J'ai jeté un oeil sur le comparatif des super zooms de dpreview, en
particulier ses conclusions :
http://www.dpreview.com/reviews/q109superzoomgroup/page16.asp
Les ringards de la photographie ont aujourd'hui tout faux :
- les capteurs sont minuscules
- les résolutions atteignent 10 Mpx
- les hautes sensibilités deviennent accessibles
- les zooms ont une plage impressionnante, de 28 mm à 500 mm
- les prix tournent autour de 350 euros
- le tout pour un bridge stabilisé multifonction
Il y a dix ans pour deux mille balles on n'avait *RIEN* d'équivalent.
"Stephane Legras-Decussy" a écrit dans le message de news: 497141fc$0$3302$
"nicolas vigier" a écrit dans le message de news:
Ce qu'il faut c'est un bon sujet ET un bon appareil. Un bon sujet avec un appareil inadapté risque de donner une aussi mauvaise photo qu'un bon appareil avec un sujet sans interet.
je m'insurge... le bon sujet, bien cadré et aproximativement exposé par le pire jetable du monde donnera *la* photo de l'année...
seulement comme le talent et la chance ne s'achète pas, on se console avec des photos moyennes mais impec techniquement...
La photo de l'avion qui s'écrase sur le World Trade Center peut être de très mauvaise qualité si elle est la seule existante. La photo de l'athlète qui bat un record a besoin d'être de très bonne qualité car il y a foule chez les photographes. Statistiquement parlant les jetables n'ont pas la cote pour les couvertures de magazine.
René
"Stephane Legras-Decussy" <I_love@Arol> a écrit dans le message de news:
497141fc$0$3302$426a74cc@news.free.fr...
"nicolas vigier" <boklm@mars-attacks.org> a écrit dans le message de news:
slrngn2348.o4j.boklm@svalbard.freeshell.org...
Ce qu'il faut c'est un bon sujet ET un bon appareil. Un bon sujet avec
un appareil inadapté risque de donner une aussi mauvaise photo qu'un
bon appareil avec un sujet sans interet.
je m'insurge... le bon sujet, bien cadré et aproximativement
exposé par le pire jetable du monde donnera *la*
photo de l'année...
seulement comme le talent et la chance
ne s'achète pas, on se console avec des photos
moyennes mais impec techniquement...
La photo de l'avion qui s'écrase sur le World Trade Center peut être de très
mauvaise qualité si elle est la seule existante. La photo de l'athlète qui
bat un record a besoin d'être de très bonne qualité car il y a foule chez
les photographes. Statistiquement parlant les jetables n'ont pas la cote
pour les couvertures de magazine.
"Stephane Legras-Decussy" a écrit dans le message de news: 497141fc$0$3302$
"nicolas vigier" a écrit dans le message de news:
Ce qu'il faut c'est un bon sujet ET un bon appareil. Un bon sujet avec un appareil inadapté risque de donner une aussi mauvaise photo qu'un bon appareil avec un sujet sans interet.
je m'insurge... le bon sujet, bien cadré et aproximativement exposé par le pire jetable du monde donnera *la* photo de l'année...
seulement comme le talent et la chance ne s'achète pas, on se console avec des photos moyennes mais impec techniquement...
La photo de l'avion qui s'écrase sur le World Trade Center peut être de très mauvaise qualité si elle est la seule existante. La photo de l'athlète qui bat un record a besoin d'être de très bonne qualité car il y a foule chez les photographes. Statistiquement parlant les jetables n'ont pas la cote pour les couvertures de magazine.
René
JeanPasse
"Bour-Brown" a écrit dans le message de news: 49723341$0$9406$
Nicolas a écrit ( news:gkt1e3$55v$ )
Cependant la course l'armement en terme de fonctionnalité comme un zoom 24x et autre détecteur de sourire de sont pas la pour pousser celui derrière le viseur a réfléchir a ce qu'il est en train de faire.
Bien au contraire, il peut enfin réfléchir à l'image, et non plus à la délicate balance entre plusieurs paramètres techniques pour simplement pouvoir déjà faire la photo.
Perso j'ai connu le reflex argentique avec focales fixes, mise au point manuelle et réglage de l'expo en fixant un paramètre (vitesse ou diaphragme) et en tournant une bague pour amener une aiguille dans une plage donnée : quantité *astronomique* de photos infaisable avec ce système, il faut le dire.
Autofocus, zoom, exposition automatique, stabilisation : un bridge actuel me libère de façon inimaginable.
C'est dire que la photo est bien plus complexe maintenant: il faut non seulement se placer en position il faut zoomer; il faut non pas simplement tourner une bague de diaphragme, il faut tourner une roue dans un sens incertain puis regarder un petit chiffre perdue dans un fouilli incompréhensible; il ne suffit pas de tourner une simple bague de mise au point, il faut actionner un bidule multifonction pour amener un petit rectangle peu visible quelque part dans l'image pour ensuite aligner ce petit rectangle sur l'oeil du sujet qui bougera un peu et donnera une mise au point sur l'arrière plan; etc etc... Avant on placait la caméra sur le trépied et le client était responsable de ne pas bouger; aujourd'hui il faut avoir et savoir actionner la stabilisation et c'est le photographe qui est responsable du bouger!
Avant c'était beaucoup plus simple donc beaucoup plus mieux dans un beaucoup plus beau monde qui donnait de beaucoup plus belles photos!
René
"Bour-Brown" <bour-brown@wnd.fr> a écrit dans le message de news:
49723341$0$9406$ba4acef3@news.orange.fr...
Nicolas a écrit
( news:gkt1e3$55v$1@elsa.admin.lautre.net )
Cependant la course l'armement en terme de fonctionnalité comme un zoom
24x et autre détecteur de sourire de sont pas la pour pousser celui
derrière le viseur a réfléchir a ce qu'il est en train de faire.
Bien au contraire, il peut enfin réfléchir à l'image, et non plus à la
délicate balance entre plusieurs paramètres techniques pour simplement
pouvoir déjà faire la photo.
Perso j'ai connu le reflex argentique avec focales fixes, mise au point
manuelle et réglage de l'expo en fixant un paramètre (vitesse ou
diaphragme)
et en tournant une bague pour amener une aiguille dans une plage donnée :
quantité *astronomique* de photos infaisable avec ce système, il faut le
dire.
Autofocus, zoom, exposition automatique, stabilisation : un bridge actuel
me
libère de façon inimaginable.
C'est dire que la photo est bien plus complexe maintenant: il faut non
seulement se placer en position il faut zoomer; il faut non pas simplement
tourner une bague de diaphragme, il faut tourner une roue dans un sens
incertain puis regarder un petit chiffre perdue dans un fouilli
incompréhensible; il ne suffit pas de tourner une simple bague de mise au
point, il faut actionner un bidule multifonction pour amener un petit
rectangle peu visible quelque part dans l'image pour ensuite aligner ce
petit rectangle sur l'oeil du sujet qui bougera un peu et donnera une mise
au point sur l'arrière plan; etc etc... Avant on placait la caméra sur le
trépied et le client était responsable de ne pas bouger; aujourd'hui il faut
avoir et savoir actionner la stabilisation et c'est le photographe qui est
responsable du bouger!
Avant c'était beaucoup plus simple donc beaucoup plus mieux dans un beaucoup
plus beau monde qui donnait de beaucoup plus belles photos!
"Bour-Brown" a écrit dans le message de news: 49723341$0$9406$
Nicolas a écrit ( news:gkt1e3$55v$ )
Cependant la course l'armement en terme de fonctionnalité comme un zoom 24x et autre détecteur de sourire de sont pas la pour pousser celui derrière le viseur a réfléchir a ce qu'il est en train de faire.
Bien au contraire, il peut enfin réfléchir à l'image, et non plus à la délicate balance entre plusieurs paramètres techniques pour simplement pouvoir déjà faire la photo.
Perso j'ai connu le reflex argentique avec focales fixes, mise au point manuelle et réglage de l'expo en fixant un paramètre (vitesse ou diaphragme) et en tournant une bague pour amener une aiguille dans une plage donnée : quantité *astronomique* de photos infaisable avec ce système, il faut le dire.
Autofocus, zoom, exposition automatique, stabilisation : un bridge actuel me libère de façon inimaginable.
C'est dire que la photo est bien plus complexe maintenant: il faut non seulement se placer en position il faut zoomer; il faut non pas simplement tourner une bague de diaphragme, il faut tourner une roue dans un sens incertain puis regarder un petit chiffre perdue dans un fouilli incompréhensible; il ne suffit pas de tourner une simple bague de mise au point, il faut actionner un bidule multifonction pour amener un petit rectangle peu visible quelque part dans l'image pour ensuite aligner ce petit rectangle sur l'oeil du sujet qui bougera un peu et donnera une mise au point sur l'arrière plan; etc etc... Avant on placait la caméra sur le trépied et le client était responsable de ne pas bouger; aujourd'hui il faut avoir et savoir actionner la stabilisation et c'est le photographe qui est responsable du bouger!
Avant c'était beaucoup plus simple donc beaucoup plus mieux dans un beaucoup plus beau monde qui donnait de beaucoup plus belles photos!
René
Aboli Bibelot
"Alban Taraire" a écrit dans le message de news: gks0lc$3af$
Aboli Bibelot wrote:
« Necessity is the mother of invention. »
Mais non, t'as rien compris, c'est Frank Zappa and the mothers of invention !
Apparemment c'est un adage zanglossasson bien connu, je suppose que le nom du groupe en question vient de là et non le contraire... C'est un écrivain américain dont je n'ai pas retenu le nom*, vu dans un documentaire diffusé mardi sur Arte, qui a dit ça au détour d'une démonstration selon laquelle la littérature -- et l'art en général -- ne peut s'épanouir que dans une société en déclin ; il estimait que les écrivains de la génération de Bret Easton Ellis avaient émergé dans une époque trop facile, qu'il n'avaient pas eu à lutter, à se révolter (ce qui est tout de même discutable : les zéïtiz étaient déjà bien assez puantes et émétiques pour stimuler la hargne des esprits contestataires), et qu'ils ne seraient probablement plus lus dans 20 ou 30 ans, alors que -- toujours selon ce romancier -- la situation actuelle des Ziounaïtède Stéïtss est plus propice à une production artistique de qualité.
* C'est un de ceux cités ici : http://livres.fluctuat.net/blog/35437-une-soiree-en-compagnie-d-ecrivains-new-yorkais-sur-arte.html
"Alban Taraire" <alban.taraire@netk5.com> a écrit dans le message de news:
gks0lc$3af$1@eweb.domicile...
Aboli Bibelot wrote:
« Necessity is the mother of invention. »
Mais non, t'as rien compris, c'est Frank Zappa and the mothers of
invention !
Apparemment c'est un adage zanglossasson bien connu, je suppose que le nom
du groupe en question vient de là et non le contraire... C'est un écrivain
américain dont je n'ai pas retenu le nom*, vu dans un documentaire diffusé
mardi sur Arte, qui a dit ça au détour d'une démonstration selon laquelle la
littérature -- et l'art en général -- ne peut s'épanouir que dans une
société en déclin ; il estimait que les écrivains de la génération de Bret
Easton Ellis avaient émergé dans une époque trop facile, qu'il n'avaient pas
eu à lutter, à se révolter (ce qui est tout de même discutable : les zéïtiz
étaient déjà bien assez puantes et émétiques pour stimuler la hargne des
esprits contestataires), et qu'ils ne seraient probablement plus lus dans 20
ou 30 ans, alors que -- toujours selon ce romancier -- la situation actuelle
des Ziounaïtède Stéïtss est plus propice à une production artistique de
qualité.
* C'est un de ceux cités ici :
http://livres.fluctuat.net/blog/35437-une-soiree-en-compagnie-d-ecrivains-new-yorkais-sur-arte.html
"Alban Taraire" a écrit dans le message de news: gks0lc$3af$
Aboli Bibelot wrote:
« Necessity is the mother of invention. »
Mais non, t'as rien compris, c'est Frank Zappa and the mothers of invention !
Apparemment c'est un adage zanglossasson bien connu, je suppose que le nom du groupe en question vient de là et non le contraire... C'est un écrivain américain dont je n'ai pas retenu le nom*, vu dans un documentaire diffusé mardi sur Arte, qui a dit ça au détour d'une démonstration selon laquelle la littérature -- et l'art en général -- ne peut s'épanouir que dans une société en déclin ; il estimait que les écrivains de la génération de Bret Easton Ellis avaient émergé dans une époque trop facile, qu'il n'avaient pas eu à lutter, à se révolter (ce qui est tout de même discutable : les zéïtiz étaient déjà bien assez puantes et émétiques pour stimuler la hargne des esprits contestataires), et qu'ils ne seraient probablement plus lus dans 20 ou 30 ans, alors que -- toujours selon ce romancier -- la situation actuelle des Ziounaïtède Stéïtss est plus propice à une production artistique de qualité.
* C'est un de ceux cités ici : http://livres.fluctuat.net/blog/35437-une-soiree-en-compagnie-d-ecrivains-new-yorkais-sur-arte.html
Bour-Brown
JeanPasse a écrit ( news: )
C'est dire que la photo est bien plus complexe maintenant: il faut non seulement se placer en position il faut zoomer;
C'est vrai, il suffisait de changer l'objectif, c'était pratique, et objectivement plus simple que de tourner une bague dans tous les sens pour évaluer ce que l'on obtient.
(sans parler des affres du choix que génère le zoom par rapport à une bonne vieille focale fixe)
Avant on placait la caméra sur le trépied et le client était responsable de ne pas bouger; aujourd'hui il faut avoir et savoir actionner la stabilisation et c'est le photographe qui est responsable du bouger!
Ah oui, très joli.
JeanPasse a écrit
( news:EOWdnR9sWfuzEe_UnZ2dnUVZ_hKdnZ2d@b2b2c.ca )
C'est dire que la photo est bien plus complexe maintenant: il faut non
seulement se placer en position il faut zoomer;
C'est vrai, il suffisait de changer l'objectif, c'était pratique, et
objectivement plus simple que de tourner une bague dans tous les sens pour
évaluer ce que l'on obtient.
(sans parler des affres du choix que génère le zoom par rapport à une bonne
vieille focale fixe)
Avant on placait la caméra sur le trépied et le client était responsable
de ne pas bouger; aujourd'hui il faut avoir et savoir actionner la
stabilisation et c'est le photographe qui est responsable du bouger!
C'est dire que la photo est bien plus complexe maintenant: il faut non seulement se placer en position il faut zoomer;
C'est vrai, il suffisait de changer l'objectif, c'était pratique, et objectivement plus simple que de tourner une bague dans tous les sens pour évaluer ce que l'on obtient.
(sans parler des affres du choix que génère le zoom par rapport à une bonne vieille focale fixe)
Avant on placait la caméra sur le trépied et le client était responsable de ne pas bouger; aujourd'hui il faut avoir et savoir actionner la stabilisation et c'est le photographe qui est responsable du bouger!
Ah oui, très joli.
Ghost-Rider
Richard a écrit :
On Sat, 17 Jan 2009 12:28:58 +0100, Ghost-Rider wrote:
Pas seulement, car là, tu n'as qu'une matrice à 2 dimensions. La bonne photo nécessite la résolution d'une matrice à 3 dimensions: bon/mauvais sujet, bon/mauvais appareil, bon/mauvais photographe. Il en découle *mathématiquement* que seule 1 photo sur 8 est une bonne photo, ce qui est la proportion généralement observée ici.
Il ne faut pas en faire une règle générale puisque dans ton cas tu parviens bien à atteindre zéro sur huit.
C'est parce que je suis altruiste: prisonnier de cette loi mathématique qui s'impose à tous, je publie de mauvaises photos pour permettre à mes frères d'en publier de bonnes.
-- Ghost Rider
"Aimez-vous les uns les autres". Jésus-Christ
Richard a écrit :
On Sat, 17 Jan 2009 12:28:58 +0100, Ghost-Rider
<Ghost-Rider@compuserve.com> wrote:
Pas seulement, car là, tu n'as qu'une matrice à 2 dimensions.
La bonne photo nécessite la résolution d'une matrice à 3 dimensions:
bon/mauvais sujet, bon/mauvais appareil, bon/mauvais photographe.
Il en découle *mathématiquement* que seule 1 photo sur 8 est une bonne
photo, ce qui est la proportion généralement observée ici.
Il ne faut pas en faire une règle générale puisque
dans ton cas tu parviens bien à atteindre zéro sur huit.
C'est parce que je suis altruiste: prisonnier de cette loi mathématique
qui s'impose à tous, je publie de mauvaises photos pour permettre à mes
frères d'en publier de bonnes.
On Sat, 17 Jan 2009 12:28:58 +0100, Ghost-Rider wrote:
Pas seulement, car là, tu n'as qu'une matrice à 2 dimensions. La bonne photo nécessite la résolution d'une matrice à 3 dimensions: bon/mauvais sujet, bon/mauvais appareil, bon/mauvais photographe. Il en découle *mathématiquement* que seule 1 photo sur 8 est une bonne photo, ce qui est la proportion généralement observée ici.
Il ne faut pas en faire une règle générale puisque dans ton cas tu parviens bien à atteindre zéro sur huit.
C'est parce que je suis altruiste: prisonnier de cette loi mathématique qui s'impose à tous, je publie de mauvaises photos pour permettre à mes frères d'en publier de bonnes.
-- Ghost Rider
"Aimez-vous les uns les autres". Jésus-Christ
Ollivier Robert
Dans l'article <gks71e$4hv$, Alban Taraire disait :
C'est exactement les deux points qui m'énervent. J'aime les petites pdf et ne déteste pas les grands angles. Mon 50mm F/1.8 est trop long sur mon D70 et ça me gène beaucoup.
C'est aussi pour ça que j'ai remplacé mon 50mm/f1.4 par un 35mm/f2, la focale sur un Pentax (crop x1.5) me correspond mieux. Le boitier compense bien la perte d'un diaph. -- Ollivier ROBERT -=- K10D, 18-55/f3.5-5.6, FA 35/f2, Vivitar 105/f2.5 Macro S1 M42 : Stak 135/f3.5, Helios 44-M 58/f2
Dans l'article <gks71e$4hv$1@eweb.domicile>,
Alban Taraire <alban.taraire@netk5.com> disait :
C'est exactement les deux points qui m'énervent. J'aime les petites pdf et
ne déteste pas les grands angles. Mon 50mm F/1.8 est trop long sur mon D70
et ça me gène beaucoup.
C'est aussi pour ça que j'ai remplacé mon 50mm/f1.4 par un 35mm/f2, la focale
sur un Pentax (crop x1.5) me correspond mieux. Le boitier compense bien la
perte d'un diaph.
--
Ollivier ROBERT -=-
K10D, 18-55/f3.5-5.6, FA 35/f2, Vivitar 105/f2.5 Macro S1
M42 : Stak 135/f3.5, Helios 44-M 58/f2
Dans l'article <gks71e$4hv$, Alban Taraire disait :
C'est exactement les deux points qui m'énervent. J'aime les petites pdf et ne déteste pas les grands angles. Mon 50mm F/1.8 est trop long sur mon D70 et ça me gène beaucoup.
C'est aussi pour ça que j'ai remplacé mon 50mm/f1.4 par un 35mm/f2, la focale sur un Pentax (crop x1.5) me correspond mieux. Le boitier compense bien la perte d'un diaph. -- Ollivier ROBERT -=- K10D, 18-55/f3.5-5.6, FA 35/f2, Vivitar 105/f2.5 Macro S1 M42 : Stak 135/f3.5, Helios 44-M 58/f2