On n'est pas obligé de tout connaitre par contre on ne peut pas s'en sortir
en trouvant comme excuse qu'on ne savait pas. Ce serait trop facile sinon,
non?
Pour ce qui est meurtre, viol etc oui, peut-être car la "culture" nous
apprend que ce sont des choses qui ne se font pas. Mais quand c'est
moins évident, genre marcher sur le gazon, emprunter la chaussée quand
la piste cyclable est à côté .......
On n'est pas obligé de tout connaitre par contre on ne peut pas s'en sortir
en trouvant comme excuse qu'on ne savait pas. Ce serait trop facile sinon,
non?
Pour ce qui est meurtre, viol etc oui, peut-être car la "culture" nous
apprend que ce sont des choses qui ne se font pas. Mais quand c'est
moins évident, genre marcher sur le gazon, emprunter la chaussée quand
la piste cyclable est à côté .......
On n'est pas obligé de tout connaitre par contre on ne peut pas s'en sortir
en trouvant comme excuse qu'on ne savait pas. Ce serait trop facile sinon,
non?
Pour ce qui est meurtre, viol etc oui, peut-être car la "culture" nous
apprend que ce sont des choses qui ne se font pas. Mais quand c'est
moins évident, genre marcher sur le gazon, emprunter la chaussée quand
la piste cyclable est à côté .......
Oui, et dès qu'il te voit en train de relever sa plaque, tu te trouves
dans une cellule en train de te faire tabasser, avec un casier
judiciaire pour "outrage" et "rébellion" en sus.
Crois moi que s'il sait qu'il est dans son tord et que tu appele, il
va vite se calmer surtout s'il y a des temoins.
Oui, comme la dame en région parisienne il y a quelques années qui était
témoin d'une interpellation un peu trop musclée, et au moment où elle
s'est manifestée auprès des agents, elle a eu droit à "t'en veux, toi??"
Ce que tu n'as pas l'air de comprendre.. mais vraiment, vraiment,
*vraiment* pas comprendre, c'est que la France est un état
p-o-l-i-c-i-e-r. Au sens *propre* du terme.
Un pays où la "suprématie" de ses fonctionnaires est écrite dans la
loi... où la parole d'un policier est _de facto_ considérée comme plus
"fiable" que celui d'un citoyen lamda ...
où il est interdit sous peine
de prison de dire publiquement que le chef de l'état est un con ...
où les gardés à vue sont systématiquement menottés malgré
l'article 803 du CPP ...
où chacun est fiché et doit informer les
autorités de chaque changement d'adresse .... l'Allemagne a connu ça
entre 1933 et 1945. La France le connaît toujours.
Ce n'est pas que je peste contre les policiers. Lors de divers échanges
avec eux, je constate que 95% d'entre eux sont sérieux, courtois, et
gentils. Ils mettent une certaine "distance", mais c'est leur fonction
qui le leur impose.
Le problème, ce n'est pas eux, c'est le système.
Il faudrait tout raser, et recommencer à zéro. Créer un pays plus
solidaire. Plus social. Plus humain.
Mais cela n'arrivera jamais. La France est un pays trop conservateur
("c" miniscule). On (je dis "on" parce que je suis ici depuis 1997 et
malgré tout, j'aime ce pays) ne veut pas de changement.
Parfois, je songe à entrer dans la politique. Mais déjà, je suis
honnête alors ça ne marcherait jamais.
Et puis, je suis juif et
étranger (je viens de faire un pléonasme là ou pas ..?). Je ne serais
jamais accepté par l'Établissement, et s'il y avait la moindre
possibilité que je me fasse élire, je serais assassiné.
Oui, et dès qu'il te voit en train de relever sa plaque, tu te trouves
dans une cellule en train de te faire tabasser, avec un casier
judiciaire pour "outrage" et "rébellion" en sus.
Crois moi que s'il sait qu'il est dans son tord et que tu appele, il
va vite se calmer surtout s'il y a des temoins.
Oui, comme la dame en région parisienne il y a quelques années qui était
témoin d'une interpellation un peu trop musclée, et au moment où elle
s'est manifestée auprès des agents, elle a eu droit à "t'en veux, toi??"
Ce que tu n'as pas l'air de comprendre.. mais vraiment, vraiment,
*vraiment* pas comprendre, c'est que la France est un état
p-o-l-i-c-i-e-r. Au sens *propre* du terme.
Un pays où la "suprématie" de ses fonctionnaires est écrite dans la
loi... où la parole d'un policier est _de facto_ considérée comme plus
"fiable" que celui d'un citoyen lamda ...
où il est interdit sous peine
de prison de dire publiquement que le chef de l'état est un con ...
où les gardés à vue sont systématiquement menottés malgré
l'article 803 du CPP ...
où chacun est fiché et doit informer les
autorités de chaque changement d'adresse .... l'Allemagne a connu ça
entre 1933 et 1945. La France le connaît toujours.
Ce n'est pas que je peste contre les policiers. Lors de divers échanges
avec eux, je constate que 95% d'entre eux sont sérieux, courtois, et
gentils. Ils mettent une certaine "distance", mais c'est leur fonction
qui le leur impose.
Le problème, ce n'est pas eux, c'est le système.
Il faudrait tout raser, et recommencer à zéro. Créer un pays plus
solidaire. Plus social. Plus humain.
Mais cela n'arrivera jamais. La France est un pays trop conservateur
("c" miniscule). On (je dis "on" parce que je suis ici depuis 1997 et
malgré tout, j'aime ce pays) ne veut pas de changement.
Parfois, je songe à entrer dans la politique. Mais déjà, je suis
honnête alors ça ne marcherait jamais.
Et puis, je suis juif et
étranger (je viens de faire un pléonasme là ou pas ..?). Je ne serais
jamais accepté par l'Établissement, et s'il y avait la moindre
possibilité que je me fasse élire, je serais assassiné.
Oui, et dès qu'il te voit en train de relever sa plaque, tu te trouves
dans une cellule en train de te faire tabasser, avec un casier
judiciaire pour "outrage" et "rébellion" en sus.
Crois moi que s'il sait qu'il est dans son tord et que tu appele, il
va vite se calmer surtout s'il y a des temoins.
Oui, comme la dame en région parisienne il y a quelques années qui était
témoin d'une interpellation un peu trop musclée, et au moment où elle
s'est manifestée auprès des agents, elle a eu droit à "t'en veux, toi??"
Ce que tu n'as pas l'air de comprendre.. mais vraiment, vraiment,
*vraiment* pas comprendre, c'est que la France est un état
p-o-l-i-c-i-e-r. Au sens *propre* du terme.
Un pays où la "suprématie" de ses fonctionnaires est écrite dans la
loi... où la parole d'un policier est _de facto_ considérée comme plus
"fiable" que celui d'un citoyen lamda ...
où il est interdit sous peine
de prison de dire publiquement que le chef de l'état est un con ...
où les gardés à vue sont systématiquement menottés malgré
l'article 803 du CPP ...
où chacun est fiché et doit informer les
autorités de chaque changement d'adresse .... l'Allemagne a connu ça
entre 1933 et 1945. La France le connaît toujours.
Ce n'est pas que je peste contre les policiers. Lors de divers échanges
avec eux, je constate que 95% d'entre eux sont sérieux, courtois, et
gentils. Ils mettent une certaine "distance", mais c'est leur fonction
qui le leur impose.
Le problème, ce n'est pas eux, c'est le système.
Il faudrait tout raser, et recommencer à zéro. Créer un pays plus
solidaire. Plus social. Plus humain.
Mais cela n'arrivera jamais. La France est un pays trop conservateur
("c" miniscule). On (je dis "on" parce que je suis ici depuis 1997 et
malgré tout, j'aime ce pays) ne veut pas de changement.
Parfois, je songe à entrer dans la politique. Mais déjà, je suis
honnête alors ça ne marcherait jamais.
Et puis, je suis juif et
étranger (je viens de faire un pléonasme là ou pas ..?). Je ne serais
jamais accepté par l'Établissement, et s'il y avait la moindre
possibilité que je me fasse élire, je serais assassiné.
Ceux qui décident d'aménager ces pistes, croient bien faire, j'en suis
sûr. Mais pour ma part, si j'ai tous les devoirs d'un véhicule à part
entier (et je respecte scrupuleusement le code de la route), j'en veux
tous les droits aussi.
> Je ne roule pas en vélib, et je ne roule pas non plus à 5 km/h. Sur la
> piste, je gêne tout le monde, et tout le monde me gêne...
Moi aussi, mais je m'adapte, je sais que je ne suis pas le seul sur la
route
(ou la piste)
Oui, moi aussi. La question n'est pas: "pourquoi je ne peux pas rouler
vite sur les pistes cyclables?", car je sais trop bien que c'est
dangereux, et que je risque de blesser un piéton ou (pire) un enfant (ce
que je ne me pardonnerais jamais). C'est pour ça que je roule sur la
chaussée.
> et je suis
> obligé de rouler au pas. Sur la chaussée, tout en respectant le code
> de
> la route (priorité à droite, feux tricolores etc...), j'avance
> d'habitude aussi vite que les voitures, parfois plus vite.
Ben oui ça va plus vite mais c'est surement moins sur.
Voir ci-dessus. Ce n'est pas moins sûr.
Ceux qui décident d'aménager ces pistes, croient bien faire, j'en suis
sûr. Mais pour ma part, si j'ai tous les devoirs d'un véhicule à part
entier (et je respecte scrupuleusement le code de la route), j'en veux
tous les droits aussi.
> Je ne roule pas en vélib, et je ne roule pas non plus à 5 km/h. Sur la
> piste, je gêne tout le monde, et tout le monde me gêne...
Moi aussi, mais je m'adapte, je sais que je ne suis pas le seul sur la
route
(ou la piste)
Oui, moi aussi. La question n'est pas: "pourquoi je ne peux pas rouler
vite sur les pistes cyclables?", car je sais trop bien que c'est
dangereux, et que je risque de blesser un piéton ou (pire) un enfant (ce
que je ne me pardonnerais jamais). C'est pour ça que je roule sur la
chaussée.
> et je suis
> obligé de rouler au pas. Sur la chaussée, tout en respectant le code
> de
> la route (priorité à droite, feux tricolores etc...), j'avance
> d'habitude aussi vite que les voitures, parfois plus vite.
Ben oui ça va plus vite mais c'est surement moins sur.
Voir ci-dessus. Ce n'est pas moins sûr.
Ceux qui décident d'aménager ces pistes, croient bien faire, j'en suis
sûr. Mais pour ma part, si j'ai tous les devoirs d'un véhicule à part
entier (et je respecte scrupuleusement le code de la route), j'en veux
tous les droits aussi.
> Je ne roule pas en vélib, et je ne roule pas non plus à 5 km/h. Sur la
> piste, je gêne tout le monde, et tout le monde me gêne...
Moi aussi, mais je m'adapte, je sais que je ne suis pas le seul sur la
route
(ou la piste)
Oui, moi aussi. La question n'est pas: "pourquoi je ne peux pas rouler
vite sur les pistes cyclables?", car je sais trop bien que c'est
dangereux, et que je risque de blesser un piéton ou (pire) un enfant (ce
que je ne me pardonnerais jamais). C'est pour ça que je roule sur la
chaussée.
> et je suis
> obligé de rouler au pas. Sur la chaussée, tout en respectant le code
> de
> la route (priorité à droite, feux tricolores etc...), j'avance
> d'habitude aussi vite que les voitures, parfois plus vite.
Ben oui ça va plus vite mais c'est surement moins sur.
Voir ci-dessus. Ce n'est pas moins sûr.
"Eric" a écrit dans le message de news:
g9p38q$4lk$Je me retrouve à passer au feu orange, le flic me dit qu il est
rouge et si je ne suis pas d'accord je prends " outrage "
que faire mes bons amis ?
Le simple fait de ne pas être d'accord n'est pas un outrage
"Eric" <d.francoise32@aliceadsl.fr> a écrit dans le message de news:
g9p38q$4lk$1@registered.motzarella.org...
Je me retrouve à passer au feu orange, le flic me dit qu il est
rouge et si je ne suis pas d'accord je prends " outrage "
que faire mes bons amis ?
Le simple fait de ne pas être d'accord n'est pas un outrage
"Eric" a écrit dans le message de news:
g9p38q$4lk$Je me retrouve à passer au feu orange, le flic me dit qu il est
rouge et si je ne suis pas d'accord je prends " outrage "
que faire mes bons amis ?
Le simple fait de ne pas être d'accord n'est pas un outrage
Un "google" vite fait me sort ..
http://www.cyclecraft.co.uk/digest/research.html
C'est en anglais .. ma langue maternelle, désolé .. mais bon..
"Cycle tracks increase danger at every road junction."
("les pistes cyclables accroissent le danger à chaque intersection")
Un "google" vite fait me sort ..
http://www.cyclecraft.co.uk/digest/research.html
C'est en anglais .. ma langue maternelle, désolé .. mais bon..
"Cycle tracks increase danger at every road junction."
("les pistes cyclables accroissent le danger à chaque intersection")
Un "google" vite fait me sort ..
http://www.cyclecraft.co.uk/digest/research.html
C'est en anglais .. ma langue maternelle, désolé .. mais bon..
"Cycle tracks increase danger at every road junction."
("les pistes cyclables accroissent le danger à chaque intersection")
On Thu, 04 Sep 2008 10:58:43 +0200, perle_d-eau
wrote:Alors l'exemple du flic à l'intersection, il fait signe aux
automobistes venant d'une direction de s'arrêter, et laisse les
autres passer. Les feux changent. Et changent encore. Et encore.
Au bout d'une heure, un automobiliste baisse la vitre et dit, "euh,
monsieur ... pourquoi vous ne nous laissez pas passer ?"
La réponse de l'agent, "parce que j'en ai pas envie. T'as un
problème avec ça??"
Et les automobilistes, eux, n'ont qu'à obéir.
Vous trouvez ça normal, vous?
Dans ton exeple, si ca dure un certain temps qui d'apres toi n'est pas
justifié et qu'il te repond sur ce ton, tu lui demande son matricule
(ou a defaut la plaque d'immatriculation du son vehicule de service),
tu composes le 17 et tu demande a parler a son responsable.
Crois moi que s'il sait qu'il est dans son tord et que tu appele, il
va vite se calmer surtout s'il y a des temoins.
Faire un courrier a son administration pour rapporter ses propos et
acte. Il n'a peut etre pas de compte a te rendre, mais a ses chef oui.
Donc la prochaine fois tu releve la plaque d'immatriculation, l'heure
et le lieu et tu evois un courrier pour te plaindre a sa hierarchie en
leur explicant ce qui c'est passé et ce que t'as dit la prefecture.
Il aurra des compte a rendre a sa hierarchie et sera remis a sa place
par ses chefs (remontage de bretelle ou soufflage dans les bronches)
La prochaine fois tu pourra comme tu le souhaite risquer ta vie sur la
chaussé ou sur la bande cyclable.
On Thu, 04 Sep 2008 10:58:43 +0200, perle_d-eau
<SPAMperle_d-eauSUPPRIMERCECI@wanadoo.fr> wrote:
Alors l'exemple du flic à l'intersection, il fait signe aux
automobistes venant d'une direction de s'arrêter, et laisse les
autres passer. Les feux changent. Et changent encore. Et encore.
Au bout d'une heure, un automobiliste baisse la vitre et dit, "euh,
monsieur ... pourquoi vous ne nous laissez pas passer ?"
La réponse de l'agent, "parce que j'en ai pas envie. T'as un
problème avec ça??"
Et les automobilistes, eux, n'ont qu'à obéir.
Vous trouvez ça normal, vous?
Dans ton exeple, si ca dure un certain temps qui d'apres toi n'est pas
justifié et qu'il te repond sur ce ton, tu lui demande son matricule
(ou a defaut la plaque d'immatriculation du son vehicule de service),
tu composes le 17 et tu demande a parler a son responsable.
Crois moi que s'il sait qu'il est dans son tord et que tu appele, il
va vite se calmer surtout s'il y a des temoins.
Faire un courrier a son administration pour rapporter ses propos et
acte. Il n'a peut etre pas de compte a te rendre, mais a ses chef oui.
Donc la prochaine fois tu releve la plaque d'immatriculation, l'heure
et le lieu et tu evois un courrier pour te plaindre a sa hierarchie en
leur explicant ce qui c'est passé et ce que t'as dit la prefecture.
Il aurra des compte a rendre a sa hierarchie et sera remis a sa place
par ses chefs (remontage de bretelle ou soufflage dans les bronches)
La prochaine fois tu pourra comme tu le souhaite risquer ta vie sur la
chaussé ou sur la bande cyclable.
On Thu, 04 Sep 2008 10:58:43 +0200, perle_d-eau
wrote:Alors l'exemple du flic à l'intersection, il fait signe aux
automobistes venant d'une direction de s'arrêter, et laisse les
autres passer. Les feux changent. Et changent encore. Et encore.
Au bout d'une heure, un automobiliste baisse la vitre et dit, "euh,
monsieur ... pourquoi vous ne nous laissez pas passer ?"
La réponse de l'agent, "parce que j'en ai pas envie. T'as un
problème avec ça??"
Et les automobilistes, eux, n'ont qu'à obéir.
Vous trouvez ça normal, vous?
Dans ton exeple, si ca dure un certain temps qui d'apres toi n'est pas
justifié et qu'il te repond sur ce ton, tu lui demande son matricule
(ou a defaut la plaque d'immatriculation du son vehicule de service),
tu composes le 17 et tu demande a parler a son responsable.
Crois moi que s'il sait qu'il est dans son tord et que tu appele, il
va vite se calmer surtout s'il y a des temoins.
Faire un courrier a son administration pour rapporter ses propos et
acte. Il n'a peut etre pas de compte a te rendre, mais a ses chef oui.
Donc la prochaine fois tu releve la plaque d'immatriculation, l'heure
et le lieu et tu evois un courrier pour te plaindre a sa hierarchie en
leur explicant ce qui c'est passé et ce que t'as dit la prefecture.
Il aurra des compte a rendre a sa hierarchie et sera remis a sa place
par ses chefs (remontage de bretelle ou soufflage dans les bronches)
La prochaine fois tu pourra comme tu le souhaite risquer ta vie sur la
chaussé ou sur la bande cyclable.
In article ,
"Jean Bon (de Parme)" wrote:On Thu, 04 Sep 2008 10:58:43 +0200, perle_d-eau
wrote:Alors l'exemple du flic à l'intersection, il fait signe aux
automobistes venant d'une direction de s'arrêter, et laisse les
autres passer. Les feux changent. Et changent encore. Et encore.
Au bout d'une heure, un automobiliste baisse la vitre et dit, "euh,
monsieur ... pourquoi vous ne nous laissez pas passer ?"
La réponse de l'agent, "parce que j'en ai pas envie. T'as un
problème avec ça??"
Et les automobilistes, eux, n'ont qu'à obéir.
Vous trouvez ça normal, vous?
Dans ton exeple, si ca dure un certain temps qui d'apres toi n'est
pas justifié et qu'il te repond sur ce ton, tu lui demande son
matricule (ou a defaut la plaque d'immatriculation du son vehicule
de service), tu composes le 17 et tu demande a parler a son
responsable.
Oui, et dès qu'il te voit en train de relever sa plaque, tu te trouves
dans une cellule en train de te faire tabasser, avec un casier
judiciaire pour "outrage" et "rébellion" en sus.Crois moi que s'il sait qu'il est dans son tord et que tu appele, il
va vite se calmer surtout s'il y a des temoins.
Oui, comme la dame en région parisienne il y a quelques années qui
était témoin d'une interpellation un peu trop musclée, et au moment
où elle s'est manifestée auprès des agents, elle a eu droit à "t'en
veux, toi??"Je sais trop bien que cela n'arrivera pas, que l'agent
n'empêcherait pas toute une ligne de voitures d'avancer. Mais
d'après vous, il pourrait. Parce qu'il en a envie.
Faire un courrier a son administration pour rapporter ses propos et
acte. Il n'a peut etre pas de compte a te rendre, mais a ses chef
oui.
Tu parles !!
Cette naïveté est.... charmante.
Ce que tu n'as pas l'air de comprendre.. mais vraiment, vraiment,
*vraiment* pas comprendre, c'est que la France est un état
p-o-l-i-c-i-e-r. Au sens *propre* du terme.
C'est tentant de dire que c'est la faute de Sarkozy, mais bien que ce
soit un petit crétin facho imbu de sa propre personne, complexé par sa
taille, et dépourvu de toute qualité personelle, intellectuelle ou
morale, ce n'est pas lui qui en est responsable (même s'il en a
largement profité quand il était place Beauvau).
Un pays où la "suprématie" de ses fonctionnaires est écrite dans la
loi... où la parole d'un policier est _de facto_ considérée comme plus
"fiable" que celui d'un citoyen lamda ... où il est interdit sous
peine de prison de dire publiquement que le chef de l'état est un con
...où chaque citoyen doit justifier de son identité auprès des agents
de l'état... où les gardés à vue sont systématiquement menottés malgré
l'article 803 du CPP ... où chacun est fiché et doit informer les
autorités de chaque changement d'adresse .... l'Allemagne a connu ça
entre 1933 et 1945. La France le connaît toujours.
Ce n'est pas que je peste contre les policiers. Lors de divers
échanges avec eux, je constate que 95% d'entre eux sont sérieux,
courtois, et gentils. Ils mettent une certaine "distance", mais
c'est leur fonction qui le leur impose.
Le problème, ce n'est pas eux, c'est le système.
Il faudrait tout raser, et recommencer à zéro. Créer un pays plus
solidaire. Plus social. Plus humain.
Mais cela n'arrivera jamais. La France est un pays trop conservateur
("c" miniscule). On (je dis "on" parce que je suis ici depuis 1997 et
malgré tout, j'aime ce pays) ne veut pas de changement.
Parfois, je songe à entrer dans la politique. Mais déjà, je suis
honnête alors ça ne marcherait jamais. Et puis, je suis juif et
étranger (je viens de faire un pléonasme là ou pas ..?). Je ne serais
jamais accepté par l'Établissement, et s'il y avait la moindre
possibilité que je me fasse élire, je serais assassiné.
Puis les Français se voilent la face. Dès que le caractère
"anti-démocratique" de ce pays est évoqué, on change de sujet. On
allume la télé pour regarder la Star-Ac. Quand je suis arrivé ici en
1997, je fus stupéfait par la fréquences des mots "normal" et
"interdit" dans le bouche de tout le monde. "C'est normal qu'il y
ait des contrôles d'identité". "Tu peux pas faire ça, c'est
interdit". Interdit, interdit, interdit. Normal, normal, normal.
Pourtant, ça avait tellement bien commencé. La Constitution du 4
octobre 1958 est un chef-d'¦uvre. Je la lis, et j'ai les larmes qui
me montent aux yeux.
Liberté, égalité, fraternité.
Comment les choses ont-elles pu déraper autant???
J'ai grandi dans l'Angleterre de Thatcher, et me souviens trop bien du
jour en 1984 où mon père (que sa mémore soit bénie) est rentré à la
maison. Licenciement économique. Je me souviens aussi de
l'après-midi passée dans la voiture de mon frère, à photographier le
jeune, embauché par la même société, parce qu'ils pouvaient le payer
moins cher que mon père (qui avait alors 60 ans), pour présenter au
tribunal (les "prud"hommes"). Et je me souviens comment j'ai regardé
avec *horreur* la campagne de 2006, et je me disais non ce n'est pas
possible, la France ne va quand même pas faire les mêmes conneries
que l'Angleterre en 1979.
Hé ben si. Que j'ai pleuré pour ce pays que j'aime tant, qui m'a
accueilli, dont la langue j'exalte, pays des droits de l'homme, de la
cuisine sublime, et des femmes les plus belles du monde.
Ce pays est malade. Le système est pourri. Il faut tout changer.
Mais qui a le courage de le faire ?
Zut zut zut, je m'étais juré de ne pas parler politique ....
In article <fbg0c49aajuhj3edl4m6rmataon4cbt17q@4ax.com>,
"Jean Bon (de Parme)" <invalid@invalid.invalid> wrote:
On Thu, 04 Sep 2008 10:58:43 +0200, perle_d-eau
<SPAMperle_d-eauSUPPRIMERCECI@wanadoo.fr> wrote:
Alors l'exemple du flic à l'intersection, il fait signe aux
automobistes venant d'une direction de s'arrêter, et laisse les
autres passer. Les feux changent. Et changent encore. Et encore.
Au bout d'une heure, un automobiliste baisse la vitre et dit, "euh,
monsieur ... pourquoi vous ne nous laissez pas passer ?"
La réponse de l'agent, "parce que j'en ai pas envie. T'as un
problème avec ça??"
Et les automobilistes, eux, n'ont qu'à obéir.
Vous trouvez ça normal, vous?
Dans ton exeple, si ca dure un certain temps qui d'apres toi n'est
pas justifié et qu'il te repond sur ce ton, tu lui demande son
matricule (ou a defaut la plaque d'immatriculation du son vehicule
de service), tu composes le 17 et tu demande a parler a son
responsable.
Oui, et dès qu'il te voit en train de relever sa plaque, tu te trouves
dans une cellule en train de te faire tabasser, avec un casier
judiciaire pour "outrage" et "rébellion" en sus.
Crois moi que s'il sait qu'il est dans son tord et que tu appele, il
va vite se calmer surtout s'il y a des temoins.
Oui, comme la dame en région parisienne il y a quelques années qui
était témoin d'une interpellation un peu trop musclée, et au moment
où elle s'est manifestée auprès des agents, elle a eu droit à "t'en
veux, toi??"
Je sais trop bien que cela n'arrivera pas, que l'agent
n'empêcherait pas toute une ligne de voitures d'avancer. Mais
d'après vous, il pourrait. Parce qu'il en a envie.
Faire un courrier a son administration pour rapporter ses propos et
acte. Il n'a peut etre pas de compte a te rendre, mais a ses chef
oui.
Tu parles !!
Cette naïveté est.... charmante.
Ce que tu n'as pas l'air de comprendre.. mais vraiment, vraiment,
*vraiment* pas comprendre, c'est que la France est un état
p-o-l-i-c-i-e-r. Au sens *propre* du terme.
C'est tentant de dire que c'est la faute de Sarkozy, mais bien que ce
soit un petit crétin facho imbu de sa propre personne, complexé par sa
taille, et dépourvu de toute qualité personelle, intellectuelle ou
morale, ce n'est pas lui qui en est responsable (même s'il en a
largement profité quand il était place Beauvau).
Un pays où la "suprématie" de ses fonctionnaires est écrite dans la
loi... où la parole d'un policier est _de facto_ considérée comme plus
"fiable" que celui d'un citoyen lamda ... où il est interdit sous
peine de prison de dire publiquement que le chef de l'état est un con
...où chaque citoyen doit justifier de son identité auprès des agents
de l'état... où les gardés à vue sont systématiquement menottés malgré
l'article 803 du CPP ... où chacun est fiché et doit informer les
autorités de chaque changement d'adresse .... l'Allemagne a connu ça
entre 1933 et 1945. La France le connaît toujours.
Ce n'est pas que je peste contre les policiers. Lors de divers
échanges avec eux, je constate que 95% d'entre eux sont sérieux,
courtois, et gentils. Ils mettent une certaine "distance", mais
c'est leur fonction qui le leur impose.
Le problème, ce n'est pas eux, c'est le système.
Il faudrait tout raser, et recommencer à zéro. Créer un pays plus
solidaire. Plus social. Plus humain.
Mais cela n'arrivera jamais. La France est un pays trop conservateur
("c" miniscule). On (je dis "on" parce que je suis ici depuis 1997 et
malgré tout, j'aime ce pays) ne veut pas de changement.
Parfois, je songe à entrer dans la politique. Mais déjà, je suis
honnête alors ça ne marcherait jamais. Et puis, je suis juif et
étranger (je viens de faire un pléonasme là ou pas ..?). Je ne serais
jamais accepté par l'Établissement, et s'il y avait la moindre
possibilité que je me fasse élire, je serais assassiné.
Puis les Français se voilent la face. Dès que le caractère
"anti-démocratique" de ce pays est évoqué, on change de sujet. On
allume la télé pour regarder la Star-Ac. Quand je suis arrivé ici en
1997, je fus stupéfait par la fréquences des mots "normal" et
"interdit" dans le bouche de tout le monde. "C'est normal qu'il y
ait des contrôles d'identité". "Tu peux pas faire ça, c'est
interdit". Interdit, interdit, interdit. Normal, normal, normal.
Pourtant, ça avait tellement bien commencé. La Constitution du 4
octobre 1958 est un chef-d'¦uvre. Je la lis, et j'ai les larmes qui
me montent aux yeux.
Liberté, égalité, fraternité.
Comment les choses ont-elles pu déraper autant???
J'ai grandi dans l'Angleterre de Thatcher, et me souviens trop bien du
jour en 1984 où mon père (que sa mémore soit bénie) est rentré à la
maison. Licenciement économique. Je me souviens aussi de
l'après-midi passée dans la voiture de mon frère, à photographier le
jeune, embauché par la même société, parce qu'ils pouvaient le payer
moins cher que mon père (qui avait alors 60 ans), pour présenter au
tribunal (les "prud"hommes"). Et je me souviens comment j'ai regardé
avec *horreur* la campagne de 2006, et je me disais non ce n'est pas
possible, la France ne va quand même pas faire les mêmes conneries
que l'Angleterre en 1979.
Hé ben si. Que j'ai pleuré pour ce pays que j'aime tant, qui m'a
accueilli, dont la langue j'exalte, pays des droits de l'homme, de la
cuisine sublime, et des femmes les plus belles du monde.
Ce pays est malade. Le système est pourri. Il faut tout changer.
Mais qui a le courage de le faire ?
Zut zut zut, je m'étais juré de ne pas parler politique ....
In article ,
"Jean Bon (de Parme)" wrote:On Thu, 04 Sep 2008 10:58:43 +0200, perle_d-eau
wrote:Alors l'exemple du flic à l'intersection, il fait signe aux
automobistes venant d'une direction de s'arrêter, et laisse les
autres passer. Les feux changent. Et changent encore. Et encore.
Au bout d'une heure, un automobiliste baisse la vitre et dit, "euh,
monsieur ... pourquoi vous ne nous laissez pas passer ?"
La réponse de l'agent, "parce que j'en ai pas envie. T'as un
problème avec ça??"
Et les automobilistes, eux, n'ont qu'à obéir.
Vous trouvez ça normal, vous?
Dans ton exeple, si ca dure un certain temps qui d'apres toi n'est
pas justifié et qu'il te repond sur ce ton, tu lui demande son
matricule (ou a defaut la plaque d'immatriculation du son vehicule
de service), tu composes le 17 et tu demande a parler a son
responsable.
Oui, et dès qu'il te voit en train de relever sa plaque, tu te trouves
dans une cellule en train de te faire tabasser, avec un casier
judiciaire pour "outrage" et "rébellion" en sus.Crois moi que s'il sait qu'il est dans son tord et que tu appele, il
va vite se calmer surtout s'il y a des temoins.
Oui, comme la dame en région parisienne il y a quelques années qui
était témoin d'une interpellation un peu trop musclée, et au moment
où elle s'est manifestée auprès des agents, elle a eu droit à "t'en
veux, toi??"Je sais trop bien que cela n'arrivera pas, que l'agent
n'empêcherait pas toute une ligne de voitures d'avancer. Mais
d'après vous, il pourrait. Parce qu'il en a envie.
Faire un courrier a son administration pour rapporter ses propos et
acte. Il n'a peut etre pas de compte a te rendre, mais a ses chef
oui.
Tu parles !!
Cette naïveté est.... charmante.
Ce que tu n'as pas l'air de comprendre.. mais vraiment, vraiment,
*vraiment* pas comprendre, c'est que la France est un état
p-o-l-i-c-i-e-r. Au sens *propre* du terme.
C'est tentant de dire que c'est la faute de Sarkozy, mais bien que ce
soit un petit crétin facho imbu de sa propre personne, complexé par sa
taille, et dépourvu de toute qualité personelle, intellectuelle ou
morale, ce n'est pas lui qui en est responsable (même s'il en a
largement profité quand il était place Beauvau).
Un pays où la "suprématie" de ses fonctionnaires est écrite dans la
loi... où la parole d'un policier est _de facto_ considérée comme plus
"fiable" que celui d'un citoyen lamda ... où il est interdit sous
peine de prison de dire publiquement que le chef de l'état est un con
...où chaque citoyen doit justifier de son identité auprès des agents
de l'état... où les gardés à vue sont systématiquement menottés malgré
l'article 803 du CPP ... où chacun est fiché et doit informer les
autorités de chaque changement d'adresse .... l'Allemagne a connu ça
entre 1933 et 1945. La France le connaît toujours.
Ce n'est pas que je peste contre les policiers. Lors de divers
échanges avec eux, je constate que 95% d'entre eux sont sérieux,
courtois, et gentils. Ils mettent une certaine "distance", mais
c'est leur fonction qui le leur impose.
Le problème, ce n'est pas eux, c'est le système.
Il faudrait tout raser, et recommencer à zéro. Créer un pays plus
solidaire. Plus social. Plus humain.
Mais cela n'arrivera jamais. La France est un pays trop conservateur
("c" miniscule). On (je dis "on" parce que je suis ici depuis 1997 et
malgré tout, j'aime ce pays) ne veut pas de changement.
Parfois, je songe à entrer dans la politique. Mais déjà, je suis
honnête alors ça ne marcherait jamais. Et puis, je suis juif et
étranger (je viens de faire un pléonasme là ou pas ..?). Je ne serais
jamais accepté par l'Établissement, et s'il y avait la moindre
possibilité que je me fasse élire, je serais assassiné.
Puis les Français se voilent la face. Dès que le caractère
"anti-démocratique" de ce pays est évoqué, on change de sujet. On
allume la télé pour regarder la Star-Ac. Quand je suis arrivé ici en
1997, je fus stupéfait par la fréquences des mots "normal" et
"interdit" dans le bouche de tout le monde. "C'est normal qu'il y
ait des contrôles d'identité". "Tu peux pas faire ça, c'est
interdit". Interdit, interdit, interdit. Normal, normal, normal.
Pourtant, ça avait tellement bien commencé. La Constitution du 4
octobre 1958 est un chef-d'¦uvre. Je la lis, et j'ai les larmes qui
me montent aux yeux.
Liberté, égalité, fraternité.
Comment les choses ont-elles pu déraper autant???
J'ai grandi dans l'Angleterre de Thatcher, et me souviens trop bien du
jour en 1984 où mon père (que sa mémore soit bénie) est rentré à la
maison. Licenciement économique. Je me souviens aussi de
l'après-midi passée dans la voiture de mon frère, à photographier le
jeune, embauché par la même société, parce qu'ils pouvaient le payer
moins cher que mon père (qui avait alors 60 ans), pour présenter au
tribunal (les "prud"hommes"). Et je me souviens comment j'ai regardé
avec *horreur* la campagne de 2006, et je me disais non ce n'est pas
possible, la France ne va quand même pas faire les mêmes conneries
que l'Angleterre en 1979.
Hé ben si. Que j'ai pleuré pour ce pays que j'aime tant, qui m'a
accueilli, dont la langue j'exalte, pays des droits de l'homme, de la
cuisine sublime, et des femmes les plus belles du monde.
Ce pays est malade. Le système est pourri. Il faut tout changer.
Mais qui a le courage de le faire ?
Zut zut zut, je m'étais juré de ne pas parler politique ....
"perle_d-eau" a écrit dans
le message de news:
Oui, et dès qu'il te voit en train de relever sa plaque, tu te
trouves dans une cellule en train de te faire tabasser, avec un
casier judiciaire pour "outrage" et "rébellion" en sus.
Faut arreter un peu la parano, les flics ne sont pas (tellement)
audessus des lois.
"perle_d-eau" <SPAMperle_d-eauSUPPRIMERCECI@wanadoo.fr> a écrit dans
le message de news:
SPAMperle_d-eauSUPPRIMERCECI-131BDA.23440604092008@news.free.fr...
Oui, et dès qu'il te voit en train de relever sa plaque, tu te
trouves dans une cellule en train de te faire tabasser, avec un
casier judiciaire pour "outrage" et "rébellion" en sus.
Faut arreter un peu la parano, les flics ne sont pas (tellement)
audessus des lois.
"perle_d-eau" a écrit dans
le message de news:
Oui, et dès qu'il te voit en train de relever sa plaque, tu te
trouves dans une cellule en train de te faire tabasser, avec un
casier judiciaire pour "outrage" et "rébellion" en sus.
Faut arreter un peu la parano, les flics ne sont pas (tellement)
audessus des lois.
Faire un courrier a son administration pour rapporter ses propos et
acte. Il n'a peut etre pas de compte a te rendre, mais a ses chef oui.
Tu parles !!
Cette naïveté est.... charmante.
Ce que tu n'as pas l'air de comprendre.. mais vraiment, vraiment,
*vraiment* pas comprendre, c'est que la France est un état
p-o-l-i-c-i-e-r. Au sens *propre* du terme.
Faire un courrier a son administration pour rapporter ses propos et
acte. Il n'a peut etre pas de compte a te rendre, mais a ses chef oui.
Tu parles !!
Cette naïveté est.... charmante.
Ce que tu n'as pas l'air de comprendre.. mais vraiment, vraiment,
*vraiment* pas comprendre, c'est que la France est un état
p-o-l-i-c-i-e-r. Au sens *propre* du terme.
Faire un courrier a son administration pour rapporter ses propos et
acte. Il n'a peut etre pas de compte a te rendre, mais a ses chef oui.
Tu parles !!
Cette naïveté est.... charmante.
Ce que tu n'as pas l'air de comprendre.. mais vraiment, vraiment,
*vraiment* pas comprendre, c'est que la France est un état
p-o-l-i-c-i-e-r. Au sens *propre* du terme.
je n'en crois pas mes yeux, je repars avec une demi douzaine de
prunes,
je n'en crois pas mes yeux, je repars avec une demi douzaine de
prunes,
je n'en crois pas mes yeux, je repars avec une demi douzaine de
prunes,