Suite à un post rescent, il a été évoque à plusieurs reprises la notion
"d'original".
Il me semble que cette notion perd tout son sens en matière d'image
numérique.
Suite à un post rescent, il a été évoque à plusieurs reprises la notion
"d'original".
Il me semble que cette notion perd tout son sens en matière d'image
numérique.
Suite à un post rescent, il a été évoque à plusieurs reprises la notion
"d'original".
Il me semble que cette notion perd tout son sens en matière d'image
numérique.
Suite à un post rescent, il a été évoque à plusieurs reprises la notion
"d'original".
Il me semble que cette notion perd tout son sens en matière d'image
numérique.
Suite à un post rescent, il a été évoque à plusieurs reprises la notion
"d'original".
Il me semble que cette notion perd tout son sens en matière d'image
numérique.
Suite à un post rescent, il a été évoque à plusieurs reprises la notion
"d'original".
Il me semble que cette notion perd tout son sens en matière d'image
numérique.
Suite à un post rescent, il a été évoque à plusieurs reprises la
notion "d'original".
Il me semble que cette notion perd tout son sens en matière d'image
numérique.
D'un point de vue technique je te conseille le tlfi qui est très
clair: original qui est à l'orgine.
Bref l'original est le fichier qui sort du boitier. Si on modifie ce
fichier ce n'est plus un original.
Mais on peut reconstituer un original. Par exemple un passant un
fichier dans un compresseur puis dans un décompresseur.
Pour la notion d'original en art et en photo en particulier, je te
conseillerais un texte de Jean-Claude Lemagny sur le sujet, mais je
n'ai pas le titre ici.
Suite à un post rescent, il a été évoque à plusieurs reprises la
notion "d'original".
Il me semble que cette notion perd tout son sens en matière d'image
numérique.
D'un point de vue technique je te conseille le tlfi qui est très
clair: original qui est à l'orgine.
Bref l'original est le fichier qui sort du boitier. Si on modifie ce
fichier ce n'est plus un original.
Mais on peut reconstituer un original. Par exemple un passant un
fichier dans un compresseur puis dans un décompresseur.
Pour la notion d'original en art et en photo en particulier, je te
conseillerais un texte de Jean-Claude Lemagny sur le sujet, mais je
n'ai pas le titre ici.
Suite à un post rescent, il a été évoque à plusieurs reprises la
notion "d'original".
Il me semble que cette notion perd tout son sens en matière d'image
numérique.
D'un point de vue technique je te conseille le tlfi qui est très
clair: original qui est à l'orgine.
Bref l'original est le fichier qui sort du boitier. Si on modifie ce
fichier ce n'est plus un original.
Mais on peut reconstituer un original. Par exemple un passant un
fichier dans un compresseur puis dans un décompresseur.
Pour la notion d'original en art et en photo en particulier, je te
conseillerais un texte de Jean-Claude Lemagny sur le sujet, mais je
n'ai pas le titre ici.
Pour la notion d'original en art et en photo en particulier, je te
conseillerais un texte de Jean-Claude Lemagny sur le sujet, mais je
n'ai pas le titre ici.
Pour la notion d'original en art et en photo en particulier, je te
conseillerais un texte de Jean-Claude Lemagny sur le sujet, mais je
n'ai pas le titre ici.
Pour la notion d'original en art et en photo en particulier, je te
conseillerais un texte de Jean-Claude Lemagny sur le sujet, mais je
n'ai pas le titre ici.
Suite à un post rescent, il a été évoque à plusieurs reprises la notion
"d'original".
Il me semble que cette notion perd tout son sens en matière d'image
numérique.
D'autres avis m'interessent.
Merci.
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Il me semble que cette notion perd tout son sens en matière d'image
numérique.
D'autres avis m'interessent.
Merci.
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"d'original".
Il me semble que cette notion perd tout son sens en matière d'image
numérique.
D'autres avis m'interessent.
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Suite à un post rescent, il a été évoque à plusieurs reprises la
notion "d'original".
Il me semble que cette notion perd tout son sens en matière d'image
numérique.
D'autres avis m'interessent.
Merci.
On parle de "tirage original" pour désigner un tirage réalisé par
l'artiste lui-même ou sous son contrôle, à partir du négatif ou du
positif "original". Le concept intègre ici la valeur "de rareté" que
l'on attribue à une oeuvre d'art "multiple". La photographie est ainsi
analogue à l'estampe ou au bronze. Ce concept s'appuie bien entendu
sur l'unicité de la source matérielle utilisée
pour produire les
multiples, en l'occurrence le négatif "original", sur le contrôle du
tirage par l'artiste, et sur la stricte limitation du nombre
d'exemplaires (sanctionnée parfois par une destruction du négatif,
comme on détruit la matrice d'une estampe ou le moule d'un bronze).
Le négatif "original" (ou la diapositive) étant ce que l'artiste a
produit avec son outil, l'appareil de prise de vue. L'original
numérique est à mon avis simplement ce que l'artiste produit avec son
APN :
- S'il produit un JPEG ou un TIFF, son outil est constitué de l'APN et
du logiciel embarqué par l'APN pour opérer le traitement du RAW. Cette
situation est analogue à celle des Polaroids : de nombreux artistes
ont produit des oeuvres uniques avec cet engin qui intégrait des
fonctions de prise de vue et des fonctions "chimiques" de
"développement". C'est même cette vertu de l'unicité des images qui a
poussé certains photographes à utiliser des Polaroids.
- S'il produit un RAW, c'est le fichier brut qui est l'original.
Quant au "tirage" il est analogue à celui de la photo argentique. On
peut "tirer" sur papier dix exemplaires d'un "original" numérique
avant de détruire l'original. Mais, bien entendu, il est plus
difficile de garantir au collectionneur que l'original est détruit.
Encore que des négatifs réputés "détruits" réapparaissent parfois
curieusement (!) sous la forme de tirages nouveaux qui font
s'effondrer la cote de certaines images, idem pour les bronzes...
La grande différence entre argentique et numérique est que, dans le
cas de la photographie numérique, l'original, qu'il soit RAW, TIFF ou
JPEG, peut être multiplié sans perte, ce qui n'est pas le cas du
négatif. On tombe ici sur le problème de la garantie d'unicité d'un
original électronique, question qui se pose aujourd'hui plutôt aux
plasticiens électroniques qu'aux photographes. Quand Nam June Paik
expose une oeuvre dans un grand musée, son oeuvre (unique et d'un
prix colossal) est vue sur un écran mais est portée par une bande
magnétique numérique (ou peut-être maintenant un CD...), qui est
copiable sans perte... On imagine les problèmes qui se poseraient aux
collectionneurs si un Matisse pouvait être ainsi multiplié sans
perte...
Suite à un post rescent, il a été évoque à plusieurs reprises la
notion "d'original".
Il me semble que cette notion perd tout son sens en matière d'image
numérique.
D'autres avis m'interessent.
Merci.
On parle de "tirage original" pour désigner un tirage réalisé par
l'artiste lui-même ou sous son contrôle, à partir du négatif ou du
positif "original". Le concept intègre ici la valeur "de rareté" que
l'on attribue à une oeuvre d'art "multiple". La photographie est ainsi
analogue à l'estampe ou au bronze. Ce concept s'appuie bien entendu
sur l'unicité de la source matérielle utilisée
pour produire les
multiples, en l'occurrence le négatif "original", sur le contrôle du
tirage par l'artiste, et sur la stricte limitation du nombre
d'exemplaires (sanctionnée parfois par une destruction du négatif,
comme on détruit la matrice d'une estampe ou le moule d'un bronze).
Le négatif "original" (ou la diapositive) étant ce que l'artiste a
produit avec son outil, l'appareil de prise de vue. L'original
numérique est à mon avis simplement ce que l'artiste produit avec son
APN :
- S'il produit un JPEG ou un TIFF, son outil est constitué de l'APN et
du logiciel embarqué par l'APN pour opérer le traitement du RAW. Cette
situation est analogue à celle des Polaroids : de nombreux artistes
ont produit des oeuvres uniques avec cet engin qui intégrait des
fonctions de prise de vue et des fonctions "chimiques" de
"développement". C'est même cette vertu de l'unicité des images qui a
poussé certains photographes à utiliser des Polaroids.
- S'il produit un RAW, c'est le fichier brut qui est l'original.
Quant au "tirage" il est analogue à celui de la photo argentique. On
peut "tirer" sur papier dix exemplaires d'un "original" numérique
avant de détruire l'original. Mais, bien entendu, il est plus
difficile de garantir au collectionneur que l'original est détruit.
Encore que des négatifs réputés "détruits" réapparaissent parfois
curieusement (!) sous la forme de tirages nouveaux qui font
s'effondrer la cote de certaines images, idem pour les bronzes...
La grande différence entre argentique et numérique est que, dans le
cas de la photographie numérique, l'original, qu'il soit RAW, TIFF ou
JPEG, peut être multiplié sans perte, ce qui n'est pas le cas du
négatif. On tombe ici sur le problème de la garantie d'unicité d'un
original électronique, question qui se pose aujourd'hui plutôt aux
plasticiens électroniques qu'aux photographes. Quand Nam June Paik
expose une oeuvre dans un grand musée, son oeuvre (unique et d'un
prix colossal) est vue sur un écran mais est portée par une bande
magnétique numérique (ou peut-être maintenant un CD...), qui est
copiable sans perte... On imagine les problèmes qui se poseraient aux
collectionneurs si un Matisse pouvait être ainsi multiplié sans
perte...
Suite à un post rescent, il a été évoque à plusieurs reprises la
notion "d'original".
Il me semble que cette notion perd tout son sens en matière d'image
numérique.
D'autres avis m'interessent.
Merci.
On parle de "tirage original" pour désigner un tirage réalisé par
l'artiste lui-même ou sous son contrôle, à partir du négatif ou du
positif "original". Le concept intègre ici la valeur "de rareté" que
l'on attribue à une oeuvre d'art "multiple". La photographie est ainsi
analogue à l'estampe ou au bronze. Ce concept s'appuie bien entendu
sur l'unicité de la source matérielle utilisée
pour produire les
multiples, en l'occurrence le négatif "original", sur le contrôle du
tirage par l'artiste, et sur la stricte limitation du nombre
d'exemplaires (sanctionnée parfois par une destruction du négatif,
comme on détruit la matrice d'une estampe ou le moule d'un bronze).
Le négatif "original" (ou la diapositive) étant ce que l'artiste a
produit avec son outil, l'appareil de prise de vue. L'original
numérique est à mon avis simplement ce que l'artiste produit avec son
APN :
- S'il produit un JPEG ou un TIFF, son outil est constitué de l'APN et
du logiciel embarqué par l'APN pour opérer le traitement du RAW. Cette
situation est analogue à celle des Polaroids : de nombreux artistes
ont produit des oeuvres uniques avec cet engin qui intégrait des
fonctions de prise de vue et des fonctions "chimiques" de
"développement". C'est même cette vertu de l'unicité des images qui a
poussé certains photographes à utiliser des Polaroids.
- S'il produit un RAW, c'est le fichier brut qui est l'original.
Quant au "tirage" il est analogue à celui de la photo argentique. On
peut "tirer" sur papier dix exemplaires d'un "original" numérique
avant de détruire l'original. Mais, bien entendu, il est plus
difficile de garantir au collectionneur que l'original est détruit.
Encore que des négatifs réputés "détruits" réapparaissent parfois
curieusement (!) sous la forme de tirages nouveaux qui font
s'effondrer la cote de certaines images, idem pour les bronzes...
La grande différence entre argentique et numérique est que, dans le
cas de la photographie numérique, l'original, qu'il soit RAW, TIFF ou
JPEG, peut être multiplié sans perte, ce qui n'est pas le cas du
négatif. On tombe ici sur le problème de la garantie d'unicité d'un
original électronique, question qui se pose aujourd'hui plutôt aux
plasticiens électroniques qu'aux photographes. Quand Nam June Paik
expose une oeuvre dans un grand musée, son oeuvre (unique et d'un
prix colossal) est vue sur un écran mais est portée par une bande
magnétique numérique (ou peut-être maintenant un CD...), qui est
copiable sans perte... On imagine les problèmes qui se poseraient aux
collectionneurs si un Matisse pouvait être ainsi multiplié sans
perte...
La grande différence entre argentique et numérique est que, dans le cas
de la photographie numérique, l'original, qu'il soit RAW, TIFF ou JPEG,
peut être multiplié sans perte, ce qui n'est pas le cas du négatif. On
tombe ici sur le problème de la garantie d'unicité d'un original
électronique, question qui se pose aujourd'hui plutôt aux plasticiens
électroniques qu'aux photographes.
La grande différence entre argentique et numérique est que, dans le cas
de la photographie numérique, l'original, qu'il soit RAW, TIFF ou JPEG,
peut être multiplié sans perte, ce qui n'est pas le cas du négatif. On
tombe ici sur le problème de la garantie d'unicité d'un original
électronique, question qui se pose aujourd'hui plutôt aux plasticiens
électroniques qu'aux photographes.
La grande différence entre argentique et numérique est que, dans le cas
de la photographie numérique, l'original, qu'il soit RAW, TIFF ou JPEG,
peut être multiplié sans perte, ce qui n'est pas le cas du négatif. On
tombe ici sur le problème de la garantie d'unicité d'un original
électronique, question qui se pose aujourd'hui plutôt aux plasticiens
électroniques qu'aux photographes.
c'est bien là qu'est le pb : l'unicité de l'original.
multiples, en l'occurrence le négatif "original", sur le contrôle du
tirage par l'artiste,
Encore que des négatifs réputés "détruits" réapparaissent parfois
curieusement (!) sous la forme de tirages nouveaux qui font
s'effondrer la cote de certaines images, idem pour les bronzes...
c'est bien là qu'est le pb : l'unicité de l'original.
multiples, en l'occurrence le négatif "original", sur le contrôle du
tirage par l'artiste,
Encore que des négatifs réputés "détruits" réapparaissent parfois
curieusement (!) sous la forme de tirages nouveaux qui font
s'effondrer la cote de certaines images, idem pour les bronzes...
c'est bien là qu'est le pb : l'unicité de l'original.
multiples, en l'occurrence le négatif "original", sur le contrôle du
tirage par l'artiste,
Encore que des négatifs réputés "détruits" réapparaissent parfois
curieusement (!) sous la forme de tirages nouveaux qui font
s'effondrer la cote de certaines images, idem pour les bronzes...
Les photographes peuvent être aussi des plasticiens électroniques : c'est un
peu de ce cas de figure que je parlais en me demandant mais pou est donc mon
original, dans le cas d'une image imaginée, où la photo n'est qu'un matériau
brut.
Les photographes peuvent être aussi des plasticiens électroniques : c'est un
peu de ce cas de figure que je parlais en me demandant mais pou est donc mon
original, dans le cas d'une image imaginée, où la photo n'est qu'un matériau
brut.
Les photographes peuvent être aussi des plasticiens électroniques : c'est un
peu de ce cas de figure que je parlais en me demandant mais pou est donc mon
original, dans le cas d'une image imaginée, où la photo n'est qu'un matériau
brut.
Ok, je vais taché de trouver ça.
Ok, je vais taché de trouver ça.
Ok, je vais taché de trouver ça.