Consommation. Face aux numériques, les appareils classiques offrent
pérennité et qualité.
L'argentique, étalon-or de la photo
Par Philippe GRANGEREAU
jeudi 06 janvier 2005 (Liberation - 06:00)
'appareil photo, celui que vous comptez acheter, le voulez-vous en
numérique ou en argentique (1) ? La plupart des amateurs optent pour
l'appareil à pixels. Il s'en est vendu 2,7 millions en France en 2003,
une extraordinaire progression de 145 % en un an, qui s'est confirmée
en 2004. Dans le même temps, il ne s'est vendu que 900 000 appareils
argentiques, un marché en baisse de 40 % en moyenne, tellement sinistré
que le fabriquant de films Kodak n'investit déjà plus dans l'argentique
et qu'Ilford est en dépôt de bilan.
Tant d'amateurs ont négocié la reprise de leur ancien 24 x 36 pour
l'achat d'un numérique à la Fnac que le magasin a stoppé cette pratique
et commencé à supprimer ses rayons «labo-photo». «A Paris, on ne trouve
désormais de produits labo-photo que dans une dizaine de magasins
spécialisés», explique un employé de Prophot. «Le marché de
l'argentique s'est totalement effondré en deux ans, en chutant de 75
%», précise le directeur des laboratoires d'essai de la Fnac, Victor
Jachimowicz.
Revente à un gogo. La «mort de l'argentique» suscite bien des réactions
nostalgiques sur les forums spécialisés d'amateurs éclairés. Avant de
sauter le pas vers le numérique, mettent en garde ces passionnés, mieux
vaut savoir qu'à bien des égards rien ne remplace l'argentique. Si les
publicités vantent les compacts numériques «haute définition» de 6 ou 8
millions de pixels à des prix tournant autour de 1 000 euros, il reste
qu'un négatif classique renferme l'équivalent de 20 à 23 millions de
pixels.
En outre, un appareil argentique à prix modique (un peu plus de 100
euros) permet d'atteindre cette performance - que seul un appareil
professionnel numérique au coût exorbitant pourrait réitérer. «Ces 20 à
23 millions de pixels ne représentent qu'un potentiel
d'agrandissement», tempère-t-on à la Fnac, qui note que «le nombre de
personnes voulant agrandir leurs photos en 30 x 40 était de toute façon
ridicule».
Mieux vaut savoir que les numériques, même s'ils sont faits pour durer,
ce dont on peut douter, deviendront très vite obsolètes et que vous ne
pourrez pas les revendre à moins de tomber sur un gogo. Mieux vaut
savoir aussi que la facilité apparente du numérique peut se traduire en
pratique par de sacrées séances de casse-tête devant l'ordinateur, en
pestant sur l'imprimante qui n'imprime pas la photo que vous avez
passée des heures à retoucher avec un logiciel «convivial», gâchant des
quantités imprévues de papier onéreux et de dispendieux picolitres
d'encre vendue plusieurs milliers d'euros le litre.
Méthode mixte. Globalement, vous vous rendrez compte que pour avoir une
qualité de tirage équivalente (mais jamais aussi bonne) à un tirage
argentique en 24 x 30, il vous faudra investir dans le haut de gamme
(appareil, ordinateur, imprimante, encre, papier) et s'armer de
patience. Si c'est l'urgence de voir vos photos apparaître, sitôt
prises, au dos de l'appareil qui vous motive, vous serez quitte.
D'autant qu'il faut classer ses photos dans son ordinateur afin de les
retrouver, les placer sur CD et renouveler la manoeuvre périodiquement
(tous les trois ou dix ans, selon les experts) pour parer à tout risque
de dégénérescence des données. Le fichier sur CD doit alors être
replacé sur le disque dur, afin de graver un nouveau CD. Un film
argentique, quant à lui, dure au moins cent ans.
La solution réside peut-être dans l'éclectisme. L'effondrement des prix
de l'argentique permet, justement en raison de la chute de la demande,
d'acquérir d'excellents 24 x 36 d'occasion, et même neufs, à des prix
désormais très abordables. Il est en outre possible de transférer vos
films (négatifs et diapos) en numérique. Les scanners à plat de 300
euros offrent une qualité très satisfaisante. Cette méthode mixte peut
en satisfaire beaucoup, tant question coût que côté qualité.
(1) Tire son nom du fait que la pellicule est composée d'une gélatine
imprégnée de microcristaux d'halogénure d'argent, chlorure ou bromure.
En relisant toutes ces interventions, on peut voir qu'un aspect très important de la comparaison entre argentique et numérique est passé sous silence, c'est la dimension bien plus érotique de l'argentique comparé au numérique.
A contrario, je me demande combien de gens ont acheté des numériques dans le seul dessein de pouvoir faire discrètement des photos dont ils ne souhaitent pas confier le tirage à un laborantin voyeur ? N'était-ce pas là une des raisons du succés des Polaroid ?
Alain Riotor wrote:
En relisant toutes ces interventions, on peut voir qu'un aspect très
important de la comparaison entre argentique et numérique est passé
sous silence, c'est la dimension bien plus érotique de l'argentique
comparé au numérique.
A contrario, je me demande combien de gens ont acheté des numériques dans le
seul dessein de pouvoir faire discrètement des photos dont ils ne souhaitent
pas confier le tirage à un laborantin voyeur ? N'était-ce pas là une des
raisons du succés des Polaroid ?
En relisant toutes ces interventions, on peut voir qu'un aspect très important de la comparaison entre argentique et numérique est passé sous silence, c'est la dimension bien plus érotique de l'argentique comparé au numérique.
A contrario, je me demande combien de gens ont acheté des numériques dans le seul dessein de pouvoir faire discrètement des photos dont ils ne souhaitent pas confier le tirage à un laborantin voyeur ? N'était-ce pas là une des raisons du succés des Polaroid ?
Arkanode
"Alf92" <alf92[NO-SPAM]@freesurf.fr> a écrit dans le message de news: 41e0580c$0$5711$
Le chat ?
non le chat on le mange aussi. ça ressemble à du lapin.
Ah, j'aurais pensé que le chat aurait un goût un peu pisseux, comme la chèvre ... Mais cela doit dépendre de la race et des conditions d'élevage. Conclusion: mangez du royal birman élevé à la salade ...
"Alf92" <alf92[NO-SPAM]@freesurf.fr> a écrit dans le message de news:
41e0580c$0$5711$626a14ce@news.free.fr...
Le chat ?
non le chat on le mange aussi.
ça ressemble à du lapin.
Ah, j'aurais pensé que le chat aurait un goût un peu pisseux, comme la
chèvre ...
Mais cela doit dépendre de la race et des conditions d'élevage.
Conclusion: mangez du royal birman élevé à la salade ...
"Alf92" <alf92[NO-SPAM]@freesurf.fr> a écrit dans le message de news: 41e0580c$0$5711$
Le chat ?
non le chat on le mange aussi. ça ressemble à du lapin.
Ah, j'aurais pensé que le chat aurait un goût un peu pisseux, comme la chèvre ... Mais cela doit dépendre de la race et des conditions d'élevage. Conclusion: mangez du royal birman élevé à la salade ...
Eric
Daniel,
numérique vs argentique se pose. Quoique... quand on voit encore si souvent des gens demander au vendeur du magasin photo de changer la pellicule pour
eux, on peut se demander ce que ces gens savent faire avec un numérique...<<
Mon beau-père n'a jamais été fichu de placer une pellicule dans son appareil. Depuis 2 mois, il se sert de mon Fuji 6200 que j'ai lâchement délaissé et je pense que depuis lors il n'a jamais fait autant de photos de sa vie. J'ajoute que, maintenant, il prend du plaisir à photographier. Je préfère quand même changer la carte mémoire moi-même mais avec la capacité de celle que je lui ai mis, il a de quoi voir venir.
En conclusion : dans son cas, le numérique a changé sa vie de touriste. Cela n'a rien changé à la qualité de ses photos mais, au moins, il peut mitrailler sans compter.
Personnellement, je pense que l'argentique est, tout comme les machines à écrire et les locomotives à vapeur, destiné, à terme, au placard ou aux musées.
Eric
"Daniel Masse" a écrit dans le message de news: 41e0f038$0$11965$
JCL wrote:
C'était prévisible; il faut savoir se remettre en question et se reconvertir, dans la vie.
Ca, c'est le genre d'arguments utilisé par les fabricants, pour inciter les consommateurs à dépenser... Et ça marche !
Tant d'amateurs ont négocié la reprise de leur ancien 24 x 36 pour l'achat d'un numérique à la Fnac que le magasin a stoppé cette pratique et commencé à supprimer ses rayons «labo-photo».
Je pense que l'on peut, en gros, segmenter en trois le marché des photographes : - le plus gros segment, et de loin, est constitué de ceux qui ne cherchent qu'à conserver des souvenirs de famille et de voyage. Pour ceux-là, le choix numérique vs argentique se pose. Quoique... quand on voit encore si souvent des gens demander au vendeur du magasin photo de changer la pellicule pour eux, on peut se demander ce que ces gens savent faire avec un numérique... - à l'autre extrêmité, les pros. Ils ont compris ce que le numérique leur apporte, et savent choisir le procédé en fonction de l'utilisation - reste un segment disparate, composé de deux sous-segments : * les "amateurs éclairés", qui raisonnent comme les pros, avec la seule différence qu'ils ne vivent pas de leurs photos : ils savent choisir le procédé qui convient à leurs photos. * les "amateurs qui se croient éclairés", qui oublient que ce n'est pas l'appareil qui prend la photo, mais le photographe. Ceux-là regardent quel appareil a utilisé tel photographe ayant réalisé une bonne photo, et pensent qu'avec le même appareil, ils feront aussi bien...
Que chacun se reconnaisse...
Mieux vaut savoir que les numériques, même s'ils sont faits pour durer, ce dont on peut douter,
Pourquoi? Avec un numérique, on peut faire sans souci des milliers de photos...
Certes. Mais essaie de vendre un numérique qui a un ou deux ans d'âge...
Oui, eh beihn les labos font d'excellents tirages numérique, si on ne veut pas tirer soi-mêle.
Bien entendu, et c'est ce qu'il faut faire. Imprimer chez soi coûte cher, en investissement, en consommables, et en temps.
La solution réside peut-être dans l'éclectisme. L'effondrement des prix de l'argentique permet, justement en raison de la chute de la demande, d'acquérir d'excellents 24 x 36 d'occasion, et même neufs, à des prix désormais très abordables. Il est en outre possible de transférer vos films (négatifs et diapos) en numérique. Les scanners à plat de 300 euros offrent une qualité très satisfaisante. Cette méthode mixte peut en satisfaire beaucoup, tant question coût que côté qualité.
Si c'est pour numériser les négatifs, pourquoi ne pas prendre les photos directement en numérique? Comprends pas là...
C'est la solution que j'ai adoptée : j'utilisais des négatifs pour mes photos "souvenirs", mais je n'étais jamais satisfait des tirages obtenus - de plus, dans ce type de photo, il faut souvent choisir les meilleures, alors que le labo les tire toutes. Maintenant, j'utilise des diapos pour toutes mes photos. Je scanne celles que je veux tirer, et je les fait tirer à l'extérieur. Scanner une photo ne prend qu'une ou deux minutes.
Daniel,
numérique vs argentique se pose. Quoique... quand on voit encore si
souvent
des gens demander au vendeur du magasin photo de changer la pellicule pour
eux, on peut se demander ce que ces gens savent faire avec un
numérique...<<
Mon beau-père n'a jamais été fichu de placer une pellicule dans son
appareil. Depuis 2 mois, il se sert de mon Fuji 6200 que j'ai lâchement
délaissé et je pense que depuis lors il n'a jamais fait autant de photos de
sa vie. J'ajoute que, maintenant, il prend du plaisir à photographier.
Je préfère quand même changer la carte mémoire moi-même mais avec la
capacité de celle que je lui ai mis, il a de quoi voir venir.
En conclusion : dans son cas, le numérique a changé sa vie de touriste. Cela
n'a rien changé à la qualité de ses photos mais, au moins, il peut
mitrailler sans compter.
Personnellement, je pense que l'argentique est, tout comme les machines à
écrire et les locomotives à vapeur, destiné, à terme, au placard ou aux
musées.
Eric
"Daniel Masse" <pas_de_spam_masse.dan@free.fr> a écrit dans le message de
news: 41e0f038$0$11965$636a15ce@news.free.fr...
JCL wrote:
C'était prévisible; il faut savoir se remettre en question et se
reconvertir, dans la vie.
Ca, c'est le genre d'arguments utilisé par les fabricants, pour inciter
les consommateurs à dépenser... Et ça marche !
Tant d'amateurs ont négocié la reprise de leur ancien 24 x 36 pour
l'achat d'un numérique à la Fnac que le magasin a stoppé cette
pratique et commencé à supprimer ses rayons «labo-photo».
Je pense que l'on peut, en gros, segmenter en trois le marché des
photographes :
- le plus gros segment, et de loin, est constitué de ceux qui ne cherchent
qu'à conserver des souvenirs de famille et de voyage. Pour ceux-là, le
choix numérique vs argentique se pose. Quoique... quand on voit encore si
souvent des gens demander au vendeur du magasin photo de changer la
pellicule pour eux, on peut se demander ce que ces gens savent faire avec
un numérique...
- à l'autre extrêmité, les pros. Ils ont compris ce que le numérique leur
apporte, et savent choisir le procédé en fonction de l'utilisation
- reste un segment disparate, composé de deux sous-segments :
* les "amateurs éclairés", qui raisonnent comme les pros, avec la seule
différence qu'ils ne vivent pas de leurs photos : ils savent choisir le
procédé qui convient à leurs photos.
* les "amateurs qui se croient éclairés", qui oublient que ce n'est pas
l'appareil qui prend la photo, mais le photographe. Ceux-là regardent quel
appareil a utilisé tel photographe ayant réalisé une bonne photo, et
pensent qu'avec le même appareil, ils feront aussi bien...
Que chacun se reconnaisse...
Mieux vaut savoir que les numériques, même s'ils sont faits pour
durer, ce dont on peut douter,
Pourquoi? Avec un numérique, on peut faire sans souci des milliers de
photos...
Certes. Mais essaie de vendre un numérique qui a un ou deux ans d'âge...
Oui, eh beihn les labos font d'excellents tirages numérique, si on ne
veut pas tirer soi-mêle.
Bien entendu, et c'est ce qu'il faut faire. Imprimer chez soi coûte cher,
en investissement, en consommables, et en temps.
La solution réside peut-être dans l'éclectisme. L'effondrement des
prix de l'argentique permet, justement en raison de la chute de la
demande, d'acquérir d'excellents 24 x 36 d'occasion, et même neufs,
à des prix désormais très abordables. Il est en outre possible de
transférer vos films (négatifs et diapos) en numérique. Les scanners
à plat de 300 euros offrent une qualité très satisfaisante. Cette
méthode mixte peut en satisfaire beaucoup, tant question coût que
côté qualité.
Si c'est pour numériser les négatifs, pourquoi ne pas prendre les
photos directement en numérique? Comprends pas là...
C'est la solution que j'ai adoptée : j'utilisais des négatifs pour mes
photos "souvenirs", mais je n'étais jamais satisfait des tirages obtenus -
de plus, dans ce type de photo, il faut souvent choisir les meilleures,
alors que le labo les tire toutes. Maintenant, j'utilise des diapos pour
toutes mes photos. Je scanne celles que je veux tirer, et je les fait
tirer à l'extérieur. Scanner une photo ne prend qu'une ou deux minutes.
numérique vs argentique se pose. Quoique... quand on voit encore si souvent des gens demander au vendeur du magasin photo de changer la pellicule pour
eux, on peut se demander ce que ces gens savent faire avec un numérique...<<
Mon beau-père n'a jamais été fichu de placer une pellicule dans son appareil. Depuis 2 mois, il se sert de mon Fuji 6200 que j'ai lâchement délaissé et je pense que depuis lors il n'a jamais fait autant de photos de sa vie. J'ajoute que, maintenant, il prend du plaisir à photographier. Je préfère quand même changer la carte mémoire moi-même mais avec la capacité de celle que je lui ai mis, il a de quoi voir venir.
En conclusion : dans son cas, le numérique a changé sa vie de touriste. Cela n'a rien changé à la qualité de ses photos mais, au moins, il peut mitrailler sans compter.
Personnellement, je pense que l'argentique est, tout comme les machines à écrire et les locomotives à vapeur, destiné, à terme, au placard ou aux musées.
Eric
"Daniel Masse" a écrit dans le message de news: 41e0f038$0$11965$
JCL wrote:
C'était prévisible; il faut savoir se remettre en question et se reconvertir, dans la vie.
Ca, c'est le genre d'arguments utilisé par les fabricants, pour inciter les consommateurs à dépenser... Et ça marche !
Tant d'amateurs ont négocié la reprise de leur ancien 24 x 36 pour l'achat d'un numérique à la Fnac que le magasin a stoppé cette pratique et commencé à supprimer ses rayons «labo-photo».
Je pense que l'on peut, en gros, segmenter en trois le marché des photographes : - le plus gros segment, et de loin, est constitué de ceux qui ne cherchent qu'à conserver des souvenirs de famille et de voyage. Pour ceux-là, le choix numérique vs argentique se pose. Quoique... quand on voit encore si souvent des gens demander au vendeur du magasin photo de changer la pellicule pour eux, on peut se demander ce que ces gens savent faire avec un numérique... - à l'autre extrêmité, les pros. Ils ont compris ce que le numérique leur apporte, et savent choisir le procédé en fonction de l'utilisation - reste un segment disparate, composé de deux sous-segments : * les "amateurs éclairés", qui raisonnent comme les pros, avec la seule différence qu'ils ne vivent pas de leurs photos : ils savent choisir le procédé qui convient à leurs photos. * les "amateurs qui se croient éclairés", qui oublient que ce n'est pas l'appareil qui prend la photo, mais le photographe. Ceux-là regardent quel appareil a utilisé tel photographe ayant réalisé une bonne photo, et pensent qu'avec le même appareil, ils feront aussi bien...
Que chacun se reconnaisse...
Mieux vaut savoir que les numériques, même s'ils sont faits pour durer, ce dont on peut douter,
Pourquoi? Avec un numérique, on peut faire sans souci des milliers de photos...
Certes. Mais essaie de vendre un numérique qui a un ou deux ans d'âge...
Oui, eh beihn les labos font d'excellents tirages numérique, si on ne veut pas tirer soi-mêle.
Bien entendu, et c'est ce qu'il faut faire. Imprimer chez soi coûte cher, en investissement, en consommables, et en temps.
La solution réside peut-être dans l'éclectisme. L'effondrement des prix de l'argentique permet, justement en raison de la chute de la demande, d'acquérir d'excellents 24 x 36 d'occasion, et même neufs, à des prix désormais très abordables. Il est en outre possible de transférer vos films (négatifs et diapos) en numérique. Les scanners à plat de 300 euros offrent une qualité très satisfaisante. Cette méthode mixte peut en satisfaire beaucoup, tant question coût que côté qualité.
Si c'est pour numériser les négatifs, pourquoi ne pas prendre les photos directement en numérique? Comprends pas là...
C'est la solution que j'ai adoptée : j'utilisais des négatifs pour mes photos "souvenirs", mais je n'étais jamais satisfait des tirages obtenus - de plus, dans ce type de photo, il faut souvent choisir les meilleures, alors que le labo les tire toutes. Maintenant, j'utilise des diapos pour toutes mes photos. Je scanne celles que je veux tirer, et je les fait tirer à l'extérieur. Scanner une photo ne prend qu'une ou deux minutes.
filh
<Alain> wrote:
Il est vrai que le cheval s'obstine à ne rien comprendre quand il est mal
Par contre si vous pouviez comprendre comment on cite un article ce serait cool...
La méthode :
http://www.giromini.org/usenet-fr/repondre.html
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
<Alain> wrote:
Il est vrai que le cheval s'obstine à ne rien comprendre quand il est mal
Par contre si vous pouviez comprendre comment on cite un article ce
serait cool...
La méthode :
http://www.giromini.org/usenet-fr/repondre.html
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Il est vrai que le cheval s'obstine à ne rien comprendre quand il est mal
Par contre si vous pouviez comprendre comment on cite un article ce serait cool...
La méthode :
http://www.giromini.org/usenet-fr/repondre.html
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
filh
<Alain> wrote:
En relisant toutes ces interventions, on peut voir qu'un aspect très important de la comparaison entre argentique et numérique est passé sous silence, c'est la dimension bien plus érotique de l'argentique comparé au numérique.
Ah mais non, les têtes se rejoignent au dessus de l'écran du portable, et en plus ça ne sent pas mauvais. On peut en profiter pour mettre du Vivaldi sur le lecteur mp3...
FiLH -- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
<Alain> wrote:
En relisant toutes ces interventions, on peut voir qu'un aspect très
important de la comparaison entre argentique et numérique est passé sous
silence, c'est la dimension bien plus érotique de l'argentique comparé au
numérique.
Ah mais non, les têtes se rejoignent au dessus de l'écran du portable,
et en plus ça ne sent pas mauvais. On peut en profiter pour mettre du
Vivaldi sur le lecteur mp3...
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
En relisant toutes ces interventions, on peut voir qu'un aspect très important de la comparaison entre argentique et numérique est passé sous silence, c'est la dimension bien plus érotique de l'argentique comparé au numérique.
Ah mais non, les têtes se rejoignent au dessus de l'écran du portable, et en plus ça ne sent pas mauvais. On peut en profiter pour mettre du Vivaldi sur le lecteur mp3...
FiLH -- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Noëlle Adam
Pierre Pallier wrote:
Ça ne vaut pas un poulpe, côté intelligence. Le probable remplaçant de l'humanité, d'après le Professeur Théodore Monod. C'est bon, le poulpe, aussi.
Exquis.
Noëlle
Pierre Pallier wrote:
Ça ne vaut pas un poulpe, côté intelligence.
Le probable remplaçant de l'humanité, d'après le Professeur Théodore Monod.
C'est bon, le poulpe, aussi.
Par contre si vous pouviez comprendre comment on cite un article ce serait cool...
Merci. Je ne savais pas. Est-ce correct à présent ? Ou trop laconique ? Ce me semble excellent.
Cordialement Jovialement
Alain RIOTOR Pierre STIATOR
Pierre Pallier
Hello, FiLH a écrit dans <news:1gq48aw.1l6ny7hmkowogN%
Tout ça me fait penser à une réaction que j'ai eu qui m'a bien étonné : en lisant mon journal local je suis tombé sur une boite qui fait de l'analyse de sol en faisant bouffer la terre par des vers de terre et en analysant le broyat des dits verts. Et j'ai trouvé ça carrément violent.
Qu'est-ce qui est vert et qui devient rouge quand on appuie sur un bouton ? Une grenouille dans un mixer. -- Pierre. Au point où en est ce thread...
Hello, FiLH a écrit dans <news:1gq48aw.1l6ny7hmkowogN%filh@filh.orgie>
Tout ça me fait penser à une réaction que j'ai eu qui m'a bien étonné :
en lisant mon journal local je suis tombé sur une boite qui fait de
l'analyse de sol en faisant bouffer la terre par des vers de terre et en
analysant le broyat des dits verts. Et j'ai trouvé ça carrément violent.
Qu'est-ce qui est vert et qui devient rouge quand on appuie sur un bouton ?
Une grenouille dans un mixer.
--
Pierre.
Au point où en est ce thread...
Hello, FiLH a écrit dans <news:1gq48aw.1l6ny7hmkowogN%
Tout ça me fait penser à une réaction que j'ai eu qui m'a bien étonné : en lisant mon journal local je suis tombé sur une boite qui fait de l'analyse de sol en faisant bouffer la terre par des vers de terre et en analysant le broyat des dits verts. Et j'ai trouvé ça carrément violent.
Qu'est-ce qui est vert et qui devient rouge quand on appuie sur un bouton ? Une grenouille dans un mixer. -- Pierre. Au point où en est ce thread...
HyperDupont
Ah, j'aurais pensé que le chat aurait un goût un peu pisseux, comme la chèvre ... t'as dû manger que des rognons...
pas le cab'i si délicieux qu'on mange aux antilles !!;-(
Mais cela doit dépendre de la race et des conditions d'élevage. Conclusion: mangez du royal birman élevé à la salade ...
Ah, j'aurais pensé que le chat aurait un goût un peu pisseux, comme la
chèvre ...
t'as dû manger que des rognons...
pas le cab'i si délicieux qu'on mange aux antilles !!;-(
Mais cela doit dépendre de la race et des conditions d'élevage.
Conclusion: mangez du royal birman élevé à la salade ...