Les boîtiers Nikon embarqués devront résister à des températures ultimes,
des pressions extraordinaires. Bref des Nikon de haut vol pour un saut
extraordinaire.
Je Me permets de rappeler ici la définition de l'acronyme *NPC* inventé par MELMOTH en 1998 :
Ou la bande-dessinée qui quoi qu'en pensent certains a un réel intérêt.
C'est vrai que l'avis de Melmoth sur la BD ressemble à l'avis que certains avaient sur le Jazz dans les années 50 : complètement à côté de la plaque et surtout en train de louper des choses superbes...
FiLH (Assis à côté de Persépolis par exemple).
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Tuttle <aescudierFREIN@free.fr> wrote:
MELMOTH a présenté l'énoncé suivant :
'lut,
Je Me permets de rappeler ici la définition de l'acronyme *NPC* inventé par
MELMOTH en 1998 :
Ou la bande-dessinée qui quoi qu'en pensent certains a un réel intérêt.
C'est vrai que l'avis de Melmoth sur la BD ressemble à l'avis que
certains avaient sur le Jazz dans les années 50 : complètement à côté de
la plaque et surtout en train de louper des choses superbes...
FiLH (Assis à côté de Persépolis par exemple).
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Je Me permets de rappeler ici la définition de l'acronyme *NPC* inventé par MELMOTH en 1998 :
Ou la bande-dessinée qui quoi qu'en pensent certains a un réel intérêt.
C'est vrai que l'avis de Melmoth sur la BD ressemble à l'avis que certains avaient sur le Jazz dans les années 50 : complètement à côté de la plaque et surtout en train de louper des choses superbes...
FiLH (Assis à côté de Persépolis par exemple).
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
filh
Den wrote:
Quand a l'orthographe, pour certain, c'est la science des imbéciles...
C'est aussi une certaine forme de mépris pour son lecteur.
C'est comme le verre, moitié vide ou moitié plein. Ceci dit, je préfère voir l'orthographe comme un jeu plutôt qu'une guerre de tranchées assez stérile.
Bah... elle n'est ni vraiment pire ni vraiment meilleure.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Den <durierpubpasglop_com@club-internet.fr> wrote:
Quand a l'orthographe, pour certain, c'est la science des imbéciles...
C'est aussi une certaine forme de mépris pour son lecteur.
C'est comme le verre, moitié vide ou moitié plein.
Ceci dit, je préfère voir l'orthographe comme un jeu plutôt qu'une
guerre de tranchées assez stérile.
Bah... elle n'est ni vraiment pire ni vraiment meilleure.
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Quand a l'orthographe, pour certain, c'est la science des imbéciles...
C'est aussi une certaine forme de mépris pour son lecteur.
C'est comme le verre, moitié vide ou moitié plein. Ceci dit, je préfère voir l'orthographe comme un jeu plutôt qu'une guerre de tranchées assez stérile.
Bah... elle n'est ni vraiment pire ni vraiment meilleure.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
filh
Ghost Rider wrote:
Quand a l'orthographe, pour certain, c'est la science des imbéciles...
Quant à l'orthographe, pour certains...
Hum, sans l'orthographe, comment ferait-on la différence entre :
Ma foi on la fait à l'oral sans forcément toujours une différence de prononciation :)
On fait aussi la différence entre tu et tu par exemple. Voire on fait ausi la différence entre homographes :)
tu t'es tu ? Il est à l'est ?
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Ghost Rider <Ghost-Rider@in-the-sky.net> wrote:
Quand a l'orthographe, pour certain, c'est la science des imbéciles...
Quant à l'orthographe, pour certains...
Hum, sans l'orthographe, comment ferait-on la différence entre :
Ma foi on la fait à l'oral sans forcément toujours une différence de
prononciation :)
On fait aussi la différence entre tu et tu par exemple. Voire on fait
ausi la différence entre homographes :)
tu t'es tu ?
Il est à l'est ?
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Quand a l'orthographe, pour certain, c'est la science des imbéciles...
Quant à l'orthographe, pour certains...
Hum, sans l'orthographe, comment ferait-on la différence entre :
Ma foi on la fait à l'oral sans forcément toujours une différence de prononciation :)
On fait aussi la différence entre tu et tu par exemple. Voire on fait ausi la différence entre homographes :)
tu t'es tu ? Il est à l'est ?
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
p.c.
Hum, sans l'orthographe, comment ferait-on la différence entre : - ver, vert, vers, verre, vair - père, pair, perd, pers - mère, mer, maire, - ton, thon - entre, antre - fils, fissent - colle, col - dur, dure - doigt, dois, doit - soie, soit, sois - mal, malle - palais, palet - chat, chas - haut, eau, Ô - cher, chère, chair, chaire, Cher - quand, quant, Caen, qu'en, camps ? Etc...
Pourtant, à l'oral, nous la faisons. Camps panse tue ?
Hum, sans l'orthographe, comment ferait-on la différence entre :
Le contexte... et on a un cerveau, autant (ou au temps ?) s'en servir.
-- Alain.
Den
Quand a l'orthographe, pour certain, c'est la science des imbéciles...
Quant à l'orthographe, pour certains...
Hum, sans l'orthographe, comment ferait-on la différence entre : - ver, vert, vers, verre, vair - père, pair, perd, pers - mère, mer, maire, - ton, thon - entre, antre - fils, fissent - colle, col - dur, dure - doigt, dois, doit - soie, soit, sois - mal, malle - palais, palet - chat, chas - haut, eau, Ô - cher, chère, chair, chaire, Cher - quand, quant, Caen, qu'en, camps ? Etc...
Ghost Rider
Sans compter que certains fours banaux peuvent être tout à fait... banals !
Plus subtil : bien que je n'aime pas les sardines à l'huile, je préfère les sardines à l'huile. Quand on vous dis que l'orthographe et la grammaire donnent du sens !!
Allez, un p'tit dernier pour la route (merci R. Devos) : j'ois ce qu'oit l'oie de Louis, qui lui oit ce que l'oie oit.
Cordialement, Den
-- Pour me répondre en privé, enlever "pubpasglop" de mon adresse.
Quand a l'orthographe, pour certain, c'est la science des imbéciles...
Quant à l'orthographe, pour certains...
Hum, sans l'orthographe, comment ferait-on la différence entre :
- ver, vert, vers, verre, vair
- père, pair, perd, pers
- mère, mer, maire,
- ton, thon
- entre, antre
- fils, fissent
- colle, col
- dur, dure
- doigt, dois, doit
- soie, soit, sois
- mal, malle
- palais, palet
- chat, chas
- haut, eau, Ô
- cher, chère, chair, chaire, Cher
- quand, quant, Caen, qu'en, camps ?
Etc...
Ghost Rider
Sans compter que certains fours banaux peuvent être tout à fait... banals !
Plus subtil : bien que je n'aime pas les sardines à l'huile, je préfère
les sardines à l'huile.
Quand on vous dis que l'orthographe et la grammaire donnent du sens !!
Allez, un p'tit dernier pour la route (merci R. Devos) : j'ois ce qu'oit
l'oie de Louis, qui lui oit ce que l'oie oit.
Cordialement,
Den
--
Pour me répondre en privé, enlever "pubpasglop" de mon adresse.
Quand a l'orthographe, pour certain, c'est la science des imbéciles...
Quant à l'orthographe, pour certains...
Hum, sans l'orthographe, comment ferait-on la différence entre : - ver, vert, vers, verre, vair - père, pair, perd, pers - mère, mer, maire, - ton, thon - entre, antre - fils, fissent - colle, col - dur, dure - doigt, dois, doit - soie, soit, sois - mal, malle - palais, palet - chat, chas - haut, eau, Ô - cher, chère, chair, chaire, Cher - quand, quant, Caen, qu'en, camps ? Etc...
Ghost Rider
Sans compter que certains fours banaux peuvent être tout à fait... banals !
Plus subtil : bien que je n'aime pas les sardines à l'huile, je préfère les sardines à l'huile. Quand on vous dis que l'orthographe et la grammaire donnent du sens !!
Allez, un p'tit dernier pour la route (merci R. Devos) : j'ois ce qu'oit l'oie de Louis, qui lui oit ce que l'oie oit.
Cordialement, Den
-- Pour me répondre en privé, enlever "pubpasglop" de mon adresse.
Ghost Rider
Pourtant, à l'oral, nous la faisons. Camps panse tue ?
Oui on la fait mais le contexte y aide beaucoup. Si je converse avec quelqu'un, au bord de la mer et que l'un dit: "la mer monte", il n'y a pas d'ambigüité. Si je lis un livre qui commence ainsi: "La mer montait vivement depuis quelques minutes", et que l'orthographe unifiée a décidé que mer, m ère, maire s'écriraient désormais tous "mer", je ne sais pas si c'est la m er ou la mère qui monte.
Un truc rigolo: dans Cendrillon, la pantoufle est en verre, ou en vair, une sorte de fourrure. Le titre initial donne verre, mais certains pensent qu'il s'agit de vair, considérant qu'à l'époque, l'orthogra phe n'était pas fixée. Le mystère demeure donc suspendue à une éven tuelle faute d'orthographe.
Un autre truc rigolo, c'est qu'à Lyon, on ne dit pas descendre, mais deuscendre. Et ta mère, elle arrive ? Oui, oui, ma mère descend...
Ghost Rider
Pourtant, à l'oral, nous la faisons.
Camps panse tue ?
Oui on la fait mais le contexte y aide beaucoup.
Si je converse avec quelqu'un, au bord de la mer et que l'un dit: "la
mer monte", il n'y a pas d'ambigüité.
Si je lis un livre qui commence ainsi: "La mer montait vivement depuis
quelques minutes", et que l'orthographe unifiée a décidé que mer, m ère,
maire s'écriraient désormais tous "mer", je ne sais pas si c'est la m er
ou la mère qui monte.
Un truc rigolo: dans Cendrillon, la pantoufle est en verre, ou en vair,
une sorte de fourrure. Le titre initial donne verre, mais certains
pensent qu'il s'agit de vair, considérant qu'à l'époque, l'orthogra phe
n'était pas fixée. Le mystère demeure donc suspendue à une éven tuelle
faute d'orthographe.
Un autre truc rigolo, c'est qu'à Lyon, on ne dit pas descendre, mais
deuscendre.
Et ta mère, elle arrive ?
Oui, oui, ma mère descend...
Pourtant, à l'oral, nous la faisons. Camps panse tue ?
Oui on la fait mais le contexte y aide beaucoup. Si je converse avec quelqu'un, au bord de la mer et que l'un dit: "la mer monte", il n'y a pas d'ambigüité. Si je lis un livre qui commence ainsi: "La mer montait vivement depuis quelques minutes", et que l'orthographe unifiée a décidé que mer, m ère, maire s'écriraient désormais tous "mer", je ne sais pas si c'est la m er ou la mère qui monte.
Un truc rigolo: dans Cendrillon, la pantoufle est en verre, ou en vair, une sorte de fourrure. Le titre initial donne verre, mais certains pensent qu'il s'agit de vair, considérant qu'à l'époque, l'orthogra phe n'était pas fixée. Le mystère demeure donc suspendue à une éven tuelle faute d'orthographe.
Un autre truc rigolo, c'est qu'à Lyon, on ne dit pas descendre, mais deuscendre. Et ta mère, elle arrive ? Oui, oui, ma mère descend...
Ghost Rider
anneleguennec
Ghost Rider wrote:
Le latin ne pouvait, amha, être une langue *morte* à son origine. Il est apparu vers 2000 avant JC et on a parlé un latin vulgaire jusqu'au 9ème siècle avant la séparation d'avec les langues locales. Cette langue a beaucoup évolué pendant cette période et après elle, elle est restée la langue de l'université jusqu'au bas moyen-âge et la langue diplomatique plus tard encore. Le latin a été pratiqué pendant 3700 ans. Newton a écrit, en 1687, les lois de la chute des corps en latin ! Le latin n'est d'ailleurs pas strictement une langue morte, il reste la langue officielle de l'Eglise catholique et l'étude du droit canon se fait en latin.
Paradoxe, encore que, une langue motte peut être utilisée. Mais pas par des locuteurs bien vivants. Par définition, elle devient litanies avant tout.
Le latin dont je parle est celui des grands discours, le français vient largement plus du latin vulgaire, sans compter, et c'est pour ça que la langue vit et assez bien, les (maigres) apports gaulois, le (nombreux) apports arabes et bien d'autres.
Le latin a servi, et pas toujours bien, à justifier l'orthographe actuelle et sert à "fabriquer" bien des termes nouveaux, encore que le grec est bien plus riche, de ce point de vue, et bien souvent, les gamins adorent fabriquer du vocabulaire de cette façon.
Après, chaque langue a évolué par un conglomérat entre langue locale pré latine et langue des troufions occupants, pas langue des gouverneurs. D'où des adaptations parfois savoureuses. D'où aussi, la facilité à déchiffrer une langue latine dès que l'on a connaissance autres que le français. La parler est autre chose, à cause d'accents locaux.
Ghost Rider <Ghost-Rider@in-the-sky.net> wrote:
Le latin ne pouvait, amha, être une langue *morte* à son origine. Il est
apparu vers 2000 avant JC et on a parlé un latin vulgaire jusqu'au 9ème
siècle avant la séparation d'avec les langues locales. Cette langue a
beaucoup évolué pendant cette période et après elle, elle est restée la
langue de l'université jusqu'au bas moyen-âge et la langue diplomatique
plus tard encore. Le latin a été pratiqué pendant 3700 ans. Newton a
écrit, en 1687, les lois de la chute des corps en latin ! Le latin n'est
d'ailleurs pas strictement une langue morte, il reste la langue
officielle de l'Eglise catholique et l'étude du droit canon se fait en
latin.
Paradoxe, encore que, une langue motte peut être utilisée. Mais pas par
des locuteurs bien vivants. Par définition, elle devient litanies avant
tout.
Le latin dont je parle est celui des grands discours, le français vient
largement plus du latin vulgaire, sans compter, et c'est pour ça que la
langue vit et assez bien, les (maigres) apports gaulois, le (nombreux)
apports arabes et bien d'autres.
Le latin a servi, et pas toujours bien, à justifier l'orthographe
actuelle et sert à "fabriquer" bien des termes nouveaux, encore que le
grec est bien plus riche, de ce point de vue, et bien souvent, les
gamins adorent fabriquer du vocabulaire de cette façon.
Après, chaque langue a évolué par un conglomérat entre langue locale pré
latine et langue des troufions occupants, pas langue des gouverneurs.
D'où des adaptations parfois savoureuses. D'où aussi, la facilité à
déchiffrer une langue latine dès que l'on a connaissance autres que le
français. La parler est autre chose, à cause d'accents locaux.
Le latin ne pouvait, amha, être une langue *morte* à son origine. Il est apparu vers 2000 avant JC et on a parlé un latin vulgaire jusqu'au 9ème siècle avant la séparation d'avec les langues locales. Cette langue a beaucoup évolué pendant cette période et après elle, elle est restée la langue de l'université jusqu'au bas moyen-âge et la langue diplomatique plus tard encore. Le latin a été pratiqué pendant 3700 ans. Newton a écrit, en 1687, les lois de la chute des corps en latin ! Le latin n'est d'ailleurs pas strictement une langue morte, il reste la langue officielle de l'Eglise catholique et l'étude du droit canon se fait en latin.
Paradoxe, encore que, une langue motte peut être utilisée. Mais pas par des locuteurs bien vivants. Par définition, elle devient litanies avant tout.
Le latin dont je parle est celui des grands discours, le français vient largement plus du latin vulgaire, sans compter, et c'est pour ça que la langue vit et assez bien, les (maigres) apports gaulois, le (nombreux) apports arabes et bien d'autres.
Le latin a servi, et pas toujours bien, à justifier l'orthographe actuelle et sert à "fabriquer" bien des termes nouveaux, encore que le grec est bien plus riche, de ce point de vue, et bien souvent, les gamins adorent fabriquer du vocabulaire de cette façon.
Après, chaque langue a évolué par un conglomérat entre langue locale pré latine et langue des troufions occupants, pas langue des gouverneurs. D'où des adaptations parfois savoureuses. D'où aussi, la facilité à déchiffrer une langue latine dès que l'on a connaissance autres que le français. La parler est autre chose, à cause d'accents locaux.
Den
Quand on vous dis que (couic) Damned !! "Quand on vous dit", bien sûr.
Den
-- Pour me répondre en privé, enlever "pubpasglop" de mon adresse.
Quand on vous dis que (couic)
Damned !! "Quand on vous dit", bien sûr.
Den
--
Pour me répondre en privé, enlever "pubpasglop" de mon adresse.
Quand on vous dis que (couic) Damned !! "Quand on vous dit", bien sûr.
Den
-- Pour me répondre en privé, enlever "pubpasglop" de mon adresse.
Ghost Rider
Plus subtil : bien que je n'aime pas les sardines à l'huile, je pré fère les sardines à l'huile.
Tu triches un peu, il manque (presque) une virgule !
Ça se passe dans une école de campagne. L'inspecteur est là, en présence de l'instituteur et du maire, qui a tenu à assister à la visite d'inspection. Un élève est interrogé, qui est incapable de ponctuer convenablemen t une phrase simple. L'inspecteur n'est pas content mais le maire trouve que la ponctuation ne sert à rien. Il se tourne vers l'instituteur et lui dit en aparté : "L'inspecteur es t un idiot." L'inspecteur entend cela et passe alors au tableau sur lequel il écrit les deux phrases suivantes: "Le maire dit: l'inspecteur est un idiot." "Le maire, dit l'inspecteur, est un idiot." ....
Quand on vous dis que l'orthographe et la grammaire donnent du sens !!
Allez, un p'tit dernier pour la route (merci R. Devos) : j'ois ce qu'oi t l'oie de Louis, qui lui oit ce que l'oie oit.
Quand elle jouira, j'ouïrai, Oh, que j'ouïsse sa joie !
Ghost Rider
Plus subtil : bien que je n'aime pas les sardines à l'huile, je pré fère
les sardines à l'huile.
Tu triches un peu, il manque (presque) une virgule !
Ça se passe dans une école de campagne.
L'inspecteur est là, en présence de l'instituteur et du maire, qui a
tenu à assister à la visite d'inspection.
Un élève est interrogé, qui est incapable de ponctuer convenablemen t une
phrase simple. L'inspecteur n'est pas content mais le maire trouve que
la ponctuation ne sert à rien.
Il se tourne vers l'instituteur et lui dit en aparté : "L'inspecteur es t
un idiot."
L'inspecteur entend cela et passe alors au tableau sur lequel il écrit
les deux phrases suivantes:
"Le maire dit: l'inspecteur est un idiot."
"Le maire, dit l'inspecteur, est un idiot."
....
Quand on vous dis que l'orthographe et la grammaire donnent du sens !!
Allez, un p'tit dernier pour la route (merci R. Devos) : j'ois ce qu'oi t
l'oie de Louis, qui lui oit ce que l'oie oit.
Quand elle jouira, j'ouïrai, Oh, que j'ouïsse sa joie !
Plus subtil : bien que je n'aime pas les sardines à l'huile, je pré fère les sardines à l'huile.
Tu triches un peu, il manque (presque) une virgule !
Ça se passe dans une école de campagne. L'inspecteur est là, en présence de l'instituteur et du maire, qui a tenu à assister à la visite d'inspection. Un élève est interrogé, qui est incapable de ponctuer convenablemen t une phrase simple. L'inspecteur n'est pas content mais le maire trouve que la ponctuation ne sert à rien. Il se tourne vers l'instituteur et lui dit en aparté : "L'inspecteur es t un idiot." L'inspecteur entend cela et passe alors au tableau sur lequel il écrit les deux phrases suivantes: "Le maire dit: l'inspecteur est un idiot." "Le maire, dit l'inspecteur, est un idiot." ....
Quand on vous dis que l'orthographe et la grammaire donnent du sens !!
Allez, un p'tit dernier pour la route (merci R. Devos) : j'ois ce qu'oi t l'oie de Louis, qui lui oit ce que l'oie oit.
Quand elle jouira, j'ouïrai, Oh, que j'ouïsse sa joie !