liaM wrote:Il me semble que Mark of the Unicorn avait débuté avec Professional
Composer . Y a t il jamais eu un pont jeté entre celui ci et
des Finale ou Sibelius ?
Un temps, Professional Composer (qui était principalement un éditeur de
partitions) a été remplacé chez MOTU par un logiciel appelé Mozaic, pas
mal pour l'époque mais fermé, sans ToolBox à polices propriétaires et
qui n'a eu aucun suivi.
En fait, en 1986, LE logiciel d'édition de partitions qui marchait bien,
avec ToolBox et export Illustrator et choix des fontes (incluant celles
qu'on pouvait créer en type 3) était HB Engraver. Finale n'est intervenu
que plus tard et nous avons vraiment traîné les pieds à y passer tant la
souplesse de HB lui a longtemps fait défaut. Sibélius pour sa part n'est
né que plusieurs années plus tard.
MOTU avait jeté l'éponge sur l'édition de partitions en incluant
simplement les fonctionnalités de Mozaic dans Performer et Digital
Performer.
De toutes façons, comme je l'ai déjà dit, la logique de l'édition de
partitions va un peu à l'envers de celle d'un séquenceur et les
meilleurs éditeurs ont toujours été les pires séquenceurs.
Mention à part pour celui de Logic Pro, mais qui est une usine à gaz
dans laquelle on peut "tout" trouver, et le fromage et le dessert,
encore faut-il en avoir l'usage et ne pas être gêné par les problèmes de
compatibilité directe que souligne Pierre-Alain.
liaM <cuddly@mindless.com> wrote:
Il me semble que Mark of the Unicorn avait débuté avec Professional
Composer . Y a t il jamais eu un pont jeté entre celui ci et
des Finale ou Sibelius ?
Un temps, Professional Composer (qui était principalement un éditeur de
partitions) a été remplacé chez MOTU par un logiciel appelé Mozaic, pas
mal pour l'époque mais fermé, sans ToolBox à polices propriétaires et
qui n'a eu aucun suivi.
En fait, en 1986, LE logiciel d'édition de partitions qui marchait bien,
avec ToolBox et export Illustrator et choix des fontes (incluant celles
qu'on pouvait créer en type 3) était HB Engraver. Finale n'est intervenu
que plus tard et nous avons vraiment traîné les pieds à y passer tant la
souplesse de HB lui a longtemps fait défaut. Sibélius pour sa part n'est
né que plusieurs années plus tard.
MOTU avait jeté l'éponge sur l'édition de partitions en incluant
simplement les fonctionnalités de Mozaic dans Performer et Digital
Performer.
De toutes façons, comme je l'ai déjà dit, la logique de l'édition de
partitions va un peu à l'envers de celle d'un séquenceur et les
meilleurs éditeurs ont toujours été les pires séquenceurs.
Mention à part pour celui de Logic Pro, mais qui est une usine à gaz
dans laquelle on peut "tout" trouver, et le fromage et le dessert,
encore faut-il en avoir l'usage et ne pas être gêné par les problèmes de
compatibilité directe que souligne Pierre-Alain.
liaM wrote:Il me semble que Mark of the Unicorn avait débuté avec Professional
Composer . Y a t il jamais eu un pont jeté entre celui ci et
des Finale ou Sibelius ?
Un temps, Professional Composer (qui était principalement un éditeur de
partitions) a été remplacé chez MOTU par un logiciel appelé Mozaic, pas
mal pour l'époque mais fermé, sans ToolBox à polices propriétaires et
qui n'a eu aucun suivi.
En fait, en 1986, LE logiciel d'édition de partitions qui marchait bien,
avec ToolBox et export Illustrator et choix des fontes (incluant celles
qu'on pouvait créer en type 3) était HB Engraver. Finale n'est intervenu
que plus tard et nous avons vraiment traîné les pieds à y passer tant la
souplesse de HB lui a longtemps fait défaut. Sibélius pour sa part n'est
né que plusieurs années plus tard.
MOTU avait jeté l'éponge sur l'édition de partitions en incluant
simplement les fonctionnalités de Mozaic dans Performer et Digital
Performer.
De toutes façons, comme je l'ai déjà dit, la logique de l'édition de
partitions va un peu à l'envers de celle d'un séquenceur et les
meilleurs éditeurs ont toujours été les pires séquenceurs.
Mention à part pour celui de Logic Pro, mais qui est une usine à gaz
dans laquelle on peut "tout" trouver, et le fromage et le dessert,
encore faut-il en avoir l'usage et ne pas être gêné par les problèmes de
compatibilité directe que souligne Pierre-Alain.
Toutefois, si je devais m'y mettre, j'aurais d'abord pensé à Cinéma 4D
en produit de découverte, puis à Maya en produit pro. En quoi aurais-je
eu tort ?
Ensuite je peux me satisfaire d'un univers clos, travaillant seul le
plus souvent, ce qui explique que je ne rencontre pas ces problèmes
d'échanges de fichiers qui motivent ton choix.
Toutefois, si je devais m'y mettre, j'aurais d'abord pensé à Cinéma 4D
en produit de découverte, puis à Maya en produit pro. En quoi aurais-je
eu tort ?
Ensuite je peux me satisfaire d'un univers clos, travaillant seul le
plus souvent, ce qui explique que je ne rencontre pas ces problèmes
d'échanges de fichiers qui motivent ton choix.
Toutefois, si je devais m'y mettre, j'aurais d'abord pensé à Cinéma 4D
en produit de découverte, puis à Maya en produit pro. En quoi aurais-je
eu tort ?
Ensuite je peux me satisfaire d'un univers clos, travaillant seul le
plus souvent, ce qui explique que je ne rencontre pas ces problèmes
d'échanges de fichiers qui motivent ton choix.
Gerald a écrit :
...Toutefois, si je devais m'y mettre, j'aurais d'abord pensé à Cinéma 4D
en produit de découverte, puis à Maya en produit pro. En quoi aurais-je
eu tort ?
Ce sont essentiellement des logiciels d'animation,de "render" et
d'effets... mais l'étape précédente est la conception technique du
projet, avec un travail sur les valeurs très précises, géométrie, RDM
(résistance matériaux), approche très scientifique sans laquelle, une
voiture d'animation ressemble à une truc en pâte à modeler dans GTA4.....
on utilise (et on s'échange à longueur de journée) des logiciels comme
Autocad, Turbocad, Archicad, Pro Engineer, Solidworks et autre Catia
puis in suit avec 3D, 3Dsmax, illustrator... jusqu'à Photoshop ou Vegas
en bout de chaine !
La conception est bien loin de l'animation et là le PC reste
malheureusement incontournable non pas par ses qualités, mais par son
universalité et le nombre d'utilisateurs. (tout comme le Mac l'est en en
PAO) à tel point que l'utilisateur d'une autre plateforme passe pour un
charlot !!! un peu comme le type qui arrive vers mes ados en leur
disant: "je fais des super jeux avec mon Mac" ;o)))))))).Ensuite je peux me satisfaire d'un univers clos, travaillant seul le
plus souvent, ce qui explique que je ne rencontre pas ces problèmes
d'échanges de fichiers qui motivent ton choix.
le rêve... aujourd'hui, on en arrive à acheter des logiciels uniquement
pour leur qualité d'import/export, il ne servent parfois que de
"passage" entre deux plateformes. Et c'est là la très grande force de
Cubase/Nuendo à une époque où tous les autres se sont spécialisés
monoplateforme, j'en arrive même à penser que le futur Bilou sera celui
qui sortira un truc tournant aussi bien sous Win, OSx et Linux.
Ils sont déjà nombreux à s'y essayer (Mozilla Firefox, Thunderbird, The
Gimp, Open Office etc...)... et on imagine bien que les grands Gourous
comme Steevie voient ça d'un très très mauvais oeil.
Et il y a de quoi: mon gamin a un des premier Iphone "Chinois" tout à
fait légaux à l'époque et il fonctionne parfaitement et avec la même
qualité et fiabilité pour une quarantaine d'euros, rien à pirater, pas
de protections... !!! En période de crise, ceux qui gardent la balle
n'ont rien compris au jeu.
º¿º
Gerald a écrit :
...
Toutefois, si je devais m'y mettre, j'aurais d'abord pensé à Cinéma 4D
en produit de découverte, puis à Maya en produit pro. En quoi aurais-je
eu tort ?
Ce sont essentiellement des logiciels d'animation,de "render" et
d'effets... mais l'étape précédente est la conception technique du
projet, avec un travail sur les valeurs très précises, géométrie, RDM
(résistance matériaux), approche très scientifique sans laquelle, une
voiture d'animation ressemble à une truc en pâte à modeler dans GTA4.....
on utilise (et on s'échange à longueur de journée) des logiciels comme
Autocad, Turbocad, Archicad, Pro Engineer, Solidworks et autre Catia
puis in suit avec 3D, 3Dsmax, illustrator... jusqu'à Photoshop ou Vegas
en bout de chaine !
La conception est bien loin de l'animation et là le PC reste
malheureusement incontournable non pas par ses qualités, mais par son
universalité et le nombre d'utilisateurs. (tout comme le Mac l'est en en
PAO) à tel point que l'utilisateur d'une autre plateforme passe pour un
charlot !!! un peu comme le type qui arrive vers mes ados en leur
disant: "je fais des super jeux avec mon Mac" ;o)))))))).
Ensuite je peux me satisfaire d'un univers clos, travaillant seul le
plus souvent, ce qui explique que je ne rencontre pas ces problèmes
d'échanges de fichiers qui motivent ton choix.
le rêve... aujourd'hui, on en arrive à acheter des logiciels uniquement
pour leur qualité d'import/export, il ne servent parfois que de
"passage" entre deux plateformes. Et c'est là la très grande force de
Cubase/Nuendo à une époque où tous les autres se sont spécialisés
monoplateforme, j'en arrive même à penser que le futur Bilou sera celui
qui sortira un truc tournant aussi bien sous Win, OSx et Linux.
Ils sont déjà nombreux à s'y essayer (Mozilla Firefox, Thunderbird, The
Gimp, Open Office etc...)... et on imagine bien que les grands Gourous
comme Steevie voient ça d'un très très mauvais oeil.
Et il y a de quoi: mon gamin a un des premier Iphone "Chinois" tout à
fait légaux à l'époque et il fonctionne parfaitement et avec la même
qualité et fiabilité pour une quarantaine d'euros, rien à pirater, pas
de protections... !!! En période de crise, ceux qui gardent la balle
n'ont rien compris au jeu.
º¿º
Gerald a écrit :
...Toutefois, si je devais m'y mettre, j'aurais d'abord pensé à Cinéma 4D
en produit de découverte, puis à Maya en produit pro. En quoi aurais-je
eu tort ?
Ce sont essentiellement des logiciels d'animation,de "render" et
d'effets... mais l'étape précédente est la conception technique du
projet, avec un travail sur les valeurs très précises, géométrie, RDM
(résistance matériaux), approche très scientifique sans laquelle, une
voiture d'animation ressemble à une truc en pâte à modeler dans GTA4.....
on utilise (et on s'échange à longueur de journée) des logiciels comme
Autocad, Turbocad, Archicad, Pro Engineer, Solidworks et autre Catia
puis in suit avec 3D, 3Dsmax, illustrator... jusqu'à Photoshop ou Vegas
en bout de chaine !
La conception est bien loin de l'animation et là le PC reste
malheureusement incontournable non pas par ses qualités, mais par son
universalité et le nombre d'utilisateurs. (tout comme le Mac l'est en en
PAO) à tel point que l'utilisateur d'une autre plateforme passe pour un
charlot !!! un peu comme le type qui arrive vers mes ados en leur
disant: "je fais des super jeux avec mon Mac" ;o)))))))).Ensuite je peux me satisfaire d'un univers clos, travaillant seul le
plus souvent, ce qui explique que je ne rencontre pas ces problèmes
d'échanges de fichiers qui motivent ton choix.
le rêve... aujourd'hui, on en arrive à acheter des logiciels uniquement
pour leur qualité d'import/export, il ne servent parfois que de
"passage" entre deux plateformes. Et c'est là la très grande force de
Cubase/Nuendo à une époque où tous les autres se sont spécialisés
monoplateforme, j'en arrive même à penser que le futur Bilou sera celui
qui sortira un truc tournant aussi bien sous Win, OSx et Linux.
Ils sont déjà nombreux à s'y essayer (Mozilla Firefox, Thunderbird, The
Gimp, Open Office etc...)... et on imagine bien que les grands Gourous
comme Steevie voient ça d'un très très mauvais oeil.
Et il y a de quoi: mon gamin a un des premier Iphone "Chinois" tout à
fait légaux à l'époque et il fonctionne parfaitement et avec la même
qualité et fiabilité pour une quarantaine d'euros, rien à pirater, pas
de protections... !!! En période de crise, ceux qui gardent la balle
n'ont rien compris au jeu.
º¿º
Connaissez vous "Score" de Leland Smith ?
Connaissez vous "Score" de Leland Smith ?
Connaissez vous "Score" de Leland Smith ?
liaM wrote:Connaissez vous "Score" de Leland Smith ?
J'ai eu un temps d'arrêt ! euh, oui, mais on remonte à la préhistoire de
l'informatique ! On parle bien d'un programme qui tourne sous DOS, à
interface texte (et même ligne de commande !), et qui ne gérait pas le
postscript ?
Malgré les références indiscutables de ceux qui l'ont porté sur les
fonts baptismaux, et d'éditeurs prestigieux l'ayant utilisé au milieu
des années 80 et au-delà (est-ce par "habitude" ?), il faut reconnaître
que du point de vue de ceux qui travaillaient en mode graphique,
wysiwyg, sur mac, et avec les facilités apportées par le postscript dans
la gestion graphique, qu'il s'agisse des polices de caractères ou
d'Illustrator 88, ce programme était un peu "extra-terrestre".
Mais c'est comme pour Lilypond : il y a, à l'évidence, une clientèle
pour des logiciels à interface non graphique. Tant mieux s'ils y
trouvent leur bonheur (dans un autre domaine LaTeX en est un bon
exemple).
Sans jugement de valeur, c'est très en dehors de ma manière (actuelle ?)
de travailler !
liaM <cuddly@mindless.com> wrote:
Connaissez vous "Score" de Leland Smith ?
J'ai eu un temps d'arrêt ! euh, oui, mais on remonte à la préhistoire de
l'informatique ! On parle bien d'un programme qui tourne sous DOS, à
interface texte (et même ligne de commande !), et qui ne gérait pas le
postscript ?
Malgré les références indiscutables de ceux qui l'ont porté sur les
fonts baptismaux, et d'éditeurs prestigieux l'ayant utilisé au milieu
des années 80 et au-delà (est-ce par "habitude" ?), il faut reconnaître
que du point de vue de ceux qui travaillaient en mode graphique,
wysiwyg, sur mac, et avec les facilités apportées par le postscript dans
la gestion graphique, qu'il s'agisse des polices de caractères ou
d'Illustrator 88, ce programme était un peu "extra-terrestre".
Mais c'est comme pour Lilypond : il y a, à l'évidence, une clientèle
pour des logiciels à interface non graphique. Tant mieux s'ils y
trouvent leur bonheur (dans un autre domaine LaTeX en est un bon
exemple).
Sans jugement de valeur, c'est très en dehors de ma manière (actuelle ?)
de travailler !
liaM wrote:Connaissez vous "Score" de Leland Smith ?
J'ai eu un temps d'arrêt ! euh, oui, mais on remonte à la préhistoire de
l'informatique ! On parle bien d'un programme qui tourne sous DOS, à
interface texte (et même ligne de commande !), et qui ne gérait pas le
postscript ?
Malgré les références indiscutables de ceux qui l'ont porté sur les
fonts baptismaux, et d'éditeurs prestigieux l'ayant utilisé au milieu
des années 80 et au-delà (est-ce par "habitude" ?), il faut reconnaître
que du point de vue de ceux qui travaillaient en mode graphique,
wysiwyg, sur mac, et avec les facilités apportées par le postscript dans
la gestion graphique, qu'il s'agisse des polices de caractères ou
d'Illustrator 88, ce programme était un peu "extra-terrestre".
Mais c'est comme pour Lilypond : il y a, à l'évidence, une clientèle
pour des logiciels à interface non graphique. Tant mieux s'ils y
trouvent leur bonheur (dans un autre domaine LaTeX en est un bon
exemple).
Sans jugement de valeur, c'est très en dehors de ma manière (actuelle ?)
de travailler !
Mais c'est comme pour Lilypond : il y a, à l'évidence, une clientèle
pour des logiciels à interface non graphique. Tant mieux s'ils y
trouvent leur bonheur (dans un autre domaine LaTeX en est un bon
exemple).
Sans jugement de valeur, c'est très en dehors de ma manière (actuelle
?) de travailler !
Mais c'est comme pour Lilypond : il y a, à l'évidence, une clientèle
pour des logiciels à interface non graphique. Tant mieux s'ils y
trouvent leur bonheur (dans un autre domaine LaTeX en est un bon
exemple).
Sans jugement de valeur, c'est très en dehors de ma manière (actuelle
?) de travailler !
Mais c'est comme pour Lilypond : il y a, à l'évidence, une clientèle
pour des logiciels à interface non graphique. Tant mieux s'ils y
trouvent leur bonheur (dans un autre domaine LaTeX en est un bon
exemple).
Sans jugement de valeur, c'est très en dehors de ma manière (actuelle
?) de travailler !
- La comparaison avec des éditeurs comme Finale tourne rarement à
l'avantage de ce dernier (voir par exemple
http://www.lilypond.org/web/about/automated-engraving/software ou
http://www.musicbyandrew.ca/finale-lilypond-2.html)
- La comparaison avec des éditeurs comme Finale tourne rarement à
l'avantage de ce dernier (voir par exemple
http://www.lilypond.org/web/about/automated-engraving/software ou
http://www.musicbyandrew.ca/finale-lilypond-2.html)
- La comparaison avec des éditeurs comme Finale tourne rarement à
l'avantage de ce dernier (voir par exemple
http://www.lilypond.org/web/about/automated-engraving/software ou
http://www.musicbyandrew.ca/finale-lilypond-2.html)
Je me permet de témoigner ce que m'ont affirmé les typographes d'une
maison d'edition allemande récemment, que "Score" est le plus capable
de tous les editeurs. On y a accès à tout, ce qui ne semble pas être le
cas avec Finale ou Sibelius.
Je me permet de témoigner ce que m'ont affirmé les typographes d'une
maison d'edition allemande récemment, que "Score" est le plus capable
de tous les editeurs. On y a accès à tout, ce qui ne semble pas être le
cas avec Finale ou Sibelius.
Je me permet de témoigner ce que m'ont affirmé les typographes d'une
maison d'edition allemande récemment, que "Score" est le plus capable
de tous les editeurs. On y a accès à tout, ce qui ne semble pas être le
cas avec Finale ou Sibelius.
- On reste là dans de la musique classique non « contemporaine »,
sophistiquée certes, mais bien codifiée quand même. Je me demande ce que
vaut Lilypond sur de l'écriture contemporaine avec particularismes
d'auteur (notations sans notes, quarts de tons, éléments graphiques
intercalés...),
ou sur de la partition Jazz façon Real Book,
ou encore
sur des méthodes incluant texte, schémas et photos...
- On reste là dans de la musique classique non « contemporaine »,
sophistiquée certes, mais bien codifiée quand même. Je me demande ce que
vaut Lilypond sur de l'écriture contemporaine avec particularismes
d'auteur (notations sans notes, quarts de tons, éléments graphiques
intercalés...),
ou sur de la partition Jazz façon Real Book,
ou encore
sur des méthodes incluant texte, schémas et photos...
- On reste là dans de la musique classique non « contemporaine »,
sophistiquée certes, mais bien codifiée quand même. Je me demande ce que
vaut Lilypond sur de l'écriture contemporaine avec particularismes
d'auteur (notations sans notes, quarts de tons, éléments graphiques
intercalés...),
ou sur de la partition Jazz façon Real Book,
ou encore
sur des méthodes incluant texte, schémas et photos...
Je me permet de témoigner ce que m'ont affirmé les typographes d'une
maison d'edition allemande récemment, que "Score" est le plus capable
de tous les editeurs. On y a accès à tout,
Je me permet de témoigner ce que m'ont affirmé les typographes d'une
maison d'edition allemande récemment, que "Score" est le plus capable
de tous les editeurs. On y a accès à tout,
Je me permet de témoigner ce que m'ont affirmé les typographes d'une
maison d'edition allemande récemment, que "Score" est le plus capable
de tous les editeurs. On y a accès à tout,