Consommation. Face aux numériques, les appareils classiques offrent
pérennité et qualité.
L'argentique, étalon-or de la photo
Par Philippe GRANGEREAU
jeudi 06 janvier 2005 (Liberation - 06:00)
'appareil photo, celui que vous comptez acheter, le voulez-vous en
numérique ou en argentique (1) ? La plupart des amateurs optent pour
l'appareil à pixels. Il s'en est vendu 2,7 millions en France en 2003,
une extraordinaire progression de 145 % en un an, qui s'est confirmée
en 2004. Dans le même temps, il ne s'est vendu que 900 000 appareils
argentiques, un marché en baisse de 40 % en moyenne, tellement sinistré
que le fabriquant de films Kodak n'investit déjà plus dans l'argentique
et qu'Ilford est en dépôt de bilan.
Tant d'amateurs ont négocié la reprise de leur ancien 24 x 36 pour
l'achat d'un numérique à la Fnac que le magasin a stoppé cette pratique
et commencé à supprimer ses rayons «labo-photo». «A Paris, on ne trouve
désormais de produits labo-photo que dans une dizaine de magasins
spécialisés», explique un employé de Prophot. «Le marché de
l'argentique s'est totalement effondré en deux ans, en chutant de 75
%», précise le directeur des laboratoires d'essai de la Fnac, Victor
Jachimowicz.
Revente à un gogo. La «mort de l'argentique» suscite bien des réactions
nostalgiques sur les forums spécialisés d'amateurs éclairés. Avant de
sauter le pas vers le numérique, mettent en garde ces passionnés, mieux
vaut savoir qu'à bien des égards rien ne remplace l'argentique. Si les
publicités vantent les compacts numériques «haute définition» de 6 ou 8
millions de pixels à des prix tournant autour de 1 000 euros, il reste
qu'un négatif classique renferme l'équivalent de 20 à 23 millions de
pixels.
En outre, un appareil argentique à prix modique (un peu plus de 100
euros) permet d'atteindre cette performance - que seul un appareil
professionnel numérique au coût exorbitant pourrait réitérer. «Ces 20 à
23 millions de pixels ne représentent qu'un potentiel
d'agrandissement», tempère-t-on à la Fnac, qui note que «le nombre de
personnes voulant agrandir leurs photos en 30 x 40 était de toute façon
ridicule».
Mieux vaut savoir que les numériques, même s'ils sont faits pour durer,
ce dont on peut douter, deviendront très vite obsolètes et que vous ne
pourrez pas les revendre à moins de tomber sur un gogo. Mieux vaut
savoir aussi que la facilité apparente du numérique peut se traduire en
pratique par de sacrées séances de casse-tête devant l'ordinateur, en
pestant sur l'imprimante qui n'imprime pas la photo que vous avez
passée des heures à retoucher avec un logiciel «convivial», gâchant des
quantités imprévues de papier onéreux et de dispendieux picolitres
d'encre vendue plusieurs milliers d'euros le litre.
Méthode mixte. Globalement, vous vous rendrez compte que pour avoir une
qualité de tirage équivalente (mais jamais aussi bonne) à un tirage
argentique en 24 x 30, il vous faudra investir dans le haut de gamme
(appareil, ordinateur, imprimante, encre, papier) et s'armer de
patience. Si c'est l'urgence de voir vos photos apparaître, sitôt
prises, au dos de l'appareil qui vous motive, vous serez quitte.
D'autant qu'il faut classer ses photos dans son ordinateur afin de les
retrouver, les placer sur CD et renouveler la manoeuvre périodiquement
(tous les trois ou dix ans, selon les experts) pour parer à tout risque
de dégénérescence des données. Le fichier sur CD doit alors être
replacé sur le disque dur, afin de graver un nouveau CD. Un film
argentique, quant à lui, dure au moins cent ans.
La solution réside peut-être dans l'éclectisme. L'effondrement des prix
de l'argentique permet, justement en raison de la chute de la demande,
d'acquérir d'excellents 24 x 36 d'occasion, et même neufs, à des prix
désormais très abordables. Il est en outre possible de transférer vos
films (négatifs et diapos) en numérique. Les scanners à plat de 300
euros offrent une qualité très satisfaisante. Cette méthode mixte peut
en satisfaire beaucoup, tant question coût que côté qualité.
(1) Tire son nom du fait que la pellicule est composée d'une gélatine
imprégnée de microcristaux d'halogénure d'argent, chlorure ou bromure.
Je n'ai aucun avis sur le numerique, mon portefeuille oui. Mon choix est fait : c'est le sien !
"Ronano" a écrit dans le message news:
Consommation. Face aux numériques, les appareils classiques offrent pérennité et qualité. L'argentique, étalon-or de la photo
Par Philippe GRANGEREAU
jeudi 06 janvier 2005 (Liberation - 06:00)
'appareil photo, celui que vous comptez acheter, le voulez-vous en numérique ou en argentique (1) ? La plupart des amateurs optent pour l'appareil à pixels. Il s'en est vendu 2,7 millions en France en 2003, une extraordinaire progression de 145 % en un an, qui s'est confirmée en 2004. Dans le même temps, il ne s'est vendu que 900 000 appareils argentiques, un marché en baisse de 40 % en moyenne, tellement sinistré que le fabriquant de films Kodak n'investit déjà plus dans l'argentique et qu'Ilford est en dépôt de bilan.
Tant d'amateurs ont négocié la reprise de leur ancien 24 x 36 pour l'achat d'un numérique à la Fnac que le magasin a stoppé cette pratique et commencé à supprimer ses rayons «labo-photo». «A Paris, on ne trouve désormais de produits labo-photo que dans une dizaine de magasins spécialisés», explique un employé de Prophot. «Le marché de l'argentique s'est totalement effondré en deux ans, en chutant de 75 %», précise le directeur des laboratoires d'essai de la Fnac, Victor Jachimowicz.
Revente à un gogo. La «mort de l'argentique» suscite bien des réactions nostalgiques sur les forums spécialisés d'amateurs éclairés. Avant de sauter le pas vers le numérique, mettent en garde ces passionnés, mieux vaut savoir qu'à bien des égards rien ne remplace l'argentique. Si les publicités vantent les compacts numériques «haute définition» de 6 ou 8 millions de pixels à des prix tournant autour de 1 000 euros, il reste qu'un négatif classique renferme l'équivalent de 20 à 23 millions de pixels.
En outre, un appareil argentique à prix modique (un peu plus de 100 euros) permet d'atteindre cette performance - que seul un appareil professionnel numérique au coût exorbitant pourrait réitérer. «Ces 20 à 23 millions de pixels ne représentent qu'un potentiel d'agrandissement», tempère-t-on à la Fnac, qui note que «le nombre de personnes voulant agrandir leurs photos en 30 x 40 était de toute façon ridicule».
Mieux vaut savoir que les numériques, même s'ils sont faits pour durer, ce dont on peut douter, deviendront très vite obsolètes et que vous ne pourrez pas les revendre à moins de tomber sur un gogo. Mieux vaut savoir aussi que la facilité apparente du numérique peut se traduire en pratique par de sacrées séances de casse-tête devant l'ordinateur, en pestant sur l'imprimante qui n'imprime pas la photo que vous avez passée des heures à retoucher avec un logiciel «convivial», gâchant des quantités imprévues de papier onéreux et de dispendieux picolitres d'encre vendue plusieurs milliers d'euros le litre.
Méthode mixte. Globalement, vous vous rendrez compte que pour avoir une qualité de tirage équivalente (mais jamais aussi bonne) à un tirage argentique en 24 x 30, il vous faudra investir dans le haut de gamme (appareil, ordinateur, imprimante, encre, papier) et s'armer de patience. Si c'est l'urgence de voir vos photos apparaître, sitôt prises, au dos de l'appareil qui vous motive, vous serez quitte. D'autant qu'il faut classer ses photos dans son ordinateur afin de les retrouver, les placer sur CD et renouveler la manoeuvre périodiquement (tous les trois ou dix ans, selon les experts) pour parer à tout risque de dégénérescence des données. Le fichier sur CD doit alors être replacé sur le disque dur, afin de graver un nouveau CD. Un film argentique, quant à lui, dure au moins cent ans.
La solution réside peut-être dans l'éclectisme. L'effondrement des prix de l'argentique permet, justement en raison de la chute de la demande, d'acquérir d'excellents 24 x 36 d'occasion, et même neufs, à des prix désormais très abordables. Il est en outre possible de transférer vos films (négatifs et diapos) en numérique. Les scanners à plat de 300 euros offrent une qualité très satisfaisante. Cette méthode mixte peut en satisfaire beaucoup, tant question coût que côté qualité.
(1) Tire son nom du fait que la pellicule est composée d'une gélatine imprégnée de microcristaux d'halogénure d'argent, chlorure ou bromure.
-- Ronano
Je n'ai aucun avis sur le numerique, mon portefeuille oui.
Mon choix est fait : c'est le sien !
"Ronano" <xxx@xxx.fr> a écrit dans le message news:
mn.382a7d513b6f06c2.23670@xxx.fr...
Consommation. Face aux numériques, les appareils classiques offrent
pérennité et qualité.
L'argentique, étalon-or de la photo
Par Philippe GRANGEREAU
jeudi 06 janvier 2005 (Liberation - 06:00)
'appareil photo, celui que vous comptez acheter, le voulez-vous en
numérique ou en argentique (1) ? La plupart des amateurs optent pour
l'appareil à pixels. Il s'en est vendu 2,7 millions en France en 2003,
une extraordinaire progression de 145 % en un an, qui s'est confirmée
en 2004. Dans le même temps, il ne s'est vendu que 900 000 appareils
argentiques, un marché en baisse de 40 % en moyenne, tellement sinistré
que le fabriquant de films Kodak n'investit déjà plus dans l'argentique
et qu'Ilford est en dépôt de bilan.
Tant d'amateurs ont négocié la reprise de leur ancien 24 x 36 pour
l'achat d'un numérique à la Fnac que le magasin a stoppé cette pratique
et commencé à supprimer ses rayons «labo-photo». «A Paris, on ne trouve
désormais de produits labo-photo que dans une dizaine de magasins
spécialisés», explique un employé de Prophot. «Le marché de
l'argentique s'est totalement effondré en deux ans, en chutant de 75
%», précise le directeur des laboratoires d'essai de la Fnac, Victor
Jachimowicz.
Revente à un gogo. La «mort de l'argentique» suscite bien des réactions
nostalgiques sur les forums spécialisés d'amateurs éclairés. Avant de
sauter le pas vers le numérique, mettent en garde ces passionnés, mieux
vaut savoir qu'à bien des égards rien ne remplace l'argentique. Si les
publicités vantent les compacts numériques «haute définition» de 6 ou 8
millions de pixels à des prix tournant autour de 1 000 euros, il reste
qu'un négatif classique renferme l'équivalent de 20 à 23 millions de
pixels.
En outre, un appareil argentique à prix modique (un peu plus de 100
euros) permet d'atteindre cette performance - que seul un appareil
professionnel numérique au coût exorbitant pourrait réitérer. «Ces 20 à
23 millions de pixels ne représentent qu'un potentiel
d'agrandissement», tempère-t-on à la Fnac, qui note que «le nombre de
personnes voulant agrandir leurs photos en 30 x 40 était de toute façon
ridicule».
Mieux vaut savoir que les numériques, même s'ils sont faits pour durer,
ce dont on peut douter, deviendront très vite obsolètes et que vous ne
pourrez pas les revendre à moins de tomber sur un gogo. Mieux vaut
savoir aussi que la facilité apparente du numérique peut se traduire en
pratique par de sacrées séances de casse-tête devant l'ordinateur, en
pestant sur l'imprimante qui n'imprime pas la photo que vous avez
passée des heures à retoucher avec un logiciel «convivial», gâchant des
quantités imprévues de papier onéreux et de dispendieux picolitres
d'encre vendue plusieurs milliers d'euros le litre.
Méthode mixte. Globalement, vous vous rendrez compte que pour avoir une
qualité de tirage équivalente (mais jamais aussi bonne) à un tirage
argentique en 24 x 30, il vous faudra investir dans le haut de gamme
(appareil, ordinateur, imprimante, encre, papier) et s'armer de
patience. Si c'est l'urgence de voir vos photos apparaître, sitôt
prises, au dos de l'appareil qui vous motive, vous serez quitte.
D'autant qu'il faut classer ses photos dans son ordinateur afin de les
retrouver, les placer sur CD et renouveler la manoeuvre périodiquement
(tous les trois ou dix ans, selon les experts) pour parer à tout risque
de dégénérescence des données. Le fichier sur CD doit alors être
replacé sur le disque dur, afin de graver un nouveau CD. Un film
argentique, quant à lui, dure au moins cent ans.
La solution réside peut-être dans l'éclectisme. L'effondrement des prix
de l'argentique permet, justement en raison de la chute de la demande,
d'acquérir d'excellents 24 x 36 d'occasion, et même neufs, à des prix
désormais très abordables. Il est en outre possible de transférer vos
films (négatifs et diapos) en numérique. Les scanners à plat de 300
euros offrent une qualité très satisfaisante. Cette méthode mixte peut
en satisfaire beaucoup, tant question coût que côté qualité.
(1) Tire son nom du fait que la pellicule est composée d'une gélatine
imprégnée de microcristaux d'halogénure d'argent, chlorure ou bromure.
Je n'ai aucun avis sur le numerique, mon portefeuille oui. Mon choix est fait : c'est le sien !
"Ronano" a écrit dans le message news:
Consommation. Face aux numériques, les appareils classiques offrent pérennité et qualité. L'argentique, étalon-or de la photo
Par Philippe GRANGEREAU
jeudi 06 janvier 2005 (Liberation - 06:00)
'appareil photo, celui que vous comptez acheter, le voulez-vous en numérique ou en argentique (1) ? La plupart des amateurs optent pour l'appareil à pixels. Il s'en est vendu 2,7 millions en France en 2003, une extraordinaire progression de 145 % en un an, qui s'est confirmée en 2004. Dans le même temps, il ne s'est vendu que 900 000 appareils argentiques, un marché en baisse de 40 % en moyenne, tellement sinistré que le fabriquant de films Kodak n'investit déjà plus dans l'argentique et qu'Ilford est en dépôt de bilan.
Tant d'amateurs ont négocié la reprise de leur ancien 24 x 36 pour l'achat d'un numérique à la Fnac que le magasin a stoppé cette pratique et commencé à supprimer ses rayons «labo-photo». «A Paris, on ne trouve désormais de produits labo-photo que dans une dizaine de magasins spécialisés», explique un employé de Prophot. «Le marché de l'argentique s'est totalement effondré en deux ans, en chutant de 75 %», précise le directeur des laboratoires d'essai de la Fnac, Victor Jachimowicz.
Revente à un gogo. La «mort de l'argentique» suscite bien des réactions nostalgiques sur les forums spécialisés d'amateurs éclairés. Avant de sauter le pas vers le numérique, mettent en garde ces passionnés, mieux vaut savoir qu'à bien des égards rien ne remplace l'argentique. Si les publicités vantent les compacts numériques «haute définition» de 6 ou 8 millions de pixels à des prix tournant autour de 1 000 euros, il reste qu'un négatif classique renferme l'équivalent de 20 à 23 millions de pixels.
En outre, un appareil argentique à prix modique (un peu plus de 100 euros) permet d'atteindre cette performance - que seul un appareil professionnel numérique au coût exorbitant pourrait réitérer. «Ces 20 à 23 millions de pixels ne représentent qu'un potentiel d'agrandissement», tempère-t-on à la Fnac, qui note que «le nombre de personnes voulant agrandir leurs photos en 30 x 40 était de toute façon ridicule».
Mieux vaut savoir que les numériques, même s'ils sont faits pour durer, ce dont on peut douter, deviendront très vite obsolètes et que vous ne pourrez pas les revendre à moins de tomber sur un gogo. Mieux vaut savoir aussi que la facilité apparente du numérique peut se traduire en pratique par de sacrées séances de casse-tête devant l'ordinateur, en pestant sur l'imprimante qui n'imprime pas la photo que vous avez passée des heures à retoucher avec un logiciel «convivial», gâchant des quantités imprévues de papier onéreux et de dispendieux picolitres d'encre vendue plusieurs milliers d'euros le litre.
Méthode mixte. Globalement, vous vous rendrez compte que pour avoir une qualité de tirage équivalente (mais jamais aussi bonne) à un tirage argentique en 24 x 30, il vous faudra investir dans le haut de gamme (appareil, ordinateur, imprimante, encre, papier) et s'armer de patience. Si c'est l'urgence de voir vos photos apparaître, sitôt prises, au dos de l'appareil qui vous motive, vous serez quitte. D'autant qu'il faut classer ses photos dans son ordinateur afin de les retrouver, les placer sur CD et renouveler la manoeuvre périodiquement (tous les trois ou dix ans, selon les experts) pour parer à tout risque de dégénérescence des données. Le fichier sur CD doit alors être replacé sur le disque dur, afin de graver un nouveau CD. Un film argentique, quant à lui, dure au moins cent ans.
La solution réside peut-être dans l'éclectisme. L'effondrement des prix de l'argentique permet, justement en raison de la chute de la demande, d'acquérir d'excellents 24 x 36 d'occasion, et même neufs, à des prix désormais très abordables. Il est en outre possible de transférer vos films (négatifs et diapos) en numérique. Les scanners à plat de 300 euros offrent une qualité très satisfaisante. Cette méthode mixte peut en satisfaire beaucoup, tant question coût que côté qualité.
(1) Tire son nom du fait que la pellicule est composée d'une gélatine imprégnée de microcristaux d'halogénure d'argent, chlorure ou bromure.
-- Ronano
Alain Riotor
Dans « Quo Vadis » de Henrik Sienkiewicz (le roman, pas le film), il y a des considérations intéressantes sur la question. Mais j'ai l'impression que nous sommes un peu hors sujet...
Horreur, je me suis trompé, c'est dans « Neropolis » de Hubert Monteilhet. Je me disais aussi que ça ne collait pas avec le reste de l'histoire.=
Dans « Quo Vadis » de Henrik Sienkiewicz (le roman, pas le film), il y a
des considérations intéressantes sur la question.
Mais j'ai l'impression que nous sommes un peu hors sujet...
Horreur, je me suis trompé, c'est dans « Neropolis » de Hubert
Monteilhet.
Je me disais aussi que ça ne collait pas avec le reste de l'histoire.=
Dans « Quo Vadis » de Henrik Sienkiewicz (le roman, pas le film), il y a des considérations intéressantes sur la question. Mais j'ai l'impression que nous sommes un peu hors sujet...
Horreur, je me suis trompé, c'est dans « Neropolis » de Hubert Monteilhet. Je me disais aussi que ça ne collait pas avec le reste de l'histoire.=
Alf92
Alain Riotor a dit ça :
Dans « Quo Vadis » de Henrik Sienkiewicz (le roman, pas le film), il y a des considérations intéressantes sur la question. Mais j'ai l'impression que nous sommes un peu hors sujet...
Horreur, je me suis trompé, c'est dans « Neropolis » de Hubert Monteilhet. Je me disais aussi que ça ne collait pas avec le reste de l'histoire.
mon dieu ! et dire que j'aurais pu m'endormir la dessus ! :)
-- Cordialement, Alf92
Alain Riotor a dit ça :
Dans « Quo Vadis » de Henrik Sienkiewicz (le roman, pas le film), il
y a des considérations intéressantes sur la question.
Mais j'ai l'impression que nous sommes un peu hors sujet...
Horreur, je me suis trompé, c'est dans « Neropolis » de Hubert
Monteilhet.
Je me disais aussi que ça ne collait pas avec le reste de l'histoire.
mon dieu ! et dire que j'aurais pu m'endormir la dessus ! :)
Dans « Quo Vadis » de Henrik Sienkiewicz (le roman, pas le film), il y a des considérations intéressantes sur la question. Mais j'ai l'impression que nous sommes un peu hors sujet...
Horreur, je me suis trompé, c'est dans « Neropolis » de Hubert Monteilhet. Je me disais aussi que ça ne collait pas avec le reste de l'histoire.
mon dieu ! et dire que j'aurais pu m'endormir la dessus ! :)