J'ai toujours beaucoup de sauvegardes de mes photos. Dans la mesure du
possible, j'essaie de garder les anciennes quand j'en fais de
nouvelles. Parfois ça sert.
Voilà l'histoire...
en Juillet dernier je décide de passer toutes mes galettes sur disque
dur. *deux* disques durs identiques, pour en mettre un chez ma mère à
250km de chez moi, mais où je suis souvent en ce moment, pour le
préserver.
Pour ça il faut déjà faire un disque. Pas de problème.
Achat d'un deuxième disque (usb), synchronisation des disques. Aller
retour à Montpellier, photos... je me retrouve avec deux disques,
aucun tout à fait identique à l'autre.
Il y a une solution à ce problème, qui se nomme "unison", un rsync
symétrique, qui s'occupe d'avoir source et destination identique...
sauf que
le nouveau disque décède brutalement sans prévenir en cours de copie.
Pas de souci visible sur le moment, retour en garantie, échange fait,
copie vers le nouveau disque...
et, par hasard, je constate que quelques milliers de fichiers ont une
longueur nulle (taille zéro). Le nom existe, mais il n'y a pas de
photo dans le fichier!!
ça n'est pas si simple à gérer. Ca se voit avec "find . -empty". Le
souci, c'est que c'est le cas *sur les deux disques*. Il semble
qu'unison ai eu des soucis avec le disque dur au moment où il est
tombé en panne :-(
Le principal inconvénient d'un disque dur c'est qu'on peut y écrire,
il est donc difficile d’empêcher toute écriture accidentelle.
Heureusement, j'ai toujours mes galettes! Je suis donc en train de
reconstituer mes données.
- La SAUVEGARDE a pour but principal de faire face à un dommage sur le système en cours d'exploitation.
oui
Elle doit concerner l'ensemble des
données de travail : système, logiciels, fichiers de travail, données de configuration et d'organisation et permettre la reprise de fonctionnement, après résolution du problème, avec un minimum de pertes.
pas forcément du système, il est souvent plus rapide de réinstaller le système de base et donc de ne sauvegarder que ce qui est modifié par l'utilisateur. En effet, si la problème est matériel, la solution est souvent différente du produit fautif et les systèmes apprécient moyennement le changement de matériel. Ca reste peu génant.
Le dommage peut être matériel ou logiciel, accidentel (incendie, inondation, destruction, vol...) partiel ou total, localisé à l'appareil ou généralisé à l'environnement qui lui permet de fonctionner (périphériques, accessoires, mobilier...).
- L'ARCHIVAGE concerne des fichiers et dossiers clos et qui n'évolueront plus mais auxquels on souhaite pouvoir accéder de manière séquentielle ou occasionnelle (dans le cadre de réutilisations, de recherches historiques, de compilations...). Il est souvent plus volumineux que la sauvegarde, pose moins de problèmes de *versions* successives d'un même fichier, mais nécessite d'accorder une attention supplémentaire aux problèmes de classement, de nomenclature, de méta-données, et de maintien de compatibilité.
Dans les deux cas on met en regard les risques, les coûts et temps de restitution/reconstruction des données, voire le coût lié à leur perte éventuelle... avec les coûts (et temps de mise en oeuvre) des solutions choisies (et avec les moyens dont on dispose, qui peuvent imposer aussi des prises de risques, hélas)
Il est souvent considéré comme prudent de disposer de stockages (sauvegardes et archivages) hors-site, surtout quand les données sont uniques.
J'ai tendance à penser que la *nature* du numérique devrait imposer de ne jamais rien jeter de ce qui a été *créé*, dans la mesure du possible et du raisonnable. Pour moi, recommencer un travail déjà fait est un non-sens moderne (sauf valeur pédagogique).
Les données brutes sont parfois inutilement volumineuses. Actuellement je garde les originaux de mes photos, mais je me demande parfois pourquoi, et je ne garde que peu de temps mes originaus video (je viens de tourner, avec un collègue, au total 3h de spectacle, 4 caméras, 120 Go de données dont la plupart sans intérêt car redondantes).
à multiplier par le nombre de copies d'archive...
jdd
Le 13/12/2012 02:20, Gerald a écrit :
- La SAUVEGARDE a pour but principal de faire face à un dommage sur le
système en cours d'exploitation.
oui
Elle doit concerner l'ensemble des
données de travail : système, logiciels, fichiers de travail, données de
configuration et d'organisation et permettre la reprise de
fonctionnement, après résolution du problème, avec un minimum de pertes.
pas forcément du système, il est souvent plus rapide de réinstaller le
système de base et donc de ne sauvegarder que ce qui est modifié par
l'utilisateur. En effet, si la problème est matériel, la solution est
souvent différente du produit fautif et les systèmes apprécient
moyennement le changement de matériel. Ca reste peu génant.
Le dommage peut être matériel ou logiciel, accidentel (incendie,
inondation, destruction, vol...) partiel ou total, localisé à l'appareil
ou généralisé à l'environnement qui lui permet de fonctionner
(périphériques, accessoires, mobilier...).
- L'ARCHIVAGE concerne des fichiers et dossiers clos et qui n'évolueront
plus mais auxquels on souhaite pouvoir accéder de manière séquentielle
ou occasionnelle (dans le cadre de réutilisations, de recherches
historiques, de compilations...). Il est souvent plus volumineux que la
sauvegarde, pose moins de problèmes de *versions* successives d'un même
fichier, mais nécessite d'accorder une attention supplémentaire aux
problèmes de classement, de nomenclature, de méta-données, et de
maintien de compatibilité.
Dans les deux cas on met en regard les risques, les coûts et temps de
restitution/reconstruction des données, voire le coût lié à leur perte
éventuelle... avec les coûts (et temps de mise en oeuvre) des solutions
choisies (et avec les moyens dont on dispose, qui peuvent imposer aussi
des prises de risques, hélas)
Il est souvent considéré comme prudent de disposer de stockages
(sauvegardes et archivages) hors-site, surtout quand les données sont
uniques.
J'ai tendance à penser que la *nature* du numérique devrait imposer de
ne jamais rien jeter de ce qui a été *créé*, dans la mesure du possible
et du raisonnable. Pour moi, recommencer un travail déjà fait est un
non-sens moderne (sauf valeur pédagogique).
Les données brutes sont parfois inutilement volumineuses. Actuellement
je garde les originaux de mes photos, mais je me demande parfois
pourquoi, et je ne garde que peu de temps mes originaus video (je
viens de tourner, avec un collègue, au total 3h de spectacle, 4
caméras, 120 Go de données dont la plupart sans intérêt car redondantes).
- La SAUVEGARDE a pour but principal de faire face à un dommage sur le système en cours d'exploitation.
oui
Elle doit concerner l'ensemble des
données de travail : système, logiciels, fichiers de travail, données de configuration et d'organisation et permettre la reprise de fonctionnement, après résolution du problème, avec un minimum de pertes.
pas forcément du système, il est souvent plus rapide de réinstaller le système de base et donc de ne sauvegarder que ce qui est modifié par l'utilisateur. En effet, si la problème est matériel, la solution est souvent différente du produit fautif et les systèmes apprécient moyennement le changement de matériel. Ca reste peu génant.
Le dommage peut être matériel ou logiciel, accidentel (incendie, inondation, destruction, vol...) partiel ou total, localisé à l'appareil ou généralisé à l'environnement qui lui permet de fonctionner (périphériques, accessoires, mobilier...).
- L'ARCHIVAGE concerne des fichiers et dossiers clos et qui n'évolueront plus mais auxquels on souhaite pouvoir accéder de manière séquentielle ou occasionnelle (dans le cadre de réutilisations, de recherches historiques, de compilations...). Il est souvent plus volumineux que la sauvegarde, pose moins de problèmes de *versions* successives d'un même fichier, mais nécessite d'accorder une attention supplémentaire aux problèmes de classement, de nomenclature, de méta-données, et de maintien de compatibilité.
Dans les deux cas on met en regard les risques, les coûts et temps de restitution/reconstruction des données, voire le coût lié à leur perte éventuelle... avec les coûts (et temps de mise en oeuvre) des solutions choisies (et avec les moyens dont on dispose, qui peuvent imposer aussi des prises de risques, hélas)
Il est souvent considéré comme prudent de disposer de stockages (sauvegardes et archivages) hors-site, surtout quand les données sont uniques.
J'ai tendance à penser que la *nature* du numérique devrait imposer de ne jamais rien jeter de ce qui a été *créé*, dans la mesure du possible et du raisonnable. Pour moi, recommencer un travail déjà fait est un non-sens moderne (sauf valeur pédagogique).
Les données brutes sont parfois inutilement volumineuses. Actuellement je garde les originaux de mes photos, mais je me demande parfois pourquoi, et je ne garde que peu de temps mes originaus video (je viens de tourner, avec un collègue, au total 3h de spectacle, 4 caméras, 120 Go de données dont la plupart sans intérêt car redondantes).
à multiplier par le nombre de copies d'archive...
jdd
Jide
Le Wed, 12 Dec 2012 16:33:45 +0100, Ghost-Rider a écrit:
Le seul mérite de Soylent Green, c'est l'utilisation de la 6ème symphonie de Ludwig van Beethoven dans cette séquence du mouroir.
Vieux truc de ce filou de Kubrick: passer du classique sur une scène de préférence violente. Effet garanti! ( cf "Orange mecanique", "eyes wide shot" et surtout "Odyssée de l'espace") Et tout le monde s'extasie.. J.D.
Le Wed, 12 Dec 2012 16:33:45 +0100, Ghost-Rider a écrit:
Le seul mérite de Soylent Green, c'est l'utilisation de la 6ème
symphonie de Ludwig van Beethoven dans cette séquence du mouroir.
Vieux truc de ce filou de Kubrick: passer du classique sur une scène de
préférence violente. Effet garanti! ( cf "Orange mecanique", "eyes wide
shot" et surtout "Odyssée de l'espace") Et tout le monde s'extasie..
J.D.
Le Wed, 12 Dec 2012 16:33:45 +0100, Ghost-Rider a écrit:
Le seul mérite de Soylent Green, c'est l'utilisation de la 6ème symphonie de Ludwig van Beethoven dans cette séquence du mouroir.
Vieux truc de ce filou de Kubrick: passer du classique sur une scène de préférence violente. Effet garanti! ( cf "Orange mecanique", "eyes wide shot" et surtout "Odyssée de l'espace") Et tout le monde s'extasie.. J.D.
Jide
Le Wed, 12 Dec 2012 13:50:32 +0100, palmerclaude a écrit:
Ce n'est pas le cas pour tout le monde, mais nous (juifs) traînons un lourd devoir de mémoire.
"Nous" et "Vous", le début d'une rhétorique de la haine, hélas.. J.D.
Le Wed, 12 Dec 2012 13:50:32 +0100, palmerclaude a écrit:
Ce n'est pas le cas pour tout le monde, mais nous (juifs) traînons un
lourd devoir de mémoire.
"Nous" et "Vous", le début d'une rhétorique de la haine, hélas..
J.D.
Le Wed, 12 Dec 2012 13:51:46 +0100, markorki a écrit:
Le format jpg est *utilisé* depuis plus de 15 ans, et ses specs sont publiques.
Des tas d'OS et de formats ont été utilisés pendant des années avant de disparaitre corps et biens.. J.D.
Jide
Le Wed, 12 Dec 2012 15:23:12 +0100, Alf92 a écrit:
biensur, tout comme mon arrière grand père savait lire le français, je sais lire le français. où est le pb ? le pb c'est le support, pas le langage. à moins qu'il ne se passe quelque chose le 21 décembre 2012...
Confondre une langue avec un procédé électronique, ce n'est pas très sérieux. En réalité beaucoup de gens sont incapables d'imaginer autre chose que le développement de ce qui leur est déja connu. Que le temps puisse le faire disparaitre inéluctablement est un fait qu'ils préfèrent ignorer. Quel sera "le support" de l'information dans un ou deux siècles personne ne peut le prévoir. Et même si du temps de ton petit fils quelques institutions ont encore entendu parler du .jpg , lui n'aura aucun moyen de lire ces galettes de plastique et les mettra à la poubelle. J.D.
Le Wed, 12 Dec 2012 15:23:12 +0100, Alf92 a écrit:
biensur, tout comme mon arrière grand père savait lire le français, je
sais lire le français.
où est le pb ?
le pb c'est le support, pas le langage. à moins qu'il ne se passe
quelque chose le 21 décembre 2012...
Confondre une langue avec un procédé électronique, ce n'est pas très
sérieux. En réalité beaucoup de gens sont incapables d'imaginer autre
chose que le développement de ce qui leur est déja connu. Que le temps
puisse le faire disparaitre inéluctablement est un fait qu'ils préfèrent
ignorer. Quel sera "le support" de l'information dans un ou deux siècles
personne ne peut le prévoir.
Et même si du temps de ton petit fils quelques institutions ont encore
entendu parler du .jpg , lui n'aura aucun moyen de lire ces galettes de
plastique et les mettra à la poubelle.
J.D.
Le Wed, 12 Dec 2012 15:23:12 +0100, Alf92 a écrit:
biensur, tout comme mon arrière grand père savait lire le français, je sais lire le français. où est le pb ? le pb c'est le support, pas le langage. à moins qu'il ne se passe quelque chose le 21 décembre 2012...
Confondre une langue avec un procédé électronique, ce n'est pas très sérieux. En réalité beaucoup de gens sont incapables d'imaginer autre chose que le développement de ce qui leur est déja connu. Que le temps puisse le faire disparaitre inéluctablement est un fait qu'ils préfèrent ignorer. Quel sera "le support" de l'information dans un ou deux siècles personne ne peut le prévoir. Et même si du temps de ton petit fils quelques institutions ont encore entendu parler du .jpg , lui n'aura aucun moyen de lire ces galettes de plastique et les mettra à la poubelle. J.D.
Ghost-Rider
Le 13/12/2012 10:36, Jide a écrit :
Vieux truc de ce filou de Kubrick: passer du classique sur une scène de préférence violente. Effet garanti! ( cf "Orange mecanique", "eyes wide shot" et surtout "Odyssée de l'espace") Et tout le monde s'extasie..
Personnellement, s'il y a quelque chose qui m'insupporte dans "2001, Odyssée de l'espace", c'est bien la musique des deux Strauss. Musique grandiloquente de "Ainsi parlait Zarathoustra" de Richard Strauss, musique insipide du "Beau Danube Bleu" de Johann Strauss.
Le 13/12/2012 10:36, Jide a écrit :
Vieux truc de ce filou de Kubrick: passer du classique sur une scène de
préférence violente. Effet garanti! ( cf "Orange mecanique", "eyes wide
shot" et surtout "Odyssée de l'espace") Et tout le monde s'extasie..
Personnellement, s'il y a quelque chose qui m'insupporte dans "2001,
Odyssée de l'espace", c'est bien la musique des deux Strauss.
Musique grandiloquente de "Ainsi parlait Zarathoustra" de Richard
Strauss, musique insipide du "Beau Danube Bleu" de Johann Strauss.
Vieux truc de ce filou de Kubrick: passer du classique sur une scène de préférence violente. Effet garanti! ( cf "Orange mecanique", "eyes wide shot" et surtout "Odyssée de l'espace") Et tout le monde s'extasie..
Personnellement, s'il y a quelque chose qui m'insupporte dans "2001, Odyssée de l'espace", c'est bien la musique des deux Strauss. Musique grandiloquente de "Ainsi parlait Zarathoustra" de Richard Strauss, musique insipide du "Beau Danube Bleu" de Johann Strauss.
MELMOTH
Ce cher mammifère du nom de Ghost-Rider nous susurrait, le jeudi 13/12/2012, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <50c9ab90$0$9010$, les doux mélismes suivants :
Personnellement, s'il y a quelque chose qui m'insupporte dans "2001, Odyssée de l'espace", c'est bien la musique des deux Strauss. Musique grandiloquente de "Ainsi parlait Zarathoustra" de Richard Strauss, musique insipide du "Beau Danube Bleu" de Johann Strauss.
Bon...Inutile de Nous confirmer tes *goûts de chiottes* (et, on le sait, Je M'y connais, en chiottes) en matière de Musique, hein...
Le plan de coupe entre l'os qui s'élève dans le ciel (fin de la 1ère partie) et le vaisseau spacial (en forme d'os) sa balançant sur le Danube est pour Moi un des _plus beaux_ plans du genre dans l'histoire du cinéma...Ohouialors...
Film que J'ai dû voire une bonne trentaine de fois...
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant
Ce cher mammifère du nom de Ghost-Rider nous susurrait, le jeudi
13/12/2012, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout
de même, et dans le message
<50c9ab90$0$9010$ba4acef3@reader.news.orange.fr>, les doux mélismes
suivants :
Personnellement, s'il y a quelque chose qui m'insupporte dans "2001,
Odyssée de l'espace", c'est bien la musique des deux Strauss.
Musique grandiloquente de "Ainsi parlait Zarathoustra" de Richard
Strauss, musique insipide du "Beau Danube Bleu" de Johann Strauss.
Bon...Inutile de Nous confirmer tes *goûts de chiottes* (et, on le
sait, Je M'y connais, en chiottes) en matière de Musique, hein...
Le plan de coupe entre l'os qui s'élève dans le ciel (fin de la 1ère
partie) et le vaisseau spacial (en forme d'os) sa balançant sur le
Danube est pour Moi un des _plus beaux_ plans du genre dans l'histoire
du cinéma...Ohouialors...
Film que J'ai dû voire une bonne trentaine de fois...
--
Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui
accroît sa science accroît sa douleur.
[Ecclésiaste, 1-18]
MELMOTH - souffrant
Ce cher mammifère du nom de Ghost-Rider nous susurrait, le jeudi 13/12/2012, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <50c9ab90$0$9010$, les doux mélismes suivants :
Personnellement, s'il y a quelque chose qui m'insupporte dans "2001, Odyssée de l'espace", c'est bien la musique des deux Strauss. Musique grandiloquente de "Ainsi parlait Zarathoustra" de Richard Strauss, musique insipide du "Beau Danube Bleu" de Johann Strauss.
Bon...Inutile de Nous confirmer tes *goûts de chiottes* (et, on le sait, Je M'y connais, en chiottes) en matière de Musique, hein...
Le plan de coupe entre l'os qui s'élève dans le ciel (fin de la 1ère partie) et le vaisseau spacial (en forme d'os) sa balançant sur le Danube est pour Moi un des _plus beaux_ plans du genre dans l'histoire du cinéma...Ohouialors...
Film que J'ai dû voire une bonne trentaine de fois...
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant
Ghost-Rider
Le 13/12/2012 11:31, MELMOTH a écrit :
Ce cher mammifère du nom de Ghost-Rider nous susurrait, le jeudi
Personnellement, s'il y a quelque chose qui m'insupporte dans "2001, Odyssée de l'espace", c'est bien la musique des deux Strauss. Musique grandiloquente de "Ainsi parlait Zarathoustra" de Richard Strauss, musique insipide du "Beau Danube Bleu" de Johann Strauss.
Bon...Inutile de Nous confirmer tes *goûts de chiottes* (et, on le sait, Je M'y connais, en chiottes) en matière de Musique, hein...
Le plan de coupe entre l'os qui s'élève dans le ciel (fin de la 1ère partie) et le vaisseau spacial (en forme d'os) sa balançant sur le Danube est pour Moi un des _plus beaux_ plans du genre dans l'histoire du cinéma...Ohouialors...
Oui, c'est aussi mon avis, cet os lancé en l'air est un des plus beaux plans de tout le cinéma, sauf pour la musique. J'aurais plutôt vu du Bach, une des deux Passions. Bien sûr, cela n'aurait pas convenu à l'idée de surhomme mais qui s'en soucierait ? La musique athée n'élève pas l'âme, et Richard Strauss le montre bien. Il semble que tu ne sois pas accessible à la musique sacrée, c'est dommage, cela t'infirmise.
Le 13/12/2012 11:31, MELMOTH a écrit :
Ce cher mammifère du nom de Ghost-Rider nous susurrait, le jeudi
Personnellement, s'il y a quelque chose qui m'insupporte dans "2001,
Odyssée de l'espace", c'est bien la musique des deux Strauss.
Musique grandiloquente de "Ainsi parlait Zarathoustra" de Richard
Strauss, musique insipide du "Beau Danube Bleu" de Johann Strauss.
Bon...Inutile de Nous confirmer tes *goûts de chiottes* (et, on le sait,
Je M'y connais, en chiottes) en matière de Musique, hein...
Le plan de coupe entre l'os qui s'élève dans le ciel (fin de la 1ère
partie) et le vaisseau spacial (en forme d'os) sa balançant sur le
Danube est pour Moi un des _plus beaux_ plans du genre dans l'histoire
du cinéma...Ohouialors...
Oui, c'est aussi mon avis, cet os lancé en l'air est un des plus beaux
plans de tout le cinéma, sauf pour la musique. J'aurais plutôt vu du
Bach, une des deux Passions.
Bien sûr, cela n'aurait pas convenu à l'idée de surhomme mais qui s'en
soucierait ?
La musique athée n'élève pas l'âme, et Richard Strauss le montre bien.
Il semble que tu ne sois pas accessible à la musique sacrée, c'est
dommage, cela t'infirmise.
Ce cher mammifère du nom de Ghost-Rider nous susurrait, le jeudi
Personnellement, s'il y a quelque chose qui m'insupporte dans "2001, Odyssée de l'espace", c'est bien la musique des deux Strauss. Musique grandiloquente de "Ainsi parlait Zarathoustra" de Richard Strauss, musique insipide du "Beau Danube Bleu" de Johann Strauss.
Bon...Inutile de Nous confirmer tes *goûts de chiottes* (et, on le sait, Je M'y connais, en chiottes) en matière de Musique, hein...
Le plan de coupe entre l'os qui s'élève dans le ciel (fin de la 1ère partie) et le vaisseau spacial (en forme d'os) sa balançant sur le Danube est pour Moi un des _plus beaux_ plans du genre dans l'histoire du cinéma...Ohouialors...
Oui, c'est aussi mon avis, cet os lancé en l'air est un des plus beaux plans de tout le cinéma, sauf pour la musique. J'aurais plutôt vu du Bach, une des deux Passions. Bien sûr, cela n'aurait pas convenu à l'idée de surhomme mais qui s'en soucierait ? La musique athée n'élève pas l'âme, et Richard Strauss le montre bien. Il semble que tu ne sois pas accessible à la musique sacrée, c'est dommage, cela t'infirmise.
sebastienmarty
MELMOTH wrote:
Ce cher mammifère du nom de Ghost-Rider nous susurrait, le jeudi 13/12/2012, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <50c9ab90$0$9010$, les doux mélismes suivants :
> Personnellement, s'il y a quelque chose qui m'insupporte dans "2001, > Odyssée de l'espace", c'est bien la musique des deux Strauss. > Musique grandiloquente de "Ainsi parlait Zarathoustra" de Richard > Strauss, musique insipide du "Beau Danube Bleu" de Johann Strauss.
Bon...Inutile de Nous confirmer tes *goûts de chiottes* (et, on le sait, Je M'y connais, en chiottes) en matière de Musique, hein...
Le plan de coupe entre l'os qui s'élève dans le ciel (fin de la 1ère partie) et le vaisseau spacial (en forme d'os) sa balançant sur le Danube est pour Moi un des _plus beaux_ plans du genre dans l'histoire du cinéma...Ohouialors...
Pas de musique sur cette séquence, justement.
-- [SbM] "If the French were really intelligent, they'd speak English" (W. Sheed)
MELMOTH <theo@free.fr> wrote:
Ce cher mammifère du nom de Ghost-Rider nous susurrait, le jeudi
13/12/2012, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout
de même, et dans le message
<50c9ab90$0$9010$ba4acef3@reader.news.orange.fr>, les doux mélismes
suivants :
> Personnellement, s'il y a quelque chose qui m'insupporte dans "2001,
> Odyssée de l'espace", c'est bien la musique des deux Strauss.
> Musique grandiloquente de "Ainsi parlait Zarathoustra" de Richard
> Strauss, musique insipide du "Beau Danube Bleu" de Johann Strauss.
Bon...Inutile de Nous confirmer tes *goûts de chiottes* (et, on le
sait, Je M'y connais, en chiottes) en matière de Musique, hein...
Le plan de coupe entre l'os qui s'élève dans le ciel (fin de la 1ère
partie) et le vaisseau spacial (en forme d'os) sa balançant sur le
Danube est pour Moi un des _plus beaux_ plans du genre dans l'histoire
du cinéma...Ohouialors...
Pas de musique sur cette séquence, justement.
--
[SbM]
"If the French were really intelligent, they'd speak English" (W. Sheed)
Ce cher mammifère du nom de Ghost-Rider nous susurrait, le jeudi 13/12/2012, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <50c9ab90$0$9010$, les doux mélismes suivants :
> Personnellement, s'il y a quelque chose qui m'insupporte dans "2001, > Odyssée de l'espace", c'est bien la musique des deux Strauss. > Musique grandiloquente de "Ainsi parlait Zarathoustra" de Richard > Strauss, musique insipide du "Beau Danube Bleu" de Johann Strauss.
Bon...Inutile de Nous confirmer tes *goûts de chiottes* (et, on le sait, Je M'y connais, en chiottes) en matière de Musique, hein...
Le plan de coupe entre l'os qui s'élève dans le ciel (fin de la 1ère partie) et le vaisseau spacial (en forme d'os) sa balançant sur le Danube est pour Moi un des _plus beaux_ plans du genre dans l'histoire du cinéma...Ohouialors...
Pas de musique sur cette séquence, justement.
-- [SbM] "If the French were really intelligent, they'd speak English" (W. Sheed)
