Tout d'abord je ne savais pas trop quel était le groupe le plus
approprié. Je vous laisse choisir.
Je suis passé à Mac Os High Sierra et c'est la catastrophe. Photoshop
CS6 a l'interface utilisateur d'une lenteur, il plante... et LightRoom 5
plante aussi.
Je dois donc faire la mise à jour et j'ai deux choix :
- Basculer sur l'abonnement à 10¤/mois pour avoir les deux mis à jour
tant que je paye ;
- Acheter la dernière version de LR et trouver un autre outil que PShop.
Un autre outil aussi bon pour la photo, mais pas du tout au même prix.
On oublie les Picasa, PShop Elements ou Express... avec tout un tas
d'automatismes pour le béotien. Si l'interface de PShop était le même en
pro qu'en light je serai d'accord, mais là...
Il est aussi vrai que l'achat de LR correspond à un an d'abonnement, et
LR + Element quasiment deux ans.
--
Pense à l'étiquette une fois les vendanges faites.
Juste une idée pour éviter les confusions : quand tu écris pour ne rien dire, mets une balise.
donne l'exemple.
DV
Stephane Legras-Decussy a écrit ceci :
Le 19/03/2018 14:31, DV a écrit :
OK, mais que cherches-tu à exprimer au juste ? Que la généralisation est la seule vision valable ?
on est dans un schéma ultra classique de boulet... on entre dans un restaurant, ya juste un couple qui mange au fond. - je dis putain c'est vide. - le boulet répond, faux, il y a un couple au fond.
On est dans le schéma tout aussi classique du gars qui choisit mal ses mots pour énoncer sa pensée. Tu entres dans le restaurant, tu dis "Putain, y a pas foule !" et c'est nickel. Certes, là, je te répondrais sûrement : "Pourquoi tu dis ça ? J'suis pas aveugle..." mais ce serait juste pour te faire jouir. Après tout, quand on va au resto avec des boulets, c'est qu'on est un peu maso. -- Denis
Stephane Legras-Decussy a écrit ceci :
Le 19/03/2018 14:31, DV a écrit :
OK, mais que cherches-tu à exprimer au juste ? Que la généralisation est
la seule vision valable ?
on est dans un schéma ultra classique de boulet...
on entre dans un restaurant, ya juste un couple qui mange au fond.
- je dis putain c'est vide.
- le boulet répond, faux, il y a un couple au fond.
On est dans le schéma tout aussi classique du gars qui choisit mal ses
mots pour énoncer sa pensée.
Tu entres dans le restaurant, tu dis "Putain, y a pas foule !" et c'est
nickel. Certes, là, je te répondrais sûrement : "Pourquoi tu dis ça ?
J'suis pas aveugle..." mais ce serait juste pour te faire jouir. Après
tout, quand on va au resto avec des boulets, c'est qu'on est un peu maso.
OK, mais que cherches-tu à exprimer au juste ? Que la généralisation est la seule vision valable ?
on est dans un schéma ultra classique de boulet... on entre dans un restaurant, ya juste un couple qui mange au fond. - je dis putain c'est vide. - le boulet répond, faux, il y a un couple au fond.
On est dans le schéma tout aussi classique du gars qui choisit mal ses mots pour énoncer sa pensée. Tu entres dans le restaurant, tu dis "Putain, y a pas foule !" et c'est nickel. Certes, là, je te répondrais sûrement : "Pourquoi tu dis ça ? J'suis pas aveugle..." mais ce serait juste pour te faire jouir. Après tout, quand on va au resto avec des boulets, c'est qu'on est un peu maso. -- Denis
Stephane Legras-Decussy
Le 19/03/2018 16:03, DV a écrit :
On est dans le schéma tout aussi classique du gars qui choisit mal ses mots pour énoncer sa pensée.
voilà... boulet 2000. y'en a TOUJOURS des comme ça sur usenet. Dans la vraie vie, t'aurais pas de vie sexuelle si tu te comportais comme ça...
Le 19/03/2018 16:03, DV a écrit :
On est dans le schéma tout aussi classique du gars qui choisit mal ses
mots pour énoncer sa pensée.
voilà... boulet 2000.
y'en a TOUJOURS des comme ça sur usenet.
Dans la vraie vie, t'aurais pas de vie sexuelle si tu te comportais
comme ça...
On est dans le schéma tout aussi classique du gars qui choisit mal ses mots pour énoncer sa pensée.
voilà... boulet 2000. y'en a TOUJOURS des comme ça sur usenet. Dans la vraie vie, t'aurais pas de vie sexuelle si tu te comportais comme ça...
DV
Stephane Legras-Decussy a écrit ceci :
Le 19/03/2018 15:49, DV a écrit :
Juste une idée pour éviter les confusions : quand tu écris pour ne rien dire, mets une balise.
donne l'exemple.
L'exemple de quoi : de la balise ou de l'écrit pour ne rien dire ? La balise, je ne sais pas, elle reste à inventer. L'écrit pour ne rien dire, c'est celui qui a engendré cette discussion inutile : "c'est toujours à vie du produit, pas de l'utilisateur." Ça ne sert strictement à rien d'écrire ça ici, tellement c'est évident. À moins, bien sûr, que tu aies subitement fait cette découverte et que tu aies ressenti le besoin bien compréhensible de nous en faire part. -- Denis
Stephane Legras-Decussy a écrit ceci :
Le 19/03/2018 15:49, DV a écrit :
Juste une idée pour éviter les confusions : quand tu écris pour ne rien
dire, mets une balise.
donne l'exemple.
L'exemple de quoi : de la balise ou de l'écrit pour ne rien dire ?
La balise, je ne sais pas, elle reste à inventer. L'écrit pour ne rien
dire, c'est celui qui a engendré cette discussion inutile :
"c'est toujours à vie du produit, pas de l'utilisateur."
Ça ne sert strictement à rien d'écrire ça ici, tellement c'est évident.
À moins, bien sûr, que tu aies subitement fait cette découverte et que
tu aies ressenti le besoin bien compréhensible de nous en faire part.
Juste une idée pour éviter les confusions : quand tu écris pour ne rien dire, mets une balise.
donne l'exemple.
L'exemple de quoi : de la balise ou de l'écrit pour ne rien dire ? La balise, je ne sais pas, elle reste à inventer. L'écrit pour ne rien dire, c'est celui qui a engendré cette discussion inutile : "c'est toujours à vie du produit, pas de l'utilisateur." Ça ne sert strictement à rien d'écrire ça ici, tellement c'est évident. À moins, bien sûr, que tu aies subitement fait cette découverte et que tu aies ressenti le besoin bien compréhensible de nous en faire part. -- Denis
DV
Stephane Legras-Decussy a écrit ceci :
Le 19/03/2018 16:03, DV a écrit :
On est dans le schéma tout aussi classique du gars qui choisit mal ses mots pour énoncer sa pensée.
voilà... boulet 2000. y'en a TOUJOURS des comme ça sur usenet. Dans la vraie vie, t'aurais pas de vie sexuelle si tu te comportais comme ça...
Ah, mais je ne me comporte jamais comme ça, dans la vraie vie comme sur Usenet. Tu te rends compte des choses que tu me fais faire, vil tentateur ? -- Denis
Stephane Legras-Decussy a écrit ceci :
Le 19/03/2018 16:03, DV a écrit :
On est dans le schéma tout aussi classique du gars qui choisit mal ses
mots pour énoncer sa pensée.
voilà... boulet 2000.
y'en a TOUJOURS des comme ça sur usenet.
Dans la vraie vie, t'aurais pas de vie sexuelle si tu te comportais
comme ça...
Ah, mais je ne me comporte jamais comme ça, dans la vraie vie comme sur
Usenet. Tu te rends compte des choses que tu me fais faire, vil tentateur ?
On est dans le schéma tout aussi classique du gars qui choisit mal ses mots pour énoncer sa pensée.
voilà... boulet 2000. y'en a TOUJOURS des comme ça sur usenet. Dans la vraie vie, t'aurais pas de vie sexuelle si tu te comportais comme ça...
Ah, mais je ne me comporte jamais comme ça, dans la vraie vie comme sur Usenet. Tu te rends compte des choses que tu me fais faire, vil tentateur ? -- Denis
René S
"DV" a écrit dans le message de groupe de discussion : p8okna$7ho$
"c'est toujours à vie du produit, pas de l'utilisateur." Ça ne sert strictement à rien d'écrire ça ici, tellement c'est évident. À moins, bien sûr, que tu aies subitement fait cette découverte et que tu aies ressenti le besoin bien compréhensible de nous en faire part.
Ouille !
"DV" a écrit dans le message de groupe de discussion :
p8okna$7ho$1@shakotay.alphanet.ch...
"c'est toujours à vie du produit, pas de l'utilisateur."
Ça ne sert strictement à rien d'écrire ça ici, tellement c'est évident.
À moins, bien sûr, que tu aies subitement fait cette découverte et que
tu aies ressenti le besoin bien compréhensible de nous en faire part.
"DV" a écrit dans le message de groupe de discussion : p8okna$7ho$
"c'est toujours à vie du produit, pas de l'utilisateur." Ça ne sert strictement à rien d'écrire ça ici, tellement c'est évident. À moins, bien sûr, que tu aies subitement fait cette découverte et que tu aies ressenti le besoin bien compréhensible de nous en faire part.
Ouille !
DV
Thierry Houx a écrit ceci :
La seule objection qui peut se faire jour, c'est le changement dans les habitudes pour ceux qui sont formés à l'utilisation de ces logiciels mercantiles, après si on est riche ... Quand aux professionnels, les choix des logiciels payants est plus simple puisqu'il les passent dans leurs frais professionnels. En résumé, l'amateur a suffisamment à faire pour maîtriser les logiciels libres jusqu'à en trouver les limitation et pouvoir dire honnêtement: Je prends un logiciel payant parce que je rencontre des limitations avec le libre.
Pardon, j'étais tellement occupé à discuter ailleurs (sérieusement et sans fantaisie) que j'ai oublié de répondre à ceci. D'abord, l'opposition libre/payant n'a guère de sens pour moi : un logiciel libre peut tout à fait être payant. Je crois même savoir que les licences excluant une distribution commerciale ne sont pas considérées comme des licences totalement libres. Inversement, il peut aussi exister des logiciels propriétaires gratuits sans contrepartie publicitaire ou autre (exemple pour la retouche : Paint.NET pour Windows). Ensuite, je trouve un peu agaçant l'usage répété de l'adjectif "mercantile", dont le sens actuel est indiscutablement péjoratif, pour qualifier un logiciel commercial. À mes yeux et selon mon expérience, le mercantilisme d'Adobe est flagrant, mais peut-on mettre sur le même plan les petits éditeurs aux tarifs raisonnables et aux pratiques commerciales saines ? -- Denis
Thierry Houx a écrit ceci :
La seule objection qui peut se faire jour, c'est le changement dans les
habitudes pour ceux qui sont formés à l'utilisation de ces logiciels
mercantiles, après si on est riche ...
Quand aux professionnels, les choix des logiciels payants est plus
simple puisqu'il les passent dans leurs frais professionnels.
En résumé, l'amateur a suffisamment à faire pour maîtriser les logiciels
libres jusqu'à en trouver les limitation et pouvoir dire honnêtement: Je
prends un logiciel payant parce que je rencontre des limitations avec le
libre.
Pardon, j'étais tellement occupé à discuter ailleurs (sérieusement et
sans fantaisie) que j'ai oublié de répondre à ceci.
D'abord, l'opposition libre/payant n'a guère de sens pour moi : un
logiciel libre peut tout à fait être payant. Je crois même savoir que
les licences excluant une distribution commerciale ne sont pas
considérées comme des licences totalement libres. Inversement, il peut
aussi exister des logiciels propriétaires gratuits sans contrepartie
publicitaire ou autre (exemple pour la retouche : Paint.NET pour Windows).
Ensuite, je trouve un peu agaçant l'usage répété de l'adjectif
"mercantile", dont le sens actuel est indiscutablement péjoratif, pour
qualifier un logiciel commercial. À mes yeux et selon mon expérience, le
mercantilisme d'Adobe est flagrant, mais peut-on mettre sur le même plan
les petits éditeurs aux tarifs raisonnables et aux pratiques
commerciales saines ?
La seule objection qui peut se faire jour, c'est le changement dans les habitudes pour ceux qui sont formés à l'utilisation de ces logiciels mercantiles, après si on est riche ... Quand aux professionnels, les choix des logiciels payants est plus simple puisqu'il les passent dans leurs frais professionnels. En résumé, l'amateur a suffisamment à faire pour maîtriser les logiciels libres jusqu'à en trouver les limitation et pouvoir dire honnêtement: Je prends un logiciel payant parce que je rencontre des limitations avec le libre.
Pardon, j'étais tellement occupé à discuter ailleurs (sérieusement et sans fantaisie) que j'ai oublié de répondre à ceci. D'abord, l'opposition libre/payant n'a guère de sens pour moi : un logiciel libre peut tout à fait être payant. Je crois même savoir que les licences excluant une distribution commerciale ne sont pas considérées comme des licences totalement libres. Inversement, il peut aussi exister des logiciels propriétaires gratuits sans contrepartie publicitaire ou autre (exemple pour la retouche : Paint.NET pour Windows). Ensuite, je trouve un peu agaçant l'usage répété de l'adjectif "mercantile", dont le sens actuel est indiscutablement péjoratif, pour qualifier un logiciel commercial. À mes yeux et selon mon expérience, le mercantilisme d'Adobe est flagrant, mais peut-on mettre sur le même plan les petits éditeurs aux tarifs raisonnables et aux pratiques commerciales saines ? -- Denis
GhostRaider
Le 20/03/2018 à 13:21, DV a écrit :
Ensuite, je trouve un peu agaçant l'usage répété de l'adjectif "mercantile", dont le sens actuel est indiscutablement péjoratif, pour qualifier un logiciel commercial. À mes yeux et selon mon expérience, le mercantilisme d'Adobe est flagrant, mais peut-on mettre sur le même plan les petits éditeurs aux tarifs raisonnables et aux pratiques commerciales saines ?
Mercantile est un terme courant non péjoratif en anglais, repris textuellement en français semble-t-il.
Le 20/03/2018 à 13:21, DV a écrit :
Ensuite, je trouve un peu agaçant l'usage répété de l'adjectif
"mercantile", dont le sens actuel est indiscutablement péjoratif, pour
qualifier un logiciel commercial. À mes yeux et selon mon expérience, le
mercantilisme d'Adobe est flagrant, mais peut-on mettre sur le même plan
les petits éditeurs aux tarifs raisonnables et aux pratiques
commerciales saines ?
Mercantile est un terme courant non péjoratif en anglais, repris
textuellement en français semble-t-il.
Ensuite, je trouve un peu agaçant l'usage répété de l'adjectif "mercantile", dont le sens actuel est indiscutablement péjoratif, pour qualifier un logiciel commercial. À mes yeux et selon mon expérience, le mercantilisme d'Adobe est flagrant, mais peut-on mettre sur le même plan les petits éditeurs aux tarifs raisonnables et aux pratiques commerciales saines ?
Mercantile est un terme courant non péjoratif en anglais, repris textuellement en français semble-t-il.
DV
GhostRaider a écrit ceci :
Mercantile est un terme courant non péjoratif en anglais, repris textuellement en français semble-t-il.
C'est possible (Thierry nous le dira sans doute), et si tel est le cas je retire ma critique. Précisons quand même qu'en anglais comme en français, le mot "mercantile" est emprunté à l'italien. ;-) -- Denis
GhostRaider a écrit ceci :
Mercantile est un terme courant non péjoratif en anglais, repris
textuellement en français semble-t-il.
C'est possible (Thierry nous le dira sans doute), et si tel est le cas
je retire ma critique.
Précisons quand même qu'en anglais comme en français, le mot
"mercantile" est emprunté à l'italien. ;-)
Mercantile est un terme courant non péjoratif en anglais, repris textuellement en français semble-t-il.
C'est possible (Thierry nous le dira sans doute), et si tel est le cas je retire ma critique. Précisons quand même qu'en anglais comme en français, le mot "mercantile" est emprunté à l'italien. ;-) -- Denis
GhostRaider
Le 20/03/2018 à 14:11, DV a écrit :
GhostRaider a écrit ceci :
Mercantile est un terme courant non péjoratif en anglais, repris textuellement en français semble-t-il.
C'est possible (Thierry nous le dira sans doute), et si tel est le cas je retire ma critique. Précisons quand même qu'en anglais comme en français, le mot "mercantile" est emprunté à l'italien. ;-)
L’anglais est truffé de français (entre 1/3 et 2/3 du vocabulaire selon la façon dont on compte, et aussi d'italien qui sert de vecteur aux mots d'origine latine en passant éventuellement par le français. Mercantile en français se traduit plutôt par mercantilist, mais avec un caractère péjoratif beaucoup moins appuyé qu'en français.
Le 20/03/2018 à 14:11, DV a écrit :
GhostRaider a écrit ceci :
Mercantile est un terme courant non péjoratif en anglais, repris
textuellement en français semble-t-il.
C'est possible (Thierry nous le dira sans doute), et si tel est le cas
je retire ma critique.
Précisons quand même qu'en anglais comme en français, le mot
"mercantile" est emprunté à l'italien. ;-)
L’anglais est truffé de français (entre 1/3 et 2/3 du vocabulaire selon
la façon dont on compte, et aussi d'italien qui sert de vecteur aux mots
d'origine latine en passant éventuellement par le français.
Mercantile en français se traduit plutôt par mercantilist, mais avec un
caractère péjoratif beaucoup moins appuyé qu'en français.
Mercantile est un terme courant non péjoratif en anglais, repris textuellement en français semble-t-il.
C'est possible (Thierry nous le dira sans doute), et si tel est le cas je retire ma critique. Précisons quand même qu'en anglais comme en français, le mot "mercantile" est emprunté à l'italien. ;-)
L’anglais est truffé de français (entre 1/3 et 2/3 du vocabulaire selon la façon dont on compte, et aussi d'italien qui sert de vecteur aux mots d'origine latine en passant éventuellement par le français. Mercantile en français se traduit plutôt par mercantilist, mais avec un caractère péjoratif beaucoup moins appuyé qu'en français.