Un commerçant, bien que j'ai résilié mon abonnement (et donc mis fin à
toute relation commerciale), utilise le n° de ma CB pour débiter mon
compte ==> il n'y aurait pas utilisation frauduleuse sous prétexte qu'il
y avait antérieurement à la résiliation une relation commerciale ?
Pour moi les 2 exemples sont identiques : une personne (que ce soit un
inconnu ou le commerçant lui même) connaissant mon n° de CB l'a utilisé
sans mon consentement.
Un commerçant, bien que j'ai résilié mon abonnement (et donc mis fin à
toute relation commerciale), utilise le n° de ma CB pour débiter mon
compte ==> il n'y aurait pas utilisation frauduleuse sous prétexte qu'il
y avait antérieurement à la résiliation une relation commerciale ?
Pour moi les 2 exemples sont identiques : une personne (que ce soit un
inconnu ou le commerçant lui même) connaissant mon n° de CB l'a utilisé
sans mon consentement.
Un commerçant, bien que j'ai résilié mon abonnement (et donc mis fin à
toute relation commerciale), utilise le n° de ma CB pour débiter mon
compte ==> il n'y aurait pas utilisation frauduleuse sous prétexte qu'il
y avait antérieurement à la résiliation une relation commerciale ?
Pour moi les 2 exemples sont identiques : une personne (que ce soit un
inconnu ou le commerçant lui même) connaissant mon n° de CB l'a utilisé
sans mon consentement.
Cedric Blancher a écrit :Je reste dubitatif... Donner son numéro de CB reviendrait donc un peu
à signer un chèque en blanc, et même plusieurs puisque sans limite
dans le temps, sans qu'il soit possible de récupérer des sommes
débitées induement autrement qu'en passant par la case procès.
Pas un chèque en blanc, mais le débit mensuel d'un montant défini sans
limite de temps. Donc plutôt plusieurs chèques remplis et signés, même
si je trouve l'analogie pas forcément terrible. Considérons plutôt
l'autorisation de prélèvement que je trouve plus proche. Je paie mon
loyer tous les mois par prélèvement automatique. Pour cela, j'ai fourni
à mon proprio une autorisation de prélèvement. Supposons que je rompe
la bail et qu'il continue à me prélever. Est-ce que la banque va me
re-créditer ? Évidemment que non, parce que ce n'est pas le problème de
la banque. Le contexte est le même pourtant, seule diffère la méthode de
paiement...
Dans cet exemple je suis d'accord.
Mais dans le cas de la CB c'est l'interprétation du mot "fraude" qui me
dérange.
Exemple 1 :
Un inconnu copie le n° de ma carte et paie un truc sur internet avec ==>
il y a utilisation frauduleuse de la carte.
Exemple 2 :
Un commerçant, bien que j'ai résilié mon abonnement (et donc mis fin à
toute relation commerciale), utilise le n° de ma CB pour débiter mon
compte ==> il n'y aurait pas utilisation frauduleuse sous prétexte qu'il
y avait antérieurement à la résiliation une relation commerciale ?
Cedric Blancher a écrit :
Je reste dubitatif... Donner son numéro de CB reviendrait donc un peu
à signer un chèque en blanc, et même plusieurs puisque sans limite
dans le temps, sans qu'il soit possible de récupérer des sommes
débitées induement autrement qu'en passant par la case procès.
Pas un chèque en blanc, mais le débit mensuel d'un montant défini sans
limite de temps. Donc plutôt plusieurs chèques remplis et signés, même
si je trouve l'analogie pas forcément terrible. Considérons plutôt
l'autorisation de prélèvement que je trouve plus proche. Je paie mon
loyer tous les mois par prélèvement automatique. Pour cela, j'ai fourni
à mon proprio une autorisation de prélèvement. Supposons que je rompe
la bail et qu'il continue à me prélever. Est-ce que la banque va me
re-créditer ? Évidemment que non, parce que ce n'est pas le problème de
la banque. Le contexte est le même pourtant, seule diffère la méthode de
paiement...
Dans cet exemple je suis d'accord.
Mais dans le cas de la CB c'est l'interprétation du mot "fraude" qui me
dérange.
Exemple 1 :
Un inconnu copie le n° de ma carte et paie un truc sur internet avec ==>
il y a utilisation frauduleuse de la carte.
Exemple 2 :
Un commerçant, bien que j'ai résilié mon abonnement (et donc mis fin à
toute relation commerciale), utilise le n° de ma CB pour débiter mon
compte ==> il n'y aurait pas utilisation frauduleuse sous prétexte qu'il
y avait antérieurement à la résiliation une relation commerciale ?
Cedric Blancher a écrit :Je reste dubitatif... Donner son numéro de CB reviendrait donc un peu
à signer un chèque en blanc, et même plusieurs puisque sans limite
dans le temps, sans qu'il soit possible de récupérer des sommes
débitées induement autrement qu'en passant par la case procès.
Pas un chèque en blanc, mais le débit mensuel d'un montant défini sans
limite de temps. Donc plutôt plusieurs chèques remplis et signés, même
si je trouve l'analogie pas forcément terrible. Considérons plutôt
l'autorisation de prélèvement que je trouve plus proche. Je paie mon
loyer tous les mois par prélèvement automatique. Pour cela, j'ai fourni
à mon proprio une autorisation de prélèvement. Supposons que je rompe
la bail et qu'il continue à me prélever. Est-ce que la banque va me
re-créditer ? Évidemment que non, parce que ce n'est pas le problème de
la banque. Le contexte est le même pourtant, seule diffère la méthode de
paiement...
Dans cet exemple je suis d'accord.
Mais dans le cas de la CB c'est l'interprétation du mot "fraude" qui me
dérange.
Exemple 1 :
Un inconnu copie le n° de ma carte et paie un truc sur internet avec ==>
il y a utilisation frauduleuse de la carte.
Exemple 2 :
Un commerçant, bien que j'ai résilié mon abonnement (et donc mis fin à
toute relation commerciale), utilise le n° de ma CB pour débiter mon
compte ==> il n'y aurait pas utilisation frauduleuse sous prétexte qu'il
y avait antérieurement à la résiliation une relation commerciale ?
On Tue, 12 Oct 2004 14:31:06 +0200, Gre wrote:Un commerçant, bien que j'ai résilié mon abonnement (et donc mis fin
à toute relation commerciale), utilise le n° de ma CB pour débiter
mon compte ==> il n'y aurait pas utilisation frauduleuse sous
prétexte qu'il y avait antérieurement à la résiliation une relation
commerciale ?
Le problème est vraiment de savoir pour quelle raison il continue à
débiter. Si (cas le plus vraisemblable) il considère que le contrat est
toujours en vigueur (parce qu'il y avait un engagement minimum, parce
qu'il y a un délai de préavis, ou je ne sais quelle autre raison), il
est tout à fait dans son droit de continuer à prélever les sommes dues,
et il s'agit vraiment d'un litige commercial entre l'utilisateur et le
fournisseur, et il est légitime que la banque n'intervienne pas.
Sa seule intervention, en cas de contestation par l'utilisateur, est de
demander au fournisseur un justificatif de votre ordre de paiement.
S'il en a un, sous quelque forme que ce soit, et que cet ordre de
paiement dit qu'il peut débiter sur votre carte toutes les sommes que
vous lui devez, la banque n'a rien à dire, elle n'a pas à essayer de
comprendre qui de lui ou de vous a tort ou raison, vous avez donné un
ordre au fournisseur, ça lui suffit. Si vous n'êtes pas d'accord,
saisissez la justice. C'est peut-être malheureux, mais c'est comme ça.
S'il s'agit d'une erreur de la part du fournisseur, ce sera
vraisemblablement vite réparé.
Si le fournisseur est manifestement de mauvaise foi et continue à
débiter alors qu'il n'y a *réellement* aucune raison de le faire, il
est envisageable de considérer ce cas comme de la fraude (c'est
probablement qualifiable d'escroquerie à ce stade là), mais encore une
fois, la banque ne peut pas faire la part des choses, et ce n'est pas
son rôle. Là encore, la seule solution et de saisir la justice.Pour moi les 2 exemples sont identiques : une personne (que ce soit
un inconnu ou le commerçant lui même) connaissant mon n° de CB l'a
utilisé sans mon consentement.
Le problème est que dans le deuxième cas vous avez donné votre
consentement, et que la formulation de ce consentement (quelque part
dans votre contrat, vraisemblablement) est probablement assez large
(incluant des débits répétés, sans limite de durée, sans montant
précis, et faisant référence à des services et conditions qui sont en
dehors du ressort de la banque) pour que la banque s'en satisfasse quoi
qu'il arrive.
On Tue, 12 Oct 2004 14:31:06 +0200, Gre <non@pasde.spam> wrote:
Un commerçant, bien que j'ai résilié mon abonnement (et donc mis fin
à toute relation commerciale), utilise le n° de ma CB pour débiter
mon compte ==> il n'y aurait pas utilisation frauduleuse sous
prétexte qu'il y avait antérieurement à la résiliation une relation
commerciale ?
Le problème est vraiment de savoir pour quelle raison il continue à
débiter. Si (cas le plus vraisemblable) il considère que le contrat est
toujours en vigueur (parce qu'il y avait un engagement minimum, parce
qu'il y a un délai de préavis, ou je ne sais quelle autre raison), il
est tout à fait dans son droit de continuer à prélever les sommes dues,
et il s'agit vraiment d'un litige commercial entre l'utilisateur et le
fournisseur, et il est légitime que la banque n'intervienne pas.
Sa seule intervention, en cas de contestation par l'utilisateur, est de
demander au fournisseur un justificatif de votre ordre de paiement.
S'il en a un, sous quelque forme que ce soit, et que cet ordre de
paiement dit qu'il peut débiter sur votre carte toutes les sommes que
vous lui devez, la banque n'a rien à dire, elle n'a pas à essayer de
comprendre qui de lui ou de vous a tort ou raison, vous avez donné un
ordre au fournisseur, ça lui suffit. Si vous n'êtes pas d'accord,
saisissez la justice. C'est peut-être malheureux, mais c'est comme ça.
S'il s'agit d'une erreur de la part du fournisseur, ce sera
vraisemblablement vite réparé.
Si le fournisseur est manifestement de mauvaise foi et continue à
débiter alors qu'il n'y a *réellement* aucune raison de le faire, il
est envisageable de considérer ce cas comme de la fraude (c'est
probablement qualifiable d'escroquerie à ce stade là), mais encore une
fois, la banque ne peut pas faire la part des choses, et ce n'est pas
son rôle. Là encore, la seule solution et de saisir la justice.
Pour moi les 2 exemples sont identiques : une personne (que ce soit
un inconnu ou le commerçant lui même) connaissant mon n° de CB l'a
utilisé sans mon consentement.
Le problème est que dans le deuxième cas vous avez donné votre
consentement, et que la formulation de ce consentement (quelque part
dans votre contrat, vraisemblablement) est probablement assez large
(incluant des débits répétés, sans limite de durée, sans montant
précis, et faisant référence à des services et conditions qui sont en
dehors du ressort de la banque) pour que la banque s'en satisfasse quoi
qu'il arrive.
On Tue, 12 Oct 2004 14:31:06 +0200, Gre wrote:Un commerçant, bien que j'ai résilié mon abonnement (et donc mis fin
à toute relation commerciale), utilise le n° de ma CB pour débiter
mon compte ==> il n'y aurait pas utilisation frauduleuse sous
prétexte qu'il y avait antérieurement à la résiliation une relation
commerciale ?
Le problème est vraiment de savoir pour quelle raison il continue à
débiter. Si (cas le plus vraisemblable) il considère que le contrat est
toujours en vigueur (parce qu'il y avait un engagement minimum, parce
qu'il y a un délai de préavis, ou je ne sais quelle autre raison), il
est tout à fait dans son droit de continuer à prélever les sommes dues,
et il s'agit vraiment d'un litige commercial entre l'utilisateur et le
fournisseur, et il est légitime que la banque n'intervienne pas.
Sa seule intervention, en cas de contestation par l'utilisateur, est de
demander au fournisseur un justificatif de votre ordre de paiement.
S'il en a un, sous quelque forme que ce soit, et que cet ordre de
paiement dit qu'il peut débiter sur votre carte toutes les sommes que
vous lui devez, la banque n'a rien à dire, elle n'a pas à essayer de
comprendre qui de lui ou de vous a tort ou raison, vous avez donné un
ordre au fournisseur, ça lui suffit. Si vous n'êtes pas d'accord,
saisissez la justice. C'est peut-être malheureux, mais c'est comme ça.
S'il s'agit d'une erreur de la part du fournisseur, ce sera
vraisemblablement vite réparé.
Si le fournisseur est manifestement de mauvaise foi et continue à
débiter alors qu'il n'y a *réellement* aucune raison de le faire, il
est envisageable de considérer ce cas comme de la fraude (c'est
probablement qualifiable d'escroquerie à ce stade là), mais encore une
fois, la banque ne peut pas faire la part des choses, et ce n'est pas
son rôle. Là encore, la seule solution et de saisir la justice.Pour moi les 2 exemples sont identiques : une personne (que ce soit
un inconnu ou le commerçant lui même) connaissant mon n° de CB l'a
utilisé sans mon consentement.
Le problème est que dans le deuxième cas vous avez donné votre
consentement, et que la formulation de ce consentement (quelque part
dans votre contrat, vraisemblablement) est probablement assez large
(incluant des débits répétés, sans limite de durée, sans montant
précis, et faisant référence à des services et conditions qui sont en
dehors du ressort de la banque) pour que la banque s'en satisfasse quoi
qu'il arrive.
mais si le fournisseur continue à débiter la CB alros que le client lui
a notifié officiellement d'arreter de le faire, il n'y a plus
consentement et le débit devient frauduleux.
mais si le fournisseur continue à débiter la CB alros que le client lui
a notifié officiellement d'arreter de le faire, il n'y a plus
consentement et le débit devient frauduleux.
mais si le fournisseur continue à débiter la CB alros que le client lui
a notifié officiellement d'arreter de le faire, il n'y a plus
consentement et le débit devient frauduleux.
"meskiangasher" a écrit dans le message de news:
416887bc$0$17792$
...................Le fait de payer en donnant son numéro de CB consiste donc en un ordre de
paiement, qui est irrévocable.
Sans signature un achat à distance est fait aux risques du commerçant. Vous
pouvez toujours le contester et dire que ce n'est pas vous qui l'avez fait !
Rien ni personne ne peut prouver le contraire, sauf bien sûr si vous avez
signé un accusé de réception du produit ou qu'il est prouvé que vous avez
commencé a le consommer.
"meskiangasher" <meskiangasher@yahoo.fr> a écrit dans le message de news:
416887bc$0$17792$8fcfb975@news.wanadoo.fr...
...................
Le fait de payer en donnant son numéro de CB consiste donc en un ordre de
paiement, qui est irrévocable.
Sans signature un achat à distance est fait aux risques du commerçant. Vous
pouvez toujours le contester et dire que ce n'est pas vous qui l'avez fait !
Rien ni personne ne peut prouver le contraire, sauf bien sûr si vous avez
signé un accusé de réception du produit ou qu'il est prouvé que vous avez
commencé a le consommer.
"meskiangasher" a écrit dans le message de news:
416887bc$0$17792$
...................Le fait de payer en donnant son numéro de CB consiste donc en un ordre de
paiement, qui est irrévocable.
Sans signature un achat à distance est fait aux risques du commerçant. Vous
pouvez toujours le contester et dire que ce n'est pas vous qui l'avez fait !
Rien ni personne ne peut prouver le contraire, sauf bien sûr si vous avez
signé un accusé de réception du produit ou qu'il est prouvé que vous avez
commencé a le consommer.
On Tue, 12 Oct 2004 19:04:12 +0200, jean luc wrote:mais si le fournisseur continue à débiter la CB alros que le client
lui a notifié officiellement d'arreter de le faire, il n'y a plus
consentement et le débit devient frauduleux.
C'est une question d'interprétation de la loi, et je ne pense pas que
ça ait jamais été tranché: on peut considérer que l'autorisation
initiale est un ordre unique valable de multiples fois. Dans ce cas,
l'ordre a été donné, et il est irrévocable (c'est la loi). Ou on
considère qu'il s'agit d'ordres différents à chaque fois (implicites),
et dans ce cas votre raisonnement pourrait s'appliquer.
Mais dans un cas comme dans l'autre, si la banque demande au
fournisseur un justificatif, il en a un et peut le fournir, donc la
banque n'en a rien à f**tre de votre demande et de tout ce que vous
pouvez dire.
On Tue, 12 Oct 2004 19:04:12 +0200, jean luc <jeanluc@nospam.fr> wrote:
mais si le fournisseur continue à débiter la CB alros que le client
lui a notifié officiellement d'arreter de le faire, il n'y a plus
consentement et le débit devient frauduleux.
C'est une question d'interprétation de la loi, et je ne pense pas que
ça ait jamais été tranché: on peut considérer que l'autorisation
initiale est un ordre unique valable de multiples fois. Dans ce cas,
l'ordre a été donné, et il est irrévocable (c'est la loi). Ou on
considère qu'il s'agit d'ordres différents à chaque fois (implicites),
et dans ce cas votre raisonnement pourrait s'appliquer.
Mais dans un cas comme dans l'autre, si la banque demande au
fournisseur un justificatif, il en a un et peut le fournir, donc la
banque n'en a rien à f**tre de votre demande et de tout ce que vous
pouvez dire.
On Tue, 12 Oct 2004 19:04:12 +0200, jean luc wrote:mais si le fournisseur continue à débiter la CB alros que le client
lui a notifié officiellement d'arreter de le faire, il n'y a plus
consentement et le débit devient frauduleux.
C'est une question d'interprétation de la loi, et je ne pense pas que
ça ait jamais été tranché: on peut considérer que l'autorisation
initiale est un ordre unique valable de multiples fois. Dans ce cas,
l'ordre a été donné, et il est irrévocable (c'est la loi). Ou on
considère qu'il s'agit d'ordres différents à chaque fois (implicites),
et dans ce cas votre raisonnement pourrait s'appliquer.
Mais dans un cas comme dans l'autre, si la banque demande au
fournisseur un justificatif, il en a un et peut le fournir, donc la
banque n'en a rien à f**tre de votre demande et de tout ce que vous
pouvez dire.
Pivoine wrote:"meskiangasher" a écrit dans le message de
news: 416887bc$0$17792$
...................Le fait de payer en donnant son numéro de CB consiste donc en un
ordre de paiement, qui est irrévocable.
Sans signature un achat à distance est fait aux risques du commerçant.
Vous pouvez toujours le contester et dire que ce n'est pas vous qui
l'avez fait ! Rien ni personne ne peut prouver le contraire, sauf bien
sûr si vous avez signé un accusé de réception du produit ou qu'il est
prouvé que vous avez commencé a le consommer.
Il peut aussi prouver que c'est bien le porteur qui avait passe l'ordre
Pivoine wrote:
"meskiangasher" <meskiangasher@yahoo.fr> a écrit dans le message de
news: 416887bc$0$17792$8fcfb975@news.wanadoo.fr...
...................
Le fait de payer en donnant son numéro de CB consiste donc en un
ordre de paiement, qui est irrévocable.
Sans signature un achat à distance est fait aux risques du commerçant.
Vous pouvez toujours le contester et dire que ce n'est pas vous qui
l'avez fait ! Rien ni personne ne peut prouver le contraire, sauf bien
sûr si vous avez signé un accusé de réception du produit ou qu'il est
prouvé que vous avez commencé a le consommer.
Il peut aussi prouver que c'est bien le porteur qui avait passe l'ordre
Pivoine wrote:"meskiangasher" a écrit dans le message de
news: 416887bc$0$17792$
...................Le fait de payer en donnant son numéro de CB consiste donc en un
ordre de paiement, qui est irrévocable.
Sans signature un achat à distance est fait aux risques du commerçant.
Vous pouvez toujours le contester et dire que ce n'est pas vous qui
l'avez fait ! Rien ni personne ne peut prouver le contraire, sauf bien
sûr si vous avez signé un accusé de réception du produit ou qu'il est
prouvé que vous avez commencé a le consommer.
Il peut aussi prouver que c'est bien le porteur qui avait passe l'ordre
Jamais personne ne considerera un bulletin d'abonnement à internet comme
un ordre de paiement pour chacun des prélevements à venir au sens de la
loi.
Quel justificatif ?
Dans ce cas ca voudrait dire que si le fournisseur ressort 2 ans aprés
la résiliation et aprés la rupture de la relation commerciale avec le
client le bon de souscription où le client autorise le debit mensuel de
sa carte bleu la banque ne pourra rien faire parce que le fournisseur
aura toujours le justificatif ? Ca me parait vraiment très gros et
invraissemblable.
Je pense surtout que si le fournisseur prend le risque (comme dans le
cas d'un abonnement) de ne pas pouvoir présenter un ordre de prélevement
clair et non equivoque daté et avec le montant et approuvé par le
client, c'est lui qui assume le risque en cas de contestation du client
et la banque suivra la constestation du client.
Les 3 définitions du prélévements frauduleux sont :
- transaction non autorisée par son titulaire effectuée en connaissance
de cause ;
- utilisation en connaissance de cause d'une carte de paiement obtenue
frauduleusement, fausse ou falsifiée ou utilisation en connaissance de
cause d'un paiement réalisé dans ces conditions ;
- utilisation non autorisée, en connaissance de cause, des données
d'identification, notamment les numéros de carte, pour le lancement ou
le traitement d'une opération de paiement.
Et je vois difficilement comment, dans le cas d'un abonnement, le
commerçant pourrait justifier à la banque avec un simple bulletin
d'abonnement de ce qu'il ne s'agissait pas d'une "transaction non
autorisée par son titulaire effectuée en connaissance de cause" ou meme
d'une "utilisation non autorisée, en connaissance de cause, des données
d'identification, notamment les numéros de carte, pour le lancement ou
le traitement d'une opération de paiement. " car il n'a aucune preuve
d'avoir été autorisé à faire ce prélevement en particulier.
Jamais personne ne considerera un bulletin d'abonnement à internet comme
un ordre de paiement pour chacun des prélevements à venir au sens de la
loi.
Quel justificatif ?
Dans ce cas ca voudrait dire que si le fournisseur ressort 2 ans aprés
la résiliation et aprés la rupture de la relation commerciale avec le
client le bon de souscription où le client autorise le debit mensuel de
sa carte bleu la banque ne pourra rien faire parce que le fournisseur
aura toujours le justificatif ? Ca me parait vraiment très gros et
invraissemblable.
Je pense surtout que si le fournisseur prend le risque (comme dans le
cas d'un abonnement) de ne pas pouvoir présenter un ordre de prélevement
clair et non equivoque daté et avec le montant et approuvé par le
client, c'est lui qui assume le risque en cas de contestation du client
et la banque suivra la constestation du client.
Les 3 définitions du prélévements frauduleux sont :
- transaction non autorisée par son titulaire effectuée en connaissance
de cause ;
- utilisation en connaissance de cause d'une carte de paiement obtenue
frauduleusement, fausse ou falsifiée ou utilisation en connaissance de
cause d'un paiement réalisé dans ces conditions ;
- utilisation non autorisée, en connaissance de cause, des données
d'identification, notamment les numéros de carte, pour le lancement ou
le traitement d'une opération de paiement.
Et je vois difficilement comment, dans le cas d'un abonnement, le
commerçant pourrait justifier à la banque avec un simple bulletin
d'abonnement de ce qu'il ne s'agissait pas d'une "transaction non
autorisée par son titulaire effectuée en connaissance de cause" ou meme
d'une "utilisation non autorisée, en connaissance de cause, des données
d'identification, notamment les numéros de carte, pour le lancement ou
le traitement d'une opération de paiement. " car il n'a aucune preuve
d'avoir été autorisé à faire ce prélevement en particulier.
Jamais personne ne considerera un bulletin d'abonnement à internet comme
un ordre de paiement pour chacun des prélevements à venir au sens de la
loi.
Quel justificatif ?
Dans ce cas ca voudrait dire que si le fournisseur ressort 2 ans aprés
la résiliation et aprés la rupture de la relation commerciale avec le
client le bon de souscription où le client autorise le debit mensuel de
sa carte bleu la banque ne pourra rien faire parce que le fournisseur
aura toujours le justificatif ? Ca me parait vraiment très gros et
invraissemblable.
Je pense surtout que si le fournisseur prend le risque (comme dans le
cas d'un abonnement) de ne pas pouvoir présenter un ordre de prélevement
clair et non equivoque daté et avec le montant et approuvé par le
client, c'est lui qui assume le risque en cas de contestation du client
et la banque suivra la constestation du client.
Les 3 définitions du prélévements frauduleux sont :
- transaction non autorisée par son titulaire effectuée en connaissance
de cause ;
- utilisation en connaissance de cause d'une carte de paiement obtenue
frauduleusement, fausse ou falsifiée ou utilisation en connaissance de
cause d'un paiement réalisé dans ces conditions ;
- utilisation non autorisée, en connaissance de cause, des données
d'identification, notamment les numéros de carte, pour le lancement ou
le traitement d'une opération de paiement.
Et je vois difficilement comment, dans le cas d'un abonnement, le
commerçant pourrait justifier à la banque avec un simple bulletin
d'abonnement de ce qu'il ne s'agissait pas d'une "transaction non
autorisée par son titulaire effectuée en connaissance de cause" ou meme
d'une "utilisation non autorisée, en connaissance de cause, des données
d'identification, notamment les numéros de carte, pour le lancement ou
le traitement d'une opération de paiement. " car il n'a aucune preuve
d'avoir été autorisé à faire ce prélevement en particulier.
Sans signature un achat à distance est fait aux risques du commerçant.
Vous pouvez toujours le contester et dire que ce n'est pas vous qui
l'avez fait !
Rien ni personne ne peut prouver le contraire, sauf bien sûr si vous avez
signé un accusé de réception du produit ou qu'il est prouvé que vous avez
commencé a le consommer.
Sans signature un achat à distance est fait aux risques du commerçant.
Vous pouvez toujours le contester et dire que ce n'est pas vous qui
l'avez fait !
Rien ni personne ne peut prouver le contraire, sauf bien sûr si vous avez
signé un accusé de réception du produit ou qu'il est prouvé que vous avez
commencé a le consommer.
Sans signature un achat à distance est fait aux risques du commerçant.
Vous pouvez toujours le contester et dire que ce n'est pas vous qui
l'avez fait !
Rien ni personne ne peut prouver le contraire, sauf bien sûr si vous avez
signé un accusé de réception du produit ou qu'il est prouvé que vous avez
commencé a le consommer.
Quel ordre ?
Le client signe un document dans lequel il autorise le fournisseur a
faire des prélevements sur sa CB sans préciser ni les montants, ni les
dates.
Où voyez vous un ordre de paiement ?
le fournisseur qui utilise une CB pour un abonnement prend le risque
(calculé) de faire ses prélevements sans aucun ordre de paiement en se
basant sur l'autorisation donné par le client au moment de la
souscription.
Quel ordre ?
Le client signe un document dans lequel il autorise le fournisseur a
faire des prélevements sur sa CB sans préciser ni les montants, ni les
dates.
Où voyez vous un ordre de paiement ?
le fournisseur qui utilise une CB pour un abonnement prend le risque
(calculé) de faire ses prélevements sans aucun ordre de paiement en se
basant sur l'autorisation donné par le client au moment de la
souscription.
Quel ordre ?
Le client signe un document dans lequel il autorise le fournisseur a
faire des prélevements sur sa CB sans préciser ni les montants, ni les
dates.
Où voyez vous un ordre de paiement ?
le fournisseur qui utilise une CB pour un abonnement prend le risque
(calculé) de faire ses prélevements sans aucun ordre de paiement en se
basant sur l'autorisation donné par le client au moment de la
souscription.