Par ailleurs, de nos jours les distributions Linux convergent vers un
standard (que d'aucuns ici trouvent inutile, je sais) qui s'appelle LSB
Ce n'est pas dpkg qui s'occupe de la phase d'install mais
debootstrap.
Par ailleurs, de nos jours les distributions Linux convergent vers un
standard (que d'aucuns ici trouvent inutile, je sais) qui s'appelle LSB
Ce n'est pas dpkg qui s'occupe de la phase d'install mais
debootstrap.
Par ailleurs, de nos jours les distributions Linux convergent vers un
standard (que d'aucuns ici trouvent inutile, je sais) qui s'appelle LSB
Ce n'est pas dpkg qui s'occupe de la phase d'install mais
debootstrap.
:~$ grep smb.conf /var/log/packages/samba-3.0.23a-i4 86-1
Deux poids, deux mesures ? grep smb.conf /var/lib/dpkg/info/samba *.list
Effectivement, j'ignorais completement. Ce qui m'impressionne chez de bian
c'est qu'il y a toujours une reponse a n'importe quelle question.
Pardon mais en quoi /var/log/packages/ serait-il moins imbitable que
/var/lib/dpkg/info ? Franchement, on ne peut deviner ni l'un ni l'autre ,
moi j'ignorais complètement /var/log/packages/,
Reellement dit sans agressivite aucune, as tu deja utilise une slack?
C'est peut etre une des premieres choses que tu apprends avec son
gestionnaire de paquetages:
man removepkg:
DESCRIPTION
removepkg removes a previously installed Slackware package, while writ-
ing a progress report to the standard output. A package may be s peci-
fied either by the full package name (as you'd see liste d in
/var/log/packages/), or by the base package name. For example , the
j'ai utilise pas mal de debian, et le coup du /var/lib/dpkg/info/*list
c'est la premiere fois que j'en entends parler.
bon bah j'ai appris un
truc, maintenant de là à trouver une différence fondamentale de l 'ordre
de Notes/Thunderbird entre les deux approches, je pense que tu n'es pas
loin d'exagérer un petit peu...
Pas vraiment. Mon point ce n'est pas de dire que l'une est mieux que
l'autre ou que machin lave plus blanc, mon point consiste a parler de
l'accessibilite de l'info.
Apprendre le systeme slack cela revient a avoir des connaissances
en shell et tout le reste decoule. La difference majeure entre toutes
les distros consiste dans la maniere de booter et la gestion des
paquetages (et la procedure d'install, mais dans la discussion
c'est secondaire).
Le boot d'une slack en une lecon:
/etc/inittab ca appelle rc.S et rc.M
/etc/rc.d/rc.S pour systeme init, c'est tres lisible,
/etc/rc.d/rc.M pour multi utilisateur init qui contient en gros une
succession de
if [ -x /etc/rc.d/rc.prog ]; then
. /etc/rc.d/rc.prog
fi
et ca finit par /etc/rc.d/rc.local
c'est tout. La lecture des scripts est suffisante. Simple et efficace.
L'info est la sous les yeux. Je suis capable de decomposer le boot point
par point. Sur une debian j'ai deja beaucoup plus de mal. Ca va s'arreter
a la lecture du runlevel et des Sxx associes. Les scripts vont utiliser
un ensemble de debianismes (runparts, start-stop-daemon, etc) et en cas d e
probleme puis de resolution, j'aurais toujours un doute pour savoir si
ma solution est debian-specifique ou si elle fonctionnera de partout.
Quand je lis un script
/etc/init.d/functions
check_adroite_agauche()
#commentaire abscons
start-stop-daemon --oknodo --startas -- -i -o programme
#autre commentaire abscons
j'ai du mal a savoir quoi faire lorsqu'il y a un probleme.
Le relancer a la main? Et dans six mois quand la machine va rebooter
il va repartir? Le relancer avec le script? ne fonctionne pas.
Decomposer le script en actions simples? Avec les tripotees de
lien dans /etc/alternatives, les functions, et les appels
dans tous les sens? Ingerable rapidement. Rebooter? pas sur un
serveur en prod qui rend d'autres services par ailleurs. Lire les man?
Il y a des gens qui attendent leur service. Alors quoi?
L'accessibilite de l'info est tellement compliquee que soit on a
un gourou a portee de main qui dit quoi faire (et je me demanderai ce
que moi je fous la), soit on va perdre des heures a la recherche de
l'info dans la doc. Ensuite, oui il y a l'argument de "tu ne l'apprends
qu'une fois, donc la deuxieme fois, tu sais". Mais nous parlons de
phenomenes non quotidiens, et le pourcentage de chance que tu te
souviennes parfaitement (et qu'entretemps ca n'ai pas change) de
Pour revenir a ce que je disais, apprendre slack cela revient a avoir
quelques connaissances shell et tout le reste vient sans forcer. Apprendr e
debian, cela revient a apprendre debian, comprendre debian et travailler
debian en utilisant des debianismes. On peut dire la meme chose de redhat ,
d'ailleurs. Mais redhat, j'ai arrete depuis longtemps alors que je
reviens de temps a autre a debian. Je devrais en reinstaller une dans
un qemu pour voir et troller avec des connaissances actuelles, d'ailleurs .
C'est bien netinstall, le minimum pour faire l'installation, non?
Et puisque j'ai un gourou, je vais poser une question. Il est coutume
sur un groupe de discussion que je ne nommerai pas de s'amuser a oter
des glibc. Autant sur slack, il faut trois secondes pour la retirer
et la remettre (en gros boot sur le CD, puis installpkg -root /mnt/hd
glibc*tgz) autant sur debian je n'ai jamais reussi a trouver l'option
de dpkg qui pouvait me remettre la glibc. Ca doit bien exister
simplement, non?
Du genre boot sur n'importe quel CD, puis ar x libc6*deb, puis tar x
-C /mnt/hd data.tar.gz ?
dpkg n'a pas une option pour ca? Lors de la phase d'install, comment
dpkg fait pour mettre les fichiers au bon endroit? Pourquoi est ce
que debian m'envoie toujours chercher au dernier endroit la bonne
solution?
De plus, que faire lorsque le CD refuse de monter la partition?
De memoire les noyaux d'installation sont tout petit et les
modules sont caches je ne sais ou.
Si j'installe une debian, j'essaierai.
kevin@zipslack:~$ grep smb.conf /var/log/packages/samba-3.0.23a-i4 86-1
Deux poids, deux mesures ? grep smb.conf /var/lib/dpkg/info/samba *.list
Effectivement, j'ignorais completement. Ce qui m'impressionne chez de bian
c'est qu'il y a toujours une reponse a n'importe quelle question.
Pardon mais en quoi /var/log/packages/ serait-il moins imbitable que
/var/lib/dpkg/info ? Franchement, on ne peut deviner ni l'un ni l'autre ,
moi j'ignorais complètement /var/log/packages/,
Reellement dit sans agressivite aucune, as tu deja utilise une slack?
C'est peut etre une des premieres choses que tu apprends avec son
gestionnaire de paquetages:
man removepkg:
DESCRIPTION
removepkg removes a previously installed Slackware package, while writ-
ing a progress report to the standard output. A package may be s peci-
fied either by the full package name (as you'd see liste d in
/var/log/packages/), or by the base package name. For example , the
j'ai utilise pas mal de debian, et le coup du /var/lib/dpkg/info/*list
c'est la premiere fois que j'en entends parler.
bon bah j'ai appris un
truc, maintenant de là à trouver une différence fondamentale de l 'ordre
de Notes/Thunderbird entre les deux approches, je pense que tu n'es pas
loin d'exagérer un petit peu...
Pas vraiment. Mon point ce n'est pas de dire que l'une est mieux que
l'autre ou que machin lave plus blanc, mon point consiste a parler de
l'accessibilite de l'info.
Apprendre le systeme slack cela revient a avoir des connaissances
en shell et tout le reste decoule. La difference majeure entre toutes
les distros consiste dans la maniere de booter et la gestion des
paquetages (et la procedure d'install, mais dans la discussion
c'est secondaire).
Le boot d'une slack en une lecon:
/etc/inittab ca appelle rc.S et rc.M
/etc/rc.d/rc.S pour systeme init, c'est tres lisible,
/etc/rc.d/rc.M pour multi utilisateur init qui contient en gros une
succession de
if [ -x /etc/rc.d/rc.prog ]; then
. /etc/rc.d/rc.prog
fi
et ca finit par /etc/rc.d/rc.local
c'est tout. La lecture des scripts est suffisante. Simple et efficace.
L'info est la sous les yeux. Je suis capable de decomposer le boot point
par point. Sur une debian j'ai deja beaucoup plus de mal. Ca va s'arreter
a la lecture du runlevel et des Sxx associes. Les scripts vont utiliser
un ensemble de debianismes (runparts, start-stop-daemon, etc) et en cas d e
probleme puis de resolution, j'aurais toujours un doute pour savoir si
ma solution est debian-specifique ou si elle fonctionnera de partout.
Quand je lis un script
/etc/init.d/functions
check_adroite_agauche()
#commentaire abscons
start-stop-daemon --oknodo --startas -- -i -o programme
#autre commentaire abscons
j'ai du mal a savoir quoi faire lorsqu'il y a un probleme.
Le relancer a la main? Et dans six mois quand la machine va rebooter
il va repartir? Le relancer avec le script? ne fonctionne pas.
Decomposer le script en actions simples? Avec les tripotees de
lien dans /etc/alternatives, les functions, et les appels
dans tous les sens? Ingerable rapidement. Rebooter? pas sur un
serveur en prod qui rend d'autres services par ailleurs. Lire les man?
Il y a des gens qui attendent leur service. Alors quoi?
L'accessibilite de l'info est tellement compliquee que soit on a
un gourou a portee de main qui dit quoi faire (et je me demanderai ce
que moi je fous la), soit on va perdre des heures a la recherche de
l'info dans la doc. Ensuite, oui il y a l'argument de "tu ne l'apprends
qu'une fois, donc la deuxieme fois, tu sais". Mais nous parlons de
phenomenes non quotidiens, et le pourcentage de chance que tu te
souviennes parfaitement (et qu'entretemps ca n'ai pas change) de
Pour revenir a ce que je disais, apprendre slack cela revient a avoir
quelques connaissances shell et tout le reste vient sans forcer. Apprendr e
debian, cela revient a apprendre debian, comprendre debian et travailler
debian en utilisant des debianismes. On peut dire la meme chose de redhat ,
d'ailleurs. Mais redhat, j'ai arrete depuis longtemps alors que je
reviens de temps a autre a debian. Je devrais en reinstaller une dans
un qemu pour voir et troller avec des connaissances actuelles, d'ailleurs .
C'est bien netinstall, le minimum pour faire l'installation, non?
Et puisque j'ai un gourou, je vais poser une question. Il est coutume
sur un groupe de discussion que je ne nommerai pas de s'amuser a oter
des glibc. Autant sur slack, il faut trois secondes pour la retirer
et la remettre (en gros boot sur le CD, puis installpkg -root /mnt/hd
glibc*tgz) autant sur debian je n'ai jamais reussi a trouver l'option
de dpkg qui pouvait me remettre la glibc. Ca doit bien exister
simplement, non?
Du genre boot sur n'importe quel CD, puis ar x libc6*deb, puis tar x
-C /mnt/hd data.tar.gz ?
dpkg n'a pas une option pour ca? Lors de la phase d'install, comment
dpkg fait pour mettre les fichiers au bon endroit? Pourquoi est ce
que debian m'envoie toujours chercher au dernier endroit la bonne
solution?
De plus, que faire lorsque le CD refuse de monter la partition?
De memoire les noyaux d'installation sont tout petit et les
modules sont caches je ne sais ou.
Si j'installe une debian, j'essaierai.
:~$ grep smb.conf /var/log/packages/samba-3.0.23a-i4 86-1
Deux poids, deux mesures ? grep smb.conf /var/lib/dpkg/info/samba *.list
Effectivement, j'ignorais completement. Ce qui m'impressionne chez de bian
c'est qu'il y a toujours une reponse a n'importe quelle question.
Pardon mais en quoi /var/log/packages/ serait-il moins imbitable que
/var/lib/dpkg/info ? Franchement, on ne peut deviner ni l'un ni l'autre ,
moi j'ignorais complètement /var/log/packages/,
Reellement dit sans agressivite aucune, as tu deja utilise une slack?
C'est peut etre une des premieres choses que tu apprends avec son
gestionnaire de paquetages:
man removepkg:
DESCRIPTION
removepkg removes a previously installed Slackware package, while writ-
ing a progress report to the standard output. A package may be s peci-
fied either by the full package name (as you'd see liste d in
/var/log/packages/), or by the base package name. For example , the
j'ai utilise pas mal de debian, et le coup du /var/lib/dpkg/info/*list
c'est la premiere fois que j'en entends parler.
bon bah j'ai appris un
truc, maintenant de là à trouver une différence fondamentale de l 'ordre
de Notes/Thunderbird entre les deux approches, je pense que tu n'es pas
loin d'exagérer un petit peu...
Pas vraiment. Mon point ce n'est pas de dire que l'une est mieux que
l'autre ou que machin lave plus blanc, mon point consiste a parler de
l'accessibilite de l'info.
Apprendre le systeme slack cela revient a avoir des connaissances
en shell et tout le reste decoule. La difference majeure entre toutes
les distros consiste dans la maniere de booter et la gestion des
paquetages (et la procedure d'install, mais dans la discussion
c'est secondaire).
Le boot d'une slack en une lecon:
/etc/inittab ca appelle rc.S et rc.M
/etc/rc.d/rc.S pour systeme init, c'est tres lisible,
/etc/rc.d/rc.M pour multi utilisateur init qui contient en gros une
succession de
if [ -x /etc/rc.d/rc.prog ]; then
. /etc/rc.d/rc.prog
fi
et ca finit par /etc/rc.d/rc.local
c'est tout. La lecture des scripts est suffisante. Simple et efficace.
L'info est la sous les yeux. Je suis capable de decomposer le boot point
par point. Sur une debian j'ai deja beaucoup plus de mal. Ca va s'arreter
a la lecture du runlevel et des Sxx associes. Les scripts vont utiliser
un ensemble de debianismes (runparts, start-stop-daemon, etc) et en cas d e
probleme puis de resolution, j'aurais toujours un doute pour savoir si
ma solution est debian-specifique ou si elle fonctionnera de partout.
Quand je lis un script
/etc/init.d/functions
check_adroite_agauche()
#commentaire abscons
start-stop-daemon --oknodo --startas -- -i -o programme
#autre commentaire abscons
j'ai du mal a savoir quoi faire lorsqu'il y a un probleme.
Le relancer a la main? Et dans six mois quand la machine va rebooter
il va repartir? Le relancer avec le script? ne fonctionne pas.
Decomposer le script en actions simples? Avec les tripotees de
lien dans /etc/alternatives, les functions, et les appels
dans tous les sens? Ingerable rapidement. Rebooter? pas sur un
serveur en prod qui rend d'autres services par ailleurs. Lire les man?
Il y a des gens qui attendent leur service. Alors quoi?
L'accessibilite de l'info est tellement compliquee que soit on a
un gourou a portee de main qui dit quoi faire (et je me demanderai ce
que moi je fous la), soit on va perdre des heures a la recherche de
l'info dans la doc. Ensuite, oui il y a l'argument de "tu ne l'apprends
qu'une fois, donc la deuxieme fois, tu sais". Mais nous parlons de
phenomenes non quotidiens, et le pourcentage de chance que tu te
souviennes parfaitement (et qu'entretemps ca n'ai pas change) de
Pour revenir a ce que je disais, apprendre slack cela revient a avoir
quelques connaissances shell et tout le reste vient sans forcer. Apprendr e
debian, cela revient a apprendre debian, comprendre debian et travailler
debian en utilisant des debianismes. On peut dire la meme chose de redhat ,
d'ailleurs. Mais redhat, j'ai arrete depuis longtemps alors que je
reviens de temps a autre a debian. Je devrais en reinstaller une dans
un qemu pour voir et troller avec des connaissances actuelles, d'ailleurs .
C'est bien netinstall, le minimum pour faire l'installation, non?
Et puisque j'ai un gourou, je vais poser une question. Il est coutume
sur un groupe de discussion que je ne nommerai pas de s'amuser a oter
des glibc. Autant sur slack, il faut trois secondes pour la retirer
et la remettre (en gros boot sur le CD, puis installpkg -root /mnt/hd
glibc*tgz) autant sur debian je n'ai jamais reussi a trouver l'option
de dpkg qui pouvait me remettre la glibc. Ca doit bien exister
simplement, non?
Du genre boot sur n'importe quel CD, puis ar x libc6*deb, puis tar x
-C /mnt/hd data.tar.gz ?
dpkg n'a pas une option pour ca? Lors de la phase d'install, comment
dpkg fait pour mettre les fichiers au bon endroit? Pourquoi est ce
que debian m'envoie toujours chercher au dernier endroit la bonne
solution?
De plus, que faire lorsque le CD refuse de monter la partition?
De memoire les noyaux d'installation sont tout petit et les
modules sont caches je ne sais ou.
Si j'installe une debian, j'essaierai.
Au fait, quelqu'un saurait comment on fait maintenant pour l'équivalent de
« base-config » qui a disparu ?
Mazette, avec toutes les questions de ce genre qui pleuvent depuis
Au fait, quelqu'un saurait comment on fait maintenant pour l'équivalent de
« base-config » qui a disparu ?
Mazette, avec toutes les questions de ce genre qui pleuvent depuis
Au fait, quelqu'un saurait comment on fait maintenant pour l'équivalent de
« base-config » qui a disparu ?
Mazette, avec toutes les questions de ce genre qui pleuvent depuis
Au fait, quelqu'un saurait comment on fait maintenant pour l'équivalent de
« base-config » qui a disparu ?
Mazette, avec toutes les questions de ce genre qui pleuvent depuis
quelques messages, on va pouvoir commencer à motiver un renommage de
fcol.debats en fcol.debian.
Au fait, quelqu'un saurait comment on fait maintenant pour l'équivalent de
« base-config » qui a disparu ?
Mazette, avec toutes les questions de ce genre qui pleuvent depuis
quelques messages, on va pouvoir commencer à motiver un renommage de
fcol.debats en fcol.debian.
Au fait, quelqu'un saurait comment on fait maintenant pour l'équivalent de
« base-config » qui a disparu ?
Mazette, avec toutes les questions de ce genre qui pleuvent depuis
quelques messages, on va pouvoir commencer à motiver un renommage de
fcol.debats en fcol.debian.
Tant pis, on ne supporte pas Slack (et personne ne s'en plaint).
Qui est le 'on' ? Et de quel support parles tu?
De toute façon devant les outils Slackware je ne peux que m'énerver,
c'est dommage. Par exemple je n'ai jamais réussi à lancer une commande
sous l'id d'un utilisateur qui n'a pas de shell. Par exemple sur ma
Debian je fais "su -s /bin/sh ftp -c id" ; sous Slackware cette syntaxe
n'a jamais fonctionné. Ça a peut-être changé depuis, je ne sais pas.
:~$ man su | grep -- "-s"
j'ai utilise pas mal de debian, et le coup du /var/lib/dpkg/info/*list
c'est la premiere fois que j'en entends parler.
Pourtant, sur Google, 80 000 occurrences de var/lib/dpkg/info contre
18 000 occurrences de var/log/packages.
Quand on connait, oui. Mais j'ignorais meme que les paquets
Pas vraiment. Mon point ce n'est pas de dire que l'une est mieux que
l'autre ou que machin lave plus blanc, mon point consiste a parler de
l'accessibilite de l'info.
L'accessibilité de l'info, tu l'as aussi dans man dpkg, qui non
seulement te dit que /var/lib/dpkg contient les fichiers donnant des
informations sur les paquets installés, mais te donne aussi la syntaxe
dpkg -L / dpkg --listfiles.
Celui qui sait, oui. Celui qui ne sait pas a du mal a trouver l'info.
c'est tout. La lecture des scripts est suffisante. Simple et efficace.
Simple, oui. Efficace, non. Il faudrait peut-être que Slackware
comprenne qu'on est au 21e siècle. De nos jours, tous les noyaux (que ce
soit Linux, mais aussi Solaris ou Darwin) sont passés ou sont en train de
passer à un système event-driven et asynchrone, réduisant les temps de
boot de manière drastique et supprimant les hacks pourris du genre « oh
ben je vais d'abord charger. Voir par exemple Initng, mais aussi Upstart,
et surtout SMF sur Solaris. La méthode rc.S/rc.M est complètement
dépassée et inefficace.
depassee, je ne sais pas. Disons qu'il y a des challengers. J'avais
L'info est la sous les yeux. Je suis capable de decomposer le boot point
par point. Sur une debian j'ai deja beaucoup plus de mal. Ca va s'arreter
a la lecture du runlevel et des Sxx associes. Les scripts vont utiliser
un ensemble de debianismes (runparts, start-stop-daemon, etc) et en cas de
probleme puis de resolution, j'aurais toujours un doute pour savoir si
ma solution est debian-specifique ou si elle fonctionnera de partout.
Je ne comprends pas ce que ça peut te faire que ce soit Debian-
specifique ou si elle fonctionnera partout.
Si tu corriges un truc sur
Slack, ça ne marchera pas sur Debian ni sur aucune autre distribution
utilisant un init SystemV, ni sur OS X, ni sur Solaris, ce qui restreint
quand même l'utilité de la chose.
si apache a du mal a demarrer et que le script d'init m'a conduit a
Par ailleurs, de nos jours les distributions Linux convergent vers un
standard (que d'aucuns ici trouvent inutile, je sais) qui s'appelle LSB
et qui assure que les scripts d'init de chaque paquet fonctionneront
partout de la même façon.
le standard? systemV, BSD, initng ou upstart? C'est du logiciel
Ton argumentation devient un peu « Slackware contre le reste du
monde », et je ne dis pas que Slackware a tort, mais je constate
qu'aucune autre distribution n'est d'accord...
C'est bien pour ca qu'il existe pleins de distribs. Ensuite, il y
Je ne comprends pas pourquoi il est acceptable pour toi de lire le
man de removepkg mais pas celui de start-stop-daemon. Deux poids, deux
mesures encore.
Parcequ'une fois que j'ai lu le man de start-stop-daemon, il me restera
C'est bien netinstall, le minimum pour faire l'installation, non?
Oui.
Je vais aller voir.
Du genre boot sur n'importe quel CD, puis ar x libc6*deb, puis tar x
-C /mnt/hd data.tar.gz ?
dpkg n'a pas une option pour ca?
Non. Mais je te signale que c'est toi qui as commencé la discussion
avec « Sur slack, on garde les outils unix de base. grep, cat, find, et
ca roule. » Je te donne une solution qui marche tout le temps.
Pour les paquets, je pensais utiliser la gestion des paquets. Si je
Tant pis, on ne supporte pas Slack (et personne ne s'en plaint).
Qui est le 'on' ? Et de quel support parles tu?
De toute façon devant les outils Slackware je ne peux que m'énerver,
c'est dommage. Par exemple je n'ai jamais réussi à lancer une commande
sous l'id d'un utilisateur qui n'a pas de shell. Par exemple sur ma
Debian je fais "su -s /bin/sh ftp -c id" ; sous Slackware cette syntaxe
n'a jamais fonctionné. Ça a peut-être changé depuis, je ne sais pas.
kevin@zipslack:~$ man su | grep -- "-s"
j'ai utilise pas mal de debian, et le coup du /var/lib/dpkg/info/*list
c'est la premiere fois que j'en entends parler.
Pourtant, sur Google, 80 000 occurrences de var/lib/dpkg/info contre
18 000 occurrences de var/log/packages.
Quand on connait, oui. Mais j'ignorais meme que les paquets
Pas vraiment. Mon point ce n'est pas de dire que l'une est mieux que
l'autre ou que machin lave plus blanc, mon point consiste a parler de
l'accessibilite de l'info.
L'accessibilité de l'info, tu l'as aussi dans man dpkg, qui non
seulement te dit que /var/lib/dpkg contient les fichiers donnant des
informations sur les paquets installés, mais te donne aussi la syntaxe
dpkg -L / dpkg --listfiles.
Celui qui sait, oui. Celui qui ne sait pas a du mal a trouver l'info.
c'est tout. La lecture des scripts est suffisante. Simple et efficace.
Simple, oui. Efficace, non. Il faudrait peut-être que Slackware
comprenne qu'on est au 21e siècle. De nos jours, tous les noyaux (que ce
soit Linux, mais aussi Solaris ou Darwin) sont passés ou sont en train de
passer à un système event-driven et asynchrone, réduisant les temps de
boot de manière drastique et supprimant les hacks pourris du genre « oh
ben je vais d'abord charger. Voir par exemple Initng, mais aussi Upstart,
et surtout SMF sur Solaris. La méthode rc.S/rc.M est complètement
dépassée et inefficace.
depassee, je ne sais pas. Disons qu'il y a des challengers. J'avais
L'info est la sous les yeux. Je suis capable de decomposer le boot point
par point. Sur une debian j'ai deja beaucoup plus de mal. Ca va s'arreter
a la lecture du runlevel et des Sxx associes. Les scripts vont utiliser
un ensemble de debianismes (runparts, start-stop-daemon, etc) et en cas de
probleme puis de resolution, j'aurais toujours un doute pour savoir si
ma solution est debian-specifique ou si elle fonctionnera de partout.
Je ne comprends pas ce que ça peut te faire que ce soit Debian-
specifique ou si elle fonctionnera partout.
Si tu corriges un truc sur
Slack, ça ne marchera pas sur Debian ni sur aucune autre distribution
utilisant un init SystemV, ni sur OS X, ni sur Solaris, ce qui restreint
quand même l'utilité de la chose.
si apache a du mal a demarrer et que le script d'init m'a conduit a
Par ailleurs, de nos jours les distributions Linux convergent vers un
standard (que d'aucuns ici trouvent inutile, je sais) qui s'appelle LSB
et qui assure que les scripts d'init de chaque paquet fonctionneront
partout de la même façon.
le standard? systemV, BSD, initng ou upstart? C'est du logiciel
Ton argumentation devient un peu « Slackware contre le reste du
monde », et je ne dis pas que Slackware a tort, mais je constate
qu'aucune autre distribution n'est d'accord...
C'est bien pour ca qu'il existe pleins de distribs. Ensuite, il y
Je ne comprends pas pourquoi il est acceptable pour toi de lire le
man de removepkg mais pas celui de start-stop-daemon. Deux poids, deux
mesures encore.
Parcequ'une fois que j'ai lu le man de start-stop-daemon, il me restera
C'est bien netinstall, le minimum pour faire l'installation, non?
Oui.
Je vais aller voir.
Du genre boot sur n'importe quel CD, puis ar x libc6*deb, puis tar x
-C /mnt/hd data.tar.gz ?
dpkg n'a pas une option pour ca?
Non. Mais je te signale que c'est toi qui as commencé la discussion
avec « Sur slack, on garde les outils unix de base. grep, cat, find, et
ca roule. » Je te donne une solution qui marche tout le temps.
Pour les paquets, je pensais utiliser la gestion des paquets. Si je
Tant pis, on ne supporte pas Slack (et personne ne s'en plaint).
Qui est le 'on' ? Et de quel support parles tu?
De toute façon devant les outils Slackware je ne peux que m'énerver,
c'est dommage. Par exemple je n'ai jamais réussi à lancer une commande
sous l'id d'un utilisateur qui n'a pas de shell. Par exemple sur ma
Debian je fais "su -s /bin/sh ftp -c id" ; sous Slackware cette syntaxe
n'a jamais fonctionné. Ça a peut-être changé depuis, je ne sais pas.
:~$ man su | grep -- "-s"
j'ai utilise pas mal de debian, et le coup du /var/lib/dpkg/info/*list
c'est la premiere fois que j'en entends parler.
Pourtant, sur Google, 80 000 occurrences de var/lib/dpkg/info contre
18 000 occurrences de var/log/packages.
Quand on connait, oui. Mais j'ignorais meme que les paquets
Pas vraiment. Mon point ce n'est pas de dire que l'une est mieux que
l'autre ou que machin lave plus blanc, mon point consiste a parler de
l'accessibilite de l'info.
L'accessibilité de l'info, tu l'as aussi dans man dpkg, qui non
seulement te dit que /var/lib/dpkg contient les fichiers donnant des
informations sur les paquets installés, mais te donne aussi la syntaxe
dpkg -L / dpkg --listfiles.
Celui qui sait, oui. Celui qui ne sait pas a du mal a trouver l'info.
c'est tout. La lecture des scripts est suffisante. Simple et efficace.
Simple, oui. Efficace, non. Il faudrait peut-être que Slackware
comprenne qu'on est au 21e siècle. De nos jours, tous les noyaux (que ce
soit Linux, mais aussi Solaris ou Darwin) sont passés ou sont en train de
passer à un système event-driven et asynchrone, réduisant les temps de
boot de manière drastique et supprimant les hacks pourris du genre « oh
ben je vais d'abord charger. Voir par exemple Initng, mais aussi Upstart,
et surtout SMF sur Solaris. La méthode rc.S/rc.M est complètement
dépassée et inefficace.
depassee, je ne sais pas. Disons qu'il y a des challengers. J'avais
L'info est la sous les yeux. Je suis capable de decomposer le boot point
par point. Sur une debian j'ai deja beaucoup plus de mal. Ca va s'arreter
a la lecture du runlevel et des Sxx associes. Les scripts vont utiliser
un ensemble de debianismes (runparts, start-stop-daemon, etc) et en cas de
probleme puis de resolution, j'aurais toujours un doute pour savoir si
ma solution est debian-specifique ou si elle fonctionnera de partout.
Je ne comprends pas ce que ça peut te faire que ce soit Debian-
specifique ou si elle fonctionnera partout.
Si tu corriges un truc sur
Slack, ça ne marchera pas sur Debian ni sur aucune autre distribution
utilisant un init SystemV, ni sur OS X, ni sur Solaris, ce qui restreint
quand même l'utilité de la chose.
si apache a du mal a demarrer et que le script d'init m'a conduit a
Par ailleurs, de nos jours les distributions Linux convergent vers un
standard (que d'aucuns ici trouvent inutile, je sais) qui s'appelle LSB
et qui assure que les scripts d'init de chaque paquet fonctionneront
partout de la même façon.
le standard? systemV, BSD, initng ou upstart? C'est du logiciel
Ton argumentation devient un peu « Slackware contre le reste du
monde », et je ne dis pas que Slackware a tort, mais je constate
qu'aucune autre distribution n'est d'accord...
C'est bien pour ca qu'il existe pleins de distribs. Ensuite, il y
Je ne comprends pas pourquoi il est acceptable pour toi de lire le
man de removepkg mais pas celui de start-stop-daemon. Deux poids, deux
mesures encore.
Parcequ'une fois que j'ai lu le man de start-stop-daemon, il me restera
C'est bien netinstall, le minimum pour faire l'installation, non?
Oui.
Je vais aller voir.
Du genre boot sur n'importe quel CD, puis ar x libc6*deb, puis tar x
-C /mnt/hd data.tar.gz ?
dpkg n'a pas une option pour ca?
Non. Mais je te signale que c'est toi qui as commencé la discussion
avec « Sur slack, on garde les outils unix de base. grep, cat, find, et
ca roule. » Je te donne une solution qui marche tout le temps.
Pour les paquets, je pensais utiliser la gestion des paquets. Si je
Parce qu'on n'en a pas besoin : dpkg est là pour remplir ce rôle.
Ce qui est amusant, c'est de voir à quel point vous, les slackeux,
que debian m'envoie toujours chercher au dernier endroit la bonne
solution?
Toutes les informations nécessaires sont contenues dans le paquet lui-même.
Le format du paquet n'est qu'une archive ar. La commande n'est finalement
« qu'un » wrapper à ar.
Debian n'est pas Slackware.
Debian ne partage pas sa philosophie, sa vision.
Ce sera donc forcément différent ci et là.
Oui.
Parce qu'on n'en a pas besoin : dpkg est là pour remplir ce rôle.
Ce qui est amusant, c'est de voir à quel point vous, les slackeux,
que debian m'envoie toujours chercher au dernier endroit la bonne
solution?
Toutes les informations nécessaires sont contenues dans le paquet lui-même.
Le format du paquet n'est qu'une archive ar. La commande n'est finalement
« qu'un » wrapper à ar.
Debian n'est pas Slackware.
Debian ne partage pas sa philosophie, sa vision.
Ce sera donc forcément différent ci et là.
Oui.
Parce qu'on n'en a pas besoin : dpkg est là pour remplir ce rôle.
Ce qui est amusant, c'est de voir à quel point vous, les slackeux,
que debian m'envoie toujours chercher au dernier endroit la bonne
solution?
Toutes les informations nécessaires sont contenues dans le paquet lui-même.
Le format du paquet n'est qu'une archive ar. La commande n'est finalement
« qu'un » wrapper à ar.
Debian n'est pas Slackware.
Debian ne partage pas sa philosophie, sa vision.
Ce sera donc forcément différent ci et là.
Oui.
Ce n'est pas une question de puissance.
Disons que la courtoisie (et mon ulcère) m'empêche(nt) de dire tout
haut ce que je pense de toi.
Ce n'est pas une question de puissance.
Disons que la courtoisie (et mon ulcère) m'empêche(nt) de dire tout
haut ce que je pense de toi.
Ce n'est pas une question de puissance.
Disons que la courtoisie (et mon ulcère) m'empêche(nt) de dire tout
haut ce que je pense de toi.
Cela s'appelle l'égo : les gens sont persuadés de faire mieux donc on
ne réutilise pas ce qui a été fait. Un très gros classique en
informatique.
Et puis, cela permet de vendre aussi : « vous voyez, chef, le boulot
que j'ai fait ? ».
Cela s'appelle l'égo : les gens sont persuadés de faire mieux donc on
ne réutilise pas ce qui a été fait. Un très gros classique en
informatique.
Et puis, cela permet de vendre aussi : « vous voyez, chef, le boulot
que j'ai fait ? ».
Cela s'appelle l'égo : les gens sont persuadés de faire mieux donc on
ne réutilise pas ce qui a été fait. Un très gros classique en
informatique.
Et puis, cela permet de vendre aussi : « vous voyez, chef, le boulot
que j'ai fait ? ».
Pardon mais en quoi /var/log/packages/ serait-il moins imbitable que
/var/lib/dpkg/info ? Franchement, on ne peut deviner ni l'un ni l'autre,
Pardon mais en quoi /var/log/packages/ serait-il moins imbitable que
/var/lib/dpkg/info ? Franchement, on ne peut deviner ni l'un ni l'autre,
Pardon mais en quoi /var/log/packages/ serait-il moins imbitable que
/var/lib/dpkg/info ? Franchement, on ne peut deviner ni l'un ni l'autre,
Oui, mais pas beaucoup. Il est impossible de déployer et mettre à
jour facilement une Slack dans une VM ou un chroot, et je n'ai pas trop
de temps à perdre à bidouiller des scripts qui ne seront pas pérennes.
Tant pis, on ne supporte pas Slack (et personne ne s'en plaint).
De toute façon devant les outils Slackware je ne peux que m'énerver,
Pourtant, sur Google, 80 000 occurrences de var/lib/dpkg/info contre
18 000 occurrences de var/log/packages.
L'accessibilité de l'info, tu l'as aussi dans man dpkg, qui non
seulement te dit que /var/lib/dpkg contient les fichiers donnant des
informations sur les paquets installés, mais te donne aussi la syntaxe
dpkg -L / dpkg --listfiles.
Simple, oui. Efficace, non. Il faudrait peut-être que Slackware
comprenne qu'on est au 21e siècle. De nos jours, tous les noyaux (que ce
soit Linux, mais aussi Solaris ou Darwin) sont passés ou sont en train de
passer à un système event-driven et asynchrone, réduisant les temps de
boot de manière drastique et supprimant les hacks pourris du genre « oh
ben je vais d'abord charger. Voir par exemple Initng, mais aussi Upstart,
et surtout SMF sur Solaris. La méthode rc.S/rc.M est complètement
dépassée et inefficace.
Oui, mais pas beaucoup. Il est impossible de déployer et mettre à
jour facilement une Slack dans une VM ou un chroot, et je n'ai pas trop
de temps à perdre à bidouiller des scripts qui ne seront pas pérennes.
Tant pis, on ne supporte pas Slack (et personne ne s'en plaint).
De toute façon devant les outils Slackware je ne peux que m'énerver,
Pourtant, sur Google, 80 000 occurrences de var/lib/dpkg/info contre
18 000 occurrences de var/log/packages.
L'accessibilité de l'info, tu l'as aussi dans man dpkg, qui non
seulement te dit que /var/lib/dpkg contient les fichiers donnant des
informations sur les paquets installés, mais te donne aussi la syntaxe
dpkg -L / dpkg --listfiles.
Simple, oui. Efficace, non. Il faudrait peut-être que Slackware
comprenne qu'on est au 21e siècle. De nos jours, tous les noyaux (que ce
soit Linux, mais aussi Solaris ou Darwin) sont passés ou sont en train de
passer à un système event-driven et asynchrone, réduisant les temps de
boot de manière drastique et supprimant les hacks pourris du genre « oh
ben je vais d'abord charger. Voir par exemple Initng, mais aussi Upstart,
et surtout SMF sur Solaris. La méthode rc.S/rc.M est complètement
dépassée et inefficace.
Oui, mais pas beaucoup. Il est impossible de déployer et mettre à
jour facilement une Slack dans une VM ou un chroot, et je n'ai pas trop
de temps à perdre à bidouiller des scripts qui ne seront pas pérennes.
Tant pis, on ne supporte pas Slack (et personne ne s'en plaint).
De toute façon devant les outils Slackware je ne peux que m'énerver,
Pourtant, sur Google, 80 000 occurrences de var/lib/dpkg/info contre
18 000 occurrences de var/log/packages.
L'accessibilité de l'info, tu l'as aussi dans man dpkg, qui non
seulement te dit que /var/lib/dpkg contient les fichiers donnant des
informations sur les paquets installés, mais te donne aussi la syntaxe
dpkg -L / dpkg --listfiles.
Simple, oui. Efficace, non. Il faudrait peut-être que Slackware
comprenne qu'on est au 21e siècle. De nos jours, tous les noyaux (que ce
soit Linux, mais aussi Solaris ou Darwin) sont passés ou sont en train de
passer à un système event-driven et asynchrone, réduisant les temps de
boot de manière drastique et supprimant les hacks pourris du genre « oh
ben je vais d'abord charger. Voir par exemple Initng, mais aussi Upstart,
et surtout SMF sur Solaris. La méthode rc.S/rc.M est complètement
dépassée et inefficace.