Nous sommes dans un monde économiquement fait pour aller dans le sens où il
va actuellement et ce depuis la nuit des temps, il faudrait vaincre une
telle forme d'inertie que c'en est incommensurable, et surtout arriver à
secouer un baobab bi-millénaire.
Nous sommes dans un monde économiquement fait pour aller dans le sens où il
va actuellement et ce depuis la nuit des temps, il faudrait vaincre une
telle forme d'inertie que c'en est incommensurable, et surtout arriver à
secouer un baobab bi-millénaire.
Nous sommes dans un monde économiquement fait pour aller dans le sens où il
va actuellement et ce depuis la nuit des temps, il faudrait vaincre une
telle forme d'inertie que c'en est incommensurable, et surtout arriver à
secouer un baobab bi-millénaire.
Vous, auteurs, qui tenez tant a la propriete intellectuelle,
demandez-vous au juste quelle est la part d'originalite dans ce qui
emane de vos pensees. Suivant votre raisonnement, pour etre tout a
fait juste, il conviendrait de reverser des droits a tous vos pairs,
toutes vos influences de toutes sortes. Aux auteurs des livres que
vous avez lus, des musiques que vous avez ecoutees, des films,
emissions TV qui se sont imprimees sur votre retine. A vos parents,
professeurs, amis, enfants, connaissances. A ceux qui vous ont laisse
votre chance et a tous ceux qui vous ont ferme la porte. Soyez humbles
et reconnaissez que sans toutes ces influences votre oeuvre n'aurait
jamais vu le jour. Soyez en phase avec vos convictions et rendez-leur
ce qui leur revient de droit dans votre logique mercantile.
Vous, auteurs, qui tenez tant a la propriete intellectuelle,
demandez-vous au juste quelle est la part d'originalite dans ce qui
emane de vos pensees. Suivant votre raisonnement, pour etre tout a
fait juste, il conviendrait de reverser des droits a tous vos pairs,
toutes vos influences de toutes sortes. Aux auteurs des livres que
vous avez lus, des musiques que vous avez ecoutees, des films,
emissions TV qui se sont imprimees sur votre retine. A vos parents,
professeurs, amis, enfants, connaissances. A ceux qui vous ont laisse
votre chance et a tous ceux qui vous ont ferme la porte. Soyez humbles
et reconnaissez que sans toutes ces influences votre oeuvre n'aurait
jamais vu le jour. Soyez en phase avec vos convictions et rendez-leur
ce qui leur revient de droit dans votre logique mercantile.
Vous, auteurs, qui tenez tant a la propriete intellectuelle,
demandez-vous au juste quelle est la part d'originalite dans ce qui
emane de vos pensees. Suivant votre raisonnement, pour etre tout a
fait juste, il conviendrait de reverser des droits a tous vos pairs,
toutes vos influences de toutes sortes. Aux auteurs des livres que
vous avez lus, des musiques que vous avez ecoutees, des films,
emissions TV qui se sont imprimees sur votre retine. A vos parents,
professeurs, amis, enfants, connaissances. A ceux qui vous ont laisse
votre chance et a tous ceux qui vous ont ferme la porte. Soyez humbles
et reconnaissez que sans toutes ces influences votre oeuvre n'aurait
jamais vu le jour. Soyez en phase avec vos convictions et rendez-leur
ce qui leur revient de droit dans votre logique mercantile.
MANIFESTE CONTRE LES DROITS D'AUTEUR
Grace aux fantastiques legislations en faveur de la propriete intellectuelle
instauree dans la plupart des pays, un auteur a le pouvoir de censurer un
detournement de son oeuvre, d'autoriser ou de reprimer une reprise, une
citation et de reclamer une partie des benefices generes par cette
utilisation sans toutefois participer aux frais de conception de l'oeuvre
nouvelle ainsi cree.
Pour ecouter de la musique, il faut payer. Payer le support physique ou les
frais d'enregistrement peut sembler normal. Les frais de marketing
enervants. Payer le droit d'ecouter une musique ou de lire un livre
revoltant. La culture reservee aux riches ?
Vous payez pour acheter un CD comme pour n'importe quel bien ou service.
L'art serait-il devenu un bien ou un service ?
Vous achetez une oeuvre mais vous ne la possedez pas.
Il vous est interdit de la copier, de la modifier,
de vous en inspirer...
a moins de demander l'autorisation et d'aligner les
billets.
Bientot, il faudra payer l'auteur pour la moindre allusion
publique a l'une de ses creations.
Est-ce cela la liberte d'expression ?
De la logique commerciale actuelle decoule une confusion chez celui qu'il
convient desormais d'appeler le consommateur.
Cet animal curieux achete la
culture comme ses legumes. Il est sensible aux grandes marques, aux labels
en tous genre. Comme sa bourse est limitee, il n'achete que ce qu'il
connait deja ou ce dont il a entendu parler sans trop s'aventurer parce que
payer 20 euros pour un CD qu'on n'ecoute qu'une fois, ce n'est pas un bon
investissement. Oui oui, on parle bien d'art ici !
Ajoutons que le droit a la propriete intellectuelle n'est pas un droit mais
un privilege reserve a ceux qui en ont les moyens, vu le caractere complexe
et, surtout, couteux des demarches a entreprendre.
Vous, auteurs, qui tenez tant a la propriete intellectuelle, demandez-vous
au juste quelle est la part d'originalite dans ce qui emane de vos pensees.
Suivant votre raisonnement, pour etre tout a fait juste, il conviendrait de
reverser des droits a tous vos pairs, toutes vos influences de toutes
sortes.
Aux auteurs des livres que vous avez lus, des musiques que vous
avez ecoutees, des films, emissions TV qui se sont imprimees sur votre
retine. A vos parents, professeurs, amis, enfants, connaissances. A ceux
qui vous ont laisse votre chance et a tous ceux qui vous ont ferme la
porte. Soyez humbles et reconnaissez que sans toutes ces influences votre
oeuvre n'aurait jamais vu le jour. Soyez en phase avec vos convictions et
rendez-leur ce qui leur revient de droit dans votre logique mercantile.
Il y a ceux qui pronent les louanges de ce systeme comme etant l'assurance
de l'independance financiere et - donc - intellectuelle des auteurs.
Combien de fois ai-je entendu cet argument incroyable ? Incroyable car ce
systeme, loin de procurer a l'auteur une quelconque independance, les
oblige a se prostituer aupres des grands lobbies de l'edition.
A se
prostituer aupres des medias pour ecraser la concurrence et imposer son
image. Incroyable car, loin de favoriser l'innovation, il la tue dans
l'oeuf, rend les grands toujours plus grands, les petits toujours plus
incapables d'exister, laissant les grands editeurs decider de ce qui est
bon ou mauvais.
[...]
Il y a ceux qui disent qu"'il faut bien manger". Combien d'auteurs vivent de
leurs droits ? Vraiment tres peu. Tous ces autres, ces independants qui
font leur musique dans un garage le soir apres le boulot, qui pensent et
ecrivent en rognant sur leur sommeil pour concilier travail, vie de famille
et creativite : tous ces autres representent quoi ? de la merde ? Une
oeuvre, pour avoir de la valeur doit-elle etre creee par des gens qui ne
font que ca de leurs journees, des "professionnel" qui sont coupes des
realites sociales ? Qu'on l'admette une bonne fois pour toute : artiste
n'est pas une profession, c'est un etat d'ame !
Ce qui est revoltant, ce n'est pas le fait que l'auteur percoive de l'argent
en retour de ce qu'il a apporte a la acommunaute, c'est que l'on ne paye
pas l'auteur mais son oeuvre. Que le systeme ne garantisse pas la
conservation ni la distribution de l'oeuvre mais l'exclusivite de son
exploitation a quelques uns.
Les creations de l'esprit n'appartiennent pas a l'individu mais a
l'humanite.
Toutes les creations sont liees en une toile inextricable : il
n'est rien de plus vaniteux que de reclamer la paternite de telle ou telle
parcelle. La culture, essence de l'homme, n'appartient a personne, il n'est
aucune restriction a sa diffusion tolerable.
Il manque assurement un
article dans la Declaration des Droits de l'Homme sur ce point.
L'acte creatif ne doit pas etre un faire-valoir social ou mercantile. La
creation, l'idee originale s'impose d'elle-meme a son auteur qui peut
decider ou non de l'exprimer.
Les idees qui ne s'imposent pas d'elles-meme ne sont pas idees mais plagiat.
ceci explique l'absence de saveur des oeuvres commerciales ;
ceci est la raison profonde de mon opposition contre
la mauvaise herbe capitaliste qui asphyxie la culture.
Rendons au capitalisme ce qui est au capitalisme,
a l'art ce qui est a l'art.
ce texte n'a ete depose nulle part,
vous etes libre d'en faire ce que bon vous semble, y compris vous en attribuer la paternite si vous etes malhonnete ;-)
MANIFESTE CONTRE LES DROITS D'AUTEUR
Grace aux fantastiques legislations en faveur de la propriete intellectuelle
instauree dans la plupart des pays, un auteur a le pouvoir de censurer un
detournement de son oeuvre, d'autoriser ou de reprimer une reprise, une
citation et de reclamer une partie des benefices generes par cette
utilisation sans toutefois participer aux frais de conception de l'oeuvre
nouvelle ainsi cree.
Pour ecouter de la musique, il faut payer. Payer le support physique ou les
frais d'enregistrement peut sembler normal. Les frais de marketing
enervants. Payer le droit d'ecouter une musique ou de lire un livre
revoltant. La culture reservee aux riches ?
Vous payez pour acheter un CD comme pour n'importe quel bien ou service.
L'art serait-il devenu un bien ou un service ?
Vous achetez une oeuvre mais vous ne la possedez pas.
Il vous est interdit de la copier, de la modifier,
de vous en inspirer...
a moins de demander l'autorisation et d'aligner les
billets.
Bientot, il faudra payer l'auteur pour la moindre allusion
publique a l'une de ses creations.
Est-ce cela la liberte d'expression ?
De la logique commerciale actuelle decoule une confusion chez celui qu'il
convient desormais d'appeler le consommateur.
Cet animal curieux achete la
culture comme ses legumes. Il est sensible aux grandes marques, aux labels
en tous genre. Comme sa bourse est limitee, il n'achete que ce qu'il
connait deja ou ce dont il a entendu parler sans trop s'aventurer parce que
payer 20 euros pour un CD qu'on n'ecoute qu'une fois, ce n'est pas un bon
investissement. Oui oui, on parle bien d'art ici !
Ajoutons que le droit a la propriete intellectuelle n'est pas un droit mais
un privilege reserve a ceux qui en ont les moyens, vu le caractere complexe
et, surtout, couteux des demarches a entreprendre.
Vous, auteurs, qui tenez tant a la propriete intellectuelle, demandez-vous
au juste quelle est la part d'originalite dans ce qui emane de vos pensees.
Suivant votre raisonnement, pour etre tout a fait juste, il conviendrait de
reverser des droits a tous vos pairs, toutes vos influences de toutes
sortes.
Aux auteurs des livres que vous avez lus, des musiques que vous
avez ecoutees, des films, emissions TV qui se sont imprimees sur votre
retine. A vos parents, professeurs, amis, enfants, connaissances. A ceux
qui vous ont laisse votre chance et a tous ceux qui vous ont ferme la
porte. Soyez humbles et reconnaissez que sans toutes ces influences votre
oeuvre n'aurait jamais vu le jour. Soyez en phase avec vos convictions et
rendez-leur ce qui leur revient de droit dans votre logique mercantile.
Il y a ceux qui pronent les louanges de ce systeme comme etant l'assurance
de l'independance financiere et - donc - intellectuelle des auteurs.
Combien de fois ai-je entendu cet argument incroyable ? Incroyable car ce
systeme, loin de procurer a l'auteur une quelconque independance, les
oblige a se prostituer aupres des grands lobbies de l'edition.
A se
prostituer aupres des medias pour ecraser la concurrence et imposer son
image. Incroyable car, loin de favoriser l'innovation, il la tue dans
l'oeuf, rend les grands toujours plus grands, les petits toujours plus
incapables d'exister, laissant les grands editeurs decider de ce qui est
bon ou mauvais.
[...]
Il y a ceux qui disent qu"'il faut bien manger". Combien d'auteurs vivent de
leurs droits ? Vraiment tres peu. Tous ces autres, ces independants qui
font leur musique dans un garage le soir apres le boulot, qui pensent et
ecrivent en rognant sur leur sommeil pour concilier travail, vie de famille
et creativite : tous ces autres representent quoi ? de la merde ? Une
oeuvre, pour avoir de la valeur doit-elle etre creee par des gens qui ne
font que ca de leurs journees, des "professionnel" qui sont coupes des
realites sociales ? Qu'on l'admette une bonne fois pour toute : artiste
n'est pas une profession, c'est un etat d'ame !
Ce qui est revoltant, ce n'est pas le fait que l'auteur percoive de l'argent
en retour de ce qu'il a apporte a la acommunaute, c'est que l'on ne paye
pas l'auteur mais son oeuvre. Que le systeme ne garantisse pas la
conservation ni la distribution de l'oeuvre mais l'exclusivite de son
exploitation a quelques uns.
Les creations de l'esprit n'appartiennent pas a l'individu mais a
l'humanite.
Toutes les creations sont liees en une toile inextricable : il
n'est rien de plus vaniteux que de reclamer la paternite de telle ou telle
parcelle. La culture, essence de l'homme, n'appartient a personne, il n'est
aucune restriction a sa diffusion tolerable.
Il manque assurement un
article dans la Declaration des Droits de l'Homme sur ce point.
L'acte creatif ne doit pas etre un faire-valoir social ou mercantile. La
creation, l'idee originale s'impose d'elle-meme a son auteur qui peut
decider ou non de l'exprimer.
Les idees qui ne s'imposent pas d'elles-meme ne sont pas idees mais plagiat.
ceci explique l'absence de saveur des oeuvres commerciales ;
ceci est la raison profonde de mon opposition contre
la mauvaise herbe capitaliste qui asphyxie la culture.
Rendons au capitalisme ce qui est au capitalisme,
a l'art ce qui est a l'art.
ce texte n'a ete depose nulle part,
vous etes libre d'en faire ce que bon vous semble, y compris vous en attribuer la paternite si vous etes malhonnete ;-)
MANIFESTE CONTRE LES DROITS D'AUTEUR
Grace aux fantastiques legislations en faveur de la propriete intellectuelle
instauree dans la plupart des pays, un auteur a le pouvoir de censurer un
detournement de son oeuvre, d'autoriser ou de reprimer une reprise, une
citation et de reclamer une partie des benefices generes par cette
utilisation sans toutefois participer aux frais de conception de l'oeuvre
nouvelle ainsi cree.
Pour ecouter de la musique, il faut payer. Payer le support physique ou les
frais d'enregistrement peut sembler normal. Les frais de marketing
enervants. Payer le droit d'ecouter une musique ou de lire un livre
revoltant. La culture reservee aux riches ?
Vous payez pour acheter un CD comme pour n'importe quel bien ou service.
L'art serait-il devenu un bien ou un service ?
Vous achetez une oeuvre mais vous ne la possedez pas.
Il vous est interdit de la copier, de la modifier,
de vous en inspirer...
a moins de demander l'autorisation et d'aligner les
billets.
Bientot, il faudra payer l'auteur pour la moindre allusion
publique a l'une de ses creations.
Est-ce cela la liberte d'expression ?
De la logique commerciale actuelle decoule une confusion chez celui qu'il
convient desormais d'appeler le consommateur.
Cet animal curieux achete la
culture comme ses legumes. Il est sensible aux grandes marques, aux labels
en tous genre. Comme sa bourse est limitee, il n'achete que ce qu'il
connait deja ou ce dont il a entendu parler sans trop s'aventurer parce que
payer 20 euros pour un CD qu'on n'ecoute qu'une fois, ce n'est pas un bon
investissement. Oui oui, on parle bien d'art ici !
Ajoutons que le droit a la propriete intellectuelle n'est pas un droit mais
un privilege reserve a ceux qui en ont les moyens, vu le caractere complexe
et, surtout, couteux des demarches a entreprendre.
Vous, auteurs, qui tenez tant a la propriete intellectuelle, demandez-vous
au juste quelle est la part d'originalite dans ce qui emane de vos pensees.
Suivant votre raisonnement, pour etre tout a fait juste, il conviendrait de
reverser des droits a tous vos pairs, toutes vos influences de toutes
sortes.
Aux auteurs des livres que vous avez lus, des musiques que vous
avez ecoutees, des films, emissions TV qui se sont imprimees sur votre
retine. A vos parents, professeurs, amis, enfants, connaissances. A ceux
qui vous ont laisse votre chance et a tous ceux qui vous ont ferme la
porte. Soyez humbles et reconnaissez que sans toutes ces influences votre
oeuvre n'aurait jamais vu le jour. Soyez en phase avec vos convictions et
rendez-leur ce qui leur revient de droit dans votre logique mercantile.
Il y a ceux qui pronent les louanges de ce systeme comme etant l'assurance
de l'independance financiere et - donc - intellectuelle des auteurs.
Combien de fois ai-je entendu cet argument incroyable ? Incroyable car ce
systeme, loin de procurer a l'auteur une quelconque independance, les
oblige a se prostituer aupres des grands lobbies de l'edition.
A se
prostituer aupres des medias pour ecraser la concurrence et imposer son
image. Incroyable car, loin de favoriser l'innovation, il la tue dans
l'oeuf, rend les grands toujours plus grands, les petits toujours plus
incapables d'exister, laissant les grands editeurs decider de ce qui est
bon ou mauvais.
[...]
Il y a ceux qui disent qu"'il faut bien manger". Combien d'auteurs vivent de
leurs droits ? Vraiment tres peu. Tous ces autres, ces independants qui
font leur musique dans un garage le soir apres le boulot, qui pensent et
ecrivent en rognant sur leur sommeil pour concilier travail, vie de famille
et creativite : tous ces autres representent quoi ? de la merde ? Une
oeuvre, pour avoir de la valeur doit-elle etre creee par des gens qui ne
font que ca de leurs journees, des "professionnel" qui sont coupes des
realites sociales ? Qu'on l'admette une bonne fois pour toute : artiste
n'est pas une profession, c'est un etat d'ame !
Ce qui est revoltant, ce n'est pas le fait que l'auteur percoive de l'argent
en retour de ce qu'il a apporte a la acommunaute, c'est que l'on ne paye
pas l'auteur mais son oeuvre. Que le systeme ne garantisse pas la
conservation ni la distribution de l'oeuvre mais l'exclusivite de son
exploitation a quelques uns.
Les creations de l'esprit n'appartiennent pas a l'individu mais a
l'humanite.
Toutes les creations sont liees en une toile inextricable : il
n'est rien de plus vaniteux que de reclamer la paternite de telle ou telle
parcelle. La culture, essence de l'homme, n'appartient a personne, il n'est
aucune restriction a sa diffusion tolerable.
Il manque assurement un
article dans la Declaration des Droits de l'Homme sur ce point.
L'acte creatif ne doit pas etre un faire-valoir social ou mercantile. La
creation, l'idee originale s'impose d'elle-meme a son auteur qui peut
decider ou non de l'exprimer.
Les idees qui ne s'imposent pas d'elles-meme ne sont pas idees mais plagiat.
ceci explique l'absence de saveur des oeuvres commerciales ;
ceci est la raison profonde de mon opposition contre
la mauvaise herbe capitaliste qui asphyxie la culture.
Rendons au capitalisme ce qui est au capitalisme,
a l'art ce qui est a l'art.
ce texte n'a ete depose nulle part,
vous etes libre d'en faire ce que bon vous semble, y compris vous en attribuer la paternite si vous etes malhonnete ;-)
Bon, ben on va un peu décortiquer ce troll un peu longuet, vu que pas
mal de choses relèvent de la confusion et de l'amalgame abusif, du
raccourci simpliste, là-dedans...
Bon, ben on va un peu décortiquer ce troll un peu longuet, vu que pas
mal de choses relèvent de la confusion et de l'amalgame abusif, du
raccourci simpliste, là-dedans...
Bon, ben on va un peu décortiquer ce troll un peu longuet, vu que pas
mal de choses relèvent de la confusion et de l'amalgame abusif, du
raccourci simpliste, là-dedans...
À peine opposes-tu une question un peu cadrée
que tu vois le fil s'arrêter. Un petit joueur !
À peine opposes-tu une question un peu cadrée
que tu vois le fil s'arrêter. Un petit joueur !
À peine opposes-tu une question un peu cadrée
que tu vois le fil s'arrêter. Un petit joueur !
Par conséquent, une fois que tu as publié ou sorti une oeuvre, tu es un
artiste, rien que pour l'effort accompli. La plupart des gens qui ont un
désir d'artiste ne voudraient pas assumer la totalité de ces efforts et
rêvent plus l'oeuvre qu'ils n'ont envie de la faire.
Par conséquent, une fois que tu as publié ou sorti une oeuvre, tu es un
artiste, rien que pour l'effort accompli. La plupart des gens qui ont un
désir d'artiste ne voudraient pas assumer la totalité de ces efforts et
rêvent plus l'oeuvre qu'ils n'ont envie de la faire.
Par conséquent, une fois que tu as publié ou sorti une oeuvre, tu es un
artiste, rien que pour l'effort accompli. La plupart des gens qui ont un
désir d'artiste ne voudraient pas assumer la totalité de ces efforts et
rêvent plus l'oeuvre qu'ils n'ont envie de la faire.
Olivier Paquet wrote:Par conséquent, une fois que tu as publié ou sorti une oeuvre, tu es un
artiste, rien que pour l'effort accompli. La plupart des gens qui ont un
désir d'artiste ne voudraient pas assumer la totalité de ces efforts et
rêvent plus l'oeuvre qu'ils n'ont envie de la faire.
Faudrait ne pas évacuer le problème de la *qualité* de cette
oeuvre, toutes ne se valant pas ! ta pirouette quelques lignes
plus haut avec "de manière professionnelle" est ambiguë : on peut
comprendre bien des choses sous cet adjectif. Est-ce un critère
(une exigence) de qualité ? Est-ce son caractère "vendable" ou
permettant d'en vivre (qui suppose souvent, tu le sais, des
compromis qui vont à l'inverse de l'originalité et de la
qualité) ?
Les efforts dont tu parles, je ne les minimise pas. Je suis
pourtant bien dans la catégorie de ceux qui voudraient "avoir
créé" (hors quelques tentatives peu intéressantes) et dont tu ne
sembles pas penser beaucoup de bien. C'est même justement la
nécessité d'étudier pour être sûr de ne pas réinventer la roue et
refaire ce qui a déjà été fait qui m'empêche de produire sauf à
"faire mes gammes" dans le domaine qui m'intéresse (musique
informatisée, sujet de ce forum) et à en accumuler les briques
élémentaires.
En ce sens, je me sens frère du facteur Cheval et de tous ceux
qu'on a pris de leur vivant pour des bricoleurs, et aussi de tous
ceux qui ont un désir d'artiste et dont je te trouve un peu hâtif
pour juger du nombre qui en serait digne. Et je dis qu'il vaut
mieux ça de toutes façons que de l'être (frère) de ceux qui se
prennent pour d'authentiques artistes et qui n'en sont pas (faut-
il des noms ?).
Olivier Paquet <Erion@aratos.isamble.fr> wrote:
Par conséquent, une fois que tu as publié ou sorti une oeuvre, tu es un
artiste, rien que pour l'effort accompli. La plupart des gens qui ont un
désir d'artiste ne voudraient pas assumer la totalité de ces efforts et
rêvent plus l'oeuvre qu'ils n'ont envie de la faire.
Faudrait ne pas évacuer le problème de la *qualité* de cette
oeuvre, toutes ne se valant pas ! ta pirouette quelques lignes
plus haut avec "de manière professionnelle" est ambiguë : on peut
comprendre bien des choses sous cet adjectif. Est-ce un critère
(une exigence) de qualité ? Est-ce son caractère "vendable" ou
permettant d'en vivre (qui suppose souvent, tu le sais, des
compromis qui vont à l'inverse de l'originalité et de la
qualité) ?
Les efforts dont tu parles, je ne les minimise pas. Je suis
pourtant bien dans la catégorie de ceux qui voudraient "avoir
créé" (hors quelques tentatives peu intéressantes) et dont tu ne
sembles pas penser beaucoup de bien. C'est même justement la
nécessité d'étudier pour être sûr de ne pas réinventer la roue et
refaire ce qui a déjà été fait qui m'empêche de produire sauf à
"faire mes gammes" dans le domaine qui m'intéresse (musique
informatisée, sujet de ce forum) et à en accumuler les briques
élémentaires.
En ce sens, je me sens frère du facteur Cheval et de tous ceux
qu'on a pris de leur vivant pour des bricoleurs, et aussi de tous
ceux qui ont un désir d'artiste et dont je te trouve un peu hâtif
pour juger du nombre qui en serait digne. Et je dis qu'il vaut
mieux ça de toutes façons que de l'être (frère) de ceux qui se
prennent pour d'authentiques artistes et qui n'en sont pas (faut-
il des noms ?).
Olivier Paquet wrote:Par conséquent, une fois que tu as publié ou sorti une oeuvre, tu es un
artiste, rien que pour l'effort accompli. La plupart des gens qui ont un
désir d'artiste ne voudraient pas assumer la totalité de ces efforts et
rêvent plus l'oeuvre qu'ils n'ont envie de la faire.
Faudrait ne pas évacuer le problème de la *qualité* de cette
oeuvre, toutes ne se valant pas ! ta pirouette quelques lignes
plus haut avec "de manière professionnelle" est ambiguë : on peut
comprendre bien des choses sous cet adjectif. Est-ce un critère
(une exigence) de qualité ? Est-ce son caractère "vendable" ou
permettant d'en vivre (qui suppose souvent, tu le sais, des
compromis qui vont à l'inverse de l'originalité et de la
qualité) ?
Les efforts dont tu parles, je ne les minimise pas. Je suis
pourtant bien dans la catégorie de ceux qui voudraient "avoir
créé" (hors quelques tentatives peu intéressantes) et dont tu ne
sembles pas penser beaucoup de bien. C'est même justement la
nécessité d'étudier pour être sûr de ne pas réinventer la roue et
refaire ce qui a déjà été fait qui m'empêche de produire sauf à
"faire mes gammes" dans le domaine qui m'intéresse (musique
informatisée, sujet de ce forum) et à en accumuler les briques
élémentaires.
En ce sens, je me sens frère du facteur Cheval et de tous ceux
qu'on a pris de leur vivant pour des bricoleurs, et aussi de tous
ceux qui ont un désir d'artiste et dont je te trouve un peu hâtif
pour juger du nombre qui en serait digne. Et je dis qu'il vaut
mieux ça de toutes façons que de l'être (frère) de ceux qui se
prennent pour d'authentiques artistes et qui n'en sont pas (faut-
il des noms ?).
En revanche, on peut certes avoir beaucoup de plaisir à créer dans son
coin, à "bricoler", mais la vraie confrontation, le vrai plaisir, il est
avec un public, c'est jouissif et sans commune mesure. Je ne nie pas le
plaisir que l'on peut avoir à créer dans son coin, mais le statut
d'"artiste" il s'acquière quand on s'adresse au monde, à des inconnus et
qu'ils renvoient leurs émotions. L'artiste, il est dans le dialogue. Et
les musiciens ont ceci de supérieur aux écrivains qu'ils ont la
possibilité des concerts, du contact direct. Et cela confère de la
responsabilité.
En revanche, on peut certes avoir beaucoup de plaisir à créer dans son
coin, à "bricoler", mais la vraie confrontation, le vrai plaisir, il est
avec un public, c'est jouissif et sans commune mesure. Je ne nie pas le
plaisir que l'on peut avoir à créer dans son coin, mais le statut
d'"artiste" il s'acquière quand on s'adresse au monde, à des inconnus et
qu'ils renvoient leurs émotions. L'artiste, il est dans le dialogue. Et
les musiciens ont ceci de supérieur aux écrivains qu'ils ont la
possibilité des concerts, du contact direct. Et cela confère de la
responsabilité.
En revanche, on peut certes avoir beaucoup de plaisir à créer dans son
coin, à "bricoler", mais la vraie confrontation, le vrai plaisir, il est
avec un public, c'est jouissif et sans commune mesure. Je ne nie pas le
plaisir que l'on peut avoir à créer dans son coin, mais le statut
d'"artiste" il s'acquière quand on s'adresse au monde, à des inconnus et
qu'ils renvoient leurs émotions. L'artiste, il est dans le dialogue. Et
les musiciens ont ceci de supérieur aux écrivains qu'ils ont la
possibilité des concerts, du contact direct. Et cela confère de la
responsabilité.