Le 02/06/2014 19:03, luciole135 a écrit :Le 02/06/2014 16:35, Dominique a écrit :jr wrote:Le 01/06/2014 21:03, Ericetrac a écrit :Ecoute mémère, ton histoire de viol moins important que quelques
claques, je n'y crois pas un seul instant.
"Quelques claques" :)
Exactement la méthode qui consiste à minimiser le viol par du
vocabulaire idoine.
N'empêche que je ne sais toujours pas de quoi j'étais en manque.
De viol, vous croyez?
Si j'ai bien compris, c'est un viol qui n'a pas été si traumatisant que
cela.
Tiens, voilà "l’appareil de surveillance des femmes qui se met en
branle" (dès qu'on dit qu'on a été violée) - Despentes.
Avec le nécessaire traumatisme éternel, dont l'absence signifie que le
viol était désiré.
"Car, du moment qu’on appelle son viol un viol, c’est tout l’appareil de
surveillance des femmes qui se met en branle : tu veux que ça se sache,
ce qui t’est arrivé ? Tu veux que tout le monde te voie comme une femme
à qui c’est arrivé ? Et, de toutes façons, comment peux-tu en être
sortie vivante, sans être une salope patentée ? Une femme qui tiendrait
à sa dignité aurait préféré se faire tuer. Ma survie, en elle-même, est
une preuve qui parle contre moi. Le fait d’être plus terrorisée à l’idée
d’être tuée que traumatisée par les coups de reins des trois connards,
apparaissait comme une chose monstrueuse"
Le 02/06/2014 19:03, luciole135 a écrit :
Le 02/06/2014 16:35, Dominique a écrit :
jr <jqs@froc.net> wrote:
Le 01/06/2014 21:03, Ericetrac a écrit :
Ecoute mémère, ton histoire de viol moins important que quelques
claques, je n'y crois pas un seul instant.
"Quelques claques" :)
Exactement la méthode qui consiste à minimiser le viol par du
vocabulaire idoine.
N'empêche que je ne sais toujours pas de quoi j'étais en manque.
De viol, vous croyez?
Si j'ai bien compris, c'est un viol qui n'a pas été si traumatisant que
cela.
Tiens, voilà "l’appareil de surveillance des femmes qui se met en
branle" (dès qu'on dit qu'on a été violée) - Despentes.
Avec le nécessaire traumatisme éternel, dont l'absence signifie que le
viol était désiré.
"Car, du moment qu’on appelle son viol un viol, c’est tout l’appareil de
surveillance des femmes qui se met en branle : tu veux que ça se sache,
ce qui t’est arrivé ? Tu veux que tout le monde te voie comme une femme
à qui c’est arrivé ? Et, de toutes façons, comment peux-tu en être
sortie vivante, sans être une salope patentée ? Une femme qui tiendrait
à sa dignité aurait préféré se faire tuer. Ma survie, en elle-même, est
une preuve qui parle contre moi. Le fait d’être plus terrorisée à l’idée
d’être tuée que traumatisée par les coups de reins des trois connards,
apparaissait comme une chose monstrueuse"
Le 02/06/2014 19:03, luciole135 a écrit :Le 02/06/2014 16:35, Dominique a écrit :jr wrote:Le 01/06/2014 21:03, Ericetrac a écrit :Ecoute mémère, ton histoire de viol moins important que quelques
claques, je n'y crois pas un seul instant.
"Quelques claques" :)
Exactement la méthode qui consiste à minimiser le viol par du
vocabulaire idoine.
N'empêche que je ne sais toujours pas de quoi j'étais en manque.
De viol, vous croyez?
Si j'ai bien compris, c'est un viol qui n'a pas été si traumatisant que
cela.
Tiens, voilà "l’appareil de surveillance des femmes qui se met en
branle" (dès qu'on dit qu'on a été violée) - Despentes.
Avec le nécessaire traumatisme éternel, dont l'absence signifie que le
viol était désiré.
"Car, du moment qu’on appelle son viol un viol, c’est tout l’appareil de
surveillance des femmes qui se met en branle : tu veux que ça se sache,
ce qui t’est arrivé ? Tu veux que tout le monde te voie comme une femme
à qui c’est arrivé ? Et, de toutes façons, comment peux-tu en être
sortie vivante, sans être une salope patentée ? Une femme qui tiendrait
à sa dignité aurait préféré se faire tuer. Ma survie, en elle-même, est
une preuve qui parle contre moi. Le fait d’être plus terrorisée à l’idée
d’être tuée que traumatisée par les coups de reins des trois connards,
apparaissait comme une chose monstrueuse"
Le 02/06/2014 16:35, Dominique a écrit :
> jr wrote:
>
>> Donc ce que font les Thénardiers à Cosette,
>
> Tiens, elle m'avait échappée celle-ci.
> Pas de pluriel aux noms propres, il me semble.
Sauf aux dynasties.
Le 02/06/2014 16:35, Dominique a écrit :
> jr <jqs@froc.net> wrote:
>
>> Donc ce que font les Thénardiers à Cosette,
>
> Tiens, elle m'avait échappée celle-ci.
> Pas de pluriel aux noms propres, il me semble.
Sauf aux dynasties.
Le 02/06/2014 16:35, Dominique a écrit :
> jr wrote:
>
>> Donc ce que font les Thénardiers à Cosette,
>
> Tiens, elle m'avait échappée celle-ci.
> Pas de pluriel aux noms propres, il me semble.
Sauf aux dynasties.
Le 02/06/2014 18:20, Marc Lepetit a écrit :
> Le 02/06/2014 17:48, jr a écrit :
>> Le 02/06/2014 16:35, Dominique a écrit :
>>
>>> jr wrote:
>>>
>>>> Donc ce que font les Thénardiers à Cosette,
>>>
>>> Tiens, elle m'avait échappée celle-ci.
>>> Pas de pluriel aux noms propres, il me semble.
>>
>> Sauf aux dynasties.
>
> Les Forsytes.
Dynasties au sens initial de princes souverains. Ça ne le fait ni pour
Thénardier ni pour Forsyte ni pour Rougon-Macquart.
Le 02/06/2014 18:20, Marc Lepetit a écrit :
> Le 02/06/2014 17:48, jr a écrit :
>> Le 02/06/2014 16:35, Dominique a écrit :
>>
>>> jr <jqs@froc.net> wrote:
>>>
>>>> Donc ce que font les Thénardiers à Cosette,
>>>
>>> Tiens, elle m'avait échappée celle-ci.
>>> Pas de pluriel aux noms propres, il me semble.
>>
>> Sauf aux dynasties.
>
> Les Forsytes.
Dynasties au sens initial de princes souverains. Ça ne le fait ni pour
Thénardier ni pour Forsyte ni pour Rougon-Macquart.
Le 02/06/2014 18:20, Marc Lepetit a écrit :
> Le 02/06/2014 17:48, jr a écrit :
>> Le 02/06/2014 16:35, Dominique a écrit :
>>
>>> jr wrote:
>>>
>>>> Donc ce que font les Thénardiers à Cosette,
>>>
>>> Tiens, elle m'avait échappée celle-ci.
>>> Pas de pluriel aux noms propres, il me semble.
>>
>> Sauf aux dynasties.
>
> Les Forsytes.
Dynasties au sens initial de princes souverains. Ça ne le fait ni pour
Thénardier ni pour Forsyte ni pour Rougon-Macquart.
Le 02/06/2014 19:03, luciole135 a écrit :
> Le 02/06/2014 16:35, Dominique a écrit :
>> jr wrote:
>>
>>> Le 01/06/2014 21:03, Ericetrac a écrit :
>>>
>>>> Ecoute mémère, ton histoire de viol moins important que quelques
>>>> claques, je n'y crois pas un seul instant.
>>>
>>> "Quelques claques" :)
>>>
>>> Exactement la méthode qui consiste à minimiser le viol par du
>>> vocabulaire idoine.
>>
>> N'empêche que je ne sais toujours pas de quoi j'étais en manque.
>> De viol, vous croyez?
>>
>
> Si j'ai bien compris, c'est un viol qui n'a pas été si traumatisant que
> cela.
Tiens, voilà "l'appareil de surveillance des femmes qui se met en
branle" (dès qu'on dit qu'on a été violée) - Despentes.
Avec le nécessaire traumatisme éternel, dont l'absence signifie que le
viol était désiré.
"Car, du moment qu'on appelle son viol un viol, c'est tout l'appareil de
surveillance des femmes qui se met en branle : tu veux que ça se sache,
ce qui t'est arrivé ? Tu veux que tout le monde te voie comme une femme
à qui c'est arrivé ? Et, de toutes façons, comment peux-tu en être
sortie vivante, sans être une salope patentée ? Une femme qui tiendrait
à sa dignité aurait préféré se faire tuer. Ma survie, en elle-même, est
une preuve qui parle contre moi. Le fait d'être plus terrorisée à l'idée
d'être tuée que traumatisée par les coups de reins des trois connards,
apparaissait comme une chose monstrueuse"
Le 02/06/2014 19:03, luciole135 a écrit :
> Le 02/06/2014 16:35, Dominique a écrit :
>> jr <jqs@froc.net> wrote:
>>
>>> Le 01/06/2014 21:03, Ericetrac a écrit :
>>>
>>>> Ecoute mémère, ton histoire de viol moins important que quelques
>>>> claques, je n'y crois pas un seul instant.
>>>
>>> "Quelques claques" :)
>>>
>>> Exactement la méthode qui consiste à minimiser le viol par du
>>> vocabulaire idoine.
>>
>> N'empêche que je ne sais toujours pas de quoi j'étais en manque.
>> De viol, vous croyez?
>>
>
> Si j'ai bien compris, c'est un viol qui n'a pas été si traumatisant que
> cela.
Tiens, voilà "l'appareil de surveillance des femmes qui se met en
branle" (dès qu'on dit qu'on a été violée) - Despentes.
Avec le nécessaire traumatisme éternel, dont l'absence signifie que le
viol était désiré.
"Car, du moment qu'on appelle son viol un viol, c'est tout l'appareil de
surveillance des femmes qui se met en branle : tu veux que ça se sache,
ce qui t'est arrivé ? Tu veux que tout le monde te voie comme une femme
à qui c'est arrivé ? Et, de toutes façons, comment peux-tu en être
sortie vivante, sans être une salope patentée ? Une femme qui tiendrait
à sa dignité aurait préféré se faire tuer. Ma survie, en elle-même, est
une preuve qui parle contre moi. Le fait d'être plus terrorisée à l'idée
d'être tuée que traumatisée par les coups de reins des trois connards,
apparaissait comme une chose monstrueuse"
Le 02/06/2014 19:03, luciole135 a écrit :
> Le 02/06/2014 16:35, Dominique a écrit :
>> jr wrote:
>>
>>> Le 01/06/2014 21:03, Ericetrac a écrit :
>>>
>>>> Ecoute mémère, ton histoire de viol moins important que quelques
>>>> claques, je n'y crois pas un seul instant.
>>>
>>> "Quelques claques" :)
>>>
>>> Exactement la méthode qui consiste à minimiser le viol par du
>>> vocabulaire idoine.
>>
>> N'empêche que je ne sais toujours pas de quoi j'étais en manque.
>> De viol, vous croyez?
>>
>
> Si j'ai bien compris, c'est un viol qui n'a pas été si traumatisant que
> cela.
Tiens, voilà "l'appareil de surveillance des femmes qui se met en
branle" (dès qu'on dit qu'on a été violée) - Despentes.
Avec le nécessaire traumatisme éternel, dont l'absence signifie que le
viol était désiré.
"Car, du moment qu'on appelle son viol un viol, c'est tout l'appareil de
surveillance des femmes qui se met en branle : tu veux que ça se sache,
ce qui t'est arrivé ? Tu veux que tout le monde te voie comme une femme
à qui c'est arrivé ? Et, de toutes façons, comment peux-tu en être
sortie vivante, sans être une salope patentée ? Une femme qui tiendrait
à sa dignité aurait préféré se faire tuer. Ma survie, en elle-même, est
une preuve qui parle contre moi. Le fait d'être plus terrorisée à l'idée
d'être tuée que traumatisée par les coups de reins des trois connards,
apparaissait comme une chose monstrueuse"
Dominique avait prétendu :
> Ericetrac wrote:
>
>> Dominique a pensé très fort :
>
>>>> Je suis l'un de ceux qui lisent votre propos où vous dites que ça fait
>>>> beaucoup moins mal d'être violée...
>>>
>>> Et ça vous dérange?
>>> Je n'ai pas parlé que des souffrances physiques, mon petit...
>>
>> Ma vieille, c'est exactement ce que j'écrivais plus haut.
>
> Mon petit, vous avez parlé de souffrances autres que physiques alors que
> moi j'englobais toutes les souffrances.
Oui mais toi tu te fais ton cinéma.
>>> Quant à l'humiliation, on s'en remet, je vous rassure.
>>
>> Parce que le viol se réduit à une humiliation !
>
> Pour certaines personnes, oui.
Ah oui, tu aurais préféré prendre l'initiative ?
>> Ecoute mémère, ton histoire de viol moins important que quelques
>> claques,
>
> Coups de poings, mon petit.
Si tu veux.
>> je n'y crois pas un seul instant.
>
> Parce que vous n'avez jamais subi un viol, mon petit.
> Non pas que je vous le souhaite mais vous ne pouvez pas savoir vraiment
> ce que peut ressentir une personne violée si vous n'en avez pas eu
> l'expérience personnelle.
> Moi aussi j'imaginais des choses avant que ça m'arrive pour de vrai.
Une fois encore, je n'y crois pas un seul instant.
> Bon alors, j'étais en manque de quoi, à votre avis?
De sexe ?
>>>> Quand à gagner une procédure pour coups et blessures, il n'y a pas de
>>>> quoi être fière.
>>>
>>> Ha oui, et pourquoi donc je ne devrais pas être fière d'avoir gagné mon
>>> procès contre une brute?
>>
>> Parce que n'importe quel abruti le gagnerait.
>
> Vous en savez encore moins sur les violences conjugales examinées par un
> Tribunal que sur le ressenti d'une personne violée.
> Ce serait risible si ce n'était lamentable.
Tiens, les claques sont devenus des violences conjugales.
> C'est toujours marrant chez les mecs poussés au bout de leur pauvre
> argumentation cette façon de passer au tutoiement qui se veut injurieux
> et/ou méprisant.
Ecoute, mémère, je te tutoie depuis ma première réponse, c'est d'usage
sur usenet.
>
> (...)
>
>>>> Il ne faudrait pas oublier que certains actes de procédure bloquent la
>>>> prescription. Il serait fort surprenant qu'il n'y ait pas de procédure,
>>>> n'est ce pas ?
>>>
>>> Ça vaut aussi pour le gosse violé.
>>> Pourquoi il n'y a pas de procédure avant ?
>>
>> Le gosse violé a besoin de temps pour pouvoir porter plainte.
>
> Pourquoi?
Parce que pour toi un gosse de 8 ans va aller porter plainte sitôt les
faits terminés ?
Dominique avait prétendu :
> Ericetrac <bienudefree@free.fr> wrote:
>
>> Dominique a pensé très fort :
>
>>>> Je suis l'un de ceux qui lisent votre propos où vous dites que ça fait
>>>> beaucoup moins mal d'être violée...
>>>
>>> Et ça vous dérange?
>>> Je n'ai pas parlé que des souffrances physiques, mon petit...
>>
>> Ma vieille, c'est exactement ce que j'écrivais plus haut.
>
> Mon petit, vous avez parlé de souffrances autres que physiques alors que
> moi j'englobais toutes les souffrances.
Oui mais toi tu te fais ton cinéma.
>>> Quant à l'humiliation, on s'en remet, je vous rassure.
>>
>> Parce que le viol se réduit à une humiliation !
>
> Pour certaines personnes, oui.
Ah oui, tu aurais préféré prendre l'initiative ?
>> Ecoute mémère, ton histoire de viol moins important que quelques
>> claques,
>
> Coups de poings, mon petit.
Si tu veux.
>> je n'y crois pas un seul instant.
>
> Parce que vous n'avez jamais subi un viol, mon petit.
> Non pas que je vous le souhaite mais vous ne pouvez pas savoir vraiment
> ce que peut ressentir une personne violée si vous n'en avez pas eu
> l'expérience personnelle.
> Moi aussi j'imaginais des choses avant que ça m'arrive pour de vrai.
Une fois encore, je n'y crois pas un seul instant.
> Bon alors, j'étais en manque de quoi, à votre avis?
De sexe ?
>>>> Quand à gagner une procédure pour coups et blessures, il n'y a pas de
>>>> quoi être fière.
>>>
>>> Ha oui, et pourquoi donc je ne devrais pas être fière d'avoir gagné mon
>>> procès contre une brute?
>>
>> Parce que n'importe quel abruti le gagnerait.
>
> Vous en savez encore moins sur les violences conjugales examinées par un
> Tribunal que sur le ressenti d'une personne violée.
> Ce serait risible si ce n'était lamentable.
Tiens, les claques sont devenus des violences conjugales.
> C'est toujours marrant chez les mecs poussés au bout de leur pauvre
> argumentation cette façon de passer au tutoiement qui se veut injurieux
> et/ou méprisant.
Ecoute, mémère, je te tutoie depuis ma première réponse, c'est d'usage
sur usenet.
>
> (...)
>
>>>> Il ne faudrait pas oublier que certains actes de procédure bloquent la
>>>> prescription. Il serait fort surprenant qu'il n'y ait pas de procédure,
>>>> n'est ce pas ?
>>>
>>> Ça vaut aussi pour le gosse violé.
>>> Pourquoi il n'y a pas de procédure avant ?
>>
>> Le gosse violé a besoin de temps pour pouvoir porter plainte.
>
> Pourquoi?
Parce que pour toi un gosse de 8 ans va aller porter plainte sitôt les
faits terminés ?
Dominique avait prétendu :
> Ericetrac wrote:
>
>> Dominique a pensé très fort :
>
>>>> Je suis l'un de ceux qui lisent votre propos où vous dites que ça fait
>>>> beaucoup moins mal d'être violée...
>>>
>>> Et ça vous dérange?
>>> Je n'ai pas parlé que des souffrances physiques, mon petit...
>>
>> Ma vieille, c'est exactement ce que j'écrivais plus haut.
>
> Mon petit, vous avez parlé de souffrances autres que physiques alors que
> moi j'englobais toutes les souffrances.
Oui mais toi tu te fais ton cinéma.
>>> Quant à l'humiliation, on s'en remet, je vous rassure.
>>
>> Parce que le viol se réduit à une humiliation !
>
> Pour certaines personnes, oui.
Ah oui, tu aurais préféré prendre l'initiative ?
>> Ecoute mémère, ton histoire de viol moins important que quelques
>> claques,
>
> Coups de poings, mon petit.
Si tu veux.
>> je n'y crois pas un seul instant.
>
> Parce que vous n'avez jamais subi un viol, mon petit.
> Non pas que je vous le souhaite mais vous ne pouvez pas savoir vraiment
> ce que peut ressentir une personne violée si vous n'en avez pas eu
> l'expérience personnelle.
> Moi aussi j'imaginais des choses avant que ça m'arrive pour de vrai.
Une fois encore, je n'y crois pas un seul instant.
> Bon alors, j'étais en manque de quoi, à votre avis?
De sexe ?
>>>> Quand à gagner une procédure pour coups et blessures, il n'y a pas de
>>>> quoi être fière.
>>>
>>> Ha oui, et pourquoi donc je ne devrais pas être fière d'avoir gagné mon
>>> procès contre une brute?
>>
>> Parce que n'importe quel abruti le gagnerait.
>
> Vous en savez encore moins sur les violences conjugales examinées par un
> Tribunal que sur le ressenti d'une personne violée.
> Ce serait risible si ce n'était lamentable.
Tiens, les claques sont devenus des violences conjugales.
> C'est toujours marrant chez les mecs poussés au bout de leur pauvre
> argumentation cette façon de passer au tutoiement qui se veut injurieux
> et/ou méprisant.
Ecoute, mémère, je te tutoie depuis ma première réponse, c'est d'usage
sur usenet.
>
> (...)
>
>>>> Il ne faudrait pas oublier que certains actes de procédure bloquent la
>>>> prescription. Il serait fort surprenant qu'il n'y ait pas de procédure,
>>>> n'est ce pas ?
>>>
>>> Ça vaut aussi pour le gosse violé.
>>> Pourquoi il n'y a pas de procédure avant ?
>>
>> Le gosse violé a besoin de temps pour pouvoir porter plainte.
>
> Pourquoi?
Parce que pour toi un gosse de 8 ans va aller porter plainte sitôt les
faits terminés ?
jr écrivait:
>Pas du tout. Mais pour avoir vu et fréquenté quelques malheureux parents
>qui avaient eu un mauvais tirage , je peux vous assurer qu'à l'âge nubile
>les handicapés mentaux capables ne pensent qu'à ça, que les filles veulent
>des enfants surtout si elles ont une fratrie ou des neveux, et savent très
>bien ce qu'est la pilule qu'on leur donne tous les jours pour ne pas
>l'avaler. Que précisément à cause du handicap les considérations
>habituelles de retenue, la raison et les bon usages ne marchent pas. Et que
>donc l'alternative est l'enfermement entre personnes de même sexe, ou...une
>solution décidée discrètement entre personnes de bonne volonté.
>
>Mais j'attends votre opinion informée.
Dès que j'aurais fini de vomir :(
>Ça y est, vous avez percuté ou vous allez encore
>étaler votre incapacité à lire une phrase simple?
Alors reprenons votre phrase simple;
"La seule justification antique de la qualification
spécifique, c'était le risque de grossesse. C'est fini."
Hors nous venons de voir que ce risque existe toujours.
Paille, poutre ...
jr <jqs@froc.net> écrivait:
>Pas du tout. Mais pour avoir vu et fréquenté quelques malheureux parents
>qui avaient eu un mauvais tirage , je peux vous assurer qu'à l'âge nubile
>les handicapés mentaux capables ne pensent qu'à ça, que les filles veulent
>des enfants surtout si elles ont une fratrie ou des neveux, et savent très
>bien ce qu'est la pilule qu'on leur donne tous les jours pour ne pas
>l'avaler. Que précisément à cause du handicap les considérations
>habituelles de retenue, la raison et les bon usages ne marchent pas. Et que
>donc l'alternative est l'enfermement entre personnes de même sexe, ou...une
>solution décidée discrètement entre personnes de bonne volonté.
>
>Mais j'attends votre opinion informée.
Dès que j'aurais fini de vomir :(
>Ça y est, vous avez percuté ou vous allez encore
>étaler votre incapacité à lire une phrase simple?
Alors reprenons votre phrase simple;
"La seule justification antique de la qualification
spécifique, c'était le risque de grossesse. C'est fini."
Hors nous venons de voir que ce risque existe toujours.
Paille, poutre ...
jr écrivait:
>Pas du tout. Mais pour avoir vu et fréquenté quelques malheureux parents
>qui avaient eu un mauvais tirage , je peux vous assurer qu'à l'âge nubile
>les handicapés mentaux capables ne pensent qu'à ça, que les filles veulent
>des enfants surtout si elles ont une fratrie ou des neveux, et savent très
>bien ce qu'est la pilule qu'on leur donne tous les jours pour ne pas
>l'avaler. Que précisément à cause du handicap les considérations
>habituelles de retenue, la raison et les bon usages ne marchent pas. Et que
>donc l'alternative est l'enfermement entre personnes de même sexe, ou...une
>solution décidée discrètement entre personnes de bonne volonté.
>
>Mais j'attends votre opinion informée.
Dès que j'aurais fini de vomir :(
>Ça y est, vous avez percuté ou vous allez encore
>étaler votre incapacité à lire une phrase simple?
Alors reprenons votre phrase simple;
"La seule justification antique de la qualification
spécifique, c'était le risque de grossesse. C'est fini."
Hors nous venons de voir que ce risque existe toujours.
Paille, poutre ...
J'ai vu l'Amour violé quand j'étais étudiante : un bon film qui montre
bien que c'est le fiancé de la fille violée qui se sent humilié et sali
par ce viol.
Qu'une femme vous dise sereinement qu'elle a été violée ( ou qu'elle a
avorté) et que ça va très bien, maintenant, merci, pas de souci, pas de
psy, pas d'auto-mortification, même pas honte... ça vous fout toutes vos
certitudes de mâle en l'air, n'est ce pas?
Ça ne marchera pas avec moi, mon petit : je n'ai pas honte et j'ai
dominé le sentiment d'humiliation depuis longtemps.
Je sais qui je suis, je vis avec et je vis bien ma relation avec les
hommes.
Vous, vous en êtes encore aux fantasmes adolescents et aux expériences
acquises aux visionnages de films pornos médiocres.
(...)
Si vous voulez, on se rencontre et je vous montre la différence in vivo.
Juste vous me signez une décharge avant : je ne veux pas que vous
portiez plainte contre moi pour violences volontaires, mon petit :-)
Ce n'est pas une question de croyance, mon petit, c'est une question de
preuve.
Vous n'avez pas la preuve que je dis la vérité mais vous allez croire un
mec de 47 ans qui vient de se souvenir avoir été enculé par son père
quand il avait 18 mois...
On y est arrivé. :-/
Finalement, sous vos apparences de type soucieux des victimes de viol,
vous nous révélez votre véritable jour : pour vous une femme adulte qui
ne présente aucune marque de blessures et pas de traumatisme
psychiatrique n'a pas pu être violée.
Bref, votre idée c'est que les femmes, toutes les femmes, quelque part,
ont le fantasme d'être violées.
Trop de pornos hard basés sur la culture du viol, je vous dis, mon
petit.
Vous devriez vous renseigner sur la définition légale des "violences",
qu'elles soient conjugales ou non, avant de dire une connerie, mon
petit.
"Le droit français s'en tient ici au principe de la responsabilité
objective : c'est donc le niveau du dommage causé qui détermine le
niveau de la peine encourue. Il considère même que celui qui accomplit
délibérément un acte de violence est responsable de toutes les suites
prévisibles que cet acte a pu entraîner ; il en est pénalement
responsable comme s'il les avait voulues. "
http://ledroitcriminel.free.fr/dictionnaire/lettre_v_w/lettre_v_viol.htm
Voir, pour votre gouverne et dans le Code Pénal, dans le TITRE II : "Des
atteintes à la personne humaine", le Chapitre II : "Des atteintes à
l'intégrité physique ou psychique de la personne", la Section 1 : "Des
atteintes volontaires à l'intégrité de la personne", le Paragraphe 2 :
"Des violences"
Soit les articles 222-7 à 222-16-3
(...)
Et je voussoie tout le monde depuis mes débuts sur Usenet.
Usenet n'est pas à l'écart des règles de courtoisie habituelles et je ne
tutoie pas les gens qui ne font pas partie de mes amis ou de mes
intimes.
Vous ne répondez pas à ma question.
Un gosse de 8 ans est parfaitement capable de raconter ce qui lui est
arrivé à ses parents, ses enseignants, les gendarmes ou, plus simplement
ses copains ou autres personnes de confiance.
Pourquoi croyez vous donc _vous_ qu'il a "besoin de temps" ?
Serait-ce que vous pensez qu'il doit d'abord oublier et ne s'en souvenir
que grâce à un psy, vers son quarante sixième anniversaire?
J'ai vu l'Amour violé quand j'étais étudiante : un bon film qui montre
bien que c'est le fiancé de la fille violée qui se sent humilié et sali
par ce viol.
Qu'une femme vous dise sereinement qu'elle a été violée ( ou qu'elle a
avorté) et que ça va très bien, maintenant, merci, pas de souci, pas de
psy, pas d'auto-mortification, même pas honte... ça vous fout toutes vos
certitudes de mâle en l'air, n'est ce pas?
Ça ne marchera pas avec moi, mon petit : je n'ai pas honte et j'ai
dominé le sentiment d'humiliation depuis longtemps.
Je sais qui je suis, je vis avec et je vis bien ma relation avec les
hommes.
Vous, vous en êtes encore aux fantasmes adolescents et aux expériences
acquises aux visionnages de films pornos médiocres.
(...)
Si vous voulez, on se rencontre et je vous montre la différence in vivo.
Juste vous me signez une décharge avant : je ne veux pas que vous
portiez plainte contre moi pour violences volontaires, mon petit :-)
Ce n'est pas une question de croyance, mon petit, c'est une question de
preuve.
Vous n'avez pas la preuve que je dis la vérité mais vous allez croire un
mec de 47 ans qui vient de se souvenir avoir été enculé par son père
quand il avait 18 mois...
On y est arrivé. :-/
Finalement, sous vos apparences de type soucieux des victimes de viol,
vous nous révélez votre véritable jour : pour vous une femme adulte qui
ne présente aucune marque de blessures et pas de traumatisme
psychiatrique n'a pas pu être violée.
Bref, votre idée c'est que les femmes, toutes les femmes, quelque part,
ont le fantasme d'être violées.
Trop de pornos hard basés sur la culture du viol, je vous dis, mon
petit.
Vous devriez vous renseigner sur la définition légale des "violences",
qu'elles soient conjugales ou non, avant de dire une connerie, mon
petit.
"Le droit français s'en tient ici au principe de la responsabilité
objective : c'est donc le niveau du dommage causé qui détermine le
niveau de la peine encourue. Il considère même que celui qui accomplit
délibérément un acte de violence est responsable de toutes les suites
prévisibles que cet acte a pu entraîner ; il en est pénalement
responsable comme s'il les avait voulues. "
http://ledroitcriminel.free.fr/dictionnaire/lettre_v_w/lettre_v_viol.htm
Voir, pour votre gouverne et dans le Code Pénal, dans le TITRE II : "Des
atteintes à la personne humaine", le Chapitre II : "Des atteintes à
l'intégrité physique ou psychique de la personne", la Section 1 : "Des
atteintes volontaires à l'intégrité de la personne", le Paragraphe 2 :
"Des violences"
Soit les articles 222-7 à 222-16-3
(...)
Et je voussoie tout le monde depuis mes débuts sur Usenet.
Usenet n'est pas à l'écart des règles de courtoisie habituelles et je ne
tutoie pas les gens qui ne font pas partie de mes amis ou de mes
intimes.
Vous ne répondez pas à ma question.
Un gosse de 8 ans est parfaitement capable de raconter ce qui lui est
arrivé à ses parents, ses enseignants, les gendarmes ou, plus simplement
ses copains ou autres personnes de confiance.
Pourquoi croyez vous donc _vous_ qu'il a "besoin de temps" ?
Serait-ce que vous pensez qu'il doit d'abord oublier et ne s'en souvenir
que grâce à un psy, vers son quarante sixième anniversaire?
J'ai vu l'Amour violé quand j'étais étudiante : un bon film qui montre
bien que c'est le fiancé de la fille violée qui se sent humilié et sali
par ce viol.
Qu'une femme vous dise sereinement qu'elle a été violée ( ou qu'elle a
avorté) et que ça va très bien, maintenant, merci, pas de souci, pas de
psy, pas d'auto-mortification, même pas honte... ça vous fout toutes vos
certitudes de mâle en l'air, n'est ce pas?
Ça ne marchera pas avec moi, mon petit : je n'ai pas honte et j'ai
dominé le sentiment d'humiliation depuis longtemps.
Je sais qui je suis, je vis avec et je vis bien ma relation avec les
hommes.
Vous, vous en êtes encore aux fantasmes adolescents et aux expériences
acquises aux visionnages de films pornos médiocres.
(...)
Si vous voulez, on se rencontre et je vous montre la différence in vivo.
Juste vous me signez une décharge avant : je ne veux pas que vous
portiez plainte contre moi pour violences volontaires, mon petit :-)
Ce n'est pas une question de croyance, mon petit, c'est une question de
preuve.
Vous n'avez pas la preuve que je dis la vérité mais vous allez croire un
mec de 47 ans qui vient de se souvenir avoir été enculé par son père
quand il avait 18 mois...
On y est arrivé. :-/
Finalement, sous vos apparences de type soucieux des victimes de viol,
vous nous révélez votre véritable jour : pour vous une femme adulte qui
ne présente aucune marque de blessures et pas de traumatisme
psychiatrique n'a pas pu être violée.
Bref, votre idée c'est que les femmes, toutes les femmes, quelque part,
ont le fantasme d'être violées.
Trop de pornos hard basés sur la culture du viol, je vous dis, mon
petit.
Vous devriez vous renseigner sur la définition légale des "violences",
qu'elles soient conjugales ou non, avant de dire une connerie, mon
petit.
"Le droit français s'en tient ici au principe de la responsabilité
objective : c'est donc le niveau du dommage causé qui détermine le
niveau de la peine encourue. Il considère même que celui qui accomplit
délibérément un acte de violence est responsable de toutes les suites
prévisibles que cet acte a pu entraîner ; il en est pénalement
responsable comme s'il les avait voulues. "
http://ledroitcriminel.free.fr/dictionnaire/lettre_v_w/lettre_v_viol.htm
Voir, pour votre gouverne et dans le Code Pénal, dans le TITRE II : "Des
atteintes à la personne humaine", le Chapitre II : "Des atteintes à
l'intégrité physique ou psychique de la personne", la Section 1 : "Des
atteintes volontaires à l'intégrité de la personne", le Paragraphe 2 :
"Des violences"
Soit les articles 222-7 à 222-16-3
(...)
Et je voussoie tout le monde depuis mes débuts sur Usenet.
Usenet n'est pas à l'écart des règles de courtoisie habituelles et je ne
tutoie pas les gens qui ne font pas partie de mes amis ou de mes
intimes.
Vous ne répondez pas à ma question.
Un gosse de 8 ans est parfaitement capable de raconter ce qui lui est
arrivé à ses parents, ses enseignants, les gendarmes ou, plus simplement
ses copains ou autres personnes de confiance.
Pourquoi croyez vous donc _vous_ qu'il a "besoin de temps" ?
Serait-ce que vous pensez qu'il doit d'abord oublier et ne s'en souvenir
que grâce à un psy, vers son quarante sixième anniversaire?
Ericetrac wrote:Dominique avait prétendu :Ericetrac wrote:Dominique a pensé très fort :Quant à l'humiliation, on s'en remet, je vous rassure.
Parce que le viol se réduit à une humiliation !
Pour certaines personnes, oui.
Ah oui, tu aurais préféré prendre l'initiative ?
Ça ne marchera pas avec moi, mon petit : je n'ai pas honte et j'ai
dominé le sentiment d'humiliation depuis longtemps.
Je sais qui je suis, je vis avec et je vis bien ma relation avec les
hommes.
Vous, vous en êtes encore aux fantasmes adolescents et aux expériences
acquises aux visionnages de films pornos médiocres.
(...)
Ecoute mémère, ton histoire de viol moins important que quelques
claques,
Coups de poings, mon petit.
Si tu veux.
Si vous voulez, on se rencontre et je vous montre la différence in vivo.
Juste vous me signez une décharge avant : je ne veux pas que vous
portiez plainte contre moi pour violences volontaires, mon petit :-)
Il ne faudrait pas oublier que certains actes de procédure bloquent la
prescription. Il serait fort surprenant qu'il n'y ait pas de procédure,
n'est ce pas ?
Ça vaut aussi pour le gosse violé.
Pourquoi il n'y a pas de procédure avant ?
Le gosse violé a besoin de temps pour pouvoir porter plainte.
Pourquoi?
Parce que pour toi un gosse de 8 ans va aller porter plainte sitôt les
faits terminés ?
Vous ne répondez pas à ma question.
Un gosse de 8 ans est parfaitement capable de raconter ce qui lui est
arrivé à ses parents, ses enseignants, les gendarmes ou, plus simplement
ses copains ou autres personnes de confiance.
Pourquoi croyez vous donc _vous_ qu'il a "besoin de temps" ?
Serait-ce que vous pensez qu'il doit d'abord oublier et ne s'en souvenir
que grâce à un psy, vers son quarante sixième anniversaire?
Ericetrac <bienudefree@free.fr> wrote:
Dominique avait prétendu :
Ericetrac <bienudefree@free.fr> wrote:
Dominique a pensé très fort :
Quant à l'humiliation, on s'en remet, je vous rassure.
Parce que le viol se réduit à une humiliation !
Pour certaines personnes, oui.
Ah oui, tu aurais préféré prendre l'initiative ?
Ça ne marchera pas avec moi, mon petit : je n'ai pas honte et j'ai
dominé le sentiment d'humiliation depuis longtemps.
Je sais qui je suis, je vis avec et je vis bien ma relation avec les
hommes.
Vous, vous en êtes encore aux fantasmes adolescents et aux expériences
acquises aux visionnages de films pornos médiocres.
(...)
Ecoute mémère, ton histoire de viol moins important que quelques
claques,
Coups de poings, mon petit.
Si tu veux.
Si vous voulez, on se rencontre et je vous montre la différence in vivo.
Juste vous me signez une décharge avant : je ne veux pas que vous
portiez plainte contre moi pour violences volontaires, mon petit :-)
Il ne faudrait pas oublier que certains actes de procédure bloquent la
prescription. Il serait fort surprenant qu'il n'y ait pas de procédure,
n'est ce pas ?
Ça vaut aussi pour le gosse violé.
Pourquoi il n'y a pas de procédure avant ?
Le gosse violé a besoin de temps pour pouvoir porter plainte.
Pourquoi?
Parce que pour toi un gosse de 8 ans va aller porter plainte sitôt les
faits terminés ?
Vous ne répondez pas à ma question.
Un gosse de 8 ans est parfaitement capable de raconter ce qui lui est
arrivé à ses parents, ses enseignants, les gendarmes ou, plus simplement
ses copains ou autres personnes de confiance.
Pourquoi croyez vous donc _vous_ qu'il a "besoin de temps" ?
Serait-ce que vous pensez qu'il doit d'abord oublier et ne s'en souvenir
que grâce à un psy, vers son quarante sixième anniversaire?
Ericetrac wrote:Dominique avait prétendu :Ericetrac wrote:Dominique a pensé très fort :Quant à l'humiliation, on s'en remet, je vous rassure.
Parce que le viol se réduit à une humiliation !
Pour certaines personnes, oui.
Ah oui, tu aurais préféré prendre l'initiative ?
Ça ne marchera pas avec moi, mon petit : je n'ai pas honte et j'ai
dominé le sentiment d'humiliation depuis longtemps.
Je sais qui je suis, je vis avec et je vis bien ma relation avec les
hommes.
Vous, vous en êtes encore aux fantasmes adolescents et aux expériences
acquises aux visionnages de films pornos médiocres.
(...)
Ecoute mémère, ton histoire de viol moins important que quelques
claques,
Coups de poings, mon petit.
Si tu veux.
Si vous voulez, on se rencontre et je vous montre la différence in vivo.
Juste vous me signez une décharge avant : je ne veux pas que vous
portiez plainte contre moi pour violences volontaires, mon petit :-)
Il ne faudrait pas oublier que certains actes de procédure bloquent la
prescription. Il serait fort surprenant qu'il n'y ait pas de procédure,
n'est ce pas ?
Ça vaut aussi pour le gosse violé.
Pourquoi il n'y a pas de procédure avant ?
Le gosse violé a besoin de temps pour pouvoir porter plainte.
Pourquoi?
Parce que pour toi un gosse de 8 ans va aller porter plainte sitôt les
faits terminés ?
Vous ne répondez pas à ma question.
Un gosse de 8 ans est parfaitement capable de raconter ce qui lui est
arrivé à ses parents, ses enseignants, les gendarmes ou, plus simplement
ses copains ou autres personnes de confiance.
Pourquoi croyez vous donc _vous_ qu'il a "besoin de temps" ?
Serait-ce que vous pensez qu'il doit d'abord oublier et ne s'en souvenir
que grâce à un psy, vers son quarante sixième anniversaire?
Bonjour,
>"luciole135" a écrit dans le message de groupe de discussion :
>538b1a8e$0$2928$
>Ben oui, la mémoire des personnes âgées, notamment les Alzheimer se
souviennent bien mieux des très vieux souvenirs que de ce qu'ils ont
fait dans la journée.
Non : ils n'apprennent plus, ou quasiment plus les nouvelles informations,
mais la mémoire des anciennes finit aussi par se dégrader, elle ne
s'améliore pas, même si les souvenirs sont souvent remplacés par des
reconstructions qui pourraient faire penser à de vrais souvenirs auprès
d'auditeurs ne connaissant pas le passé réel de ces malades.
Bonjour,
>"luciole135" a écrit dans le message de groupe de discussion :
>538b1a8e$0$2928$426a74cc@news.free.fr...
>Ben oui, la mémoire des personnes âgées, notamment les Alzheimer se
souviennent bien mieux des très vieux souvenirs que de ce qu'ils ont
fait dans la journée.
Non : ils n'apprennent plus, ou quasiment plus les nouvelles informations,
mais la mémoire des anciennes finit aussi par se dégrader, elle ne
s'améliore pas, même si les souvenirs sont souvent remplacés par des
reconstructions qui pourraient faire penser à de vrais souvenirs auprès
d'auditeurs ne connaissant pas le passé réel de ces malades.
Bonjour,
>"luciole135" a écrit dans le message de groupe de discussion :
>538b1a8e$0$2928$
>Ben oui, la mémoire des personnes âgées, notamment les Alzheimer se
souviennent bien mieux des très vieux souvenirs que de ce qu'ils ont
fait dans la journée.
Non : ils n'apprennent plus, ou quasiment plus les nouvelles informations,
mais la mémoire des anciennes finit aussi par se dégrader, elle ne
s'améliore pas, même si les souvenirs sont souvent remplacés par des
reconstructions qui pourraient faire penser à de vrais souvenirs auprès
d'auditeurs ne connaissant pas le passé réel de ces malades.
Après mûre réflexion, Dominique a écrit :
> Vous ne répondez pas à ma question.
> Un gosse de 8 ans est parfaitement capable de raconter ce qui lui est
> arrivé à ses parents, ses enseignants, les gendarmes ou, plus simplement
> ses copains ou autres personnes de confiance.
> Pourquoi croyez vous donc _vous_ qu'il a "besoin de temps" ?
> Serait-ce que vous pensez qu'il doit d'abord oublier et ne s'en souvenir
> que grâce à un psy, vers son quarante sixième anniversaire?
Que voilà un beau discours d'une vieille féministe qui considère que le
viol est le privilège des femmes et se fait des plans sur la comète.
Désolé, ça ne prend pas.
Après mûre réflexion, Dominique a écrit :
> Vous ne répondez pas à ma question.
> Un gosse de 8 ans est parfaitement capable de raconter ce qui lui est
> arrivé à ses parents, ses enseignants, les gendarmes ou, plus simplement
> ses copains ou autres personnes de confiance.
> Pourquoi croyez vous donc _vous_ qu'il a "besoin de temps" ?
> Serait-ce que vous pensez qu'il doit d'abord oublier et ne s'en souvenir
> que grâce à un psy, vers son quarante sixième anniversaire?
Que voilà un beau discours d'une vieille féministe qui considère que le
viol est le privilège des femmes et se fait des plans sur la comète.
Désolé, ça ne prend pas.
Après mûre réflexion, Dominique a écrit :
> Vous ne répondez pas à ma question.
> Un gosse de 8 ans est parfaitement capable de raconter ce qui lui est
> arrivé à ses parents, ses enseignants, les gendarmes ou, plus simplement
> ses copains ou autres personnes de confiance.
> Pourquoi croyez vous donc _vous_ qu'il a "besoin de temps" ?
> Serait-ce que vous pensez qu'il doit d'abord oublier et ne s'en souvenir
> que grâce à un psy, vers son quarante sixième anniversaire?
Que voilà un beau discours d'une vieille féministe qui considère que le
viol est le privilège des femmes et se fait des plans sur la comète.
Désolé, ça ne prend pas.