Bref, quand il y a civil et pénal sur un fait et sa réparation, le civil
attend. La loi de 2007 libère les /autres/ actions civiles (sous contrôle du
juge), ce qui est déjà bien vu le contexte.
Vous êtes un âne. Pour déposer une plainte au pénal, il suffit de choisir une
qualification pénale. On sera débouté, ce n'est pas la question. Si vous
accusez monsieur d'un trafic illégal expliquant la dissimulation, ses comptes
seront visités avec les moyens du juge d'instruction.
Bref, quand il y a civil et pénal sur un fait et sa réparation, le civil
attend. La loi de 2007 libère les /autres/ actions civiles (sous contrôle du
juge), ce qui est déjà bien vu le contexte.
Vous êtes un âne. Pour déposer une plainte au pénal, il suffit de choisir une
qualification pénale. On sera débouté, ce n'est pas la question. Si vous
accusez monsieur d'un trafic illégal expliquant la dissimulation, ses comptes
seront visités avec les moyens du juge d'instruction.
Bref, quand il y a civil et pénal sur un fait et sa réparation, le civil
attend. La loi de 2007 libère les /autres/ actions civiles (sous contrôle du
juge), ce qui est déjà bien vu le contexte.
Vous êtes un âne. Pour déposer une plainte au pénal, il suffit de choisir une
qualification pénale. On sera débouté, ce n'est pas la question. Si vous
accusez monsieur d'un trafic illégal expliquant la dissimulation, ses comptes
seront visités avec les moyens du juge d'instruction.
Un viol relève du pénal. A moins qu'il n'y ait prescription, ce qui n'est
pas
le cas, si un préjudice est reconnu au civil, ça veut dire que le crime est
reconnu au pénal, donc condamné, alors qu'il ne l'a pas été. Donc le
préjudice
allégué n'est pas le viol, grivèlerie peut-être.
Un viol relève du pénal. A moins qu'il n'y ait prescription, ce qui n'est
pas
le cas, si un préjudice est reconnu au civil, ça veut dire que le crime est
reconnu au pénal, donc condamné, alors qu'il ne l'a pas été. Donc le
préjudice
allégué n'est pas le viol, grivèlerie peut-être.
Un viol relève du pénal. A moins qu'il n'y ait prescription, ce qui n'est
pas
le cas, si un préjudice est reconnu au civil, ça veut dire que le crime est
reconnu au pénal, donc condamné, alors qu'il ne l'a pas été. Donc le
préjudice
allégué n'est pas le viol, grivèlerie peut-être.
Le 11/12/2012, Dominique a supposé :
>> Eh bien en France sauf exceptions que je ne vois pas mais que moisse a
>> l'air de voir, le civil doit suivre le pénal.
>
> Pensez à ceux qui ont commis un meurtre en état de démence au moment des
> faits : pas de condamnation pénale mais des DI au civil.
Bien vu ! Meurtre ou tout autre infraction dommageable dont on ne peut
condamner l'auteur dément ou incapable.
Le gamin de 8 ans qui joue avec des allumettes, met le feu chez les
voisins et grille un quidam. Les parents sont bons pour le 1384.
>> Au civil vous n'aurez
>> jamais une fadette à l'appui de votre dossier.
>
> Heu? Pourquoi pas?
Pensez-vous au cas où une fadette permettait d'établir une culpabilité
justifiant le dédommagement de la partie civile ?
Sinon, obtenir une fadette exige normalement une CR, levant le secret
des communications privées, donc une instruction en cours.
Et extraire une fadette d'un autre dossier, ou se la procurer par des
voies inavouables => preuve déloyale en principe irrecevable au civil.
Le 11/12/2012, Dominique a supposé :
>> Eh bien en France sauf exceptions que je ne vois pas mais que moisse a
>> l'air de voir, le civil doit suivre le pénal.
>
> Pensez à ceux qui ont commis un meurtre en état de démence au moment des
> faits : pas de condamnation pénale mais des DI au civil.
Bien vu ! Meurtre ou tout autre infraction dommageable dont on ne peut
condamner l'auteur dément ou incapable.
Le gamin de 8 ans qui joue avec des allumettes, met le feu chez les
voisins et grille un quidam. Les parents sont bons pour le 1384.
>> Au civil vous n'aurez
>> jamais une fadette à l'appui de votre dossier.
>
> Heu? Pourquoi pas?
Pensez-vous au cas où une fadette permettait d'établir une culpabilité
justifiant le dédommagement de la partie civile ?
Sinon, obtenir une fadette exige normalement une CR, levant le secret
des communications privées, donc une instruction en cours.
Et extraire une fadette d'un autre dossier, ou se la procurer par des
voies inavouables => preuve déloyale en principe irrecevable au civil.
Le 11/12/2012, Dominique a supposé :
>> Eh bien en France sauf exceptions que je ne vois pas mais que moisse a
>> l'air de voir, le civil doit suivre le pénal.
>
> Pensez à ceux qui ont commis un meurtre en état de démence au moment des
> faits : pas de condamnation pénale mais des DI au civil.
Bien vu ! Meurtre ou tout autre infraction dommageable dont on ne peut
condamner l'auteur dément ou incapable.
Le gamin de 8 ans qui joue avec des allumettes, met le feu chez les
voisins et grille un quidam. Les parents sont bons pour le 1384.
>> Au civil vous n'aurez
>> jamais une fadette à l'appui de votre dossier.
>
> Heu? Pourquoi pas?
Pensez-vous au cas où une fadette permettait d'établir une culpabilité
justifiant le dédommagement de la partie civile ?
Sinon, obtenir une fadette exige normalement une CR, levant le secret
des communications privées, donc une instruction en cours.
Et extraire une fadette d'un autre dossier, ou se la procurer par des
voies inavouables => preuve déloyale en principe irrecevable au civil.
Le 11/12/2012 16:28, Dominique a écrit :
> jr wrote:
>
>> Le 11/12/2012 12:42, Djeel a écrit :
>> Eh bien en France sauf exceptions que je ne vois pas mais que moisse a
>> l'air de voir, le civil doit suivre le pénal.
>
> Pensez à ceux qui ont commis un meurtre en état de démence au moment des
> faits : pas de condamnation pénale mais des DI au civil.
En état de démence, il n'y a pas de pénal à suivre.
>> C'est d'ailleurs souvent
>> instrumentalisé, malheureusement: transformer une affaire civile en
>> affaire pénale en déposant une plainte avec CPC change d'un seul coup la
>> nature des investigations possibles (instruction avec tout ce que ça
>> comporte), indépendamment de l'aspect dilatoire.
>
> Instrumentalisé? Pas forcément.
> Prenez la diffamation, par exemple,
Oh, ça alors! Quel exemple surprenant.
>> Même si parfois les jurys
>> civils jouent à faire des "punitive damages".
>
> C'est comme au tirage du loto : les jurés américains se mettent à la
> place de l'heureux veinard qui va tirer le gros lot en faisant condamner
> le riche milliardaire à indemniser son ongle incarné..
Non, vraiment je ne crois pas. Il s'agit d'éviter la récidive quand le
jury a l'impression que les dommages normaux ne sont pas dissuasifs et
que le condamné a intérêt à recommencer.
Par exemple l'action abusive
d'une assurance qui ne veut pas rembourser. Le dommage particulier peut
être suffisamment faible pour que la condamnation n'enlève rien à la
rentabilité d'une politique de mauvaise foi délibérée. Mais se prendre
10M$ sur le remboursement d'une épave, ça fait réfléchir.
Le 11/12/2012 16:28, Dominique a écrit :
> jr <jqs@froc.net> wrote:
>
>> Le 11/12/2012 12:42, Djeel a écrit :
>> Eh bien en France sauf exceptions que je ne vois pas mais que moisse a
>> l'air de voir, le civil doit suivre le pénal.
>
> Pensez à ceux qui ont commis un meurtre en état de démence au moment des
> faits : pas de condamnation pénale mais des DI au civil.
En état de démence, il n'y a pas de pénal à suivre.
>> C'est d'ailleurs souvent
>> instrumentalisé, malheureusement: transformer une affaire civile en
>> affaire pénale en déposant une plainte avec CPC change d'un seul coup la
>> nature des investigations possibles (instruction avec tout ce que ça
>> comporte), indépendamment de l'aspect dilatoire.
>
> Instrumentalisé? Pas forcément.
> Prenez la diffamation, par exemple,
Oh, ça alors! Quel exemple surprenant.
>> Même si parfois les jurys
>> civils jouent à faire des "punitive damages".
>
> C'est comme au tirage du loto : les jurés américains se mettent à la
> place de l'heureux veinard qui va tirer le gros lot en faisant condamner
> le riche milliardaire à indemniser son ongle incarné..
Non, vraiment je ne crois pas. Il s'agit d'éviter la récidive quand le
jury a l'impression que les dommages normaux ne sont pas dissuasifs et
que le condamné a intérêt à recommencer.
Par exemple l'action abusive
d'une assurance qui ne veut pas rembourser. Le dommage particulier peut
être suffisamment faible pour que la condamnation n'enlève rien à la
rentabilité d'une politique de mauvaise foi délibérée. Mais se prendre
10M$ sur le remboursement d'une épave, ça fait réfléchir.
Le 11/12/2012 16:28, Dominique a écrit :
> jr wrote:
>
>> Le 11/12/2012 12:42, Djeel a écrit :
>> Eh bien en France sauf exceptions que je ne vois pas mais que moisse a
>> l'air de voir, le civil doit suivre le pénal.
>
> Pensez à ceux qui ont commis un meurtre en état de démence au moment des
> faits : pas de condamnation pénale mais des DI au civil.
En état de démence, il n'y a pas de pénal à suivre.
>> C'est d'ailleurs souvent
>> instrumentalisé, malheureusement: transformer une affaire civile en
>> affaire pénale en déposant une plainte avec CPC change d'un seul coup la
>> nature des investigations possibles (instruction avec tout ce que ça
>> comporte), indépendamment de l'aspect dilatoire.
>
> Instrumentalisé? Pas forcément.
> Prenez la diffamation, par exemple,
Oh, ça alors! Quel exemple surprenant.
>> Même si parfois les jurys
>> civils jouent à faire des "punitive damages".
>
> C'est comme au tirage du loto : les jurés américains se mettent à la
> place de l'heureux veinard qui va tirer le gros lot en faisant condamner
> le riche milliardaire à indemniser son ongle incarné..
Non, vraiment je ne crois pas. Il s'agit d'éviter la récidive quand le
jury a l'impression que les dommages normaux ne sont pas dissuasifs et
que le condamné a intérêt à recommencer.
Par exemple l'action abusive
d'une assurance qui ne veut pas rembourser. Le dommage particulier peut
être suffisamment faible pour que la condamnation n'enlève rien à la
rentabilité d'une politique de mauvaise foi délibérée. Mais se prendre
10M$ sur le remboursement d'une épave, ça fait réfléchir.
jr wrote:Le 11/12/2012 16:28, Dominique a écrit :jr wrote:Le 11/12/2012 12:42, Djeel a écrit :
(...)Eh bien en France sauf exceptions que je ne vois pas mais que moisse a
l'air de voir, le civil doit suivre le pénal.
Pensez à ceux qui ont commis un meurtre en état de démence au moment des
faits : pas de condamnation pénale mais des DI au civil.
En état de démence, il n'y a pas de pénal à suivre.
Il y a toujours une enquête par un juge d'instruction,
jr <jqs@froc.net> wrote:
Le 11/12/2012 16:28, Dominique a écrit :
jr <jqs@froc.net> wrote:
Le 11/12/2012 12:42, Djeel a écrit :
(...)
Eh bien en France sauf exceptions que je ne vois pas mais que moisse a
l'air de voir, le civil doit suivre le pénal.
Pensez à ceux qui ont commis un meurtre en état de démence au moment des
faits : pas de condamnation pénale mais des DI au civil.
En état de démence, il n'y a pas de pénal à suivre.
Il y a toujours une enquête par un juge d'instruction,
jr wrote:Le 11/12/2012 16:28, Dominique a écrit :jr wrote:Le 11/12/2012 12:42, Djeel a écrit :
(...)Eh bien en France sauf exceptions que je ne vois pas mais que moisse a
l'air de voir, le civil doit suivre le pénal.
Pensez à ceux qui ont commis un meurtre en état de démence au moment des
faits : pas de condamnation pénale mais des DI au civil.
En état de démence, il n'y a pas de pénal à suivre.
Il y a toujours une enquête par un juge d'instruction,
Cela dit le civil doit suivre
Cela dit le civil doit suivre
Cela dit le civil doit suivre
Tsss. L'opérateur téléphonique, c'est comme la Banque.
Quand vous êtes le client, vous pouvez obtenir vos propres relevés
téléphoniques pour apporter une preuve au plan civil.
Par exemple, pour dégager votre responsabilité civile dans un événement
vous pouvez avoir à prouver que vous n'étiez pas au téléphone, tel jour
à une heure précise, ou, au contraire, que vous étiez en train d'appeler
quelqu'un qui nie l'avoir été...
Tsss. L'opérateur téléphonique, c'est comme la Banque.
Quand vous êtes le client, vous pouvez obtenir vos propres relevés
téléphoniques pour apporter une preuve au plan civil.
Par exemple, pour dégager votre responsabilité civile dans un événement
vous pouvez avoir à prouver que vous n'étiez pas au téléphone, tel jour
à une heure précise, ou, au contraire, que vous étiez en train d'appeler
quelqu'un qui nie l'avoir été...
Tsss. L'opérateur téléphonique, c'est comme la Banque.
Quand vous êtes le client, vous pouvez obtenir vos propres relevés
téléphoniques pour apporter une preuve au plan civil.
Par exemple, pour dégager votre responsabilité civile dans un événement
vous pouvez avoir à prouver que vous n'étiez pas au téléphone, tel jour
à une heure précise, ou, au contraire, que vous étiez en train d'appeler
quelqu'un qui nie l'avoir été...
Dominique a présenté l'énoncé suivant :
> Tsss. L'opérateur téléphonique, c'est comme la Banque.
> Quand vous êtes le client, vous pouvez obtenir vos propres relevés
> téléphoniques pour apporter une preuve au plan civil.
> Par exemple, pour dégager votre responsabilité civile dans un événement
> vous pouvez avoir à prouver que vous n'étiez pas au téléphone, tel jour
> à une heure précise, ou, au contraire, que vous étiez en train d'appeler
> quelqu'un qui nie l'avoir été...
Prouver que tel jour, de telle heure à telle heure, votre téléphone n'a
pas servi, ou que vous n'avez pas appelé tel numéro d'accord.
Par contre je me demande quelle serait la force probante des fadettes
pour mettre en cause un tiers dans le cadre d'une procédure civile,
ou même commerciale malgré la liberté de preuves ?
Dominique a présenté l'énoncé suivant :
> Tsss. L'opérateur téléphonique, c'est comme la Banque.
> Quand vous êtes le client, vous pouvez obtenir vos propres relevés
> téléphoniques pour apporter une preuve au plan civil.
> Par exemple, pour dégager votre responsabilité civile dans un événement
> vous pouvez avoir à prouver que vous n'étiez pas au téléphone, tel jour
> à une heure précise, ou, au contraire, que vous étiez en train d'appeler
> quelqu'un qui nie l'avoir été...
Prouver que tel jour, de telle heure à telle heure, votre téléphone n'a
pas servi, ou que vous n'avez pas appelé tel numéro d'accord.
Par contre je me demande quelle serait la force probante des fadettes
pour mettre en cause un tiers dans le cadre d'une procédure civile,
ou même commerciale malgré la liberté de preuves ?
Dominique a présenté l'énoncé suivant :
> Tsss. L'opérateur téléphonique, c'est comme la Banque.
> Quand vous êtes le client, vous pouvez obtenir vos propres relevés
> téléphoniques pour apporter une preuve au plan civil.
> Par exemple, pour dégager votre responsabilité civile dans un événement
> vous pouvez avoir à prouver que vous n'étiez pas au téléphone, tel jour
> à une heure précise, ou, au contraire, que vous étiez en train d'appeler
> quelqu'un qui nie l'avoir été...
Prouver que tel jour, de telle heure à telle heure, votre téléphone n'a
pas servi, ou que vous n'avez pas appelé tel numéro d'accord.
Par contre je me demande quelle serait la force probante des fadettes
pour mettre en cause un tiers dans le cadre d'une procédure civile,
ou même commerciale malgré la liberté de preuves ?
Bon, je vais vous donner un cas précis :
A se fait percuter son véhicule et soutient qu'il n'a commis aucune
faute de conduite.
Son adversaire, B, prétend que A a commis une faute en freinant sans
raison parce qu'il était au téléphone au moment de l'accident.
Pas de témoin donc parole contre parole.
A obtient de son opérateur téléphonique la preuve qu'il n'était pas en
train de téléphoner ce jour-là, à cette heure là.
Bon, je vais vous donner un cas précis :
A se fait percuter son véhicule et soutient qu'il n'a commis aucune
faute de conduite.
Son adversaire, B, prétend que A a commis une faute en freinant sans
raison parce qu'il était au téléphone au moment de l'accident.
Pas de témoin donc parole contre parole.
A obtient de son opérateur téléphonique la preuve qu'il n'était pas en
train de téléphoner ce jour-là, à cette heure là.
Bon, je vais vous donner un cas précis :
A se fait percuter son véhicule et soutient qu'il n'a commis aucune
faute de conduite.
Son adversaire, B, prétend que A a commis une faute en freinant sans
raison parce qu'il était au téléphone au moment de l'accident.
Pas de témoin donc parole contre parole.
A obtient de son opérateur téléphonique la preuve qu'il n'était pas en
train de téléphoner ce jour-là, à cette heure là.
Bon, je vais vous donner un cas précis :
A se fait percuter son véhicule et soutient qu'il n'a commis aucune
faute de conduite.
Son adversaire, B, prétend que A a commis une faute en freinant sans
raison parce qu'il était au téléphone au moment de l'accident.
Pas de témoin donc parole contre parole.
A obtient de son opérateur téléphonique la preuve qu'il n'était pas en
train de téléphoner ce jour-là, à cette heure là.
B l'a dans l'os et se prend 100% des torts.
Bon, je vais vous donner un cas précis :
A se fait percuter son véhicule et soutient qu'il n'a commis aucune
faute de conduite.
Son adversaire, B, prétend que A a commis une faute en freinant sans
raison parce qu'il était au téléphone au moment de l'accident.
Pas de témoin donc parole contre parole.
A obtient de son opérateur téléphonique la preuve qu'il n'était pas en
train de téléphoner ce jour-là, à cette heure là.
B l'a dans l'os et se prend 100% des torts.
Bon, je vais vous donner un cas précis :
A se fait percuter son véhicule et soutient qu'il n'a commis aucune
faute de conduite.
Son adversaire, B, prétend que A a commis une faute en freinant sans
raison parce qu'il était au téléphone au moment de l'accident.
Pas de témoin donc parole contre parole.
A obtient de son opérateur téléphonique la preuve qu'il n'était pas en
train de téléphoner ce jour-là, à cette heure là.
B l'a dans l'os et se prend 100% des torts.