Bien des enquêtes ou instructions pénales démarrent par une intuition,
et l'enjeu est alors de recueillir des éléments de preuve qui
corroboreront ou infirmeront cette intuition.
Bien des enquêtes ou instructions pénales démarrent par une intuition,
et l'enjeu est alors de recueillir des éléments de preuve qui
corroboreront ou infirmeront cette intuition.
Bien des enquêtes ou instructions pénales démarrent par une intuition,
et l'enjeu est alors de recueillir des éléments de preuve qui
corroboreront ou infirmeront cette intuition.
Odilon Crocq wrote:Bien des enquêtes ou instructions pénales démarrent par une intuition,
et l'enjeu est alors de recueillir des éléments de preuve qui
corroboreront ou infirmeront cette intuition.
Finalement, j'ai trouvé une meilleure réponse que celle que j'aurais pu
vous faire chez Eolas, à propos de l'affaire DSK :
"Je raisonne en juriste, tout comme les avocats des différentes parties.
Et si l'homme s'intéresse à la vérité, le juriste s'intéresse à ce qu'il
peut prouver, car ce qui ne peut être prouvé doit être considéré comme
ne s'étant pas passé. (...) Si le scientifique peut bâtir de superbes
théories sur la base d'un postulat non démontré (et ainsi finir par
démontrer ce postulat), le juriste, lui ne peut bâtir dessus que de
superbes erreurs judiciaires."
http://www.maitre-eolas.fr/category/Actualite-du-droit
Voilà, tout est dit en ce qui concerne les intuitions des enquêteurs en
matière pénale.
Odilon Crocq<odilon@gmail.invalid> wrote:
Bien des enquêtes ou instructions pénales démarrent par une intuition,
et l'enjeu est alors de recueillir des éléments de preuve qui
corroboreront ou infirmeront cette intuition.
Finalement, j'ai trouvé une meilleure réponse que celle que j'aurais pu
vous faire chez Eolas, à propos de l'affaire DSK :
"Je raisonne en juriste, tout comme les avocats des différentes parties.
Et si l'homme s'intéresse à la vérité, le juriste s'intéresse à ce qu'il
peut prouver, car ce qui ne peut être prouvé doit être considéré comme
ne s'étant pas passé. (...) Si le scientifique peut bâtir de superbes
théories sur la base d'un postulat non démontré (et ainsi finir par
démontrer ce postulat), le juriste, lui ne peut bâtir dessus que de
superbes erreurs judiciaires."
http://www.maitre-eolas.fr/category/Actualite-du-droit
Voilà, tout est dit en ce qui concerne les intuitions des enquêteurs en
matière pénale.
Odilon Crocq wrote:Bien des enquêtes ou instructions pénales démarrent par une intuition,
et l'enjeu est alors de recueillir des éléments de preuve qui
corroboreront ou infirmeront cette intuition.
Finalement, j'ai trouvé une meilleure réponse que celle que j'aurais pu
vous faire chez Eolas, à propos de l'affaire DSK :
"Je raisonne en juriste, tout comme les avocats des différentes parties.
Et si l'homme s'intéresse à la vérité, le juriste s'intéresse à ce qu'il
peut prouver, car ce qui ne peut être prouvé doit être considéré comme
ne s'étant pas passé. (...) Si le scientifique peut bâtir de superbes
théories sur la base d'un postulat non démontré (et ainsi finir par
démontrer ce postulat), le juriste, lui ne peut bâtir dessus que de
superbes erreurs judiciaires."
http://www.maitre-eolas.fr/category/Actualite-du-droit
Voilà, tout est dit en ce qui concerne les intuitions des enquêteurs en
matière pénale.
Le 25/09/2011 10:19, Dominique Gobeaut a écrit :
> Odilon Crocq wrote:
>> Bien des enquêtes ou instructions pénales démarrent par une intuition,
>> et l'enjeu est alors de recueillir des éléments de preuve qui
>> corroboreront ou infirmeront cette intuition.
D'ailleurs, cf par exemple l'affaire Karachi ou Van Ruymbenke a eu
l'intuition d'une histoire de rétrocommissions et est en train de
recueillir les éléments de preuve en ce sens.
> Finalement, j'ai trouvé une meilleure réponse que celle que j'aurais pu
> vous faire chez Eolas, à propos de l'affaire DSK :
>
> "Je raisonne en juriste, tout comme les avocats des différentes parties.
> Et si l'homme s'intéresse à la vérité, le juriste s'intéresse à ce qu'il
> peut prouver, car ce qui ne peut être prouvé doit être considéré comme
> ne s'étant pas passé. (...) Si le scientifique peut bâtir de superbes
> théories sur la base d'un postulat non démontré (et ainsi finir par
> démontrer ce postulat), le juriste, lui ne peut bâtir dessus que de
> superbes erreurs judiciaires."
> http://www.maitre-eolas.fr/category/Actualite-du-droit
>
> Voilà, tout est dit en ce qui concerne les intuitions des enquêteurs en
> matière pénale.
C'est comparer ce qui n'est pas comparable.
Dans l'affaire DSK, pour qu'il y ait condamnation il fallait rapporter
le preuve que la relation sexuelle était non consentie, ce qui est
matériellement impossible à prouver sans témoins ou "aveu" de l'une des
parties.
Et comme le rappelle fort justement Eolas, sans preuve il ne
peut y avoir (ou plutôt il ne devrait pas y avoir) condamnation. Eolas
raisonne donc pour un cas particulier : celui où la preuve est
impossible à rapporter.
Dans l'exemple dont nous discutons, à savoir celui de l'identification
de l'auteur d'un blog au contenu litigieux, il en va différemment.
Les soupçons des enquêteurs (ou du magistrat instructeur) peuvent très
bien se porter sur une personne déterminée, mais comme je le disais
l'enjeu est alors de recueillir des éléments de preuve.
Car contrairement à ce
que vous semblez suggérer, je n'ai dit à aucun moment que l'intuition
des enquêteurs était suffisante : il faut des preuves.
Or il se trouve
que là de tels éléments de preuve peuvent exister :
par exemple un
examen du contenu de l'ordinateur de la personne suspectée peut établir
qu'il est bel et bien l'auteur du blog.
C'est pour cette raison qu'il est totalement abusif d'établir le
parallèle que vous faites entre l'affaire DSK et l'exemple dont nous
discutons.
Le 25/09/2011 10:19, Dominique Gobeaut a écrit :
> Odilon Crocq<odilon@gmail.invalid> wrote:
>> Bien des enquêtes ou instructions pénales démarrent par une intuition,
>> et l'enjeu est alors de recueillir des éléments de preuve qui
>> corroboreront ou infirmeront cette intuition.
D'ailleurs, cf par exemple l'affaire Karachi ou Van Ruymbenke a eu
l'intuition d'une histoire de rétrocommissions et est en train de
recueillir les éléments de preuve en ce sens.
> Finalement, j'ai trouvé une meilleure réponse que celle que j'aurais pu
> vous faire chez Eolas, à propos de l'affaire DSK :
>
> "Je raisonne en juriste, tout comme les avocats des différentes parties.
> Et si l'homme s'intéresse à la vérité, le juriste s'intéresse à ce qu'il
> peut prouver, car ce qui ne peut être prouvé doit être considéré comme
> ne s'étant pas passé. (...) Si le scientifique peut bâtir de superbes
> théories sur la base d'un postulat non démontré (et ainsi finir par
> démontrer ce postulat), le juriste, lui ne peut bâtir dessus que de
> superbes erreurs judiciaires."
> http://www.maitre-eolas.fr/category/Actualite-du-droit
>
> Voilà, tout est dit en ce qui concerne les intuitions des enquêteurs en
> matière pénale.
C'est comparer ce qui n'est pas comparable.
Dans l'affaire DSK, pour qu'il y ait condamnation il fallait rapporter
le preuve que la relation sexuelle était non consentie, ce qui est
matériellement impossible à prouver sans témoins ou "aveu" de l'une des
parties.
Et comme le rappelle fort justement Eolas, sans preuve il ne
peut y avoir (ou plutôt il ne devrait pas y avoir) condamnation. Eolas
raisonne donc pour un cas particulier : celui où la preuve est
impossible à rapporter.
Dans l'exemple dont nous discutons, à savoir celui de l'identification
de l'auteur d'un blog au contenu litigieux, il en va différemment.
Les soupçons des enquêteurs (ou du magistrat instructeur) peuvent très
bien se porter sur une personne déterminée, mais comme je le disais
l'enjeu est alors de recueillir des éléments de preuve.
Car contrairement à ce
que vous semblez suggérer, je n'ai dit à aucun moment que l'intuition
des enquêteurs était suffisante : il faut des preuves.
Or il se trouve
que là de tels éléments de preuve peuvent exister :
par exemple un
examen du contenu de l'ordinateur de la personne suspectée peut établir
qu'il est bel et bien l'auteur du blog.
C'est pour cette raison qu'il est totalement abusif d'établir le
parallèle que vous faites entre l'affaire DSK et l'exemple dont nous
discutons.
Le 25/09/2011 10:19, Dominique Gobeaut a écrit :
> Odilon Crocq wrote:
>> Bien des enquêtes ou instructions pénales démarrent par une intuition,
>> et l'enjeu est alors de recueillir des éléments de preuve qui
>> corroboreront ou infirmeront cette intuition.
D'ailleurs, cf par exemple l'affaire Karachi ou Van Ruymbenke a eu
l'intuition d'une histoire de rétrocommissions et est en train de
recueillir les éléments de preuve en ce sens.
> Finalement, j'ai trouvé une meilleure réponse que celle que j'aurais pu
> vous faire chez Eolas, à propos de l'affaire DSK :
>
> "Je raisonne en juriste, tout comme les avocats des différentes parties.
> Et si l'homme s'intéresse à la vérité, le juriste s'intéresse à ce qu'il
> peut prouver, car ce qui ne peut être prouvé doit être considéré comme
> ne s'étant pas passé. (...) Si le scientifique peut bâtir de superbes
> théories sur la base d'un postulat non démontré (et ainsi finir par
> démontrer ce postulat), le juriste, lui ne peut bâtir dessus que de
> superbes erreurs judiciaires."
> http://www.maitre-eolas.fr/category/Actualite-du-droit
>
> Voilà, tout est dit en ce qui concerne les intuitions des enquêteurs en
> matière pénale.
C'est comparer ce qui n'est pas comparable.
Dans l'affaire DSK, pour qu'il y ait condamnation il fallait rapporter
le preuve que la relation sexuelle était non consentie, ce qui est
matériellement impossible à prouver sans témoins ou "aveu" de l'une des
parties.
Et comme le rappelle fort justement Eolas, sans preuve il ne
peut y avoir (ou plutôt il ne devrait pas y avoir) condamnation. Eolas
raisonne donc pour un cas particulier : celui où la preuve est
impossible à rapporter.
Dans l'exemple dont nous discutons, à savoir celui de l'identification
de l'auteur d'un blog au contenu litigieux, il en va différemment.
Les soupçons des enquêteurs (ou du magistrat instructeur) peuvent très
bien se porter sur une personne déterminée, mais comme je le disais
l'enjeu est alors de recueillir des éléments de preuve.
Car contrairement à ce
que vous semblez suggérer, je n'ai dit à aucun moment que l'intuition
des enquêteurs était suffisante : il faut des preuves.
Or il se trouve
que là de tels éléments de preuve peuvent exister :
par exemple un
examen du contenu de l'ordinateur de la personne suspectée peut établir
qu'il est bel et bien l'auteur du blog.
C'est pour cette raison qu'il est totalement abusif d'établir le
parallèle que vous faites entre l'affaire DSK et l'exemple dont nous
discutons.
Odilon Crocq wrote:Le 25/09/2011 10:19, Dominique Gobeaut a écrit :Odilon Crocq wrote:Bien des enquêtes ou instructions pénales démarrent par une intuition,
et l'enjeu est alors de recueillir des éléments de preuve qui
corroboreront ou infirmeront cette intuition.
"Le soupçon n'est pas une preuve, et le juge Renaud van Ruymbeke, en
charge d'enquêter sur l'affaire Karachi, le sait mieux que quiconque."
http://www.metrofrance.com/info/karachi-villepin-entendu-comme-temoin/mj
ky%21L8jSuGJtA4LYg/
Car contrairement à ce
que vous semblez suggérer, je n'ai dit à aucun moment que l'intuition
des enquêteurs était suffisante : il faut des preuves.
Vous sembliez mettre l'intuition des enquêteurs à égalité avec des
éléments probants.
par exemple un
examen du contenu de l'ordinateur de la personne suspectée peut établir
qu'il est bel et bien l'auteur du blog.
Et vous pensez _vraiment_ qu'on peut - en droit français- saisir un
ordinateur pour en examiner le contenu sur une simple intuition d'un
enquêteur non détenteur d'une commission rogatoire lui désignant
clairement la personne au domicile de laquelle il doit aller chercher
cet ordinateur?
La phrase d'Eolas : "Et si l'homme s'intéresse à la vérité, le juriste
s'intéresse à ce qu'il peut prouver, car ce qui ne peut être prouvé doit
être considéré comme ne s'étant pas passé. " s'applique au droit
français, ne vous déplaise.
Odilon Crocq<odilon@gmail.invalid> wrote:
Le 25/09/2011 10:19, Dominique Gobeaut a écrit :
Odilon Crocq<odilon@gmail.invalid> wrote:
Bien des enquêtes ou instructions pénales démarrent par une intuition,
et l'enjeu est alors de recueillir des éléments de preuve qui
corroboreront ou infirmeront cette intuition.
"Le soupçon n'est pas une preuve, et le juge Renaud van Ruymbeke, en
charge d'enquêter sur l'affaire Karachi, le sait mieux que quiconque."
http://www.metrofrance.com/info/karachi-villepin-entendu-comme-temoin/mj
ky%21L8jSuGJtA4LYg/
Car contrairement à ce
que vous semblez suggérer, je n'ai dit à aucun moment que l'intuition
des enquêteurs était suffisante : il faut des preuves.
Vous sembliez mettre l'intuition des enquêteurs à égalité avec des
éléments probants.
par exemple un
examen du contenu de l'ordinateur de la personne suspectée peut établir
qu'il est bel et bien l'auteur du blog.
Et vous pensez _vraiment_ qu'on peut - en droit français- saisir un
ordinateur pour en examiner le contenu sur une simple intuition d'un
enquêteur non détenteur d'une commission rogatoire lui désignant
clairement la personne au domicile de laquelle il doit aller chercher
cet ordinateur?
La phrase d'Eolas : "Et si l'homme s'intéresse à la vérité, le juriste
s'intéresse à ce qu'il peut prouver, car ce qui ne peut être prouvé doit
être considéré comme ne s'étant pas passé. " s'applique au droit
français, ne vous déplaise.
Odilon Crocq wrote:Le 25/09/2011 10:19, Dominique Gobeaut a écrit :Odilon Crocq wrote:Bien des enquêtes ou instructions pénales démarrent par une intuition,
et l'enjeu est alors de recueillir des éléments de preuve qui
corroboreront ou infirmeront cette intuition.
"Le soupçon n'est pas une preuve, et le juge Renaud van Ruymbeke, en
charge d'enquêter sur l'affaire Karachi, le sait mieux que quiconque."
http://www.metrofrance.com/info/karachi-villepin-entendu-comme-temoin/mj
ky%21L8jSuGJtA4LYg/
Car contrairement à ce
que vous semblez suggérer, je n'ai dit à aucun moment que l'intuition
des enquêteurs était suffisante : il faut des preuves.
Vous sembliez mettre l'intuition des enquêteurs à égalité avec des
éléments probants.
par exemple un
examen du contenu de l'ordinateur de la personne suspectée peut établir
qu'il est bel et bien l'auteur du blog.
Et vous pensez _vraiment_ qu'on peut - en droit français- saisir un
ordinateur pour en examiner le contenu sur une simple intuition d'un
enquêteur non détenteur d'une commission rogatoire lui désignant
clairement la personne au domicile de laquelle il doit aller chercher
cet ordinateur?
La phrase d'Eolas : "Et si l'homme s'intéresse à la vérité, le juriste
s'intéresse à ce qu'il peut prouver, car ce qui ne peut être prouvé doit
être considéré comme ne s'étant pas passé. " s'applique au droit
français, ne vous déplaise.
Comme tout le monde peut le constater, la phrase de Maître Eolas ne dit
nullement qu'il est obligatoire de passer par l'hébergeur pour identifier
l'auteur d'un blog : c'est pourtant ce que vous essayez de lui faire dire...
Comme tout le monde peut le constater, la phrase de Maître Eolas ne dit
nullement qu'il est obligatoire de passer par l'hébergeur pour identifier
l'auteur d'un blog : c'est pourtant ce que vous essayez de lui faire dire...
Comme tout le monde peut le constater, la phrase de Maître Eolas ne dit
nullement qu'il est obligatoire de passer par l'hébergeur pour identifier
l'auteur d'un blog : c'est pourtant ce que vous essayez de lui faire dire...
Odilon Crocq avait prétendu :Comme tout le monde peut le constater, la phrase de Maître Eolas ne
dit nullement qu'il est obligatoire de passer par l'hébergeur pour
identifier l'auteur d'un blog : c'est pourtant ce que vous essayez de
lui faire dire...
Dominique Gobeaut essaye de vous convaincre, et aussi de se persuader
elle même, que son époux Thierry Costes est judiciairement intouchable
car le serveur qui héberge son blog est à l'épreuve des balles
(bulletproof). http://www.lechodumaquis.org
Odilon Crocq avait prétendu :
Comme tout le monde peut le constater, la phrase de Maître Eolas ne
dit nullement qu'il est obligatoire de passer par l'hébergeur pour
identifier l'auteur d'un blog : c'est pourtant ce que vous essayez de
lui faire dire...
Dominique Gobeaut essaye de vous convaincre, et aussi de se persuader
elle même, que son époux Thierry Costes est judiciairement intouchable
car le serveur qui héberge son blog est à l'épreuve des balles
(bulletproof). http://www.lechodumaquis.org
Odilon Crocq avait prétendu :Comme tout le monde peut le constater, la phrase de Maître Eolas ne
dit nullement qu'il est obligatoire de passer par l'hébergeur pour
identifier l'auteur d'un blog : c'est pourtant ce que vous essayez de
lui faire dire...
Dominique Gobeaut essaye de vous convaincre, et aussi de se persuader
elle même, que son époux Thierry Costes est judiciairement intouchable
car le serveur qui héberge son blog est à l'épreuve des balles
(bulletproof). http://www.lechodumaquis.org
Je zappe le reste des digressions hors sujet.
Je zappe le reste des digressions hors sujet.
Je zappe le reste des digressions hors sujet.
Odilon Crocq avait prétendu :
Dominique Gobeaut
En bref, elle vous nargue
Odilon Crocq avait prétendu :
Dominique Gobeaut
En bref, elle vous nargue
Odilon Crocq avait prétendu :
Dominique Gobeaut
En bref, elle vous nargue
Odilon Crocq avait prétendu :
> Comme tout le monde peut le constater, la phrase de Maître Eolas ne dit
> nullement qu'il est obligatoire de passer par l'hébergeur pour identifier
> l'auteur d'un blog : c'est pourtant ce que vous essayez de lui faire dire...
Dominique Gobeaut essaye de vous convaincre, et aussi de se persuader
elle même, que son époux Thierry Costes est judiciairement intouchable
car le serveur qui héberge son blog est à l'épreuve des balles
(bulletproof). C'est à dire que cet hébergeur lui garantit un anonymat
total pour ainsi échapper aux éventuelles poursuites judiciaires.
Poursuites qui seraient pleinement justifiées par les propos que l'on
peut y lire.
Odilon Crocq avait prétendu :
> Comme tout le monde peut le constater, la phrase de Maître Eolas ne dit
> nullement qu'il est obligatoire de passer par l'hébergeur pour identifier
> l'auteur d'un blog : c'est pourtant ce que vous essayez de lui faire dire...
Dominique Gobeaut essaye de vous convaincre, et aussi de se persuader
elle même, que son époux Thierry Costes est judiciairement intouchable
car le serveur qui héberge son blog est à l'épreuve des balles
(bulletproof). C'est à dire que cet hébergeur lui garantit un anonymat
total pour ainsi échapper aux éventuelles poursuites judiciaires.
Poursuites qui seraient pleinement justifiées par les propos que l'on
peut y lire.
Odilon Crocq avait prétendu :
> Comme tout le monde peut le constater, la phrase de Maître Eolas ne dit
> nullement qu'il est obligatoire de passer par l'hébergeur pour identifier
> l'auteur d'un blog : c'est pourtant ce que vous essayez de lui faire dire...
Dominique Gobeaut essaye de vous convaincre, et aussi de se persuader
elle même, que son époux Thierry Costes est judiciairement intouchable
car le serveur qui héberge son blog est à l'épreuve des balles
(bulletproof). C'est à dire que cet hébergeur lui garantit un anonymat
total pour ainsi échapper aux éventuelles poursuites judiciaires.
Poursuites qui seraient pleinement justifiées par les propos que l'on
peut y lire.
Le 26/09/2011 14:25, Alex Terieur a écrit :
> Odilon Crocq avait prétendu :
>
>> Comme tout le monde peut le constater, la phrase de Maître Eolas ne
>> dit nullement qu'il est obligatoire de passer par l'hébergeur pour
>> identifier l'auteur d'un blog : c'est pourtant ce que vous essayez de
>> lui faire dire...
>
> Dominique Gobeaut essaye de vous convaincre, et aussi de se persuader
> elle même, que son époux Thierry Costes est judiciairement intouchable
> car le serveur qui héberge son blog est à l'épreuve des balles
> (bulletproof). http://www.lechodumaquis.org
Si je comprends bien, le blog http://www.lechodumaquis.org dont il était
question ces jours derniers sur fr.misc.droit serait celui de Thierry
Costes, époux de Dominique Gobeaut ?
En tout cas l'auteur de ce blog (qu'il suffit de lire pour se convaincre
qu'il est l'½uvre d'un déséquilibré) ne doit pas se sentir si
intouchable que ça car il a retiré les horreurs que l'on pouvait y lire
hier encore sur Joël Boyer et la magistrature française.
Le 26/09/2011 14:25, Alex Terieur a écrit :
> Odilon Crocq avait prétendu :
>
>> Comme tout le monde peut le constater, la phrase de Maître Eolas ne
>> dit nullement qu'il est obligatoire de passer par l'hébergeur pour
>> identifier l'auteur d'un blog : c'est pourtant ce que vous essayez de
>> lui faire dire...
>
> Dominique Gobeaut essaye de vous convaincre, et aussi de se persuader
> elle même, que son époux Thierry Costes est judiciairement intouchable
> car le serveur qui héberge son blog est à l'épreuve des balles
> (bulletproof). http://www.lechodumaquis.org
Si je comprends bien, le blog http://www.lechodumaquis.org dont il était
question ces jours derniers sur fr.misc.droit serait celui de Thierry
Costes, époux de Dominique Gobeaut ?
En tout cas l'auteur de ce blog (qu'il suffit de lire pour se convaincre
qu'il est l'½uvre d'un déséquilibré) ne doit pas se sentir si
intouchable que ça car il a retiré les horreurs que l'on pouvait y lire
hier encore sur Joël Boyer et la magistrature française.
Le 26/09/2011 14:25, Alex Terieur a écrit :
> Odilon Crocq avait prétendu :
>
>> Comme tout le monde peut le constater, la phrase de Maître Eolas ne
>> dit nullement qu'il est obligatoire de passer par l'hébergeur pour
>> identifier l'auteur d'un blog : c'est pourtant ce que vous essayez de
>> lui faire dire...
>
> Dominique Gobeaut essaye de vous convaincre, et aussi de se persuader
> elle même, que son époux Thierry Costes est judiciairement intouchable
> car le serveur qui héberge son blog est à l'épreuve des balles
> (bulletproof). http://www.lechodumaquis.org
Si je comprends bien, le blog http://www.lechodumaquis.org dont il était
question ces jours derniers sur fr.misc.droit serait celui de Thierry
Costes, époux de Dominique Gobeaut ?
En tout cas l'auteur de ce blog (qu'il suffit de lire pour se convaincre
qu'il est l'½uvre d'un déséquilibré) ne doit pas se sentir si
intouchable que ça car il a retiré les horreurs que l'on pouvait y lire
hier encore sur Joël Boyer et la magistrature française.