Ça existe, ce sont les écoles Montessori. Réservées aux enfants de bobos friqués, malheureusement.
Steiner (ou Waldorf selon les pays), je crois pas que ce soit inabordable, maintenant il faut aussi savoir ce qu'on veut.
Ça n'est sûrement pas à la portée du français moyen et ses 2300 euros par mois. Il y a aussi un gros inconvénient, c'est que toutes les écoles Montessori ne vont que jusqu'à la 3e (la seule qui allait jusqu'au bac en France a fermé l'année dernière) et les élèves forcés de réintégrer le cursus normal en 2e souffrent en général pas mal.
-- Le droit d'auteur, vraiment c'est pas possible. Un auteur n'a aucun droit. Je n'ai aucun droit. Je n'ai que des devoirs. Jean-Luc Godard.
Le Sun, 16 Dec 2012 09:08:10 +0800, ST a écrit:
On 2012-12-15, Emmanuel Florac <eflorac@imaginet.fr> wrote:
Ça existe, ce sont les écoles Montessori. Réservées aux enfants de
bobos friqués, malheureusement.
Steiner (ou Waldorf selon les pays), je crois pas que ce soit
inabordable, maintenant il faut aussi savoir ce qu'on veut.
Ça n'est sûrement pas à la portée du français moyen et ses 2300 euros par
mois. Il y a aussi un gros inconvénient, c'est que toutes les écoles
Montessori ne vont que jusqu'à la 3e (la seule qui allait jusqu'au bac en
France a fermé l'année dernière) et les élèves forcés de réintégrer le
cursus normal en 2e souffrent en général pas mal.
--
Le droit d'auteur, vraiment c'est pas possible. Un auteur n'a aucun
droit. Je n'ai aucun droit. Je n'ai que des devoirs.
Jean-Luc Godard.
Ça existe, ce sont les écoles Montessori. Réservées aux enfants de bobos friqués, malheureusement.
Steiner (ou Waldorf selon les pays), je crois pas que ce soit inabordable, maintenant il faut aussi savoir ce qu'on veut.
Ça n'est sûrement pas à la portée du français moyen et ses 2300 euros par mois. Il y a aussi un gros inconvénient, c'est que toutes les écoles Montessori ne vont que jusqu'à la 3e (la seule qui allait jusqu'au bac en France a fermé l'année dernière) et les élèves forcés de réintégrer le cursus normal en 2e souffrent en général pas mal.
-- Le droit d'auteur, vraiment c'est pas possible. Un auteur n'a aucun droit. Je n'ai aucun droit. Je n'ai que des devoirs. Jean-Luc Godard.
Tonton Th
On 12/16/2012 02:12 AM, ST a dit:
Avec la retraite de misère que t'auras, faudra peut-être t'y remettre au jardinage.
Tres bonne reflexion, la France est un pays ou il va peut etre falloir que des classes sociales retournent a un mode de vie en auto-suffisance.
Je ne suis pas loin de le penser aussi, et je me demande même si ces gens là ne seront pas ceux qui réussiront à préserver un peu de leur bonheur...
--
Nous vivons dans un monde étrange/ http://foo.bar.quux.over-blog.com/
On 12/16/2012 02:12 AM, ST a dit:
Avec la retraite de misère que t'auras, faudra peut-être t'y remettre au
jardinage.
Tres bonne reflexion, la France est un pays ou il va peut etre falloir
que des classes sociales retournent a un mode de vie en auto-suffisance.
Je ne suis pas loin de le penser aussi, et je me demande même
si ces gens là ne seront pas ceux qui réussiront à préserver
un peu de leur bonheur...
--
Nous vivons dans un monde étrange/
http://foo.bar.quux.over-blog.com/
Avec la retraite de misère que t'auras, faudra peut-être t'y remettre au jardinage.
Tres bonne reflexion, la France est un pays ou il va peut etre falloir que des classes sociales retournent a un mode de vie en auto-suffisance.
Je ne suis pas loin de le penser aussi, et je me demande même si ces gens là ne seront pas ceux qui réussiront à préserver un peu de leur bonheur...
--
Nous vivons dans un monde étrange/ http://foo.bar.quux.over-blog.com/
Baton .rouge
On 15 Dec 2012 09:09:48 GMT, Nicolas George <nicolas$ wrote:
Doug713705 , dans le message , a écrit :
Je ne dit pas qu'il permet une harmonisation mais qu'il permet de mieux jauger l'élève. Une épreuve ponctuelle ne peut _pas_ donner une idée réèlle du niveau de l'élève.
C'est quoi, « le » niveau de l'élève ? C'est tout le problème s'il n'y a pas une épreuve nationale : il n'existe pas un nombre mystique, « le » niveau, qu'on cherche à mesurer. Tout ce qu'on a, c'est la possibilité de comparer entre eux des élèves qui ont passé les mêmes épreuves.
Le mieux serait une école (primaire, collège) où le nombre d'heures de francçais, math, histoire,... varient d'un élève à l'autre en fonction de sont niveau.
Il est completement stupide qu'un élève ayant des facilité en français fasse autant d'heure que celui qui est moins bon. Il a des facilité, qu'il fasse moins d'heure de français et fasse plus de math s'il est moins bon en math.
On 15 Dec 2012 09:09:48 GMT, Nicolas George <nicolas$george@salle-s.org>
wrote:
Doug713705 , dans le message
<9vqsp9xgcv.ln2@actarus.chainon-marquant.org>, a écrit :
Je ne dit pas qu'il permet une harmonisation mais qu'il permet de mieux
jauger l'élève. Une épreuve ponctuelle ne peut _pas_ donner une idée
réèlle du niveau de l'élève.
C'est quoi, « le » niveau de l'élève ? C'est tout le problème s'il n'y a pas
une épreuve nationale : il n'existe pas un nombre mystique, « le » niveau,
qu'on cherche à mesurer. Tout ce qu'on a, c'est la possibilité de comparer
entre eux des élèves qui ont passé les mêmes épreuves.
Le mieux serait une école (primaire, collège) où le nombre d'heures de
francçais, math, histoire,... varient d'un élève à l'autre en fonction
de sont niveau.
Il est completement stupide qu'un élève ayant des facilité en français
fasse autant d'heure que celui qui est moins bon. Il a des facilité,
qu'il fasse moins d'heure de français et fasse plus de math s'il est
moins bon en math.
On 15 Dec 2012 09:09:48 GMT, Nicolas George <nicolas$ wrote:
Doug713705 , dans le message , a écrit :
Je ne dit pas qu'il permet une harmonisation mais qu'il permet de mieux jauger l'élève. Une épreuve ponctuelle ne peut _pas_ donner une idée réèlle du niveau de l'élève.
C'est quoi, « le » niveau de l'élève ? C'est tout le problème s'il n'y a pas une épreuve nationale : il n'existe pas un nombre mystique, « le » niveau, qu'on cherche à mesurer. Tout ce qu'on a, c'est la possibilité de comparer entre eux des élèves qui ont passé les mêmes épreuves.
Le mieux serait une école (primaire, collège) où le nombre d'heures de francçais, math, histoire,... varient d'un élève à l'autre en fonction de sont niveau.
Il est completement stupide qu'un élève ayant des facilité en français fasse autant d'heure que celui qui est moins bon. Il a des facilité, qu'il fasse moins d'heure de français et fasse plus de math s'il est moins bon en math.
Nicolas George
Baton .rouge , dans le message , a écrit :
Le mieux serait une école (primaire, collège) où le nombre d'heures de francçais, math, histoire,... varient d'un élève à l'autre en fonction de sont niveau.
Il est completement stupide qu'un élève ayant des facilité en français fasse autant d'heure que celui qui est moins bon. Il a des facilité, qu'il fasse moins d'heure de français et fasse plus de math s'il est moins bon en math.
T'es gentil... Le mieux... Tu fais ça comment quand tu as un prof pour s'occuper de 35 élèves ?
Baton .rouge , dans le message
<cq1sc8lk8hflamf0hdq54g1d0toeojoh4m@4ax.com>, a écrit :
Le mieux serait une école (primaire, collège) où le nombre d'heures de
francçais, math, histoire,... varient d'un élève à l'autre en fonction
de sont niveau.
Il est completement stupide qu'un élève ayant des facilité en français
fasse autant d'heure que celui qui est moins bon. Il a des facilité,
qu'il fasse moins d'heure de français et fasse plus de math s'il est
moins bon en math.
T'es gentil... Le mieux... Tu fais ça comment quand tu as un prof pour
s'occuper de 35 élèves ?
Le mieux serait une école (primaire, collège) où le nombre d'heures de francçais, math, histoire,... varient d'un élève à l'autre en fonction de sont niveau.
Il est completement stupide qu'un élève ayant des facilité en français fasse autant d'heure que celui qui est moins bon. Il a des facilité, qu'il fasse moins d'heure de français et fasse plus de math s'il est moins bon en math.
T'es gentil... Le mieux... Tu fais ça comment quand tu as un prof pour s'occuper de 35 élèves ?
Doug713705
Le 15-12-2012, Nicolas George nous expliquait dans fr.comp.os.linux.debats :
Doug713705 , dans le message , a écrit :
Je ne dit pas qu'il permet une harmonisation mais qu'il permet de mieux jauger l'élève. Une épreuve ponctuelle ne peut _pas_ donner une idée réèlle du niveau de l'élève.
C'est quoi, « le » niveau de l'élève ? C'est tout le problème s'il n'y a pas une épreuve nationale : il n'existe pas un nombre mystique, « le » niveau, qu'on cherche à mesurer. Tout ce qu'on a, c'est la possibilité de comparer entre eux des élèves qui ont passé les mêmes épreuves.
Euh... Le bac permet de comparer des élèves entre eux ?
Il me semblait plutôt que chaque élève était noté d'après sa copie et en comparaison du niveau de connaissance théoriquement acquis.
Le niveau de l'élève correspond à la somme des connaissances _assimilées_ au bout de n heures d'enseignement.
Si en 1950 il fallait (en moyenne et au hasard) 300 heures pour arriver à faire lire/écrire/parler un français correct à un élève et qu'ajourd'hui il en faut le triple, alors le niveau baisse. Simple non ?
Et ne me dit pas que l'apprentissage de l'envoi de SMS à l'aide d'un seul pouce permet de développer une aptitude qui permettra de largement compenser les lacunes accumulées.
Après, les raisons qui font que le niveau baisse sont multiples, ça commence par l'abrutissement de masse (TV, Facebook...) et "l'hyper-occupation" des _deux_ parents (quand tu passes 8 heures par jour au boulot plus 2 heures de transport par jour, tu n'as plus vraiment la gniak nécessaire pour vérifier les devoirs du fiston).
-- Doug - Linux user #307925 - Slackware64 roulaize ;-) Without freedom of choice there is no creativity. -- Kirk, "The return of the Archons", stardate 3157.4
Le 15-12-2012, Nicolas George nous expliquait dans fr.comp.os.linux.debats :
Doug713705 , dans le message
<9vqsp9xgcv.ln2@actarus.chainon-marquant.org>, a écrit :
Je ne dit pas qu'il permet une harmonisation mais qu'il permet de mieux
jauger l'élève. Une épreuve ponctuelle ne peut _pas_ donner une idée
réèlle du niveau de l'élève.
C'est quoi, « le » niveau de l'élève ? C'est tout le problème s'il n'y a pas
une épreuve nationale : il n'existe pas un nombre mystique, « le » niveau,
qu'on cherche à mesurer. Tout ce qu'on a, c'est la possibilité de comparer
entre eux des élèves qui ont passé les mêmes épreuves.
Euh... Le bac permet de comparer des élèves entre eux ?
Il me semblait plutôt que chaque élève était noté d'après sa copie et en
comparaison du niveau de connaissance théoriquement acquis.
Le niveau de l'élève correspond à la somme des connaissances
_assimilées_ au bout de n heures d'enseignement.
Si en 1950 il fallait (en moyenne et au hasard) 300 heures pour arriver
à faire lire/écrire/parler un français correct à un élève et
qu'ajourd'hui il en faut le triple, alors le niveau baisse. Simple non ?
Et ne me dit pas que l'apprentissage de l'envoi de SMS à l'aide d'un
seul pouce permet de développer une aptitude qui permettra de largement
compenser les lacunes accumulées.
Après, les raisons qui font que le niveau baisse sont multiples, ça
commence par l'abrutissement de masse (TV, Facebook...) et
"l'hyper-occupation" des _deux_ parents (quand tu passes 8 heures par
jour au boulot plus 2 heures de transport par jour, tu n'as plus
vraiment la gniak nécessaire pour vérifier les devoirs du fiston).
--
Doug - Linux user #307925 - Slackware64 roulaize ;-)
Without freedom of choice there is no creativity.
-- Kirk, "The return of the Archons", stardate 3157.4
Le 15-12-2012, Nicolas George nous expliquait dans fr.comp.os.linux.debats :
Doug713705 , dans le message , a écrit :
Je ne dit pas qu'il permet une harmonisation mais qu'il permet de mieux jauger l'élève. Une épreuve ponctuelle ne peut _pas_ donner une idée réèlle du niveau de l'élève.
C'est quoi, « le » niveau de l'élève ? C'est tout le problème s'il n'y a pas une épreuve nationale : il n'existe pas un nombre mystique, « le » niveau, qu'on cherche à mesurer. Tout ce qu'on a, c'est la possibilité de comparer entre eux des élèves qui ont passé les mêmes épreuves.
Euh... Le bac permet de comparer des élèves entre eux ?
Il me semblait plutôt que chaque élève était noté d'après sa copie et en comparaison du niveau de connaissance théoriquement acquis.
Le niveau de l'élève correspond à la somme des connaissances _assimilées_ au bout de n heures d'enseignement.
Si en 1950 il fallait (en moyenne et au hasard) 300 heures pour arriver à faire lire/écrire/parler un français correct à un élève et qu'ajourd'hui il en faut le triple, alors le niveau baisse. Simple non ?
Et ne me dit pas que l'apprentissage de l'envoi de SMS à l'aide d'un seul pouce permet de développer une aptitude qui permettra de largement compenser les lacunes accumulées.
Après, les raisons qui font que le niveau baisse sont multiples, ça commence par l'abrutissement de masse (TV, Facebook...) et "l'hyper-occupation" des _deux_ parents (quand tu passes 8 heures par jour au boulot plus 2 heures de transport par jour, tu n'as plus vraiment la gniak nécessaire pour vérifier les devoirs du fiston).
-- Doug - Linux user #307925 - Slackware64 roulaize ;-) Without freedom of choice there is no creativity. -- Kirk, "The return of the Archons", stardate 3157.4
Yliur
Le Sun, 16 Dec 2012 18:24:58 +0100 Tonton Th a écrit :
On 12/16/2012 02:12 AM, ST a dit:
>> Avec la retraite de misère que t'auras, faudra peut-être t'y >> remettre au jardinage. > > Tres bonne reflexion, la France est un pays ou il va peut etre > falloir que des classes sociales retournent a un mode de vie en > auto-suffisance.
Je ne suis pas loin de le penser aussi, et je me demande même si ces gens là ne seront pas ceux qui réussiront à préserver un peu de leur bonheur...
Je suis curieux de savoir pourquoi les gens devraient retourner à leur production alimentaire.
Le Sun, 16 Dec 2012 18:24:58 +0100
Tonton Th <tth@la.bas.invalid> a écrit :
On 12/16/2012 02:12 AM, ST a dit:
>> Avec la retraite de misère que t'auras, faudra peut-être t'y
>> remettre au jardinage.
>
> Tres bonne reflexion, la France est un pays ou il va peut etre
> falloir que des classes sociales retournent a un mode de vie en
> auto-suffisance.
Je ne suis pas loin de le penser aussi, et je me demande même
si ces gens là ne seront pas ceux qui réussiront à préserver
un peu de leur bonheur...
Je suis curieux de savoir pourquoi les gens devraient retourner à leur
production alimentaire.
Le Sun, 16 Dec 2012 18:24:58 +0100 Tonton Th a écrit :
On 12/16/2012 02:12 AM, ST a dit:
>> Avec la retraite de misère que t'auras, faudra peut-être t'y >> remettre au jardinage. > > Tres bonne reflexion, la France est un pays ou il va peut etre > falloir que des classes sociales retournent a un mode de vie en > auto-suffisance.
Je ne suis pas loin de le penser aussi, et je me demande même si ces gens là ne seront pas ceux qui réussiront à préserver un peu de leur bonheur...
Je suis curieux de savoir pourquoi les gens devraient retourner à leur production alimentaire.
Emmanuel Florac
Le Sun, 16 Dec 2012 18:43:55 +0100, Baton .rouge a écrit:
Le mieux serait une école (primaire, collège) où le nombre d'heures de francçais, math, histoire,... varient d'un élève à l'autre en fonction de sont niveau.
C'est le cas dans les écoles Montessori et autres.
-- There are two ways of constructing a software design: One way is to make it so simple that there are obviously no deficiencies, and the other way is to make it so complicated that there are no obvious deficiencies. The first method is far more difficult. C.A.R. Hoare.
Le Sun, 16 Dec 2012 18:43:55 +0100, Baton .rouge a écrit:
Le mieux serait une école (primaire, collège) où le nombre d'heures de
francçais, math, histoire,... varient d'un élève à l'autre en fonction
de sont niveau.
C'est le cas dans les écoles Montessori et autres.
--
There are two ways of constructing a software design: One way is to
make it so simple that there are obviously no deficiencies, and the
other way is to make it so complicated that there are no obvious
deficiencies. The first method is far more difficult.
C.A.R. Hoare.
Le Sun, 16 Dec 2012 18:43:55 +0100, Baton .rouge a écrit:
Le mieux serait une école (primaire, collège) où le nombre d'heures de francçais, math, histoire,... varient d'un élève à l'autre en fonction de sont niveau.
C'est le cas dans les écoles Montessori et autres.
-- There are two ways of constructing a software design: One way is to make it so simple that there are obviously no deficiencies, and the other way is to make it so complicated that there are no obvious deficiencies. The first method is far more difficult. C.A.R. Hoare.
Nicolas George
Doug713705 , dans le message , a écrit :
Euh... Le bac permet de comparer des élèves entre eux ?
Oui.
Il me semblait plutôt que chaque élève était noté d'après sa copie et en comparaison du niveau de connaissance théoriquement acquis.
Déjà, commence par définir ce que c'est que « le niveau ». Entre un élève qui sait résoudre une équation de degré 2 mais pas expliquer les causes de la 1e guerre mondiale et un élève sait faire le contraire, c'est qui, à ton avis, qui a le meilleur « niveau » ?
Si en 1950 il fallait (en moyenne et au hasard) 300 heures pour arriver à faire lire/écrire/parler un français correct à un élève et qu'ajourd'hui il en faut le triple, alors le niveau baisse. Simple non ?
Le mot que tu cherches est « simpliste ». La réalité des faits est largement plus complexe que ce que tu décris. Juste une indication pour te laisser entrevoir cette complexité : il y a cinquante ans, une majorité de la population rurale arrêtait les études après le certificat d'études. Tu as regardé leur « niveau », à ces gens-là, dans ton évaluation ?
Et « Si j'aurais su, j'aurais pas v'nu. », c'est du langage SMS du début du XXIe siècle, peut-être ?
Doug713705 , dans le message
<h5j1q9xhj5.ln2@actarus.chainon-marquant.org>, a écrit :
Euh... Le bac permet de comparer des élèves entre eux ?
Oui.
Il me semblait plutôt que chaque élève était noté d'après sa copie et en
comparaison du niveau de connaissance théoriquement acquis.
Déjà, commence par définir ce que c'est que « le niveau ». Entre un élève
qui sait résoudre une équation de degré 2 mais pas expliquer les causes de
la 1e guerre mondiale et un élève sait faire le contraire, c'est qui, à ton
avis, qui a le meilleur « niveau » ?
Si en 1950 il fallait (en moyenne et au hasard) 300 heures pour arriver
à faire lire/écrire/parler un français correct à un élève et
qu'ajourd'hui il en faut le triple, alors le niveau baisse. Simple non ?
Le mot que tu cherches est « simpliste ». La réalité des faits est largement
plus complexe que ce que tu décris. Juste une indication pour te laisser
entrevoir cette complexité : il y a cinquante ans, une majorité de la
population rurale arrêtait les études après le certificat d'études. Tu as
regardé leur « niveau », à ces gens-là, dans ton évaluation ?
Et « Si j'aurais su, j'aurais pas v'nu. », c'est du langage SMS du début du
XXIe siècle, peut-être ?
Euh... Le bac permet de comparer des élèves entre eux ?
Oui.
Il me semblait plutôt que chaque élève était noté d'après sa copie et en comparaison du niveau de connaissance théoriquement acquis.
Déjà, commence par définir ce que c'est que « le niveau ». Entre un élève qui sait résoudre une équation de degré 2 mais pas expliquer les causes de la 1e guerre mondiale et un élève sait faire le contraire, c'est qui, à ton avis, qui a le meilleur « niveau » ?
Si en 1950 il fallait (en moyenne et au hasard) 300 heures pour arriver à faire lire/écrire/parler un français correct à un élève et qu'ajourd'hui il en faut le triple, alors le niveau baisse. Simple non ?
Le mot que tu cherches est « simpliste ». La réalité des faits est largement plus complexe que ce que tu décris. Juste une indication pour te laisser entrevoir cette complexité : il y a cinquante ans, une majorité de la population rurale arrêtait les études après le certificat d'études. Tu as regardé leur « niveau », à ces gens-là, dans ton évaluation ?
Et « Si j'aurais su, j'aurais pas v'nu. », c'est du langage SMS du début du XXIe siècle, peut-être ?
Baton .rouge
On 16 Dec 2012 18:49:00 GMT, Nicolas George <nicolas$ wrote:
Baton .rouge , dans le message , a écrit :
Le mieux serait une école (primaire, collège) où le nombre d'heures de francçais, math, histoire,... varient d'un élève à l'autre en fonction de sont niveau.
Il est completement stupide qu'un élève ayant des facilité en français fasse autant d'heure que celui qui est moins bon. Il a des facilité, qu'il fasse moins d'heure de français et fasse plus de math s'il est moins bon en math.
T'es gentil... Le mieux... Tu fais ça comment quand tu as un prof pour s'occuper de 35 élèves ?
Le nombre d'élève et de prof ne change pas. Une classe de bon élèves qui suivent le train peuvent être à 40 ou 50 par classe. Les moins bon, 20 par classe.
On 16 Dec 2012 18:49:00 GMT, Nicolas George <nicolas$george@salle-s.org>
wrote:
Baton .rouge , dans le message
<cq1sc8lk8hflamf0hdq54g1d0toeojoh4m@4ax.com>, a écrit :
Le mieux serait une école (primaire, collège) où le nombre d'heures de
francçais, math, histoire,... varient d'un élève à l'autre en fonction
de sont niveau.
Il est completement stupide qu'un élève ayant des facilité en français
fasse autant d'heure que celui qui est moins bon. Il a des facilité,
qu'il fasse moins d'heure de français et fasse plus de math s'il est
moins bon en math.
T'es gentil... Le mieux... Tu fais ça comment quand tu as un prof pour
s'occuper de 35 élèves ?
Le nombre d'élève et de prof ne change pas.
Une classe de bon élèves qui suivent le train peuvent être à 40 ou 50
par classe.
Les moins bon, 20 par classe.
On 16 Dec 2012 18:49:00 GMT, Nicolas George <nicolas$ wrote:
Baton .rouge , dans le message , a écrit :
Le mieux serait une école (primaire, collège) où le nombre d'heures de francçais, math, histoire,... varient d'un élève à l'autre en fonction de sont niveau.
Il est completement stupide qu'un élève ayant des facilité en français fasse autant d'heure que celui qui est moins bon. Il a des facilité, qu'il fasse moins d'heure de français et fasse plus de math s'il est moins bon en math.
T'es gentil... Le mieux... Tu fais ça comment quand tu as un prof pour s'occuper de 35 élèves ?
Le nombre d'élève et de prof ne change pas. Une classe de bon élèves qui suivent le train peuvent être à 40 ou 50 par classe. Les moins bon, 20 par classe.
Baton .rouge
On 16 Dec 2012 20:05:49 GMT, Nicolas George <nicolas$ wrote:
il y a cinquante ans, une majorité de la population rurale arrêtait les études après le certificat d'études. Tu as regardé leur « niveau », à ces gens-là, dans ton évaluation ?
Au certificat d'études, ils savaient lire, ecrire, compter. Il y avait de l'éducation civique.
C'etait pas la colonie de vacances et celui qui foutait la merde en recevait 2, une de l'instit et l'autre des parents. Mes ancêtres n'en sont pas mort.
On 16 Dec 2012 20:05:49 GMT, Nicolas George <nicolas$george@salle-s.org>
wrote:
il y a cinquante ans, une majorité de la
population rurale arrêtait les études après le certificat d'études. Tu as
regardé leur « niveau », à ces gens-là, dans ton évaluation ?
Au certificat d'études, ils savaient lire, ecrire, compter.
Il y avait de l'éducation civique.
C'etait pas la colonie de vacances et celui qui foutait la merde en
recevait 2, une de l'instit et l'autre des parents. Mes ancêtres n'en
sont pas mort.
On 16 Dec 2012 20:05:49 GMT, Nicolas George <nicolas$ wrote:
il y a cinquante ans, une majorité de la population rurale arrêtait les études après le certificat d'études. Tu as regardé leur « niveau », à ces gens-là, dans ton évaluation ?
Au certificat d'études, ils savaient lire, ecrire, compter. Il y avait de l'éducation civique.
C'etait pas la colonie de vacances et celui qui foutait la merde en recevait 2, une de l'instit et l'autre des parents. Mes ancêtres n'en sont pas mort.