Sur mon iPhone, j'avais installé un déclenchement mécanique par le bouton du son.
c'est pire. j'ai sur mes samsung, on fait encore plus bouger l'appareil (le bouton est trop dur)
Sur mon Wiko, pas encore trouvé. Il faut sacrément s'accrocher aux réverbères pour ne pas flouter la photo.
Autre défaut de beaucoup de smartphones : pas de zoom optique.
ils ont beaucoup de défauts et une grand qualité: on les a sous la main.
le choix est donc smartphone ou pas de photos
+1
+1
Pierre Maurette
Stephane Legras-Decussy :
On 11/07/2013 07:54 PM, Ghost-Rider wrote:
Je n'en sais rien mais la définition trop faible des écrans des viseurs entraîne un tressautement des images.
aucun tressautement dans les viseurs de camescope n&b que j'utilisais déja dans les début 80's ...
je veux bien que les résultats sur reflex soient pourris mais la raison m'échappe vu que c'est nickel partout ailleur ...
La raison n'est pas dans l'écran électronique, mais dans le traitement entre le capteur avec plein de pixels et de couleurs et un signal affichable. Notez qu'en vidéo, avec moins de pixels, par définition, /tant/ d'images sont fourniez chaque seconde. Je pense comme dans le message qui a initié tout ça que l'avenir est techniquement au viseur électronique, et dans la foulée au /sans miroir/, "register" court. Actuellement, l'offre est telle que le haut-de-gamme et la qualité sont associés à la visée optique réflex. Mais déjà il est possible de comparer, en sachant bien que la visée électronique va progresser plus, bien plus, que la visée optique. Je possède un NEX-5N avec viseur OLED en accessoire, et un réflex A200, bas de gamme mais réputé pour sa visée. J'ai une grande habitude du premier, et je l'utilise de façon atypique, mon jugement n'a donc pas de valeur absolue. Actuellement, chaque système a ses avantages objectifs, il serait trop long de les détailler. Mais on peut réfléchir à ce que devrait être un système de visée. Comme tout système d'interface, l'affectif joue beaucoup. C'est pareil pour l'autofocus, le numérique (qui cherche encore en haut-de-gamme à ressembler à l'argentique, tiens tiens...), l'IHM du système d'exploitation de son ordi, la boite de vitesses automatique, ... Il faut peut-être accepter de lâcher prise (mouarf) pour en profiter. Un système de visée ne sert pas à montrer de belles images, mais à aider à en capturer. Le photographe doit être en mesure de prévoir que l'image sera bonne, sans nécessairement la voir. Les plus grandes images en noir-et-blanc ont été visées en couleur. Avec un peu d'habitude, le système d'accentuation fonctionne très bien pour faire le point, mais il dénature complètement l'image. Revenons-en au lag, et restons-y. Dans un contexte difficile, sujet en mouvement et grande importance du choix de l'instant du déclenchement. Avec un réflex numérique à visée optique, on verra effectivement l'image en temps réel. Mais si on attend qu'elle nous plaise pour déclencher, on captera "l'image d'après". Temps de réaction du photographe, et peut-être délai électronique. Le premier n'est pas nouveau, le bon opérateur savait déjà faire en argentique. Actuellement, sur des sujets très rapides, l'image fournie par un viseur électronique n'est effectivement pas regardable. Mais l'expérience montre que la visée électronique amène une régression des habitudes, on quitte plus facilement le viseur ou l'écran des yeux. Je pense que la visée électronique a des progrès à faire, et qu'elle va les faire. On n'a pas à attendre de révolution technologique, il suffit qu'il existe une demande. En gros, on pourrait avoir encore un choix à faire entre deux modes: le mode "comme dans le viseur", dans lequel on accepterait un retard important dans le trajet capteur vers viseur, et parallèlement un /pipe/ de mémoire d'image brute pour saisir le bon moment, tout ceci malheureusement en léger retard sur la réalité. Et un mode "temps réel", dans lequel on afficherait comme on pourrait, ou pas du tout, on utiliserait ses yeux avec un simple viseur optique collimaté ou non, mais la prise de vue serait la plus immédiate possible.
-- Pierre Maurette
Stephane Legras-Decussy :
On 11/07/2013 07:54 PM, Ghost-Rider wrote:
Je n'en sais rien mais la définition trop faible des écrans des viseurs
entraîne un tressautement des images.
aucun tressautement dans les viseurs de camescope n&b que j'utilisais
déja dans les début 80's ...
je veux bien que les résultats sur reflex soient pourris
mais la raison m'échappe vu que c'est nickel partout ailleur ...
La raison n'est pas dans l'écran électronique, mais dans le traitement
entre le capteur avec plein de pixels et de couleurs et un signal
affichable. Notez qu'en vidéo, avec moins de pixels, par définition,
/tant/ d'images sont fourniez chaque seconde.
Je pense comme dans le message qui a initié tout ça que l'avenir est
techniquement au viseur électronique, et dans la foulée au /sans
miroir/, "register" court. Actuellement, l'offre est telle que le
haut-de-gamme et la qualité sont associés à la visée optique réflex.
Mais déjà il est possible de comparer, en sachant bien que la visée
électronique va progresser plus, bien plus, que la visée optique. Je
possède un NEX-5N avec viseur OLED en accessoire, et un réflex A200,
bas de gamme mais réputé pour sa visée. J'ai une grande habitude du
premier, et je l'utilise de façon atypique, mon jugement n'a donc pas
de valeur absolue. Actuellement, chaque système a ses avantages
objectifs, il serait trop long de les détailler. Mais on peut réfléchir
à ce que devrait être un système de visée.
Comme tout système d'interface, l'affectif joue beaucoup. C'est pareil
pour l'autofocus, le numérique (qui cherche encore en haut-de-gamme à
ressembler à l'argentique, tiens tiens...), l'IHM du système
d'exploitation de son ordi, la boite de vitesses automatique, ... Il
faut peut-être accepter de lâcher prise (mouarf) pour en profiter.
Un système de visée ne sert pas à montrer de belles images, mais à
aider à en capturer. Le photographe doit être en mesure de prévoir que
l'image sera bonne, sans nécessairement la voir. Les plus grandes
images en noir-et-blanc ont été visées en couleur. Avec un peu
d'habitude, le système d'accentuation fonctionne très bien pour faire
le point, mais il dénature complètement l'image.
Revenons-en au lag, et restons-y. Dans un contexte difficile, sujet en
mouvement et grande importance du choix de l'instant du déclenchement.
Avec un réflex numérique à visée optique, on verra effectivement
l'image en temps réel. Mais si on attend qu'elle nous plaise pour
déclencher, on captera "l'image d'après". Temps de réaction du
photographe, et peut-être délai électronique. Le premier n'est pas
nouveau, le bon opérateur savait déjà faire en argentique.
Actuellement, sur des sujets très rapides, l'image fournie par un
viseur électronique n'est effectivement pas regardable. Mais
l'expérience montre que la visée électronique amène une régression des
habitudes, on quitte plus facilement le viseur ou l'écran des yeux.
Je pense que la visée électronique a des progrès à faire, et qu'elle va
les faire. On n'a pas à attendre de révolution technologique, il suffit
qu'il existe une demande. En gros, on pourrait avoir encore un choix à
faire entre deux modes: le mode "comme dans le viseur", dans lequel on
accepterait un retard important dans le trajet capteur vers viseur, et
parallèlement un /pipe/ de mémoire d'image brute pour saisir le bon
moment, tout ceci malheureusement en léger retard sur la réalité. Et un
mode "temps réel", dans lequel on afficherait comme on pourrait, ou pas
du tout, on utiliserait ses yeux avec un simple viseur optique
collimaté ou non, mais la prise de vue serait la plus immédiate
possible.
Je n'en sais rien mais la définition trop faible des écrans des viseurs entraîne un tressautement des images.
aucun tressautement dans les viseurs de camescope n&b que j'utilisais déja dans les début 80's ...
je veux bien que les résultats sur reflex soient pourris mais la raison m'échappe vu que c'est nickel partout ailleur ...
La raison n'est pas dans l'écran électronique, mais dans le traitement entre le capteur avec plein de pixels et de couleurs et un signal affichable. Notez qu'en vidéo, avec moins de pixels, par définition, /tant/ d'images sont fourniez chaque seconde. Je pense comme dans le message qui a initié tout ça que l'avenir est techniquement au viseur électronique, et dans la foulée au /sans miroir/, "register" court. Actuellement, l'offre est telle que le haut-de-gamme et la qualité sont associés à la visée optique réflex. Mais déjà il est possible de comparer, en sachant bien que la visée électronique va progresser plus, bien plus, que la visée optique. Je possède un NEX-5N avec viseur OLED en accessoire, et un réflex A200, bas de gamme mais réputé pour sa visée. J'ai une grande habitude du premier, et je l'utilise de façon atypique, mon jugement n'a donc pas de valeur absolue. Actuellement, chaque système a ses avantages objectifs, il serait trop long de les détailler. Mais on peut réfléchir à ce que devrait être un système de visée. Comme tout système d'interface, l'affectif joue beaucoup. C'est pareil pour l'autofocus, le numérique (qui cherche encore en haut-de-gamme à ressembler à l'argentique, tiens tiens...), l'IHM du système d'exploitation de son ordi, la boite de vitesses automatique, ... Il faut peut-être accepter de lâcher prise (mouarf) pour en profiter. Un système de visée ne sert pas à montrer de belles images, mais à aider à en capturer. Le photographe doit être en mesure de prévoir que l'image sera bonne, sans nécessairement la voir. Les plus grandes images en noir-et-blanc ont été visées en couleur. Avec un peu d'habitude, le système d'accentuation fonctionne très bien pour faire le point, mais il dénature complètement l'image. Revenons-en au lag, et restons-y. Dans un contexte difficile, sujet en mouvement et grande importance du choix de l'instant du déclenchement. Avec un réflex numérique à visée optique, on verra effectivement l'image en temps réel. Mais si on attend qu'elle nous plaise pour déclencher, on captera "l'image d'après". Temps de réaction du photographe, et peut-être délai électronique. Le premier n'est pas nouveau, le bon opérateur savait déjà faire en argentique. Actuellement, sur des sujets très rapides, l'image fournie par un viseur électronique n'est effectivement pas regardable. Mais l'expérience montre que la visée électronique amène une régression des habitudes, on quitte plus facilement le viseur ou l'écran des yeux. Je pense que la visée électronique a des progrès à faire, et qu'elle va les faire. On n'a pas à attendre de révolution technologique, il suffit qu'il existe une demande. En gros, on pourrait avoir encore un choix à faire entre deux modes: le mode "comme dans le viseur", dans lequel on accepterait un retard important dans le trajet capteur vers viseur, et parallèlement un /pipe/ de mémoire d'image brute pour saisir le bon moment, tout ceci malheureusement en léger retard sur la réalité. Et un mode "temps réel", dans lequel on afficherait comme on pourrait, ou pas du tout, on utiliserait ses yeux avec un simple viseur optique collimaté ou non, mais la prise de vue serait la plus immédiate possible.
-- Pierre Maurette
Stephane Legras-Decussy
On 11/08/2013 10:15 AM, Ghost-Rider wrote:
Mais leur viseur était analogique, non, comme un écran de télévision ancien ?
oui et ça change quoi ?
le numérique c'est de l'analogique 2 valeurs.
On 11/08/2013 10:15 AM, Ghost-Rider wrote:
Mais leur viseur était analogique, non, comme un écran de télévision
ancien ?
Le 08/11/2013 15:02, Stephane Legras-Decussy a écrit :
On 11/08/2013 10:15 AM, Ghost-Rider wrote:
Mais leur viseur était analogique, non, comme un écran de télévision ancien ?
oui et ça change quoi ? le numérique c'est de l'analogique 2 valeurs.
Justement, les transitions sont brutales.
Maréchal Nouvoilat.
"SbM" a écrit dans le message de news:1lbzcey.m9ypsz1jcb42zN%
Stephane Legras-Decussy wrote:
On 11/07/2013 05:56 PM, efji wrote: > > Mais non justement. Le plein format n'a aucun intérêt. Il est > l'équivalent du MF en argentique. Donc une niche. Les choses se > stabiliseront probablement autour du format 4/3 qui permet un meilleur > compromis entre la taille du capteur (pour la profondeur de champ, pas > pour le bruit qui sera oublié aussi bientôt) et la taille du matériel. >
en photo, je crois que les filles veulent des petits trucs mais que les garçons veulent des gros machins ...
Alors je suis une fille.
Brésiliens, brésiliennes...
"SbM" <sebastienmarty@yahoo.fr> a écrit dans le message de
news:1lbzcey.m9ypsz1jcb42zN%sebastienmarty@yahoo.fr...
Stephane Legras-Decussy <un@reachable.com> wrote:
On 11/07/2013 05:56 PM, efji wrote:
>
> Mais non justement. Le plein format n'a aucun intérêt. Il est
> l'équivalent du MF en argentique. Donc une niche. Les choses se
> stabiliseront probablement autour du format 4/3 qui permet un meilleur
> compromis entre la taille du capteur (pour la profondeur de champ, pas
> pour le bruit qui sera oublié aussi bientôt) et la taille du matériel.
>
en photo,
je crois que les filles veulent des petits trucs
mais que les garçons veulent des gros machins ...
"SbM" a écrit dans le message de news:1lbzcey.m9ypsz1jcb42zN%
Stephane Legras-Decussy wrote:
On 11/07/2013 05:56 PM, efji wrote: > > Mais non justement. Le plein format n'a aucun intérêt. Il est > l'équivalent du MF en argentique. Donc une niche. Les choses se > stabiliseront probablement autour du format 4/3 qui permet un meilleur > compromis entre la taille du capteur (pour la profondeur de champ, pas > pour le bruit qui sera oublié aussi bientôt) et la taille du matériel. >
en photo, je crois que les filles veulent des petits trucs mais que les garçons veulent des gros machins ...
Alors je suis une fille.
Brésiliens, brésiliennes...
NoName
Le jeudi 7 novembre 2013 17:29:23 UTC+7, birdy a écrit :
Les titres des grandes marques se cassent la figure au profit des
Le Fri, 08 Nov 2013 15:10:08 +0100, Stephane Legras-Decussy a écrit :
On 11/08/2013 02:10 PM, Pierre Maurette wrote:
ou encore plus "brute force" : le reflex sait filmer en raw pleine définition.
on n'a plus à guetter l'instant en sniper, il suffit de visionner le film en accéléré à la maison, à loisir ...
+1.
Pourquoi se faire chier avec une rafale à 8 img/s qui en plus fait un bruit pas croyable.
-- man-d
Pierre Maurette
Stephane Legras-Decussy :
On 11/08/2013 02:10 PM, Pierre Maurette wrote:
ou encore plus "brute force" : le reflex sait filmer en raw pleine définition.
on n'a plus à guetter l'instant en sniper, il suffit de visionner le film en accéléré à la maison, à loisir ...
je fais déja ça en fullHD, la facilité à réussir des images devient déconcertante ...
Effectivement, à partir simplement de retransmissions de sport en HD (TNT sur mon ordi), on peut se faire de belles images arrêtées de qualité largement suffisante pour la majorité des canaux de publication. A partir des images HD de base, parce que bien entendu les caméras de ralenti ("la loupe") à haut FPS fournissent encore mieux(*). On peut également s'amuser, des expressions de visages par exemple, avec n'importe quelle image en la figeant. Les reporters seraient sans doute intéressés par la possibilité de déclencher de vraies images fixes, pleine définition, flash si besoin, couple vitesse-diaph adapté, pendant l'enregistrement d'une vidéo. Ça devrait être possible, en assurant la continuité de la vidéo à partir des images antérieures et postérieures, et de l'image fixe.
(*) Notez que l'analyse image par image ne répond pas à toutes les questions de "l'arbitrage vidéo", la pratique assidue de l'ovale télévisé le montre chaque semaine. Un exemple chiffré parlant: une arrivée au sprint de course cycliste, ça peut frôler les 90 km/h. Ce qui fait 25 m/s. Donc à 25 images/s (50 trames si on veut) il n'est pas rare que sur une image avant la ligne A soit devant B, et sur l'image suivante après la ligne B soit passé devant. Un système informatique pourrait se coller là-dessus en extrapolant, c'est ce qui se passe au tennis, étant entendu que c'est alors le système qui est seul décisionnaire. Pour les courses hippiques PMU, le vocabulaire est toujours celui de la photographie, je ne sais pas où ils en sont techniquement.
-- Pierre Maurette
Stephane Legras-Decussy :
On 11/08/2013 02:10 PM, Pierre Maurette wrote:
ou encore plus "brute force" : le reflex sait filmer en raw pleine
définition.
on n'a plus à guetter l'instant en sniper, il suffit
de visionner le film en accéléré à la maison, à loisir ...
je fais déja ça en fullHD, la facilité à réussir
des images devient déconcertante ...
Effectivement, à partir simplement de retransmissions de sport en HD
(TNT sur mon ordi), on peut se faire de belles images arrêtées de
qualité largement suffisante pour la majorité des canaux de
publication.
A partir des images HD de base, parce que bien entendu les caméras de
ralenti ("la loupe") à haut FPS fournissent encore mieux(*). On peut
également s'amuser, des expressions de visages par exemple, avec
n'importe quelle image en la figeant.
Les reporters seraient sans doute intéressés par la possibilité de
déclencher de vraies images fixes, pleine définition, flash si besoin,
couple vitesse-diaph adapté, pendant l'enregistrement d'une vidéo. Ça
devrait être possible, en assurant la continuité de la vidéo à partir
des images antérieures et postérieures, et de l'image fixe.
(*) Notez que l'analyse image par image ne répond pas à toutes les
questions de "l'arbitrage vidéo", la pratique assidue de l'ovale
télévisé le montre chaque semaine. Un exemple chiffré parlant: une
arrivée au sprint de course cycliste, ça peut frôler les 90 km/h. Ce
qui fait 25 m/s. Donc à 25 images/s (50 trames si on veut) il n'est pas
rare que sur une image avant la ligne A soit devant B, et sur l'image
suivante après la ligne B soit passé devant. Un système informatique
pourrait se coller là-dessus en extrapolant, c'est ce qui se passe au
tennis, étant entendu que c'est alors le système qui est seul
décisionnaire. Pour les courses hippiques PMU, le vocabulaire est
toujours celui de la photographie, je ne sais pas où ils en sont
techniquement.
ou encore plus "brute force" : le reflex sait filmer en raw pleine définition.
on n'a plus à guetter l'instant en sniper, il suffit de visionner le film en accéléré à la maison, à loisir ...
je fais déja ça en fullHD, la facilité à réussir des images devient déconcertante ...
Effectivement, à partir simplement de retransmissions de sport en HD (TNT sur mon ordi), on peut se faire de belles images arrêtées de qualité largement suffisante pour la majorité des canaux de publication. A partir des images HD de base, parce que bien entendu les caméras de ralenti ("la loupe") à haut FPS fournissent encore mieux(*). On peut également s'amuser, des expressions de visages par exemple, avec n'importe quelle image en la figeant. Les reporters seraient sans doute intéressés par la possibilité de déclencher de vraies images fixes, pleine définition, flash si besoin, couple vitesse-diaph adapté, pendant l'enregistrement d'une vidéo. Ça devrait être possible, en assurant la continuité de la vidéo à partir des images antérieures et postérieures, et de l'image fixe.
(*) Notez que l'analyse image par image ne répond pas à toutes les questions de "l'arbitrage vidéo", la pratique assidue de l'ovale télévisé le montre chaque semaine. Un exemple chiffré parlant: une arrivée au sprint de course cycliste, ça peut frôler les 90 km/h. Ce qui fait 25 m/s. Donc à 25 images/s (50 trames si on veut) il n'est pas rare que sur une image avant la ligne A soit devant B, et sur l'image suivante après la ligne B soit passé devant. Un système informatique pourrait se coller là-dessus en extrapolant, c'est ce qui se passe au tennis, étant entendu que c'est alors le système qui est seul décisionnaire. Pour les courses hippiques PMU, le vocabulaire est toujours celui de la photographie, je ne sais pas où ils en sont techniquement.
-- Pierre Maurette
jdanield
Le 09/11/2013 08:17, Pierre Maurette a écrit :
seul décisionnaire. Pour les courses hippiques PMU, le vocabulaire est toujours celui de la photographie, je ne sais pas où ils en sont techniquement.
dans le temps ils faisaient défiler une pellicule devant une fente, donnant une image "allongée". Je ne sais pas aujourd’hui
jdd
Le 09/11/2013 08:17, Pierre Maurette a écrit :
seul décisionnaire. Pour les courses hippiques PMU, le vocabulaire est
toujours celui de la photographie, je ne sais pas où ils en sont
techniquement.
dans le temps ils faisaient défiler une pellicule devant une fente,
donnant une image "allongée". Je ne sais pas aujourd’hui