Cette façon de reporter sur les plus faibles l'échec de tout un pan de
notre industrie est complètement ridicule et vraiment débectante.
Pendant ce temps, les dirigeants qui ont fait toutes les erreurs
stratégiques successives se pavanent dans leurs châteaux
(familles Wendel, Schneider et autres), gavés des aides publiques
des différents "plans sidérurgie" montés par l'Etat. Cela n'a pas
empêché l'un d'entre eux de devenir donneur de leçons professionn el (le
faux baron Ernest-Antoine Seillère).
Mais tout ceci est bien dans l'air du temps. Vous avez bien appris
ce que les media vous ont martelé et vous avez porté votre digne
représentant sur le trône.
Cette façon de reporter sur les plus faibles l'échec de tout un pan de
notre industrie est complètement ridicule et vraiment débectante.
Pendant ce temps, les dirigeants qui ont fait toutes les erreurs
stratégiques successives se pavanent dans leurs châteaux
(familles Wendel, Schneider et autres), gavés des aides publiques
des différents "plans sidérurgie" montés par l'Etat. Cela n'a pas
empêché l'un d'entre eux de devenir donneur de leçons professionn el (le
faux baron Ernest-Antoine Seillère).
Mais tout ceci est bien dans l'air du temps. Vous avez bien appris
ce que les media vous ont martelé et vous avez porté votre digne
représentant sur le trône.
Cette façon de reporter sur les plus faibles l'échec de tout un pan de
notre industrie est complètement ridicule et vraiment débectante.
Pendant ce temps, les dirigeants qui ont fait toutes les erreurs
stratégiques successives se pavanent dans leurs châteaux
(familles Wendel, Schneider et autres), gavés des aides publiques
des différents "plans sidérurgie" montés par l'Etat. Cela n'a pas
empêché l'un d'entre eux de devenir donneur de leçons professionn el (le
faux baron Ernest-Antoine Seillère).
Mais tout ceci est bien dans l'air du temps. Vous avez bien appris
ce que les media vous ont martelé et vous avez porté votre digne
représentant sur le trône.
Cette façon de reporter sur les plus faibles l'échec de tout un pan de
notre industrie est complètement ridicule et vraiment débectante.
Dommage que tes arguments utilisent ce vocabulaire qui, en fermant la
discussion, les rend inopérants.
Je citais des anecdotes, réelles, qui montraient que la gestion des
entreprises sidérurgiques en était resté à un état pré-rationnel dans
certains cas.
Pendant ce temps, les dirigeants qui ont fait toutes les erreurs
stratégiques successives se pavanent dans leurs châteaux
(familles Wendel, Schneider et autres), gavés des aides publiques
des différents "plans sidérurgie" montés par l'Etat. Cela n'a pas
empêché l'un d'entre eux de devenir donneur de leçons professionnel (le
faux baron Ernest-Antoine Seillère).
Pourquoi dire le "faux" baron Seillière. Pour le rabaisser ? Il se fiche
de son titre d'ailleurs.
Seillière est un type très intelligent, qui a réussi à transformer un
groupe dispersé et en perdition en une entreprise de premier plan.
Les aides publiques, qui n'ont fait que retarder l'inéluctable, et qui
au final ont rétribué les banques en intérêts de dettes abyssales, n'ont
jamais abouti dans la poche des actionnaires et leurs actions même ont
au fil des ans perdu toute valeur. Ils ne se sont pas enrichis sur la
bête, ils ont plutôt perdu une bonne part de leur fortune passée, avant
que Seillière ne réoriente tout le groupe.
J'ai bien connu les patrons de la sidérurgie, ils étaient en pratique
les otages des pouvoirs publics qui ont rendu impossible pendant très
longtemps l'adaptation de cette industrie. Les vrais responsables du
naufrage de la sidérurgie française, ce sont eux, les pouvoirs publics,
personne d'autre, pas les dirigeants qui avaient les mains liées
(surtout pas de licenciements), et pas le personnel que je connaissais
bien aussi, dur à la tâche et respecté des dirigeants. Pour boucler nos
fins de mois, nous faisions appel aux banques, qui prenaient leurs
instructions à la Direction du Trésor.
Mais tout ceci est bien dans l'air du temps. Vous avez bien appris
ce que les media vous ont martelé et vous avez porté votre digne
représentant sur le trône.
Les média n'ont rien a y voir, j'étais Directeur Financier de sociétés
sidérurgiques, je connais bien leur histoire, et leurs bilans, et je ris
quand je vois les énormités qu'on a pu écrire comme je ris de lire que
tu es toi aussi, victime de ces bobards.
Quand au représentant en question, pour qui d'ailleurs je n'ai pas voté,
je suis comme beaucoup de monde, je crois qu'il devient fou.
Cette façon de reporter sur les plus faibles l'échec de tout un pan de
notre industrie est complètement ridicule et vraiment débectante.
Dommage que tes arguments utilisent ce vocabulaire qui, en fermant la
discussion, les rend inopérants.
Je citais des anecdotes, réelles, qui montraient que la gestion des
entreprises sidérurgiques en était resté à un état pré-rationnel dans
certains cas.
Pendant ce temps, les dirigeants qui ont fait toutes les erreurs
stratégiques successives se pavanent dans leurs châteaux
(familles Wendel, Schneider et autres), gavés des aides publiques
des différents "plans sidérurgie" montés par l'Etat. Cela n'a pas
empêché l'un d'entre eux de devenir donneur de leçons professionnel (le
faux baron Ernest-Antoine Seillère).
Pourquoi dire le "faux" baron Seillière. Pour le rabaisser ? Il se fiche
de son titre d'ailleurs.
Seillière est un type très intelligent, qui a réussi à transformer un
groupe dispersé et en perdition en une entreprise de premier plan.
Les aides publiques, qui n'ont fait que retarder l'inéluctable, et qui
au final ont rétribué les banques en intérêts de dettes abyssales, n'ont
jamais abouti dans la poche des actionnaires et leurs actions même ont
au fil des ans perdu toute valeur. Ils ne se sont pas enrichis sur la
bête, ils ont plutôt perdu une bonne part de leur fortune passée, avant
que Seillière ne réoriente tout le groupe.
J'ai bien connu les patrons de la sidérurgie, ils étaient en pratique
les otages des pouvoirs publics qui ont rendu impossible pendant très
longtemps l'adaptation de cette industrie. Les vrais responsables du
naufrage de la sidérurgie française, ce sont eux, les pouvoirs publics,
personne d'autre, pas les dirigeants qui avaient les mains liées
(surtout pas de licenciements), et pas le personnel que je connaissais
bien aussi, dur à la tâche et respecté des dirigeants. Pour boucler nos
fins de mois, nous faisions appel aux banques, qui prenaient leurs
instructions à la Direction du Trésor.
Mais tout ceci est bien dans l'air du temps. Vous avez bien appris
ce que les media vous ont martelé et vous avez porté votre digne
représentant sur le trône.
Les média n'ont rien a y voir, j'étais Directeur Financier de sociétés
sidérurgiques, je connais bien leur histoire, et leurs bilans, et je ris
quand je vois les énormités qu'on a pu écrire comme je ris de lire que
tu es toi aussi, victime de ces bobards.
Quand au représentant en question, pour qui d'ailleurs je n'ai pas voté,
je suis comme beaucoup de monde, je crois qu'il devient fou.
Cette façon de reporter sur les plus faibles l'échec de tout un pan de
notre industrie est complètement ridicule et vraiment débectante.
Dommage que tes arguments utilisent ce vocabulaire qui, en fermant la
discussion, les rend inopérants.
Je citais des anecdotes, réelles, qui montraient que la gestion des
entreprises sidérurgiques en était resté à un état pré-rationnel dans
certains cas.
Pendant ce temps, les dirigeants qui ont fait toutes les erreurs
stratégiques successives se pavanent dans leurs châteaux
(familles Wendel, Schneider et autres), gavés des aides publiques
des différents "plans sidérurgie" montés par l'Etat. Cela n'a pas
empêché l'un d'entre eux de devenir donneur de leçons professionnel (le
faux baron Ernest-Antoine Seillère).
Pourquoi dire le "faux" baron Seillière. Pour le rabaisser ? Il se fiche
de son titre d'ailleurs.
Seillière est un type très intelligent, qui a réussi à transformer un
groupe dispersé et en perdition en une entreprise de premier plan.
Les aides publiques, qui n'ont fait que retarder l'inéluctable, et qui
au final ont rétribué les banques en intérêts de dettes abyssales, n'ont
jamais abouti dans la poche des actionnaires et leurs actions même ont
au fil des ans perdu toute valeur. Ils ne se sont pas enrichis sur la
bête, ils ont plutôt perdu une bonne part de leur fortune passée, avant
que Seillière ne réoriente tout le groupe.
J'ai bien connu les patrons de la sidérurgie, ils étaient en pratique
les otages des pouvoirs publics qui ont rendu impossible pendant très
longtemps l'adaptation de cette industrie. Les vrais responsables du
naufrage de la sidérurgie française, ce sont eux, les pouvoirs publics,
personne d'autre, pas les dirigeants qui avaient les mains liées
(surtout pas de licenciements), et pas le personnel que je connaissais
bien aussi, dur à la tâche et respecté des dirigeants. Pour boucler nos
fins de mois, nous faisions appel aux banques, qui prenaient leurs
instructions à la Direction du Trésor.
Mais tout ceci est bien dans l'air du temps. Vous avez bien appris
ce que les media vous ont martelé et vous avez porté votre digne
représentant sur le trône.
Les média n'ont rien a y voir, j'étais Directeur Financier de sociétés
sidérurgiques, je connais bien leur histoire, et leurs bilans, et je ris
quand je vois les énormités qu'on a pu écrire comme je ris de lire que
tu es toi aussi, victime de ces bobards.
Quand au représentant en question, pour qui d'ailleurs je n'ai pas voté,
je suis comme beaucoup de monde, je crois qu'il devient fou.
Mais tout ceci est bien dans l'air du temps. Vous avez bien appris
ce que les media vous ont martelé et vous avez porté votre digne
représentant sur le trône.
.../...
Quand au représentant en question, pour qui d'ailleurs je n'ai pas voté,
je suis comme beaucoup de monde, je crois qu'il devient fou.
Il ne "devient" pas.
Mais tout ceci est bien dans l'air du temps. Vous avez bien appris
ce que les media vous ont martelé et vous avez porté votre digne
représentant sur le trône.
.../...
Quand au représentant en question, pour qui d'ailleurs je n'ai pas voté,
je suis comme beaucoup de monde, je crois qu'il devient fou.
Il ne "devient" pas.
Mais tout ceci est bien dans l'air du temps. Vous avez bien appris
ce que les media vous ont martelé et vous avez porté votre digne
représentant sur le trône.
.../...
Quand au représentant en question, pour qui d'ailleurs je n'ai pas voté,
je suis comme beaucoup de monde, je crois qu'il devient fou.
Il ne "devient" pas.
grotesque, poujadiste, et navrant
Non, c'est la réalité, je l'ai vécue.
cites donc tes sources et tu as vecu quoi ?
grotesque, poujadiste, et navrant
Non, c'est la réalité, je l'ai vécue.
cites donc tes sources et tu as vecu quoi ?
grotesque, poujadiste, et navrant
Non, c'est la réalité, je l'ai vécue.
cites donc tes sources et tu as vecu quoi ?
Et alors ?
Quelques ouvriers achetant des patates moins cher on coulé
la sidérurgie ?
Raconte-nous ça.
Et alors ?
Quelques ouvriers achetant des patates moins cher on coulé
la sidérurgie ?
Raconte-nous ça.
Et alors ?
Quelques ouvriers achetant des patates moins cher on coulé
la sidérurgie ?
Raconte-nous ça.
Ghost Rider wrote:grotesque, poujadiste, et navrant
Non, c'est la réalité, je l'ai vécue.
Et alors ?
Quelques ouvriers achetant des patates moins cher on coulé
la sidérurgie ?
Raconte-nous ça.
Ghost Rider wrote:
grotesque, poujadiste, et navrant
Non, c'est la réalité, je l'ai vécue.
Et alors ?
Quelques ouvriers achetant des patates moins cher on coulé
la sidérurgie ?
Raconte-nous ça.
Ghost Rider wrote:grotesque, poujadiste, et navrant
Non, c'est la réalité, je l'ai vécue.
Et alors ?
Quelques ouvriers achetant des patates moins cher on coulé
la sidérurgie ?
Raconte-nous ça.
Anecdote dont la portée est sans commune mesure avec l'ampleur
des pertes de la sidérurgie. Donc non pertinente.
Sinon, dire que cette industrie était restée paternaliste
n'est pas un scoop.
Pendant ce temps, les dirigeants qui ont fait toutes les erreurs
stratégiques successives se pavanent dans leurs châteaux
(familles Wendel, Schneider et autres), gavés des aides publiques
des différents "plans sidérurgie" montés par l'Etat.
Je m'en fiche complètement aussi.
Je viens juste de le lire sur wikipedia et ça m'a fait marrer si c'es t
vrai :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Ernest-Antoine_Seilli%C3%A8re
Seillière est un type très intelligent, qui a réussi à transfo rmer un
groupe dispersé et en perdition en une entreprise de premier plan.
Les aides publiques, qui n'ont fait que retarder l'inéluctable, et q ui
au final ont rétribué les banques en intérêts de dettes abyssa les,
n'ont jamais abouti dans la poche des actionnaires et leurs actions
même ont au fil des ans perdu toute valeur. Ils ne se sont pas
enrichis sur la bête, ils ont plutôt perdu une bonne part de leur
fortune passée, avant que Seillière ne réoriente tout le groupe.
J'ai bien connu les patrons de la sidérurgie, ils étaient en prati que
les otages des pouvoirs publics qui ont rendu impossible pendant trè s
longtemps l'adaptation de cette industrie. Les vrais responsables du
naufrage de la sidérurgie française, ce sont eux, les pouvoirs
publics, personne d'autre, pas les dirigeants qui avaient les mains
liées (surtout pas de licenciements), et pas le personnel que je
connaissais bien aussi, dur à la tâche et respecté des dirigeant s.
Pour boucler nos fins de mois, nous faisions appel aux banques, qui
prenaient leurs instructions à la Direction du Trésor.
Cette analyse me semble juste.
Ce ne sont donc pas les patates des ouvriers qui sont la cause
du désastre :)
Face aux actionnaires actuels et au capitalisme financier débridé e t
mondialisé, les patrons de l'époque nous semblent des anges.
C'est marrant, on ne rencontre plus personne fier d'avoir voté pour l ui.
C'était prévisible, mais pas à ce point et aussi vite.
Encore 4 ans et 3 mois...
Anecdote dont la portée est sans commune mesure avec l'ampleur
des pertes de la sidérurgie. Donc non pertinente.
Sinon, dire que cette industrie était restée paternaliste
n'est pas un scoop.
Pendant ce temps, les dirigeants qui ont fait toutes les erreurs
stratégiques successives se pavanent dans leurs châteaux
(familles Wendel, Schneider et autres), gavés des aides publiques
des différents "plans sidérurgie" montés par l'Etat.
Je m'en fiche complètement aussi.
Je viens juste de le lire sur wikipedia et ça m'a fait marrer si c'es t
vrai :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Ernest-Antoine_Seilli%C3%A8re
Seillière est un type très intelligent, qui a réussi à transfo rmer un
groupe dispersé et en perdition en une entreprise de premier plan.
Les aides publiques, qui n'ont fait que retarder l'inéluctable, et q ui
au final ont rétribué les banques en intérêts de dettes abyssa les,
n'ont jamais abouti dans la poche des actionnaires et leurs actions
même ont au fil des ans perdu toute valeur. Ils ne se sont pas
enrichis sur la bête, ils ont plutôt perdu une bonne part de leur
fortune passée, avant que Seillière ne réoriente tout le groupe.
J'ai bien connu les patrons de la sidérurgie, ils étaient en prati que
les otages des pouvoirs publics qui ont rendu impossible pendant trè s
longtemps l'adaptation de cette industrie. Les vrais responsables du
naufrage de la sidérurgie française, ce sont eux, les pouvoirs
publics, personne d'autre, pas les dirigeants qui avaient les mains
liées (surtout pas de licenciements), et pas le personnel que je
connaissais bien aussi, dur à la tâche et respecté des dirigeant s.
Pour boucler nos fins de mois, nous faisions appel aux banques, qui
prenaient leurs instructions à la Direction du Trésor.
Cette analyse me semble juste.
Ce ne sont donc pas les patates des ouvriers qui sont la cause
du désastre :)
Face aux actionnaires actuels et au capitalisme financier débridé e t
mondialisé, les patrons de l'époque nous semblent des anges.
C'est marrant, on ne rencontre plus personne fier d'avoir voté pour l ui.
C'était prévisible, mais pas à ce point et aussi vite.
Encore 4 ans et 3 mois...
Anecdote dont la portée est sans commune mesure avec l'ampleur
des pertes de la sidérurgie. Donc non pertinente.
Sinon, dire que cette industrie était restée paternaliste
n'est pas un scoop.
Pendant ce temps, les dirigeants qui ont fait toutes les erreurs
stratégiques successives se pavanent dans leurs châteaux
(familles Wendel, Schneider et autres), gavés des aides publiques
des différents "plans sidérurgie" montés par l'Etat.
Je m'en fiche complètement aussi.
Je viens juste de le lire sur wikipedia et ça m'a fait marrer si c'es t
vrai :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Ernest-Antoine_Seilli%C3%A8re
Seillière est un type très intelligent, qui a réussi à transfo rmer un
groupe dispersé et en perdition en une entreprise de premier plan.
Les aides publiques, qui n'ont fait que retarder l'inéluctable, et q ui
au final ont rétribué les banques en intérêts de dettes abyssa les,
n'ont jamais abouti dans la poche des actionnaires et leurs actions
même ont au fil des ans perdu toute valeur. Ils ne se sont pas
enrichis sur la bête, ils ont plutôt perdu une bonne part de leur
fortune passée, avant que Seillière ne réoriente tout le groupe.
J'ai bien connu les patrons de la sidérurgie, ils étaient en prati que
les otages des pouvoirs publics qui ont rendu impossible pendant trè s
longtemps l'adaptation de cette industrie. Les vrais responsables du
naufrage de la sidérurgie française, ce sont eux, les pouvoirs
publics, personne d'autre, pas les dirigeants qui avaient les mains
liées (surtout pas de licenciements), et pas le personnel que je
connaissais bien aussi, dur à la tâche et respecté des dirigeant s.
Pour boucler nos fins de mois, nous faisions appel aux banques, qui
prenaient leurs instructions à la Direction du Trésor.
Cette analyse me semble juste.
Ce ne sont donc pas les patates des ouvriers qui sont la cause
du désastre :)
Face aux actionnaires actuels et au capitalisme financier débridé e t
mondialisé, les patrons de l'époque nous semblent des anges.
C'est marrant, on ne rencontre plus personne fier d'avoir voté pour l ui.
C'était prévisible, mais pas à ce point et aussi vite.
Encore 4 ans et 3 mois...
Ghost Rider wrote:Non, c'est la réalité, je l'ai vécue.
Disons que c'est ta vision de la chose et ton ressenti. Je doute que la
crise de la sidérurgie européenne se soit jouée sur quelques sacs de
patates (sauf ceux d'Ernest).
Il y a eu aussi un manque crutial d'investissement, un endormissement
sur les acquis, un détournement des fonds publics... le tout courroné
par des différences de niveau social dont on aurait tort de se plaind e
(sauf si tu veux *vraiment* vivre à la nord coréenne).
Ghost Rider <Ghost-Rider@in-the-sky.net> wrote:
Non, c'est la réalité, je l'ai vécue.
Disons que c'est ta vision de la chose et ton ressenti. Je doute que la
crise de la sidérurgie européenne se soit jouée sur quelques sacs de
patates (sauf ceux d'Ernest).
Il y a eu aussi un manque crutial d'investissement, un endormissement
sur les acquis, un détournement des fonds publics... le tout courroné
par des différences de niveau social dont on aurait tort de se plaind e
(sauf si tu veux *vraiment* vivre à la nord coréenne).
Ghost Rider wrote:Non, c'est la réalité, je l'ai vécue.
Disons que c'est ta vision de la chose et ton ressenti. Je doute que la
crise de la sidérurgie européenne se soit jouée sur quelques sacs de
patates (sauf ceux d'Ernest).
Il y a eu aussi un manque crutial d'investissement, un endormissement
sur les acquis, un détournement des fonds publics... le tout courroné
par des différences de niveau social dont on aurait tort de se plaind e
(sauf si tu veux *vraiment* vivre à la nord coréenne).
Il n'y a pas eu d'endormissement sur des acquis, non plus, les centres
de recherche étaient très en pointe par exemple, et on a même vendu
certaines technologies aux Japonais et aux Coréens, sans d'ailleurs
comprendre qu'ils allaient les utiliser contre nous. Ça ce fût
effectivement une erreur stratégique car on a sous-estimé leurs
capacités techniques et commerciales.
Il n'y a pas eu d'endormissement sur des acquis, non plus, les centres
de recherche étaient très en pointe par exemple, et on a même vendu
certaines technologies aux Japonais et aux Coréens, sans d'ailleurs
comprendre qu'ils allaient les utiliser contre nous. Ça ce fût
effectivement une erreur stratégique car on a sous-estimé leurs
capacités techniques et commerciales.
Il n'y a pas eu d'endormissement sur des acquis, non plus, les centres
de recherche étaient très en pointe par exemple, et on a même vendu
certaines technologies aux Japonais et aux Coréens, sans d'ailleurs
comprendre qu'ils allaient les utiliser contre nous. Ça ce fût
effectivement une erreur stratégique car on a sous-estimé leurs
capacités techniques et commerciales.
La sidérurgie est l'exemple type de ce à quoi peuvent mener les
errements des politiques publiques lorsque qu'elles sont mues par une
vision à court terme de maintien d'un cadre économique et social
dépassé.
La sidérurgie est l'exemple type de ce à quoi peuvent mener les
errements des politiques publiques lorsque qu'elles sont mues par une
vision à court terme de maintien d'un cadre économique et social
dépassé.
La sidérurgie est l'exemple type de ce à quoi peuvent mener les
errements des politiques publiques lorsque qu'elles sont mues par une
vision à court terme de maintien d'un cadre économique et social
dépassé.