Il faut savoir rire de soi vivant et surtout de sa propre mort.
Il faut savoir rire de soi vivant et surtout de sa propre mort.
Il faut savoir rire de soi vivant et surtout de sa propre mort.
Jean Passe a écrit
( news: )A mon avis Yamanaka a réussi à le faire à la fois avec une franchise rare
et une retenue exemplaire.
Pour moi il n'y a pas de franchise ni de retenue quand on choisit de faire
sur ce sujet des photos en studio.
Si je devais parler de franchise rare et de retenue exemplaire en la
matière, c'est plutôt Eugene Smith qui me vient à l'esprit :
http://albertoalonso.files.wordpress.com/2009/07/smith_250_19751.jpg
La seule question ici, c'est pourquoi le faire ? Après, ce n'est qu'une
question de technique...
Jean Passe a écrit
( news:sK2dnXXY44EyLA_WnZ2dnUVZ_radnZ2d@b2b2c.ca )
A mon avis Yamanaka a réussi à le faire à la fois avec une franchise rare
et une retenue exemplaire.
Pour moi il n'y a pas de franchise ni de retenue quand on choisit de faire
sur ce sujet des photos en studio.
Si je devais parler de franchise rare et de retenue exemplaire en la
matière, c'est plutôt Eugene Smith qui me vient à l'esprit :
http://albertoalonso.files.wordpress.com/2009/07/smith_250_19751.jpg
La seule question ici, c'est pourquoi le faire ? Après, ce n'est qu'une
question de technique...
Jean Passe a écrit
( news: )A mon avis Yamanaka a réussi à le faire à la fois avec une franchise rare
et une retenue exemplaire.
Pour moi il n'y a pas de franchise ni de retenue quand on choisit de faire
sur ce sujet des photos en studio.
Si je devais parler de franchise rare et de retenue exemplaire en la
matière, c'est plutôt Eugene Smith qui me vient à l'esprit :
http://albertoalonso.files.wordpress.com/2009/07/smith_250_19751.jpg
La seule question ici, c'est pourquoi le faire ? Après, ce n'est qu'une
question de technique...
Il me semble que la photo de Smith, une victime de la bombe atomique,
est plutôt "la chair et le sang des martyrs".
Il me semble que la photo de Smith, une victime de la bombe atomique,
est plutôt "la chair et le sang des martyrs".
Il me semble que la photo de Smith, une victime de la bombe atomique,
est plutôt "la chair et le sang des martyrs".
"Jean Passe" a écrit :Il me semble que la photo de Smith, une victime de la bombe atomique,
est plutôt "la chair et le sang des martyrs".
Cela ne change sans doute pas le propos mais il s'agit de Tomoko Uemura,
victime de la pollution au mercure à Minamata, Japon.
--
p.c.
"Jean Passe" a écrit :
Il me semble que la photo de Smith, une victime de la bombe atomique,
est plutôt "la chair et le sang des martyrs".
Cela ne change sans doute pas le propos mais il s'agit de Tomoko Uemura,
victime de la pollution au mercure à Minamata, Japon.
--
p.c.
"Jean Passe" a écrit :Il me semble que la photo de Smith, une victime de la bombe atomique,
est plutôt "la chair et le sang des martyrs".
Cela ne change sans doute pas le propos mais il s'agit de Tomoko Uemura,
victime de la pollution au mercure à Minamata, Japon.
--
p.c.
Rejeter Yamanaka parce que trop cru me parait non seulement simpliste mais
surtout signe de fermeture à voir ce qui dérange un soi-profond sans
pouvoir le justifier par une responsabilité extérieure à soi.
Rejeter Yamanaka parce que trop cru me parait non seulement simpliste mais
surtout signe de fermeture à voir ce qui dérange un soi-profond sans
pouvoir le justifier par une responsabilité extérieure à soi.
Rejeter Yamanaka parce que trop cru me parait non seulement simpliste mais
surtout signe de fermeture à voir ce qui dérange un soi-profond sans
pouvoir le justifier par une responsabilité extérieure à soi.
Avec Smith on a un méchant extérieur; compatir nous range du coté des
victimes du méchant.
Pourquoi serait-ce la seule question?
Avec Smith on a un méchant extérieur; compatir nous range du coté des
victimes du méchant.
Pourquoi serait-ce la seule question?
Avec Smith on a un méchant extérieur; compatir nous range du coté des
victimes du méchant.
Pourquoi serait-ce la seule question?
Rejeter Yamanaka parce que trop cru me parait non seulement simpliste
mais surtout signe de fermeture à voir ce qui dérange un soi-profond
sans pouvoir le justifier par une responsabilité extérieure à soi. Avec
Smith on a un méchant extérieur; compatir nous range du coté des
victimes du méchant. Smith est un héro. Avec Smith on se retrouve
nombreux et confortés dans la solidarité. On peut se sentir sinon
valorisé à tout le moins meilleur.
Avec Yamanaka la victime c'est nous même! Il n'y a pas de méchant
extérieur à honnir. On ne peut se retrouver solidaire des ces lépreux
car chacun de ces lépreux repoussant c'est nous. Il y a un effet miroir
dans ces photos et il est intolérable de se voir ainsi; on ne peut
sentir aucun sentiment gratifiant, aucune solidarité, aucune compassion.
C'est la vérité toute nue dans le miroir. Vérité si choquante que le
méchant prend forme dans celui qui nous a mis le miroir sur le nez,
Yamanaka.
A priori, moi je ne serais pas capable de traiter de ce sujet.
Rejeter Yamanaka parce que trop cru me parait non seulement simpliste
mais surtout signe de fermeture à voir ce qui dérange un soi-profond
sans pouvoir le justifier par une responsabilité extérieure à soi. Avec
Smith on a un méchant extérieur; compatir nous range du coté des
victimes du méchant. Smith est un héro. Avec Smith on se retrouve
nombreux et confortés dans la solidarité. On peut se sentir sinon
valorisé à tout le moins meilleur.
Avec Yamanaka la victime c'est nous même! Il n'y a pas de méchant
extérieur à honnir. On ne peut se retrouver solidaire des ces lépreux
car chacun de ces lépreux repoussant c'est nous. Il y a un effet miroir
dans ces photos et il est intolérable de se voir ainsi; on ne peut
sentir aucun sentiment gratifiant, aucune solidarité, aucune compassion.
C'est la vérité toute nue dans le miroir. Vérité si choquante que le
méchant prend forme dans celui qui nous a mis le miroir sur le nez,
Yamanaka.
A priori, moi je ne serais pas capable de traiter de ce sujet.
Rejeter Yamanaka parce que trop cru me parait non seulement simpliste
mais surtout signe de fermeture à voir ce qui dérange un soi-profond
sans pouvoir le justifier par une responsabilité extérieure à soi. Avec
Smith on a un méchant extérieur; compatir nous range du coté des
victimes du méchant. Smith est un héro. Avec Smith on se retrouve
nombreux et confortés dans la solidarité. On peut se sentir sinon
valorisé à tout le moins meilleur.
Avec Yamanaka la victime c'est nous même! Il n'y a pas de méchant
extérieur à honnir. On ne peut se retrouver solidaire des ces lépreux
car chacun de ces lépreux repoussant c'est nous. Il y a un effet miroir
dans ces photos et il est intolérable de se voir ainsi; on ne peut
sentir aucun sentiment gratifiant, aucune solidarité, aucune compassion.
C'est la vérité toute nue dans le miroir. Vérité si choquante que le
méchant prend forme dans celui qui nous a mis le miroir sur le nez,
Yamanaka.
A priori, moi je ne serais pas capable de traiter de ce sujet.
Jean Passe a écrit
( news: )Rejeter Yamanaka parce que trop cru me parait non seulement simpliste
mais
surtout signe de fermeture à voir ce qui dérange un soi-profond sans
pouvoir le justifier par une responsabilité extérieure à soi.
Je pense qu'on voit la même chose, mais qu'on a des analyses différentes.
Dire que la mienne serait simpliste ou qu'elle serait une fermeture, je ne
suis pas d'accord.
Pour que l'on sache bien de quoi on parle :
http://www.ask.ne.jp/~yamanaka/index-e.html
La première série :
http://www.ask.ne.jp/~yamanaka/wukong-e.html
En cliquant les numéros on peut avoir en plus grand :
http://www.ask.ne.jp/~yamanaka/image/wukong/01.html
Cette photographie n'offre aucune difficulté, si ce n'est la matière
première.
L'aspect que je n'aime pas, c'est ce voyeurisme pseudo-clinique. Ça, rien
de
nouveau, c'est quand même quelque chose dont la photographie a toujours
fait
ses choux gras. Même avec la caution scientifique, je trouve cela
discutable, ici, sans elle, c'est carrément gratuit.
C'est exactement du même ordre que ces « artistes » qui s'amusent à faire
des expériences sur le vivant à coup d'ADN alors que c'est strictement
encadré pour les autres. (Eduardo Kac). Pour moi il y a des limites à ne
pas
atteindre, et l'art n'excuse pas tout.
J'ai l'impression que dès qu'on dit ce mot magique, « c'est de l'art »,
n'importe quelle action devient défendable,
se voit ravalé au rang d'aveuglement. Pas d'accord.
Jean Passe a écrit
( news:RLadnUQn0fc72AnWnZ2dnUVZ_vadnZ2d@b2b2c.ca )
Rejeter Yamanaka parce que trop cru me parait non seulement simpliste
mais
surtout signe de fermeture à voir ce qui dérange un soi-profond sans
pouvoir le justifier par une responsabilité extérieure à soi.
Je pense qu'on voit la même chose, mais qu'on a des analyses différentes.
Dire que la mienne serait simpliste ou qu'elle serait une fermeture, je ne
suis pas d'accord.
Pour que l'on sache bien de quoi on parle :
http://www.ask.ne.jp/~yamanaka/index-e.html
La première série :
http://www.ask.ne.jp/~yamanaka/wukong-e.html
En cliquant les numéros on peut avoir en plus grand :
http://www.ask.ne.jp/~yamanaka/image/wukong/01.html
Cette photographie n'offre aucune difficulté, si ce n'est la matière
première.
L'aspect que je n'aime pas, c'est ce voyeurisme pseudo-clinique. Ça, rien
de
nouveau, c'est quand même quelque chose dont la photographie a toujours
fait
ses choux gras. Même avec la caution scientifique, je trouve cela
discutable, ici, sans elle, c'est carrément gratuit.
C'est exactement du même ordre que ces « artistes » qui s'amusent à faire
des expériences sur le vivant à coup d'ADN alors que c'est strictement
encadré pour les autres. (Eduardo Kac). Pour moi il y a des limites à ne
pas
atteindre, et l'art n'excuse pas tout.
J'ai l'impression que dès qu'on dit ce mot magique, « c'est de l'art »,
n'importe quelle action devient défendable,
se voit ravalé au rang d'aveuglement. Pas d'accord.
Jean Passe a écrit
( news: )Rejeter Yamanaka parce que trop cru me parait non seulement simpliste
mais
surtout signe de fermeture à voir ce qui dérange un soi-profond sans
pouvoir le justifier par une responsabilité extérieure à soi.
Je pense qu'on voit la même chose, mais qu'on a des analyses différentes.
Dire que la mienne serait simpliste ou qu'elle serait une fermeture, je ne
suis pas d'accord.
Pour que l'on sache bien de quoi on parle :
http://www.ask.ne.jp/~yamanaka/index-e.html
La première série :
http://www.ask.ne.jp/~yamanaka/wukong-e.html
En cliquant les numéros on peut avoir en plus grand :
http://www.ask.ne.jp/~yamanaka/image/wukong/01.html
Cette photographie n'offre aucune difficulté, si ce n'est la matière
première.
L'aspect que je n'aime pas, c'est ce voyeurisme pseudo-clinique. Ça, rien
de
nouveau, c'est quand même quelque chose dont la photographie a toujours
fait
ses choux gras. Même avec la caution scientifique, je trouve cela
discutable, ici, sans elle, c'est carrément gratuit.
C'est exactement du même ordre que ces « artistes » qui s'amusent à faire
des expériences sur le vivant à coup d'ADN alors que c'est strictement
encadré pour les autres. (Eduardo Kac). Pour moi il y a des limites à ne
pas
atteindre, et l'art n'excuse pas tout.
J'ai l'impression que dès qu'on dit ce mot magique, « c'est de l'art »,
n'importe quelle action devient défendable,
se voit ravalé au rang d'aveuglement. Pas d'accord.
encore 2 posts et c'est l'eau ça mouille et tu répondras "si tu le dis
!" ....
encore 2 posts et c'est l'eau ça mouille et tu répondras "si tu le dis
!" ....
encore 2 posts et c'est l'eau ça mouille et tu répondras "si tu le dis
!" ....
retourne plutôt
vois les bases du traitement des papiers et films photographiques .
retourne plutôt
vois les bases du traitement des papiers et films photographiques .
retourne plutôt
vois les bases du traitement des papiers et films photographiques .