Le film est sorti aujourd'hui, sur YouTube et en DVD / Bluray mais la
version diffusée est différente de celle en cinéma (plus courte et avec
quelques différences au niveau des images).
Par contre, notre ami YAB a fait un strict copié collé du film de la BBC "Un
Jour sur Terre" ? Y a pas d'interdiction de plagiat au ciné quand on réalise
un film ? Quel est l'intérêt de faire une vague copie d'un film (excellent
d'ailleurs) sorti il y a déjà quelques années ?
En plus au tout début, ça sent un peu trop les images de synthèse, certes
bien faites mais pas très crédibles pour un film qui se veut écologique.
Par contre, pour le reste, effectivement, de très belles images filmées
d'hélico, comme toujours, comme "Un Jour sur Terre" (en un peu moins bien
quand même). YAB ne s'est vraiment pas cassé la tête.
Bonne visulisation à ceux qui iront le voit, que ce soit sur le Net, en
salle ou en DVD.
il s'agit de vivre comme en France en 1950, on vivait très bien...
bof, les chiottes dans la cour trois étages plus bas quand j'étais étudiant, le seul poele dans la chambrée de 16 qu'il fallait recharger au milieu de la nuit, tout ca ne m'a pas laissé que des bons souvenir
sans compter que le prix des caméras 16 mm était hors d'atteinte, réaliser un film hors de prix
j'ai encore chez moi une caméra 16 qu'utilisait mon père: c'était une caméra de controle de tir d'avion, bricolée
jdd (retour en charte :-)
-- http://www.dodin.net Le wiki des forums son-image français: http://new.dodin.org/frsv/ http://valerie.dodin.org
Stephane Legras-Decussy a écrit :
il s'agit de vivre comme en France en 1950,
on vivait très bien...
bof, les chiottes dans la cour trois étages plus bas quand j'étais
étudiant, le seul poele dans la chambrée de 16 qu'il fallait recharger
au milieu de la nuit, tout ca ne m'a pas laissé que des bons souvenir
sans compter que le prix des caméras 16 mm était hors d'atteinte,
réaliser un film hors de prix
j'ai encore chez moi une caméra 16 qu'utilisait mon père: c'était une
caméra de controle de tir d'avion, bricolée
jdd
(retour en charte :-)
--
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il s'agit de vivre comme en France en 1950, on vivait très bien...
bof, les chiottes dans la cour trois étages plus bas quand j'étais étudiant, le seul poele dans la chambrée de 16 qu'il fallait recharger au milieu de la nuit, tout ca ne m'a pas laissé que des bons souvenir
sans compter que le prix des caméras 16 mm était hors d'atteinte, réaliser un film hors de prix
j'ai encore chez moi une caméra 16 qu'utilisait mon père: c'était une caméra de controle de tir d'avion, bricolée
jdd (retour en charte :-)
-- http://www.dodin.net Le wiki des forums son-image français: http://new.dodin.org/frsv/ http://valerie.dodin.org
Erwan David
"Stephane Legras-Decussy" écrivait :
"Gerald" a écrit dans le message de news: 1j0udms.v9f67n1ad9r5iN%
J'affirme, pour ma part, que même pour les plus convaincus et les plus anciens militants écologistes, accepter de revenir au niveau de fonctionnement vital (énergétique, économique, global...) qui serait souhaitable et/ou nécessaire pour que l'ensemble de l'humanité (et des espèces vivantes ?) soit traité à égalité et avec respect... est pratiquement inacceptable, sauf peut-être pour certains moines... et pas tous !
il s'agit de vivre comme en France en 1950, on vivait très bien...
C'est vrai recréons les bidonvilles de Nanterre et les fermes sans eau courante...
-- Le travail n'est pas une bonne chose. Si ça l'était, les riches l'auraient accaparé
"Gerald" <Gerald@alussinan.org> a écrit dans le message de news:
1j0udms.v9f67n1ad9r5iN%Gerald@alussinan.org...
J'affirme, pour ma part, que même pour les plus convaincus et les plus
anciens militants écologistes, accepter de revenir au niveau de
fonctionnement vital (énergétique, économique, global...) qui serait
souhaitable et/ou nécessaire pour que l'ensemble de l'humanité (et des
espèces vivantes ?) soit traité à égalité et avec respect... est
pratiquement inacceptable, sauf peut-être pour certains moines... et pas
tous !
il s'agit de vivre comme en France en 1950,
on vivait très bien...
C'est vrai recréons les bidonvilles de Nanterre et les fermes sans eau
courante...
--
Le travail n'est pas une bonne chose. Si ça l'était,
les riches l'auraient accaparé
"Gerald" a écrit dans le message de news: 1j0udms.v9f67n1ad9r5iN%
J'affirme, pour ma part, que même pour les plus convaincus et les plus anciens militants écologistes, accepter de revenir au niveau de fonctionnement vital (énergétique, économique, global...) qui serait souhaitable et/ou nécessaire pour que l'ensemble de l'humanité (et des espèces vivantes ?) soit traité à égalité et avec respect... est pratiquement inacceptable, sauf peut-être pour certains moines... et pas tous !
il s'agit de vivre comme en France en 1950, on vivait très bien...
C'est vrai recréons les bidonvilles de Nanterre et les fermes sans eau courante...
-- Le travail n'est pas une bonne chose. Si ça l'était, les riches l'auraient accaparé
Gerald
"Stephane Legras-Decussy" wrote:
il s'agit de vivre comme en France en 1950, on vivait très bien...
mouais, si on était un homme peut-être, quand on était une femme, probable déjà que ça se discutait :-( (modulo le niveau social et le nombre de domestiques, chacun ayant les références qu'il veut et je te laisse peut-être les tiennes) mais, en gros, elles passaient *leur vie* essentiellement à faire la cuisine (sans frigo ou si peu, en tout cas sans congel' ni micro-ondes, ce qui veut dire courses très fréquentes pour les produits périssables (lait etc.) dans des lieux divers et non centralisés, pas de superettes). Une vie à faire la lessive (sans lave-linge), à repasser (sans centrale vapeur) à faire le ménage et à s'occuper des mômes (avec des couches en coton et des langes en laine : un "sport" à gérer !), toutes tâches pour lesquelles elles ne pouvaient espérer *aucune* aide de leur compagnon, sans parler de la gestion de la basse-cour, de l'aide aux travaux des champs (non ou peu mécanisés) pour les rurales, ou d'un éventuel travail à plus de 40h/sem. incluant la mine et autres joyeusetés comme de ne pas pouvoir avoir un chéquier sans l'autorisation de son mari... un rêve, non ?
Faudrait aussi se demander déjà contre quoi pouvait bien se battre Giono, pour ne parler que de lui, y compris dans les campagnes ("j'ai fait le con au Contadour...").
Pour moi, les années 50 sont justement celles qui ont précédé les tout débuts d'une prise de conscience en faveur de la "nature" (on ne disait pas écologie, loin de là) et qui ont donc constitué l'apogée des modes de fonctionnement les plus polluants (dont les vestiges de l'ère soviétique , entre autres, nous conservent quelques témoignages sévères).
Aucune filière de traitement des eaux usées et des déchets, que ce soit au niveau industriel ou individuel (on chiait dans les rivières où on allait se baigner, dans les stations balnéaires les égoûts sortaient direct dans la mer, bon appétit les huitres), pillage généralisé des ressources des "colonies" avec instauration de monocultures sans intérêt local sauf la dépendance et l'appauvrissement des sols...
Je te le dis : AUJOURD'HUI, déjà s'habiller sans dépendre de l'esclavage d'un enfant du tiers-monde pour te faire tes tennis ou tes T-shirts à la mode, c'est-à-dire en te faisant tes propres vêtements "from scratch" te fait ressembler à un type sortant d'une secte (ou d'un monastère, cherchez l'erreur !) limite à encabanner sans autre forme de procès. Le reste à l'avenant (nourriture, habitat, transports...).
Je ne dis pas qu'il ne faut pas tenter de s'approcher, tant qu'on peut, d'un fonctionnement raisonnable, mais le paradoxe est à tous les coins de rue ! Je me suis fait avoir, il y a dix ans, à vouloir une maison solaire avant l'heure (après avoir participé aux installation des premiers capteurs thermiques en 75). Mon message, d'expérience, est désormais : on attendra que Areva ou Total nous fassent des super-capteurs standardisés en fibre non vitrés qui couteront peanuts, et auront un réseau de maintenance super. Je n'engagerai plus d'argent qui ne s'amortira que sur *au moins dix ans* dans une petite entreprise qui risque de déposer le bilan au bout de six mois en te laissant en plan avec tes trucs propriétaires qui ne marchent plus et qu'il n'y a plus personne pour réparer.
Je confirme donc : un peu d'humilité pour soi et d'indulgence pour les autres. SVP.
-- Gérald
"Stephane Legras-Decussy" <I_love@Arol> wrote:
il s'agit de vivre comme en France en 1950,
on vivait très bien...
mouais, si on était un homme peut-être, quand on était une femme,
probable déjà que ça se discutait :-( (modulo le niveau social et le
nombre de domestiques, chacun ayant les références qu'il veut et je te
laisse peut-être les tiennes) mais, en gros, elles passaient *leur vie*
essentiellement à faire la cuisine (sans frigo ou si peu, en tout cas
sans congel' ni micro-ondes, ce qui veut dire courses très fréquentes
pour les produits périssables (lait etc.) dans des lieux divers et non
centralisés, pas de superettes). Une vie à faire la lessive (sans
lave-linge), à repasser (sans centrale vapeur) à faire le ménage et à
s'occuper des mômes (avec des couches en coton et des langes en laine :
un "sport" à gérer !), toutes tâches pour lesquelles elles ne pouvaient
espérer *aucune* aide de leur compagnon, sans parler de la gestion de la
basse-cour, de l'aide aux travaux des champs (non ou peu mécanisés) pour
les rurales, ou d'un éventuel travail à plus de 40h/sem. incluant la
mine et autres joyeusetés comme de ne pas pouvoir avoir un chéquier sans
l'autorisation de son mari... un rêve, non ?
Faudrait aussi se demander déjà contre quoi pouvait bien se battre
Giono, pour ne parler que de lui, y compris dans les campagnes ("j'ai
fait le con au Contadour...").
Pour moi, les années 50 sont justement celles qui ont précédé les tout
débuts d'une prise de conscience en faveur de la "nature" (on ne disait
pas écologie, loin de là) et qui ont donc constitué l'apogée des modes
de fonctionnement les plus polluants (dont les vestiges de l'ère
soviétique , entre autres, nous conservent quelques témoignages
sévères).
Aucune filière de traitement des eaux usées et des déchets, que ce soit
au niveau industriel ou individuel (on chiait dans les rivières où on
allait se baigner, dans les stations balnéaires les égoûts sortaient
direct dans la mer, bon appétit les huitres), pillage généralisé des
ressources des "colonies" avec instauration de monocultures sans intérêt
local sauf la dépendance et l'appauvrissement des sols...
Je te le dis : AUJOURD'HUI, déjà s'habiller sans dépendre de l'esclavage
d'un enfant du tiers-monde pour te faire tes tennis ou tes T-shirts à la
mode, c'est-à-dire en te faisant tes propres vêtements "from scratch" te
fait ressembler à un type sortant d'une secte (ou d'un monastère,
cherchez l'erreur !) limite à encabanner sans autre forme de procès. Le
reste à l'avenant (nourriture, habitat, transports...).
Je ne dis pas qu'il ne faut pas tenter de s'approcher, tant qu'on peut,
d'un fonctionnement raisonnable, mais le paradoxe est à tous les coins
de rue ! Je me suis fait avoir, il y a dix ans, à vouloir une maison
solaire avant l'heure (après avoir participé aux installation des
premiers capteurs thermiques en 75). Mon message, d'expérience, est
désormais : on attendra que Areva ou Total nous fassent des
super-capteurs standardisés en fibre non vitrés qui couteront peanuts,
et auront un réseau de maintenance super. Je n'engagerai plus d'argent
qui ne s'amortira que sur *au moins dix ans* dans une petite entreprise
qui risque de déposer le bilan au bout de six mois en te laissant en
plan avec tes trucs propriétaires qui ne marchent plus et qu'il n'y a
plus personne pour réparer.
Je confirme donc : un peu d'humilité pour soi et d'indulgence pour les
autres. SVP.
il s'agit de vivre comme en France en 1950, on vivait très bien...
mouais, si on était un homme peut-être, quand on était une femme, probable déjà que ça se discutait :-( (modulo le niveau social et le nombre de domestiques, chacun ayant les références qu'il veut et je te laisse peut-être les tiennes) mais, en gros, elles passaient *leur vie* essentiellement à faire la cuisine (sans frigo ou si peu, en tout cas sans congel' ni micro-ondes, ce qui veut dire courses très fréquentes pour les produits périssables (lait etc.) dans des lieux divers et non centralisés, pas de superettes). Une vie à faire la lessive (sans lave-linge), à repasser (sans centrale vapeur) à faire le ménage et à s'occuper des mômes (avec des couches en coton et des langes en laine : un "sport" à gérer !), toutes tâches pour lesquelles elles ne pouvaient espérer *aucune* aide de leur compagnon, sans parler de la gestion de la basse-cour, de l'aide aux travaux des champs (non ou peu mécanisés) pour les rurales, ou d'un éventuel travail à plus de 40h/sem. incluant la mine et autres joyeusetés comme de ne pas pouvoir avoir un chéquier sans l'autorisation de son mari... un rêve, non ?
Faudrait aussi se demander déjà contre quoi pouvait bien se battre Giono, pour ne parler que de lui, y compris dans les campagnes ("j'ai fait le con au Contadour...").
Pour moi, les années 50 sont justement celles qui ont précédé les tout débuts d'une prise de conscience en faveur de la "nature" (on ne disait pas écologie, loin de là) et qui ont donc constitué l'apogée des modes de fonctionnement les plus polluants (dont les vestiges de l'ère soviétique , entre autres, nous conservent quelques témoignages sévères).
Aucune filière de traitement des eaux usées et des déchets, que ce soit au niveau industriel ou individuel (on chiait dans les rivières où on allait se baigner, dans les stations balnéaires les égoûts sortaient direct dans la mer, bon appétit les huitres), pillage généralisé des ressources des "colonies" avec instauration de monocultures sans intérêt local sauf la dépendance et l'appauvrissement des sols...
Je te le dis : AUJOURD'HUI, déjà s'habiller sans dépendre de l'esclavage d'un enfant du tiers-monde pour te faire tes tennis ou tes T-shirts à la mode, c'est-à-dire en te faisant tes propres vêtements "from scratch" te fait ressembler à un type sortant d'une secte (ou d'un monastère, cherchez l'erreur !) limite à encabanner sans autre forme de procès. Le reste à l'avenant (nourriture, habitat, transports...).
Je ne dis pas qu'il ne faut pas tenter de s'approcher, tant qu'on peut, d'un fonctionnement raisonnable, mais le paradoxe est à tous les coins de rue ! Je me suis fait avoir, il y a dix ans, à vouloir une maison solaire avant l'heure (après avoir participé aux installation des premiers capteurs thermiques en 75). Mon message, d'expérience, est désormais : on attendra que Areva ou Total nous fassent des super-capteurs standardisés en fibre non vitrés qui couteront peanuts, et auront un réseau de maintenance super. Je n'engagerai plus d'argent qui ne s'amortira que sur *au moins dix ans* dans une petite entreprise qui risque de déposer le bilan au bout de six mois en te laissant en plan avec tes trucs propriétaires qui ne marchent plus et qu'il n'y a plus personne pour réparer.
Je confirme donc : un peu d'humilité pour soi et d'indulgence pour les autres. SVP.
-- Gérald
Delestaque
SbM wrote:
J'avais lu que ça devenait faux au bout d'une vingtaine de secondes d'arrêt.
je ne sais pas où confirmer ce que tu dis, il me semble bien moi aussi, et vingt secondes c'est vite passé :=)
-- G.Ricco
SbM wrote:
J'avais lu que ça devenait faux au bout d'une vingtaine de secondes
d'arrêt.
je ne sais pas où confirmer ce que tu dis, il me semble bien moi aussi, et
vingt secondes c'est vite passé :=)
J'avais lu que ça devenait faux au bout d'une vingtaine de secondes d'arrêt.
je ne sais pas où confirmer ce que tu dis, il me semble bien moi aussi, et vingt secondes c'est vite passé :=)
-- G.Ricco
Delestaque
jean-daniel dodin wrote:
Stephane Legras-Decussy a écrit :
il s'agit de vivre comme en France en 1950, on vivait très bien...
bof, les chiottes dans la cour trois étages plus bas quand j'étais étudiant, le seul poele dans la chambrée de 16 qu'il fallait recharger au milieu de la nuit, tout ca ne m'a pas laissé que des bons souvenir
sans compter que le prix des caméras 16 mm était hors d'atteinte, réaliser un film hors de prix
j'ai encore chez moi une caméra 16 qu'utilisait mon père: c'était une caméra de controle de tir d'avion, bricolée
jdd (retour en charte :-)
j'ai connu, Cinémitrailleuse on appellait ça !
-- G.Ricco
jean-daniel dodin wrote:
Stephane Legras-Decussy a écrit :
il s'agit de vivre comme en France en 1950,
on vivait très bien...
bof, les chiottes dans la cour trois étages plus bas quand j'étais
étudiant, le seul poele dans la chambrée de 16 qu'il fallait recharger
au milieu de la nuit, tout ca ne m'a pas laissé que des bons souvenir
sans compter que le prix des caméras 16 mm était hors d'atteinte,
réaliser un film hors de prix
j'ai encore chez moi une caméra 16 qu'utilisait mon père: c'était une
caméra de controle de tir d'avion, bricolée
il s'agit de vivre comme en France en 1950, on vivait très bien...
bof, les chiottes dans la cour trois étages plus bas quand j'étais étudiant, le seul poele dans la chambrée de 16 qu'il fallait recharger au milieu de la nuit, tout ca ne m'a pas laissé que des bons souvenir
sans compter que le prix des caméras 16 mm était hors d'atteinte, réaliser un film hors de prix
j'ai encore chez moi une caméra 16 qu'utilisait mon père: c'était une caméra de controle de tir d'avion, bricolée
jdd (retour en charte :-)
j'ai connu, Cinémitrailleuse on appellait ça !
-- G.Ricco
sebastienmarty
Delestaque wrote:
SbM wrote:
> J'avais lu que ça devenait faux au bout d'une vingtaine de secondes > d'arrêt.
je ne sais pas où confirmer ce que tu dis, il me semble bien moi aussi, et vingt secondes c'est vite passé :=)
Je l'avais lu quelque part, mais alors où...
-- [SbM] <http://sebastienmarty.free.fr> - <http://tradintosh.free.fr> <http://sbm.ordinotheque.free.fr> - <http://palmiciel.free.fr> "If the French were really intelligent, they'd speak English" (W. Sheed)
Delestaque <1@1.com> wrote:
SbM wrote:
> J'avais lu que ça devenait faux au bout d'une vingtaine de secondes
> d'arrêt.
je ne sais pas où confirmer ce que tu dis, il me semble bien moi aussi, et
vingt secondes c'est vite passé :=)
Je l'avais lu quelque part, mais alors où...
--
[SbM]
<http://sebastienmarty.free.fr> - <http://tradintosh.free.fr>
<http://sbm.ordinotheque.free.fr> - <http://palmiciel.free.fr>
"If the French were really intelligent, they'd speak English" (W. Sheed)
voilà l'engin (c'est chouette un téléphone photo...)
jdd
-- http://www.dodin.net Le wiki des forums son-image français: http://new.dodin.org/frsv/ http://valerie.dodin.org
Stephane Legras-Decussy
"jean-daniel dodin" a écrit dans le message de news: 4a292c6d$0$15331$
bof, les chiottes dans la cour trois étages plus bas quand j'étais étudiant, le seul poele dans la chambrée de 16 qu'il fallait recharger au milieu de la nuit, tout ca ne m'a pas laissé que des bons souvenir
ça c'est pas obligé d'y revenir...
sans compter que le prix des caméras 16 mm était hors d'atteinte, réaliser un film hors de prix
ça c'est bien. faire un matériel fiable et très cher, je suis pour...
ça évite que tout le monde en ait et que ça traine dans un placard ...
aujourd'hui un couple de jeunes mariés veut et peut acheter l'intégralité de ce qui existe, je trouve ça aberrant...faire des choix, c'est bien.
"jean-daniel dodin" <jdd@dodin.org> a écrit dans le message de news:
4a292c6d$0$15331$426a74cc@news.free.fr...
bof, les chiottes dans la cour trois étages plus bas quand j'étais
étudiant, le seul poele dans la chambrée de 16 qu'il fallait recharger
au milieu de la nuit, tout ca ne m'a pas laissé que des bons souvenir
ça c'est pas obligé d'y revenir...
sans compter que le prix des caméras 16 mm était hors d'atteinte,
réaliser un film hors de prix
ça c'est bien.
faire un matériel fiable et très cher, je suis pour...
ça évite que tout le monde en ait et que ça
traine dans un placard ...
aujourd'hui un couple de jeunes mariés veut et
peut acheter l'intégralité de ce qui existe,
je trouve ça aberrant...faire des choix, c'est bien.
"jean-daniel dodin" a écrit dans le message de news: 4a292c6d$0$15331$
bof, les chiottes dans la cour trois étages plus bas quand j'étais étudiant, le seul poele dans la chambrée de 16 qu'il fallait recharger au milieu de la nuit, tout ca ne m'a pas laissé que des bons souvenir
ça c'est pas obligé d'y revenir...
sans compter que le prix des caméras 16 mm était hors d'atteinte, réaliser un film hors de prix
ça c'est bien. faire un matériel fiable et très cher, je suis pour...
ça évite que tout le monde en ait et que ça traine dans un placard ...
aujourd'hui un couple de jeunes mariés veut et peut acheter l'intégralité de ce qui existe, je trouve ça aberrant...faire des choix, c'est bien.
Pleinair
Delestaque a écrit :
je ne sais pas où confirmer ce que tu dis, il me semble bien moi aussi, et vingt secondes c'est vite passé :=)
Reste 20 sec avec les doigts coincés dans une porte, tu vas voir si ça passe vite...
-- François.
Adresse anti-spam, pour me repondre, corriger le nom de mon fournisseur...
Delestaque a écrit :
je ne sais pas où confirmer ce que tu dis, il me semble bien moi aussi, et
vingt secondes c'est vite passé :=)
Reste 20 sec avec les doigts coincés dans une porte, tu vas voir si ça
passe vite...
--
François.
Adresse anti-spam, pour me repondre, corriger le nom de mon fournisseur...