Pour ma part, je suis convaincu
que tous ces empires coloniaux auraient pu être viables si les
colonisateurs n'avaient pas eu un bon fond de racisme et n'avaient pas
insuflé le concept de pays nation sur des continents qui
n'en avaient rien à faire (et qui n'avaient pas attendu le blanc pour
entrer dans l'histoire comme l'oublie un certain).
Pour ma part, je suis convaincu
que tous ces empires coloniaux auraient pu être viables si les
colonisateurs n'avaient pas eu un bon fond de racisme et n'avaient pas
insuflé le concept de pays nation sur des continents qui
n'en avaient rien à faire (et qui n'avaient pas attendu le blanc pour
entrer dans l'histoire comme l'oublie un certain).
Pour ma part, je suis convaincu
que tous ces empires coloniaux auraient pu être viables si les
colonisateurs n'avaient pas eu un bon fond de racisme et n'avaient pas
insuflé le concept de pays nation sur des continents qui
n'en avaient rien à faire (et qui n'avaient pas attendu le blanc pour
entrer dans l'histoire comme l'oublie un certain).
1/ Ne coupe pas comme un goret (comme à ton habitude) pour que le
lecteur qui prendrait par hasard le fil ici ne comprenne plus le
sens de ma réponse.
1/ Ne coupe pas comme un goret (comme à ton habitude) pour que le
lecteur qui prendrait par hasard le fil ici ne comprenne plus le
sens de ma réponse.
1/ Ne coupe pas comme un goret (comme à ton habitude) pour que le
lecteur qui prendrait par hasard le fil ici ne comprenne plus le
sens de ma réponse.
J'ai très bien lu et compris 1984. Ceci dit je préfère largement la
vision d'Huxley qui me semble plus pertinente que celle d'Orwell.
La rélaité sera porbablement un mélange des deux.
Personnellement, cela m'a toujours amusé de coller le programme du
FN à droite ou à l'extrême droite. Il est là parce qu'il faut bien
le coller quelque part.
Voilà.
Le mot race ne peut simplement _pas_ être appliqué à l'ếtre humain, en
tous cas pas en terme biologique.
J'ai très bien lu et compris 1984. Ceci dit je préfère largement la
vision d'Huxley qui me semble plus pertinente que celle d'Orwell.
La rélaité sera porbablement un mélange des deux.
Personnellement, cela m'a toujours amusé de coller le programme du
FN à droite ou à l'extrême droite. Il est là parce qu'il faut bien
le coller quelque part.
Voilà.
Le mot race ne peut simplement _pas_ être appliqué à l'ếtre humain, en
tous cas pas en terme biologique.
J'ai très bien lu et compris 1984. Ceci dit je préfère largement la
vision d'Huxley qui me semble plus pertinente que celle d'Orwell.
La rélaité sera porbablement un mélange des deux.
Personnellement, cela m'a toujours amusé de coller le programme du
FN à droite ou à l'extrême droite. Il est là parce qu'il faut bien
le coller quelque part.
Voilà.
Le mot race ne peut simplement _pas_ être appliqué à l'ếtre humain, en
tous cas pas en terme biologique.
Elle l'est déjà. Tout le point d'une dictature, c'est que les gens qui
vivent dedans ignorent que c'en est une.
Elle l'est déjà. Tout le point d'une dictature, c'est que les gens qui
vivent dedans ignorent que c'en est une.
Elle l'est déjà. Tout le point d'une dictature, c'est que les gens qui
vivent dedans ignorent que c'en est une.
Le 20-02-2013, JKB nous expliquait dans fr.comp.os.linux.debats :
Source ? te fatigue pas, je la connais ta source, c'est la télévision.
Cet instrument de propagande parfaitement décrit dans 1984, présent dans
chaque foyer.
Tu es con ou quoi ? Je n'ai _PAS_ de télé depuis plus de 15 ans !
Et le télécran d'Orwell n'est pas exactement une télévision. Mais
pour cela, il faudrait au moins avoir lu et _compris_ le bouquin en
question.
J'ai très bien lu et compris 1984. Ceci dit je préfère largement la
vision d'Huxley qui me semble plus pertinente que celle d'Orwell.
La rélaité sera porbablement un mélange des deux.
C'est typique et c'est _exactement_ ce qui se passe dans le monde
occidental aujourd'hui. Les idées d'extrème droite progressent, au point
que certaines d'entre elles deviennent simplement des idées de droite.
Personnellement, cela m'a toujours amusé de coller le programme du
FN à droite ou à l'extrême droite. Il est là parce qu'il faut bien
le coller quelque part.
Voilà.Mais le programme de la famille Le Pen
(puisque c'est de cela qu'il s'agit, une dynastie) n'a rien d'un
programme de droite. C'est un programme ouvertement populiste dont
le but est de ratisser large selon le vieux principe que la fin
justifie les moyens. Tu trouveras dans ce programme autant d'idées
de droite que de gauche. C'est même pour cela que le FN vient
d'annoncer (pas trop fort) des alliances possibles avec le PS aux
prochaines municipales.
Tout à fait ; national et socialiste en quelque sorte.
[Re-SNIP]Ce n'est pas une connerie, le passage que je cite indique une référence
scientifique sérieuse. Mais on ne peut pas forcer à âne à boire
lorsqu'il n'a pas soif.
Oui, enfin, c'est un peu aussi "madame, cachez ce sein que je ne
saurais voir". Dans cette réfutation, l'important est de discuter
hors de toute idéologie, ce qu'on ne fait pas réellement (pour un
tas de raisons sociales ou historiques). Il est inadmissible qu'un
tel concept soit utilisé à fins de discrimination. Mais le nier
totalement (appelle ça comme tu veux si le mot race ne te plaît pas)
est tout aussi idiot. Je te donne un seul exemple, les indications
et contre-indications thérapeutiques qui posent des problèmes dans
les hôpitaux et qui sont actuellement niées.
La réfutation est basée sur l'étude du génome. Il n'y a pas de sein à
cacher ! Et cette étude ne remet pas en question le fait que certains
individus puissent avoir des caractéritiques particulières communes
(oui les peuples du nord sont statistiquement plus grands que ceux du
sud de l'Europe, etc...).
Le mot race ne peut simplement _pas_ être appliqué à l'ếtre humain, en
tous cas pas en terme biologique.
Le "racisme" n'est pas un terme scientifique, c'est un terme politique
et social qui permet de définir l'appartenance d'un individu à un
peuple. Les allemands disent "peupliste", les français disent "racistes".
On peut utiliser le terme "peupliste" si cela te fait plaisir, bien
qu'il n'existe pas en Français, il signifie pour moi exactement la même
chose.
Arrête de tourner autour du pot, on se fout du mot employé. C'est l'idée
qui est derrière le mot, quel qu'il soit, qui est archaïque.
Plus exactement, c'est ce qu'un groupe fait de la classification
ainsi obtenue. C'est légèrement différent. Comme on ne réduit pas le
racisme en interdisant les statistiques ethniques (ce qui emmerde
les statisticiens et les sociologues), tu ne réduiras pas le racisme
en interdisant de parler de races.
Le but n'est pas de réduire le racisme mais de remettre les choses au
clair. Par ailleurs je n'interdit rien.Encore une fois, le problème
n'est pas l'ethnie ou la race, mais ce que les groupes constitués en
font. Et si tu interdis le mot 'race', il se trouvera d'autres
moyens de discrimination tout aussi aberrants : lutte anti-roux ou
anti cheveux crépus, ratonnades (de nouveau genre) anti orthodoxes
et j'en passe. Le racisme n'est que la partie émergée d'un iceberg
qui trouvera n'importe quel objet à sa haine qu'est l'autre dans sa
globalité. Ça peut être aussi con que 'ce type est de la cité
voisine, on est tous deux d'origine magrébine, mais comme il est de
la cité voisine, je vais lui faire sa fête !'.
Tout à fait. Et le terme de race est utilisé à mauvais escient par ce
genre de personnes basse de plafond. Et ces mêmes personnes finiront par
dire que les roux ou les albinos sont une race à par entière.
Il n'y a guerre que les juifs pour croire à une réalité biologique de la
notion de race (puisque la judaité se transmet par la mere).
Ah non, pas que les juifs, c'est exactement ce que croient *tous* les
racistes.
Et c'est exactement le contraire de ce que croient des chercheurs
comme Shlomo Sand (qu'on ne peut pas taxer d'anti-judaïsme
primaire).
Ta phrase est ambigüe. Le contraire de quoi ?
Pour le FN de base, le Français qui va bien c'est celui de souche, celui
dont les ailleux peuvent justifier de la nationalité Française sur N
_générations_.
Même pas. Je te conseille de te renseigner sur la biographie de
Jean-Marie Le Pen. C'est assez édifiant. Regarde un peu le côté
prise de position religieuse. Le militant FN de base est un
assemblage de faits religieux (à l'ancienne, façon fraternité
Saint-Pierre ou Saint-Pie X), de faits historiographiques rabâchés
jusqu'à plus soif et déformés pour que ça leur serve, de populisme
échevelé et, n'ayons pas peur des mots, de lavage de cerveaux dû à
un culte du chef tout puissant. Être français depuisx générations ne
suffit pas.
Je me contrefout du programme du FN et de la biographie d'un ancien
tortionnaire !
Je montrais simplement à ST que sont arguement était
invalide dans la mesure où les racistes basent leur discours
essentiellement sur l'appartenance à une hypothétique catégorie de
personnes ayant des caractéristiques génétiques communes (les blancs,
les noirs, les juifs, les arabes). Ensuite à l'intérieur de ces
catégories viennent d'autres sous-groupes comme les Italiens, les
Portugais, les sépharades, les ashénazes (bah oui, un con est
un con jusqu'au bout). Au final le découpage fini par faire que le mec
se retrouve seul dans sa catégorie.
[SNAP]Note que cette idée n'est pas nouvelle, elle doit dater au moins de
l'antiquité.
Non, cette idée date essentiellement du nationalisme triomphant du
XIXe siècle. C'est lui qui a construit artificiellement des
'nations' par opposition à la nation voisine. Avant, tu étais de
ton village, de ta province. Depuis le XIXe siècle, tu es de ton
'pays' au sens moderne et contemporain du terme. Au XVIIIe siècle,
un strasbourgeois ne se sentait pas français (pourtant, depuis le
traité de Westphalie...). Ni allemand d'ailleurs. Au XIXe, cela a un
peu changé et on s'est foutu sur la gueule (même au sein des mêmes
familles parce qu'on n'habitait pas sur le même côté du Rhin). Idem
pour toutes les zones frontalières. Actuellement, avec la
construction européenne, les mentalités sont un peu en train de
changer. Mais très doucement.
C'est faire peu de cas de l'antiquité et de ces guerres mythiques (La
Perse Vs. la Grece par exemple) au cours desquelles le sentiment
nationaliste était un moteur non négligeable.
[SNIP]Parce que tu crois qu'un homme politique base ses décisions sur autre
chose que _son_ propre intérêt ? Naïf que tu es. Des vrais républicains
qui font réèllement allégence au peuple et à la nation ça fait bien
longtemps qu'il n'y en a plus (s'il y en a eu un jour).
Si, si... Ça eut existé. Une petite liste non exhaustive : Clemenceau,
Poincaré, Raynaud, Mandel (ces deux-là sont assez exceptionnels), Coty,
De Gaule... Et il y en a eu autant à droite qu'à gauche.
Mouai, j'ai quand même quelques doutes. Disons qu'ils étaient moins
pourri que d'autres mais certainement pas moins corrompu.
[SNAP]Tu es encore bien bas mon pauvre ST et je te plains. Prends ton fusil et
cours, Verdun est en danger. Mais ne t'etonne pas si après avoir tué des
"boches" qu'ils aient envie de te rendre la pareille.
Eh oh ! Souviens-toi de la dépêche d'Ems, c'est eux qui ont commencé !
Quand la cour de récré fait la taille de l'Europe, ça fout la trouille
;-)
Le 20-02-2013, JKB nous expliquait dans fr.comp.os.linux.debats :
Source ? te fatigue pas, je la connais ta source, c'est la télévision.
Cet instrument de propagande parfaitement décrit dans 1984, présent dans
chaque foyer.
Tu es con ou quoi ? Je n'ai _PAS_ de télé depuis plus de 15 ans !
Et le télécran d'Orwell n'est pas exactement une télévision. Mais
pour cela, il faudrait au moins avoir lu et _compris_ le bouquin en
question.
J'ai très bien lu et compris 1984. Ceci dit je préfère largement la
vision d'Huxley qui me semble plus pertinente que celle d'Orwell.
La rélaité sera porbablement un mélange des deux.
C'est typique et c'est _exactement_ ce qui se passe dans le monde
occidental aujourd'hui. Les idées d'extrème droite progressent, au point
que certaines d'entre elles deviennent simplement des idées de droite.
Personnellement, cela m'a toujours amusé de coller le programme du
FN à droite ou à l'extrême droite. Il est là parce qu'il faut bien
le coller quelque part.
Voilà.
Mais le programme de la famille Le Pen
(puisque c'est de cela qu'il s'agit, une dynastie) n'a rien d'un
programme de droite. C'est un programme ouvertement populiste dont
le but est de ratisser large selon le vieux principe que la fin
justifie les moyens. Tu trouveras dans ce programme autant d'idées
de droite que de gauche. C'est même pour cela que le FN vient
d'annoncer (pas trop fort) des alliances possibles avec le PS aux
prochaines municipales.
Tout à fait ; national et socialiste en quelque sorte.
[Re-SNIP]
Ce n'est pas une connerie, le passage que je cite indique une référence
scientifique sérieuse. Mais on ne peut pas forcer à âne à boire
lorsqu'il n'a pas soif.
Oui, enfin, c'est un peu aussi "madame, cachez ce sein que je ne
saurais voir". Dans cette réfutation, l'important est de discuter
hors de toute idéologie, ce qu'on ne fait pas réellement (pour un
tas de raisons sociales ou historiques). Il est inadmissible qu'un
tel concept soit utilisé à fins de discrimination. Mais le nier
totalement (appelle ça comme tu veux si le mot race ne te plaît pas)
est tout aussi idiot. Je te donne un seul exemple, les indications
et contre-indications thérapeutiques qui posent des problèmes dans
les hôpitaux et qui sont actuellement niées.
La réfutation est basée sur l'étude du génome. Il n'y a pas de sein à
cacher ! Et cette étude ne remet pas en question le fait que certains
individus puissent avoir des caractéritiques particulières communes
(oui les peuples du nord sont statistiquement plus grands que ceux du
sud de l'Europe, etc...).
Le mot race ne peut simplement _pas_ être appliqué à l'ếtre humain, en
tous cas pas en terme biologique.
Le "racisme" n'est pas un terme scientifique, c'est un terme politique
et social qui permet de définir l'appartenance d'un individu à un
peuple. Les allemands disent "peupliste", les français disent "racistes".
On peut utiliser le terme "peupliste" si cela te fait plaisir, bien
qu'il n'existe pas en Français, il signifie pour moi exactement la même
chose.
Arrête de tourner autour du pot, on se fout du mot employé. C'est l'idée
qui est derrière le mot, quel qu'il soit, qui est archaïque.
Plus exactement, c'est ce qu'un groupe fait de la classification
ainsi obtenue. C'est légèrement différent. Comme on ne réduit pas le
racisme en interdisant les statistiques ethniques (ce qui emmerde
les statisticiens et les sociologues), tu ne réduiras pas le racisme
en interdisant de parler de races.
Le but n'est pas de réduire le racisme mais de remettre les choses au
clair. Par ailleurs je n'interdit rien.
Encore une fois, le problème
n'est pas l'ethnie ou la race, mais ce que les groupes constitués en
font. Et si tu interdis le mot 'race', il se trouvera d'autres
moyens de discrimination tout aussi aberrants : lutte anti-roux ou
anti cheveux crépus, ratonnades (de nouveau genre) anti orthodoxes
et j'en passe. Le racisme n'est que la partie émergée d'un iceberg
qui trouvera n'importe quel objet à sa haine qu'est l'autre dans sa
globalité. Ça peut être aussi con que 'ce type est de la cité
voisine, on est tous deux d'origine magrébine, mais comme il est de
la cité voisine, je vais lui faire sa fête !'.
Tout à fait. Et le terme de race est utilisé à mauvais escient par ce
genre de personnes basse de plafond. Et ces mêmes personnes finiront par
dire que les roux ou les albinos sont une race à par entière.
Il n'y a guerre que les juifs pour croire à une réalité biologique de la
notion de race (puisque la judaité se transmet par la mere).
Ah non, pas que les juifs, c'est exactement ce que croient *tous* les
racistes.
Et c'est exactement le contraire de ce que croient des chercheurs
comme Shlomo Sand (qu'on ne peut pas taxer d'anti-judaïsme
primaire).
Ta phrase est ambigüe. Le contraire de quoi ?
Pour le FN de base, le Français qui va bien c'est celui de souche, celui
dont les ailleux peuvent justifier de la nationalité Française sur N
_générations_.
Même pas. Je te conseille de te renseigner sur la biographie de
Jean-Marie Le Pen. C'est assez édifiant. Regarde un peu le côté
prise de position religieuse. Le militant FN de base est un
assemblage de faits religieux (à l'ancienne, façon fraternité
Saint-Pierre ou Saint-Pie X), de faits historiographiques rabâchés
jusqu'à plus soif et déformés pour que ça leur serve, de populisme
échevelé et, n'ayons pas peur des mots, de lavage de cerveaux dû à
un culte du chef tout puissant. Être français depuisx générations ne
suffit pas.
Je me contrefout du programme du FN et de la biographie d'un ancien
tortionnaire !
Je montrais simplement à ST que sont arguement était
invalide dans la mesure où les racistes basent leur discours
essentiellement sur l'appartenance à une hypothétique catégorie de
personnes ayant des caractéristiques génétiques communes (les blancs,
les noirs, les juifs, les arabes). Ensuite à l'intérieur de ces
catégories viennent d'autres sous-groupes comme les Italiens, les
Portugais, les sépharades, les ashénazes (bah oui, un con est
un con jusqu'au bout). Au final le découpage fini par faire que le mec
se retrouve seul dans sa catégorie.
[SNAP]
Note que cette idée n'est pas nouvelle, elle doit dater au moins de
l'antiquité.
Non, cette idée date essentiellement du nationalisme triomphant du
XIXe siècle. C'est lui qui a construit artificiellement des
'nations' par opposition à la nation voisine. Avant, tu étais de
ton village, de ta province. Depuis le XIXe siècle, tu es de ton
'pays' au sens moderne et contemporain du terme. Au XVIIIe siècle,
un strasbourgeois ne se sentait pas français (pourtant, depuis le
traité de Westphalie...). Ni allemand d'ailleurs. Au XIXe, cela a un
peu changé et on s'est foutu sur la gueule (même au sein des mêmes
familles parce qu'on n'habitait pas sur le même côté du Rhin). Idem
pour toutes les zones frontalières. Actuellement, avec la
construction européenne, les mentalités sont un peu en train de
changer. Mais très doucement.
C'est faire peu de cas de l'antiquité et de ces guerres mythiques (La
Perse Vs. la Grece par exemple) au cours desquelles le sentiment
nationaliste était un moteur non négligeable.
[SNIP]
Parce que tu crois qu'un homme politique base ses décisions sur autre
chose que _son_ propre intérêt ? Naïf que tu es. Des vrais républicains
qui font réèllement allégence au peuple et à la nation ça fait bien
longtemps qu'il n'y en a plus (s'il y en a eu un jour).
Si, si... Ça eut existé. Une petite liste non exhaustive : Clemenceau,
Poincaré, Raynaud, Mandel (ces deux-là sont assez exceptionnels), Coty,
De Gaule... Et il y en a eu autant à droite qu'à gauche.
Mouai, j'ai quand même quelques doutes. Disons qu'ils étaient moins
pourri que d'autres mais certainement pas moins corrompu.
[SNAP]
Tu es encore bien bas mon pauvre ST et je te plains. Prends ton fusil et
cours, Verdun est en danger. Mais ne t'etonne pas si après avoir tué des
"boches" qu'ils aient envie de te rendre la pareille.
Eh oh ! Souviens-toi de la dépêche d'Ems, c'est eux qui ont commencé !
Quand la cour de récré fait la taille de l'Europe, ça fout la trouille
;-)
Le 20-02-2013, JKB nous expliquait dans fr.comp.os.linux.debats :
Source ? te fatigue pas, je la connais ta source, c'est la télévision.
Cet instrument de propagande parfaitement décrit dans 1984, présent dans
chaque foyer.
Tu es con ou quoi ? Je n'ai _PAS_ de télé depuis plus de 15 ans !
Et le télécran d'Orwell n'est pas exactement une télévision. Mais
pour cela, il faudrait au moins avoir lu et _compris_ le bouquin en
question.
J'ai très bien lu et compris 1984. Ceci dit je préfère largement la
vision d'Huxley qui me semble plus pertinente que celle d'Orwell.
La rélaité sera porbablement un mélange des deux.
C'est typique et c'est _exactement_ ce qui se passe dans le monde
occidental aujourd'hui. Les idées d'extrème droite progressent, au point
que certaines d'entre elles deviennent simplement des idées de droite.
Personnellement, cela m'a toujours amusé de coller le programme du
FN à droite ou à l'extrême droite. Il est là parce qu'il faut bien
le coller quelque part.
Voilà.Mais le programme de la famille Le Pen
(puisque c'est de cela qu'il s'agit, une dynastie) n'a rien d'un
programme de droite. C'est un programme ouvertement populiste dont
le but est de ratisser large selon le vieux principe que la fin
justifie les moyens. Tu trouveras dans ce programme autant d'idées
de droite que de gauche. C'est même pour cela que le FN vient
d'annoncer (pas trop fort) des alliances possibles avec le PS aux
prochaines municipales.
Tout à fait ; national et socialiste en quelque sorte.
[Re-SNIP]Ce n'est pas une connerie, le passage que je cite indique une référence
scientifique sérieuse. Mais on ne peut pas forcer à âne à boire
lorsqu'il n'a pas soif.
Oui, enfin, c'est un peu aussi "madame, cachez ce sein que je ne
saurais voir". Dans cette réfutation, l'important est de discuter
hors de toute idéologie, ce qu'on ne fait pas réellement (pour un
tas de raisons sociales ou historiques). Il est inadmissible qu'un
tel concept soit utilisé à fins de discrimination. Mais le nier
totalement (appelle ça comme tu veux si le mot race ne te plaît pas)
est tout aussi idiot. Je te donne un seul exemple, les indications
et contre-indications thérapeutiques qui posent des problèmes dans
les hôpitaux et qui sont actuellement niées.
La réfutation est basée sur l'étude du génome. Il n'y a pas de sein à
cacher ! Et cette étude ne remet pas en question le fait que certains
individus puissent avoir des caractéritiques particulières communes
(oui les peuples du nord sont statistiquement plus grands que ceux du
sud de l'Europe, etc...).
Le mot race ne peut simplement _pas_ être appliqué à l'ếtre humain, en
tous cas pas en terme biologique.
Le "racisme" n'est pas un terme scientifique, c'est un terme politique
et social qui permet de définir l'appartenance d'un individu à un
peuple. Les allemands disent "peupliste", les français disent "racistes".
On peut utiliser le terme "peupliste" si cela te fait plaisir, bien
qu'il n'existe pas en Français, il signifie pour moi exactement la même
chose.
Arrête de tourner autour du pot, on se fout du mot employé. C'est l'idée
qui est derrière le mot, quel qu'il soit, qui est archaïque.
Plus exactement, c'est ce qu'un groupe fait de la classification
ainsi obtenue. C'est légèrement différent. Comme on ne réduit pas le
racisme en interdisant les statistiques ethniques (ce qui emmerde
les statisticiens et les sociologues), tu ne réduiras pas le racisme
en interdisant de parler de races.
Le but n'est pas de réduire le racisme mais de remettre les choses au
clair. Par ailleurs je n'interdit rien.Encore une fois, le problème
n'est pas l'ethnie ou la race, mais ce que les groupes constitués en
font. Et si tu interdis le mot 'race', il se trouvera d'autres
moyens de discrimination tout aussi aberrants : lutte anti-roux ou
anti cheveux crépus, ratonnades (de nouveau genre) anti orthodoxes
et j'en passe. Le racisme n'est que la partie émergée d'un iceberg
qui trouvera n'importe quel objet à sa haine qu'est l'autre dans sa
globalité. Ça peut être aussi con que 'ce type est de la cité
voisine, on est tous deux d'origine magrébine, mais comme il est de
la cité voisine, je vais lui faire sa fête !'.
Tout à fait. Et le terme de race est utilisé à mauvais escient par ce
genre de personnes basse de plafond. Et ces mêmes personnes finiront par
dire que les roux ou les albinos sont une race à par entière.
Il n'y a guerre que les juifs pour croire à une réalité biologique de la
notion de race (puisque la judaité se transmet par la mere).
Ah non, pas que les juifs, c'est exactement ce que croient *tous* les
racistes.
Et c'est exactement le contraire de ce que croient des chercheurs
comme Shlomo Sand (qu'on ne peut pas taxer d'anti-judaïsme
primaire).
Ta phrase est ambigüe. Le contraire de quoi ?
Pour le FN de base, le Français qui va bien c'est celui de souche, celui
dont les ailleux peuvent justifier de la nationalité Française sur N
_générations_.
Même pas. Je te conseille de te renseigner sur la biographie de
Jean-Marie Le Pen. C'est assez édifiant. Regarde un peu le côté
prise de position religieuse. Le militant FN de base est un
assemblage de faits religieux (à l'ancienne, façon fraternité
Saint-Pierre ou Saint-Pie X), de faits historiographiques rabâchés
jusqu'à plus soif et déformés pour que ça leur serve, de populisme
échevelé et, n'ayons pas peur des mots, de lavage de cerveaux dû à
un culte du chef tout puissant. Être français depuisx générations ne
suffit pas.
Je me contrefout du programme du FN et de la biographie d'un ancien
tortionnaire !
Je montrais simplement à ST que sont arguement était
invalide dans la mesure où les racistes basent leur discours
essentiellement sur l'appartenance à une hypothétique catégorie de
personnes ayant des caractéristiques génétiques communes (les blancs,
les noirs, les juifs, les arabes). Ensuite à l'intérieur de ces
catégories viennent d'autres sous-groupes comme les Italiens, les
Portugais, les sépharades, les ashénazes (bah oui, un con est
un con jusqu'au bout). Au final le découpage fini par faire que le mec
se retrouve seul dans sa catégorie.
[SNAP]Note que cette idée n'est pas nouvelle, elle doit dater au moins de
l'antiquité.
Non, cette idée date essentiellement du nationalisme triomphant du
XIXe siècle. C'est lui qui a construit artificiellement des
'nations' par opposition à la nation voisine. Avant, tu étais de
ton village, de ta province. Depuis le XIXe siècle, tu es de ton
'pays' au sens moderne et contemporain du terme. Au XVIIIe siècle,
un strasbourgeois ne se sentait pas français (pourtant, depuis le
traité de Westphalie...). Ni allemand d'ailleurs. Au XIXe, cela a un
peu changé et on s'est foutu sur la gueule (même au sein des mêmes
familles parce qu'on n'habitait pas sur le même côté du Rhin). Idem
pour toutes les zones frontalières. Actuellement, avec la
construction européenne, les mentalités sont un peu en train de
changer. Mais très doucement.
C'est faire peu de cas de l'antiquité et de ces guerres mythiques (La
Perse Vs. la Grece par exemple) au cours desquelles le sentiment
nationaliste était un moteur non négligeable.
[SNIP]Parce que tu crois qu'un homme politique base ses décisions sur autre
chose que _son_ propre intérêt ? Naïf que tu es. Des vrais républicains
qui font réèllement allégence au peuple et à la nation ça fait bien
longtemps qu'il n'y en a plus (s'il y en a eu un jour).
Si, si... Ça eut existé. Une petite liste non exhaustive : Clemenceau,
Poincaré, Raynaud, Mandel (ces deux-là sont assez exceptionnels), Coty,
De Gaule... Et il y en a eu autant à droite qu'à gauche.
Mouai, j'ai quand même quelques doutes. Disons qu'ils étaient moins
pourri que d'autres mais certainement pas moins corrompu.
[SNAP]Tu es encore bien bas mon pauvre ST et je te plains. Prends ton fusil et
cours, Verdun est en danger. Mais ne t'etonne pas si après avoir tué des
"boches" qu'ils aient envie de te rendre la pareille.
Eh oh ! Souviens-toi de la dépêche d'Ems, c'est eux qui ont commencé !
Quand la cour de récré fait la taille de l'Europe, ça fout la trouille
;-)
Elle l'est déjà. Tout le point d'une dictature, c'est que les gens qui
vivent dedans ignorent que c'en est une.
un peu comme en Chine quoi...
Elle l'est déjà. Tout le point d'une dictature, c'est que les gens qui
vivent dedans ignorent que c'en est une.
un peu comme en Chine quoi...
Elle l'est déjà. Tout le point d'une dictature, c'est que les gens qui
vivent dedans ignorent que c'en est une.
un peu comme en Chine quoi...
Je répondais à ton interlocuteur. Excuse-moi de ne pas avoir été
clair sur ce coup.
Parler du peuple juif est aussi idiot que de parler du
peuple catholique.
Je répondais à ton interlocuteur. Excuse-moi de ne pas avoir été
clair sur ce coup.
Parler du peuple juif est aussi idiot que de parler du
peuple catholique.
Je répondais à ton interlocuteur. Excuse-moi de ne pas avoir été
clair sur ce coup.
Parler du peuple juif est aussi idiot que de parler du
peuple catholique.
Le rapport avec la choucroute ? Pour étendre l'Allemagne
à l'Est il fallait bien prendre des terres à la Pologne.
C'est le mélange des niveaux de connaissance qui fait
la richesse de usenet.
Le rapport avec la choucroute ? Pour étendre l'Allemagne
à l'Est il fallait bien prendre des terres à la Pologne.
C'est le mélange des niveaux de connaissance qui fait
la richesse de usenet.
Le rapport avec la choucroute ? Pour étendre l'Allemagne
à l'Est il fallait bien prendre des terres à la Pologne.
C'est le mélange des niveaux de connaissance qui fait
la richesse de usenet.
La réfutation est basée sur l'étude du génome. Il n'y a pas de sein à
cacher ! Et cette étude ne remet pas en question le fait que certains
individus puissent avoir des caractéritiques particulières communes
(oui les peuples du nord sont statistiquement plus grands que ceux du
sud de l'Europe, etc...).
Je ne parle pas forcément de choses visibles. Il y a des grandes
variantes qui font que certaines populations réagissent plus ou
moins à certains traitements médicamentaux, sont plus sujettes à
certaines pathologies, sont morphologiquement différents (et
durablement d'une génération à l'autre). Le gros problème est qu'on
refuse d'appliquer à l'espèce humaine ce qu'on applique à l'espèce des
chiens ou des chats. Ce que je suis en train de te dire, en d'autres
termes, c'est qu'on n'a pas la même définition d'espèce et de race pour
les animaux et pour l'homme parce que pour des raisons historiques (et
idéologiques), on associe à race une relation d'ordre (au sens
mathématique du terme), ce qui est parfaitement idiot et tout à fait
condamnable.
Et pour enfoncer le clou, j'aimerais qu'on me présente un seul vrai
raciste. Des xénophobes, des khons, j'en connais plein. Des racistes
au sens strict, pas un seul. Lorsqu'on gratte un peu, ce sont tous
des xénophobes à poils courts.
Le mot race ne peut simplement _pas_ être appliqué à l'ếtre humain, en
tous cas pas en terme biologique.
Le problème est que justement, il s'applique. On ne veut pas
l'appliquer pour un certain nombre de raisons. Biologiquement, une
espèce est un ensemble d'individus interféconds dont les décendants
sont interféconds. L'humain dans sa globalité est donc une espèce au
sens biologique du terme. Une race est une division de cette espèce
selon des caractéristiques morphologiques stables ou plus largement
génétiques. Ce sont les définitions qui sont celles des biologistes
et qui sont appliquées à tout le vivant _sauf_ à l'homme.
C'est justement parce qu'il y a des discours nauséeux qui ne datent
pas d'hier qu'on refuse d'en parler, pire, qu'on le nie, ce qui
n'arrange pas les problèmes parce que pour les 'racistes' bas de
plafond, ça apporte de l'eau à leur moulin sous la forme de théorie
du complot qu'ils aiment bien utiliser. Un aborigène n'est pas supérieur
ou inférieur à un latino-américain, il est différent, comme un chat
siamois est différent d'un chartreux. Le nier est aberrant, en faire
une forme quelconque de discrimination est scandaleux.
Il n'y a guerre que les juifs pour croire à une réalité biologique de la
notion de race (puisque la judaité se transmet par la mere).
Ah non, pas que les juifs, c'est exactement ce que croient *tous* les
racistes.
Et c'est exactement le contraire de ce que croient des chercheurs
comme Shlomo Sand (qu'on ne peut pas taxer d'anti-judaïsme
primaire).
Ta phrase est ambigüe. Le contraire de quoi ?
Il n'y a pas de réalité biologique du peuple juif. Le peuple juif se
définit par une appartenance à une religion et à un filiation
spirituelle. Cela a été prouvé par des études de l'université
hébraïque (études génétiques) et par des études plus récentes
d'historiens. Parler du peuple juif est aussi idiot que de parler du
peuple catholique.
Je montrais simplement à ST que sont arguement était
invalide dans la mesure où les racistes basent leur discours
essentiellement sur l'appartenance à une hypothétique catégorie de
personnes ayant des caractéristiques génétiques communes (les blancs,
les noirs, les juifs, les arabes). Ensuite à l'intérieur de ces
catégories viennent d'autres sous-groupes comme les Italiens, les
Portugais, les sépharades, les ashénazes (bah oui, un con est
un con jusqu'au bout). Au final le découpage fini par faire que le mec
se retrouve seul dans sa catégorie.
C'est là que je ne puis être d'accord. Ces gens ont besoin de
discriminer. Ce n'est pas le concept de race (au sens biologique du
terme) qui fait que ces gens ordonnent les différents membres de
l'espèce humaine. Quelle que soit la façon de classer, il
classeront pour discriminer et se retrouver dans une 'bonne'
catégorie. Si ce n'est pas sur une couleur de peau, ce sera selon
d'autres critères (juifs, tziganes, communistes, homosexuels,
opposants de toutes sortes qui ne sont pas objectivement des races
au sens biologique du terme).[SNAP]Note que cette idée n'est pas nouvelle, elle doit dater au moins de
l'antiquité.
Non, cette idée date essentiellement du nationalisme triomphant du
XIXe siècle. C'est lui qui a construit artificiellement des
'nations' par opposition à la nation voisine. Avant, tu étais de
ton village, de ta province. Depuis le XIXe siècle, tu es de ton
'pays' au sens moderne et contemporain du terme. Au XVIIIe siècle,
un strasbourgeois ne se sentait pas français (pourtant, depuis le
traité de Westphalie...). Ni allemand d'ailleurs. Au XIXe, cela a un
peu changé et on s'est foutu sur la gueule (même au sein des mêmes
familles parce qu'on n'habitait pas sur le même côté du Rhin). Idem
pour toutes les zones frontalières. Actuellement, avec la
construction européenne, les mentalités sont un peu en train de
changer. Mais très doucement.
C'est faire peu de cas de l'antiquité et de ces guerres mythiques (La
Perse Vs. la Grece par exemple) au cours desquelles le sentiment
nationaliste était un moteur non négligeable.
La nation grecque de l'antiquité ? Tu veux rire ? La seule unité de
la Grecque durant l'antiquité était une langue à peu près commune.
Elle était constituée de cités-états qui se faisait régulièrement la
guerre et qui n'arrivaient à s'unir que pour combattre un ennemi
commun.
La réfutation est basée sur l'étude du génome. Il n'y a pas de sein à
cacher ! Et cette étude ne remet pas en question le fait que certains
individus puissent avoir des caractéritiques particulières communes
(oui les peuples du nord sont statistiquement plus grands que ceux du
sud de l'Europe, etc...).
Je ne parle pas forcément de choses visibles. Il y a des grandes
variantes qui font que certaines populations réagissent plus ou
moins à certains traitements médicamentaux, sont plus sujettes à
certaines pathologies, sont morphologiquement différents (et
durablement d'une génération à l'autre). Le gros problème est qu'on
refuse d'appliquer à l'espèce humaine ce qu'on applique à l'espèce des
chiens ou des chats. Ce que je suis en train de te dire, en d'autres
termes, c'est qu'on n'a pas la même définition d'espèce et de race pour
les animaux et pour l'homme parce que pour des raisons historiques (et
idéologiques), on associe à race une relation d'ordre (au sens
mathématique du terme), ce qui est parfaitement idiot et tout à fait
condamnable.
Et pour enfoncer le clou, j'aimerais qu'on me présente un seul vrai
raciste. Des xénophobes, des khons, j'en connais plein. Des racistes
au sens strict, pas un seul. Lorsqu'on gratte un peu, ce sont tous
des xénophobes à poils courts.
Le mot race ne peut simplement _pas_ être appliqué à l'ếtre humain, en
tous cas pas en terme biologique.
Le problème est que justement, il s'applique. On ne veut pas
l'appliquer pour un certain nombre de raisons. Biologiquement, une
espèce est un ensemble d'individus interféconds dont les décendants
sont interféconds. L'humain dans sa globalité est donc une espèce au
sens biologique du terme. Une race est une division de cette espèce
selon des caractéristiques morphologiques stables ou plus largement
génétiques. Ce sont les définitions qui sont celles des biologistes
et qui sont appliquées à tout le vivant _sauf_ à l'homme.
C'est justement parce qu'il y a des discours nauséeux qui ne datent
pas d'hier qu'on refuse d'en parler, pire, qu'on le nie, ce qui
n'arrange pas les problèmes parce que pour les 'racistes' bas de
plafond, ça apporte de l'eau à leur moulin sous la forme de théorie
du complot qu'ils aiment bien utiliser. Un aborigène n'est pas supérieur
ou inférieur à un latino-américain, il est différent, comme un chat
siamois est différent d'un chartreux. Le nier est aberrant, en faire
une forme quelconque de discrimination est scandaleux.
Il n'y a guerre que les juifs pour croire à une réalité biologique de la
notion de race (puisque la judaité se transmet par la mere).
Ah non, pas que les juifs, c'est exactement ce que croient *tous* les
racistes.
Et c'est exactement le contraire de ce que croient des chercheurs
comme Shlomo Sand (qu'on ne peut pas taxer d'anti-judaïsme
primaire).
Ta phrase est ambigüe. Le contraire de quoi ?
Il n'y a pas de réalité biologique du peuple juif. Le peuple juif se
définit par une appartenance à une religion et à un filiation
spirituelle. Cela a été prouvé par des études de l'université
hébraïque (études génétiques) et par des études plus récentes
d'historiens. Parler du peuple juif est aussi idiot que de parler du
peuple catholique.
Je montrais simplement à ST que sont arguement était
invalide dans la mesure où les racistes basent leur discours
essentiellement sur l'appartenance à une hypothétique catégorie de
personnes ayant des caractéristiques génétiques communes (les blancs,
les noirs, les juifs, les arabes). Ensuite à l'intérieur de ces
catégories viennent d'autres sous-groupes comme les Italiens, les
Portugais, les sépharades, les ashénazes (bah oui, un con est
un con jusqu'au bout). Au final le découpage fini par faire que le mec
se retrouve seul dans sa catégorie.
C'est là que je ne puis être d'accord. Ces gens ont besoin de
discriminer. Ce n'est pas le concept de race (au sens biologique du
terme) qui fait que ces gens ordonnent les différents membres de
l'espèce humaine. Quelle que soit la façon de classer, il
classeront pour discriminer et se retrouver dans une 'bonne'
catégorie. Si ce n'est pas sur une couleur de peau, ce sera selon
d'autres critères (juifs, tziganes, communistes, homosexuels,
opposants de toutes sortes qui ne sont pas objectivement des races
au sens biologique du terme).
[SNAP]
Note que cette idée n'est pas nouvelle, elle doit dater au moins de
l'antiquité.
Non, cette idée date essentiellement du nationalisme triomphant du
XIXe siècle. C'est lui qui a construit artificiellement des
'nations' par opposition à la nation voisine. Avant, tu étais de
ton village, de ta province. Depuis le XIXe siècle, tu es de ton
'pays' au sens moderne et contemporain du terme. Au XVIIIe siècle,
un strasbourgeois ne se sentait pas français (pourtant, depuis le
traité de Westphalie...). Ni allemand d'ailleurs. Au XIXe, cela a un
peu changé et on s'est foutu sur la gueule (même au sein des mêmes
familles parce qu'on n'habitait pas sur le même côté du Rhin). Idem
pour toutes les zones frontalières. Actuellement, avec la
construction européenne, les mentalités sont un peu en train de
changer. Mais très doucement.
C'est faire peu de cas de l'antiquité et de ces guerres mythiques (La
Perse Vs. la Grece par exemple) au cours desquelles le sentiment
nationaliste était un moteur non négligeable.
La nation grecque de l'antiquité ? Tu veux rire ? La seule unité de
la Grecque durant l'antiquité était une langue à peu près commune.
Elle était constituée de cités-états qui se faisait régulièrement la
guerre et qui n'arrivaient à s'unir que pour combattre un ennemi
commun.
La réfutation est basée sur l'étude du génome. Il n'y a pas de sein à
cacher ! Et cette étude ne remet pas en question le fait que certains
individus puissent avoir des caractéritiques particulières communes
(oui les peuples du nord sont statistiquement plus grands que ceux du
sud de l'Europe, etc...).
Je ne parle pas forcément de choses visibles. Il y a des grandes
variantes qui font que certaines populations réagissent plus ou
moins à certains traitements médicamentaux, sont plus sujettes à
certaines pathologies, sont morphologiquement différents (et
durablement d'une génération à l'autre). Le gros problème est qu'on
refuse d'appliquer à l'espèce humaine ce qu'on applique à l'espèce des
chiens ou des chats. Ce que je suis en train de te dire, en d'autres
termes, c'est qu'on n'a pas la même définition d'espèce et de race pour
les animaux et pour l'homme parce que pour des raisons historiques (et
idéologiques), on associe à race une relation d'ordre (au sens
mathématique du terme), ce qui est parfaitement idiot et tout à fait
condamnable.
Et pour enfoncer le clou, j'aimerais qu'on me présente un seul vrai
raciste. Des xénophobes, des khons, j'en connais plein. Des racistes
au sens strict, pas un seul. Lorsqu'on gratte un peu, ce sont tous
des xénophobes à poils courts.
Le mot race ne peut simplement _pas_ être appliqué à l'ếtre humain, en
tous cas pas en terme biologique.
Le problème est que justement, il s'applique. On ne veut pas
l'appliquer pour un certain nombre de raisons. Biologiquement, une
espèce est un ensemble d'individus interféconds dont les décendants
sont interféconds. L'humain dans sa globalité est donc une espèce au
sens biologique du terme. Une race est une division de cette espèce
selon des caractéristiques morphologiques stables ou plus largement
génétiques. Ce sont les définitions qui sont celles des biologistes
et qui sont appliquées à tout le vivant _sauf_ à l'homme.
C'est justement parce qu'il y a des discours nauséeux qui ne datent
pas d'hier qu'on refuse d'en parler, pire, qu'on le nie, ce qui
n'arrange pas les problèmes parce que pour les 'racistes' bas de
plafond, ça apporte de l'eau à leur moulin sous la forme de théorie
du complot qu'ils aiment bien utiliser. Un aborigène n'est pas supérieur
ou inférieur à un latino-américain, il est différent, comme un chat
siamois est différent d'un chartreux. Le nier est aberrant, en faire
une forme quelconque de discrimination est scandaleux.
Il n'y a guerre que les juifs pour croire à une réalité biologique de la
notion de race (puisque la judaité se transmet par la mere).
Ah non, pas que les juifs, c'est exactement ce que croient *tous* les
racistes.
Et c'est exactement le contraire de ce que croient des chercheurs
comme Shlomo Sand (qu'on ne peut pas taxer d'anti-judaïsme
primaire).
Ta phrase est ambigüe. Le contraire de quoi ?
Il n'y a pas de réalité biologique du peuple juif. Le peuple juif se
définit par une appartenance à une religion et à un filiation
spirituelle. Cela a été prouvé par des études de l'université
hébraïque (études génétiques) et par des études plus récentes
d'historiens. Parler du peuple juif est aussi idiot que de parler du
peuple catholique.
Je montrais simplement à ST que sont arguement était
invalide dans la mesure où les racistes basent leur discours
essentiellement sur l'appartenance à une hypothétique catégorie de
personnes ayant des caractéristiques génétiques communes (les blancs,
les noirs, les juifs, les arabes). Ensuite à l'intérieur de ces
catégories viennent d'autres sous-groupes comme les Italiens, les
Portugais, les sépharades, les ashénazes (bah oui, un con est
un con jusqu'au bout). Au final le découpage fini par faire que le mec
se retrouve seul dans sa catégorie.
C'est là que je ne puis être d'accord. Ces gens ont besoin de
discriminer. Ce n'est pas le concept de race (au sens biologique du
terme) qui fait que ces gens ordonnent les différents membres de
l'espèce humaine. Quelle que soit la façon de classer, il
classeront pour discriminer et se retrouver dans une 'bonne'
catégorie. Si ce n'est pas sur une couleur de peau, ce sera selon
d'autres critères (juifs, tziganes, communistes, homosexuels,
opposants de toutes sortes qui ne sont pas objectivement des races
au sens biologique du terme).[SNAP]Note que cette idée n'est pas nouvelle, elle doit dater au moins de
l'antiquité.
Non, cette idée date essentiellement du nationalisme triomphant du
XIXe siècle. C'est lui qui a construit artificiellement des
'nations' par opposition à la nation voisine. Avant, tu étais de
ton village, de ta province. Depuis le XIXe siècle, tu es de ton
'pays' au sens moderne et contemporain du terme. Au XVIIIe siècle,
un strasbourgeois ne se sentait pas français (pourtant, depuis le
traité de Westphalie...). Ni allemand d'ailleurs. Au XIXe, cela a un
peu changé et on s'est foutu sur la gueule (même au sein des mêmes
familles parce qu'on n'habitait pas sur le même côté du Rhin). Idem
pour toutes les zones frontalières. Actuellement, avec la
construction européenne, les mentalités sont un peu en train de
changer. Mais très doucement.
C'est faire peu de cas de l'antiquité et de ces guerres mythiques (La
Perse Vs. la Grece par exemple) au cours desquelles le sentiment
nationaliste était un moteur non négligeable.
La nation grecque de l'antiquité ? Tu veux rire ? La seule unité de
la Grecque durant l'antiquité était une langue à peu près commune.
Elle était constituée de cités-états qui se faisait régulièrement la
guerre et qui n'arrivaient à s'unir que pour combattre un ennemi
commun.
Le 21-02-2013, JKB nous expliquait dans fr.comp.os.linux.debats :La réfutation est basée sur l'étude du génome. Il n'y a pas de sein à
cacher ! Et cette étude ne remet pas en question le fait que certains
individus puissent avoir des caractéritiques particulières communes
(oui les peuples du nord sont statistiquement plus grands que ceux du
sud de l'Europe, etc...).
Je ne parle pas forcément de choses visibles. Il y a des grandes
variantes qui font que certaines populations réagissent plus ou
moins à certains traitements médicamentaux, sont plus sujettes à
certaines pathologies, sont morphologiquement différents (et
durablement d'une génération à l'autre). Le gros problème est qu'on
refuse d'appliquer à l'espèce humaine ce qu'on applique à l'espèce des
chiens ou des chats. Ce que je suis en train de te dire, en d'autres
termes, c'est qu'on n'a pas la même définition d'espèce et de race pour
les animaux et pour l'homme parce que pour des raisons historiques (et
idéologiques), on associe à race une relation d'ordre (au sens
mathématique du terme), ce qui est parfaitement idiot et tout à fait
condamnable.
Oui mais dans le même temps on peut trouver 2 individus de la même
"race" avec des génomes plus éloignés que 2 individus de "races"
différentes et il ne me semble pas que ce soit le cas pour les chats
et/ou les chiens (j'avoue ne pas avoir cherché).
Que les personnes rousses aient 2 fois plus de chances d'avoir un cancer
de la peau ne fait pas des roux une race. idem pour les personnes noires
ayant une constitution leur permettant de réaliser des exploits sportifs
que les personnes blanches ne peuvent réaliser qu'exceptionnellement.
Et pour enfoncer le clou, j'aimerais qu'on me présente un seul vrai
raciste. Des xénophobes, des khons, j'en connais plein. Des racistes
au sens strict, pas un seul. Lorsqu'on gratte un peu, ce sont tous
des xénophobes à poils courts.
Là dessus on est totalement d'accord.Le mot race ne peut simplement _pas_ être appliqué à l'ếtre humain, en
tous cas pas en terme biologique.
Le problème est que justement, il s'applique. On ne veut pas
l'appliquer pour un certain nombre de raisons. Biologiquement, une
espèce est un ensemble d'individus interféconds dont les décendants
sont interféconds. L'humain dans sa globalité est donc une espèce au
sens biologique du terme. Une race est une division de cette espèce
selon des caractéristiques morphologiques stables ou plus largement
génétiques. Ce sont les définitions qui sont celles des biologistes
et qui sont appliquées à tout le vivant _sauf_ à l'homme.
C'est justement parce qu'il y a des discours nauséeux qui ne datent
pas d'hier qu'on refuse d'en parler, pire, qu'on le nie, ce qui
n'arrange pas les problèmes parce que pour les 'racistes' bas de
plafond, ça apporte de l'eau à leur moulin sous la forme de théorie
du complot qu'ils aiment bien utiliser. Un aborigène n'est pas supérieur
ou inférieur à un latino-américain, il est différent, comme un chat
siamois est différent d'un chartreux. Le nier est aberrant, en faire
une forme quelconque de discrimination est scandaleux.
Voir plus haut.
[SNIP]Il n'y a guerre que les juifs pour croire à une réalité biologique de la
notion de race (puisque la judaité se transmet par la mere).
Ah non, pas que les juifs, c'est exactement ce que croient *tous* les
racistes.
Et c'est exactement le contraire de ce que croient des chercheurs
comme Shlomo Sand (qu'on ne peut pas taxer d'anti-judaïsme
primaire).
Ta phrase est ambigüe. Le contraire de quoi ?
Il n'y a pas de réalité biologique du peuple juif. Le peuple juif se
définit par une appartenance à une religion et à un filiation
spirituelle. Cela a été prouvé par des études de l'université
hébraïque (études génétiques) et par des études plus récentes
d'historiens. Parler du peuple juif est aussi idiot que de parler du
peuple catholique.
Là dessus on est tous d'accord.
[SNIP]Je montrais simplement à ST que sont arguement était
invalide dans la mesure où les racistes basent leur discours
essentiellement sur l'appartenance à une hypothétique catégorie de
personnes ayant des caractéristiques génétiques communes (les blancs,
les noirs, les juifs, les arabes). Ensuite à l'intérieur de ces
catégories viennent d'autres sous-groupes comme les Italiens, les
Portugais, les sépharades, les ashénazes (bah oui, un con est
un con jusqu'au bout). Au final le découpage fini par faire que le mec
se retrouve seul dans sa catégorie.
C'est là que je ne puis être d'accord. Ces gens ont besoin de
discriminer. Ce n'est pas le concept de race (au sens biologique du
terme) qui fait que ces gens ordonnent les différents membres de
l'espèce humaine. Quelle que soit la façon de classer, il
classeront pour discriminer et se retrouver dans une 'bonne'
catégorie. Si ce n'est pas sur une couleur de peau, ce sera selon
d'autres critères (juifs, tziganes, communistes, homosexuels,
opposants de toutes sortes qui ne sont pas objectivement des races
au sens biologique du terme).[SNAP]Note que cette idée n'est pas nouvelle, elle doit dater au moins de
l'antiquité.
Non, cette idée date essentiellement du nationalisme triomphant du
XIXe siècle. C'est lui qui a construit artificiellement des
'nations' par opposition à la nation voisine. Avant, tu étais de
ton village, de ta province. Depuis le XIXe siècle, tu es de ton
'pays' au sens moderne et contemporain du terme. Au XVIIIe siècle,
un strasbourgeois ne se sentait pas français (pourtant, depuis le
traité de Westphalie...). Ni allemand d'ailleurs. Au XIXe, cela a un
peu changé et on s'est foutu sur la gueule (même au sein des mêmes
familles parce qu'on n'habitait pas sur le même côté du Rhin). Idem
pour toutes les zones frontalières. Actuellement, avec la
construction européenne, les mentalités sont un peu en train de
changer. Mais très doucement.
C'est faire peu de cas de l'antiquité et de ces guerres mythiques (La
Perse Vs. la Grece par exemple) au cours desquelles le sentiment
nationaliste était un moteur non négligeable.
La nation grecque de l'antiquité ? Tu veux rire ? La seule unité de
la Grecque durant l'antiquité était une langue à peu près commune.
Elle était constituée de cités-états qui se faisait régulièrement la
guerre et qui n'arrivaient à s'unir que pour combattre un ennemi
commun.
Ils se sentaient donc grecs ;-)
L'un dans l'autres les cités se gerroyaient à tour de bras et le
problème était le même : Tous ce qui en dehors d'un certain périmètre
arbitrairement défini est un ennemi. On en revient donc à ce qui était
mon idée initiale : L'idée de frontière est un archaïsme qu'il serait
bien temps de mettre aux oubliettes.
Le 21-02-2013, JKB nous expliquait dans fr.comp.os.linux.debats :
La réfutation est basée sur l'étude du génome. Il n'y a pas de sein à
cacher ! Et cette étude ne remet pas en question le fait que certains
individus puissent avoir des caractéritiques particulières communes
(oui les peuples du nord sont statistiquement plus grands que ceux du
sud de l'Europe, etc...).
Je ne parle pas forcément de choses visibles. Il y a des grandes
variantes qui font que certaines populations réagissent plus ou
moins à certains traitements médicamentaux, sont plus sujettes à
certaines pathologies, sont morphologiquement différents (et
durablement d'une génération à l'autre). Le gros problème est qu'on
refuse d'appliquer à l'espèce humaine ce qu'on applique à l'espèce des
chiens ou des chats. Ce que je suis en train de te dire, en d'autres
termes, c'est qu'on n'a pas la même définition d'espèce et de race pour
les animaux et pour l'homme parce que pour des raisons historiques (et
idéologiques), on associe à race une relation d'ordre (au sens
mathématique du terme), ce qui est parfaitement idiot et tout à fait
condamnable.
Oui mais dans le même temps on peut trouver 2 individus de la même
"race" avec des génomes plus éloignés que 2 individus de "races"
différentes et il ne me semble pas que ce soit le cas pour les chats
et/ou les chiens (j'avoue ne pas avoir cherché).
Que les personnes rousses aient 2 fois plus de chances d'avoir un cancer
de la peau ne fait pas des roux une race. idem pour les personnes noires
ayant une constitution leur permettant de réaliser des exploits sportifs
que les personnes blanches ne peuvent réaliser qu'exceptionnellement.
Et pour enfoncer le clou, j'aimerais qu'on me présente un seul vrai
raciste. Des xénophobes, des khons, j'en connais plein. Des racistes
au sens strict, pas un seul. Lorsqu'on gratte un peu, ce sont tous
des xénophobes à poils courts.
Là dessus on est totalement d'accord.
Le mot race ne peut simplement _pas_ être appliqué à l'ếtre humain, en
tous cas pas en terme biologique.
Le problème est que justement, il s'applique. On ne veut pas
l'appliquer pour un certain nombre de raisons. Biologiquement, une
espèce est un ensemble d'individus interféconds dont les décendants
sont interféconds. L'humain dans sa globalité est donc une espèce au
sens biologique du terme. Une race est une division de cette espèce
selon des caractéristiques morphologiques stables ou plus largement
génétiques. Ce sont les définitions qui sont celles des biologistes
et qui sont appliquées à tout le vivant _sauf_ à l'homme.
C'est justement parce qu'il y a des discours nauséeux qui ne datent
pas d'hier qu'on refuse d'en parler, pire, qu'on le nie, ce qui
n'arrange pas les problèmes parce que pour les 'racistes' bas de
plafond, ça apporte de l'eau à leur moulin sous la forme de théorie
du complot qu'ils aiment bien utiliser. Un aborigène n'est pas supérieur
ou inférieur à un latino-américain, il est différent, comme un chat
siamois est différent d'un chartreux. Le nier est aberrant, en faire
une forme quelconque de discrimination est scandaleux.
Voir plus haut.
[SNIP]
Il n'y a guerre que les juifs pour croire à une réalité biologique de la
notion de race (puisque la judaité se transmet par la mere).
Ah non, pas que les juifs, c'est exactement ce que croient *tous* les
racistes.
Et c'est exactement le contraire de ce que croient des chercheurs
comme Shlomo Sand (qu'on ne peut pas taxer d'anti-judaïsme
primaire).
Ta phrase est ambigüe. Le contraire de quoi ?
Il n'y a pas de réalité biologique du peuple juif. Le peuple juif se
définit par une appartenance à une religion et à un filiation
spirituelle. Cela a été prouvé par des études de l'université
hébraïque (études génétiques) et par des études plus récentes
d'historiens. Parler du peuple juif est aussi idiot que de parler du
peuple catholique.
Là dessus on est tous d'accord.
[SNIP]
Je montrais simplement à ST que sont arguement était
invalide dans la mesure où les racistes basent leur discours
essentiellement sur l'appartenance à une hypothétique catégorie de
personnes ayant des caractéristiques génétiques communes (les blancs,
les noirs, les juifs, les arabes). Ensuite à l'intérieur de ces
catégories viennent d'autres sous-groupes comme les Italiens, les
Portugais, les sépharades, les ashénazes (bah oui, un con est
un con jusqu'au bout). Au final le découpage fini par faire que le mec
se retrouve seul dans sa catégorie.
C'est là que je ne puis être d'accord. Ces gens ont besoin de
discriminer. Ce n'est pas le concept de race (au sens biologique du
terme) qui fait que ces gens ordonnent les différents membres de
l'espèce humaine. Quelle que soit la façon de classer, il
classeront pour discriminer et se retrouver dans une 'bonne'
catégorie. Si ce n'est pas sur une couleur de peau, ce sera selon
d'autres critères (juifs, tziganes, communistes, homosexuels,
opposants de toutes sortes qui ne sont pas objectivement des races
au sens biologique du terme).
[SNAP]
Note que cette idée n'est pas nouvelle, elle doit dater au moins de
l'antiquité.
Non, cette idée date essentiellement du nationalisme triomphant du
XIXe siècle. C'est lui qui a construit artificiellement des
'nations' par opposition à la nation voisine. Avant, tu étais de
ton village, de ta province. Depuis le XIXe siècle, tu es de ton
'pays' au sens moderne et contemporain du terme. Au XVIIIe siècle,
un strasbourgeois ne se sentait pas français (pourtant, depuis le
traité de Westphalie...). Ni allemand d'ailleurs. Au XIXe, cela a un
peu changé et on s'est foutu sur la gueule (même au sein des mêmes
familles parce qu'on n'habitait pas sur le même côté du Rhin). Idem
pour toutes les zones frontalières. Actuellement, avec la
construction européenne, les mentalités sont un peu en train de
changer. Mais très doucement.
C'est faire peu de cas de l'antiquité et de ces guerres mythiques (La
Perse Vs. la Grece par exemple) au cours desquelles le sentiment
nationaliste était un moteur non négligeable.
La nation grecque de l'antiquité ? Tu veux rire ? La seule unité de
la Grecque durant l'antiquité était une langue à peu près commune.
Elle était constituée de cités-états qui se faisait régulièrement la
guerre et qui n'arrivaient à s'unir que pour combattre un ennemi
commun.
Ils se sentaient donc grecs ;-)
L'un dans l'autres les cités se gerroyaient à tour de bras et le
problème était le même : Tous ce qui en dehors d'un certain périmètre
arbitrairement défini est un ennemi. On en revient donc à ce qui était
mon idée initiale : L'idée de frontière est un archaïsme qu'il serait
bien temps de mettre aux oubliettes.
Le 21-02-2013, JKB nous expliquait dans fr.comp.os.linux.debats :La réfutation est basée sur l'étude du génome. Il n'y a pas de sein à
cacher ! Et cette étude ne remet pas en question le fait que certains
individus puissent avoir des caractéritiques particulières communes
(oui les peuples du nord sont statistiquement plus grands que ceux du
sud de l'Europe, etc...).
Je ne parle pas forcément de choses visibles. Il y a des grandes
variantes qui font que certaines populations réagissent plus ou
moins à certains traitements médicamentaux, sont plus sujettes à
certaines pathologies, sont morphologiquement différents (et
durablement d'une génération à l'autre). Le gros problème est qu'on
refuse d'appliquer à l'espèce humaine ce qu'on applique à l'espèce des
chiens ou des chats. Ce que je suis en train de te dire, en d'autres
termes, c'est qu'on n'a pas la même définition d'espèce et de race pour
les animaux et pour l'homme parce que pour des raisons historiques (et
idéologiques), on associe à race une relation d'ordre (au sens
mathématique du terme), ce qui est parfaitement idiot et tout à fait
condamnable.
Oui mais dans le même temps on peut trouver 2 individus de la même
"race" avec des génomes plus éloignés que 2 individus de "races"
différentes et il ne me semble pas que ce soit le cas pour les chats
et/ou les chiens (j'avoue ne pas avoir cherché).
Que les personnes rousses aient 2 fois plus de chances d'avoir un cancer
de la peau ne fait pas des roux une race. idem pour les personnes noires
ayant une constitution leur permettant de réaliser des exploits sportifs
que les personnes blanches ne peuvent réaliser qu'exceptionnellement.
Et pour enfoncer le clou, j'aimerais qu'on me présente un seul vrai
raciste. Des xénophobes, des khons, j'en connais plein. Des racistes
au sens strict, pas un seul. Lorsqu'on gratte un peu, ce sont tous
des xénophobes à poils courts.
Là dessus on est totalement d'accord.Le mot race ne peut simplement _pas_ être appliqué à l'ếtre humain, en
tous cas pas en terme biologique.
Le problème est que justement, il s'applique. On ne veut pas
l'appliquer pour un certain nombre de raisons. Biologiquement, une
espèce est un ensemble d'individus interféconds dont les décendants
sont interféconds. L'humain dans sa globalité est donc une espèce au
sens biologique du terme. Une race est une division de cette espèce
selon des caractéristiques morphologiques stables ou plus largement
génétiques. Ce sont les définitions qui sont celles des biologistes
et qui sont appliquées à tout le vivant _sauf_ à l'homme.
C'est justement parce qu'il y a des discours nauséeux qui ne datent
pas d'hier qu'on refuse d'en parler, pire, qu'on le nie, ce qui
n'arrange pas les problèmes parce que pour les 'racistes' bas de
plafond, ça apporte de l'eau à leur moulin sous la forme de théorie
du complot qu'ils aiment bien utiliser. Un aborigène n'est pas supérieur
ou inférieur à un latino-américain, il est différent, comme un chat
siamois est différent d'un chartreux. Le nier est aberrant, en faire
une forme quelconque de discrimination est scandaleux.
Voir plus haut.
[SNIP]Il n'y a guerre que les juifs pour croire à une réalité biologique de la
notion de race (puisque la judaité se transmet par la mere).
Ah non, pas que les juifs, c'est exactement ce que croient *tous* les
racistes.
Et c'est exactement le contraire de ce que croient des chercheurs
comme Shlomo Sand (qu'on ne peut pas taxer d'anti-judaïsme
primaire).
Ta phrase est ambigüe. Le contraire de quoi ?
Il n'y a pas de réalité biologique du peuple juif. Le peuple juif se
définit par une appartenance à une religion et à un filiation
spirituelle. Cela a été prouvé par des études de l'université
hébraïque (études génétiques) et par des études plus récentes
d'historiens. Parler du peuple juif est aussi idiot que de parler du
peuple catholique.
Là dessus on est tous d'accord.
[SNIP]Je montrais simplement à ST que sont arguement était
invalide dans la mesure où les racistes basent leur discours
essentiellement sur l'appartenance à une hypothétique catégorie de
personnes ayant des caractéristiques génétiques communes (les blancs,
les noirs, les juifs, les arabes). Ensuite à l'intérieur de ces
catégories viennent d'autres sous-groupes comme les Italiens, les
Portugais, les sépharades, les ashénazes (bah oui, un con est
un con jusqu'au bout). Au final le découpage fini par faire que le mec
se retrouve seul dans sa catégorie.
C'est là que je ne puis être d'accord. Ces gens ont besoin de
discriminer. Ce n'est pas le concept de race (au sens biologique du
terme) qui fait que ces gens ordonnent les différents membres de
l'espèce humaine. Quelle que soit la façon de classer, il
classeront pour discriminer et se retrouver dans une 'bonne'
catégorie. Si ce n'est pas sur une couleur de peau, ce sera selon
d'autres critères (juifs, tziganes, communistes, homosexuels,
opposants de toutes sortes qui ne sont pas objectivement des races
au sens biologique du terme).[SNAP]Note que cette idée n'est pas nouvelle, elle doit dater au moins de
l'antiquité.
Non, cette idée date essentiellement du nationalisme triomphant du
XIXe siècle. C'est lui qui a construit artificiellement des
'nations' par opposition à la nation voisine. Avant, tu étais de
ton village, de ta province. Depuis le XIXe siècle, tu es de ton
'pays' au sens moderne et contemporain du terme. Au XVIIIe siècle,
un strasbourgeois ne se sentait pas français (pourtant, depuis le
traité de Westphalie...). Ni allemand d'ailleurs. Au XIXe, cela a un
peu changé et on s'est foutu sur la gueule (même au sein des mêmes
familles parce qu'on n'habitait pas sur le même côté du Rhin). Idem
pour toutes les zones frontalières. Actuellement, avec la
construction européenne, les mentalités sont un peu en train de
changer. Mais très doucement.
C'est faire peu de cas de l'antiquité et de ces guerres mythiques (La
Perse Vs. la Grece par exemple) au cours desquelles le sentiment
nationaliste était un moteur non négligeable.
La nation grecque de l'antiquité ? Tu veux rire ? La seule unité de
la Grecque durant l'antiquité était une langue à peu près commune.
Elle était constituée de cités-états qui se faisait régulièrement la
guerre et qui n'arrivaient à s'unir que pour combattre un ennemi
commun.
Ils se sentaient donc grecs ;-)
L'un dans l'autres les cités se gerroyaient à tour de bras et le
problème était le même : Tous ce qui en dehors d'un certain périmètre
arbitrairement défini est un ennemi. On en revient donc à ce qui était
mon idée initiale : L'idée de frontière est un archaïsme qu'il serait
bien temps de mettre aux oubliettes.