Setup.exe wrote:
Oui, je dois avouer que je suis un peu perdu dans ce débat. A mon
échelle (minuscule et certes tout à fait amateure), je constate juste
que tout ce qui se passe après la prise de vue réserve souvent des
surprises - au niveau de l'appareil lui même (cf le point de départ
de ce fil) jusqu'aux différences à l'impression, marges physique dues
au façonnage etc ...
Après, que le photographe compose justement avec une éspèce de marge
d'erreur pour corriger le tir (ne pas se trouver coincé si'l ne
laisse pas un peu de "jeu"), c'est ce que je voulais dire par
travailler "au milimètre" - et c'est un paradoxe.
En fait, on peut dire qu'il travaille en effet en vue de l'utilisation
finale, c'est pourquoi effectivement il se garde toujours une marge, ce
qu'on appelle une marge technique en fait, une sécurité pour pas être ric
rac.
Encore que les choses ont terriblement évolué depuis le numérique, avant
pour ne pas avoir a faire un détourage on travaillait sur des fonds
blancs, des tables transparents, ça faisait ce qu'on appelait un "
défonçage " automatique, mais il faut bien exposer.
maintenant, le fond, tu t'en fiches un peu, tu peux utiliser la technique
du studio vert ou bleu, et ça devient très facile
J'ai vu sur certains salons, des tentes blanches très bien faites, tu n'as
plus qu'à mettre quelques éclairages, même tungstène, peu importe et tu
shootes au bureau des images qui auraient demandé l'intervention d'un
professionnel.
Reste quelques détails à mettre au point pour que ce soit parfait, et pour
pas cher, instantanément en plus.
--
G.Ricco
Setup.exe wrote:
Oui, je dois avouer que je suis un peu perdu dans ce débat. A mon
échelle (minuscule et certes tout à fait amateure), je constate juste
que tout ce qui se passe après la prise de vue réserve souvent des
surprises - au niveau de l'appareil lui même (cf le point de départ
de ce fil) jusqu'aux différences à l'impression, marges physique dues
au façonnage etc ...
Après, que le photographe compose justement avec une éspèce de marge
d'erreur pour corriger le tir (ne pas se trouver coincé si'l ne
laisse pas un peu de "jeu"), c'est ce que je voulais dire par
travailler "au milimètre" - et c'est un paradoxe.
En fait, on peut dire qu'il travaille en effet en vue de l'utilisation
finale, c'est pourquoi effectivement il se garde toujours une marge, ce
qu'on appelle une marge technique en fait, une sécurité pour pas être ric
rac.
Encore que les choses ont terriblement évolué depuis le numérique, avant
pour ne pas avoir a faire un détourage on travaillait sur des fonds
blancs, des tables transparents, ça faisait ce qu'on appelait un "
défonçage " automatique, mais il faut bien exposer.
maintenant, le fond, tu t'en fiches un peu, tu peux utiliser la technique
du studio vert ou bleu, et ça devient très facile
J'ai vu sur certains salons, des tentes blanches très bien faites, tu n'as
plus qu'à mettre quelques éclairages, même tungstène, peu importe et tu
shootes au bureau des images qui auraient demandé l'intervention d'un
professionnel.
Reste quelques détails à mettre au point pour que ce soit parfait, et pour
pas cher, instantanément en plus.
--
G.Ricco
Setup.exe wrote:
Oui, je dois avouer que je suis un peu perdu dans ce débat. A mon
échelle (minuscule et certes tout à fait amateure), je constate juste
que tout ce qui se passe après la prise de vue réserve souvent des
surprises - au niveau de l'appareil lui même (cf le point de départ
de ce fil) jusqu'aux différences à l'impression, marges physique dues
au façonnage etc ...
Après, que le photographe compose justement avec une éspèce de marge
d'erreur pour corriger le tir (ne pas se trouver coincé si'l ne
laisse pas un peu de "jeu"), c'est ce que je voulais dire par
travailler "au milimètre" - et c'est un paradoxe.
En fait, on peut dire qu'il travaille en effet en vue de l'utilisation
finale, c'est pourquoi effectivement il se garde toujours une marge, ce
qu'on appelle une marge technique en fait, une sécurité pour pas être ric
rac.
Encore que les choses ont terriblement évolué depuis le numérique, avant
pour ne pas avoir a faire un détourage on travaillait sur des fonds
blancs, des tables transparents, ça faisait ce qu'on appelait un "
défonçage " automatique, mais il faut bien exposer.
maintenant, le fond, tu t'en fiches un peu, tu peux utiliser la technique
du studio vert ou bleu, et ça devient très facile
J'ai vu sur certains salons, des tentes blanches très bien faites, tu n'as
plus qu'à mettre quelques éclairages, même tungstène, peu importe et tu
shootes au bureau des images qui auraient demandé l'intervention d'un
professionnel.
Reste quelques détails à mettre au point pour que ce soit parfait, et pour
pas cher, instantanément en plus.
--
G.Ricco
Je viens de poser 7 pellicules diapo faîtes avec le F4 : reproduction de
documents cadrés pile ric rac au milimètre,
Micro-Nikkor 55 mm qui permet de prendre quasiment un timbre poste avec une
clarté et un piqué fantastiques ...
A noter que le F4 de par son poids plus important (que mes autres reflexes
type FA) m'a étonné en ceci qu'il me semble mieux adapté pour réguler,
freiner, contrebalancer les tensions du bras et les tremblements naturels du
corps (alors que je m'attendais à l'inverse avant d'oser m'en servir !).
Je viens de poser 7 pellicules diapo faîtes avec le F4 : reproduction de
documents cadrés pile ric rac au milimètre,
Micro-Nikkor 55 mm qui permet de prendre quasiment un timbre poste avec une
clarté et un piqué fantastiques ...
A noter que le F4 de par son poids plus important (que mes autres reflexes
type FA) m'a étonné en ceci qu'il me semble mieux adapté pour réguler,
freiner, contrebalancer les tensions du bras et les tremblements naturels du
corps (alors que je m'attendais à l'inverse avant d'oser m'en servir !).
Je viens de poser 7 pellicules diapo faîtes avec le F4 : reproduction de
documents cadrés pile ric rac au milimètre,
Micro-Nikkor 55 mm qui permet de prendre quasiment un timbre poste avec une
clarté et un piqué fantastiques ...
A noter que le F4 de par son poids plus important (que mes autres reflexes
type FA) m'a étonné en ceci qu'il me semble mieux adapté pour réguler,
freiner, contrebalancer les tensions du bras et les tremblements naturels du
corps (alors que je m'attendais à l'inverse avant d'oser m'en servir !).
Je viens de poser 7 pellicules diapo faîtes avec le F4 : reproduction de
documents cadrés pile ric rac au milimètre, pour ne pas avoir ni à couper
dans les images ni voir apparaître le fond du banc de repro (en fait juste
une veste noire, pour des shoots en lumière du jour pendant que je garde ma
fille au square après l'école).
Question : l'objectif utilisé ne joue pas dans cette histoire de cadrage
j'imagine ?
Pour le début j'ai utilisé un Nikon 50 mm avec une lentille de rapprochement
X 1 + une grosse loupe sur pied. Ce que je voyais dans le viseur était
parfait, aucune perte ni rien - juste quelques faux jours sur les images
noir brillant ou de petits problèmes sur les bordures pour des photos trop
grandes (13 x 18). Ensuite hier j'ai acquis semble-t-il le bon outil : un
Micro-Nikkor 55 mm qui permet de prendre quasiment un timbre poste avec une
clarté et un piqué fantastiques ...
A noter que le F4 de par son poids plus important (que mes autres reflexes
type FA) m'a étonné en ceci qu'il me semble mieux adapté pour réguler,
freiner, contrebalancer les tensions du bras et les tremblements naturels du
corps (alors que je m'attendais à l'inverse avant d'oser m'en servir !).
Cela m'a fait penser aux grosses roues en fer pour l'axe des cabestans sur
les magnétophones, ou le principe des magnétos à bandes avec une roue qui
freine et l'autre qui entraîne. J'avais un pied sur moi, mais pas utilisé
pour gagner sur le temps d'ajustage et m'entrainer plus encore au cadrage à
la volée. A ce degré de précision et sans trépied, le seul mouvement de
l'index pour actionner le déclencheur doit être progressif, fluide et très
équilibré.
Pas évident non plus de contrôler en même temps les 4 bordures du cadre,
afin d'être sûr d'être toujours bon sur le document. Ce ce point, le confort
et le placement de l'image reflexe ne vaut pas celle du Contax 139 Q - avec
le F4, on est encore trop la tête dans l'image, et il faut un peu rouler des
yeux pour tenter de voir d'un seul coup d'oeil les 4 bordures.
Je viens de poser 7 pellicules diapo faîtes avec le F4 : reproduction de
documents cadrés pile ric rac au milimètre, pour ne pas avoir ni à couper
dans les images ni voir apparaître le fond du banc de repro (en fait juste
une veste noire, pour des shoots en lumière du jour pendant que je garde ma
fille au square après l'école).
Question : l'objectif utilisé ne joue pas dans cette histoire de cadrage
j'imagine ?
Pour le début j'ai utilisé un Nikon 50 mm avec une lentille de rapprochement
X 1 + une grosse loupe sur pied. Ce que je voyais dans le viseur était
parfait, aucune perte ni rien - juste quelques faux jours sur les images
noir brillant ou de petits problèmes sur les bordures pour des photos trop
grandes (13 x 18). Ensuite hier j'ai acquis semble-t-il le bon outil : un
Micro-Nikkor 55 mm qui permet de prendre quasiment un timbre poste avec une
clarté et un piqué fantastiques ...
A noter que le F4 de par son poids plus important (que mes autres reflexes
type FA) m'a étonné en ceci qu'il me semble mieux adapté pour réguler,
freiner, contrebalancer les tensions du bras et les tremblements naturels du
corps (alors que je m'attendais à l'inverse avant d'oser m'en servir !).
Cela m'a fait penser aux grosses roues en fer pour l'axe des cabestans sur
les magnétophones, ou le principe des magnétos à bandes avec une roue qui
freine et l'autre qui entraîne. J'avais un pied sur moi, mais pas utilisé
pour gagner sur le temps d'ajustage et m'entrainer plus encore au cadrage à
la volée. A ce degré de précision et sans trépied, le seul mouvement de
l'index pour actionner le déclencheur doit être progressif, fluide et très
équilibré.
Pas évident non plus de contrôler en même temps les 4 bordures du cadre,
afin d'être sûr d'être toujours bon sur le document. Ce ce point, le confort
et le placement de l'image reflexe ne vaut pas celle du Contax 139 Q - avec
le F4, on est encore trop la tête dans l'image, et il faut un peu rouler des
yeux pour tenter de voir d'un seul coup d'oeil les 4 bordures.
Je viens de poser 7 pellicules diapo faîtes avec le F4 : reproduction de
documents cadrés pile ric rac au milimètre, pour ne pas avoir ni à couper
dans les images ni voir apparaître le fond du banc de repro (en fait juste
une veste noire, pour des shoots en lumière du jour pendant que je garde ma
fille au square après l'école).
Question : l'objectif utilisé ne joue pas dans cette histoire de cadrage
j'imagine ?
Pour le début j'ai utilisé un Nikon 50 mm avec une lentille de rapprochement
X 1 + une grosse loupe sur pied. Ce que je voyais dans le viseur était
parfait, aucune perte ni rien - juste quelques faux jours sur les images
noir brillant ou de petits problèmes sur les bordures pour des photos trop
grandes (13 x 18). Ensuite hier j'ai acquis semble-t-il le bon outil : un
Micro-Nikkor 55 mm qui permet de prendre quasiment un timbre poste avec une
clarté et un piqué fantastiques ...
A noter que le F4 de par son poids plus important (que mes autres reflexes
type FA) m'a étonné en ceci qu'il me semble mieux adapté pour réguler,
freiner, contrebalancer les tensions du bras et les tremblements naturels du
corps (alors que je m'attendais à l'inverse avant d'oser m'en servir !).
Cela m'a fait penser aux grosses roues en fer pour l'axe des cabestans sur
les magnétophones, ou le principe des magnétos à bandes avec une roue qui
freine et l'autre qui entraîne. J'avais un pied sur moi, mais pas utilisé
pour gagner sur le temps d'ajustage et m'entrainer plus encore au cadrage à
la volée. A ce degré de précision et sans trépied, le seul mouvement de
l'index pour actionner le déclencheur doit être progressif, fluide et très
équilibré.
Pas évident non plus de contrôler en même temps les 4 bordures du cadre,
afin d'être sûr d'être toujours bon sur le document. Ce ce point, le confort
et le placement de l'image reflexe ne vaut pas celle du Contax 139 Q - avec
le F4, on est encore trop la tête dans l'image, et il faut un peu rouler des
yeux pour tenter de voir d'un seul coup d'oeil les 4 bordures.
D'ailleurs en règle générale, en 2009, sauf démarche
artistique particulière, je ne vois vraiment pas qui
peut encore faire de l'argentique.
D'ailleurs en règle générale, en 2009, sauf démarche
artistique particulière, je ne vois vraiment pas qui
peut encore faire de l'argentique.
D'ailleurs en règle générale, en 2009, sauf démarche
artistique particulière, je ne vois vraiment pas qui
peut encore faire de l'argentique.
Setup.exe a écrit :Je viens de poser 7 pellicules diapo faîtes avec le F4 : reproduction de
documents cadrés pile ric rac au milimètre,
à main levée, le ric-rac... un peu ambitieux
Micro-Nikkor 55 mm qui permet de prendre quasiment un timbre poste avec
une
clarté et un piqué fantastiques ...
dans le temps c'était vrai (j'ai eu cet objo avec un F :-), ça doit
toujours être le cas. C'est probablement l'objectif de référence, et
pas seulement en macro, j'ai fait du portrait avec... terrible (éviter
les acnéiques :-).
A noter que le F4 de par son poids plus important (que mes autres
reflexes
type FA) m'a étonné en ceci qu'il me semble mieux adapté pour réguler,
freiner, contrebalancer les tensions du bras et les tremblements naturels
du
corps (alors que je m'attendais à l'inverse avant d'oser m'en servir !).
bien sûr, le poids avantage la stabilité... tant qu'on a pas à le
tenir trop longtemps
jdd
--
http://www.dodin.net
Le wiki des forums son-image français:
http://new.dodin.org/frsv/
http://valerie.dodin.org
Setup.exe a écrit :
Je viens de poser 7 pellicules diapo faîtes avec le F4 : reproduction de
documents cadrés pile ric rac au milimètre,
à main levée, le ric-rac... un peu ambitieux
Micro-Nikkor 55 mm qui permet de prendre quasiment un timbre poste avec
une
clarté et un piqué fantastiques ...
dans le temps c'était vrai (j'ai eu cet objo avec un F :-), ça doit
toujours être le cas. C'est probablement l'objectif de référence, et
pas seulement en macro, j'ai fait du portrait avec... terrible (éviter
les acnéiques :-).
A noter que le F4 de par son poids plus important (que mes autres
reflexes
type FA) m'a étonné en ceci qu'il me semble mieux adapté pour réguler,
freiner, contrebalancer les tensions du bras et les tremblements naturels
du
corps (alors que je m'attendais à l'inverse avant d'oser m'en servir !).
bien sûr, le poids avantage la stabilité... tant qu'on a pas à le
tenir trop longtemps
jdd
--
http://www.dodin.net
Le wiki des forums son-image français:
http://new.dodin.org/frsv/
http://valerie.dodin.org
Setup.exe a écrit :Je viens de poser 7 pellicules diapo faîtes avec le F4 : reproduction de
documents cadrés pile ric rac au milimètre,
à main levée, le ric-rac... un peu ambitieux
Micro-Nikkor 55 mm qui permet de prendre quasiment un timbre poste avec
une
clarté et un piqué fantastiques ...
dans le temps c'était vrai (j'ai eu cet objo avec un F :-), ça doit
toujours être le cas. C'est probablement l'objectif de référence, et
pas seulement en macro, j'ai fait du portrait avec... terrible (éviter
les acnéiques :-).
A noter que le F4 de par son poids plus important (que mes autres
reflexes
type FA) m'a étonné en ceci qu'il me semble mieux adapté pour réguler,
freiner, contrebalancer les tensions du bras et les tremblements naturels
du
corps (alors que je m'attendais à l'inverse avant d'oser m'en servir !).
bien sûr, le poids avantage la stabilité... tant qu'on a pas à le
tenir trop longtemps
jdd
--
http://www.dodin.net
Le wiki des forums son-image français:
http://new.dodin.org/frsv/
http://valerie.dodin.org
Tout ceci est fort intéressant, mais franchement, à part un
fétichisme nostalgique, quel est l'intérêt de l'argentique
pour faire de la repro, à part se compliquer la vie ?
D'ailleurs en règle générale, en 2009, sauf démarche
artistique particulière, je ne vois vraiment pas qui
peut encore faire de l'argentique. Mais enfin
tout le monde est libre tant qu'on fabrique encore
des films et qu'on trouve des labos. Mais ça ne devrait
pas durer très longtemps.
Setup.exe wrote:Je viens de poser 7 pellicules diapo faîtes avec le F4 : reproduction de
documents cadrés pile ric rac au milimètre, pour ne pas avoir ni à couper
dans les images ni voir apparaître le fond du banc de repro (en fait
juste une veste noire, pour des shoots en lumière du jour pendant que je
garde ma fille au square après l'école).
Question : l'objectif utilisé ne joue pas dans cette histoire de cadrage
j'imagine ?
Pour le début j'ai utilisé un Nikon 50 mm avec une lentille de
rapprochement X 1 + une grosse loupe sur pied. Ce que je voyais dans le
viseur était parfait, aucune perte ni rien - juste quelques faux jours
sur les images noir brillant ou de petits problèmes sur les bordures pour
des photos trop grandes (13 x 18). Ensuite hier j'ai acquis semble-t-il
le bon outil : un Micro-Nikkor 55 mm qui permet de prendre quasiment un
timbre poste avec une clarté et un piqué fantastiques ...
A noter que le F4 de par son poids plus important (que mes autres
reflexes type FA) m'a étonné en ceci qu'il me semble mieux adapté pour
réguler, freiner, contrebalancer les tensions du bras et les tremblements
naturels du corps (alors que je m'attendais à l'inverse avant d'oser m'en
servir !).
Cela m'a fait penser aux grosses roues en fer pour l'axe des cabestans
sur les magnétophones, ou le principe des magnétos à bandes avec une roue
qui freine et l'autre qui entraîne. J'avais un pied sur moi, mais pas
utilisé pour gagner sur le temps d'ajustage et m'entrainer plus encore au
cadrage à la volée. A ce degré de précision et sans trépied, le seul
mouvement de l'index pour actionner le déclencheur doit être progressif,
fluide et très équilibré.
Pas évident non plus de contrôler en même temps les 4 bordures du cadre,
afin d'être sûr d'être toujours bon sur le document. Ce ce point, le
confort et le placement de l'image reflexe ne vaut pas celle du Contax
139 Q - avec le F4, on est encore trop la tête dans l'image, et il faut
un peu rouler des yeux pour tenter de voir d'un seul coup d'oeil les 4
bordures.
Tout ceci est fort intéressant, mais franchement, à part un
fétichisme nostalgique, quel est l'intérêt de l'argentique
pour faire de la repro, à part se compliquer la vie ?
D'ailleurs en règle générale, en 2009, sauf démarche
artistique particulière, je ne vois vraiment pas qui
peut encore faire de l'argentique. Mais enfin
tout le monde est libre tant qu'on fabrique encore
des films et qu'on trouve des labos. Mais ça ne devrait
pas durer très longtemps.
Setup.exe wrote:
Je viens de poser 7 pellicules diapo faîtes avec le F4 : reproduction de
documents cadrés pile ric rac au milimètre, pour ne pas avoir ni à couper
dans les images ni voir apparaître le fond du banc de repro (en fait
juste une veste noire, pour des shoots en lumière du jour pendant que je
garde ma fille au square après l'école).
Question : l'objectif utilisé ne joue pas dans cette histoire de cadrage
j'imagine ?
Pour le début j'ai utilisé un Nikon 50 mm avec une lentille de
rapprochement X 1 + une grosse loupe sur pied. Ce que je voyais dans le
viseur était parfait, aucune perte ni rien - juste quelques faux jours
sur les images noir brillant ou de petits problèmes sur les bordures pour
des photos trop grandes (13 x 18). Ensuite hier j'ai acquis semble-t-il
le bon outil : un Micro-Nikkor 55 mm qui permet de prendre quasiment un
timbre poste avec une clarté et un piqué fantastiques ...
A noter que le F4 de par son poids plus important (que mes autres
reflexes type FA) m'a étonné en ceci qu'il me semble mieux adapté pour
réguler, freiner, contrebalancer les tensions du bras et les tremblements
naturels du corps (alors que je m'attendais à l'inverse avant d'oser m'en
servir !).
Cela m'a fait penser aux grosses roues en fer pour l'axe des cabestans
sur les magnétophones, ou le principe des magnétos à bandes avec une roue
qui freine et l'autre qui entraîne. J'avais un pied sur moi, mais pas
utilisé pour gagner sur le temps d'ajustage et m'entrainer plus encore au
cadrage à la volée. A ce degré de précision et sans trépied, le seul
mouvement de l'index pour actionner le déclencheur doit être progressif,
fluide et très équilibré.
Pas évident non plus de contrôler en même temps les 4 bordures du cadre,
afin d'être sûr d'être toujours bon sur le document. Ce ce point, le
confort et le placement de l'image reflexe ne vaut pas celle du Contax
139 Q - avec le F4, on est encore trop la tête dans l'image, et il faut
un peu rouler des yeux pour tenter de voir d'un seul coup d'oeil les 4
bordures.
Tout ceci est fort intéressant, mais franchement, à part un
fétichisme nostalgique, quel est l'intérêt de l'argentique
pour faire de la repro, à part se compliquer la vie ?
D'ailleurs en règle générale, en 2009, sauf démarche
artistique particulière, je ne vois vraiment pas qui
peut encore faire de l'argentique. Mais enfin
tout le monde est libre tant qu'on fabrique encore
des films et qu'on trouve des labos. Mais ça ne devrait
pas durer très longtemps.
Setup.exe wrote:Je viens de poser 7 pellicules diapo faîtes avec le F4 : reproduction de
documents cadrés pile ric rac au milimètre, pour ne pas avoir ni à couper
dans les images ni voir apparaître le fond du banc de repro (en fait
juste une veste noire, pour des shoots en lumière du jour pendant que je
garde ma fille au square après l'école).
Question : l'objectif utilisé ne joue pas dans cette histoire de cadrage
j'imagine ?
Pour le début j'ai utilisé un Nikon 50 mm avec une lentille de
rapprochement X 1 + une grosse loupe sur pied. Ce que je voyais dans le
viseur était parfait, aucune perte ni rien - juste quelques faux jours
sur les images noir brillant ou de petits problèmes sur les bordures pour
des photos trop grandes (13 x 18). Ensuite hier j'ai acquis semble-t-il
le bon outil : un Micro-Nikkor 55 mm qui permet de prendre quasiment un
timbre poste avec une clarté et un piqué fantastiques ...
A noter que le F4 de par son poids plus important (que mes autres
reflexes type FA) m'a étonné en ceci qu'il me semble mieux adapté pour
réguler, freiner, contrebalancer les tensions du bras et les tremblements
naturels du corps (alors que je m'attendais à l'inverse avant d'oser m'en
servir !).
Cela m'a fait penser aux grosses roues en fer pour l'axe des cabestans
sur les magnétophones, ou le principe des magnétos à bandes avec une roue
qui freine et l'autre qui entraîne. J'avais un pied sur moi, mais pas
utilisé pour gagner sur le temps d'ajustage et m'entrainer plus encore au
cadrage à la volée. A ce degré de précision et sans trépied, le seul
mouvement de l'index pour actionner le déclencheur doit être progressif,
fluide et très équilibré.
Pas évident non plus de contrôler en même temps les 4 bordures du cadre,
afin d'être sûr d'être toujours bon sur le document. Ce ce point, le
confort et le placement de l'image reflexe ne vaut pas celle du Contax
139 Q - avec le F4, on est encore trop la tête dans l'image, et il faut
un peu rouler des yeux pour tenter de voir d'un seul coup d'oeil les 4
bordures.
efji a écrit :D'ailleurs en règle générale, en 2009, sauf démarche
artistique particulière, je ne vois vraiment pas qui
peut encore faire de l'argentique.
le plaisir d'utiliser un matériel haut de gamme qui était inaccessible
à l'époque?
efji a écrit :
D'ailleurs en règle générale, en 2009, sauf démarche
artistique particulière, je ne vois vraiment pas qui
peut encore faire de l'argentique.
le plaisir d'utiliser un matériel haut de gamme qui était inaccessible
à l'époque?
efji a écrit :D'ailleurs en règle générale, en 2009, sauf démarche
artistique particulière, je ne vois vraiment pas qui
peut encore faire de l'argentique.
le plaisir d'utiliser un matériel haut de gamme qui était inaccessible
à l'époque?
Si vous avez les moyens de vous acheter un videoprojecteur qualité cinema,
vous devriez vite comprendre que la diapo reste inégalable à bien des égards
.. en méditant sur la facture.
Apprenez aussi qu'une démarche artistque non singulière n'est pas une
démarche artistique. C'est comme si vous aviez dit : monter en haut ou
sortir dehors.
Si vous avez les moyens de vous acheter un videoprojecteur qualité cinema,
vous devriez vite comprendre que la diapo reste inégalable à bien des égards
.. en méditant sur la facture.
Apprenez aussi qu'une démarche artistque non singulière n'est pas une
démarche artistique. C'est comme si vous aviez dit : monter en haut ou
sortir dehors.
Si vous avez les moyens de vous acheter un videoprojecteur qualité cinema,
vous devriez vite comprendre que la diapo reste inégalable à bien des égards
.. en méditant sur la facture.
Apprenez aussi qu'une démarche artistque non singulière n'est pas une
démarche artistique. C'est comme si vous aviez dit : monter en haut ou
sortir dehors.
ça pouvait exister, un 50 (55) qui descende aussi près. Il m'a dit - voyez,
la peinture est un peu partie, pour ça qu'il est si peu cher : 80 euros ..
Vous comprenez, on ne peut le vendre plus dans cet état,
ça pouvait exister, un 50 (55) qui descende aussi près. Il m'a dit - voyez,
la peinture est un peu partie, pour ça qu'il est si peu cher : 80 euros ..
Vous comprenez, on ne peut le vendre plus dans cet état,
ça pouvait exister, un 50 (55) qui descende aussi près. Il m'a dit - voyez,
la peinture est un peu partie, pour ça qu'il est si peu cher : 80 euros ..
Vous comprenez, on ne peut le vendre plus dans cet état,