J'ai publié hier sur frp la photo suivante dont j'étais très fier :
http://www.cjoint.com/14nv/DKErqV8IPh9_d7000_16164_dxo-002.jpg
En effet, quand on voit l'original, il y avait de quoi, non ?
http://www.cjoint.com/data/0LburnJV3A2_d7000_16164.jpg
Attention : 6MO
Il s'agit d'un geai des chênes qui, comme chacun sait, est assez
difficile à coincer.
Je l'ai donc pris sans avoir eu le temps de rien préparer et si la photo
est sombre, la tête est nette, ce qui est le principal.
Et comme on me reproche de partout et d'ailleurs de me limiter
scandaleusement à Picasa pour "améliorer" (sic) mes photos, j'ai décidé
de me lancer avec DxO 8 (gratuit) qui, j'en étais certain, allait me
faire rejoindre le peloton de tête des retoucheurs de céans.
Mais patatras, j'ai recueilli des commentaires un peu douteux sur, d'une
part le liseré blanc, que j'assume car il provient surtout d'une ultime
accentuation Picasesque (je n'ai pas pu m'en empêcher) et d'autre part
sur l'aspect comateux de la grosse branche floue du haut dont le flou
des bords est dédoublé. Ce défaut n'est pas présent sur l'original mais
est bien présent sur la photo DxO-isée.
Il semble bien que ce soit la fonction "Smart Lighting" de DxO,
peut-être utilisée avec un peu trop d'enthousiasme, qui en soit responsable.
C'est une page grand public, où «lossless» doit être compris comme «pas comprimé du tout». Pour ta gouverne, un fichier RAW n'enregistre qu'une seule des trois composantes RVB par pixel ; le EOS-1D ayant un capteur de 8,2 Mpx, on s'attendrait à un RAW d'un petit peu plus que 8,2 Mo (il faut aussi loger les métadonnées quelque part), alors que ce papier n'annonce que 7,9 Mo. Il y aurait donc une petite compression, mais ridicule par rapport à ce que pratique Nikon.
Non non. 1Mo = 1024^2 bits = 1048576 bits 8.2 Mpx font donc 8.2/1.048576 = 7.82 Mo Pile poil !
Très juste, j'oublie toujours. Merci
Charles
efji a écrit :
Le 10/12/2014 18:25, Charles Vassallo a écrit :
C'est une page grand public, où «lossless» doit être compris comme «pas
comprimé du tout». Pour ta gouverne, un fichier RAW n'enregistre qu'une
seule des trois composantes RVB par pixel ; le EOS-1D ayant un capteur
de 8,2 Mpx, on s'attendrait à un RAW d'un petit peu plus que 8,2 Mo (il
faut aussi loger les métadonnées quelque part), alors que ce papier
n'annonce que 7,9 Mo. Il y aurait donc une petite compression, mais
ridicule par rapport à ce que pratique Nikon.
Non non. 1Mo = 1024^2 bits = 1048576 bits
8.2 Mpx font donc 8.2/1.048576 = 7.82 Mo
Pile poil !
C'est une page grand public, où «lossless» doit être compris comme «pas comprimé du tout». Pour ta gouverne, un fichier RAW n'enregistre qu'une seule des trois composantes RVB par pixel ; le EOS-1D ayant un capteur de 8,2 Mpx, on s'attendrait à un RAW d'un petit peu plus que 8,2 Mo (il faut aussi loger les métadonnées quelque part), alors que ce papier n'annonce que 7,9 Mo. Il y aurait donc une petite compression, mais ridicule par rapport à ce que pratique Nikon.
Non non. 1Mo = 1024^2 bits = 1048576 bits 8.2 Mpx font donc 8.2/1.048576 = 7.82 Mo Pile poil !
Très juste, j'oublie toujours. Merci
Charles
benoit
GhostRaider wrote:
Et je me pose toujours la même question : à partir du moment où on travaille sur une image en 8 bits, comment peut-on en extraire des nuances que seuls le 12 ou le 14 bits permettraient de voir ?
Jette un ½il à l'image qui montre les zones cramées d'une jpeg et ce qu'on a avec un RAW brut. La zone où il n'y a plus rien est en rouge.
-- "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
GhostRaider <ghost-raider@compuserve.com> wrote:
Et je me pose toujours la même question : à partir du moment où on
travaille sur une image en 8 bits, comment peut-on en extraire des
nuances que seuls le 12 ou le 14 bits permettraient de voir ?
Jette un ½il à l'image qui montre les zones cramées d'une jpeg et ce
qu'on a avec un RAW brut. La zone où il n'y a plus rien est en rouge.
--
"La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La
pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi.
Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et
personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
Et je me pose toujours la même question : à partir du moment où on travaille sur une image en 8 bits, comment peut-on en extraire des nuances que seuls le 12 ou le 14 bits permettraient de voir ?
Jette un ½il à l'image qui montre les zones cramées d'une jpeg et ce qu'on a avec un RAW brut. La zone où il n'y a plus rien est en rouge.
-- "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
Charles Vassallo
Charles Vassallo a écrit :
efji a écrit :
Le 10/12/2014 18:25, Charles Vassallo a écrit :
C'est une page grand public, où «lossless» doit être compris comme «pas comprimé du tout». Pour ta gouverne, un fichier RAW n'enregistre qu'une seule des trois composantes RVB par pixel ; le EOS-1D ayant un capteur de 8,2 Mpx, on s'attendrait à un RAW d'un petit peu plus que 8,2 Mo (il faut aussi loger les métadonnées quelque part), alors que ce papier n'annonce que 7,9 Mo. Il y aurait donc une petite compression, mais ridicule par rapport à ce que pratique Nikon.
Non non. 1Mo = 1024^2 bits = 1048576 bits 8.2 Mpx font donc 8.2/1.048576 = 7.82 Mo Pile poil !
Très juste, j'oublie toujours. Merci
Réflexion faite, en 12 ou 14 bits, il faut 2 octets pour stocker une composante chromatique et il faudrait donc doubler la taille théorique du fichier. La compression revient...
charles
Charles Vassallo a écrit :
efji a écrit :
Le 10/12/2014 18:25, Charles Vassallo a écrit :
C'est une page grand public, où «lossless» doit être compris comme «pas
comprimé du tout». Pour ta gouverne, un fichier RAW n'enregistre qu'une
seule des trois composantes RVB par pixel ; le EOS-1D ayant un capteur
de 8,2 Mpx, on s'attendrait à un RAW d'un petit peu plus que 8,2 Mo (il
faut aussi loger les métadonnées quelque part), alors que ce papier
n'annonce que 7,9 Mo. Il y aurait donc une petite compression, mais
ridicule par rapport à ce que pratique Nikon.
Non non. 1Mo = 1024^2 bits = 1048576 bits
8.2 Mpx font donc 8.2/1.048576 = 7.82 Mo
Pile poil !
Très juste, j'oublie toujours.
Merci
Réflexion faite, en 12 ou 14 bits, il faut 2 octets pour stocker une
composante chromatique et il faudrait donc doubler la taille théorique
du fichier. La compression revient...
C'est une page grand public, où «lossless» doit être compris comme «pas comprimé du tout». Pour ta gouverne, un fichier RAW n'enregistre qu'une seule des trois composantes RVB par pixel ; le EOS-1D ayant un capteur de 8,2 Mpx, on s'attendrait à un RAW d'un petit peu plus que 8,2 Mo (il faut aussi loger les métadonnées quelque part), alors que ce papier n'annonce que 7,9 Mo. Il y aurait donc une petite compression, mais ridicule par rapport à ce que pratique Nikon.
Non non. 1Mo = 1024^2 bits = 1048576 bits 8.2 Mpx font donc 8.2/1.048576 = 7.82 Mo Pile poil !
Très juste, j'oublie toujours. Merci
Réflexion faite, en 12 ou 14 bits, il faut 2 octets pour stocker une composante chromatique et il faudrait donc doubler la taille théorique du fichier. La compression revient...
charles
Nul
Le mercredi 10 décembre 2014 18:42:02 UTC+1, Benoit a écrit :
GhostRaider wrote:
> Et je me pose toujours la même question : à partir du moment où o n > travaille sur une image en 8 bits, comment peut-on en extraire des > nuances que seuls le 12 ou le 14 bits permettraient de voir ?
Jette un oeil à l'image qui montre les zones cramées d'une jpeg e t ce qu'on a avec un RAW brut. La zone où il n'y a plus rien est en rouge.
faut arrêter de rêver, que ce soit en JPG ou RAW, quand c'est cramé c 'est cramé, le RAW n'y changera rien. LE RAW se justifie lorsqu'il y a du détail et que ce détail n'est pas a ccessible en JPG. Pour les "interpréteurs" de traitement de RAW, c'est pareil que les APN, il y en a qui donnerons une image plus chaude que d'autre, c'est à l'util isateur de choisir la couleurs(température) qui lui convient ou qu'il est ime être correcte, C'est le principe même du RAW, pouvoir modifier ce q ue l'on veux.
Le mercredi 10 décembre 2014 18:42:02 UTC+1, Benoit a écrit :
GhostRaider <ghost-raider@compuserve.com> wrote:
> Et je me pose toujours la même question : à partir du moment où o n
> travaille sur une image en 8 bits, comment peut-on en extraire des
> nuances que seuls le 12 ou le 14 bits permettraient de voir ?
Jette un oeil à l'image qui montre les zones cramées d'une jpeg e t ce
qu'on a avec un RAW brut. La zone où il n'y a plus rien est en rouge.
faut arrêter de rêver, que ce soit en JPG ou RAW, quand c'est cramé c 'est cramé, le RAW n'y changera rien.
LE RAW se justifie lorsqu'il y a du détail et que ce détail n'est pas a ccessible en JPG.
Pour les "interpréteurs" de traitement de RAW, c'est pareil que les APN, il y en a qui donnerons une image plus chaude que d'autre, c'est à l'util isateur de choisir la couleurs(température) qui lui convient ou qu'il est ime être correcte, C'est le principe même du RAW, pouvoir modifier ce q ue l'on veux.
Le mercredi 10 décembre 2014 18:42:02 UTC+1, Benoit a écrit :
GhostRaider wrote:
> Et je me pose toujours la même question : à partir du moment où o n > travaille sur une image en 8 bits, comment peut-on en extraire des > nuances que seuls le 12 ou le 14 bits permettraient de voir ?
Jette un oeil à l'image qui montre les zones cramées d'une jpeg e t ce qu'on a avec un RAW brut. La zone où il n'y a plus rien est en rouge.
faut arrêter de rêver, que ce soit en JPG ou RAW, quand c'est cramé c 'est cramé, le RAW n'y changera rien. LE RAW se justifie lorsqu'il y a du détail et que ce détail n'est pas a ccessible en JPG. Pour les "interpréteurs" de traitement de RAW, c'est pareil que les APN, il y en a qui donnerons une image plus chaude que d'autre, c'est à l'util isateur de choisir la couleurs(température) qui lui convient ou qu'il est ime être correcte, C'est le principe même du RAW, pouvoir modifier ce q ue l'on veux.
GhostRaider
Le 10/12/2014 18:52, Charles Vassallo a écrit :
Charles Vassallo a écrit :
efji a écrit :
Le 10/12/2014 18:25, Charles Vassallo a écrit :
C'est une page grand public, où «lossless» doit être compris comme «pas comprimé du tout». Pour ta gouverne, un fichier RAW n'enregistre qu'une seule des trois composantes RVB par pixel ; le EOS-1D ayant un capteur de 8,2 Mpx, on s'attendrait à un RAW d'un petit peu plus que 8,2 Mo (il faut aussi loger les métadonnées quelque part), alors que ce papier n'annonce que 7,9 Mo. Il y aurait donc une petite compression, mais ridicule par rapport à ce que pratique Nikon.
Non non. 1Mo = 1024^2 bits = 1048576 bits 8.2 Mpx font donc 8.2/1.048576 = 7.82 Mo Pile poil !
Très juste, j'oublie toujours. Merci
Réflexion faite, en 12 ou 14 bits, il faut 2 octets pour stocker une composante chromatique et il faudrait donc doubler la taille théorique du fichier. La compression revient...
N'est-ce pas ce que j'avais suggéré dans mon message de 16h55 ? En me trompant d'ailleurs, mais l'intention était bien là.
Le 10/12/2014 18:52, Charles Vassallo a écrit :
Charles Vassallo a écrit :
efji a écrit :
Le 10/12/2014 18:25, Charles Vassallo a écrit :
C'est une page grand public, où «lossless» doit être compris comme «pas
comprimé du tout». Pour ta gouverne, un fichier RAW n'enregistre qu'une
seule des trois composantes RVB par pixel ; le EOS-1D ayant un capteur
de 8,2 Mpx, on s'attendrait à un RAW d'un petit peu plus que 8,2 Mo (il
faut aussi loger les métadonnées quelque part), alors que ce papier
n'annonce que 7,9 Mo. Il y aurait donc une petite compression, mais
ridicule par rapport à ce que pratique Nikon.
Non non. 1Mo = 1024^2 bits = 1048576 bits
8.2 Mpx font donc 8.2/1.048576 = 7.82 Mo
Pile poil !
Très juste, j'oublie toujours.
Merci
Réflexion faite, en 12 ou 14 bits, il faut 2 octets pour stocker une
composante chromatique et il faudrait donc doubler la taille théorique
du fichier. La compression revient...
N'est-ce pas ce que j'avais suggéré dans mon message de 16h55 ?
En me trompant d'ailleurs, mais l'intention était bien là.
C'est une page grand public, où «lossless» doit être compris comme «pas comprimé du tout». Pour ta gouverne, un fichier RAW n'enregistre qu'une seule des trois composantes RVB par pixel ; le EOS-1D ayant un capteur de 8,2 Mpx, on s'attendrait à un RAW d'un petit peu plus que 8,2 Mo (il faut aussi loger les métadonnées quelque part), alors que ce papier n'annonce que 7,9 Mo. Il y aurait donc une petite compression, mais ridicule par rapport à ce que pratique Nikon.
Non non. 1Mo = 1024^2 bits = 1048576 bits 8.2 Mpx font donc 8.2/1.048576 = 7.82 Mo Pile poil !
Très juste, j'oublie toujours. Merci
Réflexion faite, en 12 ou 14 bits, il faut 2 octets pour stocker une composante chromatique et il faudrait donc doubler la taille théorique du fichier. La compression revient...
N'est-ce pas ce que j'avais suggéré dans mon message de 16h55 ? En me trompant d'ailleurs, mais l'intention était bien là.
GhostRaider
Le 10/12/2014 18:25, Charles Vassallo a écrit :
C'est une page grand public, où «lossless» doit être compris comme «pas comprimé du tout». Pour ta gouverne, un fichier RAW n'enregistre qu'une seule des trois composantes RVB par pixel ; le EOS-1D ayant un capteur de 8,2 Mpx, on s'attendrait à un RAW d'un petit peu plus que 8,2 Mo (il faut aussi loger les métadonnées quelque part), alors que ce papier n'annonce que 7,9 Mo. Il y aurait donc une petite compression, mais ridicule par rapport à ce que pratique Nikon.
Voir plus loin, après l'intervention de efji.
A ton âge, tu crois encore qu'il y a une Vérité Unique, Inaltérable, Irréfragable, Irrévocable et Intangible qui serait cachée dans tout cliché ou toute capture numérique et qu'un logiciel digne de ce nom serait tenu de révéler en toute humilité ? Bin non. Il y a une foule d'options toutes discutables parmi lesquelles il faut choisir.
Je suis une âme simple qui voit le monde avec des yeux candides.
En règle générale, on est très confortable en 8-bit. Il arrive cependant qu'on éprouve le besoin d'appliquer un grand contraste sur une gamme réduite de tons ; ou qu'on veuille exhumer des détails perdus dans les tons sombres. Dans ces cas, on aura un résultat plus propre si on part d'un document avec une discrétisation plus fine.
Je ne peux qu'approuver.>
Change de directeur de conscience. Ou bien ne considère pas ton appareil comme le meilleur juge qui soit pour la balance des blancs à adopter. L'appareil utilise un algorithme maison pour deviner le blanc à adopter ; les logiciels RAW en suivent d'autres et ce n'est pas toujours le choix de l'appareil qui est le plus sympa. C'est quelque chose qu'on voit rapidement quand on travaille en RAW+JPEG.
L'embêtant c'est que je suis ensuite incapable de choisir. Je préfère que l'APN pense pour moi.
Le 10/12/2014 18:25, Charles Vassallo a écrit :
C'est une page grand public, où «lossless» doit être compris comme «pas
comprimé du tout». Pour ta gouverne, un fichier RAW n'enregistre qu'une
seule des trois composantes RVB par pixel ; le EOS-1D ayant un capteur
de 8,2 Mpx, on s'attendrait à un RAW d'un petit peu plus que 8,2 Mo (il
faut aussi loger les métadonnées quelque part), alors que ce papier
n'annonce que 7,9 Mo. Il y aurait donc une petite compression, mais
ridicule par rapport à ce que pratique Nikon.
Voir plus loin, après l'intervention de efji.
A ton âge, tu crois encore qu'il y a une Vérité Unique, Inaltérable,
Irréfragable, Irrévocable et Intangible qui serait cachée dans tout
cliché ou toute capture numérique et qu'un logiciel digne de ce nom
serait tenu de révéler en toute humilité ? Bin non. Il y a une foule
d'options toutes discutables parmi lesquelles il faut choisir.
Je suis une âme simple qui voit le monde avec des yeux candides.
En règle générale, on est très confortable en 8-bit. Il arrive cependant
qu'on éprouve le besoin d'appliquer un grand contraste sur une gamme
réduite de tons ; ou qu'on veuille exhumer des détails perdus dans les
tons sombres. Dans ces cas, on aura un résultat plus propre si on part
d'un document avec une discrétisation plus fine.
Je ne peux qu'approuver.>
Change de directeur de conscience. Ou bien ne considère pas ton appareil
comme le meilleur juge qui soit pour la balance des blancs à adopter.
L'appareil utilise un algorithme maison pour deviner le blanc à adopter
; les logiciels RAW en suivent d'autres et ce n'est pas toujours le
choix de l'appareil qui est le plus sympa. C'est quelque chose qu'on
voit rapidement quand on travaille en RAW+JPEG.
L'embêtant c'est que je suis ensuite incapable de choisir.
Je préfère que l'APN pense pour moi.
C'est une page grand public, où «lossless» doit être compris comme «pas comprimé du tout». Pour ta gouverne, un fichier RAW n'enregistre qu'une seule des trois composantes RVB par pixel ; le EOS-1D ayant un capteur de 8,2 Mpx, on s'attendrait à un RAW d'un petit peu plus que 8,2 Mo (il faut aussi loger les métadonnées quelque part), alors que ce papier n'annonce que 7,9 Mo. Il y aurait donc une petite compression, mais ridicule par rapport à ce que pratique Nikon.
Voir plus loin, après l'intervention de efji.
A ton âge, tu crois encore qu'il y a une Vérité Unique, Inaltérable, Irréfragable, Irrévocable et Intangible qui serait cachée dans tout cliché ou toute capture numérique et qu'un logiciel digne de ce nom serait tenu de révéler en toute humilité ? Bin non. Il y a une foule d'options toutes discutables parmi lesquelles il faut choisir.
Je suis une âme simple qui voit le monde avec des yeux candides.
En règle générale, on est très confortable en 8-bit. Il arrive cependant qu'on éprouve le besoin d'appliquer un grand contraste sur une gamme réduite de tons ; ou qu'on veuille exhumer des détails perdus dans les tons sombres. Dans ces cas, on aura un résultat plus propre si on part d'un document avec une discrétisation plus fine.
Je ne peux qu'approuver.>
Change de directeur de conscience. Ou bien ne considère pas ton appareil comme le meilleur juge qui soit pour la balance des blancs à adopter. L'appareil utilise un algorithme maison pour deviner le blanc à adopter ; les logiciels RAW en suivent d'autres et ce n'est pas toujours le choix de l'appareil qui est le plus sympa. C'est quelque chose qu'on voit rapidement quand on travaille en RAW+JPEG.
L'embêtant c'est que je suis ensuite incapable de choisir. Je préfère que l'APN pense pour moi.
GhostRaider
Le 10/12/2014 18:42, Benoit a écrit :
GhostRaider wrote:
Et je me pose toujours la même question : à partir du moment où on travaille sur une image en 8 bits, comment peut-on en extraire des nuances que seuls le 12 ou le 14 bits permettraient de voir ?
Jette un œil à l'image qui montre les zones cramées d'une jpeg et ce qu'on a avec un RAW brut. La zone où il n'y a plus rien est en rouge.
Oui, mais si, pour voir les détails de la chevelure dans la photo en RAW, détails indiscernables en clair, on inverse la photo et qu'on monte l'éclairage, on voit que, effectivement, peut-être, les cheveux ne sont pas "cramés" mais ils n'ont aucun détail : http://www.cjoint.com/data/0LkufGMAGcf_dlkqupc7jj3_capture_d_ecran_2014-12-011.jpg Donc, l’exemple n'est pas parfait, Les précieuses nuances de cette chevelure d'ange ont disparu aussi (mais sur une surface plus faible, j'admets).
Le 10/12/2014 18:42, Benoit a écrit :
GhostRaider <ghost-raider@compuserve.com> wrote:
Et je me pose toujours la même question : à partir du moment où on
travaille sur une image en 8 bits, comment peut-on en extraire des
nuances que seuls le 12 ou le 14 bits permettraient de voir ?
Jette un œil à l'image qui montre les zones cramées d'une jpeg et ce
qu'on a avec un RAW brut. La zone où il n'y a plus rien est en rouge.
Oui, mais si, pour voir les détails de la chevelure dans la photo en
RAW, détails indiscernables en clair, on inverse la photo et qu'on monte
l'éclairage, on voit que, effectivement, peut-être, les cheveux ne sont
pas "cramés" mais ils n'ont aucun détail :
http://www.cjoint.com/data/0LkufGMAGcf_dlkqupc7jj3_capture_d_ecran_2014-12-011.jpg
Donc, l’exemple n'est pas parfait, Les précieuses nuances de cette
chevelure d'ange ont disparu aussi (mais sur une surface plus faible,
j'admets).
Et je me pose toujours la même question : à partir du moment où on travaille sur une image en 8 bits, comment peut-on en extraire des nuances que seuls le 12 ou le 14 bits permettraient de voir ?
Jette un œil à l'image qui montre les zones cramées d'une jpeg et ce qu'on a avec un RAW brut. La zone où il n'y a plus rien est en rouge.
Oui, mais si, pour voir les détails de la chevelure dans la photo en RAW, détails indiscernables en clair, on inverse la photo et qu'on monte l'éclairage, on voit que, effectivement, peut-être, les cheveux ne sont pas "cramés" mais ils n'ont aucun détail : http://www.cjoint.com/data/0LkufGMAGcf_dlkqupc7jj3_capture_d_ecran_2014-12-011.jpg Donc, l’exemple n'est pas parfait, Les précieuses nuances de cette chevelure d'ange ont disparu aussi (mais sur une surface plus faible, j'admets).
jdd
Le 10/12/2014 18:25, Charles Vassallo a écrit :
n'annonce que 7,9 Mo. Il y aurait donc une petite compression, mais ridicule par rapport à ce que pratique Nikon.
il est très simple de faire l'essaisi on a un raw sous la main, le comprimer avec 7zip, par exemple et voir la différence.
si elle est négligeable, le fichier est déjà comprimé...
jdd
Le 10/12/2014 18:25, Charles Vassallo a écrit :
n'annonce que 7,9 Mo. Il y aurait donc une petite compression, mais
ridicule par rapport à ce que pratique Nikon.
il est très simple de faire l'essaisi on a un raw sous la main, le
comprimer avec 7zip, par exemple et voir la différence.
si elle est négligeable, le fichier est déjà comprimé...