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Mémoire

248 réponses
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jr
"Je viens porter plainte pour viol dans ma petite enfance, je viens de
m'en souvenir."

"T'es déjà venu hier et avant-hier, papy!"

http://www.leparisien.fr/societe/agressions-sexuelles-le-senat-allonge-a-30-ans-le-delai-de-prescription-28-05-2014-3879395.php
--
http://rouillard.org/bd.jpg

10 réponses

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dmkgbt
jr wrote:

Dominique wrote:
> wrote:

>>> Ça y est, vous avez percuté ou vous allez encore
>>> étaler votre incapacité à lire une phrase simple?
>
>> Alors reprenons votre phrase simple;
>> "La seule justification antique de la qualification
>> spécifique, c'était le risque de grossesse. C'est fini."
>>
>> Hors nous venons de voir que ce risque existe toujours.
>> Paille, poutre ...
>
> Vous n'avez pas compris : il n'y a plus de justification parce qu'on
> s'est rendu compte qu'empêcher des adultes protégés de baiser ensemble
> et d'avoir des enfants était une atteinte intolérable à leurs droits
> d'êtres humains.
> Maintenant, on ne les stérilise plus, on ne leur file plus la pilule, on
> ne les avorte plus sans leur consentement et on les accompagne quand ils
> ont des enfants au lieu de leur enlever dès la naissance pour les mettre
> à la DDASS.

Ouais, quand il s'agit de tares génétiques le résultat n'est pas joli, et
on évite, c'était mon point.



Quel "on" prend la décision d'éviter?

D'une façon ou d'une autre.



Seriez vous pour l'eugénisme imposé par une autorité supérieure aux
futurs parents?

Les quelques
publis expliquant ce que donne le résultat du croisement de telle grave
anomalie avec telle autre sont issues de batifolages en institution.



Personne n'a dit que le résultat était forcément joli mais cela doit-il
mener à l'eugénisme, à la stérilisation forcée des porteurs de tares
génétiques, à l'avortement forcé, à l'abandon forcé?

Quand j'ai choisi de faire un enfant après 40 ans, les augures se sont
abattus sur moi, m'assenant avec délectation les statistiques de
naissance et les histoires d'enfants trisomiques monstrueux et quand
j'ai demandé à faire l'amniocentèse de contrôle, je savais aussi que je
demanderais l'avortement si mon f½tus se révélait porteur du chromosome
en trop alors que d'autres augures (et parfois les mêmes) soutenaient
que je ne devais pas avorter...

Mais je n'aurais pas plus accepté qu'on m'impose cet avortement ou à
l'inverse, qu'on m'oblige à donner naissance à un enfant trisomique.

Et bien pour les gens qui ne sont pas tout à fait comme moi et qui ont
la volonté d'avoir un enfant, je ne vois pas de quel droit je leur
imposerait ma propre décision.

S'ils sont assez capables pour éviter de prendre les contraceptifs qu'on
leur impose, c'est qu'ils sont assez capables pour décider de faire un
enfant :-)


Et personne n'a envie d'être grand-parent de ça.



Quand ils sont nés, qu'ils sont viables, ce ne sont pas des "ça" mais
des enfants...
Et que les grands parents n'aient pas droit à la parole dans ces cas là
me remplit d'aise.

Il y a un ado trisomique qui joue au tennis avec mon fils.
Il ne se définit pas lui-même - et n'est pas défini par les autres -
comme "trisomique" mais comme "ado qui joue au tennis".
Et c'est sa grand-mère qui l'amène au club.

--
Dominique Gobeaut is inside!
(Georges Clooney)
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patrick.1200RTcazaux
luciole135 wrote:

Ben oui, la mémoire des personnes âgées, notamment les Alzheimer se
souviennent bien mieux des très vieux souvenirs que de ce qu'ils ont
fait dans la journée.



Bien mieux ne veut pas forcément dire bien. Il se trouve que la mémoire
immédiate se dégrade avec l'âge. Mais ça n'améliore pas celle des
périodes anciennes. Simplement les personnes âgées y font volontiers
référence et en parlent facilement. Du coup, on a l'impression qu'elles
s'en souviennent bien. Mais qui peut l'attester ? Qui peut dire que ces
souvenirs ne sont pas au moins en partie biaisés et réinventés ? Qui
peut attester que l'oncle Jules avait une moustache avant de partir pour
la guerre et qu'il se l'est rasée en revenant ? Ou au contraire qu'il
l'a toujour eue, ou jamais, ou par périodes ?

De toutes façons, personne ne se souvient, au sens réel de ce mot,
c'est-à-dire en étant capable de restituer plus ou moins fidèlement les
événements, de ce qu'on a vécu, voire subi, à 17 mois. Tout simplement
parce que les neurones sont loin d'être cablés pour cette sorte de
mémoire à cet âge-là. Traumatisme ou pas. Et les souvenirs sous hypnose,
dans ce cas-là, c'est une escroquerie monumentale : on ne peut pas
restituer quelque chose qui ne s'est pas stocké dans la mémoire, tout
simplement. Et ça ne s'est pas stocké car ce n'était pas possible
"techniquement".

L'esprit peut avoir été traumatisé, ça oui, mais certainement pas se
souvenir du traumatisme et de ses circonstances ! Et le traumatisme ne
vient pas du viol en tant que tel, mais de la douleur éventuellement
ressentie, douleur qui n'a rien de différent d'une autre aussi intense.

--
Tardigradus
e^iπ=-1 c'est magnifique
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jr
Le 04/06/2014 07:28, Dominique a écrit :

Ouais, quand il s'agit de tares génétiques le résultat n'est pas joli, et
on évite, c'était mon point.



Quel "on" prend la décision d'éviter?



Ceux qui sont responsables, évidemment.


D'une façon ou d'une autre.



Seriez vous pour l'eugénisme imposé par une autorité supérieure aux
futurs parents?



L'eugénisme n'est un gros mot que contextuellement. Quand on fait passer
des tests aux femmes enceintes de plus de 40 ans, ce n'est pas juste
pour leur pourrir la grossesse avec une mauvaise nouvelle.

Les quelques
publis expliquant ce que donne le résultat du croisement de telle grave
anomalie avec telle autre sont issues de batifolages en institution.



Personne n'a dit que le résultat était forcément joli mais cela doit-il
mener à l'eugénisme, à la stérilisation forcée des porteurs de tares
génétiques, à l'avortement forcé, à l'abandon forcé?



Ce n'est pas la peine de produire du malheur. L'abandon est forcé dans
certains cas, évidemment, sauf à vouloir faire exprès des enfants
sauvages de l'Aveyron. Pour le reste, que ce soit IVG systématique,
contraception implantée, il s'agit bien de stérilisation de fait, comme
l'est d'ailleurs l'enfermement par sexe.
Je vous signale d'ailleurs que la stérilisation chirurgicale est très
encadrée par la loi mais bien prévue par les lois et décrets
(inefficacité ou impossibilité des méthodes contraceptives, "recherche"
du consentement, autorisation du juge des tutelles). Décret n° 2002-779
du 3 mai 2002.

Quand j'ai choisi de faire un enfant après 40 ans, les augures se sont
abattus sur moi, m'assenant avec délectation les statistiques de
naissance et les histoires d'enfants trisomiques monstrueux et quand
j'ai demandé à faire l'amniocentèse de contrôle, je savais aussi que je
demanderais l'avortement si mon f½tus se révélait porteur du chromosome
en trop alors que d'autres augures (et parfois les mêmes) soutenaient
que je ne devais pas avorter...



Eugénisme.

Mais je n'aurais pas plus accepté qu'on m'impose cet avortement ou à
l'inverse, qu'on m'oblige à donner naissance à un enfant trisomique.



Mais vous n'étiez pas incapable sous tutelle.

Il y a un ado trisomique qui joue au tennis avec mon fils.
Il ne se définit pas lui-même - et n'est pas défini par les autres -
comme "trisomique" mais comme "ado qui joue au tennis".
Et c'est sa grand-mère qui l'amène au club.



Je parle de la génération suivante.


--
jr
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Ericetrac
Le 04/06/2014, Dominique a supposé :
Ericetrac wrote:

Après mûre réflexion, Dominique a écrit :



(voilà : "après mûre réflexion" :-D)



Ben oui, c'est révélateur, un scénario ça se travaille.



Vous ne répondez pas à ma question.
Un gosse de 8 ans est parfaitement capable de raconter ce qui lui est
arrivé à ses parents, ses enseignants, les gendarmes ou, plus simplement
ses copains ou autres personnes de confiance.
Pourquoi croyez vous donc _vous_ qu'il a "besoin de temps" ?
Serait-ce que vous pensez qu'il doit d'abord oublier et ne s'en souvenir
que grâce à un psy, vers son quarante sixième anniversaire?



Que voilà un beau discours d'une vieille féministe qui considère que le
viol est le privilège des femmes et se fait des plans sur la comète.



Ce n'est pas en affirmant, contre toute évidence pour ceux qui me
liesent _vraiment_, que j'ai dit ou pensé des choses bizarres ou
incorrectes que vous allez convaincre devant un tribunal ou l'Assemblée
Nationale, mon petit.



Ecoute, mémère, ça m'étonnerait vraiment que l'Assemblée nationale
s'intéresse à ton cas.


Désolé, ça ne prend pas.



Non, les raisonnements en forme de mantras comme vos affirmations
dénuées de toute réalité, ça ne marche pas.
Vous avez encore beaucoup à apprendre, mon petit.



Quelles affirmations ?


Pas sur les femmes, non.
Sur vous même :-)



Paille, poutre...
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luciole135
Le 04/06/2014 07:44, Tardigradus a écrit :
luciole135 wrote:

Ben oui, la mémoire des personnes âgées, notamment les Alzheimer se
souviennent bien mieux des très vieux souvenirs que de ce qu'ils ont
fait dans la journée.



Bien mieux ne veut pas forcément dire bien. Il se trouve que la mémoire
immédiate se dégrade avec l'âge. Mais ça n'améliore pas celle des
périodes anciennes. Simplement les personnes âgées y font volontiers
référence et en parlent facilement. Du coup, on a l'impression qu'elles
s'en souviennent bien. Mais qui peut l'attester ? Qui peut dire que ces
souvenirs ne sont pas au moins en partie biaisés et réinventés ? Qui
peut attester que l'oncle Jules avait une moustache avant de partir pour
la guerre et qu'il se l'est rasée en revenant ? Ou au contraire qu'il
l'a toujour eue, ou jamais, ou par périodes ?

De toutes façons, personne ne se souvient, au sens réel de ce mot,
c'est-à-dire en étant capable de restituer plus ou moins fidèlement les
événements, de ce qu'on a vécu, voire subi, à 17 mois. Tout simplement
parce que les neurones sont loin d'être cablés pour cette sorte de
mémoire à cet âge-là. Traumatisme ou pas. Et les souvenirs sous hypnose,
dans ce cas-là, c'est une escroquerie monumentale : on ne peut pas
restituer quelque chose qui ne s'est pas stocké dans la mémoire, tout
simplement. Et ça ne s'est pas stocké car ce n'était pas possible
"techniquement".

L'esprit peut avoir été traumatisé, ça oui, mais certainement pas se
souvenir du traumatisme et de ses circonstances ! Et le traumatisme ne
vient pas du viol en tant que tel, mais de la douleur éventuellement
ressentie, douleur qui n'a rien de différent d'une autre aussi intense.




Qui a parlé de souvenir sous hypnose ?

--
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additifs du tabac
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luciole135
Le 04/06/2014 07:28, Dominique a écrit :
Bernard Guérin wrote:

Bonjour,

"luciole135" a écrit dans le message de groupe de discussion :
538b1a8e$0$2928$



Ben oui, la mémoire des personnes âgées, notamment les Alzheimer se


souviennent bien mieux des très vieux souvenirs que de ce qu'ils ont
fait dans la journée.

Non : ils n'apprennent plus, ou quasiment plus les nouvelles informations,
mais la mémoire des anciennes finit aussi par se dégrader, elle ne
s'améliore pas, même si les souvenirs sont souvent remplacés par des
reconstructions qui pourraient faire penser à de vrais souvenirs auprès
d'auditeurs ne connaissant pas le passé réel de ces malades.



Je confirme : il y a plus de faux souvenirs reconstruits que de
souvenirs réels du passé des malades d'Alzheimer dans une phase avancée
(c'est à dire quand ils n'ont plus conscience d'être malades).
J'en ai eu la preuve en écoutant ma mère "reconstruire" ainsi des
événements auxquels j'avais personnellement pris part.
C'est d'ailleurs ce qui est très frustrant pour les proches car il est
inutile voire nocif d'essayer de rectifier ce passé : ça ne fait que
créer plus de confusion et générer la colère de la personne malade :-(





La différence, c'est que ces souvenirs là ne sont pas des souvenirs
traumatiques.

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Bernard Guérin
Bonjour,

"luciole135" a écrit dans le message de groupe de discussion :
5388b652$0$3640$

Si vous en aviez vous sauriez que ce que dit cette femme est extrêmement
fréquent parmi les "fous", nombre de malades psychiatriques ne sont en
réalité que des abusés et/ou battus.



Mais aussi, beaucoup se construisent une telle histoire parce qu'elle est
plus facilement acceptable par leur esprit que de prendre conscience qu'ils
n'ont rien fait de leur vie sans véritable raison.

Pour arriver à des décisions logiques concernant la vie et les lois, il faut
commencer par avoir la logique de ne pas trop se baser sur des discours de
personnes malades manquant de logique.

Bernard
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Bernard Guérin
Bonjour,

Elle a certainement vécue ce qu'elle raconte puisqu'elle a vécue à nouveau
les faits lors des souvenirs. Ceux qui délirent ne revivent pas le faits.



Bien sûr que si, il y a de très nombreux malades psychiatriques qui se
construisent complètement un passé, et même un présent, et ont un discours
tellement cohérents qu'ils trompent tout l'entourage, et parfois même le
psychiatre. Je me souviens d'un patient pour lequel plusieurs séances
avaient été nécessaires avant que l'équipe ne suggère au psychiatre que
l'histoire racontée par le patient ressemblait vraiment beaucoup à un film,
et nous avions fini par trouver le film en question, et petit à petit
modifier notre compréhension de ce que racontait ce malade.

J'ai suivi de loin ce procès et je constate que l'une des victimes avérées
dit que justice n'a pas été rendue. De plus, que cette victime se retrouve
SDF a 18 ans, accusé par les défenseurs de la liberté de toutes les
perversité est une monstruosité.
De part son vécu, il devrait bénéficier d'une indemnité (chômage, handicap,
ou autre) à vie.



Et s'il a tout inventé, ça suffit pour décider de le faire vivre
définitivement à la charge de la société, sans preuve ? Je sens que vous
allez donner des idées à un certain nombres de fainéants.

Bernard
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dmkgbt
Bernard Guérin wrote:

Bonjour,

>Elle a certainement vécue ce qu'elle raconte puisqu'elle a vécue à nouveau
>les faits lors des souvenirs. Ceux qui délirent ne revivent pas le faits.

Bien sûr que si, il y a de très nombreux malades psychiatriques qui se
construisent complètement un passé, et même un présent, et ont un discours
tellement cohérents qu'ils trompent tout l'entourage, et parfois même le
psychiatre. Je me souviens d'un patient pour lequel plusieurs séances
avaient été nécessaires avant que l'équipe ne suggère au psychiatre que
l'histoire racontée par le patient ressemblait vraiment beaucoup à un film,
et nous avions fini par trouver le film en question, et petit à petit
modifier notre compréhension de ce que racontait ce malade.



Sans aller jusqu'aux cas psychiatriques les plus graves, qui n'a pas
vécu avec un manipulateur narcissique ou rencontré un mythomane n'a
aucune idée de combien une histoire inventée de toutes pièces peut
paraître logique et crédible :-(
Et quand on voit ce que peuvent croire les victimes d'arnaques dites
"africaines" sur Internet, on n'a plus aucun doute sur le danger des
belles histoires édifiantes mais sans aucune preuve tangible.


>J'ai suivi de loin ce procès et je constate que l'une des victimes avérées
>dit que justice n'a pas été rendue. De plus, que cette victime se retrouve
>SDF a 18 ans, accusé par les défenseurs de la liberté de toutes les
>perversité est une monstruosité.
>De part son vécu, il devrait bénéficier d'une indemnité (chômage, handicap,
>ou autre) à vie.

Et s'il a tout inventé, ça suffit pour décider de le faire vivre
définitivement à la charge de la société, sans preuve ? Je sens que vous
allez donner des idées à un certain nombres de fainéants.



Moi, ce qui me fait le plus marrer chez votre interlocuteur, c'est qu'il
n'accorde probablement aucune pensée ni même un regard à ce qui a amené
le clochard d'en bas de chez lui dans la rue et que, face à un ivrogne
sale et braillard, il aura plutôt tendance à le classer dans les
violeurs que dans les violés-dans-leur-enfance-qui-ont-oublié...

--
Dominique Gobeaut is inside!
(Georges Clooney)
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luciole135
Le 04/06/2014 09:00, Bernard Guérin a écrit :
Bonjour,

Elle a certainement vécue ce qu'elle raconte puisqu'elle a vécue à
nouveau les faits lors des souvenirs. Ceux qui délirent ne revivent
pas le faits.



Bien sûr que si, il y a de très nombreux malades psychiatriques qui se
construisent complètement un passé, et même un présent, et ont un
discours tellement cohérents qu'ils trompent tout l'entourage, et
parfois même le psychiatre. Je me souviens d'un patient pour lequel
plusieurs séances avaient été nécessaires avant que l'équipe ne suggère
au psychiatre que l'histoire racontée par le patient ressemblait
vraiment beaucoup à un film, et nous avions fini par trouver le film en
question, et petit à petit modifier notre compréhension de ce que
racontait ce malade.




Mais bien sûr, ils sont devenus fous par hasard. Comment expliquez-vous
que l'on ne trouve pas trace de folie dans les tribus indigènes d'Amazonie ?

J'ai suivi de loin ce procès et je constate que l'une des victimes
avérées dit que justice n'a pas été rendue. De plus, que cette victime
se retrouve SDF a 18 ans, accusé par les défenseurs de la liberté de
toutes les perversité est une monstruosité.
De part son vécu, il devrait bénéficier d'une indemnité (chômage,
handicap, ou autre) à vie.



Et s'il a tout inventé, ça suffit pour décider de le faire vivre
définitivement à la charge de la société, sans preuve ?



Mais bien sûr, ses parents ont été condamnés pour prostitution infantile
sans qu'un seul client ne soit retrouvé et le gamin qui désigne les
clients forcement ment.

Je sens que vous
allez donner des idées à un certain nombres de fainéants.





Ce n'est pas une allocation adulte handicapé qui va en faire un
fainéant. C'est le fait de nier sa souffrance et son vécu qui l'empêche
de pouvoir vivre autre chose. En niant sa parole, vous l'assassinez.

--
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