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Nikon D5200

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Claudio Bonavolta
http://www.nikon.ch/fr_CH/product/digital-cameras/slr/consumer/d5200

Claudio Bonavolta
www.bonavolta.ch

10 réponses

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Jean-Pierre Roche
Le 06/11/2012 19:26, Maréchal Nouvoilat. a écrit :

Heureux d'apprendre qu'un télescope, une loupe bino,
un microscope ou un soufflet PB6 sont des antiquités
optiques; un capteur plus modeste et une mesure lumière
polyvalente, flash compris, me paraissent plus utiles que
l'argument marketing que sont les pixels bodybuildés,
lesquels nécessitent des objectifs à la hauteur (et donc
couteux)
ce qui va à l'encontre de la philosophie qui préside à la
conception "cheap" de ce type de boitier.
Ces limitation mises à part, les D5100, 3200 et 5200 aux
caractéristiques voisines offrent à peu près tout ce qu'un
amateur exigeant est en droit d'attendre, il faudra juste
songer à leur adjoindre les objectifs qui vont bien avec
la charge financière que celà implique.



C'est juste que ce type de boîtier n'a pas la prétention
d'être universel mais d'apporter tout ce qui est utile à 99
% des photographes amateur à un prix attractif.
Les autres peuvent toujours acheter plus gros, plus lourd et
plus cher...


--
Jean-Pierre Roche

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Bour-Brown
Jean-Pierre Roche a écrit
( k7d2l6$1rfo$ )

C'est juste que ce type de boîtier n'a pas la prétention d'être universel
mais d'apporter tout ce qui est utile à 99 % des photographes amateur à un
prix attractif.



On peut voir les choses autrement.

Moi, amateur, je croyais vraiment que le TTL signifiait « trough the lens »
et que le boîtier était capable de faire sa mesure lumière tout seul, comme
un grand, quoi qu'on mette devant. C'était, je crois bien, la révolution de
la fin des années 70.

Et là je ne comprends plus.

Actuellement, Nikon propose quinze reflex différents, avec pas moins de six
types de résolution (10, 12, 14, 16, 24 et 36 Mpx), et selon les modèles,
serait incapable de mesurer la lumière sans des objectifs idoines, c'est ça
?
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Jean-Pierre Roche
Le 07/11/2012 08:58, Bour-Brown a écrit :

Moi, amateur, je croyais vraiment que le TTL signifiait «
trough the lens »
et que le boîtier était capable de faire sa mesure lumière
tout seul, comme
un grand, quoi qu'on mette devant. C'était, je crois bien,
la révolution de
la fin des années 70.



C'est, en gros, ce à quoi on est arrivé quelques dizaines
d'années plus tard... Le problème étant sensiblement plus
complexe qu'il n'y parait et demandant donc des moyens assez
élaborés (et de la puissance de calcul).

Actuellement, Nikon propose quinze reflex différents, avec
pas moins de six types de résolution (10, 12, 14, 16, 24 et
36 Mpx), et selon les modèles, serait incapable de mesurer
la lumière sans des objectifs idoines, c'est ça ?



Pas exactement. Depuis une trentaine d'années les optiques
contiennent de l'électronique pour communiquer avec le
boîtier. Et donc les boîtiers actuels sont souvent
incapables d'exploiter les optiques datant de l'ère
précédente. Soit en raison d'un changement radical de
monture (comme chez Canon) soit en raison de l'absence de
transmission des données. C'est le cas des boîtiers Nikon
grand public car le grand public ne va pas se compliquer la
vie avec une optique aussi peu pratique. Pour les pros et
les passonnés, les boîtiers de la gamme pro savent tout
faire et utiliser tout ce qui se monte mécaniquement (la
monture Nikon F est la même depuis son apparition à la fin
des années 50...). C'est un choix logique pour proposer des
produits grand public au meilleur prix.

--
Jean-Pierre Roche

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Jean-Pierre Roche
Le 07/11/2012 09:18, Jean-Pierre Roche a écrit :
Le 07/11/2012 08:58, Bour-Brown a écrit :

Moi, amateur, je croyais vraiment que le TTL signifiait «
trough the lens »
et que le boîtier était capable de faire sa mesure lumière
tout seul, comme
un grand, quoi qu'on mette devant. C'était, je crois bien,
la révolution de
la fin des années 70.





Précisions : TTL c'est bien « trough the lens » et c'est
plutôt apparu dans les années 60, la chose étant déjà
standard fin des années 60 (Canon, Minolta, Nikon, Pentax,
etc.). Sous des formes plus ou moins élaborées.


--
Jean-Pierre Roche

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jdanield
Le 07/11/2012 09:25, Jean-Pierre Roche a écrit :

Précisions : TTL c'est bien « trough the lens » et c'est plutôt apparu
dans les années 60, la chose étant déjà standard fin des années 60
(Canon, Minolta, Nikon, Pentax, etc.). Sous des formes plus ou moins
élaborées.




ne pas confondre avec le même sigle en électronique (TTL=Transistor
Transistor Logic)

jdd
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Bour-Brown
Jean-Pierre Roche a écrit
( k7d5fr$200t$ )

Depuis une trentaine d'années les optiques contiennent de l'électronique
pour communiquer avec le boîtier. Et donc les boîtiers actuels sont
souvent incapables d'exploiter les optiques datant de l'ère précédente.



Si je comprends bien, on a droit à un max de comm' pour les reflex (vs les
hybrides, les bridges ou autre) expliquant que grâce à telle ou telle
monture, on bénéficie justement de l'immense parc déjà disponible, et
finalement chaque génération n'est fonctionnelle à 100% qu'avec une gamme
d'objectifs bien précise.


C'est un choix logique pour proposer des produits grand public au meilleur
prix.



C'est cette logique qui fait qu'aujourd'hui, un hybride ou un bridge propose
encore mieux pour encore moins cher : on ne se soucie pas d'une quelconque
compatibilité, on fait le produit le plus pointu possible selon un cahier de
charge et une enveloppe donnée, et l'acheteur en a exactement pour son
argent.
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Bour-Brown
Jean-Pierre Roche a écrit
( k7d5t0$218d$ )

Précisions : TTL c'est bien « trough the lens » et c'est plutôt apparu
dans les années 60, la chose étant déjà standard fin des années 60 (Canon,
Minolta, Nikon, Pentax, etc.). Sous des formes plus ou moins élaborées.



Moi mon souvenir, c'était l'Olympus avec son obturateur à damier, aux
possibilités révolutionnaires dixit la pub', mais que le prix rendait me
inaccessible. Quand j'ai vu qu'avec le A1, je pouvais lui coller n'importe
quoi devant le museau et que le boîtier savait ajuster son flash pour
compenser exactement, je me suis dit que c'était définitivement gagné.

Semblerait bien que non, alors ?
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Jean-Pierre Roche
Le 07/11/2012 09:57, Bour-Brown a écrit :

Moi mon souvenir, c'était l'Olympus avec son obturateur à
damier, aux
possibilités révolutionnaires dixit la pub', mais que le
prix rendait me
inaccessible. Quand j'ai vu qu'avec le A1, je pouvais lui
coller n'importe
quoi devant le museau et que le boîtier savait ajuster son
flash pour
compenser exactement, je me suis dit que c'était
définitivement gagné.

Semblerait bien que non, alors ?



Non la TTL au flash c'est encore autre chose. Et finalement
c'est d'un usage relativement limité. C'est Olympus et
Pentax qui étaient en pointe sur le sujet. J'ai toujours un
Pentax LX dans un placard...
Pour la plupart des gens, le gros progrès était bien la TTL
classique.


--
Jean-Pierre Roche

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Jean-Pierre Roche
Le 07/11/2012 09:57, Bour-Brown a écrit :

Si je comprends bien, on a droit à un max de comm' pour les
reflex (vs les
hybrides, les bridges ou autre) expliquant que grâce à telle
ou telle
monture, on bénéficie justement de l'immense parc déjà
disponible, et
finalement chaque génération n'est fonctionnelle à 100%
qu'avec une gamme
d'objectifs bien précise.



? utiliser des optiques qui ont 30 ans d'âge au plus ça ne
recouvre pas les besoins de la plupart des gens ? Pour le
reste, il est évident qu'on ne trouvera pas sur une optique
des années 90 tout ce qu'on a sur un modèle qui vient de
sortir. Mais elle est utilisable: mon parc d'optiques
"numériques" a longtemps été constitué de modèles acquis du
temps de l'argentique et ça a bien facilité le passage !

C'est un choix logique pour proposer des produits grand
public au meilleur
prix.



C'est cette logique qui fait qu'aujourd'hui, un hybride ou
un bridge propose
encore mieux pour encore moins cher : on ne se soucie pas
d'une quelconque
compatibilité, on fait le produit le plus pointu possible
selon un cahier de
charge et une enveloppe donnée, et l'acheteur en a
exactement pour son
argent.



? quand on raisonne en termes de parc d'optiques on a une
toute autre vision des choses. Surtout si on a besoin (ou
envie) d'utiliser des modèles qui coûtent plusieurs milliers
d'euros... Le principe du jetable n'est pas forcément
séduisant à long terme.

--
Jean-Pierre Roche

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YouDontNeedToKnowButItsNoëlle
Le 07/11/12 09:57, Bour-Brown a écrit :
Jean-Pierre Roche a écrit
( k7d5fr$200t$ )

Depuis une trentaine d'années les optiques contiennent de l'électronique
pour communiquer avec le boîtier. Et donc les boîtiers actuels sont
souvent incapables d'exploiter les optiques datant de l'ère précédente.



Si je comprends bien, on a droit à un max de comm' pour les reflex (vs les
hybrides, les bridges ou autre) expliquant que grâce à telle ou telle
monture, on bénéficie justement de l'immense parc déjà disponible, et
finalement chaque génération n'est fonctionnelle à 100% qu'avec une gamme
d'objectifs bien précise.



Ça dépend de ta notion de génération : une génération d'objectifs c'est
autour de 10 ans ou moins, on peut sans problème bénéficier des 3 ou 4
générations précédentes.
y compris sur des boitiers bas de gamme. Mon 80-200 2,8 a par exemple 4
ou 5 nouvelles génération après lui. C'est rare que j'achète des
objectifs neufs, en terme de générations, j'en ai souvent 2 ou 3 de
retard.
Par contre, en terme de générations humaines, on ne peut pas utiliser
les objectifs que son papa a acheté dans sa jeunesse et avoir une mesure
de lumière fiable sur un botier bas de gamme. Mais on peut quand même
les utiliser, à l'histogramme. Ou chercher le boitier haut de gamme de
la génération -1 :).

charge et une enveloppe donnée, et l'acheteur en a exactement pour son
argent.



Le souci des hybrides c'est que pour son argent, on en a moins que pour
le reflex de base avec son zoom de kit.
Ne pas se méprendre : je crois beaucoup aux hybrides parce que la
compacité est un atout majeur. Mais le rapport utilisabilité-prix est
derrière celui des reflex entrée de gamme. Alors que les compacts haut
de gamme sont cohérents.

Noëlle Adam
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