On épuise les poneys en leur imposant des poids exagérés en plein soleil !
http://cjoint.com/?BHxkJwsqnl9
Que fait la SPA ?
Ndlr. Je précise que l'enfant n'est en rien l'un de mes descendants, et
qu'il ne s'agit donc pas d'une photo de famille, sujet absolument
déconseillé à la publication pour de vrais professionnels
C'est quand même marrant de te voir faire des discours sur le langage quand tu es ignorant de ses mécanismes de base.
C'est ça les vieux crétins : ils se croient autorisés à parler de ce qu'ils ignorent.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Papy Bernard <lenichoir@aol.com> wrote:
De FiLH <filh@filh.orgie> typed:
> Et... tu connais son histoire vieux crétin ?
A crétin, crétin et demi, hein ! ! ! !
Ah ben non, tu ne connais pas...
C'est quand même marrant de te voir faire des discours sur le langage
quand tu es ignorant de ses mécanismes de base.
C'est ça les vieux crétins : ils se croient autorisés à parler de ce
qu'ils ignorent.
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
C'est quand même marrant de te voir faire des discours sur le langage quand tu es ignorant de ses mécanismes de base.
C'est ça les vieux crétins : ils se croient autorisés à parler de ce qu'ils ignorent.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
filh
Ghost-Rider wrote:
Comme je l'ai dit plus haut : sur 600.000 mots anglais, 240.000 sont français ou font partie d'un fonds compris par les français. Et le français est bien plus réticent à accepter les mots nouveaux alors que ce qui fait une force de l'anglais c'est sa facilité à intégrer les vocables étrangers.
Les linguistes déplorent cette frilosité des Français car une langue qui n'évolue pas perd sa valeur d'échange entre les hommes. Je suis en train de traduire, pour les besoins de la thèse de doctorat de ma fille, des centaines de pages d'indonésien vers l'anglais et je reste étonné du nombre de vocables étrangers que cette langue, malais simplifié pour les besoins de communication de l'archipel, a intégrés car il n'existaient pas dans les langues locales. La Bahasa Indonesia est un joyeux mélange de malais (principalement), de javanais, de hollandais, d'arabe (énormément), d'anglais, de français, de sanscrit, de chinois etc...
Claude Hagège a dit qu'on peut faire subir énormément de choses à une langue sans qu'elle se perde, sauf la syntaxe. les quelques mots franglais sur lesquels certains se braquent ne sont rien.
Je suis totalement d'accord avec toi, même si je déplore que les apports ne se fassent plus par une transformation du mot, comme riding coat par exemple.
Un exemple que je n'ai pas bien creusé est l'hébreux, langue ressucité comme langue vivante au 19/20e siècle... comment s'est fait l'apport des nouveaux mots.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Ghost-Rider <Ghost-Rider@compuserve.com> wrote:
Comme je l'ai dit plus haut : sur 600.000 mots anglais, 240.000 sont
français ou font partie d'un fonds compris par les français.
Et le français est bien plus réticent à accepter les mots nouveaux alors
que ce qui fait une force de l'anglais c'est sa facilité à intégrer les
vocables étrangers.
Les linguistes déplorent cette frilosité des Français car une langue qui
n'évolue pas perd sa valeur d'échange entre les hommes.
Je suis en train de traduire, pour les besoins de la thèse de doctorat
de ma fille, des centaines de pages d'indonésien vers l'anglais et je
reste étonné du nombre de vocables étrangers que cette langue, malais
simplifié pour les besoins de communication de l'archipel, a intégrés
car il n'existaient pas dans les langues locales. La Bahasa Indonesia
est un joyeux mélange de malais (principalement), de javanais, de
hollandais, d'arabe (énormément), d'anglais, de français, de sanscrit,
de chinois etc...
Claude Hagège a dit qu'on peut faire subir énormément de choses à une
langue sans qu'elle se perde, sauf la syntaxe. les quelques mots
franglais sur lesquels certains se braquent ne sont rien.
Je suis totalement d'accord avec toi, même si je déplore que les apports
ne se fassent plus par une transformation du mot, comme riding coat par
exemple.
Un exemple que je n'ai pas bien creusé est l'hébreux, langue ressucité
comme langue vivante au 19/20e siècle... comment s'est fait l'apport des
nouveaux mots.
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Comme je l'ai dit plus haut : sur 600.000 mots anglais, 240.000 sont français ou font partie d'un fonds compris par les français. Et le français est bien plus réticent à accepter les mots nouveaux alors que ce qui fait une force de l'anglais c'est sa facilité à intégrer les vocables étrangers.
Les linguistes déplorent cette frilosité des Français car une langue qui n'évolue pas perd sa valeur d'échange entre les hommes. Je suis en train de traduire, pour les besoins de la thèse de doctorat de ma fille, des centaines de pages d'indonésien vers l'anglais et je reste étonné du nombre de vocables étrangers que cette langue, malais simplifié pour les besoins de communication de l'archipel, a intégrés car il n'existaient pas dans les langues locales. La Bahasa Indonesia est un joyeux mélange de malais (principalement), de javanais, de hollandais, d'arabe (énormément), d'anglais, de français, de sanscrit, de chinois etc...
Claude Hagège a dit qu'on peut faire subir énormément de choses à une langue sans qu'elle se perde, sauf la syntaxe. les quelques mots franglais sur lesquels certains se braquent ne sont rien.
Je suis totalement d'accord avec toi, même si je déplore que les apports ne se fassent plus par une transformation du mot, comme riding coat par exemple.
Un exemple que je n'ai pas bien creusé est l'hébreux, langue ressucité comme langue vivante au 19/20e siècle... comment s'est fait l'apport des nouveaux mots.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
jdd
Le 25/08/2012 22:09, FiLH a écrit :
C'est ça les vieux crétins : ils se croient autorisés à parler de ce qu'ils ignorent.
de quoi veux-tu qu'ils parlent? de photos floues?
jdd
Le 25/08/2012 22:09, FiLH a écrit :
C'est ça les vieux crétins : ils se croient autorisés à parler de ce
qu'ils ignorent.
C'est ça les vieux crétins : ils se croient autorisés à parler de ce qu'ils ignorent.
de quoi veux-tu qu'ils parlent? de photos floues?
jdd
Papy Bernard
De Ghost-Rider typed:
On estime que 40% du vocabulaire anglais, soit 240.000 mots sont des emprunts au français principalement, mais aussi un peu à l'italien,
240000, me parait un peu beaucoup.
beaucoup au latin et aussi au grec, ce qui donne aux Français un vocabulaire facile à apprendre, mais appartenant souvent à une langue recherchée que les anglais n'utilisent pas nécessairement : seigneur, vicinage, gibbet, billet-doux, gallant, pensée...
Que les Anglais n'usent pas/n'abusent pas des "francismes", c'est des anglais. Mais que les chroniqueux/journaleux français usent et *abusent* d'anglicismes, souvent mal prononcés -comme déjà dit- et parfois à contre-sens,
Je crois me souvenir que c'est Ercic Orsenna qui affirmait que, pour apprendre une langue étrangère, la condition "sine qua none" était d'avoir de bonnes bases (orthographiques) de sa langue maternelle.
J'ajouterai, d'avoir un bon prof.
Mon prof d'anglais, à qui je ne rendrai jamais assez hommage, nous indiquait toujours la proximité entre les mots.
Ainsi : Vacances : temps libre. "Vacancies" à l'affiche d'un motel = chambres libres/disponibles/vides, A rapprocher de vide : "vacuum/vacuity" (vacuité) , vacuum-cleaner (aspirateur - nettoyage par le vide)
Voilà comme on enrichissait notre vocabulaire, tant anglais que fançais.
De Ghost-Rider <Ghost-Rider@compuserve.com> typed:
On estime que 40% du vocabulaire anglais, soit 240.000 mots sont des
emprunts au français principalement, mais aussi un peu à l'italien,
240000, me parait un peu beaucoup.
beaucoup au latin et aussi au grec, ce qui donne aux Français un
vocabulaire facile à apprendre, mais appartenant souvent à une langue
recherchée que les anglais n'utilisent pas nécessairement : seigneur,
vicinage, gibbet, billet-doux, gallant, pensée...
Que les Anglais n'usent pas/n'abusent pas des "francismes", c'est des
anglais.
Mais que les chroniqueux/journaleux français usent et *abusent*
d'anglicismes, souvent mal prononcés -comme déjà dit- et parfois à
contre-sens,
Je crois me souvenir que c'est Ercic Orsenna qui affirmait que, pour
apprendre une langue étrangère, la condition "sine qua none" était d'avoir
de bonnes bases (orthographiques) de sa langue maternelle.
J'ajouterai, d'avoir un bon prof.
Mon prof d'anglais, à qui je ne rendrai jamais assez hommage, nous indiquait
toujours la proximité entre les mots.
Ainsi : Vacances : temps libre. "Vacancies" à l'affiche d'un motel =
chambres libres/disponibles/vides,
A rapprocher de vide : "vacuum/vacuity" (vacuité) , vacuum-cleaner
(aspirateur - nettoyage par le vide)
Voilà comme on enrichissait notre vocabulaire, tant anglais que fançais.
On estime que 40% du vocabulaire anglais, soit 240.000 mots sont des emprunts au français principalement, mais aussi un peu à l'italien,
240000, me parait un peu beaucoup.
beaucoup au latin et aussi au grec, ce qui donne aux Français un vocabulaire facile à apprendre, mais appartenant souvent à une langue recherchée que les anglais n'utilisent pas nécessairement : seigneur, vicinage, gibbet, billet-doux, gallant, pensée...
Que les Anglais n'usent pas/n'abusent pas des "francismes", c'est des anglais. Mais que les chroniqueux/journaleux français usent et *abusent* d'anglicismes, souvent mal prononcés -comme déjà dit- et parfois à contre-sens,
Je crois me souvenir que c'est Ercic Orsenna qui affirmait que, pour apprendre une langue étrangère, la condition "sine qua none" était d'avoir de bonnes bases (orthographiques) de sa langue maternelle.
J'ajouterai, d'avoir un bon prof.
Mon prof d'anglais, à qui je ne rendrai jamais assez hommage, nous indiquait toujours la proximité entre les mots.
Ainsi : Vacances : temps libre. "Vacancies" à l'affiche d'un motel = chambres libres/disponibles/vides, A rapprocher de vide : "vacuum/vacuity" (vacuité) , vacuum-cleaner (aspirateur - nettoyage par le vide)
Voilà comme on enrichissait notre vocabulaire, tant anglais que fançais.
Ghost-Rider
Le 25/08/2012 22:13, FiLH a écrit :
Je suis totalement d'accord avec toi, même si je déplore que les apports ne se fassent plus par une transformation du mot, comme riding coat par exemple.
Oui, on peut le regretter.
Un exemple que je n'ai pas bien creusé est l'hébreux, langue ressucité comme langue vivante au 19/20e siècle... comment s'est fait l'apport des nouveaux mots.
Sans avoir vérifié, je crois que comme pour l'arabe qui était pauvre en vocabulaire moderne, on a en hébreu créé à partir des racines existantes des centaines de mots nouveaux.
Le 25/08/2012 22:13, FiLH a écrit :
Je suis totalement d'accord avec toi, même si je déplore que les apports
ne se fassent plus par une transformation du mot, comme riding coat par
exemple.
Oui, on peut le regretter.
Un exemple que je n'ai pas bien creusé est l'hébreux, langue ressucité
comme langue vivante au 19/20e siècle... comment s'est fait l'apport des
nouveaux mots.
Sans avoir vérifié, je crois que comme pour l'arabe qui était pauvre en
vocabulaire moderne, on a en hébreu créé à partir des racines existantes
des centaines de mots nouveaux.
Je suis totalement d'accord avec toi, même si je déplore que les apports ne se fassent plus par une transformation du mot, comme riding coat par exemple.
Oui, on peut le regretter.
Un exemple que je n'ai pas bien creusé est l'hébreux, langue ressucité comme langue vivante au 19/20e siècle... comment s'est fait l'apport des nouveaux mots.
Sans avoir vérifié, je crois que comme pour l'arabe qui était pauvre en vocabulaire moderne, on a en hébreu créé à partir des racines existantes des centaines de mots nouveaux.
MELMOTH
Ce cher mammifère du nom de Richard nous susurrait, le samedi 25/08/2012, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <5039169c$, les doux mélismes suivants :
Ainsi donc (voir ci-dessus) on n'écrit pas "les abysses virtuelles" mais bien "les abysses VIRTUELS". Ce n'est pas bien ça, Melmoth. Pas bien du tout.
Ah !...Quand même !... _UN_ qui n'est pas tombé dans Mon bien pitoyable, Je le concède, et melmothéen piège... MELMOTH te félicite, Mon bon...
Quant aux langues... Il est bien évident que toutes les langues s'/empruntent mutuellement/ des mots...Des (dizaines de) milliers de mots...Et ce depuis l'Éternité...
Simplement, depuis disons à la louche une dizaine d'années (et avec, et c'est loin d'être paradoxal, l'_explosion de ce qu'on appelle les nouvelles technolgies_), les *anglicismes* augmentent dans toutes les merdias (et ça va de Moi tout particulièrement dans celles de l'Internet) de façon exponentielle...Même lorsqu'ils n'ont /ABSOLUMENT PAS LIEU d'ÊTRE/, car les mots _français_ existent et sont tout à fait parlants et pertinents...
Sans compter, sur les radios/télévisions, des phrases (et même des reportages entiers) totalement incorrectes sur le plan de la syntaxe/grammaire (en particulier absence de verbes, récurrente)...Et ce même sur des chaînes qui à priori devraient éviter toussa, telles que France Cul', entre autres...
Alleïïïïï... Pour revenir en charte... Pour le *chleusame*, Je tends la perche :
http://cjoint.com/?BHzxpInzPbC
Sans compter les "eeeuuuunnn" ajoutés à toutes les sauces au bout de moult mots...Ah !...Les "bonjoureeeuunnn"..."au revoireeuuunnn" des "techniciennes de caisse"...Quant aux "mercieeeuuunnnn"...
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant
Ce cher mammifère du nom de Richard nous susurrait, le samedi
25/08/2012, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout
de même, et dans le message <5039169c$1@news.stben.net>, les doux
mélismes suivants :
Ainsi donc (voir ci-dessus) on n'écrit pas "les abysses
virtuelles" mais bien "les abysses VIRTUELS".
Ce n'est pas bien ça, Melmoth. Pas bien du tout.
Ah !...Quand même !...
_UN_ qui n'est pas tombé dans Mon bien pitoyable, Je le concède, et
melmothéen piège...
MELMOTH te félicite, Mon bon...
Quant aux langues...
Il est bien évident que toutes les langues s'/empruntent mutuellement/
des mots...Des (dizaines de) milliers de mots...Et ce depuis
l'Éternité...
Simplement, depuis disons à la louche une dizaine d'années (et avec, et
c'est loin d'être paradoxal, l'_explosion de ce qu'on appelle les
nouvelles technolgies_), les *anglicismes* augmentent dans toutes les
merdias (et ça va de Moi tout particulièrement dans celles de
l'Internet) de façon exponentielle...Même lorsqu'ils n'ont /ABSOLUMENT
PAS LIEU d'ÊTRE/, car les mots _français_ existent et sont tout à fait
parlants et pertinents...
Sans compter, sur les radios/télévisions, des phrases (et même des
reportages entiers) totalement incorrectes sur le plan de la
syntaxe/grammaire (en particulier absence de verbes, récurrente)...Et
ce même sur des chaînes qui à priori devraient éviter toussa, telles
que France Cul', entre autres...
Alleïïïïï...
Pour revenir en charte...
Pour le *chleusame*, Je tends la perche :
http://cjoint.com/?BHzxpInzPbC
Sans compter les "eeeuuuunnn" ajoutés à toutes les sauces au bout de
moult mots...Ah !...Les "bonjoureeeuunnn"..."au revoireeuuunnn" des
"techniciennes de caisse"...Quant aux "mercieeeuuunnnn"...
--
Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui
accroît sa science accroît sa douleur.
[Ecclésiaste, 1-18]
MELMOTH - souffrant
Ce cher mammifère du nom de Richard nous susurrait, le samedi 25/08/2012, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <5039169c$, les doux mélismes suivants :
Ainsi donc (voir ci-dessus) on n'écrit pas "les abysses virtuelles" mais bien "les abysses VIRTUELS". Ce n'est pas bien ça, Melmoth. Pas bien du tout.
Ah !...Quand même !... _UN_ qui n'est pas tombé dans Mon bien pitoyable, Je le concède, et melmothéen piège... MELMOTH te félicite, Mon bon...
Quant aux langues... Il est bien évident que toutes les langues s'/empruntent mutuellement/ des mots...Des (dizaines de) milliers de mots...Et ce depuis l'Éternité...
Simplement, depuis disons à la louche une dizaine d'années (et avec, et c'est loin d'être paradoxal, l'_explosion de ce qu'on appelle les nouvelles technolgies_), les *anglicismes* augmentent dans toutes les merdias (et ça va de Moi tout particulièrement dans celles de l'Internet) de façon exponentielle...Même lorsqu'ils n'ont /ABSOLUMENT PAS LIEU d'ÊTRE/, car les mots _français_ existent et sont tout à fait parlants et pertinents...
Sans compter, sur les radios/télévisions, des phrases (et même des reportages entiers) totalement incorrectes sur le plan de la syntaxe/grammaire (en particulier absence de verbes, récurrente)...Et ce même sur des chaînes qui à priori devraient éviter toussa, telles que France Cul', entre autres...
Alleïïïïï... Pour revenir en charte... Pour le *chleusame*, Je tends la perche :
http://cjoint.com/?BHzxpInzPbC
Sans compter les "eeeuuuunnn" ajoutés à toutes les sauces au bout de moult mots...Ah !...Les "bonjoureeeuunnn"..."au revoireeuuunnn" des "techniciennes de caisse"...Quant aux "mercieeeuuunnnn"...
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant
Ghost-Rider
Le 25/08/2012 22:31, Papy Bernard a écrit :
De Ghost-Rider typed:
On estime que 40% du vocabulaire anglais, soit 240.000 mots sont des emprunts au français principalement, mais aussi un peu à l'italien,
240000, me parait un peu beaucoup.
J'ai cité de mémoire et semble-t-il, j'ai péché par modestie. Cet article : http://fr.wikipedia.org/wiki/Anglais nous apprend : - 750000 mots anglais probables - 28,3 % français directement, hors latin, - selon Henriette Walter, linguiste connue : 60% des mots anglais seraient dérivés du français. Étonnant, non ? Et 4% seulement de mots anglais en français ! Où est le scandale ???
Que les Anglais n'usent pas/n'abusent pas des "francismes", c'est des anglais. Mais que les chroniqueux/journaleux français usent et *abusent* d'anglicismes, souvent mal prononcés -comme déjà dit- et parfois à contre-sens,
Oui, oui, mais bon, c'est le jeu de la langue.
Je crois me souvenir que c'est Ercic Orsenna qui affirmait que, pour apprendre une langue étrangère, la condition "sine qua none" était d'avoir de bonnes bases (orthographiques) de sa langue maternelle.
Oui, alors là, les gens qui, dès leur prime enfance, sont dans la nécessité d'utiliser trois ou quatre langues différentes, comme en Afrique, en Indonésie, dans les anciennes républiques soviétiques ou ailleurs, doivent bien rigoler de ce que raconte Eric Orsenna. Mon voisin le rabbin parlait le berbère du coin, l'arabe dialectal marocain, l'arabe littéral, l'hébreu et le français. Henriette Walter, enfant, utilisait 4 langues. Les gamins de Jérusalem parlent indifféremment l'arabe ou l'hébreu, plus l'anglais, plus un pidgin : l'hébrab. Et les Antillais, qui parlent tous Créole et Français... Tiens, un exemple de multilinguisme chez des enfants : http://cjoint.com/12au/BHzxt4tGieE.htm On voit ma fille en train de discuter en indonésien avec des enfants balinais. Les plus âgés s'épatent d'entendre une européenne parler la langue de l'école. La plus jeune ne comprend pas, elle parle seulement le dialecte balinais utilisé dans le village. Alors, Eric Orsenna...
J'ajouterai, d'avoir un bon prof. Mon prof d'anglais, à qui je ne rendrai jamais assez hommage, nous indiquait toujours la proximité entre les mots. Ainsi : Vacances : temps libre. "Vacancies" à l'affiche d'un motel > chambres libres/disponibles/vides, A rapprocher de vide : "vacuum/vacuity" (vacuité) , vacuum-cleaner (aspirateur - nettoyage par le vide) Voilà comme on enrichissait notre vocabulaire, tant anglais que fançais.
Avec 240.000 mots français en anglais, on a du boulot là !
Le 25/08/2012 22:31, Papy Bernard a écrit :
De Ghost-Rider <Ghost-Rider@compuserve.com> typed:
On estime que 40% du vocabulaire anglais, soit 240.000 mots sont des
emprunts au français principalement, mais aussi un peu à l'italien,
240000, me parait un peu beaucoup.
J'ai cité de mémoire et semble-t-il, j'ai péché par modestie.
Cet article :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Anglais
nous apprend :
- 750000 mots anglais probables
- 28,3 % français directement, hors latin,
- selon Henriette Walter, linguiste connue : 60% des mots anglais
seraient dérivés du français.
Étonnant, non ?
Et 4% seulement de mots anglais en français !
Où est le scandale ???
Que les Anglais n'usent pas/n'abusent pas des "francismes", c'est des
anglais.
Mais que les chroniqueux/journaleux français usent et *abusent*
d'anglicismes, souvent mal prononcés -comme déjà dit- et parfois à
contre-sens,
Oui, oui, mais bon, c'est le jeu de la langue.
Je crois me souvenir que c'est Ercic Orsenna qui affirmait que, pour
apprendre une langue étrangère, la condition "sine qua none" était d'avoir
de bonnes bases (orthographiques) de sa langue maternelle.
Oui, alors là, les gens qui, dès leur prime enfance, sont dans la
nécessité d'utiliser trois ou quatre langues différentes, comme en
Afrique, en Indonésie, dans les anciennes républiques soviétiques ou
ailleurs, doivent bien rigoler de ce que raconte Eric Orsenna.
Mon voisin le rabbin parlait le berbère du coin, l'arabe dialectal
marocain, l'arabe littéral, l'hébreu et le français.
Henriette Walter, enfant, utilisait 4 langues.
Les gamins de Jérusalem parlent indifféremment l'arabe ou l'hébreu, plus
l'anglais, plus un pidgin : l'hébrab.
Et les Antillais, qui parlent tous Créole et Français...
Tiens, un exemple de multilinguisme chez des enfants :
http://cjoint.com/12au/BHzxt4tGieE.htm
On voit ma fille en train de discuter en indonésien avec des enfants
balinais. Les plus âgés s'épatent d'entendre une européenne parler la
langue de l'école. La plus jeune ne comprend pas, elle parle seulement
le dialecte balinais utilisé dans le village. Alors, Eric Orsenna...
J'ajouterai, d'avoir un bon prof.
Mon prof d'anglais, à qui je ne rendrai jamais assez hommage, nous indiquait
toujours la proximité entre les mots.
Ainsi : Vacances : temps libre. "Vacancies" à l'affiche d'un motel > chambres libres/disponibles/vides,
A rapprocher de vide : "vacuum/vacuity" (vacuité) , vacuum-cleaner
(aspirateur - nettoyage par le vide)
Voilà comme on enrichissait notre vocabulaire, tant anglais que fançais.
Avec 240.000 mots français en anglais, on a du boulot là !
On estime que 40% du vocabulaire anglais, soit 240.000 mots sont des emprunts au français principalement, mais aussi un peu à l'italien,
240000, me parait un peu beaucoup.
J'ai cité de mémoire et semble-t-il, j'ai péché par modestie. Cet article : http://fr.wikipedia.org/wiki/Anglais nous apprend : - 750000 mots anglais probables - 28,3 % français directement, hors latin, - selon Henriette Walter, linguiste connue : 60% des mots anglais seraient dérivés du français. Étonnant, non ? Et 4% seulement de mots anglais en français ! Où est le scandale ???
Que les Anglais n'usent pas/n'abusent pas des "francismes", c'est des anglais. Mais que les chroniqueux/journaleux français usent et *abusent* d'anglicismes, souvent mal prononcés -comme déjà dit- et parfois à contre-sens,
Oui, oui, mais bon, c'est le jeu de la langue.
Je crois me souvenir que c'est Ercic Orsenna qui affirmait que, pour apprendre une langue étrangère, la condition "sine qua none" était d'avoir de bonnes bases (orthographiques) de sa langue maternelle.
Oui, alors là, les gens qui, dès leur prime enfance, sont dans la nécessité d'utiliser trois ou quatre langues différentes, comme en Afrique, en Indonésie, dans les anciennes républiques soviétiques ou ailleurs, doivent bien rigoler de ce que raconte Eric Orsenna. Mon voisin le rabbin parlait le berbère du coin, l'arabe dialectal marocain, l'arabe littéral, l'hébreu et le français. Henriette Walter, enfant, utilisait 4 langues. Les gamins de Jérusalem parlent indifféremment l'arabe ou l'hébreu, plus l'anglais, plus un pidgin : l'hébrab. Et les Antillais, qui parlent tous Créole et Français... Tiens, un exemple de multilinguisme chez des enfants : http://cjoint.com/12au/BHzxt4tGieE.htm On voit ma fille en train de discuter en indonésien avec des enfants balinais. Les plus âgés s'épatent d'entendre une européenne parler la langue de l'école. La plus jeune ne comprend pas, elle parle seulement le dialecte balinais utilisé dans le village. Alors, Eric Orsenna...
J'ajouterai, d'avoir un bon prof. Mon prof d'anglais, à qui je ne rendrai jamais assez hommage, nous indiquait toujours la proximité entre les mots. Ainsi : Vacances : temps libre. "Vacancies" à l'affiche d'un motel > chambres libres/disponibles/vides, A rapprocher de vide : "vacuum/vacuity" (vacuité) , vacuum-cleaner (aspirateur - nettoyage par le vide) Voilà comme on enrichissait notre vocabulaire, tant anglais que fançais.
Avec 240.000 mots français en anglais, on a du boulot là !
Stephane Legras-Decussy
Le 25/08/2012 20:16, Richard a écrit :
...Notre belle langue françoise est en train de s'écraser dans les abysses binaires et virtuelles de l'oubli melmothéen...
Ben oui. C'est parce que TU (Toi, Melmoth) montres le mauvais exemple et que tous tes disciples (nombreux, c'est vrai) te suivent aveuglément.
Ainsi donc (voir ci-dessus) on n'écrit pas "les abysses virtuelles" mais bien "les abysses VIRTUELS". Ce n'est pas bien ça, Melmoth. Pas bien du tout.
je ne sais plus le nom de la loi qui dit que c'est obligatoire de se planter soi-même en faisant une remarque sur l'orthographe ...
Le 25/08/2012 20:16, Richard a écrit :
...Notre belle langue françoise est en train de s'écraser dans les
abysses binaires et virtuelles de l'oubli melmothéen...
Ben oui. C'est parce que TU (Toi, Melmoth) montres le
mauvais exemple et que tous tes disciples (nombreux, c'est
vrai) te suivent aveuglément.
Ainsi donc (voir ci-dessus) on n'écrit pas "les abysses
virtuelles" mais bien "les abysses VIRTUELS".
Ce n'est pas bien ça, Melmoth. Pas bien du tout.
je ne sais plus le nom de la loi qui dit que
c'est obligatoire de se planter soi-même en faisant
une remarque sur l'orthographe ...