Cette photo pose un vrai problème. D'un côté, la place apparemment exagérée accordée aux rails perturbe l'impression esthétique que l'on en retire, De l'autre, si l'on réduit, voire supprime ces rails, la photo perd tout son intérêt. Enfin, la symétrie excessive, absolument irrattrapable, génère un ennui chronique, augmenté par le faible nombre de personnages. Il s'agit donc d'une de ces très rares photos qui, quoi qu'on fasse, ne peut aucunement être améliorée.
Tiens, une autre photo de vacances pour vous faire honte à tous!
http://cjoint.com/?CBkePC85aTR
Cette photo pose un vrai problème.
D'un côté, la place apparemment exagérée accordée aux rails perturbe
l'impression esthétique que l'on en retire,
De l'autre, si l'on réduit, voire supprime ces rails, la photo perd tout
son intérêt.
Enfin, la symétrie excessive, absolument irrattrapable, génère un ennui
chronique, augmenté par le faible nombre de personnages.
Il s'agit donc d'une de ces très rares photos qui, quoi qu'on fasse, ne
peut aucunement être améliorée.
Pour un exemple de photo de métro ne présentant aucun de ces défauts,
voir ci-après :
http://cjoint.com/13fe/CBkldPFSQWA_pb063726.jpg
Cette photo pose un vrai problème. D'un côté, la place apparemment exagérée accordée aux rails perturbe l'impression esthétique que l'on en retire, De l'autre, si l'on réduit, voire supprime ces rails, la photo perd tout son intérêt. Enfin, la symétrie excessive, absolument irrattrapable, génère un ennui chronique, augmenté par le faible nombre de personnages. Il s'agit donc d'une de ces très rares photos qui, quoi qu'on fasse, ne peut aucunement être améliorée.
Cette photo pose un vrai problème. D'un côté, la place apparemment exagérée accordée aux rails perturbe l'impression esthétique que l'on en retire,
Pas du tout. Une photo est un choix, enfin, résulte de choix.
Quand on attend son métro, face au quai adverse, ce qui est marquant, parfois et en fonction de l'humeur, c'est bien ce gouffre entre "nous" et "eux".
Ce choix est inhabituel, mais faut changer un peu... imagine un culturiste qui se muscle le bras en touillant un yaourt, ça c'est un oeil neuf !
De l'autre, si l'on réduit, voire supprime ces rails, la photo perd tout son intérêt. Enfin, la symétrie excessive, absolument irrattrapable, génère un ennui chronique, augmenté par le faible nombre de personnages.
La symétrie est sans doute ici aussi un choix. cette arrivée d'escaliers perpendiculairement directement sur le quai est assez rare, et cette symétrie des lieux aussi. Disons qu'il s'agit d'une station peu habituelle, regarde de façon non GR-esque.
C'est légal.
Il s'agit donc d'une de ces très rares photos qui, quoi qu'on fasse, ne peut aucunement être améliorée.
Si, elle pourrait être nette, mais elle n'est pas si mal composée, et pas affublée d'un bokeh à l'allure extra-terrestre comme certains pauvres rouge-gorges gonflés d'une façon médiocrement esthétique par le froid.
Oui, beaucoup plus banale, et floue également, bien que la floutitude du personnage au premier plan ne soit pas génante.
Quel provo, ce GR !!:-)
Ghost-Rider a écrit :
Le 10/02/2013 04:52, PiLS a écrit :
Tiens, une autre photo de vacances pour vous faire honte à tous!
http://cjoint.com/?CBkePC85aTR
Cette photo pose un vrai problème.
D'un côté, la place apparemment exagérée accordée aux rails perturbe
l'impression esthétique que l'on en retire,
Pas du tout. Une photo est un choix, enfin, résulte de choix.
Quand on attend son métro, face au quai adverse, ce qui est marquant,
parfois et en fonction de l'humeur, c'est bien ce gouffre entre "nous"
et "eux".
Ce choix est inhabituel, mais faut changer un peu... imagine un
culturiste qui se muscle le bras en touillant un yaourt, ça c'est un
oeil neuf !
De l'autre, si l'on réduit, voire supprime ces rails, la photo perd tout
son intérêt.
Enfin, la symétrie excessive, absolument irrattrapable, génère un ennui
chronique, augmenté par le faible nombre de personnages.
La symétrie est sans doute ici aussi un choix. cette arrivée d'escaliers
perpendiculairement directement sur le quai est assez rare, et cette
symétrie des lieux aussi. Disons qu'il s'agit d'une station peu
habituelle, regarde de façon non GR-esque.
C'est légal.
Il s'agit donc d'une de ces très rares photos qui, quoi qu'on fasse, ne
peut aucunement être améliorée.
Si, elle pourrait être nette, mais elle n'est pas si mal composée, et
pas affublée d'un bokeh à l'allure extra-terrestre comme certains
pauvres rouge-gorges gonflés d'une façon médiocrement esthétique par le
froid.
Pour un exemple de photo de métro ne présentant aucun de ces défauts,
voir ci-après :
http://cjoint.com/13fe/CBkldPFSQWA_pb063726.jpg
Oui, beaucoup plus banale, et floue également, bien que la floutitude du
personnage au premier plan ne soit pas génante.
Cette photo pose un vrai problème. D'un côté, la place apparemment exagérée accordée aux rails perturbe l'impression esthétique que l'on en retire,
Pas du tout. Une photo est un choix, enfin, résulte de choix.
Quand on attend son métro, face au quai adverse, ce qui est marquant, parfois et en fonction de l'humeur, c'est bien ce gouffre entre "nous" et "eux".
Ce choix est inhabituel, mais faut changer un peu... imagine un culturiste qui se muscle le bras en touillant un yaourt, ça c'est un oeil neuf !
De l'autre, si l'on réduit, voire supprime ces rails, la photo perd tout son intérêt. Enfin, la symétrie excessive, absolument irrattrapable, génère un ennui chronique, augmenté par le faible nombre de personnages.
La symétrie est sans doute ici aussi un choix. cette arrivée d'escaliers perpendiculairement directement sur le quai est assez rare, et cette symétrie des lieux aussi. Disons qu'il s'agit d'une station peu habituelle, regarde de façon non GR-esque.
C'est légal.
Il s'agit donc d'une de ces très rares photos qui, quoi qu'on fasse, ne peut aucunement être améliorée.
Si, elle pourrait être nette, mais elle n'est pas si mal composée, et pas affublée d'un bokeh à l'allure extra-terrestre comme certains pauvres rouge-gorges gonflés d'une façon médiocrement esthétique par le froid.
Cette photo pose un vrai problème. D'un côté, la place apparemment exagérée accordée aux rails perturbe l'impression esthétique que l'on en retire,
Pas du tout. Une photo est un choix, enfin, résulte de choix.
Oui, mais là, on va si loin qu'on ne va nulle part. Quand on a passé les bornes, y'a plus de limites (Proverbe chinois). Ceci en est un bel exemple, je crois être assez clair.
Quand on attend son métro, face au quai adverse, ce qui est marquant, parfois et en fonction de l'humeur, c'est bien ce gouffre entre "nous" et "eux".
Tiens, je n'ai jamais eu cette impression, sans doute parce je suis infiniment empathique et que quand je les vois "eux", je me vois moi-même.
Ce choix est inhabituel, mais faut changer un peu... imagine un culturiste qui se muscle le bras en touillant un yaourt, ça c'est un oeil neuf !
C'est une scène impossible, d'abord parce que l'effort serait trop faible et aussi parce qu'un "vrai" culturiste ne met pas de sucre dans son yaourt.
De l'autre, si l'on réduit, voire supprime ces rails, la photo perd tout son intérêt. Enfin, la symétrie excessive, absolument irrattrapable, génère un ennui chronique, augmenté par le faible nombre de personnages.
La symétrie est sans doute ici aussi un choix. cette arrivée d'escaliers perpendiculairement directement sur le quai est assez rare, et cette symétrie des lieux aussi. Disons qu'il s'agit d'une station peu habituelle, regarde de façon non GR-esque.
Oui, ce double-escalier est curieux. Il m'a immédiatement rappelé l'escalier double de la maison de Chateaubriand à Châtenay-Malabry, que tout le monde connait. Un lien intéressant : http://bonheurdelire.over-blog.com/article-30268465.html
Cependant ce qui m'a tout-de suite interpellé c'est l'attitude des deux personnages : l'homme sûr de lui, bien planté sur ses deux jambes, en léger retrait vis-à-vis de la femme qui est penchée vers lui, les pointes de pied convergentes. On en apprend ainsi beaucoup sur leur relation.
Mais il convient aussi de noter que la formation professionnelle du personnel du métro de Montréal semble défaillante. Il est en effet anormal de constater qu'un des tubes d’éclairage a une température de couleur différente de celle des autres, ce qui peut occasionner migraines et problèmes ophtalmologiques chez les voyageurs.
Enfin, je ne dis rien des murs en briques non peintes de couleur claire qui donneraient des envies de suicide à n'importe qui.
C'est légal.
Qu'est-ce qui est légal ?
Il s'agit donc d'une de ces très rares photos qui, quoi qu'on fasse, ne peut aucunement être améliorée.
Si, elle pourrait être nette, mais elle n'est pas si mal composée, et pas affublée d'un bokeh à l'allure extra-terrestre comme certains pauvres rouge-gorges gonflés d'une façon médiocrement esthétique par le froid.
Oui, mais si on compare mon rouge-gorge et cette vue du métro, qui effectivement ont de très nombreux points communs, pas nécessairement immédiatement visibles, on ne peut s'empêcher de remarquer que mon rouge-gorge ébouriffe ses plumes pour se protéger du froid, ce qui montre qu'il a compris les propriétés isolantes de l'air, alors que les deux voyageurs se couvrent de vêtements qui montrent qu'eux ne l'ont pas encore comprise, alors qu'ils pourraient fort bien ébouriffer leurs toisons pour bien moins cher. Il en résulte que sur le plan de l'intelligence adaptative, le rouge-gorge est bien plus avancé que l'homo *sapiens* (sic).
Oui, beaucoup plus banale, et floue également, bien que la floutitude du personnage au premier plan ne soit pas génante.
Elle est même recherchée, pour donner plus de profondeur à l'Oeuvre.
Quel provo, ce GR !!:-)
Quelle réputation on me fait alors que je tiens ce forum à bouts de bras !
Le 10/02/2013 12:12, markorki a écrit :
Ghost-Rider a écrit :
Le 10/02/2013 04:52, PiLS a écrit :
Tiens, une autre photo de vacances pour vous faire honte à tous!
http://cjoint.com/?CBkePC85aTR
Cette photo pose un vrai problème.
D'un côté, la place apparemment exagérée accordée aux rails perturbe
l'impression esthétique que l'on en retire,
Pas du tout. Une photo est un choix, enfin, résulte de choix.
Oui, mais là, on va si loin qu'on ne va nulle part. Quand on a passé les
bornes, y'a plus de limites (Proverbe chinois). Ceci en est un bel
exemple, je crois être assez clair.
Quand on attend son métro, face au quai adverse, ce qui est marquant,
parfois et en fonction de l'humeur, c'est bien ce gouffre entre "nous"
et "eux".
Tiens, je n'ai jamais eu cette impression, sans doute parce je suis
infiniment empathique et que quand je les vois "eux", je me vois moi-même.
Ce choix est inhabituel, mais faut changer un peu... imagine un
culturiste qui se muscle le bras en touillant un yaourt, ça c'est un
oeil neuf !
C'est une scène impossible, d'abord parce que l'effort serait trop
faible et aussi parce qu'un "vrai" culturiste ne met pas de sucre dans
son yaourt.
De l'autre, si l'on réduit, voire supprime ces rails, la photo perd tout
son intérêt.
Enfin, la symétrie excessive, absolument irrattrapable, génère un ennui
chronique, augmenté par le faible nombre de personnages.
La symétrie est sans doute ici aussi un choix. cette arrivée d'escaliers
perpendiculairement directement sur le quai est assez rare, et cette
symétrie des lieux aussi. Disons qu'il s'agit d'une station peu
habituelle, regarde de façon non GR-esque.
Oui, ce double-escalier est curieux. Il m'a immédiatement rappelé
l'escalier double de la maison de Chateaubriand à Châtenay-Malabry, que
tout le monde connait.
Un lien intéressant :
http://bonheurdelire.over-blog.com/article-30268465.html
Cependant ce qui m'a tout-de suite interpellé c'est l'attitude des deux
personnages : l'homme sûr de lui, bien planté sur ses deux jambes, en
léger retrait vis-à-vis de la femme qui est penchée vers lui, les
pointes de pied convergentes. On en apprend ainsi beaucoup sur leur
relation.
Mais il convient aussi de noter que la formation professionnelle du
personnel du métro de Montréal semble défaillante. Il est en effet
anormal de constater qu'un des tubes d’éclairage a une température de
couleur différente de celle des autres, ce qui peut occasionner
migraines et problèmes ophtalmologiques chez les voyageurs.
Enfin, je ne dis rien des murs en briques non peintes de couleur claire
qui donneraient des envies de suicide à n'importe qui.
C'est légal.
Qu'est-ce qui est légal ?
Il s'agit donc d'une de ces très rares photos qui, quoi qu'on fasse, ne
peut aucunement être améliorée.
Si, elle pourrait être nette, mais elle n'est pas si mal composée, et
pas affublée d'un bokeh à l'allure extra-terrestre comme certains
pauvres rouge-gorges gonflés d'une façon médiocrement esthétique par le
froid.
Oui, mais si on compare mon rouge-gorge et cette vue du métro, qui
effectivement ont de très nombreux points communs, pas nécessairement
immédiatement visibles, on ne peut s'empêcher de remarquer que mon
rouge-gorge ébouriffe ses plumes pour se protéger du froid, ce qui
montre qu'il a compris les propriétés isolantes de l'air, alors que les
deux voyageurs se couvrent de vêtements qui montrent qu'eux ne l'ont pas
encore comprise, alors qu'ils pourraient fort bien ébouriffer leurs
toisons pour bien moins cher.
Il en résulte que sur le plan de l'intelligence adaptative, le
rouge-gorge est bien plus avancé que l'homo *sapiens* (sic).
Pour un exemple de photo de métro ne présentant aucun de ces défauts,
voir ci-après :
http://cjoint.com/13fe/CBkldPFSQWA_pb063726.jpg
Oui, beaucoup plus banale, et floue également, bien que la floutitude du
personnage au premier plan ne soit pas génante.
Elle est même recherchée, pour donner plus de profondeur à l'Oeuvre.
Quel provo, ce GR !!:-)
Quelle réputation on me fait alors que je tiens ce forum à bouts de bras !
Cette photo pose un vrai problème. D'un côté, la place apparemment exagérée accordée aux rails perturbe l'impression esthétique que l'on en retire,
Pas du tout. Une photo est un choix, enfin, résulte de choix.
Oui, mais là, on va si loin qu'on ne va nulle part. Quand on a passé les bornes, y'a plus de limites (Proverbe chinois). Ceci en est un bel exemple, je crois être assez clair.
Quand on attend son métro, face au quai adverse, ce qui est marquant, parfois et en fonction de l'humeur, c'est bien ce gouffre entre "nous" et "eux".
Tiens, je n'ai jamais eu cette impression, sans doute parce je suis infiniment empathique et que quand je les vois "eux", je me vois moi-même.
Ce choix est inhabituel, mais faut changer un peu... imagine un culturiste qui se muscle le bras en touillant un yaourt, ça c'est un oeil neuf !
C'est une scène impossible, d'abord parce que l'effort serait trop faible et aussi parce qu'un "vrai" culturiste ne met pas de sucre dans son yaourt.
De l'autre, si l'on réduit, voire supprime ces rails, la photo perd tout son intérêt. Enfin, la symétrie excessive, absolument irrattrapable, génère un ennui chronique, augmenté par le faible nombre de personnages.
La symétrie est sans doute ici aussi un choix. cette arrivée d'escaliers perpendiculairement directement sur le quai est assez rare, et cette symétrie des lieux aussi. Disons qu'il s'agit d'une station peu habituelle, regarde de façon non GR-esque.
Oui, ce double-escalier est curieux. Il m'a immédiatement rappelé l'escalier double de la maison de Chateaubriand à Châtenay-Malabry, que tout le monde connait. Un lien intéressant : http://bonheurdelire.over-blog.com/article-30268465.html
Cependant ce qui m'a tout-de suite interpellé c'est l'attitude des deux personnages : l'homme sûr de lui, bien planté sur ses deux jambes, en léger retrait vis-à-vis de la femme qui est penchée vers lui, les pointes de pied convergentes. On en apprend ainsi beaucoup sur leur relation.
Mais il convient aussi de noter que la formation professionnelle du personnel du métro de Montréal semble défaillante. Il est en effet anormal de constater qu'un des tubes d’éclairage a une température de couleur différente de celle des autres, ce qui peut occasionner migraines et problèmes ophtalmologiques chez les voyageurs.
Enfin, je ne dis rien des murs en briques non peintes de couleur claire qui donneraient des envies de suicide à n'importe qui.
C'est légal.
Qu'est-ce qui est légal ?
Il s'agit donc d'une de ces très rares photos qui, quoi qu'on fasse, ne peut aucunement être améliorée.
Si, elle pourrait être nette, mais elle n'est pas si mal composée, et pas affublée d'un bokeh à l'allure extra-terrestre comme certains pauvres rouge-gorges gonflés d'une façon médiocrement esthétique par le froid.
Oui, mais si on compare mon rouge-gorge et cette vue du métro, qui effectivement ont de très nombreux points communs, pas nécessairement immédiatement visibles, on ne peut s'empêcher de remarquer que mon rouge-gorge ébouriffe ses plumes pour se protéger du froid, ce qui montre qu'il a compris les propriétés isolantes de l'air, alors que les deux voyageurs se couvrent de vêtements qui montrent qu'eux ne l'ont pas encore comprise, alors qu'ils pourraient fort bien ébouriffer leurs toisons pour bien moins cher. Il en résulte que sur le plan de l'intelligence adaptative, le rouge-gorge est bien plus avancé que l'homo *sapiens* (sic).