L'histoire d'Outreau est un tout complexe qui est trés loins d'être
réductible à l'incompétence d'un juge...
L'histoire d'Outreau est un tout complexe qui est trés loins d'être
réductible à l'incompétence d'un juge...
L'histoire d'Outreau est un tout complexe qui est trés loins d'être
réductible à l'incompétence d'un juge...
si on vous agresse, il est interdit de se défendre.
si on vous agresse, il est interdit de se défendre.
si on vous agresse, il est interdit de se défendre.
svbeev a écrit :L'histoire d'Outreau est un tout complexe qui est trés loins d'être
réductible à l'incompétence d'un juge...
Il y a eu à la télévision un reportage très très détaillé avec le
ressenti de présumés coupables... L'un d'entre eux décrivait d'une
façon effroyable l'arrogance du juge, le fait qu'au moment même où il
dialoguait avec ledit juge, il était déjà considérer comme coupable
ce dernier.
Je ne suis pas d'accord pour me retrouver un jour face à un juge qui
juge pas, ne pèse pas, mais considère d'entrée de jeu que la personne
en face de lui est coupable.
svbeev a écrit :
L'histoire d'Outreau est un tout complexe qui est trés loins d'être
réductible à l'incompétence d'un juge...
Il y a eu à la télévision un reportage très très détaillé avec le
ressenti de présumés coupables... L'un d'entre eux décrivait d'une
façon effroyable l'arrogance du juge, le fait qu'au moment même où il
dialoguait avec ledit juge, il était déjà considérer comme coupable
ce dernier.
Je ne suis pas d'accord pour me retrouver un jour face à un juge qui
juge pas, ne pèse pas, mais considère d'entrée de jeu que la personne
en face de lui est coupable.
svbeev a écrit :L'histoire d'Outreau est un tout complexe qui est trés loins d'être
réductible à l'incompétence d'un juge...
Il y a eu à la télévision un reportage très très détaillé avec le
ressenti de présumés coupables... L'un d'entre eux décrivait d'une
façon effroyable l'arrogance du juge, le fait qu'au moment même où il
dialoguait avec ledit juge, il était déjà considérer comme coupable
ce dernier.
Je ne suis pas d'accord pour me retrouver un jour face à un juge qui
juge pas, ne pèse pas, mais considère d'entrée de jeu que la personne
en face de lui est coupable.
JCL écrivait news:4ef65dbf$0$5682$ba4acef3
@reader.news.orange.fr:svbeev a écrit :L'histoire d'Outreau est un tout complexe qui est trés loins d'être
réductible à l'incompétence d'un juge...
Il y a eu à la télévision un reportage très très détaillé avec le
ressenti de présumés coupables... L'un d'entre eux décrivait d'une
façon effroyable l'arrogance du juge, le fait qu'au moment même où il
dialoguait avec ledit juge, il était déjà considérer comme coupable par
ce dernier.
Je ne suis pas d'accord pour me retrouver un jour face à un juge qui ne
juge pas, ne pèse pas, mais considère d'entrée de jeu que la personne
en face de lui est coupable.
Personne n'a envie de ça.
L'erreur judiciaire est par nature insupportable.
Mais encore faut-il que nos concitoyens se disent bien qu'un système qui
minimisent au maximum le risque de voir condamné un innocent est
également celui qui voit croître le risque de permettre à un coupable de
passer entre les mailles du filet, ce qui pour certains est tout aussi
intolérable.
Certaines remises en liberté sont tout aussi critiquées que les
décisions d'incarcération et trés nombreux sont ceux qui ne comprennent
pas qu'on puisse remettre en liberté un mis en examen dont ils ont eux-
même la conviction qu'il est coupable.
Attention, ne vous méprenez pas sur mon propos, à mes yeux, tout est
préférable à la condamnation d'un innocent, même la relaxe ou
l'acquittement d'un coupable.
C'est bien pour ça qu'il faut un système qui minimise les risques d'une
instruction biaisée par une conviction trop hâtivement faite.
Il faut donc un juge d'instruction qui puisse instruire dans la sérénité
indispensable pour pouvoir essayer de prendre un peu de hauteur par
rapports aux premières évidences d'un dossier, un JLD qui ait le temps
et les moyens de prendre à fond connaissance du dossier dans lequel il
doit décider d'incarcérer ou non un mis en examen, et une chambre de
l'instruction qui remplisse pleinement son rôle de censure si c'est
nécessaire.
La collégialité pour les dossiers les plus lourds me parait aussi une
bonne solution, votée depuis 2007 nous l'attendons toujours...
Vu le ratio de juges par habitants dans notre pays et le rythme actuel
des recrutements, toutes filières confondues, je ne suis pas trés sur
que la tendance soit à l'amélioration.
Alors on peut se contenter de voeux pieux...jusqu'à la prochaine fois !
JCL <wanado@wanado.fr> écrivait news:4ef65dbf$0$5682$ba4acef3
@reader.news.orange.fr:
svbeev a écrit :
L'histoire d'Outreau est un tout complexe qui est trés loins d'être
réductible à l'incompétence d'un juge...
Il y a eu à la télévision un reportage très très détaillé avec le
ressenti de présumés coupables... L'un d'entre eux décrivait d'une
façon effroyable l'arrogance du juge, le fait qu'au moment même où il
dialoguait avec ledit juge, il était déjà considérer comme coupable par
ce dernier.
Je ne suis pas d'accord pour me retrouver un jour face à un juge qui ne
juge pas, ne pèse pas, mais considère d'entrée de jeu que la personne
en face de lui est coupable.
Personne n'a envie de ça.
L'erreur judiciaire est par nature insupportable.
Mais encore faut-il que nos concitoyens se disent bien qu'un système qui
minimisent au maximum le risque de voir condamné un innocent est
également celui qui voit croître le risque de permettre à un coupable de
passer entre les mailles du filet, ce qui pour certains est tout aussi
intolérable.
Certaines remises en liberté sont tout aussi critiquées que les
décisions d'incarcération et trés nombreux sont ceux qui ne comprennent
pas qu'on puisse remettre en liberté un mis en examen dont ils ont eux-
même la conviction qu'il est coupable.
Attention, ne vous méprenez pas sur mon propos, à mes yeux, tout est
préférable à la condamnation d'un innocent, même la relaxe ou
l'acquittement d'un coupable.
C'est bien pour ça qu'il faut un système qui minimise les risques d'une
instruction biaisée par une conviction trop hâtivement faite.
Il faut donc un juge d'instruction qui puisse instruire dans la sérénité
indispensable pour pouvoir essayer de prendre un peu de hauteur par
rapports aux premières évidences d'un dossier, un JLD qui ait le temps
et les moyens de prendre à fond connaissance du dossier dans lequel il
doit décider d'incarcérer ou non un mis en examen, et une chambre de
l'instruction qui remplisse pleinement son rôle de censure si c'est
nécessaire.
La collégialité pour les dossiers les plus lourds me parait aussi une
bonne solution, votée depuis 2007 nous l'attendons toujours...
Vu le ratio de juges par habitants dans notre pays et le rythme actuel
des recrutements, toutes filières confondues, je ne suis pas trés sur
que la tendance soit à l'amélioration.
Alors on peut se contenter de voeux pieux...jusqu'à la prochaine fois !
JCL écrivait news:4ef65dbf$0$5682$ba4acef3
@reader.news.orange.fr:svbeev a écrit :L'histoire d'Outreau est un tout complexe qui est trés loins d'être
réductible à l'incompétence d'un juge...
Il y a eu à la télévision un reportage très très détaillé avec le
ressenti de présumés coupables... L'un d'entre eux décrivait d'une
façon effroyable l'arrogance du juge, le fait qu'au moment même où il
dialoguait avec ledit juge, il était déjà considérer comme coupable par
ce dernier.
Je ne suis pas d'accord pour me retrouver un jour face à un juge qui ne
juge pas, ne pèse pas, mais considère d'entrée de jeu que la personne
en face de lui est coupable.
Personne n'a envie de ça.
L'erreur judiciaire est par nature insupportable.
Mais encore faut-il que nos concitoyens se disent bien qu'un système qui
minimisent au maximum le risque de voir condamné un innocent est
également celui qui voit croître le risque de permettre à un coupable de
passer entre les mailles du filet, ce qui pour certains est tout aussi
intolérable.
Certaines remises en liberté sont tout aussi critiquées que les
décisions d'incarcération et trés nombreux sont ceux qui ne comprennent
pas qu'on puisse remettre en liberté un mis en examen dont ils ont eux-
même la conviction qu'il est coupable.
Attention, ne vous méprenez pas sur mon propos, à mes yeux, tout est
préférable à la condamnation d'un innocent, même la relaxe ou
l'acquittement d'un coupable.
C'est bien pour ça qu'il faut un système qui minimise les risques d'une
instruction biaisée par une conviction trop hâtivement faite.
Il faut donc un juge d'instruction qui puisse instruire dans la sérénité
indispensable pour pouvoir essayer de prendre un peu de hauteur par
rapports aux premières évidences d'un dossier, un JLD qui ait le temps
et les moyens de prendre à fond connaissance du dossier dans lequel il
doit décider d'incarcérer ou non un mis en examen, et une chambre de
l'instruction qui remplisse pleinement son rôle de censure si c'est
nécessaire.
La collégialité pour les dossiers les plus lourds me parait aussi une
bonne solution, votée depuis 2007 nous l'attendons toujours...
Vu le ratio de juges par habitants dans notre pays et le rythme actuel
des recrutements, toutes filières confondues, je ne suis pas trés sur
que la tendance soit à l'amélioration.
Alors on peut se contenter de voeux pieux...jusqu'à la prochaine fois !
Odilon Crocq écrivait
news:jd46p3$dc4$:
A défaut d'être un gage de pertinence cela explique que le juge se sente
conforté dans son approche du dossier.
Mon opinion, que vous semblez ne pas avoir saisie, est peut être finalement
plus pessimiste que la vôtre, puisque je pense que le même scénario aurait
pu se dérouler hélàs de la même façon avec un grand nombre de juges
d'instruction
C'est en cela que je considère que crier haro sur Burgaud est contre
productif car cela masque les causes réelles en chargeant l'un des acteurs
et en dédouanant les autres de façon injuste.
Je vous concède que ma formulation trop rapide est ambigüe.
Je rappelle que dans cette affaire le CSM a été saisi par le garde
des sceaux, car il n'était pas possible à l'époque qu'il soit saisi
par les justiciables comme ça l'est désormais. Par conséquent les
griefs formulés contre Burgaud devant le CSM sont ceux retenus par le
seul garde des sceaux, et à cet égard il est tout de même un peu
choquant que le CSM puisse s'être prononcé sans même entendre les
victimes ou leurs avocats.
Cela est parfaitement normal au contraire.
Vous faites une confusion classique. La même que les victimes d'erreurs
médicales qui s'offusquent de n'être pas convoquées devant le conseil de
l'Ordre des médecins à l'occasion d'éventuelles poursuites disciplinaires.
J'ajoute que les victimes n'ont pas été entendues par le CSM puisque la
procédure ne le prévoit pas, mais que la décision du CSM est intervenue
après l'equête de l'ISJ et les travaux de la commission parlementaire et
que j'ai du mal à imaginer que les membres du CSM soir restés complètement
sourds aux déclarations des victimes et de leurs conseils largement
relayées.
On ne pouvait pas mieux dire que Burgaud s'est montré totalement
incompétent, et en conséquence il a été durement été châtié
par ses pairs d'une sévère réprimande.
Et dans le même temps, on ne peut s'empêcher d'imaginer à quelle
sauce ces mêmes magistrats auraient mangé un chirurgien ou un pilote
d'avion ayant commis une telle accumulation de négligences,
maladresses, défauts de maîtrise, manque de méthode...
Et nous y voilà, le couplet habituel sur l'irresponsabilité du magistrat.
Si vous ne comprenez pas pourquoi, le statut de la magistrature ne permet
pas de rechercher la responsabilité personnelle du magistratà raison des
décisions rendues
Oui mais le JLD ne prend pas sa décision ex nihilo, il s'appuie
notamment sur le dossier d'instruction. Et donc si l'instruction est
vérolée la décision du JLD l'est aussi, de sorte qu'il n'est pas
sérieux d'affirmer que Burgaud n'a pas sa part de responsabilité
dans les détentions provisoire.
Et alors ?
Les insuffisances que vous dénoncez n'étaient pas visibles par le JLD ?
Il(s) ne pouvai(en)t pas constater les incohérences ou contradictions dont
on nous dit qu'elles sautaient aux yeux ?
Vous me reprochiez dans votre message précédent d'avoir le nez dans le
guidon, c'est exactement la raison pour laquelle, je pense contrairement à
vous, que la reponsabilité est au moins autant celle de ceux dont on peut
attendre sur le dossier un hauteur de vue supérieure à celle du juge qui a
les deux mains dans le cambouis et un regard plus critique que celui qui se
trouve au ras des paquerettes.
Odilon Crocq<odilon@gmail.invalid> écrivait
news:jd46p3$dc4$1@dont-email.me:
A défaut d'être un gage de pertinence cela explique que le juge se sente
conforté dans son approche du dossier.
Mon opinion, que vous semblez ne pas avoir saisie, est peut être finalement
plus pessimiste que la vôtre, puisque je pense que le même scénario aurait
pu se dérouler hélàs de la même façon avec un grand nombre de juges
d'instruction
C'est en cela que je considère que crier haro sur Burgaud est contre
productif car cela masque les causes réelles en chargeant l'un des acteurs
et en dédouanant les autres de façon injuste.
Je vous concède que ma formulation trop rapide est ambigüe.
Je rappelle que dans cette affaire le CSM a été saisi par le garde
des sceaux, car il n'était pas possible à l'époque qu'il soit saisi
par les justiciables comme ça l'est désormais. Par conséquent les
griefs formulés contre Burgaud devant le CSM sont ceux retenus par le
seul garde des sceaux, et à cet égard il est tout de même un peu
choquant que le CSM puisse s'être prononcé sans même entendre les
victimes ou leurs avocats.
Cela est parfaitement normal au contraire.
Vous faites une confusion classique. La même que les victimes d'erreurs
médicales qui s'offusquent de n'être pas convoquées devant le conseil de
l'Ordre des médecins à l'occasion d'éventuelles poursuites disciplinaires.
J'ajoute que les victimes n'ont pas été entendues par le CSM puisque la
procédure ne le prévoit pas, mais que la décision du CSM est intervenue
après l'equête de l'ISJ et les travaux de la commission parlementaire et
que j'ai du mal à imaginer que les membres du CSM soir restés complètement
sourds aux déclarations des victimes et de leurs conseils largement
relayées.
On ne pouvait pas mieux dire que Burgaud s'est montré totalement
incompétent, et en conséquence il a été durement été châtié
par ses pairs d'une sévère réprimande.
Et dans le même temps, on ne peut s'empêcher d'imaginer à quelle
sauce ces mêmes magistrats auraient mangé un chirurgien ou un pilote
d'avion ayant commis une telle accumulation de négligences,
maladresses, défauts de maîtrise, manque de méthode...
Et nous y voilà, le couplet habituel sur l'irresponsabilité du magistrat.
Si vous ne comprenez pas pourquoi, le statut de la magistrature ne permet
pas de rechercher la responsabilité personnelle du magistratà raison des
décisions rendues
Oui mais le JLD ne prend pas sa décision ex nihilo, il s'appuie
notamment sur le dossier d'instruction. Et donc si l'instruction est
vérolée la décision du JLD l'est aussi, de sorte qu'il n'est pas
sérieux d'affirmer que Burgaud n'a pas sa part de responsabilité
dans les détentions provisoire.
Et alors ?
Les insuffisances que vous dénoncez n'étaient pas visibles par le JLD ?
Il(s) ne pouvai(en)t pas constater les incohérences ou contradictions dont
on nous dit qu'elles sautaient aux yeux ?
Vous me reprochiez dans votre message précédent d'avoir le nez dans le
guidon, c'est exactement la raison pour laquelle, je pense contrairement à
vous, que la reponsabilité est au moins autant celle de ceux dont on peut
attendre sur le dossier un hauteur de vue supérieure à celle du juge qui a
les deux mains dans le cambouis et un regard plus critique que celui qui se
trouve au ras des paquerettes.
Odilon Crocq écrivait
news:jd46p3$dc4$:
A défaut d'être un gage de pertinence cela explique que le juge se sente
conforté dans son approche du dossier.
Mon opinion, que vous semblez ne pas avoir saisie, est peut être finalement
plus pessimiste que la vôtre, puisque je pense que le même scénario aurait
pu se dérouler hélàs de la même façon avec un grand nombre de juges
d'instruction
C'est en cela que je considère que crier haro sur Burgaud est contre
productif car cela masque les causes réelles en chargeant l'un des acteurs
et en dédouanant les autres de façon injuste.
Je vous concède que ma formulation trop rapide est ambigüe.
Je rappelle que dans cette affaire le CSM a été saisi par le garde
des sceaux, car il n'était pas possible à l'époque qu'il soit saisi
par les justiciables comme ça l'est désormais. Par conséquent les
griefs formulés contre Burgaud devant le CSM sont ceux retenus par le
seul garde des sceaux, et à cet égard il est tout de même un peu
choquant que le CSM puisse s'être prononcé sans même entendre les
victimes ou leurs avocats.
Cela est parfaitement normal au contraire.
Vous faites une confusion classique. La même que les victimes d'erreurs
médicales qui s'offusquent de n'être pas convoquées devant le conseil de
l'Ordre des médecins à l'occasion d'éventuelles poursuites disciplinaires.
J'ajoute que les victimes n'ont pas été entendues par le CSM puisque la
procédure ne le prévoit pas, mais que la décision du CSM est intervenue
après l'equête de l'ISJ et les travaux de la commission parlementaire et
que j'ai du mal à imaginer que les membres du CSM soir restés complètement
sourds aux déclarations des victimes et de leurs conseils largement
relayées.
On ne pouvait pas mieux dire que Burgaud s'est montré totalement
incompétent, et en conséquence il a été durement été châtié
par ses pairs d'une sévère réprimande.
Et dans le même temps, on ne peut s'empêcher d'imaginer à quelle
sauce ces mêmes magistrats auraient mangé un chirurgien ou un pilote
d'avion ayant commis une telle accumulation de négligences,
maladresses, défauts de maîtrise, manque de méthode...
Et nous y voilà, le couplet habituel sur l'irresponsabilité du magistrat.
Si vous ne comprenez pas pourquoi, le statut de la magistrature ne permet
pas de rechercher la responsabilité personnelle du magistratà raison des
décisions rendues
Oui mais le JLD ne prend pas sa décision ex nihilo, il s'appuie
notamment sur le dossier d'instruction. Et donc si l'instruction est
vérolée la décision du JLD l'est aussi, de sorte qu'il n'est pas
sérieux d'affirmer que Burgaud n'a pas sa part de responsabilité
dans les détentions provisoire.
Et alors ?
Les insuffisances que vous dénoncez n'étaient pas visibles par le JLD ?
Il(s) ne pouvai(en)t pas constater les incohérences ou contradictions dont
on nous dit qu'elles sautaient aux yeux ?
Vous me reprochiez dans votre message précédent d'avoir le nez dans le
guidon, c'est exactement la raison pour laquelle, je pense contrairement à
vous, que la reponsabilité est au moins autant celle de ceux dont on peut
attendre sur le dossier un hauteur de vue supérieure à celle du juge qui a
les deux mains dans le cambouis et un regard plus critique que celui qui se
trouve au ras des paquerettes.
svbeev a écrit :L'histoire d'Outreau est un tout complexe qui est trés loins d'être
réductible à l'incompétence d'un juge...
Il y a eu à la télévision un reportage très très détaillé avec le ressenti
de présumés coupables... L'un d'entre eux décrivait d'une façon effroyable
l'arrogance du juge, le fait qu'au moment même où il dialoguait avec ledit
juge, il était déjà considérer comme coupable par ce dernier.
Je ne suis pas d'accord pour me retrouver un jour face à un juge qui ne
juge pas, ne pèse pas, mais considère d'entrée de jeu que la personne en
face de lui est coupable.
svbeev a écrit :
L'histoire d'Outreau est un tout complexe qui est trés loins d'être
réductible à l'incompétence d'un juge...
Il y a eu à la télévision un reportage très très détaillé avec le ressenti
de présumés coupables... L'un d'entre eux décrivait d'une façon effroyable
l'arrogance du juge, le fait qu'au moment même où il dialoguait avec ledit
juge, il était déjà considérer comme coupable par ce dernier.
Je ne suis pas d'accord pour me retrouver un jour face à un juge qui ne
juge pas, ne pèse pas, mais considère d'entrée de jeu que la personne en
face de lui est coupable.
svbeev a écrit :L'histoire d'Outreau est un tout complexe qui est trés loins d'être
réductible à l'incompétence d'un juge...
Il y a eu à la télévision un reportage très très détaillé avec le ressenti
de présumés coupables... L'un d'entre eux décrivait d'une façon effroyable
l'arrogance du juge, le fait qu'au moment même où il dialoguait avec ledit
juge, il était déjà considérer comme coupable par ce dernier.
Je ne suis pas d'accord pour me retrouver un jour face à un juge qui ne
juge pas, ne pèse pas, mais considère d'entrée de jeu que la personne en
face de lui est coupable.
cet article de TheOnion qui vous avait tant indigné
cet article de TheOnion qui vous avait tant indigné
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Vous, le 10 juin 2010 à 7h34.
Vous, le 10 juin 2010 à 7h34.
Vous, le 10 juin 2010 à 7h34.