"Patrice Karatchentzeff" a écrit dans le
message de news:"pehache-tolai" a écrit :
[...]En d'autres termes, supprimer l'école obligatoire jusqu'à 16
ans...
Ça tombe bien : ça n'existe pas.
Oui, ça va, on sait, c'est l'instruction qui est obligatoire jusqu'à
16 ans, pas l'école. Ce qui est un détail sans importance dans le
contexte de ma remarque. Monsieur est content d'avoir étalé sa
science ?
"Patrice Karatchentzeff" <p.karatchentzeff@free.fr> a écrit dans le
message de news: 87eihwhvi1.fsf@belledonne.chartreuse.fr
"pehache-tolai" <pehache.7@gmail.com> a écrit :
[...]
En d'autres termes, supprimer l'école obligatoire jusqu'à 16
ans...
Ça tombe bien : ça n'existe pas.
Oui, ça va, on sait, c'est l'instruction qui est obligatoire jusqu'à
16 ans, pas l'école. Ce qui est un détail sans importance dans le
contexte de ma remarque. Monsieur est content d'avoir étalé sa
science ?
"Patrice Karatchentzeff" a écrit dans le
message de news:"pehache-tolai" a écrit :
[...]En d'autres termes, supprimer l'école obligatoire jusqu'à 16
ans...
Ça tombe bien : ça n'existe pas.
Oui, ça va, on sait, c'est l'instruction qui est obligatoire jusqu'à
16 ans, pas l'école. Ce qui est un détail sans importance dans le
contexte de ma remarque. Monsieur est content d'avoir étalé sa
science ?
Dans ce cas, tu ne peux pas le prendre comme exemple pour la liberté de
penser.
Et ta population, elle est faite de quoi ?
D'individus. Mais ta propagande, tu ne peux pas être sûr qu'elle marchera
sur un individu précis.
La doctrine libérale est de protéger au maximum les libertés individuelles,
c'est de ça qu'elle tire son nom. Mais ce qui n'est pas précisé dans le nom,
c'est comment est définie cette liberté individuelle, et surtout où elle
s'arrête pour chaque individu : elle est définie comme le droit de faire ce
qu'on veut _avec ce qui nous appartient_.
Mais surtout : une rue qui appartient à tout le monde, l'État (ou les
mini-États locaux, peu importe) doit l'entretenir. Pour l'entretenir, il a
besoin d'argent, qu'il obtient en levant l'impôt, donc en le prenant
obligatoirement aux citoyens. Or dans la doctrine libérale, c'est une
privation de leur liberté.
Il en découle que la doctrine libérale n'aime pas les choses qui
appartiennent à tout le monde. Si un état devient libéral, il va vendre ses
rues au plus offrant, de sorte que l'entretien en incombe à ceux qui le
veulent.
Dans ce cas, tu ne peux pas le prendre comme exemple pour la liberté de
penser.
Et ta population, elle est faite de quoi ?
D'individus. Mais ta propagande, tu ne peux pas être sûr qu'elle marchera
sur un individu précis.
La doctrine libérale est de protéger au maximum les libertés individuelles,
c'est de ça qu'elle tire son nom. Mais ce qui n'est pas précisé dans le nom,
c'est comment est définie cette liberté individuelle, et surtout où elle
s'arrête pour chaque individu : elle est définie comme le droit de faire ce
qu'on veut _avec ce qui nous appartient_.
Mais surtout : une rue qui appartient à tout le monde, l'État (ou les
mini-États locaux, peu importe) doit l'entretenir. Pour l'entretenir, il a
besoin d'argent, qu'il obtient en levant l'impôt, donc en le prenant
obligatoirement aux citoyens. Or dans la doctrine libérale, c'est une
privation de leur liberté.
Il en découle que la doctrine libérale n'aime pas les choses qui
appartiennent à tout le monde. Si un état devient libéral, il va vendre ses
rues au plus offrant, de sorte que l'entretien en incombe à ceux qui le
veulent.
Dans ce cas, tu ne peux pas le prendre comme exemple pour la liberté de
penser.
Et ta population, elle est faite de quoi ?
D'individus. Mais ta propagande, tu ne peux pas être sûr qu'elle marchera
sur un individu précis.
La doctrine libérale est de protéger au maximum les libertés individuelles,
c'est de ça qu'elle tire son nom. Mais ce qui n'est pas précisé dans le nom,
c'est comment est définie cette liberté individuelle, et surtout où elle
s'arrête pour chaque individu : elle est définie comme le droit de faire ce
qu'on veut _avec ce qui nous appartient_.
Mais surtout : une rue qui appartient à tout le monde, l'État (ou les
mini-États locaux, peu importe) doit l'entretenir. Pour l'entretenir, il a
besoin d'argent, qu'il obtient en levant l'impôt, donc en le prenant
obligatoirement aux citoyens. Or dans la doctrine libérale, c'est une
privation de leur liberté.
Il en découle que la doctrine libérale n'aime pas les choses qui
appartiennent à tout le monde. Si un état devient libéral, il va vendre ses
rues au plus offrant, de sorte que l'entretien en incombe à ceux qui le
veulent.
Les Chinois ont mis en place la politique de l'enfant unique.
Oui mais pas les autres. Pour les chinois le problème est à peu près
réglé, ils pensent même relâcher les limitations maintenant.
Les Chinois ont mis en place la politique de l'enfant unique.
Oui mais pas les autres. Pour les chinois le problème est à peu près
réglé, ils pensent même relâcher les limitations maintenant.
Les Chinois ont mis en place la politique de l'enfant unique.
Oui mais pas les autres. Pour les chinois le problème est à peu près
réglé, ils pensent même relâcher les limitations maintenant.
D'abord, c'est toi qui l'a cite en exemple. Ensuite, si tu peux le citer
en exemple car cela demontre que la liberte de penser est lie a la
liberte d'action.
C'est a dire qu'il n'y a pas de liberte de pense si on interdit la mise en
application ou la communication de ces pensees.
La liberte est clairement definie par les liberaux comme la frontiere
entre ce que peuvent faire tous les individus. Bref, elle commence la ou
s'arrete celle des autres. Tu es libre de faire ce que tu veux tant que
tu ne prives personne de la meme liberte.
Sources ? je n'ai jamais lu nul part que la doctrine liberale s'opposait
aux impots.
Que tu es incapable de citer la moindre source serieuse
D'abord, c'est toi qui l'a cite en exemple. Ensuite, si tu peux le citer
en exemple car cela demontre que la liberte de penser est lie a la
liberte d'action.
C'est a dire qu'il n'y a pas de liberte de pense si on interdit la mise en
application ou la communication de ces pensees.
La liberte est clairement definie par les liberaux comme la frontiere
entre ce que peuvent faire tous les individus. Bref, elle commence la ou
s'arrete celle des autres. Tu es libre de faire ce que tu veux tant que
tu ne prives personne de la meme liberte.
Sources ? je n'ai jamais lu nul part que la doctrine liberale s'opposait
aux impots.
Que tu es incapable de citer la moindre source serieuse
D'abord, c'est toi qui l'a cite en exemple. Ensuite, si tu peux le citer
en exemple car cela demontre que la liberte de penser est lie a la
liberte d'action.
C'est a dire qu'il n'y a pas de liberte de pense si on interdit la mise en
application ou la communication de ces pensees.
La liberte est clairement definie par les liberaux comme la frontiere
entre ce que peuvent faire tous les individus. Bref, elle commence la ou
s'arrete celle des autres. Tu es libre de faire ce que tu veux tant que
tu ne prives personne de la meme liberte.
Sources ? je n'ai jamais lu nul part que la doctrine liberale s'opposait
aux impots.
Que tu es incapable de citer la moindre source serieuse
D'abord, c'est toi qui l'a cite en exemple. Ensuite, si tu peux le citer
en exemple car cela demontre que la liberte de penser est lie a la
liberte d'action.
C'est a dire qu'il n'y a pas de liberte de pense si on interdit la mise en
application ou la communication de ces pensees.
C'est une question de vocabulaire qui n'a guère d'importance pour le débat
en cours.
Manifestement, tu as raté le message où j'expliquais pourquoi cet aphorisme
ne suffit pas à caractériser la liberté. Prenons l'exemple bateau : une
pomme. Si je mange une pomme, je prive tous les autres de la liberté de la
manger. Même chose si je m'assois sur un siège : personne d'autre ne peut
s'y asseoir en même temps que moi. Toutes les actions non-triviales cachent,
à un degré ou à un autre, une exclusion de ce genre.
La réponse de la doctrine libérale est précisément la propriété privée :
j'ai le droit de manger la pomme si la pomme m'appartient ; j'ai le droit de
m'asseoir sur la chaise si la chaise m'appartient (ou si son propriétaire
m'y a autorisé). Et si elles ne m'appartiennent pas, je n'ai pas le droit.
Sources ? je n'ai jamais lu nul part que la doctrine liberale s'opposait
aux impots.
Les impôts sont une privation de liberté : celle de faire ce qu'on veut avec
son argent.
D'abord, c'est toi qui l'a cite en exemple. Ensuite, si tu peux le citer
en exemple car cela demontre que la liberte de penser est lie a la
liberte d'action.
C'est a dire qu'il n'y a pas de liberte de pense si on interdit la mise en
application ou la communication de ces pensees.
C'est une question de vocabulaire qui n'a guère d'importance pour le débat
en cours.
Manifestement, tu as raté le message où j'expliquais pourquoi cet aphorisme
ne suffit pas à caractériser la liberté. Prenons l'exemple bateau : une
pomme. Si je mange une pomme, je prive tous les autres de la liberté de la
manger. Même chose si je m'assois sur un siège : personne d'autre ne peut
s'y asseoir en même temps que moi. Toutes les actions non-triviales cachent,
à un degré ou à un autre, une exclusion de ce genre.
La réponse de la doctrine libérale est précisément la propriété privée :
j'ai le droit de manger la pomme si la pomme m'appartient ; j'ai le droit de
m'asseoir sur la chaise si la chaise m'appartient (ou si son propriétaire
m'y a autorisé). Et si elles ne m'appartiennent pas, je n'ai pas le droit.
Sources ? je n'ai jamais lu nul part que la doctrine liberale s'opposait
aux impots.
Les impôts sont une privation de liberté : celle de faire ce qu'on veut avec
son argent.
D'abord, c'est toi qui l'a cite en exemple. Ensuite, si tu peux le citer
en exemple car cela demontre que la liberte de penser est lie a la
liberte d'action.
C'est a dire qu'il n'y a pas de liberte de pense si on interdit la mise en
application ou la communication de ces pensees.
C'est une question de vocabulaire qui n'a guère d'importance pour le débat
en cours.
Manifestement, tu as raté le message où j'expliquais pourquoi cet aphorisme
ne suffit pas à caractériser la liberté. Prenons l'exemple bateau : une
pomme. Si je mange une pomme, je prive tous les autres de la liberté de la
manger. Même chose si je m'assois sur un siège : personne d'autre ne peut
s'y asseoir en même temps que moi. Toutes les actions non-triviales cachent,
à un degré ou à un autre, une exclusion de ce genre.
La réponse de la doctrine libérale est précisément la propriété privée :
j'ai le droit de manger la pomme si la pomme m'appartient ; j'ai le droit de
m'asseoir sur la chaise si la chaise m'appartient (ou si son propriétaire
m'y a autorisé). Et si elles ne m'appartiennent pas, je n'ai pas le droit.
Sources ? je n'ai jamais lu nul part que la doctrine liberale s'opposait
aux impots.
Les impôts sont une privation de liberté : celle de faire ce qu'on veut avec
son argent.
D'abord, c'est toi qui l'a cite en exemple. Ensuite, si tu peux le citer
en exemple car cela demontre que la liberte de penser est lie a la
liberte d'action.
C'est a dire qu'il n'y a pas de liberte de pense si on interdit la mise en
application ou la communication de ces pensees.
C'est une question de vocabulaire qui n'a guère d'importance pour le débat
en cours.
Manifestement, tu as raté le message où j'expliquais pourquoi cet aphorisme
ne suffit pas à caractériser la liberté. Prenons l'exemple bateau : une
pomme. Si je mange une pomme, je prive tous les autres de la liberté de la
manger. Même chose si je m'assois sur un siège : personne d'autre ne peut
s'y asseoir en même temps que moi. Toutes les actions non-triviales cachent,
à un degré ou à un autre, une exclusion de ce genre.
La réponse de la doctrine libérale est précisément la propriété privée :
j'ai le droit de manger la pomme si la pomme m'appartient ; j'ai le droit de
m'asseoir sur la chaise si la chaise m'appartient (ou si son propriétaire
m'y a autorisé). Et si elles ne m'appartiennent pas, je n'ai pas le droit.
Sources ? je n'ai jamais lu nul part que la doctrine liberale s'opposait
aux impots.
Les impôts sont une privation de liberté : celle de faire ce qu'on veut avec
son argent.
D'abord, c'est toi qui l'a cite en exemple. Ensuite, si tu peux le citer
en exemple car cela demontre que la liberte de penser est lie a la
liberte d'action.
C'est a dire qu'il n'y a pas de liberte de pense si on interdit la mise en
application ou la communication de ces pensees.
C'est une question de vocabulaire qui n'a guère d'importance pour le débat
en cours.
Manifestement, tu as raté le message où j'expliquais pourquoi cet aphorisme
ne suffit pas à caractériser la liberté. Prenons l'exemple bateau : une
pomme. Si je mange une pomme, je prive tous les autres de la liberté de la
manger. Même chose si je m'assois sur un siège : personne d'autre ne peut
s'y asseoir en même temps que moi. Toutes les actions non-triviales cachent,
à un degré ou à un autre, une exclusion de ce genre.
La réponse de la doctrine libérale est précisément la propriété privée :
j'ai le droit de manger la pomme si la pomme m'appartient ; j'ai le droit de
m'asseoir sur la chaise si la chaise m'appartient (ou si son propriétaire
m'y a autorisé). Et si elles ne m'appartiennent pas, je n'ai pas le droit.
Sources ? je n'ai jamais lu nul part que la doctrine liberale s'opposait
aux impots.
Les impôts sont une privation de liberté : celle de faire ce qu'on veut avec
son argent.
D'abord, c'est toi qui l'a cite en exemple. Ensuite, si tu peux le citer
en exemple car cela demontre que la liberte de penser est lie a la
liberte d'action.
C'est a dire qu'il n'y a pas de liberte de pense si on interdit la mise en
application ou la communication de ces pensees.
C'est une question de vocabulaire qui n'a guère d'importance pour le débat
en cours.
Manifestement, tu as raté le message où j'expliquais pourquoi cet aphorisme
ne suffit pas à caractériser la liberté. Prenons l'exemple bateau : une
pomme. Si je mange une pomme, je prive tous les autres de la liberté de la
manger. Même chose si je m'assois sur un siège : personne d'autre ne peut
s'y asseoir en même temps que moi. Toutes les actions non-triviales cachent,
à un degré ou à un autre, une exclusion de ce genre.
La réponse de la doctrine libérale est précisément la propriété privée :
j'ai le droit de manger la pomme si la pomme m'appartient ; j'ai le droit de
m'asseoir sur la chaise si la chaise m'appartient (ou si son propriétaire
m'y a autorisé). Et si elles ne m'appartiennent pas, je n'ai pas le droit.
Sources ? je n'ai jamais lu nul part que la doctrine liberale s'opposait
aux impots.
Les impôts sont une privation de liberté : celle de faire ce qu'on veut avec
son argent.
D'abord, c'est toi qui l'a cite en exemple. Ensuite, si tu peux le citer
en exemple car cela demontre que la liberte de penser est lie a la
liberte d'action.
C'est a dire qu'il n'y a pas de liberte de pense si on interdit la mise en
application ou la communication de ces pensees.
C'est une question de vocabulaire qui n'a guère d'importance pour le débat
en cours.
Manifestement, tu as raté le message où j'expliquais pourquoi cet aphorisme
ne suffit pas à caractériser la liberté. Prenons l'exemple bateau : une
pomme. Si je mange une pomme, je prive tous les autres de la liberté de la
manger. Même chose si je m'assois sur un siège : personne d'autre ne peut
s'y asseoir en même temps que moi. Toutes les actions non-triviales cachent,
à un degré ou à un autre, une exclusion de ce genre.
La réponse de la doctrine libérale est précisément la propriété privée :
j'ai le droit de manger la pomme si la pomme m'appartient ; j'ai le droit de
m'asseoir sur la chaise si la chaise m'appartient (ou si son propriétaire
m'y a autorisé). Et si elles ne m'appartiennent pas, je n'ai pas le droit.
Sources ? je n'ai jamais lu nul part que la doctrine liberale s'opposait
aux impots.
Les impôts sont une privation de liberté : celle de faire ce qu'on veut avec
son argent.
D'abord, c'est toi qui l'a cite en exemple. Ensuite, si tu peux le citer
en exemple car cela demontre que la liberte de penser est lie a la
liberte d'action.
C'est a dire qu'il n'y a pas de liberte de pense si on interdit la mise en
application ou la communication de ces pensees.
C'est une question de vocabulaire qui n'a guère d'importance pour le débat
en cours.
Manifestement, tu as raté le message où j'expliquais pourquoi cet aphorisme
ne suffit pas à caractériser la liberté. Prenons l'exemple bateau : une
pomme. Si je mange une pomme, je prive tous les autres de la liberté de la
manger. Même chose si je m'assois sur un siège : personne d'autre ne peut
s'y asseoir en même temps que moi. Toutes les actions non-triviales cachent,
à un degré ou à un autre, une exclusion de ce genre.
La réponse de la doctrine libérale est précisément la propriété privée :
j'ai le droit de manger la pomme si la pomme m'appartient ; j'ai le droit de
m'asseoir sur la chaise si la chaise m'appartient (ou si son propriétaire
m'y a autorisé). Et si elles ne m'appartiennent pas, je n'ai pas le droit.
Sources ? je n'ai jamais lu nul part que la doctrine liberale s'opposait
aux impots.
Les impôts sont une privation de liberté : celle de faire ce qu'on veut avec
son argent.
D'abord, c'est toi qui l'a cite en exemple. Ensuite, si tu peux le citer
en exemple car cela demontre que la liberte de penser est lie a la
liberte d'action.
C'est a dire qu'il n'y a pas de liberte de pense si on interdit la mise en
application ou la communication de ces pensees.
C'est une question de vocabulaire qui n'a guère d'importance pour le débat
en cours.
Manifestement, tu as raté le message où j'expliquais pourquoi cet aphorisme
ne suffit pas à caractériser la liberté. Prenons l'exemple bateau : une
pomme. Si je mange une pomme, je prive tous les autres de la liberté de la
manger. Même chose si je m'assois sur un siège : personne d'autre ne peut
s'y asseoir en même temps que moi. Toutes les actions non-triviales cachent,
à un degré ou à un autre, une exclusion de ce genre.
La réponse de la doctrine libérale est précisément la propriété privée :
j'ai le droit de manger la pomme si la pomme m'appartient ; j'ai le droit de
m'asseoir sur la chaise si la chaise m'appartient (ou si son propriétaire
m'y a autorisé). Et si elles ne m'appartiennent pas, je n'ai pas le droit.
Sources ? je n'ai jamais lu nul part que la doctrine liberale s'opposait
aux impots.
Les impôts sont une privation de liberté : celle de faire ce qu'on veut avec
son argent.
ST , dans le message , a écrit :
La réponse de la doctrine libérale est précisément la proprié té privée :
j'ai le droit de manger la pomme si la pomme m'appartient ; j'ai le dro it de
m'asseoir sur la chaise si la chaise m'appartient (ou si son propriét aire
m'y a autorisé). Et si elles ne m'appartiennent pas, je n'ai pas le d roit.
ST , dans le message <ekuva7-6jt1.ln1@gulliver.unices.org>, a écrit :
La réponse de la doctrine libérale est précisément la proprié té privée :
j'ai le droit de manger la pomme si la pomme m'appartient ; j'ai le dro it de
m'asseoir sur la chaise si la chaise m'appartient (ou si son propriét aire
m'y a autorisé). Et si elles ne m'appartiennent pas, je n'ai pas le d roit.
ST , dans le message , a écrit :
La réponse de la doctrine libérale est précisément la proprié té privée :
j'ai le droit de manger la pomme si la pomme m'appartient ; j'ai le dro it de
m'asseoir sur la chaise si la chaise m'appartient (ou si son propriét aire
m'y a autorisé). Et si elles ne m'appartiennent pas, je n'ai pas le d roit.
les théoricien libéral jusqu'au-boutiste
les théoricien libéral jusqu'au-boutiste
les théoricien libéral jusqu'au-boutiste
remy a perdu son temps a nous dire:les théoricien libéral jusqu'au-boutiste
Pour le moment, je n'ai rien lu de tel nul part sauf dans les propos de
NG (qui n'a rien d'un liberal).
On est plutot dans le FUD que dans la theorie.
remy a perdu son temps a nous dire:
les théoricien libéral jusqu'au-boutiste
Pour le moment, je n'ai rien lu de tel nul part sauf dans les propos de
NG (qui n'a rien d'un liberal).
On est plutot dans le FUD que dans la theorie.
remy a perdu son temps a nous dire:les théoricien libéral jusqu'au-boutiste
Pour le moment, je n'ai rien lu de tel nul part sauf dans les propos de
NG (qui n'a rien d'un liberal).
On est plutot dans le FUD que dans la theorie.