Histoire de rigoler http://cjoint.com/?DJcqYuzVAj6
Joli, Ce n'est pas plutot couteau à palette ? j'ai aussi ce genre de tentation de temps à autre faire joujou avec les filtre etc.., mais pas diffusées ici : Vercors 1997... http://cjoint.com/?DJcr2IU1Mfi
André <tartempion@truc.fr> a formulé :
Histoire de rigoler
http://cjoint.com/?DJcqYuzVAj6
Joli, Ce n'est pas plutot couteau à palette ?
j'ai aussi ce genre de tentation de temps à autre faire joujou avec les
filtre etc.., mais pas diffusées ici :
Vercors 1997...
http://cjoint.com/?DJcr2IU1Mfi
Histoire de rigoler http://cjoint.com/?DJcqYuzVAj6
Joli, Ce n'est pas plutot couteau à palette ? j'ai aussi ce genre de tentation de temps à autre faire joujou avec les filtre etc.., mais pas diffusées ici : Vercors 1997... http://cjoint.com/?DJcr2IU1Mfi
Ricco
Birdy avait écrit le 02/10/2014 :
André a formulé :
Histoire de rigoler http://cjoint.com/?DJcqYuzVAj6
Joli, Ce n'est pas plutot couteau à palette ? j'ai aussi ce genre de tentation de temps à autre faire joujou avec les filtre etc.., mais pas diffusées ici : Vercors 1997... http://cjoint.com/?DJcr2IU1Mfi
fais pas attention avec lui...
-- ricco --
Birdy avait écrit le 02/10/2014 :
André <tartempion@truc.fr> a formulé :
Histoire de rigoler
http://cjoint.com/?DJcqYuzVAj6
Joli, Ce n'est pas plutot couteau à palette ?
j'ai aussi ce genre de tentation de temps à autre faire joujou avec les
filtre etc.., mais pas diffusées ici :
Vercors 1997...
http://cjoint.com/?DJcr2IU1Mfi
Histoire de rigoler http://cjoint.com/?DJcqYuzVAj6
Joli, Ce n'est pas plutot couteau à palette ? j'ai aussi ce genre de tentation de temps à autre faire joujou avec les filtre etc.., mais pas diffusées ici : Vercors 1997... http://cjoint.com/?DJcr2IU1Mfi
fais pas attention avec lui...
-- ricco --
Andre
"Birdy" a écrit dans le message de news: m0jsep$fov$
André a formulé :
Histoire de rigoler http://cjoint.com/?DJcqYuzVAj6
Joli, Ce n'est pas plutot couteau à palette ?
Non,c'est bien Aquarelle
j'ai aussi ce genre de tentation de temps à autre faire joujou avec les filtre etc.., mais pas diffusées ici : Vercors 1997... http://cjoint.com/?DJcr2IU1Mfi
Trop "morcelé" pour mon gout
André
"Birdy" <palmerclaude@wanadoo.fr> a écrit dans le message de news:
m0jsep$fov$1@dont-email.me...
André <tartempion@truc.fr> a formulé :
Histoire de rigoler
http://cjoint.com/?DJcqYuzVAj6
Joli, Ce n'est pas plutot couteau à palette ?
Non,c'est bien Aquarelle
j'ai aussi ce genre de tentation de temps à autre faire joujou avec les
filtre etc.., mais pas diffusées ici :
Vercors 1997...
http://cjoint.com/?DJcr2IU1Mfi
"Birdy" a écrit dans le message de news: m0jsep$fov$
André a formulé :
Histoire de rigoler http://cjoint.com/?DJcqYuzVAj6
Joli, Ce n'est pas plutot couteau à palette ?
Non,c'est bien Aquarelle
j'ai aussi ce genre de tentation de temps à autre faire joujou avec les filtre etc.., mais pas diffusées ici : Vercors 1997... http://cjoint.com/?DJcr2IU1Mfi
Trop "morcelé" pour mon gout
André
Andre
"Ricco" a écrit dans le message de news:
fais pas attention avec lui...
Du Ricco, grand cru de la connerie.........
André
"Ricco" <ricco@fring.fr> a écrit dans le message de news:
"Andre" a écrit dans le message de news: 542d797d$0$21676$
"Birdy" a écrit dans le message de news: m0jsep$fov$
André a formulé :
Histoire de rigoler http://cjoint.com/?DJcqYuzVAj6
Joli, Ce n'est pas plutot couteau à palette ?
Non,c'est bien Aquarelle
j'ai aussi ce genre de tentation de temps à autre faire joujou avec les filtre etc.., mais pas diffusées ici : Vercors 1997... http://cjoint.com/?DJcr2IU1Mfi
Trop "morcelé" pour mon gout
Je n'y vois plus une photo, mais le traficotage d'une image......
"Andre" <tartempion@machin.fr> a écrit dans le message de news:
542d797d$0$21676$426a74cc@news.free.fr...
"Birdy" <palmerclaude@wanadoo.fr> a écrit dans le message de news:
m0jsep$fov$1@dont-email.me...
André <tartempion@truc.fr> a formulé :
Histoire de rigoler
http://cjoint.com/?DJcqYuzVAj6
Joli, Ce n'est pas plutot couteau à palette ?
Non,c'est bien Aquarelle
j'ai aussi ce genre de tentation de temps à autre faire joujou avec les
filtre etc.., mais pas diffusées ici :
Vercors 1997...
http://cjoint.com/?DJcr2IU1Mfi
Trop "morcelé" pour mon gout
Je n'y vois plus une photo, mais le traficotage d'une image......
"Andre" a écrit dans le message de news: 542d797d$0$21676$
"Birdy" a écrit dans le message de news: m0jsep$fov$
André a formulé :
Histoire de rigoler http://cjoint.com/?DJcqYuzVAj6
Joli, Ce n'est pas plutot couteau à palette ?
Non,c'est bien Aquarelle
j'ai aussi ce genre de tentation de temps à autre faire joujou avec les filtre etc.., mais pas diffusées ici : Vercors 1997... http://cjoint.com/?DJcr2IU1Mfi
Trop "morcelé" pour mon gout
Je n'y vois plus une photo, mais le traficotage d'une image......
Birdy
Bertrand a formulé :
"Andre" a écrit dans le message de news: 542d797d$0$21676$
"Birdy" a écrit dans le message de news: m0jsep$fov$
André a formulé :
Histoire de rigoler http://cjoint.com/?DJcqYuzVAj6
Joli, Ce n'est pas plutot couteau à palette ?
Non,c'est bien Aquarelle
j'ai aussi ce genre de tentation de temps à autre faire joujou avec les filtre etc.., mais pas diffusées ici : Vercors 1997... http://cjoint.com/?DJcr2IU1Mfi
Trop "morcelé" pour mon gout
Je n'y vois plus une photo, mais le traficotage d'une image......
oui, mais, les frontières se sont réduites avec l'apparition du numérique. De plus en plus les graphistes, auteurs de BD, publicitaires, etc, partent de photos qu'ils transforment à leur manière ou dans leur style personnel sans citer Warhol. La question est de savoir ce qu'ils maîtrisent devant des images assez simples ou des photos complexes transformées n'importe comment, sans sélection des parties les plus intéressantes. De "mon temps" déjà, la mode allongeait subtilement les photos des mannequins du rapport 7 au rapport 9 et personne n'y trouvait rien à redire; Et c'était quand même dans Vogue, Harper's Bazaar ou Elle... Sans compter les retouches subtiles ou pas des publications actuelles comme bourrelets de Sarkozy rajeunissement de Claudia Schiffer ou disparition de personnages malvenus dans des photos à destination politique Il fallait quand même pas mal bidouiller en argentique avec des masques pour faire disparaître sur ordre de Staline Boukharine, Kamenev et quelques autres sur les photos officielles. "Réalité ou fiction ¼uvre « artistique ou transposition de la réalité » sembleraient les termes les plus à même de définir ces choses de manière plus large.
Bertrand <bertrand.delarchedeneauhaie@jamais.valide.con> a formulé :
"Andre" <tartempion@machin.fr> a écrit dans le message de news:
542d797d$0$21676$426a74cc@news.free.fr...
"Birdy" <palmerclaude@wanadoo.fr> a écrit dans le message de news:
m0jsep$fov$1@dont-email.me...
André <tartempion@truc.fr> a formulé :
Histoire de rigoler
http://cjoint.com/?DJcqYuzVAj6
Joli, Ce n'est pas plutot couteau à palette ?
Non,c'est bien Aquarelle
j'ai aussi ce genre de tentation de temps à autre faire joujou avec les
filtre etc.., mais pas diffusées ici :
Vercors 1997...
http://cjoint.com/?DJcr2IU1Mfi
Trop "morcelé" pour mon gout
Je n'y vois plus une photo, mais le traficotage d'une image......
oui, mais, les frontières se sont réduites avec l'apparition du
numérique. De plus en plus les graphistes, auteurs de BD,
publicitaires, etc, partent de photos qu'ils transforment à leur
manière ou dans leur style personnel sans citer Warhol. La question est
de savoir ce qu'ils maîtrisent devant des images assez simples ou des
photos complexes transformées n'importe comment, sans sélection des
parties les plus intéressantes.
De "mon temps" déjà, la mode allongeait subtilement les photos des
mannequins du rapport 7 au rapport 9 et personne n'y trouvait rien à
redire; Et c'était quand même dans Vogue, Harper's Bazaar ou Elle...
Sans compter les retouches subtiles ou pas des publications actuelles
comme bourrelets de Sarkozy rajeunissement de Claudia Schiffer ou
disparition de personnages malvenus dans des photos à destination
politique Il fallait quand même pas mal bidouiller en argentique avec
des masques pour faire disparaître sur ordre de Staline Boukharine,
Kamenev et quelques autres sur les photos officielles.
"Réalité ou fiction ¼uvre « artistique ou transposition de la réalité »
sembleraient les termes les plus à même de définir ces choses de
manière plus large.
"Andre" a écrit dans le message de news: 542d797d$0$21676$
"Birdy" a écrit dans le message de news: m0jsep$fov$
André a formulé :
Histoire de rigoler http://cjoint.com/?DJcqYuzVAj6
Joli, Ce n'est pas plutot couteau à palette ?
Non,c'est bien Aquarelle
j'ai aussi ce genre de tentation de temps à autre faire joujou avec les filtre etc.., mais pas diffusées ici : Vercors 1997... http://cjoint.com/?DJcr2IU1Mfi
Trop "morcelé" pour mon gout
Je n'y vois plus une photo, mais le traficotage d'une image......
oui, mais, les frontières se sont réduites avec l'apparition du numérique. De plus en plus les graphistes, auteurs de BD, publicitaires, etc, partent de photos qu'ils transforment à leur manière ou dans leur style personnel sans citer Warhol. La question est de savoir ce qu'ils maîtrisent devant des images assez simples ou des photos complexes transformées n'importe comment, sans sélection des parties les plus intéressantes. De "mon temps" déjà, la mode allongeait subtilement les photos des mannequins du rapport 7 au rapport 9 et personne n'y trouvait rien à redire; Et c'était quand même dans Vogue, Harper's Bazaar ou Elle... Sans compter les retouches subtiles ou pas des publications actuelles comme bourrelets de Sarkozy rajeunissement de Claudia Schiffer ou disparition de personnages malvenus dans des photos à destination politique Il fallait quand même pas mal bidouiller en argentique avec des masques pour faire disparaître sur ordre de Staline Boukharine, Kamenev et quelques autres sur les photos officielles. "Réalité ou fiction ¼uvre « artistique ou transposition de la réalité » sembleraient les termes les plus à même de définir ces choses de manière plus large.
benoit
Birdy wrote:
Il fallait quand même pas mal bidouiller en argentique avec des masques pour faire disparaître sur ordre de Staline Boukharine, Kamenev et quelques autres sur les photos officielles.
J'ai travaillé longtemps dans une agence de publicité et, pour la couleur, les retouches étaient faites au pinceau, feutre...
Tu avais ton 20x25 et tu faisais un tirage plutôt grand avec des corrections en colorimétrie, contraste, luminosité... sur lequel tu entourais les zones à corriger. Un retoucheur travailait à a main sur un deuxième tirage. Un calque sur le tirage modifié pour montrer les corrections supplémentaires et le tirage était scaner pour la photogravure, avec un ekta du tirage retouché, au cas où.
C'était le temps où la typo était en noir et blanc avec des calques pour spécifier les couleurs, l'impression était à 80/100 dpi pour le journal et atteignait 300 pour les revues haut de gamme. Un temps où Xpress remettait en cause le travaille dans les imprimeries, une époque où le syndicat du livre avait obtenu pour Le Figaro que :
- Le texte soit fourni sur des grandes feuilles sans saut de colonnes ; - Les images (N&B) étaient chacunes sur une feuille séparée et la mise en page étaient refaite à la main en découpant le texte et les images pour les coller sur un cartons et créer ainsi le document définitif.
Le Figaro avait fait développer une extension pour Xpress qui sache prendre une page et l'imprimer en bandes de texte de la bonne largeur mais pas la bonne longueur. Tu avais donc une feuille avec tes titres, une autre avec tes sous-titres, une autre avec le corps du texte, une autre avec chaque image à redécouper proprement, une autre... et une feuille imprimée avec la mise en page définitive (sortie directe d'Xpress sur imprimante laser) qui servait de maquette. Tu n'avais plus qu'à tout découper et recoller au bon endroit.
C'est comme ça que j'ai appris pourquoi le syndicat du livre était aussi puissant : les gars savaient lire (à la différence de bon nombre d'ouvriers d'autres métiers) et étaient costauds (va soulever les plaques de plomb toute la journée. Pas facile de les rouler dans la farine.
P.S. à l'imprimerie du Figaro à côté de Roissy, il y avait le parking des cadres et celui des « ouvriers ». Où étaient les Porsche ? Où se trouvaient les twingo ? ;-)
-- "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
Birdy <palmerclaude@wanadoo.fr> wrote:
Il fallait quand même pas mal bidouiller en argentique avec
des masques pour faire disparaître sur ordre de Staline Boukharine,
Kamenev et quelques autres sur les photos officielles.
J'ai travaillé longtemps dans une agence de publicité et, pour la
couleur, les retouches étaient faites au pinceau, feutre...
Tu avais ton 20x25 et tu faisais un tirage plutôt grand avec des
corrections en colorimétrie, contraste, luminosité... sur lequel tu
entourais les zones à corriger. Un retoucheur travailait à a main sur un
deuxième tirage. Un calque sur le tirage modifié pour montrer les
corrections supplémentaires et le tirage était scaner pour la
photogravure, avec un ekta du tirage retouché, au cas où.
C'était le temps où la typo était en noir et blanc avec des calques
pour spécifier les couleurs, l'impression était à 80/100 dpi pour le
journal et atteignait 300 pour les revues haut de gamme. Un temps où
Xpress remettait en cause le travaille dans les imprimeries, une époque
où le syndicat du livre avait obtenu pour Le Figaro que :
- Le texte soit fourni sur des grandes feuilles sans saut de
colonnes ;
- Les images (N&B) étaient chacunes sur une feuille séparée et la
mise en page étaient refaite à la main en découpant le texte et les
images pour les coller sur un cartons et créer ainsi le document
définitif.
Le Figaro avait fait développer une extension pour Xpress qui sache
prendre une page et l'imprimer en bandes de texte de la bonne largeur
mais pas la bonne longueur. Tu avais donc une feuille avec tes titres,
une autre avec tes sous-titres, une autre avec le corps du texte, une
autre avec chaque image à redécouper proprement, une autre... et une
feuille imprimée avec la mise en page définitive (sortie directe
d'Xpress sur imprimante laser) qui servait de maquette. Tu n'avais plus
qu'à tout découper et recoller au bon endroit.
C'est comme ça que j'ai appris pourquoi le syndicat du livre était
aussi puissant : les gars savaient lire (à la différence de bon nombre
d'ouvriers d'autres métiers) et étaient costauds (va soulever les
plaques de plomb toute la journée. Pas facile de les rouler dans la
farine.
P.S. à l'imprimerie du Figaro à côté de Roissy, il y avait le
parking des cadres et celui des « ouvriers ». Où étaient les Porsche ?
Où se trouvaient les twingo ? ;-)
--
"La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La
pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi.
Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et
personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
Il fallait quand même pas mal bidouiller en argentique avec des masques pour faire disparaître sur ordre de Staline Boukharine, Kamenev et quelques autres sur les photos officielles.
J'ai travaillé longtemps dans une agence de publicité et, pour la couleur, les retouches étaient faites au pinceau, feutre...
Tu avais ton 20x25 et tu faisais un tirage plutôt grand avec des corrections en colorimétrie, contraste, luminosité... sur lequel tu entourais les zones à corriger. Un retoucheur travailait à a main sur un deuxième tirage. Un calque sur le tirage modifié pour montrer les corrections supplémentaires et le tirage était scaner pour la photogravure, avec un ekta du tirage retouché, au cas où.
C'était le temps où la typo était en noir et blanc avec des calques pour spécifier les couleurs, l'impression était à 80/100 dpi pour le journal et atteignait 300 pour les revues haut de gamme. Un temps où Xpress remettait en cause le travaille dans les imprimeries, une époque où le syndicat du livre avait obtenu pour Le Figaro que :
- Le texte soit fourni sur des grandes feuilles sans saut de colonnes ; - Les images (N&B) étaient chacunes sur une feuille séparée et la mise en page étaient refaite à la main en découpant le texte et les images pour les coller sur un cartons et créer ainsi le document définitif.
Le Figaro avait fait développer une extension pour Xpress qui sache prendre une page et l'imprimer en bandes de texte de la bonne largeur mais pas la bonne longueur. Tu avais donc une feuille avec tes titres, une autre avec tes sous-titres, une autre avec le corps du texte, une autre avec chaque image à redécouper proprement, une autre... et une feuille imprimée avec la mise en page définitive (sortie directe d'Xpress sur imprimante laser) qui servait de maquette. Tu n'avais plus qu'à tout découper et recoller au bon endroit.
C'est comme ça que j'ai appris pourquoi le syndicat du livre était aussi puissant : les gars savaient lire (à la différence de bon nombre d'ouvriers d'autres métiers) et étaient costauds (va soulever les plaques de plomb toute la journée. Pas facile de les rouler dans la farine.
P.S. à l'imprimerie du Figaro à côté de Roissy, il y avait le parking des cadres et celui des « ouvriers ». Où étaient les Porsche ? Où se trouvaient les twingo ? ;-)
-- "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
Birdy
Benoit a formulé :
Birdy wrote:
Il fallait quand même pas mal bidouiller en argentique avec des masques pour faire disparaître sur ordre de Staline Boukharine, Kamenev et quelques autres sur les photos officielles.
J'ai travaillé longtemps dans une agence de publicité et, pour la couleur, les retouches étaient faites au pinceau, feutre...
Tu avais ton 20x25 et tu faisais un tirage plutôt grand avec des corrections en colorimétrie, contraste, luminosité... sur lequel tu entourais les zones à corriger. Un retoucheur travailait à a main sur un deuxième tirage. Un calque sur le tirage modifié pour montrer les corrections supplémentaires et le tirage était scaner pour la photogravure, avec un ekta du tirage retouché, au cas où.
C'était le temps où la typo était en noir et blanc avec des calques pour spécifier les couleurs, l'impression était à 80/100 dpi pour le journal et atteignait 300 pour les revues haut de gamme. Un temps où Xpress remettait en cause le travaille dans les imprimeries, une époque où le syndicat du livre avait obtenu pour Le Figaro que :
- Le texte soit fourni sur des grandes feuilles sans saut de colonnes ; - Les images (N&B) étaient chacunes sur une feuille séparée et la mise en page étaient refaite à la main en découpant le texte et les images pour les coller sur un cartons et créer ainsi le document définitif.
Le Figaro avait fait développer une extension pour Xpress qui sache prendre une page et l'imprimer en bandes de texte de la bonne largeur mais pas la bonne longueur. Tu avais donc une feuille avec tes titres, une autre avec tes sous-titres, une autre avec le corps du texte, une autre avec chaque image à redécouper proprement, une autre... et une feuille imprimée avec la mise en page définitive (sortie directe d'Xpress sur imprimante laser) qui servait de maquette. Tu n'avais plus qu'à tout découper et recoller au bon endroit.
C'est comme ça que j'ai appris pourquoi le syndicat du livre était aussi puissant : les gars savaient lire (à la différence de bon nombre d'ouvriers d'autres métiers) et étaient costauds (va soulever les plaques de plomb toute la journée. Pas facile de les rouler dans la farine.
P.S. à l'imprimerie du Figaro à côté de Roissy, il y avait le parking des cadres et celui des « ouvriers ». Où étaient les Porsche ? Où se trouvaient les twingo ? ;-)
J'ai bien connu aussi.. Mes ouvriers CGtistes étaient tous au Livre et me racontaient leurs exploits lors des grandes grèves...Pas eu deproblèmes personnellement. Au contraire, dévoués à leur boîte. J'ai ainsi suivi le conflit des typographes, linotypistes lors de l'arrivée de la photocomposition.
Benoit <benoit@com.invalid> a formulé :
Birdy <palmerclaude@wanadoo.fr> wrote:
Il fallait quand même pas mal bidouiller en argentique avec
des masques pour faire disparaître sur ordre de Staline Boukharine,
Kamenev et quelques autres sur les photos officielles.
J'ai travaillé longtemps dans une agence de publicité et, pour la
couleur, les retouches étaient faites au pinceau, feutre...
Tu avais ton 20x25 et tu faisais un tirage plutôt grand avec des
corrections en colorimétrie, contraste, luminosité... sur lequel tu
entourais les zones à corriger. Un retoucheur travailait à a main sur un
deuxième tirage. Un calque sur le tirage modifié pour montrer les
corrections supplémentaires et le tirage était scaner pour la
photogravure, avec un ekta du tirage retouché, au cas où.
C'était le temps où la typo était en noir et blanc avec des calques
pour spécifier les couleurs, l'impression était à 80/100 dpi pour le
journal et atteignait 300 pour les revues haut de gamme. Un temps où
Xpress remettait en cause le travaille dans les imprimeries, une époque
où le syndicat du livre avait obtenu pour Le Figaro que :
- Le texte soit fourni sur des grandes feuilles sans saut de
colonnes ;
- Les images (N&B) étaient chacunes sur une feuille séparée et la
mise en page étaient refaite à la main en découpant le texte et les
images pour les coller sur un cartons et créer ainsi le document
définitif.
Le Figaro avait fait développer une extension pour Xpress qui sache
prendre une page et l'imprimer en bandes de texte de la bonne largeur
mais pas la bonne longueur. Tu avais donc une feuille avec tes titres,
une autre avec tes sous-titres, une autre avec le corps du texte, une
autre avec chaque image à redécouper proprement, une autre... et une
feuille imprimée avec la mise en page définitive (sortie directe
d'Xpress sur imprimante laser) qui servait de maquette. Tu n'avais plus
qu'à tout découper et recoller au bon endroit.
C'est comme ça que j'ai appris pourquoi le syndicat du livre était
aussi puissant : les gars savaient lire (à la différence de bon nombre
d'ouvriers d'autres métiers) et étaient costauds (va soulever les
plaques de plomb toute la journée. Pas facile de les rouler dans la
farine.
P.S. à l'imprimerie du Figaro à côté de Roissy, il y avait le
parking des cadres et celui des « ouvriers ». Où étaient les Porsche ?
Où se trouvaient les twingo ? ;-)
J'ai bien connu aussi.. Mes ouvriers CGtistes étaient tous au Livre et
me racontaient leurs exploits lors des grandes grèves...Pas eu
deproblèmes personnellement. Au contraire, dévoués à leur boîte.
J'ai ainsi suivi le conflit des typographes, linotypistes lors de
l'arrivée de la photocomposition.
Il fallait quand même pas mal bidouiller en argentique avec des masques pour faire disparaître sur ordre de Staline Boukharine, Kamenev et quelques autres sur les photos officielles.
J'ai travaillé longtemps dans une agence de publicité et, pour la couleur, les retouches étaient faites au pinceau, feutre...
Tu avais ton 20x25 et tu faisais un tirage plutôt grand avec des corrections en colorimétrie, contraste, luminosité... sur lequel tu entourais les zones à corriger. Un retoucheur travailait à a main sur un deuxième tirage. Un calque sur le tirage modifié pour montrer les corrections supplémentaires et le tirage était scaner pour la photogravure, avec un ekta du tirage retouché, au cas où.
C'était le temps où la typo était en noir et blanc avec des calques pour spécifier les couleurs, l'impression était à 80/100 dpi pour le journal et atteignait 300 pour les revues haut de gamme. Un temps où Xpress remettait en cause le travaille dans les imprimeries, une époque où le syndicat du livre avait obtenu pour Le Figaro que :
- Le texte soit fourni sur des grandes feuilles sans saut de colonnes ; - Les images (N&B) étaient chacunes sur une feuille séparée et la mise en page étaient refaite à la main en découpant le texte et les images pour les coller sur un cartons et créer ainsi le document définitif.
Le Figaro avait fait développer une extension pour Xpress qui sache prendre une page et l'imprimer en bandes de texte de la bonne largeur mais pas la bonne longueur. Tu avais donc une feuille avec tes titres, une autre avec tes sous-titres, une autre avec le corps du texte, une autre avec chaque image à redécouper proprement, une autre... et une feuille imprimée avec la mise en page définitive (sortie directe d'Xpress sur imprimante laser) qui servait de maquette. Tu n'avais plus qu'à tout découper et recoller au bon endroit.
C'est comme ça que j'ai appris pourquoi le syndicat du livre était aussi puissant : les gars savaient lire (à la différence de bon nombre d'ouvriers d'autres métiers) et étaient costauds (va soulever les plaques de plomb toute la journée. Pas facile de les rouler dans la farine.
P.S. à l'imprimerie du Figaro à côté de Roissy, il y avait le parking des cadres et celui des « ouvriers ». Où étaient les Porsche ? Où se trouvaient les twingo ? ;-)
J'ai bien connu aussi.. Mes ouvriers CGtistes étaient tous au Livre et me racontaient leurs exploits lors des grandes grèves...Pas eu deproblèmes personnellement. Au contraire, dévoués à leur boîte. J'ai ainsi suivi le conflit des typographes, linotypistes lors de l'arrivée de la photocomposition.
benoit
Birdy wrote:
J'ai ainsi suivi le conflit des typographes, linotypistes lors de l'arrivée de la photocomposition.
Leur défaut a été de tenter de bloquer l'évolution du système plutôt que de le devancer (remarque valable pour beaucoup de métiers). Ils ont limité les dégâts de leur côté, pendant un temps, mais cela a coûté cher à tous ceux qui étaient autour. Le win-win ils ne connaissent pas.
-- "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
Birdy <palmerclaude@wanadoo.fr> wrote:
J'ai ainsi suivi le conflit des typographes, linotypistes lors de
l'arrivée de la photocomposition.
Leur défaut a été de tenter de bloquer l'évolution du système plutôt
que de le devancer (remarque valable pour beaucoup de métiers). Ils ont
limité les dégâts de leur côté, pendant un temps, mais cela a coûté cher
à tous ceux qui étaient autour. Le win-win ils ne connaissent pas.
--
"La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La
pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi.
Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et
personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
J'ai ainsi suivi le conflit des typographes, linotypistes lors de l'arrivée de la photocomposition.
Leur défaut a été de tenter de bloquer l'évolution du système plutôt que de le devancer (remarque valable pour beaucoup de métiers). Ils ont limité les dégâts de leur côté, pendant un temps, mais cela a coûté cher à tous ceux qui étaient autour. Le win-win ils ne connaissent pas.
-- "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
Johanes Nylander
Après mûre réflexion, André a écrit :
Histoire de rigoler http://cjoint.com/?DJcqYuzVAj6
Histoire de rigoler également, ou plutôt de voir ce que donne les différentes fonctions "Effets photos" téléchargées sur mon HX60, je vais sur mon balcon et j'essaye differents modes, et parmis les résutats il y a un qui sort du lot, le mode "illustration" dont le résultat me surprend agréablement:
http://cjoint.com/14oc/DJcvu4HXLVH.htm
Après mûre réflexion, André a écrit :
Histoire de rigoler
http://cjoint.com/?DJcqYuzVAj6
Histoire de rigoler également, ou plutôt de voir ce que donne les
différentes fonctions "Effets photos" téléchargées sur mon HX60, je
vais sur mon balcon et j'essaye differents modes, et parmis les
résutats il y a un qui sort du lot, le mode "illustration" dont le
résultat me surprend agréablement:
Histoire de rigoler http://cjoint.com/?DJcqYuzVAj6
Histoire de rigoler également, ou plutôt de voir ce que donne les différentes fonctions "Effets photos" téléchargées sur mon HX60, je vais sur mon balcon et j'essaye differents modes, et parmis les résutats il y a un qui sort du lot, le mode "illustration" dont le résultat me surprend agréablement: