Arf. Dire que j'ai essayé tous les liens de Google, tous les liens donnés plus bas sur la page, le lien marqué "Homepage" et que j'ai loupé celui marqué "Download".
C'est le seul qui fonctionne. Merci en tout cas :)
-- <Tsk> oiuyniyu98h987h89yh87y98yjn987j987y897yhkiuk;'''' <Tsk> sorry.. there was a spider on my keyboard.
Patrick Lamaizière s'est exprimé en ces termes:
? Euh le premier lien marqué "download" si.
Arf. Dire que j'ai essayé tous les liens de Google, tous les liens
donnés plus bas sur la page, le lien marqué "Homepage" et que j'ai
loupé celui marqué "Download".
C'est le seul qui fonctionne. Merci en tout cas :)
--
<Tsk> oiuyniyu98h987h89yh87y98yjn987j987y897yhkiuk;''''
<Tsk> sorry.. there was a spider on my keyboard.
Arf. Dire que j'ai essayé tous les liens de Google, tous les liens donnés plus bas sur la page, le lien marqué "Homepage" et que j'ai loupé celui marqué "Download".
C'est le seul qui fonctionne. Merci en tout cas :)
-- <Tsk> oiuyniyu98h987h89yh87y98yjn987j987y897yhkiuk;'''' <Tsk> sorry.. there was a spider on my keyboard.
billaud
Denis Beauregard writes:
Le 02 Jun 2005 18:04:08 +0200, écrivait dans fr.comp.os.linux.debats:
Parce que si vous avez des stats qui vous montrent qu'un programmeur travaille aussi vite sans ordinateur qu'avec, j'en veux aussi !
Euh, quand j'ai appris l'informatique (1975), on programmait sans ordinateur. On écrivait tout le code sur des cartes.
Dans les bras ! Moizaussi, jusqu'en 1980. Et on se les tapait sur les IBM29.
Chez nous, on avait tout de même un ordinateur rapide: le lecteur de cartes était dans la salle voisine. Mais une fois, un groupe d'étudiants (niveau classe terminale je dirais) avait visité notre installation universitaire et s'émerveillait devant la rapidité de notre ordinateur. En effet, ils devaient expédier les boîtes avec les cartes dans une autre ville pour avoir la sortie de l'ordinateur. Donc, c'est au moins possible de programmer sans ordinateur.
Quant à la vitesse, je pense que si on travaille dans ces conditions, on prend l'habitude d'écrire du code qui marche la première fois...
Peut-etre pas la premiere fois quand même, mais en quelques passages. A l'époque on avait droit à 3 ou 4 passages en batch par jour. L'alternative etait de faire la queue, jour et nuit, pour acceder à l'un des trois terminaux interactifs du batiment (pour une petite centaine d'utilisateurs). Dans ces conditions d'attente et d'énervement, ça allait effectivement plus vite (pour moi au moins) d'aller à la cafétéria avec mon listing sous le bras pour le relire, analyser calmement les erreurs, et préparer les corrections, en faisant bien sur tourner à la main pour vérifier que c'était plausible, sachant que de toutes façons il faudrait attendre 3 heures pour le prochain passage.
Evidemment, c'est ralant d'attendre 3 heures pour une virgule qui manque, d'un autre côté ça obligeait à diagnostiquer clairement les erreurs et se demander si on les avait pas commises plusieurs fois....
De nos jours (mode vieux con), les étudiants font des compilation-execution-modification à une vitese telle qu'ils ne sont pas capables de vous décrire la nature de l'erreur qu'ils viennent de tenter de corriger il y a 30 secondes. "J'ai changé un truc et on verra bien". Et ça, c'est vraiment pas efficace !
Michel
-- Michel BILLAUD LABRI-Université Bordeaux I tel 05 4000 6922 / 05 5684 5792 351, cours de la Libération http://www.labri.fr/~billaud 33405 Talence (FRANCE)
Denis Beauregard <no@nospam.com.invalid> writes:
Le 02 Jun 2005 18:04:08 +0200, billaud@labri.u-bordeaux.fr écrivait
dans fr.comp.os.linux.debats:
Parce que si vous avez des stats qui vous montrent qu'un programmeur
travaille aussi vite sans ordinateur qu'avec, j'en veux aussi !
Euh, quand j'ai appris l'informatique (1975), on programmait sans
ordinateur. On écrivait tout le code sur des cartes.
Dans les bras ! Moizaussi, jusqu'en 1980. Et on se les tapait sur les IBM29.
Chez nous, on
avait tout de même un ordinateur rapide: le lecteur de cartes était
dans la salle voisine. Mais une fois, un groupe d'étudiants (niveau
classe terminale je dirais) avait visité notre installation
universitaire et s'émerveillait devant la rapidité de notre
ordinateur. En effet, ils devaient expédier les boîtes avec les
cartes dans une autre ville pour avoir la sortie de l'ordinateur.
Donc, c'est au moins possible de programmer sans ordinateur.
Quant à la vitesse, je pense que si on travaille dans ces conditions,
on prend l'habitude d'écrire du code qui marche la première fois...
Peut-etre pas la premiere fois quand même, mais en quelques passages.
A l'époque on avait droit à 3 ou 4 passages en batch par
jour. L'alternative etait de faire la queue, jour et nuit, pour
acceder à l'un des trois terminaux interactifs du batiment (pour une
petite centaine d'utilisateurs). Dans ces conditions d'attente et
d'énervement, ça allait effectivement plus vite (pour moi au moins)
d'aller à la cafétéria avec mon listing sous le bras pour le relire,
analyser calmement les erreurs, et préparer les corrections, en faisant
bien sur tourner à la main pour vérifier que c'était plausible, sachant que
de toutes façons il faudrait attendre 3 heures pour le prochain passage.
Evidemment, c'est ralant d'attendre 3 heures pour une virgule qui
manque, d'un autre côté ça obligeait à diagnostiquer clairement les erreurs et
se demander si on les avait pas commises plusieurs fois....
De nos jours (mode vieux con), les étudiants font des
compilation-execution-modification à une vitese telle qu'ils ne sont pas
capables de vous décrire la nature de l'erreur qu'ils viennent de
tenter de corriger il y a 30 secondes. "J'ai changé un truc et on
verra bien". Et ça, c'est vraiment pas efficace !
Michel
--
Michel BILLAUD billaud@labri.fr
LABRI-Université Bordeaux I tel 05 4000 6922 / 05 5684 5792
351, cours de la Libération http://www.labri.fr/~billaud
33405 Talence (FRANCE)
Le 02 Jun 2005 18:04:08 +0200, écrivait dans fr.comp.os.linux.debats:
Parce que si vous avez des stats qui vous montrent qu'un programmeur travaille aussi vite sans ordinateur qu'avec, j'en veux aussi !
Euh, quand j'ai appris l'informatique (1975), on programmait sans ordinateur. On écrivait tout le code sur des cartes.
Dans les bras ! Moizaussi, jusqu'en 1980. Et on se les tapait sur les IBM29.
Chez nous, on avait tout de même un ordinateur rapide: le lecteur de cartes était dans la salle voisine. Mais une fois, un groupe d'étudiants (niveau classe terminale je dirais) avait visité notre installation universitaire et s'émerveillait devant la rapidité de notre ordinateur. En effet, ils devaient expédier les boîtes avec les cartes dans une autre ville pour avoir la sortie de l'ordinateur. Donc, c'est au moins possible de programmer sans ordinateur.
Quant à la vitesse, je pense que si on travaille dans ces conditions, on prend l'habitude d'écrire du code qui marche la première fois...
Peut-etre pas la premiere fois quand même, mais en quelques passages. A l'époque on avait droit à 3 ou 4 passages en batch par jour. L'alternative etait de faire la queue, jour et nuit, pour acceder à l'un des trois terminaux interactifs du batiment (pour une petite centaine d'utilisateurs). Dans ces conditions d'attente et d'énervement, ça allait effectivement plus vite (pour moi au moins) d'aller à la cafétéria avec mon listing sous le bras pour le relire, analyser calmement les erreurs, et préparer les corrections, en faisant bien sur tourner à la main pour vérifier que c'était plausible, sachant que de toutes façons il faudrait attendre 3 heures pour le prochain passage.
Evidemment, c'est ralant d'attendre 3 heures pour une virgule qui manque, d'un autre côté ça obligeait à diagnostiquer clairement les erreurs et se demander si on les avait pas commises plusieurs fois....
De nos jours (mode vieux con), les étudiants font des compilation-execution-modification à une vitese telle qu'ils ne sont pas capables de vous décrire la nature de l'erreur qu'ils viennent de tenter de corriger il y a 30 secondes. "J'ai changé un truc et on verra bien". Et ça, c'est vraiment pas efficace !
Michel
-- Michel BILLAUD LABRI-Université Bordeaux I tel 05 4000 6922 / 05 5684 5792 351, cours de la Libération http://www.labri.fr/~billaud 33405 Talence (FRANCE)
billaud
Emmanuel Florac writes:
Le Thu, 02 Jun 2005 18:08:19 +0200, billaud a écrit :
Un peu mon neveu. On évite de redévelopper ce qui est récupérable.
Et même quand on ne récupère pas directement, la possibilité de se référer (de lire, de tester, de jouer avec) à du code de grande qualité facilement disponible est inestimable. Il faut se rappeler qu'il n'y a pas si longtemps on commençait à programmer sans quasiment avoir jamais vu du "vrai" code (du bon code de production fait pas de bons programmeurs) mais seulement les exemples qui sont dans les bouquins, qui ne sont pas des applications complètes et qui sont en général nettement défectueux.
Comment, les exemples fournis par les profs d'informatique ne sont pas bien ? :-)
Bref aujourd'hui on peut parfaitement apprendre à bien programmer tout seul ou presque, avec les sources libres, les docs libres et les newsgroups et forums.
Le problème est d'avoir les critères pour trier
MB
-- Michel BILLAUD LABRI-Université Bordeaux I tel 05 4000 6922 / 05 5684 5792 351, cours de la Libération http://www.labri.fr/~billaud 33405 Talence (FRANCE)
Emmanuel Florac <eflorac@imaginet.fr> writes:
Le Thu, 02 Jun 2005 18:08:19 +0200, billaud a écrit :
Un peu mon neveu. On évite de redévelopper ce qui est récupérable.
Et même quand on ne récupère pas directement, la possibilité de se
référer (de lire, de tester, de jouer avec) à du code de grande
qualité facilement disponible est inestimable.
Il faut se rappeler qu'il n'y a pas si longtemps on commençait à
programmer sans quasiment avoir jamais vu du "vrai" code (du bon code de
production fait pas de bons programmeurs) mais seulement les exemples qui
sont dans les bouquins, qui ne sont pas des applications complètes et qui
sont en général nettement défectueux.
Comment, les exemples fournis par les profs d'informatique ne sont pas bien ? :-)
Bref aujourd'hui on peut parfaitement apprendre à bien programmer tout
seul ou presque, avec les sources libres, les docs libres et les
newsgroups et forums.
Le problème est d'avoir les critères pour trier
MB
--
Michel BILLAUD billaud@labri.fr
LABRI-Université Bordeaux I tel 05 4000 6922 / 05 5684 5792
351, cours de la Libération http://www.labri.fr/~billaud
33405 Talence (FRANCE)
Le Thu, 02 Jun 2005 18:08:19 +0200, billaud a écrit :
Un peu mon neveu. On évite de redévelopper ce qui est récupérable.
Et même quand on ne récupère pas directement, la possibilité de se référer (de lire, de tester, de jouer avec) à du code de grande qualité facilement disponible est inestimable. Il faut se rappeler qu'il n'y a pas si longtemps on commençait à programmer sans quasiment avoir jamais vu du "vrai" code (du bon code de production fait pas de bons programmeurs) mais seulement les exemples qui sont dans les bouquins, qui ne sont pas des applications complètes et qui sont en général nettement défectueux.
Comment, les exemples fournis par les profs d'informatique ne sont pas bien ? :-)
Bref aujourd'hui on peut parfaitement apprendre à bien programmer tout seul ou presque, avec les sources libres, les docs libres et les newsgroups et forums.
Le problème est d'avoir les critères pour trier
MB
-- Michel BILLAUD LABRI-Université Bordeaux I tel 05 4000 6922 / 05 5684 5792 351, cours de la Libération http://www.labri.fr/~billaud 33405 Talence (FRANCE)
billaud
Patrick Lamaizière writes:
Emmanuel Florac écrivait
Bref aujourd'hui on peut parfaitement apprendre à bien programmer tout seul ou presque, avec les sources libres, les docs libres et les newsgroups et forums.
C'est vrai qu'à ce niveau l'internette est une mine d'or.
Pour trouver les pépites il faut quand même chercher.
MB -- Michel BILLAUD LABRI-Université Bordeaux I tel 05 4000 6922 / 05 5684 5792 351, cours de la Libération http://www.labri.fr/~billaud 33405 Talence (FRANCE)
Patrick Lamaizière <adresse@est.invalid> writes:
Emmanuel Florac écrivait
Bref aujourd'hui on peut parfaitement apprendre à bien programmer tout
seul ou presque, avec les sources libres, les docs libres et les
newsgroups et forums.
C'est vrai qu'à ce niveau l'internette est une mine d'or.
Pour trouver les pépites il faut quand même chercher.
MB
--
Michel BILLAUD billaud@labri.fr
LABRI-Université Bordeaux I tel 05 4000 6922 / 05 5684 5792
351, cours de la Libération http://www.labri.fr/~billaud
33405 Talence (FRANCE)
Bref aujourd'hui on peut parfaitement apprendre à bien programmer tout seul ou presque, avec les sources libres, les docs libres et les newsgroups et forums.
C'est vrai qu'à ce niveau l'internette est une mine d'or.
Pour trouver les pépites il faut quand même chercher.
MB -- Michel BILLAUD LABRI-Université Bordeaux I tel 05 4000 6922 / 05 5684 5792 351, cours de la Libération http://www.labri.fr/~billaud 33405 Talence (FRANCE)
Khanh-Dang
dans le fond, Linux et Java ont la liberté comme point commun : de choix pour linux, de choix du système sur lequel ont développe pour Java.
Oui, bien sûr. Et l'oiseau est libre parce qu'il peut gambader librement dans la toisième dimension, là où l'homme est naturellement lié au sol.
au lieu d'utiliser de jolies paraboles, essaies d'argumenter réellement.
Je dis juste que tu confonds liberté et liberté.
dans le fond, Linux et Java ont la
liberté comme point commun : de choix pour linux, de choix du système
sur lequel ont développe pour Java.
Oui, bien sûr. Et l'oiseau est libre parce qu'il peut gambader librement
dans la toisième dimension, là où l'homme est naturellement lié au sol.
au lieu d'utiliser de jolies paraboles, essaies d'argumenter réellement.
Perl: langage de script très puissant (itératif) Ocaml: langage fonctionnel (et objet)
et langage de script très puissant. et itératif aussi et fortement typé surtout
Java: langage objet
Est-ce vraiment une qualité ?
-- Joe Cool
jul
Le Fri, 03 Jun 2005 12:18:02 +0200, Joe Cool a écrit :
Perl: langage de script très puissant (itératif) Ocaml: langage fonctionnel (et objet)
et langage de script très puissant. et itératif aussi et fortement typé surtout
OCaml c'est un peu comme l'esperanto qui est parfait, mais qui rime à
rien : ce qui fait la force d'une langue (ou d'un langage informatique) c'est pas sa qualité intrinsèque, même si cela aide, mais d'être parler et de porter une culture. Bref, une langue pour être intéressante, a besoin d'être vivante.
Ce qui fait la force de perl, c'est les perl mongers et le cpan : une culture sociale (et non apportée par la contrainte technique) de programmer d'une certaine manière (objet notamment). Ce qui importe ce n'est pas d'avoir les mécanismes objets dans un langages, mais de programmer par objet.
Il est aussi stérile de regarder les qualités intrinsèque d'un langage, que de s'attacher à une langue en ignorant la culture : mars le glorieux dieu de la guerre des latins, n'a aucun rapport avec le pathétique Arès dieu de la guerre des grecs, pourtant on parle bien du dieu de la guerre dans deux panthéon bijectifs. La force des grands langage (le basic, le C, le perl, les RP(N|L) ) est et a été de porter une culture que l'on aime ou pas. Les langages comme VHDL, Postscript, OCaml, NOMAD et autres joyeusetés ont ils suffisamment de locuteurs humains pour être porteurs d'une culture ?
-- "Do you cheat on your wife?" asked the psychiatrist. "Who else?" answered the patient.
Le Fri, 03 Jun 2005 12:18:02 +0200, Joe Cool a écrit :
Perl: langage de script très puissant (itératif)
Ocaml: langage fonctionnel (et objet)
et langage de script très puissant.
et itératif aussi
et fortement typé surtout
OCaml c'est un peu comme l'esperanto qui est parfait, mais qui rime à
rien : ce qui fait la force d'une langue (ou d'un langage informatique)
c'est pas sa qualité intrinsèque, même si cela aide, mais d'être
parler et de porter une culture. Bref, une langue pour être
intéressante, a besoin d'être vivante.
Ce qui fait la force de perl, c'est les perl mongers et le cpan : une
culture sociale (et non apportée par la contrainte technique) de
programmer d'une certaine manière (objet notamment). Ce qui importe ce
n'est pas d'avoir les mécanismes objets dans un langages, mais de
programmer par objet.
Il est aussi stérile de regarder les qualités intrinsèque d'un langage,
que de s'attacher à une langue en ignorant la culture :
mars le glorieux dieu de la guerre des latins, n'a aucun rapport avec le
pathétique Arès dieu de la guerre des grecs, pourtant on parle bien du
dieu de la guerre dans deux panthéon bijectifs. La force des grands
langage (le basic, le C, le perl, les RP(N|L) ) est et a été de porter
une culture que l'on aime ou pas. Les langages comme VHDL, Postscript,
OCaml, NOMAD et autres joyeusetés ont ils suffisamment de locuteurs
humains pour être porteurs d'une culture ?
--
"Do you cheat on your wife?" asked the psychiatrist.
"Who else?" answered the patient.
Le Fri, 03 Jun 2005 12:18:02 +0200, Joe Cool a écrit :
Perl: langage de script très puissant (itératif) Ocaml: langage fonctionnel (et objet)
et langage de script très puissant. et itératif aussi et fortement typé surtout
OCaml c'est un peu comme l'esperanto qui est parfait, mais qui rime à
rien : ce qui fait la force d'une langue (ou d'un langage informatique) c'est pas sa qualité intrinsèque, même si cela aide, mais d'être parler et de porter une culture. Bref, une langue pour être intéressante, a besoin d'être vivante.
Ce qui fait la force de perl, c'est les perl mongers et le cpan : une culture sociale (et non apportée par la contrainte technique) de programmer d'une certaine manière (objet notamment). Ce qui importe ce n'est pas d'avoir les mécanismes objets dans un langages, mais de programmer par objet.
Il est aussi stérile de regarder les qualités intrinsèque d'un langage, que de s'attacher à une langue en ignorant la culture : mars le glorieux dieu de la guerre des latins, n'a aucun rapport avec le pathétique Arès dieu de la guerre des grecs, pourtant on parle bien du dieu de la guerre dans deux panthéon bijectifs. La force des grands langage (le basic, le C, le perl, les RP(N|L) ) est et a été de porter une culture que l'on aime ou pas. Les langages comme VHDL, Postscript, OCaml, NOMAD et autres joyeusetés ont ils suffisamment de locuteurs humains pour être porteurs d'une culture ?
-- "Do you cheat on your wife?" asked the psychiatrist. "Who else?" answered the patient.
Nicolas George
S?bastien BALLET, dans le message , a écrit :
tout dépend de l'intérêt que celui-ci sucite. S'il existe une communauté d'utilisateur substantiel, le dit logiciel pourra être repris par une autre entreprise.
Seulement si les titulaires des droits donnent leur autorisation, justement.
Tout dépends de la qualité du logiciel, est-il bien écrit, bien documenté ??
Pour ça, les logiciels libres et propriétaires sont au pire à égalité. Je dis au pire, car il y a pour les logiciels libres la pression de la revue par les pairs qui tend à améliorer les choses.
S?bastien BALLET, dans le message
<659dc97a.0506030005.6525cd2c@posting.google.com>, a écrit :
tout dépend de l'intérêt que celui-ci sucite. S'il existe une
communauté d'utilisateur substantiel, le dit logiciel pourra être
repris par une autre entreprise.
Seulement si les titulaires des droits donnent leur autorisation, justement.
Tout dépends de la qualité du logiciel, est-il bien écrit, bien
documenté ??
Pour ça, les logiciels libres et propriétaires sont au pire à égalité. Je
dis au pire, car il y a pour les logiciels libres la pression de la revue
par les pairs qui tend à améliorer les choses.
tout dépend de l'intérêt que celui-ci sucite. S'il existe une communauté d'utilisateur substantiel, le dit logiciel pourra être repris par une autre entreprise.
Seulement si les titulaires des droits donnent leur autorisation, justement.
Tout dépends de la qualité du logiciel, est-il bien écrit, bien documenté ??
Pour ça, les logiciels libres et propriétaires sont au pire à égalité. Je dis au pire, car il y a pour les logiciels libres la pression de la revue par les pairs qui tend à améliorer les choses.
Sébastien BALLET
"Nicolas George" <nicolas$ a écrit dans le message de news: d7pfh1$ki2$
S?bastien BALLET, dans le message
tout dépend de l'intérêt que celui-ci sucite. S'il existe une communauté d'utilisateur substantiel, le dit logiciel pourra être repris par une autre entreprise.
Seulement si les titulaires des droits donnent leur autorisation, justement.
qui dit communauté d'utilisateur substantiel, dit obligatoirement enjeux financier et il m'étonnerait très fort que le(s) titulaire(s) des droit(s) de tels logiciels ne donnent pas leur autorisation moyennant finance.
Tout dépends de la qualité du logiciel, est-il bien écrit, bien documenté ??
Pour ça, les logiciels libres et propriétaires sont au pire à égalité.
difficile de juger si un logiciel propriétaire est bien écrit/documenté étant donné que l'on a pas, sauf cas exceptionnel comme java par exemple, les sources. Et dans le cadre de ce dernier le source est très bien documenté.
"Nicolas George" <nicolas$george@salle-s.org> a écrit dans le message de
news: d7pfh1$ki2$1@nef.ens.fr...
S?bastien BALLET, dans le message
tout dépend de l'intérêt que celui-ci sucite. S'il existe une
communauté d'utilisateur substantiel, le dit logiciel pourra être
repris par une autre entreprise.
Seulement si les titulaires des droits donnent leur autorisation,
justement.
qui dit communauté d'utilisateur substantiel, dit obligatoirement enjeux
financier et il m'étonnerait très fort que
le(s) titulaire(s) des droit(s) de tels logiciels ne donnent pas leur
autorisation moyennant finance.
Tout dépends de la qualité du logiciel, est-il bien écrit, bien
documenté ??
Pour ça, les logiciels libres et propriétaires sont au pire à égalité.
difficile de juger si un logiciel propriétaire est bien écrit/documenté
étant donné que l'on a pas, sauf cas exceptionnel comme java par exemple,
les sources. Et dans le cadre de ce dernier le source est très bien
documenté.
"Nicolas George" <nicolas$ a écrit dans le message de news: d7pfh1$ki2$
S?bastien BALLET, dans le message
tout dépend de l'intérêt que celui-ci sucite. S'il existe une communauté d'utilisateur substantiel, le dit logiciel pourra être repris par une autre entreprise.
Seulement si les titulaires des droits donnent leur autorisation, justement.
qui dit communauté d'utilisateur substantiel, dit obligatoirement enjeux financier et il m'étonnerait très fort que le(s) titulaire(s) des droit(s) de tels logiciels ne donnent pas leur autorisation moyennant finance.
Tout dépends de la qualité du logiciel, est-il bien écrit, bien documenté ??
Pour ça, les logiciels libres et propriétaires sont au pire à égalité.
difficile de juger si un logiciel propriétaire est bien écrit/documenté étant donné que l'on a pas, sauf cas exceptionnel comme java par exemple, les sources. Et dans le cadre de ce dernier le source est très bien documenté.
Sébastien BALLET
"Khanh-Dang" a écrit dans le message de news: 42a0283d$0$25053$
dans le fond, Linux et Java ont la liberté comme point commun : de choix pour linux, de choix du système sur lequel ont développe pour Java.
Oui, bien sûr. Et l'oiseau est libre parce qu'il peut gambader librement dans la toisième dimension, là où l'homme est naturellement lié au sol.
au lieu d'utiliser de jolies paraboles, essaies d'argumenter réellement.
Je dis juste que tu confonds liberté et liberté.
Je pense que c'est plutôt toi qui a une vision plutôt utopiste du monde et que tu manques cruellement de pragmatisme.
"Khanh-Dang" <kd@fr.invalid> a écrit dans le message de news:
42a0283d$0$25053$8fcfb975@news.wanadoo.fr...
dans le fond, Linux et Java ont la
liberté comme point commun : de choix pour linux, de choix du système
sur lequel ont développe pour Java.
Oui, bien sûr. Et l'oiseau est libre parce qu'il peut gambader librement
dans la toisième dimension, là où l'homme est naturellement lié au sol.
au lieu d'utiliser de jolies paraboles, essaies d'argumenter réellement.
Je dis juste que tu confonds liberté et liberté.
Je pense que c'est plutôt toi qui a une vision plutôt utopiste du monde et
que tu manques cruellement de pragmatisme.