le procédé de cryptage par translitération des lettres d'un mot
est-il envisageable dans l'antiquité ?
exemple : latin
.NVTRI. ETIAM. RESPONSA. FERVNTVR
le procédé de cryptage par translitération des lettres d'un mot
est-il envisageable dans l'antiquité ?
exemple : latin
.NVTRI. ETIAM. RESPONSA. FERVNTVR
le procédé de cryptage par translitération des lettres d'un mot
est-il envisageable dans l'antiquité ?
exemple : latin
.NVTRI. ETIAM. RESPONSA. FERVNTVR
Puisqu'on peut, je vais en poser une.
Cela ne concerne pas directement la cryptographie de l'antiquité, mais
ça s'y rattache. Entre 1877 et 1890 un érudit du nom de Grasset
D'Orcet a publié dans la Revue Britannique de nombreux articles
relatifs à une méthode de cryptographie consistant en la
dissimulation, dans des textes ordinaires, de vers octosyllabiques à
rimes en L. Ces vers extraits du texte en donnent le véritable sens.
Rimes en L ne se comprend pas au sens poétique du terme mais plutôt
par: présence de la lettre L dans la dernière syllabe.
Voici maintenant la question:
Connaissez vous ce système de cryptographie ? Y a-t-il sur ce forum
quelqu'un qui connaisse d'autres textes ou ouvrages expliquant ou
évoquant ce système de cryptographie ? Ou même, y a-t-il, sur ce
forum, quelqu'un qui l'ai déjà manipulé pour étudier des textes, tels
que les ouvrages de Rabelais ou autres ?
Puisqu'on peut, je vais en poser une.
Cela ne concerne pas directement la cryptographie de l'antiquité, mais
ça s'y rattache. Entre 1877 et 1890 un érudit du nom de Grasset
D'Orcet a publié dans la Revue Britannique de nombreux articles
relatifs à une méthode de cryptographie consistant en la
dissimulation, dans des textes ordinaires, de vers octosyllabiques à
rimes en L. Ces vers extraits du texte en donnent le véritable sens.
Rimes en L ne se comprend pas au sens poétique du terme mais plutôt
par: présence de la lettre L dans la dernière syllabe.
Voici maintenant la question:
Connaissez vous ce système de cryptographie ? Y a-t-il sur ce forum
quelqu'un qui connaisse d'autres textes ou ouvrages expliquant ou
évoquant ce système de cryptographie ? Ou même, y a-t-il, sur ce
forum, quelqu'un qui l'ai déjà manipulé pour étudier des textes, tels
que les ouvrages de Rabelais ou autres ?
Puisqu'on peut, je vais en poser une.
Cela ne concerne pas directement la cryptographie de l'antiquité, mais
ça s'y rattache. Entre 1877 et 1890 un érudit du nom de Grasset
D'Orcet a publié dans la Revue Britannique de nombreux articles
relatifs à une méthode de cryptographie consistant en la
dissimulation, dans des textes ordinaires, de vers octosyllabiques à
rimes en L. Ces vers extraits du texte en donnent le véritable sens.
Rimes en L ne se comprend pas au sens poétique du terme mais plutôt
par: présence de la lettre L dans la dernière syllabe.
Voici maintenant la question:
Connaissez vous ce système de cryptographie ? Y a-t-il sur ce forum
quelqu'un qui connaisse d'autres textes ou ouvrages expliquant ou
évoquant ce système de cryptographie ? Ou même, y a-t-il, sur ce
forum, quelqu'un qui l'ai déjà manipulé pour étudier des textes, tels
que les ouvrages de Rabelais ou autres ?
le procédé de cryptage par translitération des lettres d'un mot
est-il envisageable dans l'antiquité ?
exemple : latin
.NVTRI. ETIAM. RESPONSA. FERVNTVR
développe les oracles annoncés.
En utilisant le dict des racines hébraîques la translitération
donnerait:
Synthèse :
La propagation du son, ordonne et menace la matière,
très exactement:
NV, VT, TR, RI...: la propagation du cri, purifie ordonne, dégage
et menace le rejaillissement de la matrice. La cassure se fait dans
un murmure et achève la conversion dans une agitation, vacillation
qui enveloppe.
le procédé de cryptage par translitération des lettres d'un mot
est-il envisageable dans l'antiquité ?
exemple : latin
.NVTRI. ETIAM. RESPONSA. FERVNTVR
développe les oracles annoncés.
En utilisant le dict des racines hébraîques la translitération
donnerait:
Synthèse :
La propagation du son, ordonne et menace la matière,
très exactement:
NV, VT, TR, RI...: la propagation du cri, purifie ordonne, dégage
et menace le rejaillissement de la matrice. La cassure se fait dans
un murmure et achève la conversion dans une agitation, vacillation
qui enveloppe.
le procédé de cryptage par translitération des lettres d'un mot
est-il envisageable dans l'antiquité ?
exemple : latin
.NVTRI. ETIAM. RESPONSA. FERVNTVR
développe les oracles annoncés.
En utilisant le dict des racines hébraîques la translitération
donnerait:
Synthèse :
La propagation du son, ordonne et menace la matière,
très exactement:
NV, VT, TR, RI...: la propagation du cri, purifie ordonne, dégage
et menace le rejaillissement de la matrice. La cassure se fait dans
un murmure et achève la conversion dans une agitation, vacillation
qui enveloppe.
le procédé de cryptage par translitération des lettres d'un mot
est-il envisageable dans l'antiquité ?
exemple : latin
.NVTRI. ETIAM. RESPONSA. FERVNTVR
Sympa cette phrase ;-)
Dans l'antiquité je ne sais pas, mais ça semble s'être fait du latin vers
le français. Enfin là je ne sais pas si on peut vraiment parler de
translitération d'ailleurs.
--
Alain
le procédé de cryptage par translitération des lettres d'un mot
est-il envisageable dans l'antiquité ?
exemple : latin
.NVTRI. ETIAM. RESPONSA. FERVNTVR
Sympa cette phrase ;-)
Dans l'antiquité je ne sais pas, mais ça semble s'être fait du latin vers
le français. Enfin là je ne sais pas si on peut vraiment parler de
translitération d'ailleurs.
--
Alain
le procédé de cryptage par translitération des lettres d'un mot
est-il envisageable dans l'antiquité ?
exemple : latin
.NVTRI. ETIAM. RESPONSA. FERVNTVR
Sympa cette phrase ;-)
Dans l'antiquité je ne sais pas, mais ça semble s'être fait du latin vers
le français. Enfin là je ne sais pas si on peut vraiment parler de
translitération d'ailleurs.
--
Alain
jpm wrote:le procédé de cryptage par translitération des lettres d'un mot
est-il envisageable dans l'antiquité ?
exemple : latin
.NVTRI. ETIAM. RESPONSA. FERVNTVR
développe les oracles annoncés.
En utilisant le dict des racines hébraîques la translitération
donnerait:
Synthèse :
La propagation du son, ordonne et menace la matière,
très exactement:
NV, VT, TR, RI...: la propagation du cri, purifie ordonne, dégage
et menace le rejaillissement de la matrice. La cassure se fait dans
un murmure et achève la conversion dans une agitation, vacillation
qui enveloppe.
Exactement ce dont je parle plus bas. On peut faire dire/signifier tout et
n'importe quoi à n'importe qui/quoi, on ne trouve que ce qu'on veut bien
chercher ! Il y aura des cas où ce sera vraisemblable, mais alors, il faut
avoir l'assurance que l'auteur l'a bien voulu ainsi, des preuves
irréfutables de la volonté du procédé et, surtout, une preuve sur la
longueur. Trouver UNE phrase symbolique dissimulée dans 1.500 pages n'a
aucun sens. Cela en aurait un autre s'il y avait une phrase symbolique par
page, pendant 1.500 pages et que ces phrases soient logiquement reliées
entre elles bien sûr. Et il y aura donc des cas où c'est pure
élucubration. Ce dernier cas étant, malheureusement, celui de tous les
siphonés qui trouvent n'importe quoi dans la Bible ou Nostradamus. Le
disque de phaistos est assez comique également. Des centaines
d'interprétations, toutes le plus possible éloignées les unes des autres !
Alors oui, c'est envisageable. Mais il faut des preuves irréfutables,
d'abord que ce fut la volonté de l'auteur, ensuite que le cryptogramme ait
une signification et une logique. Si dans mes écrits tu devines
l'avénement de JC, ce serait n'importe qui, étant né presque 2.000 ans
après lui, tu comprends bien que ce serait ridicule...
--
Arnold McDonald (AMcD)
http://arnold.mcdonald.free.fr/
de JC, ce serait n'importe qui, étant né presque 2.000 ans après lui, tu
comprends bien que ce serait ridicule
jpm wrote:
le procédé de cryptage par translitération des lettres d'un mot
est-il envisageable dans l'antiquité ?
exemple : latin
.NVTRI. ETIAM. RESPONSA. FERVNTVR
développe les oracles annoncés.
En utilisant le dict des racines hébraîques la translitération
donnerait:
Synthèse :
La propagation du son, ordonne et menace la matière,
très exactement:
NV, VT, TR, RI...: la propagation du cri, purifie ordonne, dégage
et menace le rejaillissement de la matrice. La cassure se fait dans
un murmure et achève la conversion dans une agitation, vacillation
qui enveloppe.
Exactement ce dont je parle plus bas. On peut faire dire/signifier tout et
n'importe quoi à n'importe qui/quoi, on ne trouve que ce qu'on veut bien
chercher ! Il y aura des cas où ce sera vraisemblable, mais alors, il faut
avoir l'assurance que l'auteur l'a bien voulu ainsi, des preuves
irréfutables de la volonté du procédé et, surtout, une preuve sur la
longueur. Trouver UNE phrase symbolique dissimulée dans 1.500 pages n'a
aucun sens. Cela en aurait un autre s'il y avait une phrase symbolique par
page, pendant 1.500 pages et que ces phrases soient logiquement reliées
entre elles bien sûr. Et il y aura donc des cas où c'est pure
élucubration. Ce dernier cas étant, malheureusement, celui de tous les
siphonés qui trouvent n'importe quoi dans la Bible ou Nostradamus. Le
disque de phaistos est assez comique également. Des centaines
d'interprétations, toutes le plus possible éloignées les unes des autres !
Alors oui, c'est envisageable. Mais il faut des preuves irréfutables,
d'abord que ce fut la volonté de l'auteur, ensuite que le cryptogramme ait
une signification et une logique. Si dans mes écrits tu devines
l'avénement de JC, ce serait n'importe qui, étant né presque 2.000 ans
après lui, tu comprends bien que ce serait ridicule...
--
Arnold McDonald (AMcD)
http://arnold.mcdonald.free.fr/
de JC, ce serait n'importe qui, étant né presque 2.000 ans après lui, tu
comprends bien que ce serait ridicule
jpm wrote:le procédé de cryptage par translitération des lettres d'un mot
est-il envisageable dans l'antiquité ?
exemple : latin
.NVTRI. ETIAM. RESPONSA. FERVNTVR
développe les oracles annoncés.
En utilisant le dict des racines hébraîques la translitération
donnerait:
Synthèse :
La propagation du son, ordonne et menace la matière,
très exactement:
NV, VT, TR, RI...: la propagation du cri, purifie ordonne, dégage
et menace le rejaillissement de la matrice. La cassure se fait dans
un murmure et achève la conversion dans une agitation, vacillation
qui enveloppe.
Exactement ce dont je parle plus bas. On peut faire dire/signifier tout et
n'importe quoi à n'importe qui/quoi, on ne trouve que ce qu'on veut bien
chercher ! Il y aura des cas où ce sera vraisemblable, mais alors, il faut
avoir l'assurance que l'auteur l'a bien voulu ainsi, des preuves
irréfutables de la volonté du procédé et, surtout, une preuve sur la
longueur. Trouver UNE phrase symbolique dissimulée dans 1.500 pages n'a
aucun sens. Cela en aurait un autre s'il y avait une phrase symbolique par
page, pendant 1.500 pages et que ces phrases soient logiquement reliées
entre elles bien sûr. Et il y aura donc des cas où c'est pure
élucubration. Ce dernier cas étant, malheureusement, celui de tous les
siphonés qui trouvent n'importe quoi dans la Bible ou Nostradamus. Le
disque de phaistos est assez comique également. Des centaines
d'interprétations, toutes le plus possible éloignées les unes des autres !
Alors oui, c'est envisageable. Mais il faut des preuves irréfutables,
d'abord que ce fut la volonté de l'auteur, ensuite que le cryptogramme ait
une signification et une logique. Si dans mes écrits tu devines
l'avénement de JC, ce serait n'importe qui, étant né presque 2.000 ans
après lui, tu comprends bien que ce serait ridicule...
--
Arnold McDonald (AMcD)
http://arnold.mcdonald.free.fr/
de JC, ce serait n'importe qui, étant né presque 2.000 ans après lui, tu
comprends bien que ce serait ridicule
Pour ce qui est de mon interprétation, je suis dans les traces de
Bacon, qui au 13ème siècle
Pour ce qui est de mon interprétation, je suis dans les traces de
Bacon, qui au 13ème siècle
Pour ce qui est de mon interprétation, je suis dans les traces de
Bacon, qui au 13ème siècle
jpm wrote:le procédé de cryptage par translitération des lettres d'un mot
est-il envisageable dans l'antiquité ?
exemple : latin
.NVTRI. ETIAM. RESPONSA. FERVNTVR
développe les oracles annoncés.
En utilisant le dict des racines hébraîques la translitération
donnerait:
Synthèse :
La propagation du son, ordonne et menace la matière,
très exactement:
NV, VT, TR, RI...: la propagation du cri, purifie ordonne, dégage
et menace le rejaillissement de la matrice. La cassure se fait dans
un murmure et achève la conversion dans une agitation, vacillation
qui enveloppe.
Exactement ce dont je parle plus bas. On peut faire dire/signifier tout et
n'importe quoi à n'importe qui/quoi, on ne trouve que ce qu'on veut bien
chercher ! Il y aura des cas où ce sera vraisemblable, mais alors, il f aut
avoir l'assurance que l'auteur l'a bien voulu ainsi, des preuves
irréfutables de la volonté du procédé et, surtout, une preuve sur la
longueur. Trouver UNE phrase symbolique dissimulée dans 1.500 pages n'a
aucun sens. Cela en aurait un autre s'il y avait une phrase symbolique par
page, pendant 1.500 pages et que ces phrases soient logiquement reliées
entre elles bien sûr. Et il y aura donc des cas où c'est pure élucu bration.
Ce dernier cas étant, malheureusement, celui de tous les siphonés qui
trouvent n'importe quoi dans la Bible ou Nostradamus. Le disque de phaist os
est assez comique également. Des centaines d'interprétations, toutes le plus
possible éloignées les unes des autres !
jpm wrote:
le procédé de cryptage par translitération des lettres d'un mot
est-il envisageable dans l'antiquité ?
exemple : latin
.NVTRI. ETIAM. RESPONSA. FERVNTVR
développe les oracles annoncés.
En utilisant le dict des racines hébraîques la translitération
donnerait:
Synthèse :
La propagation du son, ordonne et menace la matière,
très exactement:
NV, VT, TR, RI...: la propagation du cri, purifie ordonne, dégage
et menace le rejaillissement de la matrice. La cassure se fait dans
un murmure et achève la conversion dans une agitation, vacillation
qui enveloppe.
Exactement ce dont je parle plus bas. On peut faire dire/signifier tout et
n'importe quoi à n'importe qui/quoi, on ne trouve que ce qu'on veut bien
chercher ! Il y aura des cas où ce sera vraisemblable, mais alors, il f aut
avoir l'assurance que l'auteur l'a bien voulu ainsi, des preuves
irréfutables de la volonté du procédé et, surtout, une preuve sur la
longueur. Trouver UNE phrase symbolique dissimulée dans 1.500 pages n'a
aucun sens. Cela en aurait un autre s'il y avait une phrase symbolique par
page, pendant 1.500 pages et que ces phrases soient logiquement reliées
entre elles bien sûr. Et il y aura donc des cas où c'est pure élucu bration.
Ce dernier cas étant, malheureusement, celui de tous les siphonés qui
trouvent n'importe quoi dans la Bible ou Nostradamus. Le disque de phaist os
est assez comique également. Des centaines d'interprétations, toutes le plus
possible éloignées les unes des autres !
jpm wrote:le procédé de cryptage par translitération des lettres d'un mot
est-il envisageable dans l'antiquité ?
exemple : latin
.NVTRI. ETIAM. RESPONSA. FERVNTVR
développe les oracles annoncés.
En utilisant le dict des racines hébraîques la translitération
donnerait:
Synthèse :
La propagation du son, ordonne et menace la matière,
très exactement:
NV, VT, TR, RI...: la propagation du cri, purifie ordonne, dégage
et menace le rejaillissement de la matrice. La cassure se fait dans
un murmure et achève la conversion dans une agitation, vacillation
qui enveloppe.
Exactement ce dont je parle plus bas. On peut faire dire/signifier tout et
n'importe quoi à n'importe qui/quoi, on ne trouve que ce qu'on veut bien
chercher ! Il y aura des cas où ce sera vraisemblable, mais alors, il f aut
avoir l'assurance que l'auteur l'a bien voulu ainsi, des preuves
irréfutables de la volonté du procédé et, surtout, une preuve sur la
longueur. Trouver UNE phrase symbolique dissimulée dans 1.500 pages n'a
aucun sens. Cela en aurait un autre s'il y avait une phrase symbolique par
page, pendant 1.500 pages et que ces phrases soient logiquement reliées
entre elles bien sûr. Et il y aura donc des cas où c'est pure élucu bration.
Ce dernier cas étant, malheureusement, celui de tous les siphonés qui
trouvent n'importe quoi dans la Bible ou Nostradamus. Le disque de phaist os
est assez comique également. Des centaines d'interprétations, toutes le plus
possible éloignées les unes des autres !
translitération: lettre à lettre ,non?
translitération: lettre à lettre ,non?
translitération: lettre à lettre ,non?
jpm wrote:Pour ce qui est de mon interprétation, je suis dans les traces de
Bacon, qui au 13ème siècle
Francis Bacon est né en 1561. Il aurait eu du mal à effectuer des travaux
au 13e siècle.
--
Arnold McDonald (AMcD)
http://arnold.mcdonald.free.fr/
jpm wrote:
Pour ce qui est de mon interprétation, je suis dans les traces de
Bacon, qui au 13ème siècle
Francis Bacon est né en 1561. Il aurait eu du mal à effectuer des travaux
au 13e siècle.
--
Arnold McDonald (AMcD)
http://arnold.mcdonald.free.fr/
jpm wrote:Pour ce qui est de mon interprétation, je suis dans les traces de
Bacon, qui au 13ème siècle
Francis Bacon est né en 1561. Il aurait eu du mal à effectuer des travaux
au 13e siècle.
--
Arnold McDonald (AMcD)
http://arnold.mcdonald.free.fr/