Les boîtiers Nikon embarqués devront résister à des températures ultimes,
des pressions extraordinaires. Bref des Nikon de haut vol pour un saut
extraordinaire.
Ce cher mammifère du nom de Tuttle nous susurrait, le mercredi 23/04/2008, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales quand même, et dans le message , les doux mélismes suivants :
Quand à la haine et au mépris, prenez un peu de recul, et relisez votre texte
Je t'emmerde...
Raa.... des coups de piesd aux culs qui se perdent avec ces vieux cons qui s'y croient...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
MELMOTH <theo@free.fr> wrote:
Ce cher mammifère du nom de Tuttle nous susurrait, le mercredi
23/04/2008, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales quand
même, et dans le message <mn.bbb07d84ec6d01c9.66933@free.fr>, les doux
mélismes suivants :
Quand à la haine et au mépris, prenez un peu de recul, et relisez
votre texte
Je t'emmerde...
Raa.... des coups de piesd aux culs qui se perdent avec ces vieux cons
qui s'y croient...
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Ce cher mammifère du nom de Tuttle nous susurrait, le mercredi 23/04/2008, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales quand même, et dans le message , les doux mélismes suivants :
Quand à la haine et au mépris, prenez un peu de recul, et relisez votre texte
Je t'emmerde...
Raa.... des coups de piesd aux culs qui se perdent avec ces vieux cons qui s'y croient...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Alf92
Dans <news:1ifva7q.s8qkho2jhocbN%,
Je t'emmerde...
Raa.... des coups de piesd aux culs qui se perdent avec ces vieux cons qui s'y croient...
le potentiel de nuisance du jeune con est largement supérieur à celui du vieux con. question de temps.
-- Alf92
Dans <news:1ifva7q.s8qkho2jhocbN%filh@filh.orgie>,
Je t'emmerde...
Raa.... des coups de piesd aux culs qui se perdent avec ces vieux cons
qui s'y croient...
le potentiel de nuisance du jeune con est largement supérieur à celui du
vieux con.
question de temps.
On 23-Apr-2008, "Alf92" <alf92[NO-SPAM]@freesurf.fr> wrote:
Je t'emmerde...
Raa.... des coups de piesd aux culs qui se perdent avec ces vieux cons qui s'y croient...
le potentiel de nuisance du jeune con est largement supérieur à celui du vieux con. question de temps.
Le capital de nuisance du vieux con est largement supérieur à celui du jeune con. Question de temps.
Moi qui suis au milieu, je capitalise...... ;-))
-- Glycérine, mais pas de la charte, hein. I Fuck Off B4L1S3MaN1aK
Max
"FiLH" a écrit dans le message de news:1ifuqvf.9qo508cgxyxlN%
Rahh cette génération des soixantenaires qui nous a pourri le monde...
... en réussissant aussi à vous installer le c*l dans la graisse et que vous voulez garder bien au chaud :-) Max. -- Ne pas oublier de jeter l'as pour correspondre
"FiLH" <filh@filh.orgie> a écrit dans le message de
news:1ifuqvf.9qo508cgxyxlN%filh@filh.orgie...
Rahh cette génération des soixantenaires qui nous a pourri le monde...
... en réussissant aussi à vous installer le c*l dans la graisse et que
vous voulez garder bien au chaud :-)
Max.
--
Ne pas oublier de jeter l'as pour correspondre
"FiLH" a écrit dans le message de news:1ifuqvf.9qo508cgxyxlN%
Rahh cette génération des soixantenaires qui nous a pourri le monde...
... en réussissant aussi à vous installer le c*l dans la graisse et que vous voulez garder bien au chaud :-) Max. -- Ne pas oublier de jeter l'as pour correspondre
Jean-Pierre Roche
Rahh cette génération des soixantenaires qui nous a pourri le monde...
... en réussissant aussi à vous installer le c*l dans la graisse et que vous voulez garder bien au chaud :-)
C'était mieux avant. Enfin c'est ce qu'on peut se laisser aller à penser quand on n'a pas connu "avant"...
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
Rahh cette génération des soixantenaires qui nous a pourri le monde...
... en réussissant aussi à vous installer le c*l dans la graisse et que
vous voulez garder bien au chaud :-)
C'était mieux avant. Enfin c'est ce qu'on peut se laisser
aller à penser quand on n'a pas connu "avant"...
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubchello.fr
enlever sanspub pour m'écrire...
Rahh cette génération des soixantenaires qui nous a pourri le monde...
... en réussissant aussi à vous installer le c*l dans la graisse et que vous voulez garder bien au chaud :-)
C'était mieux avant. Enfin c'est ce qu'on peut se laisser aller à penser quand on n'a pas connu "avant"...
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
anneleguennec
Ghost Rider wrote:
Quand on vous dis que l'orthographe et la grammaire donnent du sens !!
L'orthographe n'a d'importance que dans la communication écrite.
Entre gens qui se connaissent bien, et dont les thèmes épistolaires n'ont guère de variation, l'orthographe peut rester phonétique. A partir du moment où on vise une communication publique, mieux vaut stabiliser l'orthographe, de façon à éliminer les ambiguités. Le problème se pose dès lors que l'on diffuse, manuscrit ou imprimerie. Sans doute pour ça que la com culturelle et scientifique s'est longtemps faite en latin. D'ailleurs, le problème est le même pour la ponctuation, indispensable à l'écrit, indispensable à l'oral aussi, mais sous une autre forme.
Ghost Rider <Ghost-Rider@in-the-sky.net> wrote:
Quand on vous dis que l'orthographe et la grammaire donnent du sens !!
L'orthographe n'a d'importance que dans la communication écrite.
Entre gens qui se connaissent bien, et dont les thèmes épistolaires
n'ont guère de variation, l'orthographe peut rester phonétique.
A partir du moment où on vise une communication publique, mieux vaut
stabiliser l'orthographe, de façon à éliminer les ambiguités. Le
problème se pose dès lors que l'on diffuse, manuscrit ou imprimerie.
Sans doute pour ça que la com culturelle et scientifique s'est longtemps
faite en latin.
D'ailleurs, le problème est le même pour la ponctuation, indispensable
à l'écrit, indispensable à l'oral aussi, mais sous une autre forme.
Quand on vous dis que l'orthographe et la grammaire donnent du sens !!
L'orthographe n'a d'importance que dans la communication écrite.
Entre gens qui se connaissent bien, et dont les thèmes épistolaires n'ont guère de variation, l'orthographe peut rester phonétique. A partir du moment où on vise une communication publique, mieux vaut stabiliser l'orthographe, de façon à éliminer les ambiguités. Le problème se pose dès lors que l'on diffuse, manuscrit ou imprimerie. Sans doute pour ça que la com culturelle et scientifique s'est longtemps faite en latin. D'ailleurs, le problème est le même pour la ponctuation, indispensable à l'écrit, indispensable à l'oral aussi, mais sous une autre forme.
Max
"Jean-Pierre Roche" a écrit dans le message de news:fupecv$uhg$
Rahh cette génération des soixantenaires qui nous a pourri le monde...
... en réussissant aussi à vous installer le c*l dans la graisse et que
vous voulez garder bien au chaud :-)
C'était mieux avant. Enfin c'est ce qu'on peut se laisser aller à penser quand on n'a pas connu "avant"...
Quel est le "Français moyen" qui, aujourd'hui, accepterait un logement chauffé à 12°C, de manger de la viande une seule fois par semaine, de se cogner 20 bornes en vélo matin et soir par moins 10°C pour aller bosser, de travailler 48 heures par semaine, de rêver à des choses inaccessibles comme l'automobile ou "le poste de TSF", etc.
Quelle est la "Française moyenne" qui, aujourd'hui, accepterait de repriser les chaussettes de "son homme", lui poser des pièces sur son pantalon, retourner le col des chemises, faire la lessive à la main et dans la lessiveuse en tole galvanisée, d'allumer la cuisinère à bois dès 5 heures du matin pour faire bouillir le lait de la marmaille ou chauffer l'eau de la toilette, etc.
En un demi siècle, l'évolution a été assez phénoménale ! Je note néanmoins que toute évolution n'est pas synonyme de progrès, loin s'en faut.
Mais ça n'empêche pas de se retourner avec une grosse charge de nostalgie sur ce passé où l'être avait plus de sens que le paraître, où l'on achetait ses légumes chez le marchand de légumes, ses conserves et condiments chez l'épicier, son pain chez le boulanger, son fromage et son beurre chez la crèmière, son entrecôte chez le boucher et ses côtes de porc chez le charcutier, ses chaussures chez le chausseur (André, le chausseur sachant chausser!), son appareil photo chez le photographe (Clic-clac et Kodac fait le reste !), etc.
Bien cordialement, Max. -- Ne pas oublier de jeter l'as pour correspondre
"Jean-Pierre Roche" <jproche@sanspub.invalid> a écrit dans le message de
news:fupecv$uhg$1@talisker.lacave.net...
Rahh cette génération des soixantenaires qui nous a pourri le
monde...
... en réussissant aussi à vous installer le c*l dans la graisse et
que
vous voulez garder bien au chaud :-)
C'était mieux avant. Enfin c'est ce qu'on peut se laisser
aller à penser quand on n'a pas connu "avant"...
Quel est le "Français moyen" qui, aujourd'hui, accepterait un logement
chauffé à 12°C, de manger de la viande une seule fois par semaine, de se
cogner 20 bornes en vélo matin et soir par moins 10°C pour aller bosser,
de travailler 48 heures par semaine, de rêver à des choses inaccessibles
comme l'automobile ou "le poste de TSF", etc.
Quelle est la "Française moyenne" qui, aujourd'hui, accepterait de
repriser les chaussettes de "son homme", lui poser des pièces sur son
pantalon, retourner le col des chemises, faire la lessive à la main et
dans la lessiveuse en tole galvanisée, d'allumer la cuisinère à bois dès
5 heures du matin pour faire bouillir le lait de la marmaille ou
chauffer l'eau de la toilette, etc.
En un demi siècle, l'évolution a été assez phénoménale ! Je note
néanmoins que toute évolution n'est pas synonyme de progrès, loin s'en
faut.
Mais ça n'empêche pas de se retourner avec une grosse charge de
nostalgie sur ce passé où l'être avait plus de sens que le paraître, où
l'on achetait ses légumes chez le marchand de légumes, ses conserves et
condiments chez l'épicier, son pain chez le boulanger, son fromage et
son beurre chez la crèmière, son entrecôte chez le boucher et ses côtes
de porc chez le charcutier, ses chaussures chez le chausseur (André, le
chausseur sachant chausser!), son appareil photo chez le photographe
(Clic-clac et Kodac fait le reste !), etc.
Bien cordialement,
Max.
--
Ne pas oublier de jeter l'as pour correspondre
"Jean-Pierre Roche" a écrit dans le message de news:fupecv$uhg$
Rahh cette génération des soixantenaires qui nous a pourri le monde...
... en réussissant aussi à vous installer le c*l dans la graisse et que
vous voulez garder bien au chaud :-)
C'était mieux avant. Enfin c'est ce qu'on peut se laisser aller à penser quand on n'a pas connu "avant"...
Quel est le "Français moyen" qui, aujourd'hui, accepterait un logement chauffé à 12°C, de manger de la viande une seule fois par semaine, de se cogner 20 bornes en vélo matin et soir par moins 10°C pour aller bosser, de travailler 48 heures par semaine, de rêver à des choses inaccessibles comme l'automobile ou "le poste de TSF", etc.
Quelle est la "Française moyenne" qui, aujourd'hui, accepterait de repriser les chaussettes de "son homme", lui poser des pièces sur son pantalon, retourner le col des chemises, faire la lessive à la main et dans la lessiveuse en tole galvanisée, d'allumer la cuisinère à bois dès 5 heures du matin pour faire bouillir le lait de la marmaille ou chauffer l'eau de la toilette, etc.
En un demi siècle, l'évolution a été assez phénoménale ! Je note néanmoins que toute évolution n'est pas synonyme de progrès, loin s'en faut.
Mais ça n'empêche pas de se retourner avec une grosse charge de nostalgie sur ce passé où l'être avait plus de sens que le paraître, où l'on achetait ses légumes chez le marchand de légumes, ses conserves et condiments chez l'épicier, son pain chez le boulanger, son fromage et son beurre chez la crèmière, son entrecôte chez le boucher et ses côtes de porc chez le charcutier, ses chaussures chez le chausseur (André, le chausseur sachant chausser!), son appareil photo chez le photographe (Clic-clac et Kodac fait le reste !), etc.
Bien cordialement, Max. -- Ne pas oublier de jeter l'as pour correspondre
Ghost Rider
Mais ça n'empêche pas de se retourner avec une grosse charge de nostalgie sur ce passé où l'être avait plus de sens que le paraî tre,
Sans compter 15 jours de congés payés seulement à passer chez le co usin à la campagne, une petite retraite à 65 ans quand on y arrivait, et d ans quel état ! La seule chose que je regrette de ce temps, c'est qu'il y avait encore des voitures à chevaux dans les rues: le laitier, le marchand de glace. .. Mais ça revient, ils ont enfin compris qu'un cheval, c'est tellement mieux qu'un camion pour faire du porte à porte, qu'un mouton à grande s oreilles (un cheval, quasiment), c'est tellement mieux qu'une faucheuse tractée pour tondre une pelouse d'un hectare, qu'une jolie fille blonde sur un Holstein de 1m70 au garrot, c'est tellement mieux pour surveiller un parc qu'un détachement de CRS. Y'a qu'à Paris que les édiles font de la résistance. Les écolos d e salon du conseil de Paris n'ont pas encore compris l'intérêt des calèches , mais ça viendra...
Ghost Rider
Mais ça n'empêche pas de se retourner avec une grosse charge de
nostalgie sur ce passé où l'être avait plus de sens que le paraî tre,
Sans compter 15 jours de congés payés seulement à passer chez le co usin
à la campagne, une petite retraite à 65 ans quand on y arrivait, et d ans
quel état !
La seule chose que je regrette de ce temps, c'est qu'il y avait encore
des voitures à chevaux dans les rues: le laitier, le marchand de glace. ..
Mais ça revient, ils ont enfin compris qu'un cheval, c'est tellement
mieux qu'un camion pour faire du porte à porte, qu'un mouton à grande s
oreilles (un cheval, quasiment), c'est tellement mieux qu'une faucheuse
tractée pour tondre une pelouse d'un hectare, qu'une jolie fille blonde
sur un Holstein de 1m70 au garrot, c'est tellement mieux pour surveiller
un parc qu'un détachement de CRS.
Y'a qu'à Paris que les édiles font de la résistance. Les écolos d e salon
du conseil de Paris n'ont pas encore compris l'intérêt des calèches ,
mais ça viendra...
Mais ça n'empêche pas de se retourner avec une grosse charge de nostalgie sur ce passé où l'être avait plus de sens que le paraî tre,
Sans compter 15 jours de congés payés seulement à passer chez le co usin à la campagne, une petite retraite à 65 ans quand on y arrivait, et d ans quel état ! La seule chose que je regrette de ce temps, c'est qu'il y avait encore des voitures à chevaux dans les rues: le laitier, le marchand de glace. .. Mais ça revient, ils ont enfin compris qu'un cheval, c'est tellement mieux qu'un camion pour faire du porte à porte, qu'un mouton à grande s oreilles (un cheval, quasiment), c'est tellement mieux qu'une faucheuse tractée pour tondre une pelouse d'un hectare, qu'une jolie fille blonde sur un Holstein de 1m70 au garrot, c'est tellement mieux pour surveiller un parc qu'un détachement de CRS. Y'a qu'à Paris que les édiles font de la résistance. Les écolos d e salon du conseil de Paris n'ont pas encore compris l'intérêt des calèches , mais ça viendra...
Ghost Rider
Ghost Rider
L'orthographe n'a d'importance que dans la communication écrite.
Je ne saurais être plus en *accord* avec toi.
Entre gens qui se connaissent bien, et dont les thèmes épistolaires n'ont guère de variation, l'orthographe peut rester phonétique.
" Mézalor, mézalor, keskon nobtyin? " Sé un pur kestion dabitud. On népa zabitué, sétou.
Et ça finit par donner ça: " Epui sa né ancor ryin. Sa, sené ke demimzur. Ifôdra ramplasé "e h" par e, par egzamp, "gn"par n, "ou" par w, "an","in", "on" par d, "i, o, e" par "oe" (wuér da valeur, valôer, fermé da peu, poe). Keskô nobty i alor? Ebyi par egzap: la lag frasez, le uwazo cat, sé lprita, anw lavnir é la poezi,loe bôer é lé zoe. "
Ainsi, Jacques Peletier du Mans, premier réformateur de l'orthographe le disait déjà en 1544 : " Tout ainsi que la parole est significative de la pensée, semblablemen t l'orthographe [l'est] de la parole à laquelle elle doit obéir fidèlement, de sorte qu'écrire autrement qu'on ne prononce est comme si on parlait autrement qu'on ne pense. "
Tout ce qui précède se trouve dans: http://www.rom.fr/martel/html/queneau.html Mercy Raymond Queneau
- Tiens, que fait donc Ghost Rider ? - Il panse. - Il pense ? Ça lui arrive donc ? - Oui, tous les jours, tu n'avais pas remarqué ? - Ma foi, non.
A partir du moment où on vise une communication publique, mieux vaut stabiliser l'orthographe, de façon à éliminer les ambiguités. L e problème se pose dès lors que l'on diffuse, manuscrit ou imprimerie . Sans doute pour ça que la com culturelle et scientifique s'est longte mps faite en latin.
C'est peut-être aussi dû, sait-on jamais , au fait que la seule langu e commune connue de tous les lettrés, qu'ils soient Espagnols, Portugais, Catalans, Italiens, Français, Anglais, Hollandais, Allemands, Tchèque s, Juifs ou Arabes, était le Latin.
D'ailleurs, le problème est le même pour la ponctuation, indispens able à l'écrit, indispensable à l'oral aussi, mais sous une autre form e.
Le maire, dit l'inspecteur, est un idiot... Le Maire - respiration - dit l'inspecteur - respiration - est un idiot.
Ghost Rider
L'orthographe n'a d'importance que dans la communication écrite.
Je ne saurais être plus en *accord* avec toi.
Entre gens qui se connaissent bien, et dont les thèmes épistolaires
n'ont guère de variation, l'orthographe peut rester phonétique.
" Mézalor, mézalor, keskon nobtyin? "
Sé un pur kestion dabitud. On népa zabitué, sétou.
Et ça finit par donner ça:
" Epui sa né ancor ryin. Sa, sené ke demimzur. Ifôdra ramplasé "e h" par
e, par egzamp, "gn"par n, "ou" par w, "an","in", "on" par d, "i, o, e"
par "oe" (wuér da valeur, valôer, fermé da peu, poe). Keskô nobty i alor?
Ebyi par egzap: la lag frasez, le uwazo cat, sé lprita, anw lavnir é la
poezi,loe bôer é lé zoe. "
Ainsi, Jacques Peletier du Mans, premier réformateur de l'orthographe
le disait déjà en 1544 :
" Tout ainsi que la parole est significative de la pensée, semblablemen t
l'orthographe [l'est] de la parole à laquelle elle doit obéir
fidèlement, de sorte qu'écrire autrement qu'on ne prononce est comme si
on parlait autrement qu'on ne pense. "
Tout ce qui précède se trouve dans:
http://www.rom.fr/martel/html/queneau.html
Mercy Raymond Queneau
- Tiens, que fait donc Ghost Rider ?
- Il panse.
- Il pense ? Ça lui arrive donc ?
- Oui, tous les jours, tu n'avais pas remarqué ?
- Ma foi, non.
A partir du moment où on vise une communication publique, mieux vaut
stabiliser l'orthographe, de façon à éliminer les ambiguités. L e
problème se pose dès lors que l'on diffuse, manuscrit ou imprimerie .
Sans doute pour ça que la com culturelle et scientifique s'est longte mps
faite en latin.
C'est peut-être aussi dû, sait-on jamais , au fait que la seule langu e
commune connue de tous les lettrés, qu'ils soient Espagnols, Portugais,
Catalans, Italiens, Français, Anglais, Hollandais, Allemands, Tchèque s,
Juifs ou Arabes, était le Latin.
D'ailleurs, le problème est le même pour la ponctuation, indispens able
à l'écrit, indispensable à l'oral aussi, mais sous une autre form e.
Le maire, dit l'inspecteur, est un idiot...
Le Maire - respiration - dit l'inspecteur - respiration - est un idiot.
L'orthographe n'a d'importance que dans la communication écrite.
Je ne saurais être plus en *accord* avec toi.
Entre gens qui se connaissent bien, et dont les thèmes épistolaires n'ont guère de variation, l'orthographe peut rester phonétique.
" Mézalor, mézalor, keskon nobtyin? " Sé un pur kestion dabitud. On népa zabitué, sétou.
Et ça finit par donner ça: " Epui sa né ancor ryin. Sa, sené ke demimzur. Ifôdra ramplasé "e h" par e, par egzamp, "gn"par n, "ou" par w, "an","in", "on" par d, "i, o, e" par "oe" (wuér da valeur, valôer, fermé da peu, poe). Keskô nobty i alor? Ebyi par egzap: la lag frasez, le uwazo cat, sé lprita, anw lavnir é la poezi,loe bôer é lé zoe. "
Ainsi, Jacques Peletier du Mans, premier réformateur de l'orthographe le disait déjà en 1544 : " Tout ainsi que la parole est significative de la pensée, semblablemen t l'orthographe [l'est] de la parole à laquelle elle doit obéir fidèlement, de sorte qu'écrire autrement qu'on ne prononce est comme si on parlait autrement qu'on ne pense. "
Tout ce qui précède se trouve dans: http://www.rom.fr/martel/html/queneau.html Mercy Raymond Queneau
- Tiens, que fait donc Ghost Rider ? - Il panse. - Il pense ? Ça lui arrive donc ? - Oui, tous les jours, tu n'avais pas remarqué ? - Ma foi, non.
A partir du moment où on vise une communication publique, mieux vaut stabiliser l'orthographe, de façon à éliminer les ambiguités. L e problème se pose dès lors que l'on diffuse, manuscrit ou imprimerie . Sans doute pour ça que la com culturelle et scientifique s'est longte mps faite en latin.
C'est peut-être aussi dû, sait-on jamais , au fait que la seule langu e commune connue de tous les lettrés, qu'ils soient Espagnols, Portugais, Catalans, Italiens, Français, Anglais, Hollandais, Allemands, Tchèque s, Juifs ou Arabes, était le Latin.
D'ailleurs, le problème est le même pour la ponctuation, indispens able à l'écrit, indispensable à l'oral aussi, mais sous une autre form e.
Le maire, dit l'inspecteur, est un idiot... Le Maire - respiration - dit l'inspecteur - respiration - est un idiot.
Ghost Rider
filh
Max wrote:
"FiLH" a écrit dans le message de news:1ifuqvf.9qo508cgxyxlN%
Rahh cette génération des soixantenaires qui nous a pourri le monde...
... en réussissant aussi à vous installer le c*l dans la graisse et que vous voulez garder bien au chaud :-)
En êtes vous si sûr que ça ? L'écart entre les riches et les pauvres se creuse de plus en plus...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Max <asmax_esperon@hotmail.com> wrote:
"FiLH" <filh@filh.orgie> a écrit dans le message de
news:1ifuqvf.9qo508cgxyxlN%filh@filh.orgie...
Rahh cette génération des soixantenaires qui nous a pourri le monde...
... en réussissant aussi à vous installer le c*l dans la graisse et que
vous voulez garder bien au chaud :-)
En êtes vous si sûr que ça ? L'écart entre les riches et les pauvres se
creuse de plus en plus...
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
"FiLH" a écrit dans le message de news:1ifuqvf.9qo508cgxyxlN%
Rahh cette génération des soixantenaires qui nous a pourri le monde...
... en réussissant aussi à vous installer le c*l dans la graisse et que vous voulez garder bien au chaud :-)
En êtes vous si sûr que ça ? L'écart entre les riches et les pauvres se creuse de plus en plus...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org