Quelques ouvriers achetant des patates moins cher on coulé
la sidérurgie ?
j'espère que tu vas pas m'en vouloir, mais MDR aussi
Quelques ouvriers achetant des patates moins cher on coulé
la sidérurgie ?
j'espère que tu vas pas m'en vouloir, mais MDR aussi
Quelques ouvriers achetant des patates moins cher on coulé
la sidérurgie ?
j'espère que tu vas pas m'en vouloir, mais MDR aussi
Et on est en train de refaire les même bêtises en installant à to rt
et à travers de unités de production en Chine (Airbus, automobile e tc)
ou en bradant la technologie nucléaire à toute une série de pays douteux.
Et on est en train de refaire les même bêtises en installant à to rt
et à travers de unités de production en Chine (Airbus, automobile e tc)
ou en bradant la technologie nucléaire à toute une série de pays douteux.
Et on est en train de refaire les même bêtises en installant à to rt
et à travers de unités de production en Chine (Airbus, automobile e tc)
ou en bradant la technologie nucléaire à toute une série de pays douteux.
Si je comprend bien tes messages : c'est rien que de la faute à l'é tat
et aux ouvriers et que les bons patrons/cadres sidérugistes étaient tous des
mecs génial épatants, inovants.
Naturellement tu étais cadre dans la sidérurgie :)
Je me pose quand même des questions sur la qualité d'un encadrement
qui considère que 100% des erreurs sont extérieures et qu'ils ne so nt
que des mecs géniaux.
Si je comprend bien tes messages : c'est rien que de la faute à l'é tat
et aux ouvriers et que les bons patrons/cadres sidérugistes étaient tous des
mecs génial épatants, inovants.
Naturellement tu étais cadre dans la sidérurgie :)
Je me pose quand même des questions sur la qualité d'un encadrement
qui considère que 100% des erreurs sont extérieures et qu'ils ne so nt
que des mecs géniaux.
Si je comprend bien tes messages : c'est rien que de la faute à l'é tat
et aux ouvriers et que les bons patrons/cadres sidérugistes étaient tous des
mecs génial épatants, inovants.
Naturellement tu étais cadre dans la sidérurgie :)
Je me pose quand même des questions sur la qualité d'un encadrement
qui considère que 100% des erreurs sont extérieures et qu'ils ne so nt
que des mecs géniaux.
Si je comprend bien tes messages : c'est rien que de la faute à
l'état
et aux ouvriers et que les bons patrons/cadres sidérugistes étaient tous des
mecs génial épatants, inovants.
Naturellement tu étais cadre dans la sidérurgie :)
Je me pose quand même des questions sur la qualité d'un encadrement
qui considère que 100% des erreurs sont extérieures et qu'ils ne sont
que des mecs géniaux.
Bien sûr, il y a eu aussi des erreurs internes.
D'abord, les dirigeants, sortant souvent des mêmes écoles que les
hauts fonctionnaires, se tutoyant, ayant souvent fait un passage dans
la haute administration, partageant beaucoup de valeurs avec celle-ci,
n'ont pas su ou pu imposer aux pouvoirs publics les choix de la
rationalisation économique. Il faut rappeler qu'à l'époque, la
politique industrielle de la France était gouvernée par les Plans qui
s'imposaient à tous.
Ensuite, la sidérurgie n'était pas suffisamment à l'écoute de ses
clients. SOLLAC, par exemple, premier fabricant français de fer blanc
et de tôles, n'a eu que très tard une Direction Commerciale.
Il existait bien des comptabilités analytiques précises, mais pas de
comptabilité prévisionnelle détaillée. La encore, ce n'est que très
tard qu'on été créées des Directions du Plan et du Contrôle de
Gestion.
Si je comprend bien tes messages : c'est rien que de la faute à
l'état
et aux ouvriers et que les bons patrons/cadres sidérugistes étaient tous des
mecs génial épatants, inovants.
Naturellement tu étais cadre dans la sidérurgie :)
Je me pose quand même des questions sur la qualité d'un encadrement
qui considère que 100% des erreurs sont extérieures et qu'ils ne sont
que des mecs géniaux.
Bien sûr, il y a eu aussi des erreurs internes.
D'abord, les dirigeants, sortant souvent des mêmes écoles que les
hauts fonctionnaires, se tutoyant, ayant souvent fait un passage dans
la haute administration, partageant beaucoup de valeurs avec celle-ci,
n'ont pas su ou pu imposer aux pouvoirs publics les choix de la
rationalisation économique. Il faut rappeler qu'à l'époque, la
politique industrielle de la France était gouvernée par les Plans qui
s'imposaient à tous.
Ensuite, la sidérurgie n'était pas suffisamment à l'écoute de ses
clients. SOLLAC, par exemple, premier fabricant français de fer blanc
et de tôles, n'a eu que très tard une Direction Commerciale.
Il existait bien des comptabilités analytiques précises, mais pas de
comptabilité prévisionnelle détaillée. La encore, ce n'est que très
tard qu'on été créées des Directions du Plan et du Contrôle de
Gestion.
Si je comprend bien tes messages : c'est rien que de la faute à
l'état
et aux ouvriers et que les bons patrons/cadres sidérugistes étaient tous des
mecs génial épatants, inovants.
Naturellement tu étais cadre dans la sidérurgie :)
Je me pose quand même des questions sur la qualité d'un encadrement
qui considère que 100% des erreurs sont extérieures et qu'ils ne sont
que des mecs géniaux.
Bien sûr, il y a eu aussi des erreurs internes.
D'abord, les dirigeants, sortant souvent des mêmes écoles que les
hauts fonctionnaires, se tutoyant, ayant souvent fait un passage dans
la haute administration, partageant beaucoup de valeurs avec celle-ci,
n'ont pas su ou pu imposer aux pouvoirs publics les choix de la
rationalisation économique. Il faut rappeler qu'à l'époque, la
politique industrielle de la France était gouvernée par les Plans qui
s'imposaient à tous.
Ensuite, la sidérurgie n'était pas suffisamment à l'écoute de ses
clients. SOLLAC, par exemple, premier fabricant français de fer blanc
et de tôles, n'a eu que très tard une Direction Commerciale.
Il existait bien des comptabilités analytiques précises, mais pas de
comptabilité prévisionnelle détaillée. La encore, ce n'est que très
tard qu'on été créées des Directions du Plan et du Contrôle de
Gestion.
Ghost Rider writes:
http://freyssenet.com/?q=node/352
Ghost Rider <Ghost-Rider@in-the-sky.net> writes:
http://freyssenet.com/?q=node/352
Ghost Rider writes:
http://freyssenet.com/?q=node/352
Ghost Rider writes:
http://freyssenet.com/?q=node/352
Je ne connaissais pas cet ouvrage, la présentation est conforme à ce
que je sais.
Je retiens la conclusion:
"Le processus de faillite de la sidérurgie n'a pas été le fruit de
l'incompétence d'un patronat familial, ou bien du laisser-faire de la
CECA, ou bien encore de l'interventionnisme de l'État, mais des trois
contradictions sociales qui se sont formées au cours des années 50, en
pleine euphorie de l'expansion, et que les forces sociales et les
acteurs en présence ont perpétuées par leur action contradictoire."
Ghost Rider <Ghost-Rider@in-the-sky.net> writes:
http://freyssenet.com/?q=node/352
Je ne connaissais pas cet ouvrage, la présentation est conforme à ce
que je sais.
Je retiens la conclusion:
"Le processus de faillite de la sidérurgie n'a pas été le fruit de
l'incompétence d'un patronat familial, ou bien du laisser-faire de la
CECA, ou bien encore de l'interventionnisme de l'État, mais des trois
contradictions sociales qui se sont formées au cours des années 50, en
pleine euphorie de l'expansion, et que les forces sociales et les
acteurs en présence ont perpétuées par leur action contradictoire."
Ghost Rider writes:
http://freyssenet.com/?q=node/352
Je ne connaissais pas cet ouvrage, la présentation est conforme à ce
que je sais.
Je retiens la conclusion:
"Le processus de faillite de la sidérurgie n'a pas été le fruit de
l'incompétence d'un patronat familial, ou bien du laisser-faire de la
CECA, ou bien encore de l'interventionnisme de l'État, mais des trois
contradictions sociales qui se sont formées au cours des années 50, en
pleine euphorie de l'expansion, et que les forces sociales et les
acteurs en présence ont perpétuées par leur action contradictoire."
Il est donc amusant de constater que les mêmes personnes étaient
super compétentes quand elles travaillaient pour l'industrie, et
totalement incompétentes quand elles travaillaient pour l'état :)
Ensuite, la sidérurgie n'était pas suffisamment à l'écoute de ses
clients. SOLLAC, par exemple, premier fabricant français de fer blan c
et de tôles, n'a eu que très tard une Direction Commerciale.
Ce devait être la faute des syndicats et des politiques...
Il existait bien des comptabilités analytiques précises, mais pas de
comptabilité prévisionnelle détaillée. La encore, ce n'est que très
tard qu'on été créées des Directions du Plan et du Contrôle de
Gestion.
Alors que les approches qualitées étaient mise en oeuvre depuis les
années 50 au Japon par exemple.
Il est donc amusant de constater que les mêmes personnes étaient
super compétentes quand elles travaillaient pour l'industrie, et
totalement incompétentes quand elles travaillaient pour l'état :)
Ensuite, la sidérurgie n'était pas suffisamment à l'écoute de ses
clients. SOLLAC, par exemple, premier fabricant français de fer blan c
et de tôles, n'a eu que très tard une Direction Commerciale.
Ce devait être la faute des syndicats et des politiques...
Il existait bien des comptabilités analytiques précises, mais pas de
comptabilité prévisionnelle détaillée. La encore, ce n'est que très
tard qu'on été créées des Directions du Plan et du Contrôle de
Gestion.
Alors que les approches qualitées étaient mise en oeuvre depuis les
années 50 au Japon par exemple.
Il est donc amusant de constater que les mêmes personnes étaient
super compétentes quand elles travaillaient pour l'industrie, et
totalement incompétentes quand elles travaillaient pour l'état :)
Ensuite, la sidérurgie n'était pas suffisamment à l'écoute de ses
clients. SOLLAC, par exemple, premier fabricant français de fer blan c
et de tôles, n'a eu que très tard une Direction Commerciale.
Ce devait être la faute des syndicats et des politiques...
Il existait bien des comptabilités analytiques précises, mais pas de
comptabilité prévisionnelle détaillée. La encore, ce n'est que très
tard qu'on été créées des Directions du Plan et du Contrôle de
Gestion.
Alors que les approches qualitées étaient mise en oeuvre depuis les
années 50 au Japon par exemple.
On est très loin des sarcasmes, anecdotes et de la vision unilaterale que vous
affichiez au début.
On est très loin des sarcasmes, anecdotes et de la vision unilaterale que vous
affichiez au début.
On est très loin des sarcasmes, anecdotes et de la vision unilaterale que vous
affichiez au début.
Il est donc amusant de constater que les mêmes personnes étai ent
super compétentes quand elles travaillaient pour l'industrie, et
totalement incompétentes quand elles travaillaient pour l'état :)
Hé oui, hélas, ce sont les nécessités de l'emploi qui veulent ça.
On peut être un bon ingénieur qui a l'Åil sur ses rés ultats et un
piètre fonctionnaire qui doit, pour rester à son poste, avaler
quelques couleuvres.
Alors que les approches qualitées étaient mise en oeuvre depui s les
années 50 au Japon par exemple.
La sidérurgie n'était pas, en France, une industrie plus en ret ard que
d'autres, mais vis-Ã -vis du Japon... Comme je le rappelais: 16 heures
par tonne en France, pas tellement moins ailleurs en Europe ou aux
Etats-Unis, 4 heures au Japon...
Il est donc amusant de constater que les mêmes personnes étai ent
super compétentes quand elles travaillaient pour l'industrie, et
totalement incompétentes quand elles travaillaient pour l'état :)
Hé oui, hélas, ce sont les nécessités de l'emploi qui veulent ça.
On peut être un bon ingénieur qui a l'Åil sur ses rés ultats et un
piètre fonctionnaire qui doit, pour rester à son poste, avaler
quelques couleuvres.
Alors que les approches qualitées étaient mise en oeuvre depui s les
années 50 au Japon par exemple.
La sidérurgie n'était pas, en France, une industrie plus en ret ard que
d'autres, mais vis-Ã -vis du Japon... Comme je le rappelais: 16 heures
par tonne en France, pas tellement moins ailleurs en Europe ou aux
Etats-Unis, 4 heures au Japon...
Il est donc amusant de constater que les mêmes personnes étai ent
super compétentes quand elles travaillaient pour l'industrie, et
totalement incompétentes quand elles travaillaient pour l'état :)
Hé oui, hélas, ce sont les nécessités de l'emploi qui veulent ça.
On peut être un bon ingénieur qui a l'Åil sur ses rés ultats et un
piètre fonctionnaire qui doit, pour rester à son poste, avaler
quelques couleuvres.
Alors que les approches qualitées étaient mise en oeuvre depui s les
années 50 au Japon par exemple.
La sidérurgie n'était pas, en France, une industrie plus en ret ard que
d'autres, mais vis-Ã -vis du Japon... Comme je le rappelais: 16 heures
par tonne en France, pas tellement moins ailleurs en Europe ou aux
Etats-Unis, 4 heures au Japon...