Après mûre réflexion, Dominique a écrit :
> Symptômes de la paranoïa :
> Hypertrophie du moi avec une surestimation de soi, notamment.
> Peu affectif, le patient se veut rationnel.
> Toutefois, on note la fausseté du jugement, une absence d'autocritique,
> un raisonnement se voulant logique mais s'appuyant sur des a priori
> partiaux, sortis de leur contexte global. On parle également de
> psychorigidité ou pensée psychorigide : le patient n'accepte aucun
> argument extérieur, qu'il soit positif ou négatif.
> Le patient manque d'introspection, ne se remet que peu en cause, cache
> ses sentiments de peur que l'on ne s'en serve contre lui.
Je vois que vous savez faire des copier-coller, mes amitiés à votre
souris.
Pour ma part, je vous offre du sur-mesure :
De prime abord, vous donnez l'impression d'être en guerre contre la
terre entière.
Mais en réalité, vous êtes d'abord en colère contre vous même.
Le verbe haut, la provocation vulgaire, le côté marchande de poissons
du vieux port, sont des postures fantasques qui ne peuvent être
imputées à la seule influence de la ménopause.
C'est beaucoup plus ancien, ce sont des résurgences d'une personnalité
fracturée, en situation d'échecs - réels ou perçus comme tels - non
dépassés, jamais transcendés, indéfiniment régurgités par le
subconscient; et dont les morceaux épars virevoltent dans un maelström
de doutes, de frustrations et de détestations.
Et plus vous croyez afficher votre force en étalant votre
intransigeance et en clamant l'intolérance de vos convictions, et plus
vous révélez vos faiblesses. Les failles qui vous fissurent de
l'intérieur.
Ce besoin permanent d'avoir raison à tout prix, cette tendance à
disqualifier tout contradicteur, cette imperméabilité au persiflage,
sont des preuves flagrantes de votre fragilité.
On appelle cela les névroses de défense.
Les gens forts et sûrs d'eux mêmes assument calmement leurs opinions,
et s'ils ne se dérobent pas à la polémique, ils acceptent la
légitimité des points de vue antagonistes, ce principe fondateur de la
philosophie autant que de la diplomatie.
Inconsciemment, vous faites des transferts freudiens de votre mal être
sur les personnes qui vous écoutent et vous répondent, leur attribuant
bon gré mal gré un rôle symbolique de quasi-thérapeute sur lequel vous
déversez les comportements irrationnels et les pulsions ingérables qui
vous ont abîmé la vie.
Avec le risque de subir ce que Mélanie Klein appelait l'identification
projective ou intrusive, un processus osmotique qui à terme vous
conduira à une certaine confusion dans vos processus d'approbation
ou de détestation, et finira par laisser les personnes que vous haïssez
le plus altérer vos propres schémas de pensée.
Mais cela la sagesse populaire immémoriale le sait depuis toujours : en
croyant détruire les autres, vous vous détruisez d'abord vous même.
Je dis ça, je dis rien.
Après mûre réflexion, Dominique a écrit :
> Symptômes de la paranoïa :
> Hypertrophie du moi avec une surestimation de soi, notamment.
> Peu affectif, le patient se veut rationnel.
> Toutefois, on note la fausseté du jugement, une absence d'autocritique,
> un raisonnement se voulant logique mais s'appuyant sur des a priori
> partiaux, sortis de leur contexte global. On parle également de
> psychorigidité ou pensée psychorigide : le patient n'accepte aucun
> argument extérieur, qu'il soit positif ou négatif.
> Le patient manque d'introspection, ne se remet que peu en cause, cache
> ses sentiments de peur que l'on ne s'en serve contre lui.
Je vois que vous savez faire des copier-coller, mes amitiés à votre
souris.
Pour ma part, je vous offre du sur-mesure :
De prime abord, vous donnez l'impression d'être en guerre contre la
terre entière.
Mais en réalité, vous êtes d'abord en colère contre vous même.
Le verbe haut, la provocation vulgaire, le côté marchande de poissons
du vieux port, sont des postures fantasques qui ne peuvent être
imputées à la seule influence de la ménopause.
C'est beaucoup plus ancien, ce sont des résurgences d'une personnalité
fracturée, en situation d'échecs - réels ou perçus comme tels - non
dépassés, jamais transcendés, indéfiniment régurgités par le
subconscient; et dont les morceaux épars virevoltent dans un maelström
de doutes, de frustrations et de détestations.
Et plus vous croyez afficher votre force en étalant votre
intransigeance et en clamant l'intolérance de vos convictions, et plus
vous révélez vos faiblesses. Les failles qui vous fissurent de
l'intérieur.
Ce besoin permanent d'avoir raison à tout prix, cette tendance à
disqualifier tout contradicteur, cette imperméabilité au persiflage,
sont des preuves flagrantes de votre fragilité.
On appelle cela les névroses de défense.
Les gens forts et sûrs d'eux mêmes assument calmement leurs opinions,
et s'ils ne se dérobent pas à la polémique, ils acceptent la
légitimité des points de vue antagonistes, ce principe fondateur de la
philosophie autant que de la diplomatie.
Inconsciemment, vous faites des transferts freudiens de votre mal être
sur les personnes qui vous écoutent et vous répondent, leur attribuant
bon gré mal gré un rôle symbolique de quasi-thérapeute sur lequel vous
déversez les comportements irrationnels et les pulsions ingérables qui
vous ont abîmé la vie.
Avec le risque de subir ce que Mélanie Klein appelait l'identification
projective ou intrusive, un processus osmotique qui à terme vous
conduira à une certaine confusion dans vos processus d'approbation
ou de détestation, et finira par laisser les personnes que vous haïssez
le plus altérer vos propres schémas de pensée.
Mais cela la sagesse populaire immémoriale le sait depuis toujours : en
croyant détruire les autres, vous vous détruisez d'abord vous même.
Je dis ça, je dis rien.
Après mûre réflexion, Dominique a écrit :
> Symptômes de la paranoïa :
> Hypertrophie du moi avec une surestimation de soi, notamment.
> Peu affectif, le patient se veut rationnel.
> Toutefois, on note la fausseté du jugement, une absence d'autocritique,
> un raisonnement se voulant logique mais s'appuyant sur des a priori
> partiaux, sortis de leur contexte global. On parle également de
> psychorigidité ou pensée psychorigide : le patient n'accepte aucun
> argument extérieur, qu'il soit positif ou négatif.
> Le patient manque d'introspection, ne se remet que peu en cause, cache
> ses sentiments de peur que l'on ne s'en serve contre lui.
Je vois que vous savez faire des copier-coller, mes amitiés à votre
souris.
Pour ma part, je vous offre du sur-mesure :
De prime abord, vous donnez l'impression d'être en guerre contre la
terre entière.
Mais en réalité, vous êtes d'abord en colère contre vous même.
Le verbe haut, la provocation vulgaire, le côté marchande de poissons
du vieux port, sont des postures fantasques qui ne peuvent être
imputées à la seule influence de la ménopause.
C'est beaucoup plus ancien, ce sont des résurgences d'une personnalité
fracturée, en situation d'échecs - réels ou perçus comme tels - non
dépassés, jamais transcendés, indéfiniment régurgités par le
subconscient; et dont les morceaux épars virevoltent dans un maelström
de doutes, de frustrations et de détestations.
Et plus vous croyez afficher votre force en étalant votre
intransigeance et en clamant l'intolérance de vos convictions, et plus
vous révélez vos faiblesses. Les failles qui vous fissurent de
l'intérieur.
Ce besoin permanent d'avoir raison à tout prix, cette tendance à
disqualifier tout contradicteur, cette imperméabilité au persiflage,
sont des preuves flagrantes de votre fragilité.
On appelle cela les névroses de défense.
Les gens forts et sûrs d'eux mêmes assument calmement leurs opinions,
et s'ils ne se dérobent pas à la polémique, ils acceptent la
légitimité des points de vue antagonistes, ce principe fondateur de la
philosophie autant que de la diplomatie.
Inconsciemment, vous faites des transferts freudiens de votre mal être
sur les personnes qui vous écoutent et vous répondent, leur attribuant
bon gré mal gré un rôle symbolique de quasi-thérapeute sur lequel vous
déversez les comportements irrationnels et les pulsions ingérables qui
vous ont abîmé la vie.
Avec le risque de subir ce que Mélanie Klein appelait l'identification
projective ou intrusive, un processus osmotique qui à terme vous
conduira à une certaine confusion dans vos processus d'approbation
ou de détestation, et finira par laisser les personnes que vous haïssez
le plus altérer vos propres schémas de pensée.
Mais cela la sagesse populaire immémoriale le sait depuis toujours : en
croyant détruire les autres, vous vous détruisez d'abord vous même.
Je dis ça, je dis rien.
Dominique a écrit :
> Du calme, pépère!
> Je vous rappelle que le maire n'est pas obligé de marier tout le monde
> mais peut déléguer à un de ses adjoints.
Parlons maintenant du 432 - 7 C.P
"La discrimination définie à l'article 225-1, commise à l'égard d'une
personne physique ou morale par une personne dépositaire de l'autorité
publique ou chargée d'une mission de service public, dans l'exercice ou
à l'occasion de l'exercice de ses fonctions ou de sa mission, est punie
de cinq ans d'emprisonnement et de 75000 euros d'amende lorsqu'elle
consiste :
1° A refuser le bénéfice d'un droit accordé par la loi"
Bien évidemment, tant que le mariage homo n'est pas promulgué, toutes
les dispositions que j'évoque ici & supra relèvent de l'hypothèse.
Mais ensuite, arrivera forcément le jour où, un édile de quelque
importance considéré comme un ennemi politique par le lobby gay, sera
pris pour cible parce que "comme par hasard, il n'est jamais là
pour les homos, mais marie toujours les hétéros".
L'accès à l'institution du mariage sera respecté grâce à un adjoint,
mais je suis prêt à parier qu'on évoquera alors un préjudice moral, du
fait de ces "humiliation réitérées", ce "mépris constant" et par
glissements sémantiques avant d'être juridiques on finira par parler
de discrimination, et on trouvera des juges qui y prêteront une
bienveillante attention.
Il y a une tendance générale de la justice à élargir le bénéfice des
lois sociétales à un très grand nombre de cas de figure, pas forcément
envisagés lors des discussions parlementaires... Alors certes en
respectant les règles d'incrimination pour ce qui est du volet pénal,
mais en pouvant légitimement les interpréter dans la mesure où certains
concepts relèvent plus ou moins de considérations philosophiques.
Je dis ça, je dis rien.
Dominique a écrit :
> Du calme, pépère!
> Je vous rappelle que le maire n'est pas obligé de marier tout le monde
> mais peut déléguer à un de ses adjoints.
Parlons maintenant du 432 - 7 C.P
"La discrimination définie à l'article 225-1, commise à l'égard d'une
personne physique ou morale par une personne dépositaire de l'autorité
publique ou chargée d'une mission de service public, dans l'exercice ou
à l'occasion de l'exercice de ses fonctions ou de sa mission, est punie
de cinq ans d'emprisonnement et de 75000 euros d'amende lorsqu'elle
consiste :
1° A refuser le bénéfice d'un droit accordé par la loi"
Bien évidemment, tant que le mariage homo n'est pas promulgué, toutes
les dispositions que j'évoque ici & supra relèvent de l'hypothèse.
Mais ensuite, arrivera forcément le jour où, un édile de quelque
importance considéré comme un ennemi politique par le lobby gay, sera
pris pour cible parce que "comme par hasard, il n'est jamais là
pour les homos, mais marie toujours les hétéros".
L'accès à l'institution du mariage sera respecté grâce à un adjoint,
mais je suis prêt à parier qu'on évoquera alors un préjudice moral, du
fait de ces "humiliation réitérées", ce "mépris constant" et par
glissements sémantiques avant d'être juridiques on finira par parler
de discrimination, et on trouvera des juges qui y prêteront une
bienveillante attention.
Il y a une tendance générale de la justice à élargir le bénéfice des
lois sociétales à un très grand nombre de cas de figure, pas forcément
envisagés lors des discussions parlementaires... Alors certes en
respectant les règles d'incrimination pour ce qui est du volet pénal,
mais en pouvant légitimement les interpréter dans la mesure où certains
concepts relèvent plus ou moins de considérations philosophiques.
Je dis ça, je dis rien.
Dominique a écrit :
> Du calme, pépère!
> Je vous rappelle que le maire n'est pas obligé de marier tout le monde
> mais peut déléguer à un de ses adjoints.
Parlons maintenant du 432 - 7 C.P
"La discrimination définie à l'article 225-1, commise à l'égard d'une
personne physique ou morale par une personne dépositaire de l'autorité
publique ou chargée d'une mission de service public, dans l'exercice ou
à l'occasion de l'exercice de ses fonctions ou de sa mission, est punie
de cinq ans d'emprisonnement et de 75000 euros d'amende lorsqu'elle
consiste :
1° A refuser le bénéfice d'un droit accordé par la loi"
Bien évidemment, tant que le mariage homo n'est pas promulgué, toutes
les dispositions que j'évoque ici & supra relèvent de l'hypothèse.
Mais ensuite, arrivera forcément le jour où, un édile de quelque
importance considéré comme un ennemi politique par le lobby gay, sera
pris pour cible parce que "comme par hasard, il n'est jamais là
pour les homos, mais marie toujours les hétéros".
L'accès à l'institution du mariage sera respecté grâce à un adjoint,
mais je suis prêt à parier qu'on évoquera alors un préjudice moral, du
fait de ces "humiliation réitérées", ce "mépris constant" et par
glissements sémantiques avant d'être juridiques on finira par parler
de discrimination, et on trouvera des juges qui y prêteront une
bienveillante attention.
Il y a une tendance générale de la justice à élargir le bénéfice des
lois sociétales à un très grand nombre de cas de figure, pas forcément
envisagés lors des discussions parlementaires... Alors certes en
respectant les règles d'incrimination pour ce qui est du volet pénal,
mais en pouvant légitimement les interpréter dans la mesure où certains
concepts relèvent plus ou moins de considérations philosophiques.
Je dis ça, je dis rien.
Mais ensuite, arrivera forcément le jour où, un édile de quelque
importance considéré comme un ennemi politique par le lobby gay, sera
pris pour cible parce que "comme par hasard, il n'est jamais là
pour les homos, mais marie toujours les hétéros".
L'accès à l'institution du mariage sera respecté grâce à un adjoint,
mais je suis prêt à parier qu'on évoquera alors un préjudice moral,
Mais ensuite, arrivera forcément le jour où, un édile de quelque
importance considéré comme un ennemi politique par le lobby gay, sera
pris pour cible parce que "comme par hasard, il n'est jamais là
pour les homos, mais marie toujours les hétéros".
L'accès à l'institution du mariage sera respecté grâce à un adjoint,
mais je suis prêt à parier qu'on évoquera alors un préjudice moral,
Mais ensuite, arrivera forcément le jour où, un édile de quelque
importance considéré comme un ennemi politique par le lobby gay, sera
pris pour cible parce que "comme par hasard, il n'est jamais là
pour les homos, mais marie toujours les hétéros".
L'accès à l'institution du mariage sera respecté grâce à un adjoint,
mais je suis prêt à parier qu'on évoquera alors un préjudice moral,
Et à bientôt pour de nouvelles révélations inédites sur ma psyché.
Et à bientôt pour de nouvelles révélations inédites sur ma psyché.
Et à bientôt pour de nouvelles révélations inédites sur ma psyché.
Mais qu'il est con.
Mais qu'il est con.
Mais qu'il est con.
Le 23/11/2012 14:22, Christian Navis a écrit :Le détricotage de la société
Vieux con.Le mariage homo en est le premier.
On a dit pareil de la pilule, de l'IVG, et avant du divorce, des lois de
séparation de l'église et de l'état, etc.
Le 23/11/2012 14:22, Christian Navis a écrit :
Le détricotage de la société
Vieux con.
Le mariage homo en est le premier.
On a dit pareil de la pilule, de l'IVG, et avant du divorce, des lois de
séparation de l'église et de l'état, etc.
Le 23/11/2012 14:22, Christian Navis a écrit :Le détricotage de la société
Vieux con.Le mariage homo en est le premier.
On a dit pareil de la pilule, de l'IVG, et avant du divorce, des lois de
séparation de l'église et de l'état, etc.
Dominique avait prétendu :
> Et à bientôt pour de nouvelles révélations inédites sur ma psyché.
Mon rôle de sentinelle s'achève là.
Si vous ne comprenez pas qu'il faudrait vous trouver un bon
psychothérapeute, qui vous aide à prendre conscience de
vos conflits internes, et à faire la paix avec vous même,
vous ne tarderez pas à devenir une vieille femme aigrie,
acariâtre et atrabilaire.
Vous serez la première à en souffrir.
Vos interlocuteurs peuvent toujours vous zapper.
Je dis ça, je dis rien.
Dominique avait prétendu :
> Et à bientôt pour de nouvelles révélations inédites sur ma psyché.
Mon rôle de sentinelle s'achève là.
Si vous ne comprenez pas qu'il faudrait vous trouver un bon
psychothérapeute, qui vous aide à prendre conscience de
vos conflits internes, et à faire la paix avec vous même,
vous ne tarderez pas à devenir une vieille femme aigrie,
acariâtre et atrabilaire.
Vous serez la première à en souffrir.
Vos interlocuteurs peuvent toujours vous zapper.
Je dis ça, je dis rien.
Dominique avait prétendu :
> Et à bientôt pour de nouvelles révélations inédites sur ma psyché.
Mon rôle de sentinelle s'achève là.
Si vous ne comprenez pas qu'il faudrait vous trouver un bon
psychothérapeute, qui vous aide à prendre conscience de
vos conflits internes, et à faire la paix avec vous même,
vous ne tarderez pas à devenir une vieille femme aigrie,
acariâtre et atrabilaire.
Vous serez la première à en souffrir.
Vos interlocuteurs peuvent toujours vous zapper.
Je dis ça, je dis rien.
Christian Navis wrote:
Si vous avez cru lire du Audiard dans mes propos c'est soit que j'ai un
talent caché que je vais m'empresser d'exploiter en écrivant des
dialogues de films (hypothèse farfelue car je connais mes limites) soit
que vous connaissez très mal le style d'Audiard (hypothèse révélatrice
de vos lacunes culturelles) soit que vous dites n'importe quoi parce que
mes questions vous dérangent (hypothèse qui a ma préférence) ...
Donc, reprenons : comment se portent votre chère épouse et vos enfants,
cher hétéro-droitdans-ses-bottes?Mais vos postillons sont quand même intéressants car ils révèlent
une personne aigrie, frustrée, insatisfaite, enfermée au fond d'une
impasse dont elle a perdu la clé.
Vouivouivoui, c'est passionnant.
Mais dites moi, seriez vous célibataire, voire divorcé?Aussi une personne incapable de se maîtriser quand on la contrarie,
tenant pour une attaque personnelle toute discussion mesurée qui ose
déranger ses certitudes stéréotypées (une typologie assez courante chez
les psychorigides et les web addicts)
Donc, si je comprends bien le ressort de votre colère, j'ai tapé juste
et vous n'êtes pas marié et n'avez pas d'enfants.Finalement, vous êtes plus à plaindre qu'à blâmer.
A moins que votre femme ne vous ait quitté pour cruauté mentale et vos
enfants renié pour atteinte à leur liberté sexuelle.
Allez, vous qui aimez bien les trucs de psy, une petite définition de
l'image que vous projetez sur Usenet :-)
Symptômes de la paranoïa :
Hypertrophie du moi avec une surestimation de soi, notamment.
Peu affectif, le patient se veut rationnel.
Toutefois, on note la fausseté du jugement, une absence d'autocritique,
un raisonnement se voulant logique mais s'appuyant sur des a priori
partiaux, sortis de leur contexte global. On parle également de
psychorigidité ou pensée psychorigide : le patient n'accepte aucun
argument extérieur, qu'il soit positif ou négatif.
Le patient manque d'introspection, ne se remet que peu en cause, cache
ses sentiments de peur que l'on ne s'en serve contre lui.
--Je dis ça, je dis rien.
Voilà.
Continuez.
A ne rien dire.
Christian Navis <christian.navis@free.fr> wrote:
Si vous avez cru lire du Audiard dans mes propos c'est soit que j'ai un
talent caché que je vais m'empresser d'exploiter en écrivant des
dialogues de films (hypothèse farfelue car je connais mes limites) soit
que vous connaissez très mal le style d'Audiard (hypothèse révélatrice
de vos lacunes culturelles) soit que vous dites n'importe quoi parce que
mes questions vous dérangent (hypothèse qui a ma préférence) ...
Donc, reprenons : comment se portent votre chère épouse et vos enfants,
cher hétéro-droitdans-ses-bottes?
Mais vos postillons sont quand même intéressants car ils révèlent
une personne aigrie, frustrée, insatisfaite, enfermée au fond d'une
impasse dont elle a perdu la clé.
Vouivouivoui, c'est passionnant.
Mais dites moi, seriez vous célibataire, voire divorcé?
Aussi une personne incapable de se maîtriser quand on la contrarie,
tenant pour une attaque personnelle toute discussion mesurée qui ose
déranger ses certitudes stéréotypées (une typologie assez courante chez
les psychorigides et les web addicts)
Donc, si je comprends bien le ressort de votre colère, j'ai tapé juste
et vous n'êtes pas marié et n'avez pas d'enfants.
Finalement, vous êtes plus à plaindre qu'à blâmer.
A moins que votre femme ne vous ait quitté pour cruauté mentale et vos
enfants renié pour atteinte à leur liberté sexuelle.
Allez, vous qui aimez bien les trucs de psy, une petite définition de
l'image que vous projetez sur Usenet :-)
Symptômes de la paranoïa :
Hypertrophie du moi avec une surestimation de soi, notamment.
Peu affectif, le patient se veut rationnel.
Toutefois, on note la fausseté du jugement, une absence d'autocritique,
un raisonnement se voulant logique mais s'appuyant sur des a priori
partiaux, sortis de leur contexte global. On parle également de
psychorigidité ou pensée psychorigide : le patient n'accepte aucun
argument extérieur, qu'il soit positif ou négatif.
Le patient manque d'introspection, ne se remet que peu en cause, cache
ses sentiments de peur que l'on ne s'en serve contre lui.
--
Je dis ça, je dis rien.
Voilà.
Continuez.
A ne rien dire.
Christian Navis wrote:
Si vous avez cru lire du Audiard dans mes propos c'est soit que j'ai un
talent caché que je vais m'empresser d'exploiter en écrivant des
dialogues de films (hypothèse farfelue car je connais mes limites) soit
que vous connaissez très mal le style d'Audiard (hypothèse révélatrice
de vos lacunes culturelles) soit que vous dites n'importe quoi parce que
mes questions vous dérangent (hypothèse qui a ma préférence) ...
Donc, reprenons : comment se portent votre chère épouse et vos enfants,
cher hétéro-droitdans-ses-bottes?Mais vos postillons sont quand même intéressants car ils révèlent
une personne aigrie, frustrée, insatisfaite, enfermée au fond d'une
impasse dont elle a perdu la clé.
Vouivouivoui, c'est passionnant.
Mais dites moi, seriez vous célibataire, voire divorcé?Aussi une personne incapable de se maîtriser quand on la contrarie,
tenant pour une attaque personnelle toute discussion mesurée qui ose
déranger ses certitudes stéréotypées (une typologie assez courante chez
les psychorigides et les web addicts)
Donc, si je comprends bien le ressort de votre colère, j'ai tapé juste
et vous n'êtes pas marié et n'avez pas d'enfants.Finalement, vous êtes plus à plaindre qu'à blâmer.
A moins que votre femme ne vous ait quitté pour cruauté mentale et vos
enfants renié pour atteinte à leur liberté sexuelle.
Allez, vous qui aimez bien les trucs de psy, une petite définition de
l'image que vous projetez sur Usenet :-)
Symptômes de la paranoïa :
Hypertrophie du moi avec une surestimation de soi, notamment.
Peu affectif, le patient se veut rationnel.
Toutefois, on note la fausseté du jugement, une absence d'autocritique,
un raisonnement se voulant logique mais s'appuyant sur des a priori
partiaux, sortis de leur contexte global. On parle également de
psychorigidité ou pensée psychorigide : le patient n'accepte aucun
argument extérieur, qu'il soit positif ou négatif.
Le patient manque d'introspection, ne se remet que peu en cause, cache
ses sentiments de peur que l'on ne s'en serve contre lui.
--Je dis ça, je dis rien.
Voilà.
Continuez.
A ne rien dire.
Christian Navis wrote:
STOP!
Tant qu'à citer un texte, essayez de le citer correctement :
Article 225-1
Constitue une discrimination toute distinction opérée entre les
personnes physiques à raison de leur origine, de leur sexe, de leur
situation de famille, de leur grossesse, de leur apparence physique, de
leur patronyme, de leur état de santé, de leur handicap, de leurs
caractéristiques génétiques, de leurs moeurs, de leur orientation ou
identité sexuelle, de leur âge, de leurs opinions politiques, de leurs
activités syndicales, de leur appartenance ou de leur non-appartenance,
vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une race ou une religion
déterminée.
Christian Navis <christian.navis@free.fr> wrote:
STOP!
Tant qu'à citer un texte, essayez de le citer correctement :
Article 225-1
Constitue une discrimination toute distinction opérée entre les
personnes physiques à raison de leur origine, de leur sexe, de leur
situation de famille, de leur grossesse, de leur apparence physique, de
leur patronyme, de leur état de santé, de leur handicap, de leurs
caractéristiques génétiques, de leurs moeurs, de leur orientation ou
identité sexuelle, de leur âge, de leurs opinions politiques, de leurs
activités syndicales, de leur appartenance ou de leur non-appartenance,
vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une race ou une religion
déterminée.
Christian Navis wrote:
STOP!
Tant qu'à citer un texte, essayez de le citer correctement :
Article 225-1
Constitue une discrimination toute distinction opérée entre les
personnes physiques à raison de leur origine, de leur sexe, de leur
situation de famille, de leur grossesse, de leur apparence physique, de
leur patronyme, de leur état de santé, de leur handicap, de leurs
caractéristiques génétiques, de leurs moeurs, de leur orientation ou
identité sexuelle, de leur âge, de leurs opinions politiques, de leurs
activités syndicales, de leur appartenance ou de leur non-appartenance,
vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une race ou une religion
déterminée.
Caurse-Marseille le score est à combien à ce jour
pour l'année en cours ?
Caurse-Marseille le score est à combien à ce jour
pour l'année en cours ?
Caurse-Marseille le score est à combien à ce jour
pour l'année en cours ?