ExtrêmeAchillès a écrit :
> ce n'est pas grave. nous parlons de façon générale de toute faç on
> puisque nous n'avons pas accès au dosier en cours de constitution.
> mais je voudrais en revenir à un principe de logique:
> si une seule proposition est fausse, rien ne peut être tenu pour vrai
> dans les propositions.
> Le procureur dit qu'il a exploré TOUTES les pistes pour arriver à s a
> vérité.
> OK, admettons.
> Roland Garcia nous dit:
> "Qu'un politique ait tendance à exploiter l'actualité quand sa peut
> servir ses idées est une évidence, ça démontre tout sauf un com plot. "
> Si l'actualité (un fait qui n'est pas encore jugé dans ce cas) peut
> être exploitée, c'est qu'il y a intérêt à le faire et donc s' il y a
> intérêt, il existe bien un mobile.
> Il existe en plus des antécédents ou "l'actualité" avait été fabriquée
> par l'état pour ses intérêts.
> Donc le Procureur se devait, lui qui prétend avoir exploré toutes l es
> pistes dans ses déclarations, d'explorer celle d'une crime "fabriqu é"
> par l'état pour ses intérêts.
> Il ne l'a visiblement pas fait. Tout devient donc faux.
> L'adn, les déclarations de la compagne après 24h de garde à vue,
> etc...ne sont plus du tout des preuves si l'on suspecte l'état
> puisqu'il avait intérêt à se les fabriquer "irréfutables". Et d ès que
> l'on gratte un peu...
Le problème est que la question de routine "Cherche à qui le crime
profite" fournit des indices et des pistes, mais pas de preuves. En tout
cas, ici pas encore.
Le focus est revenu en 2007 sur l'incendie du Reichstag.
Depuis ma jeunesse, informé par la pièce de Bertold Brecht, la cause
était entendue : ce sont les nazis qui ont organisé cet incendie. M ême
que quelques décennies plus tard, on nous disait comment : IG Farben
fournissait le pyrophore retard.
Voilà maintenant qu'on nous explique que non, Luebke aurait vraiment été
un chtarbé qui se serait imaginé faire peuvre utile ainsi. Exactement
comme le chtarbé qui a descendu Bousquet quelques mois avant qu'on le
juge. Il était rapporté qu'un pas tendre, Heydrich si mes souvenirs s ont
exacts, aurait trouvé le ministère de Goering comme une maison de fou s,
dirigée par un fou. Quelques heures d'excitation plus tard, sont tomb ées
toutes ces lois d'exception pour exploiter cet incendie par une
répression sans précédent contre les communistes, incendaires pré tendus.
Je ne suis pas en mesure de valider cette nouvelle version. Mais voilà,
elle est elle aussi dans le paysage, désormais.
Ils ne l'auraient donc pas incendié eux-mêmes, ils ne l'auraient pas
prévu, mais ont su l'exploiter à outrance.
--http://deonto-famille.org/citoyens/debattre/
ExtrêmeAchillès a écrit :
> ce n'est pas grave. nous parlons de façon générale de toute faç on
> puisque nous n'avons pas accès au dosier en cours de constitution.
> mais je voudrais en revenir à un principe de logique:
> si une seule proposition est fausse, rien ne peut être tenu pour vrai
> dans les propositions.
> Le procureur dit qu'il a exploré TOUTES les pistes pour arriver à s a
> vérité.
> OK, admettons.
> Roland Garcia nous dit:
> "Qu'un politique ait tendance à exploiter l'actualité quand sa peut
> servir ses idées est une évidence, ça démontre tout sauf un com plot. "
> Si l'actualité (un fait qui n'est pas encore jugé dans ce cas) peut
> être exploitée, c'est qu'il y a intérêt à le faire et donc s' il y a
> intérêt, il existe bien un mobile.
> Il existe en plus des antécédents ou "l'actualité" avait été fabriquée
> par l'état pour ses intérêts.
> Donc le Procureur se devait, lui qui prétend avoir exploré toutes l es
> pistes dans ses déclarations, d'explorer celle d'une crime "fabriqu é"
> par l'état pour ses intérêts.
> Il ne l'a visiblement pas fait. Tout devient donc faux.
> L'adn, les déclarations de la compagne après 24h de garde à vue,
> etc...ne sont plus du tout des preuves si l'on suspecte l'état
> puisqu'il avait intérêt à se les fabriquer "irréfutables". Et d ès que
> l'on gratte un peu...
Le problème est que la question de routine "Cherche à qui le crime
profite" fournit des indices et des pistes, mais pas de preuves. En tout
cas, ici pas encore.
Le focus est revenu en 2007 sur l'incendie du Reichstag.
Depuis ma jeunesse, informé par la pièce de Bertold Brecht, la cause
était entendue : ce sont les nazis qui ont organisé cet incendie. M ême
que quelques décennies plus tard, on nous disait comment : IG Farben
fournissait le pyrophore retard.
Voilà maintenant qu'on nous explique que non, Luebke aurait vraiment été
un chtarbé qui se serait imaginé faire peuvre utile ainsi. Exactement
comme le chtarbé qui a descendu Bousquet quelques mois avant qu'on le
juge. Il était rapporté qu'un pas tendre, Heydrich si mes souvenirs s ont
exacts, aurait trouvé le ministère de Goering comme une maison de fou s,
dirigée par un fou. Quelques heures d'excitation plus tard, sont tomb ées
toutes ces lois d'exception pour exploiter cet incendie par une
répression sans précédent contre les communistes, incendaires pré tendus.
Je ne suis pas en mesure de valider cette nouvelle version. Mais voilà,
elle est elle aussi dans le paysage, désormais.
Ils ne l'auraient donc pas incendié eux-mêmes, ils ne l'auraient pas
prévu, mais ont su l'exploiter à outrance.
--http://deonto-famille.org/citoyens/debattre/
ExtrêmeAchillès a écrit :
> ce n'est pas grave. nous parlons de façon générale de toute faç on
> puisque nous n'avons pas accès au dosier en cours de constitution.
> mais je voudrais en revenir à un principe de logique:
> si une seule proposition est fausse, rien ne peut être tenu pour vrai
> dans les propositions.
> Le procureur dit qu'il a exploré TOUTES les pistes pour arriver à s a
> vérité.
> OK, admettons.
> Roland Garcia nous dit:
> "Qu'un politique ait tendance à exploiter l'actualité quand sa peut
> servir ses idées est une évidence, ça démontre tout sauf un com plot. "
> Si l'actualité (un fait qui n'est pas encore jugé dans ce cas) peut
> être exploitée, c'est qu'il y a intérêt à le faire et donc s' il y a
> intérêt, il existe bien un mobile.
> Il existe en plus des antécédents ou "l'actualité" avait été fabriquée
> par l'état pour ses intérêts.
> Donc le Procureur se devait, lui qui prétend avoir exploré toutes l es
> pistes dans ses déclarations, d'explorer celle d'une crime "fabriqu é"
> par l'état pour ses intérêts.
> Il ne l'a visiblement pas fait. Tout devient donc faux.
> L'adn, les déclarations de la compagne après 24h de garde à vue,
> etc...ne sont plus du tout des preuves si l'on suspecte l'état
> puisqu'il avait intérêt à se les fabriquer "irréfutables". Et d ès que
> l'on gratte un peu...
Le problème est que la question de routine "Cherche à qui le crime
profite" fournit des indices et des pistes, mais pas de preuves. En tout
cas, ici pas encore.
Le focus est revenu en 2007 sur l'incendie du Reichstag.
Depuis ma jeunesse, informé par la pièce de Bertold Brecht, la cause
était entendue : ce sont les nazis qui ont organisé cet incendie. M ême
que quelques décennies plus tard, on nous disait comment : IG Farben
fournissait le pyrophore retard.
Voilà maintenant qu'on nous explique que non, Luebke aurait vraiment été
un chtarbé qui se serait imaginé faire peuvre utile ainsi. Exactement
comme le chtarbé qui a descendu Bousquet quelques mois avant qu'on le
juge. Il était rapporté qu'un pas tendre, Heydrich si mes souvenirs s ont
exacts, aurait trouvé le ministère de Goering comme une maison de fou s,
dirigée par un fou. Quelques heures d'excitation plus tard, sont tomb ées
toutes ces lois d'exception pour exploiter cet incendie par une
répression sans précédent contre les communistes, incendaires pré tendus.
Je ne suis pas en mesure de valider cette nouvelle version. Mais voilà,
elle est elle aussi dans le paysage, désormais.
Ils ne l'auraient donc pas incendié eux-mêmes, ils ne l'auraient pas
prévu, mais ont su l'exploiter à outrance.
--http://deonto-famille.org/citoyens/debattre/
ExtrêmeAchillès a écrit :
> Si l'actualité (un fait qui n'est pas encore jugé dans ce cas) peut
> être exploitée, c'est qu'il y a intérêt à le faire et donc s' il y a
> intérêt, il existe bien un mobile.
Un mobile est une condition nécessaire mais pas suffisante.
--
Roland Garcia
ExtrêmeAchillès a écrit :
> Si l'actualité (un fait qui n'est pas encore jugé dans ce cas) peut
> être exploitée, c'est qu'il y a intérêt à le faire et donc s' il y a
> intérêt, il existe bien un mobile.
Un mobile est une condition nécessaire mais pas suffisante.
--
Roland Garcia
ExtrêmeAchillès a écrit :
> Si l'actualité (un fait qui n'est pas encore jugé dans ce cas) peut
> être exploitée, c'est qu'il y a intérêt à le faire et donc s' il y a
> intérêt, il existe bien un mobile.
Un mobile est une condition nécessaire mais pas suffisante.
--
Roland Garcia
On 8 août, 22:34, Jacques Lavau
wrote:ExtrêmeAchillès a écrit :ce n'est pas grave. nous parlons de façon générale de toute façon
puisque nous n'avons pas accès au dosier en cours de constitution.
mais je voudrais en revenir à un principe de logique:
si une seule proposition est fausse, rien ne peut être tenu pour vrai
dans les propositions.
Le procureur dit qu'il a exploré TOUTES les pistes pour arriver à sa
vérité.
OK, admettons.
Roland Garcia nous dit:
"Qu'un politique ait tendance à exploiter l'actualité quand sa peut
servir ses idées est une évidence, ça démontre tout sauf un complot. "
Si l'actualité (un fait qui n'est pas encore jugé dans ce cas) peut
être exploitée, c'est qu'il y a intérêt à le faire et donc s'il y a
intérêt, il existe bien un mobile.
Il existe en plus des antécédents ou "l'actualité" avait été fabriquée
par l'état pour ses intérêts.
Donc le Procureur se devait, lui qui prétend avoir exploré toutes les
pistes dans ses déclarations, d'explorer celle d'une crime "fabriqué"
par l'état pour ses intérêts.
Il ne l'a visiblement pas fait. Tout devient donc faux.
L'adn, les déclarations de la compagne après 24h de garde à vue,
etc...ne sont plus du tout des preuves si l'on suspecte l'état
puisqu'il avait intérêt à se les fabriquer "irréfutables". Et dès que
l'on gratte un peu...
Le problème est que la question de routine "Cherche à qui le crime
profite" fournit des indices et des pistes, mais pas de preuves. En tout
cas, ici pas encore.
Le focus est revenu en 2007 sur l'incendie du Reichstag.
Depuis ma jeunesse, informé par la pièce de Bertold Brecht, la cause
était entendue : ce sont les nazis qui ont organisé cet incendie. Même
que quelques décennies plus tard, on nous disait comment : IG Farben
fournissait le pyrophore retard.
Voilà maintenant qu'on nous explique que non, Luebke aurait vraiment été
un chtarbé qui se serait imaginé faire peuvre utile ainsi. Exactement
comme le chtarbé qui a descendu Bousquet quelques mois avant qu'on le
juge. Il était rapporté qu'un pas tendre, Heydrich si mes souvenirs sont
exacts, aurait trouvé le ministère de Goering comme une maison de fous,
dirigée par un fou. Quelques heures d'excitation plus tard, sont tombées
toutes ces lois d'exception pour exploiter cet incendie par une
répression sans précédent contre les communistes, incendaires prétendus.
Je ne suis pas en mesure de valider cette nouvelle version. Mais voilà,
elle est elle aussi dans le paysage, désormais.
Ils ne l'auraient donc pas incendié eux-mêmes, ils ne l'auraient pas
prévu, mais ont su l'exploiter à outrance.
--http://deonto-famille.org/citoyens/debattre/
il est un problème majeur, c'est que le citoyen face à un crime d'état
se refuse toujours à l'accepter. c'est une bizarrerie psychologique,
comme une sorte de réalité possible que l'on a tendance à exclure
d'entrée.
il faut faire un effort pour envisager cela.
d'ou vient cette barrière psychologique?
par contre on remarque qu'une fois qu'elle est franchie, les choses
deviennent souvent plus claire.
on voit cela dans les procès sous le stalinisme ou tout ceux qui
"avouaient", ne pouvaient accepter l'idée d'un état criminel.
On 8 août, 22:34, Jacques Lavau
<Nolavauspamjac@klube_internaite.effaire> wrote:
ExtrêmeAchillès a écrit :
ce n'est pas grave. nous parlons de façon générale de toute façon
puisque nous n'avons pas accès au dosier en cours de constitution.
mais je voudrais en revenir à un principe de logique:
si une seule proposition est fausse, rien ne peut être tenu pour vrai
dans les propositions.
Le procureur dit qu'il a exploré TOUTES les pistes pour arriver à sa
vérité.
OK, admettons.
Roland Garcia nous dit:
"Qu'un politique ait tendance à exploiter l'actualité quand sa peut
servir ses idées est une évidence, ça démontre tout sauf un complot. "
Si l'actualité (un fait qui n'est pas encore jugé dans ce cas) peut
être exploitée, c'est qu'il y a intérêt à le faire et donc s'il y a
intérêt, il existe bien un mobile.
Il existe en plus des antécédents ou "l'actualité" avait été fabriquée
par l'état pour ses intérêts.
Donc le Procureur se devait, lui qui prétend avoir exploré toutes les
pistes dans ses déclarations, d'explorer celle d'une crime "fabriqué"
par l'état pour ses intérêts.
Il ne l'a visiblement pas fait. Tout devient donc faux.
L'adn, les déclarations de la compagne après 24h de garde à vue,
etc...ne sont plus du tout des preuves si l'on suspecte l'état
puisqu'il avait intérêt à se les fabriquer "irréfutables". Et dès que
l'on gratte un peu...
Le problème est que la question de routine "Cherche à qui le crime
profite" fournit des indices et des pistes, mais pas de preuves. En tout
cas, ici pas encore.
Le focus est revenu en 2007 sur l'incendie du Reichstag.
Depuis ma jeunesse, informé par la pièce de Bertold Brecht, la cause
était entendue : ce sont les nazis qui ont organisé cet incendie. Même
que quelques décennies plus tard, on nous disait comment : IG Farben
fournissait le pyrophore retard.
Voilà maintenant qu'on nous explique que non, Luebke aurait vraiment été
un chtarbé qui se serait imaginé faire peuvre utile ainsi. Exactement
comme le chtarbé qui a descendu Bousquet quelques mois avant qu'on le
juge. Il était rapporté qu'un pas tendre, Heydrich si mes souvenirs sont
exacts, aurait trouvé le ministère de Goering comme une maison de fous,
dirigée par un fou. Quelques heures d'excitation plus tard, sont tombées
toutes ces lois d'exception pour exploiter cet incendie par une
répression sans précédent contre les communistes, incendaires prétendus.
Je ne suis pas en mesure de valider cette nouvelle version. Mais voilà,
elle est elle aussi dans le paysage, désormais.
Ils ne l'auraient donc pas incendié eux-mêmes, ils ne l'auraient pas
prévu, mais ont su l'exploiter à outrance.
--http://deonto-famille.org/citoyens/debattre/
il est un problème majeur, c'est que le citoyen face à un crime d'état
se refuse toujours à l'accepter. c'est une bizarrerie psychologique,
comme une sorte de réalité possible que l'on a tendance à exclure
d'entrée.
il faut faire un effort pour envisager cela.
d'ou vient cette barrière psychologique?
par contre on remarque qu'une fois qu'elle est franchie, les choses
deviennent souvent plus claire.
on voit cela dans les procès sous le stalinisme ou tout ceux qui
"avouaient", ne pouvaient accepter l'idée d'un état criminel.
On 8 août, 22:34, Jacques Lavau
wrote:ExtrêmeAchillès a écrit :ce n'est pas grave. nous parlons de façon générale de toute façon
puisque nous n'avons pas accès au dosier en cours de constitution.
mais je voudrais en revenir à un principe de logique:
si une seule proposition est fausse, rien ne peut être tenu pour vrai
dans les propositions.
Le procureur dit qu'il a exploré TOUTES les pistes pour arriver à sa
vérité.
OK, admettons.
Roland Garcia nous dit:
"Qu'un politique ait tendance à exploiter l'actualité quand sa peut
servir ses idées est une évidence, ça démontre tout sauf un complot. "
Si l'actualité (un fait qui n'est pas encore jugé dans ce cas) peut
être exploitée, c'est qu'il y a intérêt à le faire et donc s'il y a
intérêt, il existe bien un mobile.
Il existe en plus des antécédents ou "l'actualité" avait été fabriquée
par l'état pour ses intérêts.
Donc le Procureur se devait, lui qui prétend avoir exploré toutes les
pistes dans ses déclarations, d'explorer celle d'une crime "fabriqué"
par l'état pour ses intérêts.
Il ne l'a visiblement pas fait. Tout devient donc faux.
L'adn, les déclarations de la compagne après 24h de garde à vue,
etc...ne sont plus du tout des preuves si l'on suspecte l'état
puisqu'il avait intérêt à se les fabriquer "irréfutables". Et dès que
l'on gratte un peu...
Le problème est que la question de routine "Cherche à qui le crime
profite" fournit des indices et des pistes, mais pas de preuves. En tout
cas, ici pas encore.
Le focus est revenu en 2007 sur l'incendie du Reichstag.
Depuis ma jeunesse, informé par la pièce de Bertold Brecht, la cause
était entendue : ce sont les nazis qui ont organisé cet incendie. Même
que quelques décennies plus tard, on nous disait comment : IG Farben
fournissait le pyrophore retard.
Voilà maintenant qu'on nous explique que non, Luebke aurait vraiment été
un chtarbé qui se serait imaginé faire peuvre utile ainsi. Exactement
comme le chtarbé qui a descendu Bousquet quelques mois avant qu'on le
juge. Il était rapporté qu'un pas tendre, Heydrich si mes souvenirs sont
exacts, aurait trouvé le ministère de Goering comme une maison de fous,
dirigée par un fou. Quelques heures d'excitation plus tard, sont tombées
toutes ces lois d'exception pour exploiter cet incendie par une
répression sans précédent contre les communistes, incendaires prétendus.
Je ne suis pas en mesure de valider cette nouvelle version. Mais voilà,
elle est elle aussi dans le paysage, désormais.
Ils ne l'auraient donc pas incendié eux-mêmes, ils ne l'auraient pas
prévu, mais ont su l'exploiter à outrance.
--http://deonto-famille.org/citoyens/debattre/
il est un problème majeur, c'est que le citoyen face à un crime d'état
se refuse toujours à l'accepter. c'est une bizarrerie psychologique,
comme une sorte de réalité possible que l'on a tendance à exclure
d'entrée.
il faut faire un effort pour envisager cela.
d'ou vient cette barrière psychologique?
par contre on remarque qu'une fois qu'elle est franchie, les choses
deviennent souvent plus claire.
on voit cela dans les procès sous le stalinisme ou tout ceux qui
"avouaient", ne pouvaient accepter l'idée d'un état criminel.
ExtrêmeAchillès a écrit :
> On 8 août, 22:34, Jacques Lavau
> wrote:
>> ExtrêmeAchillès a écrit :
>>> ce n'est pas grave. nous parlons de façon générale de toute fa çon
>>> puisque nous n'avons pas accès au dosier en cours de constitution.
>>> mais je voudrais en revenir à un principe de logique:
>>> si une seule proposition est fausse, rien ne peut être tenu pour vr ai
>>> dans les propositions.
>>> Le procureur dit qu'il a exploré TOUTES les pistes pour arriver à sa
>>> vérité.
>>> OK, admettons.
>>> Roland Garcia nous dit:
>>> "Qu'un politique ait tendance à exploiter l'actualité quand sa pe ut
>>> servir ses idées est une évidence, ça démontre tout sauf un c omplot. "
>>> Si l'actualité (un fait qui n'est pas encore jugé dans ce cas) pe ut
>>> être exploitée, c'est qu'il y a intérêt à le faire et donc s'il y a
>>> intérêt, il existe bien un mobile.
>>> Il existe en plus des antécédents ou "l'actualité" avait ét é fabriquée
>>> par l'état pour ses intérêts.
>>> Donc le Procureur se devait, lui qui prétend avoir exploré toutes les
>>> pistes dans ses déclarations, d'explorer celle d'une crime "fabriqu é"
>>> par l'état pour ses intérêts.
>>> Il ne l'a visiblement pas fait. Tout devient donc faux.
>>> L'adn, les déclarations de la compagne après 24h de garde à vue ,
>>> etc...ne sont plus du tout des preuves si l'on suspecte l'état
>>> puisqu'il avait intérêt à se les fabriquer "irréfutables". Et dès que
>>> l'on gratte un peu...
>> Le problème est que la question de routine "Cherche à qui le crime
>> profite" fournit des indices et des pistes, mais pas de preuves. En to ut
>> cas, ici pas encore.
>> Le focus est revenu en 2007 sur l'incendie du Reichstag.
>> Depuis ma jeunesse, informé par la pièce de Bertold Brecht, la cau se
>> était entendue : ce sont les nazis qui ont organisé cet incendie. Même
>> que quelques décennies plus tard, on nous disait comment : IG Farben
>> fournissait le pyrophore retard.
>> Voilà maintenant qu'on nous explique que non, Luebke aurait vraiment été
>> un chtarbé qui se serait imaginé faire peuvre utile ainsi. Exactem ent
>> comme le chtarbé qui a descendu Bousquet quelques mois avant qu'on l e
>> juge. Il était rapporté qu'un pas tendre, Heydrich si mes souvenir s sont
>> exacts, aurait trouvé le ministère de Goering comme une maison de fous,
>> dirigée par un fou. Quelques heures d'excitation plus tard, sont tom bées
>> toutes ces lois d'exception pour exploiter cet incendie par une
>> répression sans précédent contre les communistes, incendaires pr étendus.
>> Je ne suis pas en mesure de valider cette nouvelle version. Mais voil à,
>> elle est elle aussi dans le paysage, désormais.
>> Ils ne l'auraient donc pas incendié eux-mêmes, ils ne l'auraient p as
>> prévu, mais ont su l'exploiter à outrance.
>> --http://deonto-famille.org/citoyens/debattre/
> il est un problème majeur, c'est que le citoyen face à un crime d' état
> se refuse toujours à l'accepter. c'est une bizarrerie psychologique,
> comme une sorte de réalité possible que l'on a tendance à exclure
> d'entrée.
> il faut faire un effort pour envisager cela.
> d'ou vient cette barrière psychologique?
> par contre on remarque qu'une fois qu'elle est franchie, les choses
> deviennent souvent plus claire.
> on voit cela dans les procès sous le stalinisme ou tout ceux qui
> "avouaient", ne pouvaient accepter l'idée d'un état criminel.
Achillès, tu ne fais que décrire ici diverses caractéristiques
de ce que l'on appelle, de façon plus générale, les techniques
dites de contrôle mental.
Je manque d'éléments sur l'affaire que tu décris. Il me semble
que, selon des modalités encore à déterminer, leur emploi n'est
pas à exclure ici.
Je me permets de te renvoyer par exemple au fil que j'ai initié
le 02 août dernier sur la sombre affaire de l'anthrax en 2001
aux E.U.A. sur les forums fr.soc.politique et fr.soc.complots,
intitulé "La sombre affaire de l'anthrax aux EUA en 2001 : un
suspect se suicide".
--
Néo
ExtrêmeAchillès a écrit :
> On 8 août, 22:34, Jacques Lavau
> <Nolavauspamjac@klube_internaite.effaire> wrote:
>> ExtrêmeAchillès a écrit :
>>> ce n'est pas grave. nous parlons de façon générale de toute fa çon
>>> puisque nous n'avons pas accès au dosier en cours de constitution.
>>> mais je voudrais en revenir à un principe de logique:
>>> si une seule proposition est fausse, rien ne peut être tenu pour vr ai
>>> dans les propositions.
>>> Le procureur dit qu'il a exploré TOUTES les pistes pour arriver à sa
>>> vérité.
>>> OK, admettons.
>>> Roland Garcia nous dit:
>>> "Qu'un politique ait tendance à exploiter l'actualité quand sa pe ut
>>> servir ses idées est une évidence, ça démontre tout sauf un c omplot. "
>>> Si l'actualité (un fait qui n'est pas encore jugé dans ce cas) pe ut
>>> être exploitée, c'est qu'il y a intérêt à le faire et donc s'il y a
>>> intérêt, il existe bien un mobile.
>>> Il existe en plus des antécédents ou "l'actualité" avait ét é fabriquée
>>> par l'état pour ses intérêts.
>>> Donc le Procureur se devait, lui qui prétend avoir exploré toutes les
>>> pistes dans ses déclarations, d'explorer celle d'une crime "fabriqu é"
>>> par l'état pour ses intérêts.
>>> Il ne l'a visiblement pas fait. Tout devient donc faux.
>>> L'adn, les déclarations de la compagne après 24h de garde à vue ,
>>> etc...ne sont plus du tout des preuves si l'on suspecte l'état
>>> puisqu'il avait intérêt à se les fabriquer "irréfutables". Et dès que
>>> l'on gratte un peu...
>> Le problème est que la question de routine "Cherche à qui le crime
>> profite" fournit des indices et des pistes, mais pas de preuves. En to ut
>> cas, ici pas encore.
>> Le focus est revenu en 2007 sur l'incendie du Reichstag.
>> Depuis ma jeunesse, informé par la pièce de Bertold Brecht, la cau se
>> était entendue : ce sont les nazis qui ont organisé cet incendie. Même
>> que quelques décennies plus tard, on nous disait comment : IG Farben
>> fournissait le pyrophore retard.
>> Voilà maintenant qu'on nous explique que non, Luebke aurait vraiment été
>> un chtarbé qui se serait imaginé faire peuvre utile ainsi. Exactem ent
>> comme le chtarbé qui a descendu Bousquet quelques mois avant qu'on l e
>> juge. Il était rapporté qu'un pas tendre, Heydrich si mes souvenir s sont
>> exacts, aurait trouvé le ministère de Goering comme une maison de fous,
>> dirigée par un fou. Quelques heures d'excitation plus tard, sont tom bées
>> toutes ces lois d'exception pour exploiter cet incendie par une
>> répression sans précédent contre les communistes, incendaires pr étendus.
>> Je ne suis pas en mesure de valider cette nouvelle version. Mais voil à,
>> elle est elle aussi dans le paysage, désormais.
>> Ils ne l'auraient donc pas incendié eux-mêmes, ils ne l'auraient p as
>> prévu, mais ont su l'exploiter à outrance.
>> --http://deonto-famille.org/citoyens/debattre/
> il est un problème majeur, c'est que le citoyen face à un crime d' état
> se refuse toujours à l'accepter. c'est une bizarrerie psychologique,
> comme une sorte de réalité possible que l'on a tendance à exclure
> d'entrée.
> il faut faire un effort pour envisager cela.
> d'ou vient cette barrière psychologique?
> par contre on remarque qu'une fois qu'elle est franchie, les choses
> deviennent souvent plus claire.
> on voit cela dans les procès sous le stalinisme ou tout ceux qui
> "avouaient", ne pouvaient accepter l'idée d'un état criminel.
Achillès, tu ne fais que décrire ici diverses caractéristiques
de ce que l'on appelle, de façon plus générale, les techniques
dites de contrôle mental.
Je manque d'éléments sur l'affaire que tu décris. Il me semble
que, selon des modalités encore à déterminer, leur emploi n'est
pas à exclure ici.
Je me permets de te renvoyer par exemple au fil que j'ai initié
le 02 août dernier sur la sombre affaire de l'anthrax en 2001
aux E.U.A. sur les forums fr.soc.politique et fr.soc.complots,
intitulé "La sombre affaire de l'anthrax aux EUA en 2001 : un
suspect se suicide".
--
Néo
ExtrêmeAchillès a écrit :
> On 8 août, 22:34, Jacques Lavau
> wrote:
>> ExtrêmeAchillès a écrit :
>>> ce n'est pas grave. nous parlons de façon générale de toute fa çon
>>> puisque nous n'avons pas accès au dosier en cours de constitution.
>>> mais je voudrais en revenir à un principe de logique:
>>> si une seule proposition est fausse, rien ne peut être tenu pour vr ai
>>> dans les propositions.
>>> Le procureur dit qu'il a exploré TOUTES les pistes pour arriver à sa
>>> vérité.
>>> OK, admettons.
>>> Roland Garcia nous dit:
>>> "Qu'un politique ait tendance à exploiter l'actualité quand sa pe ut
>>> servir ses idées est une évidence, ça démontre tout sauf un c omplot. "
>>> Si l'actualité (un fait qui n'est pas encore jugé dans ce cas) pe ut
>>> être exploitée, c'est qu'il y a intérêt à le faire et donc s'il y a
>>> intérêt, il existe bien un mobile.
>>> Il existe en plus des antécédents ou "l'actualité" avait ét é fabriquée
>>> par l'état pour ses intérêts.
>>> Donc le Procureur se devait, lui qui prétend avoir exploré toutes les
>>> pistes dans ses déclarations, d'explorer celle d'une crime "fabriqu é"
>>> par l'état pour ses intérêts.
>>> Il ne l'a visiblement pas fait. Tout devient donc faux.
>>> L'adn, les déclarations de la compagne après 24h de garde à vue ,
>>> etc...ne sont plus du tout des preuves si l'on suspecte l'état
>>> puisqu'il avait intérêt à se les fabriquer "irréfutables". Et dès que
>>> l'on gratte un peu...
>> Le problème est que la question de routine "Cherche à qui le crime
>> profite" fournit des indices et des pistes, mais pas de preuves. En to ut
>> cas, ici pas encore.
>> Le focus est revenu en 2007 sur l'incendie du Reichstag.
>> Depuis ma jeunesse, informé par la pièce de Bertold Brecht, la cau se
>> était entendue : ce sont les nazis qui ont organisé cet incendie. Même
>> que quelques décennies plus tard, on nous disait comment : IG Farben
>> fournissait le pyrophore retard.
>> Voilà maintenant qu'on nous explique que non, Luebke aurait vraiment été
>> un chtarbé qui se serait imaginé faire peuvre utile ainsi. Exactem ent
>> comme le chtarbé qui a descendu Bousquet quelques mois avant qu'on l e
>> juge. Il était rapporté qu'un pas tendre, Heydrich si mes souvenir s sont
>> exacts, aurait trouvé le ministère de Goering comme une maison de fous,
>> dirigée par un fou. Quelques heures d'excitation plus tard, sont tom bées
>> toutes ces lois d'exception pour exploiter cet incendie par une
>> répression sans précédent contre les communistes, incendaires pr étendus.
>> Je ne suis pas en mesure de valider cette nouvelle version. Mais voil à,
>> elle est elle aussi dans le paysage, désormais.
>> Ils ne l'auraient donc pas incendié eux-mêmes, ils ne l'auraient p as
>> prévu, mais ont su l'exploiter à outrance.
>> --http://deonto-famille.org/citoyens/debattre/
> il est un problème majeur, c'est que le citoyen face à un crime d' état
> se refuse toujours à l'accepter. c'est une bizarrerie psychologique,
> comme une sorte de réalité possible que l'on a tendance à exclure
> d'entrée.
> il faut faire un effort pour envisager cela.
> d'ou vient cette barrière psychologique?
> par contre on remarque qu'une fois qu'elle est franchie, les choses
> deviennent souvent plus claire.
> on voit cela dans les procès sous le stalinisme ou tout ceux qui
> "avouaient", ne pouvaient accepter l'idée d'un état criminel.
Achillès, tu ne fais que décrire ici diverses caractéristiques
de ce que l'on appelle, de façon plus générale, les techniques
dites de contrôle mental.
Je manque d'éléments sur l'affaire que tu décris. Il me semble
que, selon des modalités encore à déterminer, leur emploi n'est
pas à exclure ici.
Je me permets de te renvoyer par exemple au fil que j'ai initié
le 02 août dernier sur la sombre affaire de l'anthrax en 2001
aux E.U.A. sur les forums fr.soc.politique et fr.soc.complots,
intitulé "La sombre affaire de l'anthrax aux EUA en 2001 : un
suspect se suicide".
--
Néo
On 8 août, 23:35, Néo wrote:Roland Garcia a écrit :ExtrêmeAchillès a écrit :Si l'actualité (un fait qui n'est pas encore jugé dans ce cas) peut
être exploitée, c'est qu'il y a intérêt à le faire et donc s'il y a
intérêt, il existe bien un mobile.
Un mobile est une condition nécessaire mais pas suffisante.
Tout à fait, et Jacques Lavau, juste au-dessus, ne dit pas
autre chose, à mon sens.
D'où le petit appel du pied (codé) qui suit :
Mickey, qui c'est qui fabrique, qui distribue et qui forme
à ces saloperies de machines à zorglonde dont on suppose
l'emploi dans toute une série d'affaires, y compris pour
feu Ivins, etc. ??????
J'ai vraiment l'impression qu'il faut frapper à la tête !!!
--
Néo
salut Neo,
si l'on en reste à l'hypothèse d'un crime commis par l'état, le
contrôle préalable effectué par la gendarmerie avant le drame, pour
bien énerver ceux qui deviendront "les coupables", peut aussi avoir
servi à une dernière vérification, tenues vestimentaires utilisées,
tous les détails utiles pour que le nettoyeur au service de l'état
soit une copie à peu près crédible. C'est fort probable que cela ait
aussi servi à cela.
et avec le temps qui passe, les chances de trouver des preuves
s'ammenuisent, surtout que les enquêteurs et le procureur n'ont rien
fait pour faciliter la recherche de la vérité, se contentant d'un
portrait robot, aucune photo, film ou images. et le portrait robot
doit convenir aussi bien au "coupable désigné" Stéphane M. qu'au
nettoyeur au service de l'état.
On 8 août, 23:35, Néo <n...@adresski.ru> wrote:
Roland Garcia a écrit :
ExtrêmeAchillès a écrit :
Si l'actualité (un fait qui n'est pas encore jugé dans ce cas) peut
être exploitée, c'est qu'il y a intérêt à le faire et donc s'il y a
intérêt, il existe bien un mobile.
Un mobile est une condition nécessaire mais pas suffisante.
Tout à fait, et Jacques Lavau, juste au-dessus, ne dit pas
autre chose, à mon sens.
D'où le petit appel du pied (codé) qui suit :
Mickey, qui c'est qui fabrique, qui distribue et qui forme
à ces saloperies de machines à zorglonde dont on suppose
l'emploi dans toute une série d'affaires, y compris pour
feu Ivins, etc. ??????
J'ai vraiment l'impression qu'il faut frapper à la tête !!!
--
Néo
salut Neo,
si l'on en reste à l'hypothèse d'un crime commis par l'état, le
contrôle préalable effectué par la gendarmerie avant le drame, pour
bien énerver ceux qui deviendront "les coupables", peut aussi avoir
servi à une dernière vérification, tenues vestimentaires utilisées,
tous les détails utiles pour que le nettoyeur au service de l'état
soit une copie à peu près crédible. C'est fort probable que cela ait
aussi servi à cela.
et avec le temps qui passe, les chances de trouver des preuves
s'ammenuisent, surtout que les enquêteurs et le procureur n'ont rien
fait pour faciliter la recherche de la vérité, se contentant d'un
portrait robot, aucune photo, film ou images. et le portrait robot
doit convenir aussi bien au "coupable désigné" Stéphane M. qu'au
nettoyeur au service de l'état.
On 8 août, 23:35, Néo wrote:Roland Garcia a écrit :ExtrêmeAchillès a écrit :Si l'actualité (un fait qui n'est pas encore jugé dans ce cas) peut
être exploitée, c'est qu'il y a intérêt à le faire et donc s'il y a
intérêt, il existe bien un mobile.
Un mobile est une condition nécessaire mais pas suffisante.
Tout à fait, et Jacques Lavau, juste au-dessus, ne dit pas
autre chose, à mon sens.
D'où le petit appel du pied (codé) qui suit :
Mickey, qui c'est qui fabrique, qui distribue et qui forme
à ces saloperies de machines à zorglonde dont on suppose
l'emploi dans toute une série d'affaires, y compris pour
feu Ivins, etc. ??????
J'ai vraiment l'impression qu'il faut frapper à la tête !!!
--
Néo
salut Neo,
si l'on en reste à l'hypothèse d'un crime commis par l'état, le
contrôle préalable effectué par la gendarmerie avant le drame, pour
bien énerver ceux qui deviendront "les coupables", peut aussi avoir
servi à une dernière vérification, tenues vestimentaires utilisées,
tous les détails utiles pour que le nettoyeur au service de l'état
soit une copie à peu près crédible. C'est fort probable que cela ait
aussi servi à cela.
et avec le temps qui passe, les chances de trouver des preuves
s'ammenuisent, surtout que les enquêteurs et le procureur n'ont rien
fait pour faciliter la recherche de la vérité, se contentant d'un
portrait robot, aucune photo, film ou images. et le portrait robot
doit convenir aussi bien au "coupable désigné" Stéphane M. qu'au
nettoyeur au service de l'état.
Extr meAchill s a crit :
> On 8 ao t, 23:35, N o wrote:
>> Roland Garcia a crit :
>>> Extr meAchill s a crit :
>>>> Si l'actualit (un fait qui n'est pas encore jug dans ce cas) peut
>>>> tre exploit e, c'est qu'il y a int r t le faire et donc s'il y a
>>>> int r t, il existe bien un mobile.
>>> Un mobile est une condition n cessaire mais pas suffisante.
>> Tout fait, et Jacques Lavau, juste au-dessus, ne dit pas
>> autre chose, mon sens.
>> D'o le petit appel du pied (cod ) qui suit :
>> Mickey, qui c'est qui fabrique, qui distribue et qui forme
>> ces saloperies de machines zorglonde dont on suppose
>> l'emploi dans toute une s rie d'affaires, y compris pour
>> feu Ivins, etc. ??????
>> J'ai vraiment l'impression qu'il faut frapper la t te !!!
>> --
>> N o
> salut Neo,
Salut Achill s,
N'oublie pas l'accent sur le " " de N o, c'est la "French touch".
;-)
> si l'on en reste l'hypoth se d'un crime commis par l' tat, le
> contr le pr alable effectu par la gendarmerie avant le drame, pour
> bien nerver ceux qui deviendront "les coupables", peut aussi avoir
> servi une derni re v rification, tenues vestimentaires utilis es,
> tous les d tails utiles pour que le nettoyeur au service de l' tat
> soit une copie peu pr s cr dible. C'est fort probable que cela ait
> aussi servi cela.
> et avec le temps qui passe, les chances de trouver des preuves
> s'ammenuisent, surtout que les enqu teurs et le procureur n'ont rien
> fait pour faciliter la recherche de la v rit , se contentant d'un
> portrait robot, aucune photo, film ou images. et le portrait robot
> doit convenir aussi bien au "coupable d sign " St phane M. qu'au
> nettoyeur au service de l' tat.
Une enqu te de terrain sur les points que tu soul ves
juste titre me semble difficile r aliser dans de bonnes
conditions, ceci pour diverses raisons telles que les
graves soup ons de dysfonctionnements gravissimes au sein
d'une partie de la hi rarchie des forces de police et de
renseignement civiles que l'on peut avoir, r sultant (pour
reprendre un point paru dans la presse sp cialis e et qui
semble venir de bonne source) de l'infiltration d' l ments
de l' glise de scientologie et autres criminels notoires,
professionnels du contr le mental, dans les services du
minist re de l'int rieur, depuis la p riode o le nabot
caract riel aux exc crables fr quentations a t ministre
de l'int rieur.
--
N o
Extr meAchill s a crit :
> On 8 ao t, 23:35, N o <n...@adresski.ru> wrote:
>> Roland Garcia a crit :
>>> Extr meAchill s a crit :
>>>> Si l'actualit (un fait qui n'est pas encore jug dans ce cas) peut
>>>> tre exploit e, c'est qu'il y a int r t le faire et donc s'il y a
>>>> int r t, il existe bien un mobile.
>>> Un mobile est une condition n cessaire mais pas suffisante.
>> Tout fait, et Jacques Lavau, juste au-dessus, ne dit pas
>> autre chose, mon sens.
>> D'o le petit appel du pied (cod ) qui suit :
>> Mickey, qui c'est qui fabrique, qui distribue et qui forme
>> ces saloperies de machines zorglonde dont on suppose
>> l'emploi dans toute une s rie d'affaires, y compris pour
>> feu Ivins, etc. ??????
>> J'ai vraiment l'impression qu'il faut frapper la t te !!!
>> --
>> N o
> salut Neo,
Salut Achill s,
N'oublie pas l'accent sur le " " de N o, c'est la "French touch".
;-)
> si l'on en reste l'hypoth se d'un crime commis par l' tat, le
> contr le pr alable effectu par la gendarmerie avant le drame, pour
> bien nerver ceux qui deviendront "les coupables", peut aussi avoir
> servi une derni re v rification, tenues vestimentaires utilis es,
> tous les d tails utiles pour que le nettoyeur au service de l' tat
> soit une copie peu pr s cr dible. C'est fort probable que cela ait
> aussi servi cela.
> et avec le temps qui passe, les chances de trouver des preuves
> s'ammenuisent, surtout que les enqu teurs et le procureur n'ont rien
> fait pour faciliter la recherche de la v rit , se contentant d'un
> portrait robot, aucune photo, film ou images. et le portrait robot
> doit convenir aussi bien au "coupable d sign " St phane M. qu'au
> nettoyeur au service de l' tat.
Une enqu te de terrain sur les points que tu soul ves
juste titre me semble difficile r aliser dans de bonnes
conditions, ceci pour diverses raisons telles que les
graves soup ons de dysfonctionnements gravissimes au sein
d'une partie de la hi rarchie des forces de police et de
renseignement civiles que l'on peut avoir, r sultant (pour
reprendre un point paru dans la presse sp cialis e et qui
semble venir de bonne source) de l'infiltration d' l ments
de l' glise de scientologie et autres criminels notoires,
professionnels du contr le mental, dans les services du
minist re de l'int rieur, depuis la p riode o le nabot
caract riel aux exc crables fr quentations a t ministre
de l'int rieur.
--
N o
Extr meAchill s a crit :
> On 8 ao t, 23:35, N o wrote:
>> Roland Garcia a crit :
>>> Extr meAchill s a crit :
>>>> Si l'actualit (un fait qui n'est pas encore jug dans ce cas) peut
>>>> tre exploit e, c'est qu'il y a int r t le faire et donc s'il y a
>>>> int r t, il existe bien un mobile.
>>> Un mobile est une condition n cessaire mais pas suffisante.
>> Tout fait, et Jacques Lavau, juste au-dessus, ne dit pas
>> autre chose, mon sens.
>> D'o le petit appel du pied (cod ) qui suit :
>> Mickey, qui c'est qui fabrique, qui distribue et qui forme
>> ces saloperies de machines zorglonde dont on suppose
>> l'emploi dans toute une s rie d'affaires, y compris pour
>> feu Ivins, etc. ??????
>> J'ai vraiment l'impression qu'il faut frapper la t te !!!
>> --
>> N o
> salut Neo,
Salut Achill s,
N'oublie pas l'accent sur le " " de N o, c'est la "French touch".
;-)
> si l'on en reste l'hypoth se d'un crime commis par l' tat, le
> contr le pr alable effectu par la gendarmerie avant le drame, pour
> bien nerver ceux qui deviendront "les coupables", peut aussi avoir
> servi une derni re v rification, tenues vestimentaires utilis es,
> tous les d tails utiles pour que le nettoyeur au service de l' tat
> soit une copie peu pr s cr dible. C'est fort probable que cela ait
> aussi servi cela.
> et avec le temps qui passe, les chances de trouver des preuves
> s'ammenuisent, surtout que les enqu teurs et le procureur n'ont rien
> fait pour faciliter la recherche de la v rit , se contentant d'un
> portrait robot, aucune photo, film ou images. et le portrait robot
> doit convenir aussi bien au "coupable d sign " St phane M. qu'au
> nettoyeur au service de l' tat.
Une enqu te de terrain sur les points que tu soul ves
juste titre me semble difficile r aliser dans de bonnes
conditions, ceci pour diverses raisons telles que les
graves soup ons de dysfonctionnements gravissimes au sein
d'une partie de la hi rarchie des forces de police et de
renseignement civiles que l'on peut avoir, r sultant (pour
reprendre un point paru dans la presse sp cialis e et qui
semble venir de bonne source) de l'infiltration d' l ments
de l' glise de scientologie et autres criminels notoires,
professionnels du contr le mental, dans les services du
minist re de l'int rieur, depuis la p riode o le nabot
caract riel aux exc crables fr quentations a t ministre
de l'int rieur.
--
N o