dans ce post, je vais vous dire pourquoi linux est mauvais, bien que
tout le monde le sache deja. or, si les defauts de linux sont si
evidents, pourquoi personne ne s'en rend compte ? c'est ce que je
developperai dans une seconde partie. ensuite, dans une troisieme
partie, je listerai les excuses les plus courantes pour ne pas
reconnaitre que linux est mauvais. enfin, dans une derniere partie, je
vous raconterai quelques anecdotes a propos de linux.
########################
# 1. linux est mauvais #
########################
a) mauvaise IHM
===============
pourquoi est-ce mauvais ? meme un cretin de windowsien est capable d'y
repondre : "parce que c'est trop dur a utiliser".
citons quelques exemples :
- les boites de dialogues qui ne se rafraichissent pas
- les boutons qui ne marchent pas
- les controles qui n'ont aucun effet
- l'installation de logiciel ne cree pas d'icone, ni de groupe, ni
d'entree de desinstallation visible
- c'est tellement laborieux qu'il faut toujours lire la doc
- ca ne marche pas bien que l'on ait fait exactement ce que dit la doc
- correction de code source, recompilation de noyau, ...
etc.
voila. je ne developpe pas trop ce point, car vous ne le connaissez
que trop bien.
b) mauvaise IHM = mauvais ?
===========================
la mauvaise IHM est-elle suffisante pour dire que linux est mauvais ?
reponse : oui. il faut garder en tete qu'un ordinateur est fait pour
etre UTILISE. le fait d'avoir du mal ou de ne pas arriver a l'utiliser
est donc un GRAVE DEFAUT.
de nos jours, la technologie est capable de permettre a n'importe qui
d'utiliser un ordinateur LES DOIGTS DANS LE NEZ ! linux en est encore
loin.
##############################################
# 2. pourquoi tout le monde est-il aveugle ? #
##############################################
a) fierte personnelle
=====================
linux est plus difficile a utiliser. il y a donc plus de fierte a
arriver a le faire fonctionner. c'est d'ailleurs pourquoi on a vite
fait de traiter les windowsiens de "cretins". on les sent tellement
inferieurs a nous...
bien evidemment, cette fierte est inconsciente. si on en etait
conscient, elle ne pourrait pas nous aveugler.
b) la joie
==========
outre le fait que cet OS laborieux satisfasse notre orgueil, il nous
procure aussi de la joie : en effet, lorsque l'on trouve la solution
pour installer sa carte son apres avoir galere pendant un mois, on est
CONTENT.
cette joie nous encourage et nous aveugle. apres une telle reussite,
peu sont encore capables de voir qu'ils ont perdu 1 mois. on va plutot
aller voir le copain et tout heureux, on lui dit :
"J'AI REUSSI A FAIRE MARCHER MA CARTE SON SOUS LINUX !!!!!!!!!!"
bref, aucun esprit critique sur le mois perdu.
c) le plaisir
=============
l'informatique, c'est INTERESSANT comme domaine. c'est INTERESSANT de
savoir comment ca marche, meme si on n'a pas besoin de savoir. cette
passion pour l'informatique nous fait elle-aussi prendre les galeres
linuxiennes pour des qualites. en effet, ces galeres nous font
explorer les bas fonds de l'informatique, ce qui est un plaisir.
d) la convoitise
================
avoir linux, c'est moins courant que d'avoir windows. ca fait
"nouveau" dans les yeux. en somme, ca rend jaloux le voisin, et ca
permet de faire le blaireau devant les copains. voila encore quelque
chose qui seduit inconsciemment les gens.
remarque : les points que je viens d'enumerer sont DEBILES, dans le
sens ou il faudrait etre DEBILE pour tomber dans des pieges pareils !
pourtant, c'est bien dans ceux-la que nous tombons.
e) aucun borgne au pays des aveugles
====================================
PERSONNE n'est la pour ouvrir les yeux aux linuxiens. plus d'un
windowsien est venu critiquer linux. ils se sont vite fait calmer : ne
connaissant pas suffisamment linux pour le critiquer, et ont vite ete
vaincus.
passons a la seconde categorie de windowsiens, ceux qui se sont
SERIEUSEMENT mis a linux. la difference de convivialite devrait leur
sauter aux yeux, et leurs critiques devraient permettre d'ouvrir les
yeux aux linuxiens... QUE NENNI ! les voila eux-aussi tombes amoureux
de linux. les windowsiens ne sont pas plus intelligents que les
linuxiens : ils sont eux-aussi tombes dans les memes pieges.
resultat : aucun borgne au pays des aveugles.
########################
# 3. defendons linux ! #
########################
maintenant que l'on est tombes sous le charme de linux, on perd
totalement notre objectivite. on n'est plus capable de reconnaitre la
verite. on defendra linux envers et contre tout ! cela nous amene a
dire beaucoup de betises...
a) attaque : "c'est trop laborieux a utiliser linux !"
======================================================
ce que l'on repond souvent dans ce cas-la, c'est :
"c'est parce que t'es pas assez intelligent pour l'utiliser !".
ainsi, on s'attaque aux sentiments personnels du windowsien. il va
repondre : "moi ? pas intelligent ?". il va commencer a nous sortir
les ecoles par lesquels il est passe, ses notes scolaires, sa position
dans le classement, ses resultats aux tests de QI qui circulent sur le
NET... etc.
c'est lamentable de voir des discussions derailler ainsi.
l'affirmation initiale etait pourtant vraie : c'est trop laborieux a
utiliser. si on a besoin d'etre INTELLIGENT pour pouvoir utiliser
linux, c'est mauvais. un bon OS devrait etre utilisable par n'importe
qui.
b) intelligence
===============
avant de passer a la prochaine replique, je vais dire un mot sur
l'intelligence. est-il vrai qu'il faille etre INTELLIGENT pour
utiliser linux ? reponse : oui sur un certain plan, et non sur un
autre.
un mot qui conviendrait peut-etre mieux, c'est le mot PERSEVERANT.
comme linux est plus difficile a utiliser, il faut etre plus
PERSEVERANT. l'intelligence a egalement a voir, puisque l'on doit
COMPRENDRE le fonctionnement pour pouvoir s'en sortir sous linux.
par contre, sur le plan du bon sens, il faut etre BETE pour ne pas se
rendre compte que c'est un defaut d'avoir besoin d'intelligence, ou de
perseverance pour utiliser un OS. l'homme a cree la machine pour que
la machine lui rende service. la machine est POTENTIELLEMENT capable
de nous eviter de galerer dans toutes ces configurations linuxiennes.
si on a besoin d'etre INTELLIGENT, c'est que la machine n'a pas fait
une partie de son travail, et qu'on doit le faire a sa place. si on
doit s'adapter a la machine, c'est que la machine est mauvaise. c'est
la machine qui doit s'adapter a l'homme.
c) un OS de developpeur
=======================
un linuxien plus calme repond autrement a cette attaque en a). il
n'essaye pas de mettre le feu. il dit :
"chacun ses gouts, chacun son avis, chacun ses besoins. cet OS ne te
satisfait pas, il n'est pas fait pour toi. c'est un OS de
developpeurs, et pour un developpeur, c'est de la rigolade de resoudre
toutes ces peripeties."
meme si le ton est plus calme, ce linuxien pense tout de meme : "1 OS
pour chacun, 1 pour les gens intelligents, 1 pour les cretins !".
c'est donc toujours le meme probleme d'intelligence !
comme j'ai deja suffisamment parle de l'intelligence, je ne recommence
pas, mais je vais parler du fait d'etre developpeur : meme pour un
developpeur (ou d'un expert linux), une galere reste une galere;
eux-aussi passent par des moyens classiques pour installer leur OS.
exemple : telechargement des drivers, compilation des drivers,
chargement des drivers. quand les drivers distribues ne marchent pas,
ils perdent egalement du temps.
donc, meme si on est developpeur, on a besoin d'un bon OS. je dirais
meme que pour pouvoir developper en paix, on a besoin que l'OS nous
fiche la paix avec ses problemes de fonctionnement.
je laisse de cote les autres erreurs de l'affirmation.
d) la reponse du paresseux
==========================
voici la reponse du linuxien paresseux. il n'a pas envie de discuter,
ni de defendre linux. il repond :
"retourne sous windows !"
en effet, si on prefere windows, pourquoi venir sous linux ?
je ne repondrai pas a cette derniere question afin de ne pas perdre le
sujet de vue : lors de cette replique, un defaut de linux a ete cite,
et n'a pas ete contredit. c'est ce qu'aucun linuxien ne voit jamais
lorsqu'il repond "retourne sous windows". apres le passage de ce
windowsien, ce linuxien n'aura toujours pas pris conscience du defaut
cite.
e) la reponse du developpeur
============================
"quelque chose ne te convient pas sous linux ? eh bien ameliore-le !
prend le code source, et modifie ce que tu veux dedans !"
la encore, c'est la meme erreur : le developpeur n'a pas contredit le
defaut. il suggere une "solution" en se gardant de reconnaitre que
defaut il y a. apres le passage de ce windowsien, ce developpeur
n'aura pas pris conscience d'un quelconque defaut, lui non plus. le
cerveau d'un humain n'est decidement qu'une PASSOIRE !
voila encore une reponse linuxienne typique. lire le manuel est
pourtant quelque chose de naturel a faire. seulement, ils sont souvent
tres mals ecrits. par exemple, lorsque le manuel donne une liste par
ordre alphabetique des directives possibles a mettre dans les fichiers
de configuration. d'autres donnent la grammaire (au sens de la theorie
des langages) du fichier de configuration... INUTILISABLE !
bien sur, le fait d'etre oblige de lire le manuel est deja un defaut
par rapport aux logiciels intuitifs que l'on peut prendre en main sans
avoir a apprendre le lexique et la syntaxe du fichier de
configuration par coeur...
cet etat de conscience par rapport a linux, je vis en permanence
la-dedans. si ces choses sont des revelations pour vous, ce sont de
grosses evidences pour moi. ca me fatigue quand je vais voir des
linuxiens, et qu'ils sont a l'image que je me fais d'eux : ils sont en
plein dans les defauts que je critique, et ne voient absolument pas ou
est leur erreur.
a) utiliser sans rien comprendre
================================
voici la premiere anecdote. c'est la plus recente qui m'est arrivee :
je suis alle sur un canal de linuxiens, et j'ai demande une IHM pour
me faciliter l'utilisation d'un logiciel trop laborieux a mon gout.
apres quelques etincelles "windows vs linux", l'un d'eux m'a dit qu'il
avait l'impression que je voulais faire des tas de trucs sans rien
comprendre a la technique.
je saisissais bien sur tout ce qu'il sous-entendait par cette
remarque. c'etait desolant de voir un linuxien autant dans l'erreur...
dans une erreur qui est tellement evidente pour moi, et completement
invisible aux yeux de l'individu... il m'a encore fait plus de peine
en insistant pour que je lui dise de quelle erreur il s'agissait... il
ne voyait vraiment pas.
pour lui, il faut absolument COMPRENDRE la technique pour pouvoir
utiliser, c'est-a-dire, comprendre comment ca marche. or, d'apres ce
que j'ai dit precedemment, on sait bien que ce n'est pas necessaire.
c'est meme un defaut d'etre oblige de comprendre. de plus, c'est tout
a fait naturel de vouloir utiliser sans comprendre. c'est le but des
machines, de l'informatique : on utilise une voiture sans comprendre
comment elle fonctionne, on utilise un logiciel sans savoir sous
quelle forme sont stockees les donnees, on utilise des fonctions de
librairies dont on n'a jamais regarde le code source, etc.
pour ce linuxien, le fait de se croire plus intelligent (parce que
l'on comprend tout) lui a completement fait perdre de vue l'objectif
de base de la creation de logiciels. voyez comme ces problemes
psychologiques peuvent mener loin.
b) le genie linuxien
====================
j'ai recemment entendu parler d'un genie linuxien-philosophe qui a
obtenu son doctorat a 20 ans. 4 ans plus tard, il sort un article ou
il parle du monde libre. je me suis dit : "on va enfin avoir l'avis
d'un etre superieur..."
resultat : c'etait LAMENTABLE ! il a sorti toutes les betises qu'un
linuxien ordinaire aurait dites ! il etait lui-aussi completement
tombe dans les pieges linuxiens ! et dire que c'est un genie,
c'est-a-dire, le meilleur d'entre vous !
l'une des expressions que j'ai retenues, c'etait : "un monde plus
humain" (les mots pour faire la grosse pub a linux...). ce qu'il
voulait dire par ces mots, c'est qu'il y avait un meilleur contact
entre humains : l'utilisateur peut plus facilement contacter le
developpeur, soumettre une modification au code, ameliorer le
logiciel, etc. je ne le contredirai pas la-dessus.
seulement, l'expression "un monde plus humain" ne me convient pas, car
cet environnement n'est pas adapte a un humain, puisqu'il n'est pas
intuitif. d'un autre point de vue, cette expression convient bien, si
on veut la comprendre dans le sens "un monde COMPOSE d'humains". en
effet, comme la machine ne fait pas son travail, ce sont les humains
qui doivent le faire a sa place.
c) discussion entre linuxiens
=============================
j'ai surpris une discussion entre linuxiens un jour. j'ai bien sur ete
navre : ils etaient toujours a l'image que je me faisais d'eux,
toujours dans la meme erreur, et tres loin d'en sortir. ils parlaient
du deploiement de linux, de faire connaitre linux aux gens, de les
former a cet OS... completement a cote de la plaque... ce n'est pas
les gens qu'il faut former ! c'est l'OS qui doit nous obeir, et pas le
contraire !
s'ils parlent de "former les gens a linux", c'est qu'ils savent
pourtant que linux est dur a prendre en main. pourquoi ne parlent-ils
pas plutot d'AMELIORER linux ?
ainsi, c'est a nous de nous adapter a la machine. nous devenons petit
a petit l'esclave de la machine. on pensait que la machine aurait
besoin d'IA pour pouvoir nous dominer, mais en fait, c'est inutile,
elle y arrive deja.
si on reconnaissait enfin les defauts de linux afin de pouvoir les
corriger, alors peut-etre qu'un jour, linux deviendrait reellement un
bon OS, et ne se contenterait plus de satisfaire les gens qui ont des
problemes affectifs.
---
remarque : en fait, ce n'est pas vraiment linux que j'ai critique,
mais tout le monde libre.
-- <Raider^> Hey there, i got this new version of mirc, i should be in invisible mode, if anyone can see my sentance please reply.
mykey
Franck Yvonnet s'est exprimé en ces termes:
Oui. Le genre "j'ai raison et vous le savez, mais vous préférez me contredire par plaisir". Du luc2 typique... Au fait luc2, ta touche shift est cassée ? On ne te vois plus taper d e majuscules.
Ça manque de ponctuation aussi. Il a dû casser son point d'exclamat ion dans son thread "les 3 seigneurs des anneaux = mauvais" sur frcd.
Il s'est aussi grêffé une puce Microsoft(r)(c) dans son cerveau. En
fait, Bill Gates le controle à partir de son ordinateur central, c'est pour ça que luc2 part des fois en couille. lol :)
-- Registered Linux User #361637 <http://counter.li.org/> <http://mykey57.free.fr/>
Franck Yvonnet s'est exprimé en ces termes:
Oui. Le genre "j'ai raison et vous le savez, mais vous préférez me
contredire par plaisir". Du luc2 typique...
Au fait luc2, ta touche shift est cassée ? On ne te vois plus taper d e
majuscules.
Ça manque de ponctuation aussi. Il a dû casser son point d'exclamat ion
dans son thread "les 3 seigneurs des anneaux = mauvais" sur frcd.
Il s'est aussi grêffé une puce Microsoft(r)(c) dans son cerveau. En
fait, Bill Gates le controle à partir de son ordinateur central, c'est
pour ça que luc2 part des fois en couille. lol :)
--
Registered Linux User #361637 <http://counter.li.org/>
<http://mykey57.free.fr/>
Oui. Le genre "j'ai raison et vous le savez, mais vous préférez me contredire par plaisir". Du luc2 typique... Au fait luc2, ta touche shift est cassée ? On ne te vois plus taper d e majuscules.
Ça manque de ponctuation aussi. Il a dû casser son point d'exclamat ion dans son thread "les 3 seigneurs des anneaux = mauvais" sur frcd.
Il s'est aussi grêffé une puce Microsoft(r)(c) dans son cerveau. En
fait, Bill Gates le controle à partir de son ordinateur central, c'est pour ça que luc2 part des fois en couille. lol :)
-- Registered Linux User #361637 <http://counter.li.org/> <http://mykey57.free.fr/>
bernardjj
Le Sun, 01 Aug 2004 23:12:48 +0200, bruno a écrit :
Tiens le libertarien sevit ici aussi oui, il fait son "marché" ;)
Le Sun, 01 Aug 2004 23:12:48 +0200, bruno a écrit :
Tiens le libertarien sevit ici aussi
oui, il fait son "marché" ;)
Le Sun, 01 Aug 2004 23:12:48 +0200, bruno a écrit :
Tiens le libertarien sevit ici aussi oui, il fait son "marché" ;)
Galkine
Le Sun, 01 Aug 2004 13:37:16 +0000, Michel Talon a écrit :
Nicolas George <nicolas$ wrote:
Michel Talon, dans le message <ceif3e$1q3t$, a écrit :
Oui mais ma Debian Woody ne le fait pas.
Et FreeBSD 2.0, il le fait, peut-être ?
Un petit rappel:
- FreeBSD-3.0 est sorti le 16 Octobre 1998 - La couche USB de NetBSD a été importée dans l'arbre de développement de FreeBSD en Novembre 1998. - FreeBSD-4.0 est sortie le 14 Mars 2000 avec une couche USB fonctionnelle, et un mécanisme de notification (usbd) simple et efficace. - La Debian Woody est sortie en Juillet 2002, donc 2 ans aprés dans l'état que vous savez.
La couche USB marchait parfaitement dans NetBSD bien avant encore, c'est à dire avant qu'elle existe dans Linux et dans Windows. le support de l'usb par microsoft c'est 1997 avec windows95 4.00.950B
Le Sun, 01 Aug 2004 13:37:16 +0000, Michel Talon a écrit :
Nicolas George <nicolas$george@salle-s.org> wrote:
Michel Talon, dans le message <ceif3e$1q3t$3@asmodee.lpthe.jussieu.fr>,
a écrit :
Oui mais ma Debian Woody ne le fait pas.
Et FreeBSD 2.0, il le fait, peut-être ?
Un petit rappel:
- FreeBSD-3.0 est sorti le 16 Octobre 1998 - La couche USB de NetBSD a
été importée dans l'arbre de développement de
FreeBSD en Novembre 1998.
- FreeBSD-4.0 est sortie le 14 Mars 2000 avec une couche USB
fonctionnelle,
et un mécanisme de notification (usbd) simple et efficace.
- La Debian Woody est sortie en Juillet 2002, donc 2 ans aprés dans
l'état
que vous savez.
La couche USB marchait parfaitement dans NetBSD bien avant encore, c'est
à dire avant qu'elle existe dans Linux et dans Windows.
le support de l'usb par microsoft c'est 1997 avec windows95 4.00.950B
Le Sun, 01 Aug 2004 13:37:16 +0000, Michel Talon a écrit :
Nicolas George <nicolas$ wrote:
Michel Talon, dans le message <ceif3e$1q3t$, a écrit :
Oui mais ma Debian Woody ne le fait pas.
Et FreeBSD 2.0, il le fait, peut-être ?
Un petit rappel:
- FreeBSD-3.0 est sorti le 16 Octobre 1998 - La couche USB de NetBSD a été importée dans l'arbre de développement de FreeBSD en Novembre 1998. - FreeBSD-4.0 est sortie le 14 Mars 2000 avec une couche USB fonctionnelle, et un mécanisme de notification (usbd) simple et efficace. - La Debian Woody est sortie en Juillet 2002, donc 2 ans aprés dans l'état que vous savez.
La couche USB marchait parfaitement dans NetBSD bien avant encore, c'est à dire avant qu'elle existe dans Linux et dans Windows. le support de l'usb par microsoft c'est 1997 avec windows95 4.00.950B
Raphaël 'SurcouF' Bordet
On lun, 2004-08-02 at 12:50 -0400, GP wrote:
Raphaël 'SurcouF' Bordet wrote:
Oui, ça s'appelle appliquer des patches si je ne me trompe. Toutes le s distros font ça, y compris Slackware. Mais il arrive parfois, quoi qu e rarement, je pense, qu'il n'y ait pas de patch et qu'il faille changer tout le paquet. La source la plus commune pour les patches semble êtr e mitre.org. Rien de nouveau là, même entre les lignes.
Je me demande seulement pourquoi ça semble une tâche d'une telle envergure chez Debian alors que Volkerding arrive à faire ça seul.
Tout "seul" ? Officiellement, ils sont au nombre de trois[1]...
Cette page date d'il y a belle lurette. Slackware Linux Essentials a été publié en Juillet 2000 et les processeurs Alpha ne sont plus en production. Les Sparc ont été remplacés par les ultrasparc.
Tu peux parler des manques d'informations sur les pages web de debian. Au moins, elles sont régulièrement mises à jour.
Un rapide doup d'oeil ne me permet de trouver ni l'une ni l'autre version de Slackware 10. Lumens et Cantrell ne sont plus, au mieux, que des collaborateurs irréguliers. Il y a, par contre, quelqu'un qui s'occupe du côté business, sans doute pas à temps plein.
À consulter le changelog, on voit aussi qu'il y a de nombreux bénévoles qui apportent de petites contributions en testant current. Finalement, c'est tout ce que ça prend.
De même qu'il y a de nombreux bénévoles qui apportent leur pierre à l'édifice Debian. Il n'y a même que ça, d'ailleurs...
[...]
Idem pour Slackware. S'il y a une patch pour un paquet existant et un nouveau paquet, il va évidemment choisir le nouveau paquet plutôt q ue de patcher l'ancien et d'installer le nouveau plus tard. Ça va de soi .
J'ai toujours cru entendre qu'il n'existait quasiment pas, à propreme nt parler, de notion de paquets chez Slackware...
/Quasiment/ pas, comme tu dis.
Donc, quand tu parles d'installer un paquet, qu'est-ce que tu installes, au juste ?
Seulement, selon ce que j'ai entendu dire... entre les branches des arbres, cette fois, c'est que dans le testing Debian, le paquet ne change pas. Parce que, quand on change le paquet, ça peut impliquer d'autres changements, de librairies, de dépendances etc., qui chambarderaient trop le test.
Je ne vois pas en quoi ce serait tellement spécifique à la distribu tion Debian. Intégrer un nouveau paquet à l'arborescence peut amener d'a utres changements dûs aux nouvelles dépendances ou manquantes voire à c ause de conflits.
Pourtant, Slackware saute le testing. Le testing se fait en cours de route sur current. S'il faut de nouvelles librairies ou dépendances, elles sont installées. Et c'est reparti, mon Kiki!
Oui mais testing permet justement d'avoir un instantané de la future distribution stable sans pour autant stopper le développement de l'unstable. C'est elle qui sert de base lorsqu'on la gèle juste avant de sortir la nouvelle version (ce qui vient d'arriver il y a deux jours). Le but de testing est d'éviter d'avoir une distribution trop bancale.
À tout cela s'ajoute, chez Debian, la gestion des 11 architectures actuellement supportées par le projet.
Ça m'en fait un pli, ça! Moi, je n'ai besoin que de l'architecture Intel et si Debian décide qu'il faut que les 11 architectures soient prêtes avant que l'Intel sorte, ça me fait juste chier. Si leurs 10 000 développeurs ne suffisent pas pour entretenir 11 architectures, il devraient en laisser tomber. Mais tu avoueras que le rapport développeurs/architectures est toujours, et de très loin, favorable à Debian. Alors, on se demande ce à quoi contribuent ces 10 000 développeurs, sauf au poids du nombre, comme le faisait remarquer Volkerding.
Ce n'est pas le projet Debian qui décide mais le RM (qui est nommé, je crois par le PL, lui-même élu par l'ensemble des DD). Debian a toujours eu pour vocation de supporter autant d'architectures que Linux pouvait en avoir et ce nombre à augmenter au fur et à mesure des versions. Maintenant, tous les paquets ne doivent pas non plus compiler sur les 11 mais au moins sur les architectures laissées à la discrétion du responsable du paquet considéré. Maintenant, la question est en effet ouverte car si Debian supporte 11 architectures, ia32 doit bien représenter plus de 80% de la population, suivie de loin par PPC.
Alors, je ne sais pas trop, j'ai peut-être manqué un HOWTO sur la lecture entre les lignes? Mais, sur la ligne, ce n'est pas du tout ce que tu dis qui est écrit, et pas tout à fait ce que j'ai entendu di re, non plus. Permets que je traduise:
Q.: Comment la sécurité de testing et unstable est-elle prise en ch arge?
R.: En un mot elle ne l'est pas. (...) Les «secrétaires» de la sécurité tentent de régler les problèmes dans testing et unstab le quand ils en ont fini avec stable.
Pas besoin de te donner tant de mal, il suffirait de régler ton navigateur correctement pour préférer la langue de Molière et on obtient ceci[3]:
T'occupe. La traduction de trois ou quatre phrases en me fait pas trop suer. Et, si je suis arrivé là, c'est par l'entremise de Google.
Justement, la traduction officielle existait, c'est tout ce que je voulais faire remarquer.
Pour des gens qui aiment tellement écrire, je pense qu'ils pourraient décrire la situation beaucoup plus précisément en n'étant pas p lus longs.
Chez Slackware, les choses sont plus simples. Il y a deux versions -- stable et current -- et les deux sont à jour question sécurité. ( Et même des précédentes, comme chez Debian, d'ailleurs, si je ne me trompe.)
Quand on n'est que trois, qu'on ne gère que trois architectures, c'es t fatalement plus facile de rédiger une documentation correcte.
PV ne rédige pas de doc. C'est la doc générale pour Linux qui sert, le vieux SLE, les README de la distro, etc.
[...]
On peut donc dire que Slackware n'est plus développé que pour Intel.
Au vu de ces deux points, c'est donc encore plus facile de gérer seul une distribution...
-- Raphaël 'SurcouF' Bordet
# | http://www.debianfr.net
On lun, 2004-08-02 at 12:50 -0400, GP wrote:
Raphaël 'SurcouF' Bordet wrote:
Oui, ça s'appelle appliquer des patches si je ne me trompe. Toutes le s
distros font ça, y compris Slackware. Mais il arrive parfois, quoi qu e
rarement, je pense, qu'il n'y ait pas de patch et qu'il faille changer
tout le paquet. La source la plus commune pour les patches semble êtr e
mitre.org. Rien de nouveau là, même entre les lignes.
Je me demande seulement pourquoi ça semble une tâche d'une telle
envergure chez Debian alors que Volkerding arrive à faire ça seul.
Tout "seul" ? Officiellement, ils sont au nombre de trois[1]...
Cette page date d'il y a belle lurette. Slackware Linux Essentials a
été publié en Juillet 2000 et les processeurs Alpha ne sont plus en
production. Les Sparc ont été remplacés par les ultrasparc.
Tu peux parler des manques d'informations sur les pages web de debian.
Au moins, elles sont régulièrement mises à jour.
Un rapide doup d'oeil ne me permet de trouver ni l'une ni l'autre
version de Slackware 10. Lumens et Cantrell ne sont plus, au mieux,
que des collaborateurs irréguliers. Il y a, par contre, quelqu'un qui
s'occupe du côté business, sans doute pas à temps plein.
À consulter le changelog, on voit aussi qu'il y a de nombreux
bénévoles qui apportent de petites contributions en testant current.
Finalement, c'est tout ce que ça prend.
De même qu'il y a de nombreux bénévoles qui apportent leur pierre à
l'édifice Debian. Il n'y a même que ça, d'ailleurs...
[...]
Idem pour Slackware. S'il y a une patch pour un paquet existant et un
nouveau paquet, il va évidemment choisir le nouveau paquet plutôt q ue
de patcher l'ancien et d'installer le nouveau plus tard. Ça va de soi .
J'ai toujours cru entendre qu'il n'existait quasiment pas, à propreme nt
parler, de notion de paquets chez Slackware...
/Quasiment/ pas, comme tu dis.
Donc, quand tu parles d'installer un paquet, qu'est-ce que tu installes,
au juste ?
Seulement, selon ce que j'ai entendu dire... entre les branches des
arbres, cette fois, c'est que dans le testing Debian, le paquet ne
change pas. Parce que, quand on change le paquet, ça peut impliquer
d'autres changements, de librairies, de dépendances etc., qui
chambarderaient trop le test.
Je ne vois pas en quoi ce serait tellement spécifique à la distribu tion
Debian. Intégrer un nouveau paquet à l'arborescence peut amener d'a utres
changements dûs aux nouvelles dépendances ou manquantes voire à c ause de
conflits.
Pourtant, Slackware saute le testing. Le testing se fait en cours de
route sur current. S'il faut de nouvelles librairies ou dépendances,
elles sont installées. Et c'est reparti, mon Kiki!
Oui mais testing permet justement d'avoir un instantané de la future
distribution stable sans pour autant stopper le développement de
l'unstable. C'est elle qui sert de base lorsqu'on la gèle juste avant de
sortir la nouvelle version (ce qui vient d'arriver il y a deux jours).
Le but de testing est d'éviter d'avoir une distribution trop bancale.
À tout cela s'ajoute, chez Debian, la gestion des 11
architectures actuellement supportées par le projet.
Ça m'en fait un pli, ça! Moi, je n'ai besoin que de l'architecture
Intel et si Debian décide qu'il faut que les 11 architectures soient
prêtes avant que l'Intel sorte, ça me fait juste chier. Si leurs 10
000 développeurs ne suffisent pas pour entretenir 11 architectures, il
devraient en laisser tomber. Mais tu avoueras que le rapport
développeurs/architectures est toujours, et de très loin, favorable à
Debian. Alors, on se demande ce à quoi contribuent ces 10 000
développeurs, sauf au poids du nombre, comme le faisait remarquer
Volkerding.
Ce n'est pas le projet Debian qui décide mais le RM (qui est nommé, je
crois par le PL, lui-même élu par l'ensemble des DD). Debian a toujours
eu pour vocation de supporter autant d'architectures que Linux pouvait
en avoir et ce nombre à augmenter au fur et à mesure des versions.
Maintenant, tous les paquets ne doivent pas non plus compiler sur les 11
mais au moins sur les architectures laissées à la discrétion du
responsable du paquet considéré.
Maintenant, la question est en effet ouverte car si Debian supporte 11
architectures, ia32 doit bien représenter plus de 80% de la population,
suivie de loin par PPC.
Alors, je ne sais pas trop, j'ai peut-être manqué un HOWTO sur la
lecture entre les lignes? Mais, sur la ligne, ce n'est pas du tout ce
que tu dis qui est écrit, et pas tout à fait ce que j'ai entendu di re,
non plus. Permets que je traduise:
Q.: Comment la sécurité de testing et unstable est-elle prise en ch arge?
R.: En un mot elle ne l'est pas. (...) Les «secrétaires» de la
sécurité tentent de régler les problèmes dans testing et unstab le
quand ils en ont fini avec stable.
Pas besoin de te donner tant de mal, il suffirait de régler ton
navigateur correctement pour préférer la langue de Molière et on obtient
ceci[3]:
T'occupe. La traduction de trois ou quatre phrases en me fait pas trop
suer. Et, si je suis arrivé là, c'est par l'entremise de Google.
Justement, la traduction officielle existait, c'est tout ce que je
voulais faire remarquer.
Pour des gens qui aiment tellement écrire, je pense qu'ils pourraient
décrire la situation beaucoup plus précisément en n'étant pas p lus longs.
Chez Slackware, les choses sont plus simples. Il y a deux versions --
stable et current -- et les deux sont à jour question sécurité. ( Et
même des précédentes, comme chez Debian, d'ailleurs, si je ne me trompe.)
Quand on n'est que trois, qu'on ne gère que trois architectures, c'es t
fatalement plus facile de rédiger une documentation correcte.
PV ne rédige pas de doc. C'est la doc générale pour Linux qui sert, le
vieux SLE, les README de la distro, etc.
[...]
On peut donc dire que Slackware n'est plus développé que pour Intel.
Au vu de ces deux points, c'est donc encore plus facile de gérer seul
une distribution...
Oui, ça s'appelle appliquer des patches si je ne me trompe. Toutes le s distros font ça, y compris Slackware. Mais il arrive parfois, quoi qu e rarement, je pense, qu'il n'y ait pas de patch et qu'il faille changer tout le paquet. La source la plus commune pour les patches semble êtr e mitre.org. Rien de nouveau là, même entre les lignes.
Je me demande seulement pourquoi ça semble une tâche d'une telle envergure chez Debian alors que Volkerding arrive à faire ça seul.
Tout "seul" ? Officiellement, ils sont au nombre de trois[1]...
Cette page date d'il y a belle lurette. Slackware Linux Essentials a été publié en Juillet 2000 et les processeurs Alpha ne sont plus en production. Les Sparc ont été remplacés par les ultrasparc.
Tu peux parler des manques d'informations sur les pages web de debian. Au moins, elles sont régulièrement mises à jour.
Un rapide doup d'oeil ne me permet de trouver ni l'une ni l'autre version de Slackware 10. Lumens et Cantrell ne sont plus, au mieux, que des collaborateurs irréguliers. Il y a, par contre, quelqu'un qui s'occupe du côté business, sans doute pas à temps plein.
À consulter le changelog, on voit aussi qu'il y a de nombreux bénévoles qui apportent de petites contributions en testant current. Finalement, c'est tout ce que ça prend.
De même qu'il y a de nombreux bénévoles qui apportent leur pierre à l'édifice Debian. Il n'y a même que ça, d'ailleurs...
[...]
Idem pour Slackware. S'il y a une patch pour un paquet existant et un nouveau paquet, il va évidemment choisir le nouveau paquet plutôt q ue de patcher l'ancien et d'installer le nouveau plus tard. Ça va de soi .
J'ai toujours cru entendre qu'il n'existait quasiment pas, à propreme nt parler, de notion de paquets chez Slackware...
/Quasiment/ pas, comme tu dis.
Donc, quand tu parles d'installer un paquet, qu'est-ce que tu installes, au juste ?
Seulement, selon ce que j'ai entendu dire... entre les branches des arbres, cette fois, c'est que dans le testing Debian, le paquet ne change pas. Parce que, quand on change le paquet, ça peut impliquer d'autres changements, de librairies, de dépendances etc., qui chambarderaient trop le test.
Je ne vois pas en quoi ce serait tellement spécifique à la distribu tion Debian. Intégrer un nouveau paquet à l'arborescence peut amener d'a utres changements dûs aux nouvelles dépendances ou manquantes voire à c ause de conflits.
Pourtant, Slackware saute le testing. Le testing se fait en cours de route sur current. S'il faut de nouvelles librairies ou dépendances, elles sont installées. Et c'est reparti, mon Kiki!
Oui mais testing permet justement d'avoir un instantané de la future distribution stable sans pour autant stopper le développement de l'unstable. C'est elle qui sert de base lorsqu'on la gèle juste avant de sortir la nouvelle version (ce qui vient d'arriver il y a deux jours). Le but de testing est d'éviter d'avoir une distribution trop bancale.
À tout cela s'ajoute, chez Debian, la gestion des 11 architectures actuellement supportées par le projet.
Ça m'en fait un pli, ça! Moi, je n'ai besoin que de l'architecture Intel et si Debian décide qu'il faut que les 11 architectures soient prêtes avant que l'Intel sorte, ça me fait juste chier. Si leurs 10 000 développeurs ne suffisent pas pour entretenir 11 architectures, il devraient en laisser tomber. Mais tu avoueras que le rapport développeurs/architectures est toujours, et de très loin, favorable à Debian. Alors, on se demande ce à quoi contribuent ces 10 000 développeurs, sauf au poids du nombre, comme le faisait remarquer Volkerding.
Ce n'est pas le projet Debian qui décide mais le RM (qui est nommé, je crois par le PL, lui-même élu par l'ensemble des DD). Debian a toujours eu pour vocation de supporter autant d'architectures que Linux pouvait en avoir et ce nombre à augmenter au fur et à mesure des versions. Maintenant, tous les paquets ne doivent pas non plus compiler sur les 11 mais au moins sur les architectures laissées à la discrétion du responsable du paquet considéré. Maintenant, la question est en effet ouverte car si Debian supporte 11 architectures, ia32 doit bien représenter plus de 80% de la population, suivie de loin par PPC.
Alors, je ne sais pas trop, j'ai peut-être manqué un HOWTO sur la lecture entre les lignes? Mais, sur la ligne, ce n'est pas du tout ce que tu dis qui est écrit, et pas tout à fait ce que j'ai entendu di re, non plus. Permets que je traduise:
Q.: Comment la sécurité de testing et unstable est-elle prise en ch arge?
R.: En un mot elle ne l'est pas. (...) Les «secrétaires» de la sécurité tentent de régler les problèmes dans testing et unstab le quand ils en ont fini avec stable.
Pas besoin de te donner tant de mal, il suffirait de régler ton navigateur correctement pour préférer la langue de Molière et on obtient ceci[3]:
T'occupe. La traduction de trois ou quatre phrases en me fait pas trop suer. Et, si je suis arrivé là, c'est par l'entremise de Google.
Justement, la traduction officielle existait, c'est tout ce que je voulais faire remarquer.
Pour des gens qui aiment tellement écrire, je pense qu'ils pourraient décrire la situation beaucoup plus précisément en n'étant pas p lus longs.
Chez Slackware, les choses sont plus simples. Il y a deux versions -- stable et current -- et les deux sont à jour question sécurité. ( Et même des précédentes, comme chez Debian, d'ailleurs, si je ne me trompe.)
Quand on n'est que trois, qu'on ne gère que trois architectures, c'es t fatalement plus facile de rédiger une documentation correcte.
PV ne rédige pas de doc. C'est la doc générale pour Linux qui sert, le vieux SLE, les README de la distro, etc.
[...]
On peut donc dire que Slackware n'est plus développé que pour Intel.
Au vu de ces deux points, c'est donc encore plus facile de gérer seul une distribution...
-- Raphaël 'SurcouF' Bordet
# | http://www.debianfr.net
Raphaël 'SurcouF' Bordet
On lun, 2004-08-02 at 14:28 -0400, GP wrote:
Testing ne reçoit pas de patches de sécurité, seulement stable et unstable.
Donc, testing aussi... puisqu'unstable est mise à jour presqu'aussit ôt la rustine appliquée sur les paquets de stable. Ensuite, testing rece vra le paquet envoyé pour unstable dans peu de temps, deux jours environ. En effet, la durée minimale de la quarantaine avec une si haute prior ité est de deux jours.
Je suis désolé, mais il n'y a rien de ce que tu racontes ici sur le site de Debian. La lecture entre les lignes et le tarot divinatoire, ce n'est pas mon fort.
http://www.debian.org/devel/testing
La phase de gel de la testing a débuté voici deux jours environ et doit durer un mois. La sortie ne saurait tarder et sera pour cette année.
Un mois, c'est le 2 septembre. La fin de l'année, c'est le 31 décembre. Or, le 31 décembre, ça fera plus de 13 mois que la derni ère version de Woody sera sortie. Ça n'a aucun bon sens.
Quel rapport avec le chmilblick ?
Debian n'a jamais cherché à gagner une quelconque course à la ver sion, comme le faisait Mandrake avec RedHat. La nouvelle distribution Debian stable sortira une fois qu'elle sera prête.
C'est ce qu'on dit: prête quand elle se sera prête. Si ce n'est pas une façon de justifier tous les déboires, dis-moi ce que c'est. C'est justement le genre d'imbécilité qui me fait douter du bon sens des gens de Debian. Si l'industrie fonctionnait comme ça, le téléphone ne serait pas encore inventé!
Le sujet d'une sortie régulière à date précise a déjà été évoqué mais c'est toujours au stade de discussion. On verra ce que les prochains PL décideront. Pour l'heure, l'important est de sortir sarge cette année. C'est le principal objectif plébiscité par les développeurs et les utilisateurs.
Et tous ça pourquoi? Quand Sarge va sortir, son soft va avoir l'âge d e celui de Slack 10... au mieux! Est-ce que Sarge va être plus sécure, plus stable qu'une Slack 10 mise à jour? Du tout!
Qui a dit qu'elle devait être plus sûre ou plus stable que ta Slackware 10 ? Debian continue son bonhomme de chemin, voilà tout. Si tu n'aimes pas cette distribution, je ne vois pas pourquoi tu la critiques autant: personne ne t'oblige à l'utiliser, que je sache...
Au début, current est identique à stable. On ajoute un petit soft, peut-être une librairie, un nouveau noyau, un nouvel ALSA, etc. Et ça évolue comme ça jusqu'à la prochaine distro. Si ç'a marché po ur PV, ça devrait marcher pour toi. Sinon, tu écris.
Chez Debian, c'est le rôle de l'unstable. Testing sert uniquement de distribution intermédiaire: elle permet de tester (comme son nom l'indique) la future stable. La gestion des anomalies est telle qu'elle permet d'éviter d'y intégrer celles qui sont trop critiques.
Une fois encore, c'est ce que PV fait avec current. Et comme c'est de plus en plus facile et /in/ de rouler current, le test est assez solide merci.
Mais si tu roules current, il faut t'attendre à ce qu'il y ait un paquet un peu mal foutu de temps à autre. On voit parfois dans le log qu'un paquet a été enlevé et remplacé par l'ancien. Mais pas souv ent.
Donc, current = unstable.
Tout comme il est conseillé à ceux qui passent à l'unstable de sa voir ce qu'ils font et de consulter non seulement les Changelog mais aussi le système de gestion d'anomalies (ou BTS, Bug Tracking System), que ce soit en consultant le site ou en utilisant des outils appropriés, com me l'incontournable apt-listbugs.
Il n'y a pas de BTS dans Slackware: ou ça fonctionne, ou ça ne fonctionne pas. Dans ce dernier cas, le paquet est scrappé. Au développeur de faire son boulot.
Et si un utilisateur découvre l'anomalie, comment peut-il en faire part au développeur ? Ce n'est pas très sérieux tout ça... Donc, oui: aucun problème... Normal, s'il y en a, on ne peut pas les rapporter...
Debian a donné naissance à plusieurs distributions commerciales, ce que je n'apprécie pas particulièrement, mais aussi à Knoppix, que j'estime beaucoup. Et, tout ce qui a démarré à partir de Knoppix dépasse l'entendement. Ç'a été un coup de fouet pour Linux.
Leurs succès est tout relatif et Knoppix est l'un des rares dériv és à tirer son épingle du jeu.
Chaque dérivé répond à un usage particulier. Il y en a pour l'éducation, pour les scientifiques, pour les gens qui préfèrent Gnome, pour ceux qui veulent refaire du repackaging... et même pour supporter le Tamoul! Alors, si tu as 100 dérivés «avec un succès relatif», ça fait un succès absolu.
Je parlais surtout des distributions commerciales basées sur Debian.
mais il y a des tas de gens qui se font un petit dérivé juste pour eu x.
C'était aussi le but du projet. Les deux l'encourage.
Et tous ces gens qui emploient le Live-CD sont des usagers potentiels de Debian. Alors, franchement, je pense que vous devriez aller baiser les pieds de Knopper.
Je ne suis pas d'accord. L'usage de Knoppix n'est pas celui d'une debian. D'ailleurs, il ne se passe pas un jour sans qu'un utilisateur de knoppix vienne se plaindre de problèmes après avoir installé la Knopp ix et réaliser des mises à jour vers debian. Les deux projets ont la mêm e base, certes, mais ils ne sont pas forcément compatible à terme.
Donc, Debian continue d'être un moteur dans le monde Linux mais, malgré ses... euh, 10 000 développeurs, c'est toujours quelqu'un d'autre qui fait que ça fonctionne, que le public l'adopte. Or, ce n'était clairement pas ça, le projet originel. Le modèle de développement ne fonctionne pas.
Pourrais-tu développer ?
Je pense que c'est fait, non?
Si je pose la question, c'est que j'en doute, non ?
Même Ian Murdock, celui qui a lancé Debian, semble opiner dans ce sens. Il y a deux ou trois ans, il lançait Progeny pour offrir une distro utilisable. Mais la distribution, dans un bel emballage carton avec un manuel, plutôt que dans un simple coffret CD avec un petit manuel de 50 page intégré, se vendait deux fois le prix de Mandrake et ça ne s'est jamais vendu.
Que se passera-t-il lorsque PV n'aura plus envie de consacrer de temps ni d'énergie à son bébé ? Ian Murdock a simplement souhaité p oursuivre sa route et a pris soin de confier le projet[1] en de bonnes mains, notamment celles de Bruce Perens.
Oui... Perens... Je n'ai jamais rien lu de lui qui ait eu grand bon sens. À un moment où je suggérais à Knopper d'accepter les dons p our mettre sur pied une vraie distro, Perens est apparu sur la liste de discussion pour indiquer que Debian avait déjà un système de collection bien en place. (Évidemment, on ne savait trop combien d'argent rentrait et comment il était utilisé.) Alors, s'il voulait s e joindre à la bande de joyeux lurons, il serait bien accueilli.
Devine, ce que Knopper lui a répondu... quoiqu'il y aurait sans doute plus à comprendre de ce qu'il n'a pas répondu :) Il a simplement rappelé que tout son code était GPL. Et vlan! Perens est disparu.
J'avoue ne pas comprendre l'allusion... Mais n'ayant pas eu autant de contact avec Knopper, c'est sans doute peu étonnant. As-tu des références sur le sujet que tu évoques ?
Si on compare Debian à Slackware, le développement dans un immense groupe qui donne la frousse à quiconque possède encore un semblant de raison et le développement vraiment ouvert à la mode Slackware, le fossé est évident.
Pourquoi n'y a-t-il toujours que 3 personnes officiellement ?
Comme je le disais, à part une espèce de comptable, il n'y en a qu'une. Pourquoi faudrait-il qu'il y en ait plus, officiellement? Je suis sûr que PV pourrait te fournir une liste de collaborateurs longue comme le bras.
Tout repose néanmoins sur PV. Si d'aventure, un DD ne remplit pas à temps ses devoirs, n'importe quel autre DD peut réaliser ce qu'on appelle un NMU dans le jargon pour régler un éventuel problème.
D'une part, le projet Debian n'a jamais interdit la co-existence de projets tiers dérivés.
Le voudrait-il qu'il ne pourrait pas. Dixit la GPL.
D'autre part, le projet Debian a choisi de ne pas intégré ni celui de Knoppix
Comme je l'ai expliqué, l'offre a été faite, mais ça n'intéress ait pas Knopper.
Pourquoi donc ?
ni celui de Progeny
Ça n'intéresse pas non plus Murdock.
Pourquoi donc ?
pour des raisons essentiellement liées aux besoins des 11 architectures... En effet, la première contrainte était qu'il permette d'installer Debian sur toutes les architectures supportées, donc, qu'il soit portable.
Hé! Quand tu as déjà un installateur qui fonctionne sur Intel, c'es t mieux que rien. Ensuite, soit que tu le complète pour le sonze autres architectures ou que tu en fasses 10 nouveaux.
Les 11 sont déjà là: on ne peut pas les ignorer ni faire de la discrimination. Soit l'installateur est capable d'installer debian sur les 11, soit il n'est pas fonctionnel, c'est aussi simple.
En outre, ils ont préféré disposer d'un outil modulable plutôt qu'une belle interface.
«un outil modulable plutôt qu'une belle interface»??? Si je compren ds bien, ça va être encore un incroyable foutoir?
Pourquoi donc ? Si l'on compare à dpkg/apt, ce n'est pas le foutoir, pourtant, tout est décomposé en couche. Et les interfaces graphiques arrivent à la fin. Autant avoir déjà un moteur qui fonctionne avant d e penser à la carrosserie.
[...]
Toujours en mai 2001, Collins ajoutait:
A recurring topic is our installer. I'm happy to report that a new modular installer is being worked on, and it so far appears to exceed, or will exceed, all of the goals that the group set for itself. It will probably not be done in time for woody, though.
http://www.linuxgazette.com/issue66/correa.html
Maudite marde, si jamais il sort avant la fin décembre et qu'il fonctionne sans avoir besoin d'un PhD en informatique, ça va avoir pris trois ans et demi avant de sortir ce **&%$$? d'installateur. Vois-tu un peu ce que Knopper a fait, seul, dans un temps équivalent?
Sur une voire deux architectures ? Ce n'est pas comparable, les contraintes ne sont pas les mêmes. Quand est-ce que tu comprendras qu'un groupe important de personnes n'a pas les mêmes contraintes qu'une personne seule dans son coin ? Travailler en groupe ne demande pas que des compétences techniques mais aussi un bon relationnel et ce n'est pas toujours facile: tous les développeurs debian ne sont pas faciles à vivre. Mais c'est aussi cela, un fonctionnement démocratique...
Et tu viens encore me sortir des «Ready when it's ready»? Non mais, quousque tandem? Faut vraiment avoir viré légume pour dire des choses comme ça!
Pourquoi ça te choque tant que ça ? Ils n'ont pas envie d'avoir des contraintes telles que les distributions commerciales qui s'imposent de sortir une nouvelle version tous les ans, voire tous les 6 mois. Pourquoi veux-tu leur imposer cette vision des choses ? Si tu estimes qu'ils ont quand même de bons outils, tu fais comme Knopper ou d'autres, et tu les reprends pour ton usage précis. Ainsi, on a eu Knoppix et apt-rpm...
-- Raphaël 'SurcouF' Bordet
# | http://www.debianfr.net
On lun, 2004-08-02 at 14:28 -0400, GP wrote:
Testing ne reçoit pas de patches de sécurité, seulement stable et
unstable.
Donc, testing aussi... puisqu'unstable est mise à jour presqu'aussit ôt
la rustine appliquée sur les paquets de stable. Ensuite, testing rece vra
le paquet envoyé pour unstable dans peu de temps, deux jours environ.
En effet, la durée minimale de la quarantaine avec une si haute prior ité
est de deux jours.
Je suis désolé, mais il n'y a rien de ce que tu racontes ici sur le
site de Debian. La lecture entre les lignes et le tarot divinatoire,
ce n'est pas mon fort.
http://www.debian.org/devel/testing
La phase de gel de la testing a débuté voici deux jours environ et doit
durer un mois. La sortie ne saurait tarder et sera pour cette année.
Un mois, c'est le 2 septembre. La fin de l'année, c'est le 31
décembre. Or, le 31 décembre, ça fera plus de 13 mois que la derni ère
version de Woody sera sortie. Ça n'a aucun bon sens.
Quel rapport avec le chmilblick ?
Debian n'a jamais cherché à gagner une quelconque course à la ver sion,
comme le faisait Mandrake avec RedHat. La nouvelle distribution Debian
stable sortira une fois qu'elle sera prête.
C'est ce qu'on dit: prête quand elle se sera prête. Si ce n'est pas
une façon de justifier tous les déboires, dis-moi ce que c'est. C'est
justement le genre d'imbécilité qui me fait douter du bon sens des
gens de Debian. Si l'industrie fonctionnait comme ça, le téléphone ne
serait pas encore inventé!
Le sujet d'une sortie régulière à date précise a déjà été évoqué mais
c'est toujours au stade de discussion. On verra ce que les prochains PL
décideront. Pour l'heure, l'important est de sortir sarge cette année.
C'est le principal objectif plébiscité par les développeurs et les
utilisateurs.
Et tous ça pourquoi? Quand Sarge va sortir, son soft va avoir l'âge d e
celui de Slack 10... au mieux! Est-ce que Sarge va être plus sécure,
plus stable qu'une Slack 10 mise à jour? Du tout!
Qui a dit qu'elle devait être plus sûre ou plus stable que ta Slackware
10 ? Debian continue son bonhomme de chemin, voilà tout.
Si tu n'aimes pas cette distribution, je ne vois pas pourquoi tu la
critiques autant: personne ne t'oblige à l'utiliser, que je sache...
Au début, current est identique à stable. On ajoute un petit soft,
peut-être une librairie, un nouveau noyau, un nouvel ALSA, etc. Et ça
évolue comme ça jusqu'à la prochaine distro. Si ç'a marché po ur PV, ça
devrait marcher pour toi. Sinon, tu écris.
Chez Debian, c'est le rôle de l'unstable. Testing sert uniquement de
distribution intermédiaire: elle permet de tester (comme son nom
l'indique) la future stable. La gestion des anomalies est telle qu'elle
permet d'éviter d'y intégrer celles qui sont trop critiques.
Une fois encore, c'est ce que PV fait avec current. Et comme c'est de
plus en plus facile et /in/ de rouler current, le test est assez
solide merci.
Mais si tu roules current, il faut t'attendre à ce qu'il y ait un
paquet un peu mal foutu de temps à autre. On voit parfois dans le log
qu'un paquet a été enlevé et remplacé par l'ancien. Mais pas souv ent.
Donc, current = unstable.
Tout comme il est conseillé à ceux qui passent à l'unstable de sa voir ce
qu'ils font et de consulter non seulement les Changelog mais aussi le
système de gestion d'anomalies (ou BTS, Bug Tracking System), que ce
soit en consultant le site ou en utilisant des outils appropriés, com me
l'incontournable apt-listbugs.
Il n'y a pas de BTS dans Slackware: ou ça fonctionne, ou ça ne
fonctionne pas. Dans ce dernier cas, le paquet est scrappé. Au
développeur de faire son boulot.
Et si un utilisateur découvre l'anomalie, comment peut-il en faire part
au développeur ? Ce n'est pas très sérieux tout ça...
Donc, oui: aucun problème... Normal, s'il y en a, on ne peut pas les
rapporter...
Debian a donné naissance à plusieurs distributions commerciales, ce
que je n'apprécie pas particulièrement, mais aussi à Knoppix, que
j'estime beaucoup. Et, tout ce qui a démarré à partir de Knoppix
dépasse l'entendement. Ç'a été un coup de fouet pour Linux.
Leurs succès est tout relatif et Knoppix est l'un des rares dériv és à
tirer son épingle du jeu.
Chaque dérivé répond à un usage particulier. Il y en a pour
l'éducation, pour les scientifiques, pour les gens qui préfèrent
Gnome, pour ceux qui veulent refaire du repackaging... et même pour
supporter le Tamoul! Alors, si tu as 100 dérivés «avec un succès
relatif», ça fait un succès absolu.
Je parlais surtout des distributions commerciales basées sur Debian.
mais il y a des tas de gens qui se font un petit dérivé juste pour eu x.
C'était aussi le but du projet. Les deux l'encourage.
Et tous ces gens qui emploient le Live-CD sont des usagers potentiels
de Debian. Alors, franchement, je pense que vous devriez aller baiser
les pieds de Knopper.
Je ne suis pas d'accord. L'usage de Knoppix n'est pas celui d'une
debian. D'ailleurs, il ne se passe pas un jour sans qu'un utilisateur de
knoppix vienne se plaindre de problèmes après avoir installé la Knopp ix
et réaliser des mises à jour vers debian. Les deux projets ont la mêm e
base, certes, mais ils ne sont pas forcément compatible à terme.
Donc, Debian continue d'être un moteur dans le monde Linux mais,
malgré ses... euh, 10 000 développeurs, c'est toujours quelqu'un
d'autre qui fait que ça fonctionne, que le public l'adopte. Or, ce
n'était clairement pas ça, le projet originel. Le modèle de
développement ne fonctionne pas.
Pourrais-tu développer ?
Je pense que c'est fait, non?
Si je pose la question, c'est que j'en doute, non ?
Même Ian Murdock, celui qui a lancé Debian, semble opiner dans ce
sens. Il y a deux ou trois ans, il lançait Progeny pour offrir une
distro utilisable. Mais la distribution, dans un bel emballage carton
avec un manuel, plutôt que dans un simple coffret CD avec un petit
manuel de 50 page intégré, se vendait deux fois le prix de Mandrake et
ça ne s'est jamais vendu.
Que se passera-t-il lorsque PV n'aura plus envie de consacrer de temps
ni d'énergie à son bébé ? Ian Murdock a simplement souhaité p oursuivre
sa route et a pris soin de confier le projet[1] en de bonnes mains,
notamment celles de Bruce Perens.
Oui... Perens... Je n'ai jamais rien lu de lui qui ait eu grand bon
sens. À un moment où je suggérais à Knopper d'accepter les dons p our
mettre sur pied une vraie distro, Perens est apparu sur la liste de
discussion pour indiquer que Debian avait déjà un système de
collection bien en place. (Évidemment, on ne savait trop combien
d'argent rentrait et comment il était utilisé.) Alors, s'il voulait s e
joindre à la bande de joyeux lurons, il serait bien accueilli.
Devine, ce que Knopper lui a répondu... quoiqu'il y aurait sans doute
plus à comprendre de ce qu'il n'a pas répondu :) Il a simplement
rappelé que tout son code était GPL. Et vlan! Perens est disparu.
J'avoue ne pas comprendre l'allusion... Mais n'ayant pas eu autant de
contact avec Knopper, c'est sans doute peu étonnant.
As-tu des références sur le sujet que tu évoques ?
Si on compare Debian à Slackware, le développement dans un immense
groupe qui donne la frousse à quiconque possède encore un semblant de
raison et le développement vraiment ouvert à la mode Slackware, le
fossé est évident.
Pourquoi n'y a-t-il toujours que 3 personnes officiellement ?
Comme je le disais, à part une espèce de comptable, il n'y en a
qu'une. Pourquoi faudrait-il qu'il y en ait plus, officiellement? Je
suis sûr que PV pourrait te fournir une liste de collaborateurs longue
comme le bras.
Tout repose néanmoins sur PV. Si d'aventure, un DD ne remplit pas à
temps ses devoirs, n'importe quel autre DD peut réaliser ce qu'on
appelle un NMU dans le jargon pour régler un éventuel problème.
D'une part, le projet Debian n'a jamais interdit la co-existence de
projets tiers dérivés.
Le voudrait-il qu'il ne pourrait pas. Dixit la GPL.
D'autre part, le projet Debian a choisi de ne pas
intégré ni celui de Knoppix
Comme je l'ai expliqué, l'offre a été faite, mais ça n'intéress ait pas
Knopper.
Pourquoi donc ?
ni celui de Progeny
Ça n'intéresse pas non plus Murdock.
Pourquoi donc ?
pour des raisons
essentiellement liées aux besoins des 11 architectures... En effet,
la première contrainte était qu'il permette d'installer Debian sur
toutes les architectures supportées, donc, qu'il soit portable.
Hé! Quand tu as déjà un installateur qui fonctionne sur Intel, c'es t
mieux que rien. Ensuite, soit que tu le complète pour le sonze autres
architectures ou que tu en fasses 10 nouveaux.
Les 11 sont déjà là: on ne peut pas les ignorer ni faire de la
discrimination. Soit l'installateur est capable d'installer debian sur
les 11, soit il n'est pas fonctionnel, c'est aussi simple.
En outre, ils ont préféré disposer d'un outil modulable plutôt qu'une
belle interface.
«un outil modulable plutôt qu'une belle interface»??? Si je compren ds
bien, ça va être encore un incroyable foutoir?
Pourquoi donc ? Si l'on compare à dpkg/apt, ce n'est pas le foutoir,
pourtant, tout est décomposé en couche. Et les interfaces graphiques
arrivent à la fin. Autant avoir déjà un moteur qui fonctionne avant d e
penser à la carrosserie.
[...]
Toujours en mai 2001, Collins ajoutait:
A recurring topic is our installer. I'm happy to report that a new
modular installer is being worked on, and it so far appears to exceed,
or will exceed, all of the goals that the group set for itself. It
will probably not be done in time for woody, though.
http://www.linuxgazette.com/issue66/correa.html
Maudite marde, si jamais il sort avant la fin décembre et qu'il
fonctionne sans avoir besoin d'un PhD en informatique, ça va avoir
pris trois ans et demi avant de sortir ce **&%$$? d'installateur.
Vois-tu un peu ce que Knopper a fait, seul, dans un temps équivalent?
Sur une voire deux architectures ? Ce n'est pas comparable, les
contraintes ne sont pas les mêmes.
Quand est-ce que tu comprendras qu'un groupe important de personnes n'a
pas les mêmes contraintes qu'une personne seule dans son coin ?
Travailler en groupe ne demande pas que des compétences techniques mais
aussi un bon relationnel et ce n'est pas toujours facile: tous les
développeurs debian ne sont pas faciles à vivre.
Mais c'est aussi cela, un fonctionnement démocratique...
Et tu viens encore me sortir des «Ready when it's ready»? Non mais,
quousque tandem? Faut vraiment avoir viré légume pour dire des choses
comme ça!
Pourquoi ça te choque tant que ça ? Ils n'ont pas envie d'avoir des
contraintes telles que les distributions commerciales qui s'imposent de
sortir une nouvelle version tous les ans, voire tous les 6 mois.
Pourquoi veux-tu leur imposer cette vision des choses ?
Si tu estimes qu'ils ont quand même de bons outils, tu fais comme
Knopper ou d'autres, et tu les reprends pour ton usage précis.
Ainsi, on a eu Knoppix et apt-rpm...
Testing ne reçoit pas de patches de sécurité, seulement stable et unstable.
Donc, testing aussi... puisqu'unstable est mise à jour presqu'aussit ôt la rustine appliquée sur les paquets de stable. Ensuite, testing rece vra le paquet envoyé pour unstable dans peu de temps, deux jours environ. En effet, la durée minimale de la quarantaine avec une si haute prior ité est de deux jours.
Je suis désolé, mais il n'y a rien de ce que tu racontes ici sur le site de Debian. La lecture entre les lignes et le tarot divinatoire, ce n'est pas mon fort.
http://www.debian.org/devel/testing
La phase de gel de la testing a débuté voici deux jours environ et doit durer un mois. La sortie ne saurait tarder et sera pour cette année.
Un mois, c'est le 2 septembre. La fin de l'année, c'est le 31 décembre. Or, le 31 décembre, ça fera plus de 13 mois que la derni ère version de Woody sera sortie. Ça n'a aucun bon sens.
Quel rapport avec le chmilblick ?
Debian n'a jamais cherché à gagner une quelconque course à la ver sion, comme le faisait Mandrake avec RedHat. La nouvelle distribution Debian stable sortira une fois qu'elle sera prête.
C'est ce qu'on dit: prête quand elle se sera prête. Si ce n'est pas une façon de justifier tous les déboires, dis-moi ce que c'est. C'est justement le genre d'imbécilité qui me fait douter du bon sens des gens de Debian. Si l'industrie fonctionnait comme ça, le téléphone ne serait pas encore inventé!
Le sujet d'une sortie régulière à date précise a déjà été évoqué mais c'est toujours au stade de discussion. On verra ce que les prochains PL décideront. Pour l'heure, l'important est de sortir sarge cette année. C'est le principal objectif plébiscité par les développeurs et les utilisateurs.
Et tous ça pourquoi? Quand Sarge va sortir, son soft va avoir l'âge d e celui de Slack 10... au mieux! Est-ce que Sarge va être plus sécure, plus stable qu'une Slack 10 mise à jour? Du tout!
Qui a dit qu'elle devait être plus sûre ou plus stable que ta Slackware 10 ? Debian continue son bonhomme de chemin, voilà tout. Si tu n'aimes pas cette distribution, je ne vois pas pourquoi tu la critiques autant: personne ne t'oblige à l'utiliser, que je sache...
Au début, current est identique à stable. On ajoute un petit soft, peut-être une librairie, un nouveau noyau, un nouvel ALSA, etc. Et ça évolue comme ça jusqu'à la prochaine distro. Si ç'a marché po ur PV, ça devrait marcher pour toi. Sinon, tu écris.
Chez Debian, c'est le rôle de l'unstable. Testing sert uniquement de distribution intermédiaire: elle permet de tester (comme son nom l'indique) la future stable. La gestion des anomalies est telle qu'elle permet d'éviter d'y intégrer celles qui sont trop critiques.
Une fois encore, c'est ce que PV fait avec current. Et comme c'est de plus en plus facile et /in/ de rouler current, le test est assez solide merci.
Mais si tu roules current, il faut t'attendre à ce qu'il y ait un paquet un peu mal foutu de temps à autre. On voit parfois dans le log qu'un paquet a été enlevé et remplacé par l'ancien. Mais pas souv ent.
Donc, current = unstable.
Tout comme il est conseillé à ceux qui passent à l'unstable de sa voir ce qu'ils font et de consulter non seulement les Changelog mais aussi le système de gestion d'anomalies (ou BTS, Bug Tracking System), que ce soit en consultant le site ou en utilisant des outils appropriés, com me l'incontournable apt-listbugs.
Il n'y a pas de BTS dans Slackware: ou ça fonctionne, ou ça ne fonctionne pas. Dans ce dernier cas, le paquet est scrappé. Au développeur de faire son boulot.
Et si un utilisateur découvre l'anomalie, comment peut-il en faire part au développeur ? Ce n'est pas très sérieux tout ça... Donc, oui: aucun problème... Normal, s'il y en a, on ne peut pas les rapporter...
Debian a donné naissance à plusieurs distributions commerciales, ce que je n'apprécie pas particulièrement, mais aussi à Knoppix, que j'estime beaucoup. Et, tout ce qui a démarré à partir de Knoppix dépasse l'entendement. Ç'a été un coup de fouet pour Linux.
Leurs succès est tout relatif et Knoppix est l'un des rares dériv és à tirer son épingle du jeu.
Chaque dérivé répond à un usage particulier. Il y en a pour l'éducation, pour les scientifiques, pour les gens qui préfèrent Gnome, pour ceux qui veulent refaire du repackaging... et même pour supporter le Tamoul! Alors, si tu as 100 dérivés «avec un succès relatif», ça fait un succès absolu.
Je parlais surtout des distributions commerciales basées sur Debian.
mais il y a des tas de gens qui se font un petit dérivé juste pour eu x.
C'était aussi le but du projet. Les deux l'encourage.
Et tous ces gens qui emploient le Live-CD sont des usagers potentiels de Debian. Alors, franchement, je pense que vous devriez aller baiser les pieds de Knopper.
Je ne suis pas d'accord. L'usage de Knoppix n'est pas celui d'une debian. D'ailleurs, il ne se passe pas un jour sans qu'un utilisateur de knoppix vienne se plaindre de problèmes après avoir installé la Knopp ix et réaliser des mises à jour vers debian. Les deux projets ont la mêm e base, certes, mais ils ne sont pas forcément compatible à terme.
Donc, Debian continue d'être un moteur dans le monde Linux mais, malgré ses... euh, 10 000 développeurs, c'est toujours quelqu'un d'autre qui fait que ça fonctionne, que le public l'adopte. Or, ce n'était clairement pas ça, le projet originel. Le modèle de développement ne fonctionne pas.
Pourrais-tu développer ?
Je pense que c'est fait, non?
Si je pose la question, c'est que j'en doute, non ?
Même Ian Murdock, celui qui a lancé Debian, semble opiner dans ce sens. Il y a deux ou trois ans, il lançait Progeny pour offrir une distro utilisable. Mais la distribution, dans un bel emballage carton avec un manuel, plutôt que dans un simple coffret CD avec un petit manuel de 50 page intégré, se vendait deux fois le prix de Mandrake et ça ne s'est jamais vendu.
Que se passera-t-il lorsque PV n'aura plus envie de consacrer de temps ni d'énergie à son bébé ? Ian Murdock a simplement souhaité p oursuivre sa route et a pris soin de confier le projet[1] en de bonnes mains, notamment celles de Bruce Perens.
Oui... Perens... Je n'ai jamais rien lu de lui qui ait eu grand bon sens. À un moment où je suggérais à Knopper d'accepter les dons p our mettre sur pied une vraie distro, Perens est apparu sur la liste de discussion pour indiquer que Debian avait déjà un système de collection bien en place. (Évidemment, on ne savait trop combien d'argent rentrait et comment il était utilisé.) Alors, s'il voulait s e joindre à la bande de joyeux lurons, il serait bien accueilli.
Devine, ce que Knopper lui a répondu... quoiqu'il y aurait sans doute plus à comprendre de ce qu'il n'a pas répondu :) Il a simplement rappelé que tout son code était GPL. Et vlan! Perens est disparu.
J'avoue ne pas comprendre l'allusion... Mais n'ayant pas eu autant de contact avec Knopper, c'est sans doute peu étonnant. As-tu des références sur le sujet que tu évoques ?
Si on compare Debian à Slackware, le développement dans un immense groupe qui donne la frousse à quiconque possède encore un semblant de raison et le développement vraiment ouvert à la mode Slackware, le fossé est évident.
Pourquoi n'y a-t-il toujours que 3 personnes officiellement ?
Comme je le disais, à part une espèce de comptable, il n'y en a qu'une. Pourquoi faudrait-il qu'il y en ait plus, officiellement? Je suis sûr que PV pourrait te fournir une liste de collaborateurs longue comme le bras.
Tout repose néanmoins sur PV. Si d'aventure, un DD ne remplit pas à temps ses devoirs, n'importe quel autre DD peut réaliser ce qu'on appelle un NMU dans le jargon pour régler un éventuel problème.
D'une part, le projet Debian n'a jamais interdit la co-existence de projets tiers dérivés.
Le voudrait-il qu'il ne pourrait pas. Dixit la GPL.
D'autre part, le projet Debian a choisi de ne pas intégré ni celui de Knoppix
Comme je l'ai expliqué, l'offre a été faite, mais ça n'intéress ait pas Knopper.
Pourquoi donc ?
ni celui de Progeny
Ça n'intéresse pas non plus Murdock.
Pourquoi donc ?
pour des raisons essentiellement liées aux besoins des 11 architectures... En effet, la première contrainte était qu'il permette d'installer Debian sur toutes les architectures supportées, donc, qu'il soit portable.
Hé! Quand tu as déjà un installateur qui fonctionne sur Intel, c'es t mieux que rien. Ensuite, soit que tu le complète pour le sonze autres architectures ou que tu en fasses 10 nouveaux.
Les 11 sont déjà là: on ne peut pas les ignorer ni faire de la discrimination. Soit l'installateur est capable d'installer debian sur les 11, soit il n'est pas fonctionnel, c'est aussi simple.
En outre, ils ont préféré disposer d'un outil modulable plutôt qu'une belle interface.
«un outil modulable plutôt qu'une belle interface»??? Si je compren ds bien, ça va être encore un incroyable foutoir?
Pourquoi donc ? Si l'on compare à dpkg/apt, ce n'est pas le foutoir, pourtant, tout est décomposé en couche. Et les interfaces graphiques arrivent à la fin. Autant avoir déjà un moteur qui fonctionne avant d e penser à la carrosserie.
[...]
Toujours en mai 2001, Collins ajoutait:
A recurring topic is our installer. I'm happy to report that a new modular installer is being worked on, and it so far appears to exceed, or will exceed, all of the goals that the group set for itself. It will probably not be done in time for woody, though.
http://www.linuxgazette.com/issue66/correa.html
Maudite marde, si jamais il sort avant la fin décembre et qu'il fonctionne sans avoir besoin d'un PhD en informatique, ça va avoir pris trois ans et demi avant de sortir ce **&%$$? d'installateur. Vois-tu un peu ce que Knopper a fait, seul, dans un temps équivalent?
Sur une voire deux architectures ? Ce n'est pas comparable, les contraintes ne sont pas les mêmes. Quand est-ce que tu comprendras qu'un groupe important de personnes n'a pas les mêmes contraintes qu'une personne seule dans son coin ? Travailler en groupe ne demande pas que des compétences techniques mais aussi un bon relationnel et ce n'est pas toujours facile: tous les développeurs debian ne sont pas faciles à vivre. Mais c'est aussi cela, un fonctionnement démocratique...
Et tu viens encore me sortir des «Ready when it's ready»? Non mais, quousque tandem? Faut vraiment avoir viré légume pour dire des choses comme ça!
Pourquoi ça te choque tant que ça ? Ils n'ont pas envie d'avoir des contraintes telles que les distributions commerciales qui s'imposent de sortir une nouvelle version tous les ans, voire tous les 6 mois. Pourquoi veux-tu leur imposer cette vision des choses ? Si tu estimes qu'ils ont quand même de bons outils, tu fais comme Knopper ou d'autres, et tu les reprends pour ton usage précis. Ainsi, on a eu Knoppix et apt-rpm...
-- Raphaël 'SurcouF' Bordet
# | http://www.debianfr.net
ZeFredz
Le Sun, 01 Aug 2004 18:38:08 -0400, GP a tapote sur son clavier :
P.s.: Prière de ne pas répondre à ce message par un tas de bêtises. Répondre à mon message précédent. Prière de me dire, ce que font dpkg, dselect, apt-get, synaptic, aptitude en quelques mots, ce qu'il faut utiliser et comment, pour faire quoi. Si vous m'écrivez 500 pages pour faire les quelques lignes de swaret, c'est trop long.
GP
apt-get sert à l'installation de paquets (apt-get install) la mise à jour des liste de paquets (apt-get update), la mise à jour des paquets proprements dits (apt-get upgrade ou apt-get dist-upgrade), la suppression des paquets (apt-get remove), d'obtenir les sources d'un paquet (apt-get source), tout cela à partir d'une liste de sites sources. Mais il n'y a pas que apt-get, il y a également apt-cache qui permet de rechercher un paquet suivant des mots clés (apt-cache search) ou d'obtenir des infos sur un paquet (apt-cache info) ou de connaître les versions disponibles ou installées d'un paquet donné (apt-cache policy). Il y a apt-cdrom qui la même chose que apt-get, mais depuis un cdrom.
L'usage d'apt peut sembler un peu rébarbatif aux néophites, mais c'est un outil très puissant une fois que l'on a appris à l'utiliser. Cela seulement ix mois que je suis sous Debian et, d'ailleurs, sour GNU/Linux et je n'ai aucun problème avec son utilisation. C'est comme tout, c'est juste une question de pratique.
dpkg est utiliser par apt et permet la gestion "manuelle" des paquets (installation via dpkg --install, configuration vi dpkg-reconfigure...). Je ne vais pas détailler ici, man dpkg ou une recherche sur google (dpkg debian tutorial) te donnera plus d'info.
synaptique et aptitude ne sont que des front-end pour apt. Il facilite le travail des débutants, mais, personnellement, je les trouve assez pourris et je leur préfère apt...
dselect perso je ne l'utilise pas, donc je ne peux pas trop te dire quels sont ses points communs ou ses différences avec apt...
Il y a un autre outil pour installer des applications sous Debian : tasksel. Il sert à installer des ensembles de paquets ayant un "thème" commun, par exemple "environnement graphique" ou "tex".
J'espère que cela aura répondu à ta question.
Bonne soirée,
-- ZeFredz
Le Sun, 01 Aug 2004 18:38:08 -0400, GP a tapote sur son clavier :
P.s.: Prière de ne pas répondre à ce message par un tas de bêtises.
Répondre à mon message précédent. Prière de me dire, ce que font dpkg,
dselect, apt-get, synaptic, aptitude en quelques mots, ce qu'il faut
utiliser et comment, pour faire quoi. Si vous m'écrivez 500 pages pour
faire les quelques lignes de swaret, c'est trop long.
GP
apt-get sert à l'installation de paquets (apt-get install) la mise à
jour des liste de paquets (apt-get update), la mise à jour des paquets
proprements dits (apt-get upgrade ou apt-get dist-upgrade), la suppression
des paquets (apt-get remove), d'obtenir les sources d'un paquet (apt-get
source), tout cela à partir d'une liste de sites sources. Mais il n'y a
pas que apt-get, il y a également apt-cache qui permet de rechercher un
paquet suivant des mots clés (apt-cache search) ou d'obtenir des infos
sur un paquet (apt-cache info) ou de connaître les versions disponibles
ou installées d'un paquet donné (apt-cache policy). Il y a apt-cdrom qui
la même chose que apt-get, mais depuis un cdrom.
L'usage d'apt peut sembler un peu rébarbatif aux néophites, mais c'est
un outil très puissant une fois que l'on a appris à l'utiliser. Cela
seulement ix mois que je suis sous Debian et, d'ailleurs, sour GNU/Linux
et je n'ai aucun problème avec son utilisation. C'est comme tout, c'est
juste une question de pratique.
dpkg est utiliser par apt et permet la gestion "manuelle" des paquets
(installation via dpkg --install, configuration vi dpkg-reconfigure...).
Je ne vais pas détailler ici, man dpkg ou une recherche sur google (dpkg
debian tutorial) te donnera plus d'info.
synaptique et aptitude ne sont que des front-end pour apt. Il facilite le
travail des débutants, mais, personnellement, je les trouve assez pourris
et je leur préfère apt...
dselect perso je ne l'utilise pas, donc je ne peux pas trop te dire
quels sont ses points communs ou ses différences avec apt...
Il y a un autre outil pour installer des applications sous Debian :
tasksel. Il sert à installer des ensembles de paquets ayant un "thème"
commun, par exemple "environnement graphique" ou "tex".
Le Sun, 01 Aug 2004 18:38:08 -0400, GP a tapote sur son clavier :
P.s.: Prière de ne pas répondre à ce message par un tas de bêtises. Répondre à mon message précédent. Prière de me dire, ce que font dpkg, dselect, apt-get, synaptic, aptitude en quelques mots, ce qu'il faut utiliser et comment, pour faire quoi. Si vous m'écrivez 500 pages pour faire les quelques lignes de swaret, c'est trop long.
GP
apt-get sert à l'installation de paquets (apt-get install) la mise à jour des liste de paquets (apt-get update), la mise à jour des paquets proprements dits (apt-get upgrade ou apt-get dist-upgrade), la suppression des paquets (apt-get remove), d'obtenir les sources d'un paquet (apt-get source), tout cela à partir d'une liste de sites sources. Mais il n'y a pas que apt-get, il y a également apt-cache qui permet de rechercher un paquet suivant des mots clés (apt-cache search) ou d'obtenir des infos sur un paquet (apt-cache info) ou de connaître les versions disponibles ou installées d'un paquet donné (apt-cache policy). Il y a apt-cdrom qui la même chose que apt-get, mais depuis un cdrom.
L'usage d'apt peut sembler un peu rébarbatif aux néophites, mais c'est un outil très puissant une fois que l'on a appris à l'utiliser. Cela seulement ix mois que je suis sous Debian et, d'ailleurs, sour GNU/Linux et je n'ai aucun problème avec son utilisation. C'est comme tout, c'est juste une question de pratique.
dpkg est utiliser par apt et permet la gestion "manuelle" des paquets (installation via dpkg --install, configuration vi dpkg-reconfigure...). Je ne vais pas détailler ici, man dpkg ou une recherche sur google (dpkg debian tutorial) te donnera plus d'info.
synaptique et aptitude ne sont que des front-end pour apt. Il facilite le travail des débutants, mais, personnellement, je les trouve assez pourris et je leur préfère apt...
dselect perso je ne l'utilise pas, donc je ne peux pas trop te dire quels sont ses points communs ou ses différences avec apt...
Il y a un autre outil pour installer des applications sous Debian : tasksel. Il sert à installer des ensembles de paquets ayant un "thème" commun, par exemple "environnement graphique" ou "tex".
J'espère que cela aura répondu à ta question.
Bonne soirée,
-- ZeFredz
nospam
Raphaël 'SurcouF' Bordet wrote:
On dim, 2004-08-01 at 17:22 +0200, Vincent Bernat wrote:
Désolé je suis trop con pour utiliser aptitude. Pour moi c'est aussi imbaisable que dselect.
aptitude update aptitude upgrade
Tu le fais exprès ?
Dans le cadre d'une mise à jour depuis la stable vers la testing/unstable, il faut utiliser aptitude dist-upgrade.
Question con c'est quoi la différence entre aptitude et apt-get ?
Remplacez nospam par mon prénom pour me contacter par email
nospam
Franck Yvonnet wrote:
Ou alors il va te répondre d'arreter tes conneries, que ça n'a rien à voir avec le problème, et que tu ferais mieux de te rendre à l'évidence. D'ailleurs j'attend toujours qu'il m'explique pour les éditeurs vendent autant de bouquin sur Windows vu qu'on est censé savoir s'en servir instinctivement.
Remplacez nospam par mon prénom pour me contacter par email
Franck Yvonnet <franck@yvonnet.org> wrote:
Ou alors il va te répondre d'arreter tes conneries, que ça n'a rien à
voir avec le problème, et que tu ferais mieux de te rendre à l'évidence.
D'ailleurs j'attend toujours qu'il m'explique pour les éditeurs vendent
autant de bouquin sur Windows vu qu'on est censé savoir s'en servir
instinctivement.
Ou alors il va te répondre d'arreter tes conneries, que ça n'a rien à voir avec le problème, et que tu ferais mieux de te rendre à l'évidence. D'ailleurs j'attend toujours qu'il m'explique pour les éditeurs vendent autant de bouquin sur Windows vu qu'on est censé savoir s'en servir instinctivement.