Peut on considérer le mouvement du Logiciel Libre comme "de gauche"? Je suis
utilisateur de Logiciel Libre et adhérent dans un parti politique de
gauche(PCF). Les idées véhiculées par le mouvement du Logiciel Libre
correspondent à mes idées politiques (altruisme, entraide, pas de
discrimination etc...), mais est ce que tous les utilisateurs de LL sont de
gauche ou est ce que certains utilisateurs pensent qu'il ne faut pas
rattacher le LL à une quelconque idéologie politique?
Si tu vas chez le médecin ou l'avocat, tu payes la consultation, même si tu peux trouver des livres de médecine ou de droit te permettant d'acquérir les mêmes connaissances que celles du professionnel.
A la nuance près que tu ne peux prétendre les remplacer sur la foi de ton apprentissage en autodidacte, ce que permet l'informatique.
Je dirais plutôt - ce devait être votre pensée - ce que permet le Libre.
Non, ça me paraît clair. Tu peux avoir un doctorat en biologie et devenir ingénieur en informatique. Par contre, avec un doctorat en informatique, tu n'auras jamais le droit de pratiquer dans un cabinet médical (sauf si tu suis les études quivonbien après, et en tant que médecin, je m'entends, pas en tant que balayeur).
Stéphane
--
Pour me répondre, traduire gratuit en anglais et virer le .invalid. http://stef.carpentier.free.fr/
Nicolas S. wrote:
Si tu vas chez le médecin ou l'avocat, tu payes la consultation, même
si tu peux trouver des livres de médecine ou de droit te permettant
d'acquérir les mêmes connaissances que celles du professionnel.
A la nuance près que tu ne peux prétendre les remplacer sur la foi de
ton apprentissage en autodidacte, ce que permet l'informatique.
Je dirais plutôt - ce devait être votre pensée - ce que permet le Libre.
Non, ça me paraît clair.
Tu peux avoir un doctorat en biologie et devenir ingénieur en informatique.
Par contre, avec un doctorat en informatique, tu n'auras jamais le droit
de pratiquer dans un cabinet médical (sauf si tu suis les études quivonbien
après, et en tant que médecin, je m'entends, pas en tant que balayeur).
Stéphane
--
Pour me répondre, traduire gratuit en anglais et virer le .invalid.
http://stef.carpentier.free.fr/
Si tu vas chez le médecin ou l'avocat, tu payes la consultation, même si tu peux trouver des livres de médecine ou de droit te permettant d'acquérir les mêmes connaissances que celles du professionnel.
A la nuance près que tu ne peux prétendre les remplacer sur la foi de ton apprentissage en autodidacte, ce que permet l'informatique.
Je dirais plutôt - ce devait être votre pensée - ce que permet le Libre.
Non, ça me paraît clair. Tu peux avoir un doctorat en biologie et devenir ingénieur en informatique. Par contre, avec un doctorat en informatique, tu n'auras jamais le droit de pratiquer dans un cabinet médical (sauf si tu suis les études quivonbien après, et en tant que médecin, je m'entends, pas en tant que balayeur).
Stéphane
--
Pour me répondre, traduire gratuit en anglais et virer le .invalid. http://stef.carpentier.free.fr/
Pierre PANTALÉON
Ainsi Parlait plouf
Ce n'est pas parce qu'il critique les institutions françaises et certains comportements 'collectifs' des français, qu'il méprise les français en général.
Dans son cas c'est plus que de la critique.
Et je ne vois pas pourquoi on n'acceuillerait pas correctement quelqu'un sous prétexte qu'il n'a pas les même idées.
Parce que les "idées" en question consiste à afficher un mepris général de la France.
Mais non ! Il critique des idées que tu as à coeur c'est tout.
Heureusement que ne sont pas restés français tous ceux qui étaient pour le général PETAIN ! hein ?
Ainsi Parlait plouf <plouf79@yahoo.fr>
Ce n'est pas parce qu'il critique les institutions françaises et certains
comportements 'collectifs' des français, qu'il méprise les français en
général.
Dans son cas c'est plus que de la critique.
Et je ne vois pas pourquoi on n'acceuillerait pas correctement quelqu'un
sous prétexte qu'il n'a pas les même idées.
Parce que les "idées" en question consiste à afficher un mepris général
de la France.
Mais non !
Il critique des idées que tu as à coeur c'est tout.
Heureusement que ne sont pas restés français tous ceux qui étaient pour
le général PETAIN ! hein ?
Ce n'est pas parce qu'il critique les institutions françaises et certains comportements 'collectifs' des français, qu'il méprise les français en général.
Dans son cas c'est plus que de la critique.
Et je ne vois pas pourquoi on n'acceuillerait pas correctement quelqu'un sous prétexte qu'il n'a pas les même idées.
Parce que les "idées" en question consiste à afficher un mepris général de la France.
Mais non ! Il critique des idées que tu as à coeur c'est tout.
Heureusement que ne sont pas restés français tous ceux qui étaient pour le général PETAIN ! hein ?
Pierre PANTALÉON
Laurent Martin wrote:
Il faut arrêter de caricaturer... En 15ans de vie professionnelle parisienne, en prenant exclusivement les transports en commun pour aller travailler, il est arrivé une seule fois de ne pas pouvoir me rendre à mon travail à cause des grèves... et seulement lors des grèves de 1995 et en 2002, j'ai du prendre ma voiture pour m'y rendre...
Ben tu as de la chance.
Énormément oui ;) et une voiture aussi !
Laurent Martin wrote:
Il faut arrêter de caricaturer...
En 15ans de vie professionnelle parisienne, en prenant exclusivement les
transports en commun pour aller travailler, il est arrivé une seule fois de
ne pas pouvoir me rendre à mon travail à cause des grèves... et seulement
lors des grèves de 1995 et en 2002, j'ai du prendre ma voiture pour m'y
rendre...
Il faut arrêter de caricaturer... En 15ans de vie professionnelle parisienne, en prenant exclusivement les transports en commun pour aller travailler, il est arrivé une seule fois de ne pas pouvoir me rendre à mon travail à cause des grèves... et seulement lors des grèves de 1995 et en 2002, j'ai du prendre ma voiture pour m'y rendre...
Ben tu as de la chance.
Énormément oui ;) et une voiture aussi !
Pierre PANTALÉON
Pour avoir fait mon "étude de marché" ;-) avant de postuler, je suis plutot d'accord avec Mister Tougard: les pouvoirs d'achat sont peu ou prou les même d'un pays occidental à l'autre, avec des avantages et inconvénients de chaque côté. Par contre, ce qui change énormément, c'est le coût du "socio-médical". P.ex. un copain s'est expatrié un an aux Etats-Unis comme chercheur. Quand sa femme enceinte allait chez le gynéco pour une visite de contrôle avec echographie, le cout de la consultation s'élevait à près de 1000$ (oui, mille!), ce qui réservait de facto les soins médicaux à une classe "aisée" (ce qui était heureusement son cas).
Parce que tu crois que ça coute combien en réalité ?
Pour avoir fait mon "étude de marché" ;-) avant de postuler, je suis
plutot d'accord avec Mister Tougard: les pouvoirs d'achat sont peu ou
prou les même d'un pays occidental à l'autre, avec des avantages et
inconvénients de chaque côté.
Par contre, ce qui change énormément, c'est le coût du "socio-médical".
P.ex. un copain s'est expatrié un an aux Etats-Unis comme chercheur.
Quand sa femme enceinte allait chez le gynéco pour une visite de
contrôle avec echographie, le cout de la consultation s'élevait à près
de 1000$ (oui, mille!), ce qui réservait de facto les soins médicaux à
une classe "aisée" (ce qui était heureusement son cas).
Parce que tu crois que ça coute combien en réalité ?
Pour avoir fait mon "étude de marché" ;-) avant de postuler, je suis plutot d'accord avec Mister Tougard: les pouvoirs d'achat sont peu ou prou les même d'un pays occidental à l'autre, avec des avantages et inconvénients de chaque côté. Par contre, ce qui change énormément, c'est le coût du "socio-médical". P.ex. un copain s'est expatrié un an aux Etats-Unis comme chercheur. Quand sa femme enceinte allait chez le gynéco pour une visite de contrôle avec echographie, le cout de la consultation s'élevait à près de 1000$ (oui, mille!), ce qui réservait de facto les soins médicaux à une classe "aisée" (ce qui était heureusement son cas).
Parce que tu crois que ça coute combien en réalité ?
Nicolas S.
Nicolas S. wrote:
Si tu vas chez le médecin ou l'avocat, tu payes la consultation, même si tu peux trouver des livres de médecine ou de droit te permettant d'acquérir les mêmes connaissances que celles du professionnel.
A la nuance près que tu ne peux prétendre les remplacer sur la foi de ton apprentissage en autodidacte, ce que permet l'informatique.
Je dirais plutôt - ce devait être votre pensée - ce que permet le Libre.
Non, ça me paraît clair. Tu peux avoir un doctorat en biologie et devenir ingénieur en informatique. Par contre, avec un doctorat en informatique, tu n'auras jamais le droit de pratiquer dans un cabinet médical (sauf si tu suis les études quivonbien après, et en tant que médecin, je m'entends, pas en tant que balayeur).
Alors, il faut distinguer deux choses: les compétences et les diplômes.
Dans un cas comme dans l'autre (la biologie et l'informatique), un autodidacte ne pourra pas prétendre au titre de doctorant sans avoir suivi une formation et obtenu le diplôme.
En revanche, en informatique (et AMHA, surtout grâce au Libre), on peut aisément être autodidacte et faire valoir ses hautes compétences. Chose qui me paraît autrement plus difficile dans d'autres secteurs comme la biologie.
-- Nicolas S.
Nicolas S. wrote:
Si tu vas chez le médecin ou l'avocat, tu payes la consultation, même
si tu peux trouver des livres de médecine ou de droit te permettant
d'acquérir les mêmes connaissances que celles du professionnel.
A la nuance près que tu ne peux prétendre les remplacer sur la foi de
ton apprentissage en autodidacte, ce que permet l'informatique.
Je dirais plutôt - ce devait être votre pensée - ce que permet le Libre.
Non, ça me paraît clair.
Tu peux avoir un doctorat en biologie et devenir ingénieur en informatique.
Par contre, avec un doctorat en informatique, tu n'auras jamais le droit
de pratiquer dans un cabinet médical (sauf si tu suis les études quivonbien
après, et en tant que médecin, je m'entends, pas en tant que balayeur).
Alors, il faut distinguer deux choses: les compétences et les diplômes.
Dans un cas comme dans l'autre (la biologie et l'informatique), un
autodidacte ne pourra pas prétendre au titre de doctorant sans avoir
suivi une formation et obtenu le diplôme.
En revanche, en informatique (et AMHA, surtout grâce au Libre), on peut
aisément être autodidacte et faire valoir ses hautes compétences.
Chose qui me paraît autrement plus difficile dans d'autres secteurs
comme la biologie.
Si tu vas chez le médecin ou l'avocat, tu payes la consultation, même si tu peux trouver des livres de médecine ou de droit te permettant d'acquérir les mêmes connaissances que celles du professionnel.
A la nuance près que tu ne peux prétendre les remplacer sur la foi de ton apprentissage en autodidacte, ce que permet l'informatique.
Je dirais plutôt - ce devait être votre pensée - ce que permet le Libre.
Non, ça me paraît clair. Tu peux avoir un doctorat en biologie et devenir ingénieur en informatique. Par contre, avec un doctorat en informatique, tu n'auras jamais le droit de pratiquer dans un cabinet médical (sauf si tu suis les études quivonbien après, et en tant que médecin, je m'entends, pas en tant que balayeur).
Alors, il faut distinguer deux choses: les compétences et les diplômes.
Dans un cas comme dans l'autre (la biologie et l'informatique), un autodidacte ne pourra pas prétendre au titre de doctorant sans avoir suivi une formation et obtenu le diplôme.
En revanche, en informatique (et AMHA, surtout grâce au Libre), on peut aisément être autodidacte et faire valoir ses hautes compétences. Chose qui me paraît autrement plus difficile dans d'autres secteurs comme la biologie.
-- Nicolas S.
l'indien
On Wed, 03 Aug 2005 15:44:31 +0200, Stephane Zuckerman wrote:
Il faut arrêter de caricaturer... En 15ans de vie professionnelle parisienne, en prenant exclusivement les transports en commun pour aller travailler, il est arrivé une seule fois de ne pas pouvoir me rendre à mon travail à cause des grèves... et seulement lors des grèves de 1995 et en 2002, j'ai du prendre ma voiture pour m'y rendre...
Parce que tu as une voiture. J'ai plusieurs membres de ma famille qui ont justement choisis leurs domiciles en fonction des transports en commun, justement pour ne pas devoir investir dans un véhicule. Je ne te dis pas leur tronche quand une grève est annoncée...
Mouais. Franchement, les grèves m'énervent - surtout quand aucune raison claire n'est donnée dans les gares, et que même le personnel de ladite gare n'était pas vraiment au courant. MAIS - car bien sûr, il y a un "MAIS", d'où le mouais ;-) - pour ce qui est de l'Ile de France, je n'ai jamais vraiment eu à souffrir (pour preuve depuis février il y a déjà eu quelques mouvements relativement importants), mis à part un soir où je suis rentré vraiment tard (je mets déjà 1h et quelques pour aller au boulot, donc forcément, lorsque les trains sont moins nombreux, il faut bien que ma correspondance prenne plus de temps).
Je suis d'accord. De mon point de vue, si ma ligne de RER est bloqué, j'ai plusieurs bus à ~1 km, une autre gare SNCF à ~2k... Il est très rare que tout soit bloqué en même temps. Et puis, 12 km à pied en essayant de faire du stop ne m'ont jamais tué, au contraire, ça perturbe juste un peu l'horaire ;-)
Honnêtement, les grèves qui m'ont le plus fait chier étaient celles organisées sur les grandes lignes, où j'ai eu droit plusieurs fois en quelques mois à des grèves surprises (avec le personnel qui ignorait qu'il allait y avoir une grève).
C'est effectivement très pénible d'être bloqué n'importe ou, dans une ville qu'on ne connait pas avec pour tout espoir qu'un train passe ou qu'on puisse faire du stop pour arriver à bon port...
Dans le genre, le plus folklo que j'ai connu (mais ce n'était pas de la faute de la SNCF), c'est un retour de Strasbourg à Paris le jour de la tempête de 1999... On a du mettre à peu près une journée, mais on s'est baladé: on est passé par Besançon !
On Wed, 03 Aug 2005 15:44:31 +0200, Stephane Zuckerman wrote:
Il faut arrêter de caricaturer...
En 15ans de vie professionnelle parisienne, en prenant exclusivement les
transports en commun pour aller travailler, il est arrivé une seule fois de
ne pas pouvoir me rendre à mon travail à cause des grèves... et seulement
lors des grèves de 1995 et en 2002, j'ai du prendre ma voiture pour m'y
rendre...
Parce que tu as une voiture.
J'ai plusieurs membres de ma famille qui ont justement choisis leurs
domiciles en fonction des transports en commun, justement pour ne pas
devoir investir dans un véhicule.
Je ne te dis pas leur tronche quand une grève est annoncée...
Mouais.
Franchement, les grèves m'énervent - surtout quand aucune raison claire
n'est donnée dans les gares, et que même le personnel de ladite gare
n'était pas vraiment au courant.
MAIS - car bien sûr, il y a un "MAIS", d'où le mouais ;-) - pour ce qui
est de l'Ile de France, je n'ai jamais vraiment eu à souffrir (pour preuve
depuis février il y a déjà eu quelques mouvements relativement
importants), mis à part un soir où je suis rentré vraiment tard (je mets
déjà 1h et quelques pour aller au boulot, donc forcément, lorsque les
trains sont moins nombreux, il faut bien que ma correspondance prenne plus
de temps).
Je suis d'accord. De mon point de vue, si ma ligne de RER est bloqué,
j'ai plusieurs bus à ~1 km, une autre gare SNCF à ~2k...
Il est très rare que tout soit bloqué en même temps.
Et puis, 12 km à pied en essayant de faire du stop ne m'ont jamais tué,
au contraire, ça perturbe juste un peu l'horaire ;-)
Honnêtement, les grèves qui m'ont le plus fait chier étaient celles
organisées sur les grandes lignes, où j'ai eu droit plusieurs fois en
quelques mois à des grèves surprises (avec le personnel qui ignorait qu'il
allait y avoir une grève).
C'est effectivement très pénible d'être bloqué n'importe ou, dans une
ville qu'on ne connait pas avec pour tout espoir qu'un train passe ou
qu'on puisse faire du stop pour arriver à bon port...
Dans le genre, le plus folklo que j'ai connu (mais ce n'était pas de la
faute de la SNCF), c'est un retour de Strasbourg à Paris le jour de la
tempête de 1999... On a du mettre à peu près une journée, mais on
s'est baladé: on est passé par Besançon !
On Wed, 03 Aug 2005 15:44:31 +0200, Stephane Zuckerman wrote:
Il faut arrêter de caricaturer... En 15ans de vie professionnelle parisienne, en prenant exclusivement les transports en commun pour aller travailler, il est arrivé une seule fois de ne pas pouvoir me rendre à mon travail à cause des grèves... et seulement lors des grèves de 1995 et en 2002, j'ai du prendre ma voiture pour m'y rendre...
Parce que tu as une voiture. J'ai plusieurs membres de ma famille qui ont justement choisis leurs domiciles en fonction des transports en commun, justement pour ne pas devoir investir dans un véhicule. Je ne te dis pas leur tronche quand une grève est annoncée...
Mouais. Franchement, les grèves m'énervent - surtout quand aucune raison claire n'est donnée dans les gares, et que même le personnel de ladite gare n'était pas vraiment au courant. MAIS - car bien sûr, il y a un "MAIS", d'où le mouais ;-) - pour ce qui est de l'Ile de France, je n'ai jamais vraiment eu à souffrir (pour preuve depuis février il y a déjà eu quelques mouvements relativement importants), mis à part un soir où je suis rentré vraiment tard (je mets déjà 1h et quelques pour aller au boulot, donc forcément, lorsque les trains sont moins nombreux, il faut bien que ma correspondance prenne plus de temps).
Je suis d'accord. De mon point de vue, si ma ligne de RER est bloqué, j'ai plusieurs bus à ~1 km, une autre gare SNCF à ~2k... Il est très rare que tout soit bloqué en même temps. Et puis, 12 km à pied en essayant de faire du stop ne m'ont jamais tué, au contraire, ça perturbe juste un peu l'horaire ;-)
Honnêtement, les grèves qui m'ont le plus fait chier étaient celles organisées sur les grandes lignes, où j'ai eu droit plusieurs fois en quelques mois à des grèves surprises (avec le personnel qui ignorait qu'il allait y avoir une grève).
C'est effectivement très pénible d'être bloqué n'importe ou, dans une ville qu'on ne connait pas avec pour tout espoir qu'un train passe ou qu'on puisse faire du stop pour arriver à bon port...
Dans le genre, le plus folklo que j'ai connu (mais ce n'était pas de la faute de la SNCF), c'est un retour de Strasbourg à Paris le jour de la tempête de 1999... On a du mettre à peu près une journée, mais on s'est baladé: on est passé par Besançon !
Stéphane CARPENTIER
helios wrote:
donc comment peut tu affirmer que l'editeur l'edite parce qu'il est rentable tu ment alors,
C'est trop drôle. Après, certains vont écrire qu'on se déchaîne sur toi, mais il faut aussi que tu fasses un effort de ton côté.
Stéphane
--
Pour me répondre, traduire gratuit en anglais et virer le .invalid. http://stef.carpentier.free.fr/
helios wrote:
donc comment peut tu affirmer que l'editeur l'edite parce qu'il est
rentable tu ment alors,
C'est trop drôle. Après, certains vont écrire qu'on se déchaîne sur toi,
mais il faut aussi que tu fasses un effort de ton côté.
Stéphane
--
Pour me répondre, traduire gratuit en anglais et virer le .invalid.
http://stef.carpentier.free.fr/
Pierre PANTALÉON , dans le message <42f1521a$0$6479$, a écrit :
Parce que tu crois que ça coute combien en réalité ?
Ça dépend de l'échelle sur laquelle les dépenses sont amorties, et du nombre d'assureurs et d'avocats qui se sucrent au passage.
plouf79
Et je ne vois pas pourquoi on n'acceuillerait pas correctement quelqu'un sous prétexte qu'il n'a pas les même idées.
Ca dépend quand meme des idées. Doit on tolérer l'intolérance ? Pour moi, non
Dans le cas présent je ne pense pas du tout que les propos de M. Tougard aient dépassé les bornes. (ou il y a quelquechose que je n'ai pas vu ?)
Dans le cas général, je pense qu'il faut faire très attention quand on décide de "ne pas tolérer l'intolérance". Ceci pour plusieurs raisons : - Car on se met a devenir un peu comme ceux que l'on critique ce que je n'ai pas envie de devenir. - On donne des arguments aux gens "réellement" intolérants pour nous critiquer et on devient moins crédible aux yeux de beaucoup pour convaincre que les gens intolérants ont tord. - On coupe le dialogue avec eux et donc on n'a plus aucun moyen de parler avec eux et donc aucun moyen de les convaincre et de les rendre moins intolérants. - Les gens Intolérants sont toujours des gens qui se croient victimes des autres (souvent à tord, quelque fois avec quelques raisons, quand ils sont victimes d'une intolérance réciproque). En étant intolérant avec eux, on ne fait que renforcer leur paranoïa et ça les rend encore plus intollérants.
Bilan : Si l'objectif était de diminuer l'intolérance des gens en moyenne, on y perd sur tous les points : on devient intolérant, moins crédible et on renforce l'intolérance de ceux qu'on critique.
Donc sauf dans les cas extrêmes, il ne faut pas à mon avis être intolérent avec les gens intolérents.
De plus on est tous à un certain degrés intolérent envers certaines choses (souvent inconsciemment) Il ne faut donc pas entrer dans un cercle vicieux ou l'intolérence des uns sert à justifier l'intolérence des autres ... et ainsi de suite.
Et je ne vois pas pourquoi on n'acceuillerait pas correctement quelqu'un
sous prétexte qu'il n'a pas les même idées.
Ca dépend quand meme des idées. Doit on tolérer l'intolérance ?
Pour moi, non
Dans le cas présent je ne pense pas du tout que les propos de
M. Tougard aient dépassé les bornes. (ou il y a quelquechose
que je n'ai pas vu ?)
Dans le cas général, je pense qu'il faut faire très attention
quand on décide de "ne pas tolérer l'intolérance". Ceci pour
plusieurs raisons :
- Car on se met a devenir un peu comme ceux que l'on critique ce
que je n'ai pas envie de devenir.
- On donne des arguments aux gens "réellement" intolérants pour
nous critiquer et on devient moins crédible aux yeux de beaucoup
pour convaincre que les gens intolérants ont tord.
- On coupe le dialogue avec eux et donc on n'a plus aucun moyen
de parler avec eux et donc aucun moyen de les convaincre et de
les rendre moins intolérants.
- Les gens Intolérants sont toujours des gens qui se croient
victimes des autres (souvent à tord, quelque fois avec quelques
raisons, quand ils sont victimes d'une intolérance réciproque).
En étant intolérant avec eux, on ne fait que renforcer leur
paranoïa et ça les rend encore plus intollérants.
Bilan : Si l'objectif était de diminuer l'intolérance des gens
en moyenne, on y perd sur tous les points : on devient intolérant,
moins crédible et on renforce l'intolérance de ceux qu'on critique.
Donc sauf dans les cas extrêmes, il ne faut pas à mon avis être
intolérent avec les gens intolérents.
De plus on est tous à un certain degrés intolérent envers
certaines choses (souvent inconsciemment) Il ne faut donc pas
entrer dans un cercle vicieux ou l'intolérence des uns sert
à justifier l'intolérence des autres ... et ainsi de suite.
Et je ne vois pas pourquoi on n'acceuillerait pas correctement quelqu'un sous prétexte qu'il n'a pas les même idées.
Ca dépend quand meme des idées. Doit on tolérer l'intolérance ? Pour moi, non
Dans le cas présent je ne pense pas du tout que les propos de M. Tougard aient dépassé les bornes. (ou il y a quelquechose que je n'ai pas vu ?)
Dans le cas général, je pense qu'il faut faire très attention quand on décide de "ne pas tolérer l'intolérance". Ceci pour plusieurs raisons : - Car on se met a devenir un peu comme ceux que l'on critique ce que je n'ai pas envie de devenir. - On donne des arguments aux gens "réellement" intolérants pour nous critiquer et on devient moins crédible aux yeux de beaucoup pour convaincre que les gens intolérants ont tord. - On coupe le dialogue avec eux et donc on n'a plus aucun moyen de parler avec eux et donc aucun moyen de les convaincre et de les rendre moins intolérants. - Les gens Intolérants sont toujours des gens qui se croient victimes des autres (souvent à tord, quelque fois avec quelques raisons, quand ils sont victimes d'une intolérance réciproque). En étant intolérant avec eux, on ne fait que renforcer leur paranoïa et ça les rend encore plus intollérants.
Bilan : Si l'objectif était de diminuer l'intolérance des gens en moyenne, on y perd sur tous les points : on devient intolérant, moins crédible et on renforce l'intolérance de ceux qu'on critique.
Donc sauf dans les cas extrêmes, il ne faut pas à mon avis être intolérent avec les gens intolérents.
De plus on est tous à un certain degrés intolérent envers certaines choses (souvent inconsciemment) Il ne faut donc pas entrer dans un cercle vicieux ou l'intolérence des uns sert à justifier l'intolérence des autres ... et ainsi de suite.
Stephane TOUGARD
helios wrote:
c'est deja plus une certitude mais une estimation de probabilites bref dans 2 jours se sera un accident la rentabilite
Euh, tu es le seul a avoir parle de rentabilite.
mais bien sur le sujet est tellement bon que seul ton copain en veux
C'est le seul a qui je l'ai propose.
un debut d'honnetete
C'est un sentiment qui doit te surprendre par son etrangete.
-- http://www.unices.org Les meilleurs modules de Perl http://www.unices.org/photo/ 250 photos de Singapour, Sydney et Seoul http://artlibre.org/ Free Art License
helios wrote:
c'est deja plus une certitude mais une estimation de probabilites bref dans
2 jours se sera un accident la rentabilite
Euh, tu es le seul a avoir parle de rentabilite.
mais bien sur le sujet est tellement bon que seul ton copain en veux
C'est le seul a qui je l'ai propose.
un debut d'honnetete
C'est un sentiment qui doit te surprendre par son etrangete.
--
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http://www.unices.org/photo/ 250 photos de Singapour, Sydney et Seoul
http://artlibre.org/ Free Art License
c'est deja plus une certitude mais une estimation de probabilites bref dans 2 jours se sera un accident la rentabilite
Euh, tu es le seul a avoir parle de rentabilite.
mais bien sur le sujet est tellement bon que seul ton copain en veux
C'est le seul a qui je l'ai propose.
un debut d'honnetete
C'est un sentiment qui doit te surprendre par son etrangete.
-- http://www.unices.org Les meilleurs modules de Perl http://www.unices.org/photo/ 250 photos de Singapour, Sydney et Seoul http://artlibre.org/ Free Art License
