Delestaque a écrit :
leur savoir faire n'est pas d'être un artiste ou d'être original, mais de
répondre aux demandes et besoins de leur client, c'est tout.
[...]
le cadrage, c'est le labo qui s'en arrange au mieux.
le photographe, au studio, il met en scène l'objet, il l'éclaire, il le
cadre, ce n'est pas un traqueur de pixel ultime, il fait un boulot.
Parfaitement!
SF.
Delestaque a écrit :
leur savoir faire n'est pas d'être un artiste ou d'être original, mais de
répondre aux demandes et besoins de leur client, c'est tout.
[...]
le cadrage, c'est le labo qui s'en arrange au mieux.
le photographe, au studio, il met en scène l'objet, il l'éclaire, il le
cadre, ce n'est pas un traqueur de pixel ultime, il fait un boulot.
Parfaitement!
SF.
Delestaque a écrit :
leur savoir faire n'est pas d'être un artiste ou d'être original, mais de
répondre aux demandes et besoins de leur client, c'est tout.
[...]
le cadrage, c'est le labo qui s'en arrange au mieux.
le photographe, au studio, il met en scène l'objet, il l'éclaire, il le
cadre, ce n'est pas un traqueur de pixel ultime, il fait un boulot.
Parfaitement!
SF.
Setup.exe a écrit :Par défaut - dans les deux sens du terme - il semble que les appareils
réflexe eux-mêmes cadrent plus large - dans le doute ... A supposer un
appareil qui donne à 100 % ce qu'il propose dans le viseur, et des caches
répondant aux standard du 24 x 36 plein cadre - genre avec quatre
équerres de bloquages - on pourrait rêver un résultat idéal - et sans
appel.
Le viseur d'un reflex grand public typique donne 95 % de l'image
enregistrée et pas de façon symétrique : ça peut être un peu plus vers la
gauche et le haut... Ensuite, en professionnel, on sort (ou on sortait) la
diapo du cache et on la met dans le scanner rotatif. Donc le cache...
A ce propos, je trouve toujours un peu dommage la discrimination entre
photographe amateur et photographe pro. Les photographes pro sont en
général de très mauvais et très peu surprenants photographes (mais
parfois ou souvent des êtres passionnants, comme par irradiation -
comprenne qui pourra), aussi tout leur savoir semble ne servir à rien.
Mais je ne veux choquer personne ;)
Un professionnel doit, avant tout, répondre à la demande...Reste que la question du cadrage ne relève pas pas à mon avis d'une manie
ou d'une obsession, mais a dirèctement à voir avec l'essence même de la
photographie. Nul besoin de se sentir un autre HCB pour travailler en ce
sens. Tous ici je pense que nous aimons ce genre de travail ...
On peut aussi cadrer au petit poil assis devant son écran. C'est peut-être
moins spectaculaire mais c'est tout aussi efficace de nos jours...
Setup.exe a écrit :
Par défaut - dans les deux sens du terme - il semble que les appareils
réflexe eux-mêmes cadrent plus large - dans le doute ... A supposer un
appareil qui donne à 100 % ce qu'il propose dans le viseur, et des caches
répondant aux standard du 24 x 36 plein cadre - genre avec quatre
équerres de bloquages - on pourrait rêver un résultat idéal - et sans
appel.
Le viseur d'un reflex grand public typique donne 95 % de l'image
enregistrée et pas de façon symétrique : ça peut être un peu plus vers la
gauche et le haut... Ensuite, en professionnel, on sort (ou on sortait) la
diapo du cache et on la met dans le scanner rotatif. Donc le cache...
A ce propos, je trouve toujours un peu dommage la discrimination entre
photographe amateur et photographe pro. Les photographes pro sont en
général de très mauvais et très peu surprenants photographes (mais
parfois ou souvent des êtres passionnants, comme par irradiation -
comprenne qui pourra), aussi tout leur savoir semble ne servir à rien.
Mais je ne veux choquer personne ;)
Un professionnel doit, avant tout, répondre à la demande...
Reste que la question du cadrage ne relève pas pas à mon avis d'une manie
ou d'une obsession, mais a dirèctement à voir avec l'essence même de la
photographie. Nul besoin de se sentir un autre HCB pour travailler en ce
sens. Tous ici je pense que nous aimons ce genre de travail ...
On peut aussi cadrer au petit poil assis devant son écran. C'est peut-être
moins spectaculaire mais c'est tout aussi efficace de nos jours...
Setup.exe a écrit :Par défaut - dans les deux sens du terme - il semble que les appareils
réflexe eux-mêmes cadrent plus large - dans le doute ... A supposer un
appareil qui donne à 100 % ce qu'il propose dans le viseur, et des caches
répondant aux standard du 24 x 36 plein cadre - genre avec quatre
équerres de bloquages - on pourrait rêver un résultat idéal - et sans
appel.
Le viseur d'un reflex grand public typique donne 95 % de l'image
enregistrée et pas de façon symétrique : ça peut être un peu plus vers la
gauche et le haut... Ensuite, en professionnel, on sort (ou on sortait) la
diapo du cache et on la met dans le scanner rotatif. Donc le cache...
A ce propos, je trouve toujours un peu dommage la discrimination entre
photographe amateur et photographe pro. Les photographes pro sont en
général de très mauvais et très peu surprenants photographes (mais
parfois ou souvent des êtres passionnants, comme par irradiation -
comprenne qui pourra), aussi tout leur savoir semble ne servir à rien.
Mais je ne veux choquer personne ;)
Un professionnel doit, avant tout, répondre à la demande...Reste que la question du cadrage ne relève pas pas à mon avis d'une manie
ou d'une obsession, mais a dirèctement à voir avec l'essence même de la
photographie. Nul besoin de se sentir un autre HCB pour travailler en ce
sens. Tous ici je pense que nous aimons ce genre de travail ...
On peut aussi cadrer au petit poil assis devant son écran. C'est peut-être
moins spectaculaire mais c'est tout aussi efficace de nos jours...
Même actuellement avec, 10 ou 12 Mo tu as vraiment de quoi faire, bon nous
on n'est pas les Experts Miami, on ne recadre pas une tête d'épingle genre
reflets dans la pupille d'une personne pour faire un poster d'une netteté
spectaculaire !
Même actuellement avec, 10 ou 12 Mo tu as vraiment de quoi faire, bon nous
on n'est pas les Experts Miami, on ne recadre pas une tête d'épingle genre
reflets dans la pupille d'une personne pour faire un poster d'une netteté
spectaculaire !
Même actuellement avec, 10 ou 12 Mo tu as vraiment de quoi faire, bon nous
on n'est pas les Experts Miami, on ne recadre pas une tête d'épingle genre
reflets dans la pupille d'une personne pour faire un poster d'une netteté
spectaculaire !
"Delestaque" a écrit dans le message de news:
49f56a27$0$24008$jean-daniel dodin wrote:Delestaque a écrit :
Génial !
"Delestaque" <r.delestaque@free.fr> a écrit dans le message de news:
49f56a27$0$24008$426a34cc@news.free.fr...
jean-daniel dodin wrote:
Delestaque a écrit :
Génial !
"Delestaque" a écrit dans le message de news:
49f56a27$0$24008$jean-daniel dodin wrote:Delestaque a écrit :
Génial !
Ne comparons pas le travail d'un professionnel qui a un cahier des
charges avec un loisir sans autre impératif que de se divertir, de
se faire plaisir, le pro ne fait pas ça pour se faire plaisir, il
travaille. --
G.Ricco
Oui, la réponse est impressionnante (pour moi presque émouvante), et
ce parcours se sent dans tous les (vos) autres mots, en filigranes.
Ceci dit, nuance à apporter aux affirmations citées ci dessus : tous
les grands artistes et tous les grands poètes ont toujours travaillé
directement pour l'humanité, aucun rapport avec le divertissement ou
le loisir, pas le moindre rapport. L'artiste est beaucoup plus proche
des gens qui triment et qui ploient sous un joug - ce que vous
appelez travailler - que des promeneurs et des jouisseurs. * On
dirait qu'il y a une énorme lacune du côté de l'histoire de l'art...
C'est pourquoi j'ai renvoyé à l'étymologie de la "tekne" - visant
une époque et une certaine région où l'on ne connaissait pas le
ressentiment. (ou peut être, on savait le détecter et en faire
quelque chose de lumineux). * Travailler pour que dalle relève d'une
forme d'héroïsme, qui n'a rien à envier aux préoccupations
pragmatiques, aux plus épineuses de ses tribulations. Comme a dit
Charles Baudelaire (pas très copain avec la photographie comme chacun
sait) " La France a eu de grands hommes, mais elle les a toujours eu
malgré elle. " Attention à la morale, quand même ...
- enfin ... je reste impressionné .. :)
Ne comparons pas le travail d'un professionnel qui a un cahier des
charges avec un loisir sans autre impératif que de se divertir, de
se faire plaisir, le pro ne fait pas ça pour se faire plaisir, il
travaille. --
G.Ricco
Oui, la réponse est impressionnante (pour moi presque émouvante), et
ce parcours se sent dans tous les (vos) autres mots, en filigranes.
Ceci dit, nuance à apporter aux affirmations citées ci dessus : tous
les grands artistes et tous les grands poètes ont toujours travaillé
directement pour l'humanité, aucun rapport avec le divertissement ou
le loisir, pas le moindre rapport. L'artiste est beaucoup plus proche
des gens qui triment et qui ploient sous un joug - ce que vous
appelez travailler - que des promeneurs et des jouisseurs. * On
dirait qu'il y a une énorme lacune du côté de l'histoire de l'art...
C'est pourquoi j'ai renvoyé à l'étymologie de la "tekne" - visant
une époque et une certaine région où l'on ne connaissait pas le
ressentiment. (ou peut être, on savait le détecter et en faire
quelque chose de lumineux). * Travailler pour que dalle relève d'une
forme d'héroïsme, qui n'a rien à envier aux préoccupations
pragmatiques, aux plus épineuses de ses tribulations. Comme a dit
Charles Baudelaire (pas très copain avec la photographie comme chacun
sait) " La France a eu de grands hommes, mais elle les a toujours eu
malgré elle. " Attention à la morale, quand même ...
- enfin ... je reste impressionné .. :)
Ne comparons pas le travail d'un professionnel qui a un cahier des
charges avec un loisir sans autre impératif que de se divertir, de
se faire plaisir, le pro ne fait pas ça pour se faire plaisir, il
travaille. --
G.Ricco
Oui, la réponse est impressionnante (pour moi presque émouvante), et
ce parcours se sent dans tous les (vos) autres mots, en filigranes.
Ceci dit, nuance à apporter aux affirmations citées ci dessus : tous
les grands artistes et tous les grands poètes ont toujours travaillé
directement pour l'humanité, aucun rapport avec le divertissement ou
le loisir, pas le moindre rapport. L'artiste est beaucoup plus proche
des gens qui triment et qui ploient sous un joug - ce que vous
appelez travailler - que des promeneurs et des jouisseurs. * On
dirait qu'il y a une énorme lacune du côté de l'histoire de l'art...
C'est pourquoi j'ai renvoyé à l'étymologie de la "tekne" - visant
une époque et une certaine région où l'on ne connaissait pas le
ressentiment. (ou peut être, on savait le détecter et en faire
quelque chose de lumineux). * Travailler pour que dalle relève d'une
forme d'héroïsme, qui n'a rien à envier aux préoccupations
pragmatiques, aux plus épineuses de ses tribulations. Comme a dit
Charles Baudelaire (pas très copain avec la photographie comme chacun
sait) " La France a eu de grands hommes, mais elle les a toujours eu
malgré elle. " Attention à la morale, quand même ...
- enfin ... je reste impressionné .. :)
Ah oui ? Quand on fait la couverture pour un catalogue Rowenta, ce
n'est pas le labo qui va remarquer qu'une épingle ou le bout d'une
sangle de saccoche se voit très légèrement sur une limite. Si ?
Il me semble bien que la photographie industrielle est au milimètre,
et que le photographe est le seul à décider - d'autant plus qu'il
doit composer avec certaines limites dûes au différences de
post-traitements etc.
Ah oui ? Quand on fait la couverture pour un catalogue Rowenta, ce
n'est pas le labo qui va remarquer qu'une épingle ou le bout d'une
sangle de saccoche se voit très légèrement sur une limite. Si ?
Il me semble bien que la photographie industrielle est au milimètre,
et que le photographe est le seul à décider - d'autant plus qu'il
doit composer avec certaines limites dûes au différences de
post-traitements etc.
Ah oui ? Quand on fait la couverture pour un catalogue Rowenta, ce
n'est pas le labo qui va remarquer qu'une épingle ou le bout d'une
sangle de saccoche se voit très légèrement sur une limite. Si ?
Il me semble bien que la photographie industrielle est au milimètre,
et que le photographe est le seul à décider - d'autant plus qu'il
doit composer avec certaines limites dûes au différences de
post-traitements etc.
leur savoir faire n'est pas d'être un artiste ou d'être original, mais de
répondre aux demandes et besoins de leur client, c'est tout.
[...]
le cadrage, c'est le labo qui s'en arrange au mieux.
le photographe, au studio, il met en scène l'objet, il l'éclaire, il le
cadre, ce n'est pas un traqueur de pixel ultime, il fait un boulot.
Parfaitement!
Ah oui ? Quand on fait la couverture pour un catalogue Rowenta, ce n'est pas
le labo qui va remarquer qu'une épingle ou le bout d'une sangle de saccoche
se voit très légèrement sur une limite. Si ?
Il me semble bien que la photographie industrielle est au milimètre, et que
le photographe est le seul à décider - d'autant plus qu'il doit composer
avec certaines limites dûes au différences de post-traitements etc.
leur savoir faire n'est pas d'être un artiste ou d'être original, mais de
répondre aux demandes et besoins de leur client, c'est tout.
[...]
le cadrage, c'est le labo qui s'en arrange au mieux.
le photographe, au studio, il met en scène l'objet, il l'éclaire, il le
cadre, ce n'est pas un traqueur de pixel ultime, il fait un boulot.
Parfaitement!
Ah oui ? Quand on fait la couverture pour un catalogue Rowenta, ce n'est pas
le labo qui va remarquer qu'une épingle ou le bout d'une sangle de saccoche
se voit très légèrement sur une limite. Si ?
Il me semble bien que la photographie industrielle est au milimètre, et que
le photographe est le seul à décider - d'autant plus qu'il doit composer
avec certaines limites dûes au différences de post-traitements etc.
leur savoir faire n'est pas d'être un artiste ou d'être original, mais de
répondre aux demandes et besoins de leur client, c'est tout.
[...]
le cadrage, c'est le labo qui s'en arrange au mieux.
le photographe, au studio, il met en scène l'objet, il l'éclaire, il le
cadre, ce n'est pas un traqueur de pixel ultime, il fait un boulot.
Parfaitement!
Ah oui ? Quand on fait la couverture pour un catalogue Rowenta, ce n'est pas
le labo qui va remarquer qu'une épingle ou le bout d'une sangle de saccoche
se voit très légèrement sur une limite. Si ?
Il me semble bien que la photographie industrielle est au milimètre, et que
le photographe est le seul à décider - d'autant plus qu'il doit composer
avec certaines limites dûes au différences de post-traitements etc.
il est seul à décider qu'il n'est SURTOUT PAS au millimètre, mais il
ne décide que de sa prise de vue, 99% des post-traitements seront fait
pas des infographistes (au sens large).
("les limites dues aux différences" faudra nous expliquer).
--
il est seul à décider qu'il n'est SURTOUT PAS au millimètre, mais il
ne décide que de sa prise de vue, 99% des post-traitements seront fait
pas des infographistes (au sens large).
("les limites dues aux différences" faudra nous expliquer).
--
il est seul à décider qu'il n'est SURTOUT PAS au millimètre, mais il
ne décide que de sa prise de vue, 99% des post-traitements seront fait
pas des infographistes (au sens large).
("les limites dues aux différences" faudra nous expliquer).
--
Sylvain SF wrote:
il est seul à décider qu'il n'est SURTOUT PAS au millimètre, mais il
ne décide que de sa prise de vue, 99% des post-traitements seront fait
pas des infographistes (au sens large).
("les limites dues aux différences" faudra nous expliquer).
Les post traitements faits par des infographistes, en fait non, pas du
tout, ça coûterait bien trop cher
Là où les photographes de prise de vues se sont piégés eux même, c'est
justement sur ce point
Il semblait intéressant de squizzer la part du labo, qui coûtait cher,
mais sans possibilité pour le photographe de la facturer, au début,
séduisant, je présente exactement ce que je veux, et on en était au " il y
en a pour cinq minutes..."
Sauf que les cinq minutes, et chacun le sait ici se transforment en des
heures de consoles.
Résultat improductif , mais que peuvent ils dire, rien, sinon, c'est " les
prises de vue , on va les faire nous mêmes..." ce qui s'est passé pour la
quasi majorité des cas, avec plus ou moins de succès.
("les limites dues aux différences" faudra nous expliquer).je reprends,
oui, faudra nous expliquer ?
mais a parler d'un métier qu'on ne fait pas, qu'on ne connaît pas,
finalement je trouve que c'est fort d'en tirer cette conclusion, se poser
la question, bon, je comprends mais conclure ?
--
G.Ricco
Sylvain SF wrote:
il est seul à décider qu'il n'est SURTOUT PAS au millimètre, mais il
ne décide que de sa prise de vue, 99% des post-traitements seront fait
pas des infographistes (au sens large).
("les limites dues aux différences" faudra nous expliquer).
Les post traitements faits par des infographistes, en fait non, pas du
tout, ça coûterait bien trop cher
Là où les photographes de prise de vues se sont piégés eux même, c'est
justement sur ce point
Il semblait intéressant de squizzer la part du labo, qui coûtait cher,
mais sans possibilité pour le photographe de la facturer, au début,
séduisant, je présente exactement ce que je veux, et on en était au " il y
en a pour cinq minutes..."
Sauf que les cinq minutes, et chacun le sait ici se transforment en des
heures de consoles.
Résultat improductif , mais que peuvent ils dire, rien, sinon, c'est " les
prises de vue , on va les faire nous mêmes..." ce qui s'est passé pour la
quasi majorité des cas, avec plus ou moins de succès.
("les limites dues aux différences" faudra nous expliquer).je reprends,
oui, faudra nous expliquer ?
mais a parler d'un métier qu'on ne fait pas, qu'on ne connaît pas,
finalement je trouve que c'est fort d'en tirer cette conclusion, se poser
la question, bon, je comprends mais conclure ?
--
G.Ricco
Sylvain SF wrote:
il est seul à décider qu'il n'est SURTOUT PAS au millimètre, mais il
ne décide que de sa prise de vue, 99% des post-traitements seront fait
pas des infographistes (au sens large).
("les limites dues aux différences" faudra nous expliquer).
Les post traitements faits par des infographistes, en fait non, pas du
tout, ça coûterait bien trop cher
Là où les photographes de prise de vues se sont piégés eux même, c'est
justement sur ce point
Il semblait intéressant de squizzer la part du labo, qui coûtait cher,
mais sans possibilité pour le photographe de la facturer, au début,
séduisant, je présente exactement ce que je veux, et on en était au " il y
en a pour cinq minutes..."
Sauf que les cinq minutes, et chacun le sait ici se transforment en des
heures de consoles.
Résultat improductif , mais que peuvent ils dire, rien, sinon, c'est " les
prises de vue , on va les faire nous mêmes..." ce qui s'est passé pour la
quasi majorité des cas, avec plus ou moins de succès.
("les limites dues aux différences" faudra nous expliquer).je reprends,
oui, faudra nous expliquer ?
mais a parler d'un métier qu'on ne fait pas, qu'on ne connaît pas,
finalement je trouve que c'est fort d'en tirer cette conclusion, se poser
la question, bon, je comprends mais conclure ?
--
G.Ricco
Oui, je dois avouer que je suis un peu perdu dans ce débat. A mon
échelle (minuscule et certes tout à fait amateure), je constate juste
que tout ce qui se passe après la prise de vue réserve souvent des
surprises - au niveau de l'appareil lui même (cf le point de départ
de ce fil) jusqu'aux différences à l'impression, marges physique dues
au façonnage etc ...
Après, que le photographe compose justement avec une éspèce de marge
d'erreur pour corriger le tir (ne pas se trouver coincé si'l ne
laisse pas un peu de "jeu"), c'est ce que je voulais dire par
travailler "au milimètre" - et c'est un paradoxe.
Oui, je dois avouer que je suis un peu perdu dans ce débat. A mon
échelle (minuscule et certes tout à fait amateure), je constate juste
que tout ce qui se passe après la prise de vue réserve souvent des
surprises - au niveau de l'appareil lui même (cf le point de départ
de ce fil) jusqu'aux différences à l'impression, marges physique dues
au façonnage etc ...
Après, que le photographe compose justement avec une éspèce de marge
d'erreur pour corriger le tir (ne pas se trouver coincé si'l ne
laisse pas un peu de "jeu"), c'est ce que je voulais dire par
travailler "au milimètre" - et c'est un paradoxe.
Oui, je dois avouer que je suis un peu perdu dans ce débat. A mon
échelle (minuscule et certes tout à fait amateure), je constate juste
que tout ce qui se passe après la prise de vue réserve souvent des
surprises - au niveau de l'appareil lui même (cf le point de départ
de ce fil) jusqu'aux différences à l'impression, marges physique dues
au façonnage etc ...
Après, que le photographe compose justement avec une éspèce de marge
d'erreur pour corriger le tir (ne pas se trouver coincé si'l ne
laisse pas un peu de "jeu"), c'est ce que je voulais dire par
travailler "au milimètre" - et c'est un paradoxe.