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Nouvelles galleries

98 réponses
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Jérôme - LFLB \(Chambéry\)
Bonjour,
Voici ci-après quelques galleries ajoutées sur mon Blog. Bonne visite.
Critiques, commentaires et questions sont les bienvenus.
Merci!
Jérôme

Femmes... (Nouveau)
http://panier-photos.blogspot.com/1998/08/femmes.html

Lac du Bourget - Savoie (Nouveau)
http://panier-photos.blogspot.com/1997/08/lac-du-bourget.html

Graffeurs chambériens (Nouveau)
http://panier-photos.blogspot.com/1998/08/graffeurs-chambriens.html

Inclassables (Quelques ajouts)
http://panier-photos.blogspot.com/1997/08/les-inclassables.html

10 réponses

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Jean-Claude Ghislain

Tu veux dire qu'on doit tolérer (encourager?) la délation par les
photographes ? Belle mentalité !


Ce que je remarque surtout dans les quartiers que je fréquente, c'est un
total refus d'assumer ses actes, cela donne trop souvent : "C'est pas
moi c'est l'autre". Certes j'ai également pratiqué ce sport, mais j'ai
arrêté depuis la maternelle.

Si tu ne veux pas être pris la main dans le sac et bien il ne faut pas
l'y fourguer et si tu décides de l'y mettre quand même et que tu te fais
chopper, ne reporte pas ta faute sur quelqu'un d'autre.

--
Jean-Claude Ghislain
www.grimart.com

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Bindarret


Si tu ne veux pas être pris la main dans le sac et bien il ne faut pas
l'y fourguer et si tu décides de l'y mettre quand même et que tu te fais
chopper, ne reporte pas ta faute sur quelqu'un d'autre.



Jolie pirouette ! Je n'ai parlé ni de délinquance ni d'actes criminels.


--
Bindarret

Une mauvaise photo qui rappelle vos traits vaut mieux qu'un beau paysage
qui ne vous ressemble pas.
[Pierre Dac]

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Bernard Perrot
Jérôme - LFLB (Chambéry) wrote:

... quand à Bernard, tu as raison d'un point de vue purement légal, mais
lève un peu le pied sur le café (sans rancune .... )... et va plutôt
engueuler les personnes qui utilisent des clichés de photographes
professionnels illégalement .... ça c'est nettement plus grave, non ?


D'autres ont déjà donné leur opinion dans le meme sens : je le repète, je ne
veux pas ici me prendre la tête avec l'aspect "legal", c'est du respect
d'autrui dont le veux parler. Et ce qui est en question, ce n'est pas
forcement d'avoir pris ces clichés, c'est de les publier sur le Web et en
faire la promo. A partir du moment ou elles sont publiées sur le Web elle
deviennent de fait publiques (dupliquées et mise en cache par tous les moteurs
de recherche, ...). Elles echappent a votre contrôle et vous ne pouvez plus
revenir en arrière. Si, sans le vouloir bien sur, vous avez gaffé (une des
personnes n'était pas censée etre là par exemple), c'est trop tard.

Certains sites indiquent que "clichés publiés avec l'accord des personnes
représentées", vous, vous mettez explicitement "photos volées", et vous en
informez la Planète, c'est cela qui m'a fait réagir.

Alors, a mon avis, la prochaine fois, après avoir pris les photos, allez
rencontrer les personnes, demandez leur si elles acceptent que vous
"exploitiez" les photos, comme c'est du numérique, montrez leur les clichés
sur l'écran. Non seulement cela règlera le problème, mais peut-être
rencontrerez vous des gens forts sympathiques... Et si elles vous disent OK et
"projection privée" mais pas sur le Web, alors vous ne les mettrez pas sur le
Web et tout sera clair.

Cordialement,

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Didier Dalbera
exemples :
- Sur tes photos, ma femme avec son amant. Si on divorce, sois sur quelle ne
te ratera pas. [...]


C'est une façon de voir les choses, une autre est d'assumer ses actes.

Je vole à l'étalage et je me fais prendre à cause d'un photographe amateur et
bien, j'aurais dû y penser avant.


Le problème de l'image, c'est qu'elle ne reflète pas du tout ce que le sujet
est, mais seulement ce qu'il représente à l'instant du déclanchement de la prise
de vue, et dans un cadrage donné.

Tu prends une photo où j'ai l'air de voler un pomme à l'étalage, la photo est
vue par mes clients, et ils ne veulent plus bosser avec un voleur de pomme,
d'autant plus qu'ils mont reconnu sur un site où je ne sais même pas que je suis
représenté, donc ne peux controler quoique ce soit... La réalité, c'est que
c'est le magasin de mon oncle, à qui je prend une pomme tous les jours quand je
passe devant chez lui...

Donc, demander l'autorisation au gens, ça ne veut pas dire marchander des
droits, mais demander si l'image qui les représentent n'est pas dégradante pour
eux.

--
"Trop de


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Jean-Claude Ghislain

Jolie pirouette ! Je n'ai parlé ni de délinquance ni d'actes
criminels.


Et bien alors tu avais mal choisi tes exemples : la femme qui trompe son
mari, la gamine qui sèche les cours et toi qui flânes quand ton
employeur croît que tu bosses.

Et à chaque fois tu as choisi le point de vue de la femme, de la gamine
et de l'employé. Pourquoi pas celui du mari trompé, de l'école et/ou des
parents et enfin, celui de l'employeur.

--
Jean-Claude Ghislain
www.grimart.com

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Jean-Claude Ghislain

Le problème de l'image, c'est qu'elle ne reflète pas du tout ce que le
sujet est, mais seulement ce qu'il représente à l'instant du
déclanchement de la prise de vue, et dans un cadrage donné.


Oui et j'ai déjà cité ici même des abus manifeste et célèbre.

Donc, demander l'autorisation au gens, ça ne veut pas dire marchander
des droits, mais demander si l'image qui les représentent n'est pas
dégradante pour eux.


Ca c'est une question de respect et c'est bien. Malheusement il y a
aujourd'hui un critère financier qui est rentré dans la danse, des
personnes critiquent la parution d'une image les représentants, non pas
parce qu' elles sont gênées ou dégradées, mais parce qu'elles veulent
monnayer leur image. On le fait bien pour une clenche de porte, pour
un volcan où la peinture d'une barque, pourquoi pas pour ma tronche ?

J'ai rencontré une photographe, déjà âgée, qui photographiait les gens
dans la rue à la chambre technique. Elle ne passait donc pas
inaperçue... Elle a pu le faire pendant des années sans aucun problème,
puis elle a vu arriver quelque refus et quand on a commencé à lui
demander de l'argent, elle a rangé son matériel et complètement arrêté
la photo.

De mon côté, j'ai arrêté les photos nocturnes de bâtiments pour la
même raison...

--
Jean-Claude Ghislain
www.grimart.com

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Didier Dalbera

Le problème de l'image, c'est qu'elle ne reflète pas du tout ce que le
sujet est, mais seulement ce qu'il représente à l'instant du
déclanchement de la prise de vue, et dans un cadrage donné.


Oui et j'ai déjà cité ici même des abus manifeste et célèbre.


On est d'accord...

Donc, demander l'autorisation au gens, ça ne veut pas dire marchander
des droits, mais demander si l'image qui les représentent n'est pas
dégradante pour eux.


Ca c'est une question de respect et c'est bien. Malheusement il y a
aujourd'hui un critère financier qui est rentré dans la danse, [...]

De mon côté, j'ai arrêté les photos nocturnes de bâtiments pour la
même raison...


Je suis dans le même cas pour les photos d'architecture. Parce qu'au même titre
que l'image d'une personne lui appartient, l'image d'un bâtiment (avec des
nuances, comme pour le cas des personnes si c'est une foule) appartient à
l'architecte, en temps qu'oeuvre, et si je ne me trompe, ça dure jusqu'à 70 ans
après sa mort...
Ca ne m'est pas arrivé, mais vu le courrant actuel, je commence un peu à avoir
peur des architectes qui "protègent" les représentations de leurs bâtiments...
En fait, ce qu'ils protègent c'est surtout les droits qu'ils ont vendus aux
photographes "officiels" du bâtiment :-(

C'est vrai que vu comme ça, ça semble être réducteur pour les photographes de
tous poils que nous sommes. Mais, avant il y avait en gros deux catégories de
photos : celles qui étaient publiées (livre, affiches...) et qui rentraient dans
le domaine du professionnel, et celle des amateur qui restaient dans le domaine
du privé. Donc relativement facile à légiférer.
Maintenant, avec des moyens comme l'internet, il y a la possibilité aux amateurs
d'avoir une même diffusion en nombre de "lecteurs" que la publication papier.

--
"Trop de photos tuent la photo"
Didier


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Jean-Claude Ghislain

Maintenant, avec des moyens comme l'internet, il y a la possibilité
aux amateurs d'avoir une même diffusion en nombre de "lecteurs" que la
publication papier.


C'est vrai que c'est une nouvelle donne qui a pris tout le monde de
vitesse et particulièrement la législation.

--
Jean-Claude Ghislain
www.grimart.com

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Bindarret
"Jean-Claude Ghislain" a écrit dans le message de news:
df9dvg$c7j$

Et bien alors tu avais mal choisi tes exemples : la femme qui trompe son
mari, la gamine qui sèche les cours et toi qui flânes quand ton employeur
croît que tu bosses.

Et à chaque fois tu as choisi le point de vue de la femme, de la gamine et
de l'employé. Pourquoi pas celui du mari trompé, de l'école et/ou des
parents et enfin, celui de l'employeur.



Ok ! Ceci ne peut que clore cette discussion (limite hors charte).
Les sycophantes ont encore de beaux jours devant eux.

PS. Tu devrais essayer de passer un contrat avec les RG ou une agence de
détectives.

--
Bindarret

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Jean-Claude Ghislain

Ok ! Ceci ne peut que clore cette discussion (limite hors charte).
Les sycophantes ont encore de beaux jours devant eux.


Tu as vraiment décidé de me prêter des propos que je n'ai pas.

Récapitulons :

En réponse à Jérôme, tu cites des gens qui n'ont pas forcément envie de
se faire photographier : la femme et son amant, la fille qui sèche les
cours ou l'employé qui carotte.

Je te réponds que lorsqu'on prend des risques il faut assumer, un pilote
de Formule 1 sait qu'il peut sortir de la route et se faire mal. Les
personnes que tu cites en exemple peuvent se faire filmer ou
photographier dans leur tromperie et être mise à jour, je ne parlais
nullement d'un acte photographique délibéré mais fortuit. La gamine qui
sèche les cours peut être vue à la TV par ses parents au journal du
soir, car justement le caméraman a filmé la terrasse où elle prenait un
verre.

Après je dis :
"Si tu ne veux pas être pris la main dans le sac et bien il ne faut pas
l'y fourguer et si tu décides de l'y mettre quand même et que tu te fais
chopper, ne reporte pas ta faute sur quelqu'un d'autre."

Et tu réponds :
"Jolie pirouette ! Je n'ai parlé ni de délinquance ni d'actes
criminels."

Je ne sais pas si tu es au courant, mais "la main dans le sac" est une
vieille expression, qui s'applique aussi bien au gamin pris les doigts
dans la confiture, qu'à la gamine qui sèche les cours, qu'au voleur qui
sort de la banque. Ca veut dire qu'on est pris sur le fait, en pleine
pratique de quelque chose d'interdit, pas forcément quelque chose de
vraiment grave.

Jamais je n'ai encouragé à la délation, mais si tu veux absolument voir
cela dans mes propos, libre à toi...


--
Jean-Claude Ghislain
www.grimart.com

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