On disait au départ de ce fil qu'il y a avait de gros progrès sur les traducteurs, je suis au contraire très étonné du manque de progrès.
Ça progresse quand même. Regarde cette brève vidéo (en Anglais): http://www.deldie.net/blog/fonctionnement-google-traduction
C'est à rapprocher des correcteurs grammaticaux, c'est l'analyse de contenu/contexte qui est inexistante.
peut-etre n'y a-t-il pas de débouché commercial? J'ai étudié ca en détails il y a bientot 20 ans. C'est aussi comme la pédagogie sur ordinateur.
L'intelligence artificielle est un grand échec (par rapport aux espérances).
Je viens de relire "proies" de M. Crichton" (urgences, la variété Andromède), rien de ce qu'il annonce (en 2004!) ne s'est réalisé.
je ne suis pas sur de le regretter... Michel Serres disait sur la radio cet après-midi que les technologie de la documentation puis de l'information nous ont dispensé d'avoir de la mémoire, qu'il ne nous restait plus que l'intelligence. Heureusement qu'elle nous reste, sinon... y aura-t-il un jour des "beaufs" informatiques pour roter, boire de la bière et faire des blagues vaseuses?? (Eh, la tablette, tu voudrais pas de ma prise USB?)
Ces histoires de distinction entre la mémoire et l'intelligence sont bien compliquées. Gary Kasparov a été battu aux échecs par une machine en 1997, tandis que les robots traducteurs sont encore à la peine aujourd'hui. Et pourtant le niveau d'un grand maître aux échecs est bien moins accessible que la maîtrise correcte de deux langues différentes...
jean-daniel dodin a écrit :
Le 02/09/2012 23:11, Elohan a écrit :
Tu ferais mieux de te regarder dans une glace.
You should better look in an ice-cream.
avec regarder, ils auraient du trouver.
Bon, j'en ai un peu rajouté. :-)
On disait au départ de ce fil qu'il y a avait de gros progrès sur les
traducteurs, je suis au contraire très étonné du manque de progrès.
Ça progresse quand même. Regarde cette brève vidéo (en Anglais):
http://www.deldie.net/blog/fonctionnement-google-traduction
C'est à rapprocher des correcteurs grammaticaux, c'est l'analyse de
contenu/contexte qui est inexistante.
peut-etre n'y a-t-il pas de débouché commercial? J'ai étudié ca en détails il
y a bientot 20 ans. C'est aussi comme la pédagogie sur ordinateur.
L'intelligence artificielle est un grand échec (par rapport aux espérances).
Je viens de relire "proies" de M. Crichton" (urgences, la variété Andromède),
rien de ce qu'il annonce (en 2004!) ne s'est réalisé.
je ne suis pas sur de le regretter... Michel Serres disait sur la radio cet
après-midi que les technologie de la documentation puis de l'information nous
ont dispensé d'avoir de la mémoire, qu'il ne nous restait plus que
l'intelligence. Heureusement qu'elle nous reste, sinon... y aura-t-il un jour
des "beaufs" informatiques pour roter, boire de la bière et faire des blagues
vaseuses?? (Eh, la tablette, tu voudrais pas de ma prise USB?)
Ces histoires de distinction entre la mémoire et l'intelligence sont
bien compliquées. Gary Kasparov a été battu aux échecs par une machine
en 1997, tandis que les robots traducteurs sont encore à la peine
aujourd'hui. Et pourtant le niveau d'un grand maître aux échecs est
bien moins accessible que la maîtrise correcte de deux langues
différentes...
On disait au départ de ce fil qu'il y a avait de gros progrès sur les traducteurs, je suis au contraire très étonné du manque de progrès.
Ça progresse quand même. Regarde cette brève vidéo (en Anglais): http://www.deldie.net/blog/fonctionnement-google-traduction
C'est à rapprocher des correcteurs grammaticaux, c'est l'analyse de contenu/contexte qui est inexistante.
peut-etre n'y a-t-il pas de débouché commercial? J'ai étudié ca en détails il y a bientot 20 ans. C'est aussi comme la pédagogie sur ordinateur.
L'intelligence artificielle est un grand échec (par rapport aux espérances).
Je viens de relire "proies" de M. Crichton" (urgences, la variété Andromède), rien de ce qu'il annonce (en 2004!) ne s'est réalisé.
je ne suis pas sur de le regretter... Michel Serres disait sur la radio cet après-midi que les technologie de la documentation puis de l'information nous ont dispensé d'avoir de la mémoire, qu'il ne nous restait plus que l'intelligence. Heureusement qu'elle nous reste, sinon... y aura-t-il un jour des "beaufs" informatiques pour roter, boire de la bière et faire des blagues vaseuses?? (Eh, la tablette, tu voudrais pas de ma prise USB?)
Ces histoires de distinction entre la mémoire et l'intelligence sont bien compliquées. Gary Kasparov a été battu aux échecs par une machine en 1997, tandis que les robots traducteurs sont encore à la peine aujourd'hui. Et pourtant le niveau d'un grand maître aux échecs est bien moins accessible que la maîtrise correcte de deux langues différentes...
Stephane Legras-Decussy
Le 02/09/2012 23:26, jean-daniel dodin a écrit :
L'intelligence artificielle est un grand échec (par rapport aux espérances).
hum... WATSON gagne à Jeopardy avec micro pour entendre la question et synthèse vocal pour la réponse.
Ces histoires de distinction entre la mémoire et l'intelligence sont bien compliquées. Gary Kasparov a été battu aux échecs par une machine en 1997, tandis que les robots traducteurs sont encore à la peine aujourd'hui. Et pourtant le niveau d'un grand maître aux échecs est bien moins accessible que la maîtrise correcte de deux langues différentes...
Sauf que les échecs sont un jeu fini, alors que les langues servent à accéder à un monde non fini aux règles évolutives.
Le susordinant Elohan a dactylographié :
Ces histoires de distinction entre la mémoire et l'intelligence sont
bien compliquées. Gary Kasparov a été battu aux échecs par une machine
en 1997, tandis que les robots traducteurs sont encore à la peine
aujourd'hui. Et pourtant le niveau d'un grand maître aux échecs est
bien moins accessible que la maîtrise correcte de deux langues
différentes...
Sauf que les échecs sont un jeu fini, alors que les langues servent à
accéder à un monde non fini aux règles évolutives.
Ces histoires de distinction entre la mémoire et l'intelligence sont bien compliquées. Gary Kasparov a été battu aux échecs par une machine en 1997, tandis que les robots traducteurs sont encore à la peine aujourd'hui. Et pourtant le niveau d'un grand maître aux échecs est bien moins accessible que la maîtrise correcte de deux langues différentes...
Sauf que les échecs sont un jeu fini, alors que les langues servent à accéder à un monde non fini aux règles évolutives.
Pleinair
Le 03/09/12 00:00, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Google traduction : You'd better look in the mirror.
Reverso: You would better make look in an ice(mirror,ice cream)
Tu dis n'importe quoi. -- vincent.
Sh.Mandrake
Le 03/09/2012 00:24, Anansi :
Le susordinant Elohan a dactylographié :
Ces histoires de distinction entre la mémoire et l'intelligence sont bien compliquées. Gary Kasparov a été battu aux échecs par une machine en 1997, tandis que les robots traducteurs sont encore à la peine aujourd'hui. Et pourtant le niveau d'un grand maître aux échecs est bien moins accessible que la maîtrise correcte de deux langues différentes...
Sauf que les échecs sont un jeu fini, alors que les langues servent à accéder à un monde non fini aux règles évolutives.
Ce n'est pas la véritable raison de la lenteur du progrès des traducteurs automatiques. Il s'agit simplement d'une autre forme d'intelligence. Le jeu d'échecs n'est pas une langue. Pas plus que le jeu de go, encore plus compliqué.
-- Le Magicien
Le 03/09/2012 00:24, Anansi :
Le susordinant Elohan a dactylographié :
Ces histoires de distinction entre la mémoire et l'intelligence sont
bien compliquées. Gary Kasparov a été battu aux échecs par une machine
en 1997, tandis que les robots traducteurs sont encore à la peine
aujourd'hui. Et pourtant le niveau d'un grand maître aux échecs est
bien moins accessible que la maîtrise correcte de deux langues
différentes...
Sauf que les échecs sont un jeu fini, alors que les langues servent à
accéder à un monde non fini aux règles évolutives.
Ce n'est pas la véritable raison de la lenteur du progrès des
traducteurs automatiques. Il s'agit simplement d'une autre forme
d'intelligence. Le jeu d'échecs n'est pas une langue. Pas plus que le
jeu de go, encore plus compliqué.
Ces histoires de distinction entre la mémoire et l'intelligence sont bien compliquées. Gary Kasparov a été battu aux échecs par une machine en 1997, tandis que les robots traducteurs sont encore à la peine aujourd'hui. Et pourtant le niveau d'un grand maître aux échecs est bien moins accessible que la maîtrise correcte de deux langues différentes...
Sauf que les échecs sont un jeu fini, alors que les langues servent à accéder à un monde non fini aux règles évolutives.
Ce n'est pas la véritable raison de la lenteur du progrès des traducteurs automatiques. Il s'agit simplement d'une autre forme d'intelligence. Le jeu d'échecs n'est pas une langue. Pas plus que le jeu de go, encore plus compliqué.
-- Le Magicien
Elohan
vincent a écrit :
Le 02/09/2012 23:11, Elohan a écrit :
Tu ferais mieux de te regarder dans une glace.
You should better look in an ice-cream.
Google traduction : You'd better look in the mirror.
Reverso: You would better make look in an ice(mirror,ice cream)
Tu dis n'importe quoi.
T'as tout compris, c'était de l'humour. Béotien.
vincent a écrit :
Le 02/09/2012 23:11, Elohan a écrit :
Tu ferais mieux de te regarder dans une glace.
You should better look in an ice-cream.
Google traduction : You'd better look in the mirror.
Reverso: You would better make look in an ice(mirror,ice cream)
Google traduction : You'd better look in the mirror.
Reverso: You would better make look in an ice(mirror,ice cream)
Tu dis n'importe quoi.
T'as tout compris, c'était de l'humour. Béotien.
Elohan
Anansi a écrit :
Le susordinant Elohan a dactylographié :
Ces histoires de distinction entre la mémoire et l'intelligence sont bien compliquées. Gary Kasparov a été battu aux échecs par une machine en 1997, tandis que les robots traducteurs sont encore à la peine aujourd'hui. Et pourtant le niveau d'un grand maître aux échecs est bien moins accessible que la maîtrise correcte de deux langues différentes...
Sauf que les échecs sont un jeu fini, alors que les langues servent à accéder à un monde non fini aux règles évolutives.
Il faut quelques années pour qu'un gamin acquiert un niveau correct dans sa langue maternelle. Je ne pense pas que le problème des règles évolutives se pose vraiment sur cette durée.
Anansi a écrit :
Le susordinant Elohan a dactylographié :
Ces histoires de distinction entre la mémoire et l'intelligence sont
bien compliquées. Gary Kasparov a été battu aux échecs par une machine
en 1997, tandis que les robots traducteurs sont encore à la peine
aujourd'hui. Et pourtant le niveau d'un grand maître aux échecs est
bien moins accessible que la maîtrise correcte de deux langues
différentes...
Sauf que les échecs sont un jeu fini, alors que les langues servent à accéder
à un monde non fini aux règles évolutives.
Il faut quelques années pour qu'un gamin acquiert un niveau correct
dans sa langue maternelle. Je ne pense pas que le problème des règles
évolutives se pose vraiment sur cette durée.
Ces histoires de distinction entre la mémoire et l'intelligence sont bien compliquées. Gary Kasparov a été battu aux échecs par une machine en 1997, tandis que les robots traducteurs sont encore à la peine aujourd'hui. Et pourtant le niveau d'un grand maître aux échecs est bien moins accessible que la maîtrise correcte de deux langues différentes...
Sauf que les échecs sont un jeu fini, alors que les langues servent à accéder à un monde non fini aux règles évolutives.
Il faut quelques années pour qu'un gamin acquiert un niveau correct dans sa langue maternelle. Je ne pense pas que le problème des règles évolutives se pose vraiment sur cette durée.
Anansi
Le susordinant Elohan a dactylographié :
Anansi a écrit :
Le susordinant Elohan a dactylographié :
Ces histoires de distinction entre la mémoire et l'intelligence sont bien compliquées. Gary Kasparov a été battu aux échecs par une machine en 1997, tandis que les robots traducteurs sont encore à la peine aujourd'hui. Et pourtant le niveau d'un grand maître aux échecs est bien moins accessible que la maîtrise correcte de deux langues différentes...
Sauf que les échecs sont un jeu fini, alors que les langues servent à accéder à un monde non fini aux règles évolutives.
Il faut quelques années pour qu'un gamin acquiert un niveau correct dans sa langue maternelle. Je ne pense pas que le problème des règles évolutives se pose vraiment sur cette durée.
Il se pose très vite, règles différentes dans la langue orale et écrite, règles différentes selon les milieux fréquentés, le corpus de mots utilisables changeant également.
Le susordinant Elohan a dactylographié :
Anansi a écrit :
Le susordinant Elohan a dactylographié :
Ces histoires de distinction entre la mémoire et l'intelligence sont
bien compliquées. Gary Kasparov a été battu aux échecs par une
machine en 1997, tandis que les robots traducteurs sont encore à la
peine aujourd'hui. Et pourtant le niveau d'un grand maître aux
échecs est bien moins accessible que la maîtrise correcte de deux
langues différentes...
Sauf que les échecs sont un jeu fini, alors que les langues servent
à accéder à un monde non fini aux règles évolutives.
Il faut quelques années pour qu'un gamin acquiert un niveau correct
dans sa langue maternelle. Je ne pense pas que le problème des règles
évolutives se pose vraiment sur cette durée.
Il se pose très vite, règles différentes dans la langue orale et écrite,
règles différentes selon les milieux fréquentés, le corpus de mots
utilisables changeant également.
Ces histoires de distinction entre la mémoire et l'intelligence sont bien compliquées. Gary Kasparov a été battu aux échecs par une machine en 1997, tandis que les robots traducteurs sont encore à la peine aujourd'hui. Et pourtant le niveau d'un grand maître aux échecs est bien moins accessible que la maîtrise correcte de deux langues différentes...
Sauf que les échecs sont un jeu fini, alors que les langues servent à accéder à un monde non fini aux règles évolutives.
Il faut quelques années pour qu'un gamin acquiert un niveau correct dans sa langue maternelle. Je ne pense pas que le problème des règles évolutives se pose vraiment sur cette durée.
Il se pose très vite, règles différentes dans la langue orale et écrite, règles différentes selon les milieux fréquentés, le corpus de mots utilisables changeant également.
Elohan
Anansi a écrit :
Le susordinant Elohan a dactylographié :
Anansi a écrit :
Le susordinant Elohan a dactylographié :
Ces histoires de distinction entre la mémoire et l'intelligence sont bien compliquées. Gary Kasparov a été battu aux échecs par une machine en 1997, tandis que les robots traducteurs sont encore à la peine aujourd'hui. Et pourtant le niveau d'un grand maître aux échecs est bien moins accessible que la maîtrise correcte de deux langues différentes...
Sauf que les échecs sont un jeu fini, alors que les langues servent à accéder à un monde non fini aux règles évolutives.
Il faut quelques années pour qu'un gamin acquiert un niveau correct dans sa langue maternelle. Je ne pense pas que le problème des règles évolutives se pose vraiment sur cette durée.
Il se pose très vite, règles différentes dans la langue orale et écrite, règles différentes selon les milieux fréquentés, le corpus de mots utilisables changeant également.
Ne pas confondre différent et évolutif. L'évolution de la langue est de toutes façons très lente. Le problème ne doit pas être là pour les ordinateurs de traduction. Même avec des règles parfaitement figées, ils auraient quasiment les mêmes difficultés.
Et c'est paradoxal si l'on considère l'humain: des enfants élevés par des parents de langues diffétentes deviennent normalement bilingues. Alors que pour en faire des champions d'échecs, ou pour résoudre certaines équations traitées sans problème par les ordinateurs, c'est une autre affaire.
Anansi a écrit :
Le susordinant Elohan a dactylographié :
Anansi a écrit :
Le susordinant Elohan a dactylographié :
Ces histoires de distinction entre la mémoire et l'intelligence sont
bien compliquées. Gary Kasparov a été battu aux échecs par une
machine en 1997, tandis que les robots traducteurs sont encore à la
peine aujourd'hui. Et pourtant le niveau d'un grand maître aux
échecs est bien moins accessible que la maîtrise correcte de deux
langues différentes...
Sauf que les échecs sont un jeu fini, alors que les langues servent
à accéder à un monde non fini aux règles évolutives.
Il faut quelques années pour qu'un gamin acquiert un niveau correct
dans sa langue maternelle. Je ne pense pas que le problème des règles
évolutives se pose vraiment sur cette durée.
Il se pose très vite, règles différentes dans la langue orale et écrite,
règles différentes selon les milieux fréquentés, le corpus de mots
utilisables changeant également.
Ne pas confondre différent et évolutif. L'évolution de la langue est de
toutes façons très lente. Le problème ne doit pas être là pour les
ordinateurs de traduction. Même avec des règles parfaitement figées,
ils auraient quasiment les mêmes difficultés.
Et c'est paradoxal si l'on considère l'humain: des enfants élevés par
des parents de langues diffétentes deviennent normalement bilingues.
Alors que pour en faire des champions d'échecs, ou pour résoudre
certaines équations traitées sans problème par les ordinateurs, c'est
une autre affaire.
Ces histoires de distinction entre la mémoire et l'intelligence sont bien compliquées. Gary Kasparov a été battu aux échecs par une machine en 1997, tandis que les robots traducteurs sont encore à la peine aujourd'hui. Et pourtant le niveau d'un grand maître aux échecs est bien moins accessible que la maîtrise correcte de deux langues différentes...
Sauf que les échecs sont un jeu fini, alors que les langues servent à accéder à un monde non fini aux règles évolutives.
Il faut quelques années pour qu'un gamin acquiert un niveau correct dans sa langue maternelle. Je ne pense pas que le problème des règles évolutives se pose vraiment sur cette durée.
Il se pose très vite, règles différentes dans la langue orale et écrite, règles différentes selon les milieux fréquentés, le corpus de mots utilisables changeant également.
Ne pas confondre différent et évolutif. L'évolution de la langue est de toutes façons très lente. Le problème ne doit pas être là pour les ordinateurs de traduction. Même avec des règles parfaitement figées, ils auraient quasiment les mêmes difficultés.
Et c'est paradoxal si l'on considère l'humain: des enfants élevés par des parents de langues diffétentes deviennent normalement bilingues. Alors que pour en faire des champions d'échecs, ou pour résoudre certaines équations traitées sans problème par les ordinateurs, c'est une autre affaire.