Ah le bon vieux temps ou l'on pouvait encore fermer le diaph. et regler la mise au point sur la bague de l'objectif.
ce temps n'est pas révolu, tu peux toujours faire de l'argentique
Oui, mais à quel prix ?
Jacques L'helgoualc'h
Le 21-04-2014, Elohan a écrit :
jdd avait énoncé :
Le 21/04/2014 11:47, jules a écrit :
5 + 3/3*1 = 6 + 3/3*2 = 8
heu... 3/3 ca a toujours fait 1 donc ca a l'air de vouloir dire que 5+1=6 et que 6+2=8, ce que je sais depuis longtemps :-(
ou alors il manque des parenthèses?
sinon, pour vérifier la "règle", à 6.15m
1/3 avant c'est donc 2/3 au total
2x6.15/3=4.1
2/3 après ca fait 5/3
5x6.15/3.25
ceci dit je ne sais pas de quel exemple il est question dans le post
,---- http://jeanc.bouss1.free.fr/dossier_cours/22_prof_de_champ.html | | Pour une distance p de mise au point, la zone de netteté s'étend | pratiquement de (p-1/3 ) à (p+2/3 ). | | Exemple : pour un sujet qui s'étend, en profondeur, de 5 m à 8 m, la | distance optimale de mise au point est de 6,15 m (et non pas 6,5 m). | | PdC = 1/3 avant + 2/3 arrière | `----
D'après les formules, le rapport n'est pas toujours d'un tiers/deux tiers.
Il ne l'est que si on met au point sur H/3 (la profondeur de champ est alors entre H/2 et H/4 --- H = hyperfocale).
Quand on met au point sur H, c'est net de H/2 à l'infini, le « tiers » avant est vraiment tout petit ;)
Plus généralement, pour avoir le même niveau de floutage/netteté aux distances A et B, il faut mettre au point à une distance intermédiaire C, calculée en faisant la moyenne des inverses de A et B
C = 2/(1/A + 1/B)
dite « moyenne harmonique » dans les vieux bouquins. -- Jacques L'helgoualc'h
Le 21-04-2014, Elohan a écrit :
jdd avait énoncé :
Le 21/04/2014 11:47, jules a écrit :
5 + 3/3*1 = 6 + 3/3*2 = 8
heu... 3/3 ca a toujours fait 1 donc ca a l'air de vouloir dire que 5+1=6 et
que 6+2=8, ce que je sais depuis longtemps :-(
ou alors il manque des parenthèses?
sinon, pour vérifier la "règle", à 6.15m
1/3 avant c'est donc 2/3 au total
2x6.15/3=4.1
2/3 après ca fait 5/3
5x6.15/3.25
ceci dit je ne sais pas de quel exemple il est question dans le post
,---- http://jeanc.bouss1.free.fr/dossier_cours/22_prof_de_champ.html
|
| Pour une distance p de mise au point, la zone de netteté s'étend
| pratiquement de (p-1/3 ) à (p+2/3 ).
|
| Exemple : pour un sujet qui s'étend, en profondeur, de 5 m à 8 m, la
| distance optimale de mise au point est de 6,15 m (et non pas 6,5 m).
|
| PdC = 1/3 avant + 2/3 arrière
|
`----
D'après les formules, le rapport n'est pas toujours d'un tiers/deux
tiers.
Il ne l'est que si on met au point sur H/3 (la profondeur de champ est
alors entre H/2 et H/4 --- H = hyperfocale).
Quand on met au point sur H, c'est net de H/2 à l'infini, le « tiers »
avant est vraiment tout petit ;)
Plus généralement, pour avoir le même niveau de floutage/netteté aux
distances A et B, il faut mettre au point à une distance intermédiaire
C, calculée en faisant la moyenne des inverses de A et B
C = 2/(1/A + 1/B)
dite « moyenne harmonique » dans les vieux bouquins.
--
Jacques L'helgoualc'h
heu... 3/3 ca a toujours fait 1 donc ca a l'air de vouloir dire que 5+1=6 et que 6+2=8, ce que je sais depuis longtemps :-(
ou alors il manque des parenthèses?
sinon, pour vérifier la "règle", à 6.15m
1/3 avant c'est donc 2/3 au total
2x6.15/3=4.1
2/3 après ca fait 5/3
5x6.15/3.25
ceci dit je ne sais pas de quel exemple il est question dans le post
,---- http://jeanc.bouss1.free.fr/dossier_cours/22_prof_de_champ.html | | Pour une distance p de mise au point, la zone de netteté s'étend | pratiquement de (p-1/3 ) à (p+2/3 ). | | Exemple : pour un sujet qui s'étend, en profondeur, de 5 m à 8 m, la | distance optimale de mise au point est de 6,15 m (et non pas 6,5 m). | | PdC = 1/3 avant + 2/3 arrière | `----
D'après les formules, le rapport n'est pas toujours d'un tiers/deux tiers.
Il ne l'est que si on met au point sur H/3 (la profondeur de champ est alors entre H/2 et H/4 --- H = hyperfocale).
Quand on met au point sur H, c'est net de H/2 à l'infini, le « tiers » avant est vraiment tout petit ;)
Plus généralement, pour avoir le même niveau de floutage/netteté aux distances A et B, il faut mettre au point à une distance intermédiaire C, calculée en faisant la moyenne des inverses de A et B
C = 2/(1/A + 1/B)
dite « moyenne harmonique » dans les vieux bouquins. -- Jacques L'helgoualc'h
jdd
Le 21/04/2014 19:39, Jacques L'helgoualc'h a écrit :
Quand on met au point sur H, c'est net de H/2 à l'infini, le « tiers »
l'hyperfocale, à la base, c'est ça, celle de tous les appareils sans réglages.
par contre l'habitude de regarder les photos pixel pour pixel sur l'écran fait voler en éclat le cercle de confusion
jdd
-- http://www.dodin.org
Le 21/04/2014 19:39, Jacques L'helgoualc'h a écrit :
Quand on met au point sur H, c'est net de H/2 à l'infini, le « tiers »
l'hyperfocale, à la base, c'est ça, celle de tous les appareils sans réglages.
par contre l'habitude de regarder les photos pixel pour pixel sur l'écran fait
voler en éclat le cercle de confusion
Le 21/04/2014 19:39, Jacques L'helgoualc'h a écrit :
Quand on met au point sur H, c'est net de H/2 à l'infini, le « tiers »
l'hyperfocale, à la base, c'est ça, celle de tous les appareils sans réglages.
par contre l'habitude de regarder les photos pixel pour pixel sur l'écran fait voler en éclat le cercle de confusion
jdd
-- http://www.dodin.org
Markorki
Ghost-Raider a écrit :
Le 21/04/2014 16:58, Ricco a écrit :
Laszlo Lebrun a exprimé avec précision :
Ah le bon vieux temps ou l'on pouvait encore fermer le diaph. et regler la mise au point sur la bague de l'objectif.
ce temps n'est pas révolu, tu peux toujours faire de l'argentique
Oui, mais à quel prix ?
ne mélangeons pas tout
On avait déjà du tout automatique en argentique (AF et régages obturateur/diaph) et on a encore en numérique des APN où on peut régler le diaph et la vitesse **si_on_y_tient** , et **tous** les reflex le permettent, et aussi beaucoup d'APN de milieu de gamme.
C'est juste le prix à la photo, donc le coût de l'erreur qui a changé... et la fin du besoin de passer par le papier et son coût pour regarder ses oeuvres
On tente autant de fois qu'on veut, et on regarde à l'écran : dès qu'on a un appareil et un écran, les autres couts sont marginaux... et le partage se passe de tirage (et de la poste) depuis internet.
-- Chomsky (Noam) est un (fieffé) con... Je ne dis pas ça que pour la NSA que je shitandfucke-démasses
Ghost-Raider a écrit :
Le 21/04/2014 16:58, Ricco a écrit :
Laszlo Lebrun a exprimé avec précision :
Ah le bon vieux temps ou l'on pouvait encore fermer le diaph. et
regler la mise au point sur la bague de l'objectif.
ce temps n'est pas révolu, tu peux toujours faire de l'argentique
Oui, mais à quel prix ?
ne mélangeons pas tout
On avait déjà du tout automatique en argentique (AF et régages
obturateur/diaph)
et on a encore en numérique des APN où on peut régler le diaph et la
vitesse **si_on_y_tient** , et **tous** les reflex le permettent, et
aussi beaucoup d'APN de milieu de gamme.
C'est juste le prix à la photo, donc le coût de l'erreur qui a changé...
et la fin du besoin de passer par le papier et son coût pour regarder
ses oeuvres
On tente autant de fois qu'on veut, et on regarde à l'écran : dès qu'on
a un appareil et un écran, les autres couts sont marginaux... et le
partage se passe de tirage (et de la poste) depuis internet.
--
Chomsky (Noam) est un (fieffé) con...
Je ne dis pas ça que pour la NSA que je shitandfucke-démasses
Ah le bon vieux temps ou l'on pouvait encore fermer le diaph. et regler la mise au point sur la bague de l'objectif.
ce temps n'est pas révolu, tu peux toujours faire de l'argentique
Oui, mais à quel prix ?
ne mélangeons pas tout
On avait déjà du tout automatique en argentique (AF et régages obturateur/diaph) et on a encore en numérique des APN où on peut régler le diaph et la vitesse **si_on_y_tient** , et **tous** les reflex le permettent, et aussi beaucoup d'APN de milieu de gamme.
C'est juste le prix à la photo, donc le coût de l'erreur qui a changé... et la fin du besoin de passer par le papier et son coût pour regarder ses oeuvres
On tente autant de fois qu'on veut, et on regarde à l'écran : dès qu'on a un appareil et un écran, les autres couts sont marginaux... et le partage se passe de tirage (et de la poste) depuis internet.
-- Chomsky (Noam) est un (fieffé) con... Je ne dis pas ça que pour la NSA que je shitandfucke-démasses
Jacques L'helgoualc'h
Le 21-04-2014, jdd a écrit :
Le 21/04/2014 19:39, Jacques L'helgoualc'h a écrit :
Quand on met au point sur H, c'est net de H/2 à l'infini, le « tiers »
l'hyperfocale, à la base, c'est ça, celle de tous les appareils sans réglages.
par contre l'habitude de regarder les photos pixel pour pixel sur l'écran fait voler en éclat le cercle de confusion
Oui, il faut adapter, il y a maintenant plus de 1730 pixels sur la diagonale de l'image, sans oublier la diffraction, etc.
-- Jacques L'helgoualc'h
Le 21-04-2014, jdd a écrit :
Le 21/04/2014 19:39, Jacques L'helgoualc'h a écrit :
Quand on met au point sur H, c'est net de H/2 à l'infini, le « tiers »
l'hyperfocale, à la base, c'est ça, celle de tous les appareils sans réglages.
par contre l'habitude de regarder les photos pixel pour pixel sur l'écran fait
voler en éclat le cercle de confusion
Oui, il faut adapter, il y a maintenant plus de 1730 pixels sur la
diagonale de l'image, sans oublier la diffraction, etc.
Pour une distance p de mise au point, la zone de netteté s'étend pratiquement de (p-1/3 ) à (p+2/3 ).
Exemple : pour un sujet qui s'étend, en profondeur, de 5 m à 8 m, la distance optimale de mise au point est de 6,15 m (et non pas 6,5 m).
PdC = 1/3 avant + 2/3 arrière
`----
D'après les formules, le rapport n'est pas toujours d'un tiers/deux tiers.
Il ne l'est que si on met au point sur H/3 (la profondeur de champ est alors entre H/2 et H/4 --- H = hyperfocale).
Quand on met au point sur H, c'est net de H/2 à l'infini, le « tiers » avant est vraiment tout petit ;)
Plus généralement, pour avoir le même niveau de floutage/netteté aux distances A et B, il faut mettre au point à une distance intermédiaire C, calculée en faisant la moyenne des inverses de A et B
C = 2/(1/A + 1/B)
dite « moyenne harmonique » dans les vieux bouquins.
On "voit" bien des choses, et on les comprend suffisamment pour notre pratique, en jouant avec l'échelle des distances, par exemple celle gravée autour d'un objectif ancien. On peut mentalement ou réellement la dérouler, la mettre à plat. En mettant en face de cette échelle ( plus ou moins exactement logarithmique ?) une échelle linéaire, à la façon d'une règle à calculs. Une quantité sur l'échelle linéaire correspond à un angle de la bague de mise-au-point, donc à une variation de tirage, et également à une "évaluation du flou". Et on retrouve tout ce qui a été écrit de pertinent dans ce fil. Sur une surface plane avec des détails - écriture - il ne semble pas possible de différencier un flou devant d'un flou derrière, à égale distance sur l'échelle linéaire, ce qui corrobore l'idée d'évaluation du flou. Ça sort du sujet, mais on peut signaler le flou au-delà de l'infini, qui semble particulier et généralement désagréable.
-- Pierre Maurette
Jacques L'helgoualc'h :
Le 21-04-2014, Elohan a écrit :
jdd avait énoncé :
Le 21/04/2014 11:47, jules a écrit :
5 + 3/3*1 = 6 + 3/3*2 = 8
heu... 3/3 ca a toujours fait 1 donc ca a l'air de vouloir dire que 5+1=6
et que 6+2=8, ce que je sais depuis longtemps :-(
ou alors il manque des parenthèses?
sinon, pour vérifier la "règle", à 6.15m
1/3 avant c'est donc 2/3 au total
2x6.15/3=4.1
2/3 après ca fait 5/3
5x6.15/3.25
ceci dit je ne sais pas de quel exemple il est question dans le post
Pour une distance p de mise au point, la zone de netteté s'étend
pratiquement de (p-1/3 ) à (p+2/3 ).
Exemple : pour un sujet qui s'étend, en profondeur, de 5 m à 8 m, la
distance optimale de mise au point est de 6,15 m (et non pas 6,5 m).
PdC = 1/3 avant + 2/3 arrière
`----
D'après les formules, le rapport n'est pas toujours d'un tiers/deux
tiers.
Il ne l'est que si on met au point sur H/3 (la profondeur de champ est
alors entre H/2 et H/4 --- H = hyperfocale).
Quand on met au point sur H, c'est net de H/2 à l'infini, le « tiers »
avant est vraiment tout petit ;)
Plus généralement, pour avoir le même niveau de floutage/netteté aux
distances A et B, il faut mettre au point à une distance intermédiaire
C, calculée en faisant la moyenne des inverses de A et B
C = 2/(1/A + 1/B)
dite « moyenne harmonique » dans les vieux bouquins.
On "voit" bien des choses, et on les comprend suffisamment pour notre
pratique, en jouant avec l'échelle des distances, par exemple celle
gravée autour d'un objectif ancien. On peut mentalement ou réellement
la dérouler, la mettre à plat. En mettant en face de cette échelle (
plus ou moins exactement logarithmique ?) une échelle linéaire, à la
façon d'une règle à calculs. Une quantité sur l'échelle linéaire
correspond à un angle de la bague de mise-au-point, donc à une
variation de tirage, et également à une "évaluation du flou". Et on
retrouve tout ce qui a été écrit de pertinent dans ce fil.
Sur une surface plane avec des détails - écriture - il ne semble pas
possible de différencier un flou devant d'un flou derrière, à égale
distance sur l'échelle linéaire, ce qui corrobore l'idée d'évaluation
du flou.
Ça sort du sujet, mais on peut signaler le flou au-delà de l'infini,
qui semble particulier et généralement désagréable.
Pour une distance p de mise au point, la zone de netteté s'étend pratiquement de (p-1/3 ) à (p+2/3 ).
Exemple : pour un sujet qui s'étend, en profondeur, de 5 m à 8 m, la distance optimale de mise au point est de 6,15 m (et non pas 6,5 m).
PdC = 1/3 avant + 2/3 arrière
`----
D'après les formules, le rapport n'est pas toujours d'un tiers/deux tiers.
Il ne l'est que si on met au point sur H/3 (la profondeur de champ est alors entre H/2 et H/4 --- H = hyperfocale).
Quand on met au point sur H, c'est net de H/2 à l'infini, le « tiers » avant est vraiment tout petit ;)
Plus généralement, pour avoir le même niveau de floutage/netteté aux distances A et B, il faut mettre au point à une distance intermédiaire C, calculée en faisant la moyenne des inverses de A et B
C = 2/(1/A + 1/B)
dite « moyenne harmonique » dans les vieux bouquins.
On "voit" bien des choses, et on les comprend suffisamment pour notre pratique, en jouant avec l'échelle des distances, par exemple celle gravée autour d'un objectif ancien. On peut mentalement ou réellement la dérouler, la mettre à plat. En mettant en face de cette échelle ( plus ou moins exactement logarithmique ?) une échelle linéaire, à la façon d'une règle à calculs. Une quantité sur l'échelle linéaire correspond à un angle de la bague de mise-au-point, donc à une variation de tirage, et également à une "évaluation du flou". Et on retrouve tout ce qui a été écrit de pertinent dans ce fil. Sur une surface plane avec des détails - écriture - il ne semble pas possible de différencier un flou devant d'un flou derrière, à égale distance sur l'échelle linéaire, ce qui corrobore l'idée d'évaluation du flou. Ça sort du sujet, mais on peut signaler le flou au-delà de l'infini, qui semble particulier et généralement désagréable.
-- Pierre Maurette
Ghost-Raider
Le 21/04/2014 20:02, Markorki a écrit :
Ghost-Raider a écrit :
Le 21/04/2014 16:58, Ricco a écrit :
ce temps n'est pas révolu, tu peux toujours faire de l'argentique
Oui, mais à quel prix ?
ne mélangeons pas tout
On avait déjà du tout automatique en argentique (AF et régages obturateur/diaph) et on a encore en numérique des APN où on peut régler le diaph et la vitesse **si_on_y_tient** , et **tous** les reflex le permettent, et aussi beaucoup d'APN de milieu de gamme.
C'est juste le prix à la photo, donc le coût de l'erreur qui a changé... et la fin du besoin de passer par le papier et son coût pour regarder ses oeuvres
On tente autant de fois qu'on veut, et on regarde à l'écran : dès qu'on a un appareil et un écran, les autres couts sont marginaux... et le partage se passe de tirage (et de la poste) depuis internet.
Mais c'est exactement ce que je dis : le numérique est moins cher que l'argentique, et l'inverse mais le contraire du vice-versa : l'argentique est plus cher que le numérique.
Le 21/04/2014 20:02, Markorki a écrit :
Ghost-Raider a écrit :
Le 21/04/2014 16:58, Ricco a écrit :
ce temps n'est pas révolu, tu peux toujours faire de l'argentique
Oui, mais à quel prix ?
ne mélangeons pas tout
On avait déjà du tout automatique en argentique (AF et régages
obturateur/diaph)
et on a encore en numérique des APN où on peut régler le diaph et la
vitesse **si_on_y_tient** , et **tous** les reflex le permettent, et
aussi beaucoup d'APN de milieu de gamme.
C'est juste le prix à la photo, donc le coût de l'erreur qui a changé...
et la fin du besoin de passer par le papier et son coût pour regarder
ses oeuvres
On tente autant de fois qu'on veut, et on regarde à l'écran : dès qu'on
a un appareil et un écran, les autres couts sont marginaux... et le
partage se passe de tirage (et de la poste) depuis internet.
Mais c'est exactement ce que je dis : le numérique est moins cher que
l'argentique, et l'inverse mais le contraire du vice-versa :
l'argentique est plus cher que le numérique.
ce temps n'est pas révolu, tu peux toujours faire de l'argentique
Oui, mais à quel prix ?
ne mélangeons pas tout
On avait déjà du tout automatique en argentique (AF et régages obturateur/diaph) et on a encore en numérique des APN où on peut régler le diaph et la vitesse **si_on_y_tient** , et **tous** les reflex le permettent, et aussi beaucoup d'APN de milieu de gamme.
C'est juste le prix à la photo, donc le coût de l'erreur qui a changé... et la fin du besoin de passer par le papier et son coût pour regarder ses oeuvres
On tente autant de fois qu'on veut, et on regarde à l'écran : dès qu'on a un appareil et un écran, les autres couts sont marginaux... et le partage se passe de tirage (et de la poste) depuis internet.
Mais c'est exactement ce que je dis : le numérique est moins cher que l'argentique, et l'inverse mais le contraire du vice-versa : l'argentique est plus cher que le numérique.
Jacques L'helgoualc'h
Le 21-04-2014, Pierre Maurette a écrit : [...]
On "voit" bien des choses, et on les comprend suffisamment pour notre pratique, en jouant avec l'échelle des distances, par exemple celle gravée autour d'un objectif ancien. On peut mentalement ou réellement la dérouler, la mettre à plat. En mettant en face de cette échelle ( plus ou moins exactement logarithmique ?)
Non, ce qui est logarithmique en photo, c'est l'échelle du barillet des vitesses, par exemple, où un certain angle de rotation correspond à une multiplication ou division par 2 (ou racine(2) pour les diaphragmes).
Dans le cas des distances, si la bague des distances commande un pas de vis, on aura une action linéaire sur le tirage, et homographique sur la distance de mise au point (par la formule de Descartes 1/f = 1/d + 1/t).
Si le pas de vis est remplacé par une came, ça dépend de la forme de la came...
une échelle linéaire, à la façon d'une règle à calculs. Une quantité sur l'échelle linéaire correspond à un angle de la bague de mise-au-point, donc à une variation de tirage, et également à une "évaluation du flou". Et on retrouve tout ce qui a été écrit de pertinent dans ce fil. Sur une surface plane avec des détails - écriture - il ne semble pas possible de différencier un flou devant d'un flou derrière, à égale distance sur l'échelle linéaire, ce qui corrobore l'idée d'évaluation du flou.
Quelle échelle linéaire ? Si on photographie, objectif à l'horizontale, un carrelage régulier, on verra davantage de carreaux nets en arrière du plan de mise au point qu'en avant.
Par contre, sur la photo, les flous seront symétriquement répartis (dans le plan vertical du capteur). -- Jacques L'helgoualc'h
Le 21-04-2014, Pierre Maurette a écrit :
[...]
On "voit" bien des choses, et on les comprend suffisamment pour notre
pratique, en jouant avec l'échelle des distances, par exemple celle
gravée autour d'un objectif ancien. On peut mentalement ou réellement
la dérouler, la mettre à plat. En mettant en face de cette échelle (
plus ou moins exactement logarithmique ?)
Non, ce qui est logarithmique en photo, c'est l'échelle du barillet des
vitesses, par exemple, où un certain angle de rotation correspond à une
multiplication ou division par 2 (ou racine(2) pour les diaphragmes).
Dans le cas des distances, si la bague des distances commande un pas de
vis, on aura une action linéaire sur le tirage, et homographique sur la
distance de mise au point (par la formule de Descartes 1/f = 1/d + 1/t).
Si le pas de vis est remplacé par une came, ça dépend de la forme de la
came...
une échelle linéaire, à la
façon d'une règle à calculs. Une quantité sur l'échelle linéaire
correspond à un angle de la bague de mise-au-point, donc à une
variation de tirage, et également à une "évaluation du flou". Et on
retrouve tout ce qui a été écrit de pertinent dans ce fil.
Sur une surface plane avec des détails - écriture - il ne semble pas
possible de différencier un flou devant d'un flou derrière, à égale
distance sur l'échelle linéaire, ce qui corrobore l'idée d'évaluation
du flou.
Quelle échelle linéaire ? Si on photographie, objectif à l'horizontale,
un carrelage régulier, on verra davantage de carreaux nets en arrière du
plan de mise au point qu'en avant.
Par contre, sur la photo, les flous seront symétriquement répartis (dans
le plan vertical du capteur).
--
Jacques L'helgoualc'h
On "voit" bien des choses, et on les comprend suffisamment pour notre pratique, en jouant avec l'échelle des distances, par exemple celle gravée autour d'un objectif ancien. On peut mentalement ou réellement la dérouler, la mettre à plat. En mettant en face de cette échelle ( plus ou moins exactement logarithmique ?)
Non, ce qui est logarithmique en photo, c'est l'échelle du barillet des vitesses, par exemple, où un certain angle de rotation correspond à une multiplication ou division par 2 (ou racine(2) pour les diaphragmes).
Dans le cas des distances, si la bague des distances commande un pas de vis, on aura une action linéaire sur le tirage, et homographique sur la distance de mise au point (par la formule de Descartes 1/f = 1/d + 1/t).
Si le pas de vis est remplacé par une came, ça dépend de la forme de la came...
une échelle linéaire, à la façon d'une règle à calculs. Une quantité sur l'échelle linéaire correspond à un angle de la bague de mise-au-point, donc à une variation de tirage, et également à une "évaluation du flou". Et on retrouve tout ce qui a été écrit de pertinent dans ce fil. Sur une surface plane avec des détails - écriture - il ne semble pas possible de différencier un flou devant d'un flou derrière, à égale distance sur l'échelle linéaire, ce qui corrobore l'idée d'évaluation du flou.
Quelle échelle linéaire ? Si on photographie, objectif à l'horizontale, un carrelage régulier, on verra davantage de carreaux nets en arrière du plan de mise au point qu'en avant.
Par contre, sur la photo, les flous seront symétriquement répartis (dans le plan vertical du capteur). -- Jacques L'helgoualc'h