Allez, je vais te faire crédit et considérer que c'est de l'humour. Sinon, si tu penses vraiment ce que tu écris, c'est vraiment grave et je te souhaite un bon gros krack (qui vient, qui vient) qui amputera salement ta retraite d'égoïste.
Et oui! Bravo, tu as deviné, c'était effectivement de l'humour! Mais pourquoi te crois-tu obligé de ponctuer tes commentaires, souvent tout-à-fait sensés (de mon point de vue), de remarques désagréables ?
Parceque je suis foncièrement désagréable :)
Ce n'est pas ainsi qu'on convainc son contradicteur, c'est même tout le contraire.
L'expérience montre que ce genre de discussion n'a pas en général pour but de convaincre son interlocuteur direct (qui a des positions orthogonales aux siennes et que l'on ne peut pas convaincre). Elles servent souvent juste à flatter l'ego de chacun.
Pour y parvenir, il ne faut pas le heurter de front, mais l'approuver, dans ce qu'il dit qui est acceptable pour toi, puis d'orienter petit à petit la discussion vers tes propres thèses pour y gagner ton contradicteur.
Ca dépend. Le rentre-dedans peut parfois se montrer efficace.
Allez, on reprend à zéro ! Tu disais à propos du CE d'EDF ?
rien que des fainéants et des exploiteurs qui spolient la juste rémunération des actionnaires. :)
-- F.J.
Ghost Rider wrote:
Allez, je vais te faire crédit et considérer que c'est de l'humour.
Sinon, si tu penses vraiment ce que tu écris, c'est vraiment grave
et je te souhaite un bon gros krack (qui vient, qui vient) qui amputera
salement ta retraite d'égoïste.
Et oui! Bravo, tu as deviné, c'était effectivement de l'humour!
Mais pourquoi te crois-tu obligé de ponctuer tes commentaires, souvent
tout-à-fait sensés (de mon point de vue), de remarques désagréables ?
Parceque je suis foncièrement désagréable :)
Ce n'est pas ainsi qu'on convainc son contradicteur, c'est même tout le
contraire.
L'expérience montre que ce genre de discussion n'a pas en général
pour but de convaincre son interlocuteur direct (qui a des positions
orthogonales aux siennes et que l'on ne peut pas convaincre).
Elles servent souvent juste à flatter l'ego de chacun.
Pour y parvenir, il ne faut pas le heurter de front, mais l'approuver,
dans ce qu'il dit qui est acceptable pour toi, puis d'orienter petit à
petit la discussion vers tes propres thèses pour y gagner ton
contradicteur.
Ca dépend. Le rentre-dedans peut parfois se montrer efficace.
Allez, on reprend à zéro ! Tu disais à propos du CE d'EDF ?
rien que des fainéants et des exploiteurs qui spolient la juste
rémunération des actionnaires.
:)
Allez, je vais te faire crédit et considérer que c'est de l'humour. Sinon, si tu penses vraiment ce que tu écris, c'est vraiment grave et je te souhaite un bon gros krack (qui vient, qui vient) qui amputera salement ta retraite d'égoïste.
Et oui! Bravo, tu as deviné, c'était effectivement de l'humour! Mais pourquoi te crois-tu obligé de ponctuer tes commentaires, souvent tout-à-fait sensés (de mon point de vue), de remarques désagréables ?
Parceque je suis foncièrement désagréable :)
Ce n'est pas ainsi qu'on convainc son contradicteur, c'est même tout le contraire.
L'expérience montre que ce genre de discussion n'a pas en général pour but de convaincre son interlocuteur direct (qui a des positions orthogonales aux siennes et que l'on ne peut pas convaincre). Elles servent souvent juste à flatter l'ego de chacun.
Pour y parvenir, il ne faut pas le heurter de front, mais l'approuver, dans ce qu'il dit qui est acceptable pour toi, puis d'orienter petit à petit la discussion vers tes propres thèses pour y gagner ton contradicteur.
Ca dépend. Le rentre-dedans peut parfois se montrer efficace.
Allez, on reprend à zéro ! Tu disais à propos du CE d'EDF ?
rien que des fainéants et des exploiteurs qui spolient la juste rémunération des actionnaires. :)
-- F.J.
filh
Ghost Rider wrote:
Ghost Rider wrote:
Les ouvriers, non, mais les syndicats y participaient pour une part. Il faut savoir qu'en dehors du cadre légal des heures de délégation, des permanents syndicaux étaient rétribués à temps complet par la sidérurgie
Certes, mais dans le bilan global c'est peanuts par rapport aux salaires de Messieurs les patrons.
Oui pour le principe, non pour la réalité éconnomique.
Les dirigeants de la sidérurgie n'étaient pas très très bien payés. Je ...
d'économie, de mission de service public proche de l'administration. En revanche et ça c'est la réalité, l'encadrement de Wendel-Sidelor était très important, avec une inflation du nombre de directeurs. C'est là qu'était le problème, bien plus que la hauteur de leurs salaires. L'encadrement aussi était donc en sur-effectif, avec de nombreuses baronnies, ce qui rendait les réorganisations et les fermetures d'établissements difficiles, on peut l'imaginer.
Je parlais bien des patrons pas des cadres. Et quelques salaires de syndicalistes c'est pas la mort.
Ceci dit... j'avoue que j'ai un avis mitigé sur le sujet : dans la mesure où hélas - et de plus en plus - les salariés sont dans des situations dures, il faut bien financer leur défence (ce serait moins cher de les traiter directement bien, mais bon... le jour où certains regarderont plus loin que le bout de leur nez n'est pas arrivé.
D'un autre côté j'ai aussi des exemple de syndicalistes... dont on aurait aimé qu'ils fassent leur boulot un peu mieux avant de prendre des journées de délégation... pour ne pas défendre les camaraaaades :)
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Ghost Rider <Ghost-Rider@in-the-sky.net> wrote:
Ghost Rider <Ghost-Rider@in-the-sky.net> wrote:
Les ouvriers, non, mais les syndicats y participaient pour une part.
Il faut savoir qu'en dehors du cadre légal des heures de délégation, des
permanents syndicaux étaient rétribués à temps complet par la sidérurgie
Certes, mais dans le bilan global c'est peanuts par rapport aux salaires
de Messieurs les patrons.
Oui pour le principe, non pour la réalité éconnomique.
Les dirigeants de la sidérurgie n'étaient pas très très bien payés. Je
...
d'économie, de mission de service public proche de l'administration.
En revanche et ça c'est la réalité, l'encadrement de Wendel-Sidelor
était très important, avec une inflation du nombre de directeurs. C'est
là qu'était le problème, bien plus que la hauteur de leurs salaires.
L'encadrement aussi était donc en sur-effectif, avec de nombreuses
baronnies, ce qui rendait les réorganisations et les fermetures
d'établissements difficiles, on peut l'imaginer.
Je parlais bien des patrons pas des cadres.
Et quelques salaires de syndicalistes c'est pas la mort.
Ceci dit... j'avoue que j'ai un avis mitigé sur le sujet : dans la
mesure où hélas - et de plus en plus - les salariés sont dans des
situations dures, il faut bien financer leur défence (ce serait moins
cher de les traiter directement bien, mais bon... le jour où certains
regarderont plus loin que le bout de leur nez n'est pas arrivé.
D'un autre côté j'ai aussi des exemple de syndicalistes... dont on
aurait aimé qu'ils fassent leur boulot un peu mieux avant de prendre des
journées de délégation... pour ne pas défendre les camaraaaades :)
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Les ouvriers, non, mais les syndicats y participaient pour une part. Il faut savoir qu'en dehors du cadre légal des heures de délégation, des permanents syndicaux étaient rétribués à temps complet par la sidérurgie
Certes, mais dans le bilan global c'est peanuts par rapport aux salaires de Messieurs les patrons.
Oui pour le principe, non pour la réalité éconnomique.
Les dirigeants de la sidérurgie n'étaient pas très très bien payés. Je ...
d'économie, de mission de service public proche de l'administration. En revanche et ça c'est la réalité, l'encadrement de Wendel-Sidelor était très important, avec une inflation du nombre de directeurs. C'est là qu'était le problème, bien plus que la hauteur de leurs salaires. L'encadrement aussi était donc en sur-effectif, avec de nombreuses baronnies, ce qui rendait les réorganisations et les fermetures d'établissements difficiles, on peut l'imaginer.
Je parlais bien des patrons pas des cadres. Et quelques salaires de syndicalistes c'est pas la mort.
Ceci dit... j'avoue que j'ai un avis mitigé sur le sujet : dans la mesure où hélas - et de plus en plus - les salariés sont dans des situations dures, il faut bien financer leur défence (ce serait moins cher de les traiter directement bien, mais bon... le jour où certains regarderont plus loin que le bout de leur nez n'est pas arrivé.
D'un autre côté j'ai aussi des exemple de syndicalistes... dont on aurait aimé qu'ils fassent leur boulot un peu mieux avant de prendre des journées de délégation... pour ne pas défendre les camaraaaades :)
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
filh
Ghost Rider wrote:
Ghost Rider wrote:
Exactement: là où il n'y a pas de vérité des prix, aucun système économique, libéral ou dirigiste, ne peut longtemps fonctionner.
C'est faux : le système dit libéral fonctionne très bien sans vérité des prix :)
Pas pendant très longtemps,
Aucune remise en question globale ne se produit. Et là tout d'un coup la main invisible du marché s'en remet à la générosité de l'état pour les sortir de la merde.
Et quand ce sera fini avec les subprime on passera à autre chose du même accabit :)
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Ghost Rider <Ghost-Rider@in-the-sky.net> wrote:
Ghost Rider <Ghost-Rider@in-the-sky.net> wrote:
Exactement: là où il n'y a pas de vérité des prix, aucun système
économique, libéral ou dirigiste, ne peut longtemps fonctionner.
C'est faux : le système dit libéral fonctionne très bien sans vérité des
prix :)
Pas pendant très longtemps,
Aucune remise en question globale ne se produit. Et là tout d'un coup la
main invisible du marché s'en remet à la générosité de l'état pour les
sortir de la merde.
Et quand ce sera fini avec les subprime on passera à autre chose du même
accabit :)
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Exactement: là où il n'y a pas de vérité des prix, aucun système économique, libéral ou dirigiste, ne peut longtemps fonctionner.
C'est faux : le système dit libéral fonctionne très bien sans vérité des prix :)
Pas pendant très longtemps,
Aucune remise en question globale ne se produit. Et là tout d'un coup la main invisible du marché s'en remet à la générosité de l'état pour les sortir de la merde.
Et quand ce sera fini avec les subprime on passera à autre chose du même accabit :)
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
filh
Ghost Rider wrote:
qu'actionnaire, je veux l'honnête rétribution de mon risque.
De ton quoi ?
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Ghost Rider <Ghost-Rider@in-the-sky.net> wrote:
qu'actionnaire, je veux l'honnête rétribution de mon risque.
De ton quoi ?
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
qu'actionnaire, je veux l'honnête rétribution de mon risque.
De ton quoi ?
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Ghost Rider
Ghost Rider wrote:
Et oui! Bravo, tu as deviné, c'était effectivement de l'humour! Mais pourquoi te crois-tu obligé de ponctuer tes commentaires, souve nt tout-à-fait sensés (de mon point de vue), de remarques désagré ables ?
Parceque je suis foncièrement désagréable :)
Mais non, mais non, rire de soi-même se rend sympathique aux autres.
L'expérience montre que ce genre de discussion n'a pas en général pour but de convaincre son interlocuteur direct (qui a des positions orthogonales aux siennes et que l'on ne peut pas convaincre). Elles servent souvent juste à flatter l'ego de chacun.
Et tu as vu comme je flattais le mien, à raconter mes guerres... ! :-)
Ca dépend. Le rentre-dedans peut parfois se montrer efficace.
Serais-tu Sarkozyste ? Mon Dieu, je ne m'en doutais pas ! :-)
Allez, on reprend à zéro ! Tu disais à propos du CE d'EDF ?
rien que des fainéants et des exploiteurs qui spolient la juste rémunération des actionnaires. :)
Eh bien voilà, nous avons enfin trouvé un bon terrain d'entente, sans crêpage de chignon. L'harmonie règne. :-)
Ghost Rider
Ghost Rider wrote:
Et oui! Bravo, tu as deviné, c'était effectivement de l'humour!
Mais pourquoi te crois-tu obligé de ponctuer tes commentaires, souve nt
tout-à-fait sensés (de mon point de vue), de remarques désagré ables ?
Parceque je suis foncièrement désagréable :)
Mais non, mais non, rire de soi-même se rend sympathique aux autres.
L'expérience montre que ce genre de discussion n'a pas en général
pour but de convaincre son interlocuteur direct (qui a des positions
orthogonales aux siennes et que l'on ne peut pas convaincre).
Elles servent souvent juste à flatter l'ego de chacun.
Et tu as vu comme je flattais le mien, à raconter mes guerres... ! :-)
Ca dépend. Le rentre-dedans peut parfois se montrer efficace.
Serais-tu Sarkozyste ? Mon Dieu, je ne m'en doutais pas ! :-)
Allez, on reprend à zéro ! Tu disais à propos du CE d'EDF ?
rien que des fainéants et des exploiteurs qui spolient la juste
rémunération des actionnaires.
:)
Eh bien voilà, nous avons enfin trouvé un bon terrain d'entente, sans
crêpage de chignon. L'harmonie règne. :-)
Et oui! Bravo, tu as deviné, c'était effectivement de l'humour! Mais pourquoi te crois-tu obligé de ponctuer tes commentaires, souve nt tout-à-fait sensés (de mon point de vue), de remarques désagré ables ?
Parceque je suis foncièrement désagréable :)
Mais non, mais non, rire de soi-même se rend sympathique aux autres.
L'expérience montre que ce genre de discussion n'a pas en général pour but de convaincre son interlocuteur direct (qui a des positions orthogonales aux siennes et que l'on ne peut pas convaincre). Elles servent souvent juste à flatter l'ego de chacun.
Et tu as vu comme je flattais le mien, à raconter mes guerres... ! :-)
Ca dépend. Le rentre-dedans peut parfois se montrer efficace.
Serais-tu Sarkozyste ? Mon Dieu, je ne m'en doutais pas ! :-)
Allez, on reprend à zéro ! Tu disais à propos du CE d'EDF ?
rien que des fainéants et des exploiteurs qui spolient la juste rémunération des actionnaires. :)
Eh bien voilà, nous avons enfin trouvé un bon terrain d'entente, sans crêpage de chignon. L'harmonie règne. :-)
Ghost Rider
Ghost Rider
Ghost Rider wrote:
qu'actionnaire, je veux l'honnête rétribution de mon risque.
De ton quoi ?
Allons, allons, ne fais pas la bête, tu as vu la bourse ? Celui qui a acheté de l'EDF au moment de la privatisation a fait une bonne affaire. Celui qui a acheté avant le plongeon de la fin d'année en a fait une tout autre. Je pense aux agents d'EDF, comme aux salariés d'autres grands groupes dont les fonds d'intéressement comportent une bonne part d'actions de leur entreprise. Ils voient les cours baisser avec angoisse, comme ces vils spéculateurs, capitalistes sans c½ur qui sucent le sang du peupl e et dont la déconfiture n'en est que plus méritée. :-) Et ceci me permets de dire au passage que cette crise boursière montre bien que des régimes de retraite qui seraient uniquement basés sur de s systèmes de capitalisation, comme aux USA entre autres, ne sont pas, no n plus, la solution.
Mais on est vraiment loin de la photo, moi je réponds, mais enfin...
Alors, voilà une photo, qui n'a rien à voir, mais ça devrait me permettre d'obtenir la mansuétude des autres participants pour ces hors charte abusifs.
http://cjoint.com/?cqsBXhwrDM
Ghost Rider
Ghost Rider <Ghost-Rider@in-the-sky.net> wrote:
qu'actionnaire, je veux l'honnête rétribution de mon risque.
De ton quoi ?
Allons, allons, ne fais pas la bête, tu as vu la bourse ? Celui qui a
acheté de l'EDF au moment de la privatisation a fait une bonne affaire.
Celui qui a acheté avant le plongeon de la fin d'année en a fait une
tout autre.
Je pense aux agents d'EDF, comme aux salariés d'autres grands groupes
dont les fonds d'intéressement comportent une bonne part d'actions de
leur entreprise. Ils voient les cours baisser avec angoisse, comme ces
vils spéculateurs, capitalistes sans c½ur qui sucent le sang du peupl e
et dont la déconfiture n'en est que plus méritée. :-)
Et ceci me permets de dire au passage que cette crise boursière montre
bien que des régimes de retraite qui seraient uniquement basés sur de s
systèmes de capitalisation, comme aux USA entre autres, ne sont pas, no n
plus, la solution.
Mais on est vraiment loin de la photo, moi je réponds, mais enfin...
Alors, voilà une photo, qui n'a rien à voir, mais ça devrait me
permettre d'obtenir la mansuétude des autres participants pour ces hors
charte abusifs.
qu'actionnaire, je veux l'honnête rétribution de mon risque.
De ton quoi ?
Allons, allons, ne fais pas la bête, tu as vu la bourse ? Celui qui a acheté de l'EDF au moment de la privatisation a fait une bonne affaire. Celui qui a acheté avant le plongeon de la fin d'année en a fait une tout autre. Je pense aux agents d'EDF, comme aux salariés d'autres grands groupes dont les fonds d'intéressement comportent une bonne part d'actions de leur entreprise. Ils voient les cours baisser avec angoisse, comme ces vils spéculateurs, capitalistes sans c½ur qui sucent le sang du peupl e et dont la déconfiture n'en est que plus méritée. :-) Et ceci me permets de dire au passage que cette crise boursière montre bien que des régimes de retraite qui seraient uniquement basés sur de s systèmes de capitalisation, comme aux USA entre autres, ne sont pas, no n plus, la solution.
Mais on est vraiment loin de la photo, moi je réponds, mais enfin...
Alors, voilà une photo, qui n'a rien à voir, mais ça devrait me permettre d'obtenir la mansuétude des autres participants pour ces hors charte abusifs.
http://cjoint.com/?cqsBXhwrDM
Ghost Rider
Ghost Rider
Je parlais bien des patrons pas des cadres.
J'ai fait volontairement l'amalgame, car les patrons étaient pratiquement tous, avant la faillite, des ingénieurs, X-Mines généralement, ou au moins X, sortis du rang grâce à leurs capacit és. Le premier dirigeant non-ingénieur, et parachuté en quelque sorte, fû t Jacques Mayoux, ancien patron, entre autres, du Crédit Agricole, HEC-ENA-Inspecteur des finances. Cela n'a pas suffit. Il a causé le départ de Pierre Durand-Rival, X-Pont, qui avait construit SOLMER.
Et quelques salaires de syndicalistes c'est pas la mort.
Non, surtout, que les syndicats en question, pas tous réformistes, s'en trouvaient fort bien et savaient jusqu'où ne pas aller trop loin...
Ceci dit... j'avoue que j'ai un avis mitigé sur le sujet : dans la mesure où hélas - et de plus en plus - les salariés sont dans des situations dures, il faut bien financer leur défence (ce serait moins cher de les traiter directement bien, mais bon... le jour où certain s regarderont plus loin que le bout de leur nez n'est pas arrivé.
On sait bien qu'en France, on ne peut pas faire de réformes, seulement des révolutions.
D'un autre côté j'ai aussi des exemple de syndicalistes... dont on aurait aimé qu'ils fassent leur boulot un peu mieux avant de prendre des journées de délégation... pour ne pas défendre les camaraaaades :)
J'ai l'exemple, pas vieux du tout, d'un ouvrier qui s'est inscrit à un syndicat, s'est fait désigner représentant syndical dans l'entreprise par ledit syndicat, trop heureux de l'aubaine, s'est fait payer des cours de professorat de judo dans le cadre de la formation continue (on ne peut pas refuser 2 fois), à plein temps pendant un an, et qui pour finir, utilise toutes ses heures de délégation (environ 15 heures/moi s) pour aller donner des cours rétribués de judo dans un club. Nous avons demandé l'autorisation de licenciement à l'inspecteur du travail : autorisation refusée. Le gars fait ce qui lui plaît, il en fait le moins possible, il nargue ses connards de camarades qui travaillent, il est *intouchable*.
Ghost Rider
Je parlais bien des patrons pas des cadres.
J'ai fait volontairement l'amalgame, car les patrons étaient
pratiquement tous, avant la faillite, des ingénieurs, X-Mines
généralement, ou au moins X, sortis du rang grâce à leurs capacit és.
Le premier dirigeant non-ingénieur, et parachuté en quelque sorte, fû t
Jacques Mayoux, ancien patron, entre autres, du Crédit Agricole,
HEC-ENA-Inspecteur des finances. Cela n'a pas suffit. Il a causé le
départ de Pierre Durand-Rival, X-Pont, qui avait construit SOLMER.
Et quelques salaires de syndicalistes c'est pas la mort.
Non, surtout, que les syndicats en question, pas tous réformistes, s'en
trouvaient fort bien et savaient jusqu'où ne pas aller trop loin...
Ceci dit... j'avoue que j'ai un avis mitigé sur le sujet : dans la
mesure où hélas - et de plus en plus - les salariés sont dans des
situations dures, il faut bien financer leur défence (ce serait moins
cher de les traiter directement bien, mais bon... le jour où certain s
regarderont plus loin que le bout de leur nez n'est pas arrivé.
On sait bien qu'en France, on ne peut pas faire de réformes, seulement
des révolutions.
D'un autre côté j'ai aussi des exemple de syndicalistes... dont on
aurait aimé qu'ils fassent leur boulot un peu mieux avant de prendre des
journées de délégation... pour ne pas défendre les camaraaaades :)
J'ai l'exemple, pas vieux du tout, d'un ouvrier qui s'est inscrit à un
syndicat, s'est fait désigner représentant syndical dans l'entreprise
par ledit syndicat, trop heureux de l'aubaine, s'est fait payer des
cours de professorat de judo dans le cadre de la formation continue (on
ne peut pas refuser 2 fois), à plein temps pendant un an, et qui pour
finir, utilise toutes ses heures de délégation (environ 15 heures/moi s)
pour aller donner des cours rétribués de judo dans un club.
Nous avons demandé l'autorisation de licenciement à l'inspecteur du
travail : autorisation refusée. Le gars fait ce qui lui plaît, il en
fait le moins possible, il nargue ses connards de camarades qui
travaillent, il est *intouchable*.
J'ai fait volontairement l'amalgame, car les patrons étaient pratiquement tous, avant la faillite, des ingénieurs, X-Mines généralement, ou au moins X, sortis du rang grâce à leurs capacit és. Le premier dirigeant non-ingénieur, et parachuté en quelque sorte, fû t Jacques Mayoux, ancien patron, entre autres, du Crédit Agricole, HEC-ENA-Inspecteur des finances. Cela n'a pas suffit. Il a causé le départ de Pierre Durand-Rival, X-Pont, qui avait construit SOLMER.
Et quelques salaires de syndicalistes c'est pas la mort.
Non, surtout, que les syndicats en question, pas tous réformistes, s'en trouvaient fort bien et savaient jusqu'où ne pas aller trop loin...
Ceci dit... j'avoue que j'ai un avis mitigé sur le sujet : dans la mesure où hélas - et de plus en plus - les salariés sont dans des situations dures, il faut bien financer leur défence (ce serait moins cher de les traiter directement bien, mais bon... le jour où certain s regarderont plus loin que le bout de leur nez n'est pas arrivé.
On sait bien qu'en France, on ne peut pas faire de réformes, seulement des révolutions.
D'un autre côté j'ai aussi des exemple de syndicalistes... dont on aurait aimé qu'ils fassent leur boulot un peu mieux avant de prendre des journées de délégation... pour ne pas défendre les camaraaaades :)
J'ai l'exemple, pas vieux du tout, d'un ouvrier qui s'est inscrit à un syndicat, s'est fait désigner représentant syndical dans l'entreprise par ledit syndicat, trop heureux de l'aubaine, s'est fait payer des cours de professorat de judo dans le cadre de la formation continue (on ne peut pas refuser 2 fois), à plein temps pendant un an, et qui pour finir, utilise toutes ses heures de délégation (environ 15 heures/moi s) pour aller donner des cours rétribués de judo dans un club. Nous avons demandé l'autorisation de licenciement à l'inspecteur du travail : autorisation refusée. Le gars fait ce qui lui plaît, il en fait le moins possible, il nargue ses connards de camarades qui travaillent, il est *intouchable*.
Ghost Rider
Ghost Rider
Aucune remise en question globale ne se produit. Et là tout d'un coup la main invisible du marché s'en remet à la générosité de l'ét at pour les sortir de la merde.
Et quand ce sera fini avec les subprime on passera à autre chose du m ême accabit :)
Pour les banques, ça s'appelle la solidarité de place. Les confrère s passent à la caisse. Une banque ne doit pas tomber en faillite, c'est inenvisagable, et c'est tant mieux malgré tout.
Ghost Rider
Aucune remise en question globale ne se produit. Et là tout d'un coup la
main invisible du marché s'en remet à la générosité de l'ét at pour les
sortir de la merde.
Et quand ce sera fini avec les subprime on passera à autre chose du m ême
accabit :)
Pour les banques, ça s'appelle la solidarité de place. Les confrère s
passent à la caisse. Une banque ne doit pas tomber en faillite, c'est
inenvisagable, et c'est tant mieux malgré tout.
Aucune remise en question globale ne se produit. Et là tout d'un coup la main invisible du marché s'en remet à la générosité de l'ét at pour les sortir de la merde.
Et quand ce sera fini avec les subprime on passera à autre chose du m ême accabit :)
Pour les banques, ça s'appelle la solidarité de place. Les confrère s passent à la caisse. Une banque ne doit pas tomber en faillite, c'est inenvisagable, et c'est tant mieux malgré tout.
Ghost Rider
François Jouve
Ghost Rider wrote:
Mais on est vraiment loin de la photo, moi je réponds, mais enfin...
Alors, voilà une photo, qui n'a rien à voir, mais ça devrait me permettre d'obtenir la mansuétude des autres participants pour ces hors charte abusifs.
http://cjoint.com/?cqsBXhwrDM
Alors là je dis halte ! Du HS/HC en pagaille et une photo complètement HS par rapport au HS courant.
Voilà une photo presque dans le sujet (résistance passive des masses à l'oppresseur), prise il y a deux jours :
http://cjoint.com/?cqsZ7BBsvU
-- F.J.
Ghost Rider wrote:
Mais on est vraiment loin de la photo, moi je réponds, mais enfin...
Alors, voilà une photo, qui n'a rien à voir, mais ça devrait me
permettre d'obtenir la mansuétude des autres participants pour ces hors
charte abusifs.
http://cjoint.com/?cqsBXhwrDM
Alors là je dis halte !
Du HS/HC en pagaille et une photo complètement HS par rapport au HS
courant.
Voilà une photo presque dans le sujet (résistance passive des masses
à l'oppresseur), prise il y a deux jours :
Mais on est vraiment loin de la photo, moi je réponds, mais enfin...
Alors, voilà une photo, qui n'a rien à voir, mais ça devrait me permettre d'obtenir la mansuétude des autres participants pour ces hors charte abusifs.
http://cjoint.com/?cqsBXhwrDM
Alors là je dis halte ! Du HS/HC en pagaille et une photo complètement HS par rapport au HS courant.
Voilà une photo presque dans le sujet (résistance passive des masses à l'oppresseur), prise il y a deux jours :
http://cjoint.com/?cqsZ7BBsvU
-- F.J.
Ghost Rider
http://cjoint.com/?cqsBXhwrDM
Alors là je dis halte ! Du HS/HC en pagaille et une photo complètement HS par rapport au HS courant.
C'est pour relancer ce débat qui s'étiole: comme Sarkozy a promis la lune, j'ai voulu illustrer cette idée.
Voilà une photo presque dans le sujet (résistance passive des masse s à l'oppresseur), prise il y a deux jours :
http://cjoint.com/?cqsZ7BBsvU
Effectivement très passive. Il attend la reprise, ce camarade-prolétaire ?
Il ressemble en fait plutôt à un étudiant marxiste avec ses petites lunettes d'intellectuel et ses livres ouverts devant lui.
Très belle photo au demeurant, éclairage superbe..
Ghost Rider
http://cjoint.com/?cqsBXhwrDM
Alors là je dis halte !
Du HS/HC en pagaille et une photo complètement HS par rapport au HS
courant.
C'est pour relancer ce débat qui s'étiole: comme Sarkozy a promis la
lune, j'ai voulu illustrer cette idée.
Voilà une photo presque dans le sujet (résistance passive des masse s
à l'oppresseur), prise il y a deux jours :
http://cjoint.com/?cqsZ7BBsvU
Effectivement très passive.
Il attend la reprise, ce camarade-prolétaire ?
Il ressemble en fait plutôt à un étudiant marxiste avec ses petites
lunettes d'intellectuel et ses livres ouverts devant lui.
Très belle photo au demeurant, éclairage superbe..
