
Assassiner son mari de trois coups de fusil
dans le dos sans autre raison que de changer la loi, c'est un peu abuser
non?
Il y a plutôt un problème de pousse au crime dans les pays francophones,
sur la base d'une pseudo-science qui répond au barbarisme de
victimologie. C'est la même stratégie de la terreur que pour les
musulmans, qui n'ont même plus le droit d'appeler leur fils Mohamed sans
être menacé de déchéance de la nationalité, et même que pour les
hétéros. Il faut que l'homme ait sans arrêt peur, qu'il se sente
traqué, qu'il n'ose plus faire le moindre geste de crainte d'être accusé
de n'importe quoi.
-- ~~~~ clmasse chez libre Hexagone
Liberté, Egalité, Sale assisté.
"anyone." a écrit dans le message de groupe de discussion :
5838568d$0$3307$L'extension de la notion de légitime défense pour les femmes supposées
battues était justement l'objectif de la médiatisation de ce procès
par les féministes françaises à l'image de ce qu'ont réussi les
féministes canadiennes.
Ben oui mais chez les féministes canadiennes, les femmes en cause
étaient réellement battues.
Assassiner son mari de trois coups de fusil
dans le dos sans autre raison que de changer la loi, c'est un peu abuser
non?
Il y a plutôt un problème de pousse au crime dans les pays francophones,
sur la base d'une pseudo-science qui répond au barbarisme de
victimologie. C'est la même stratégie de la terreur que pour les
musulmans, qui n'ont même plus le droit d'appeler leur fils Mohamed sans
être menacé de déchéance de la nationalité, et même que pour les
hétéros. Il faut que l'homme ait sans arrêt peur, qu'il se sente
traqué, qu'il n'ose plus faire le moindre geste de crainte d'être accusé
de n'importe quoi.
-- ~~~~ clmasse chez libre Hexagone
Liberté, Egalité, Sale assisté.