La suppression de menus de substitution dans les cantines scolaires ne
me dérange pas si l'enfant qui refuse la viande ou le poisson ou toute
nourriture d'origine animale, quelle qu'elle soit et pour quelque raison
que ce soit (les raisons de refuser étant de l'ordre de l'intimité des
enfants, il n'y a pas à exiger de les connaître), peut obtenir une
double ration de légumes et de féculents pour le même prix voire
moyennant une réduction du prix.
En bref, s'ils ne sont pas punis de leur abstention.
La viande peut être consommée à la maison, le soir.
Je me souviens que j'avais horreur du poisson et des omelettes à la
cantine.
Le vendredi, ceux qui n'aimaient pas le poisson se voyaient imposer une
omelette.
Je ne consommais donc pas de protéines animales le vendredi midi et je
me rattrapais le soir à la maison.
Personne (et surtout pas mes parents, athées) n'en faisait tout un
fromage :-)
Maintenant, s'il s'agit de stigmatiser des enfants sous prétexte de leur
religion, ça tombe sous le coup de la loi qui punit la discrimination.
Donc publication croisée fr.soc.religion et fr.misc.droit
On Mon, 23 Mar 2015 18:39:50 +0100, Jean wrote in Message-ID: <55104fe3$0$3322$ :
"Dominique G." a écrit dans le message de news: 1m1qmvo.1kpo4uoxv4ottN%
A quel endroit tous ces trucs parlent-ils du porc à la cantine?
DTC
*J'AI HONTE, J'AI RI*
......... et moi donc !.........
Thomas
Dominique G. vient de nous annoncer :
Thomas wrote:
La deuxième option est la bonne, et les plus fervents croyants ne vous ont pas attendu pour mettre leurs enfants dans des écoles confessionnelles.
Subventionnées ou pas? :-D
"Il est tout à fait aberrant que l'État finance à la hauteur de 7 milliards d'euros le choix de quelques-uns, d'autant plus que celui-ci se fait bien plus souvent par confort que par réelle nécessité."
"En aucun cas l’enseignement privé ne peut être confondu avec l’enseignement gratuit, laïque et obligatoire qui lui, ne choisit pas ses élèves, accueille aussi bien les enfants en difficulté scolaire que les enfants malades ou handicapés, sans condition de ressources ni de religiosité, sans regard sur l’origine sociale ou géographique des élèves, et apporte à tous un enseignement de qualité."
Notez le nom et le prénom typiquement bourgeois de la pétasse qui écrit cette pige.
Certes, quand Papa et Maman ont un bel appartement non loin du Lycée Janson-de-Sailly, il serait aberrant de contourner la carte scolaire et de snober l’enseignement gratuit, laïque et obligatoire.
Mais si la pétasse de service s'était retrouvée à Drancy pour subir les inconséquences de la politique de regroupement familial, elle serait moins emphatique sur "l'enseignement de qualité apporté à tous."
Dominique G. vient de nous annoncer :
Thomas <ThxxxGr@gmail.com> wrote:
La deuxième option est la bonne, et les plus fervents croyants ne vous
ont pas attendu pour mettre leurs enfants dans des écoles
confessionnelles.
Subventionnées ou pas? :-D
"Il est tout à fait aberrant que l'État finance à la hauteur de 7
milliards d'euros le choix de quelques-uns, d'autant plus que celui-ci
se fait bien plus souvent par confort que par réelle nécessité."
"En aucun cas l’enseignement privé ne peut être confondu avec
l’enseignement gratuit, laïque et obligatoire qui lui, ne choisit pas
ses élèves, accueille aussi bien les enfants en difficulté scolaire que
les enfants malades ou handicapés, sans condition de ressources ni de
religiosité, sans regard sur l’origine sociale ou géographique des
élèves, et apporte à tous un enseignement de qualité."
Notez le nom et le prénom typiquement bourgeois de la pétasse qui écrit
cette pige.
Certes, quand Papa et Maman ont un bel appartement non loin du Lycée
Janson-de-Sailly, il serait aberrant de contourner la carte scolaire et
de snober l’enseignement gratuit, laïque et obligatoire.
Mais si la pétasse de service s'était retrouvée à Drancy pour subir les
inconséquences de la politique de regroupement familial, elle serait
moins emphatique sur "l'enseignement de qualité apporté à tous."
La deuxième option est la bonne, et les plus fervents croyants ne vous ont pas attendu pour mettre leurs enfants dans des écoles confessionnelles.
Subventionnées ou pas? :-D
"Il est tout à fait aberrant que l'État finance à la hauteur de 7 milliards d'euros le choix de quelques-uns, d'autant plus que celui-ci se fait bien plus souvent par confort que par réelle nécessité."
"En aucun cas l’enseignement privé ne peut être confondu avec l’enseignement gratuit, laïque et obligatoire qui lui, ne choisit pas ses élèves, accueille aussi bien les enfants en difficulté scolaire que les enfants malades ou handicapés, sans condition de ressources ni de religiosité, sans regard sur l’origine sociale ou géographique des élèves, et apporte à tous un enseignement de qualité."
Notez le nom et le prénom typiquement bourgeois de la pétasse qui écrit cette pige.
Certes, quand Papa et Maman ont un bel appartement non loin du Lycée Janson-de-Sailly, il serait aberrant de contourner la carte scolaire et de snober l’enseignement gratuit, laïque et obligatoire.
Mais si la pétasse de service s'était retrouvée à Drancy pour subir les inconséquences de la politique de regroupement familial, elle serait moins emphatique sur "l'enseignement de qualité apporté à tous."
dmkgbt
Thomas wrote:
Mais si la pétasse de service s'était retrouvée à Drancy pour subir les inconséquences de la politique de regroupement familial,
Entre août 1941 et août 1944?
-- Blanc-seing
Thomas <ThxxxGr@gmail.com> wrote:
Mais si la pétasse de service s'était retrouvée à Drancy pour subir les
inconséquences de la politique de regroupement familial,
Mais si la pétasse de service s'était retrouvée à Drancy pour subir les inconséquences de la politique de regroupement familial,
Entre août 1941 et août 1944?
Non, entre 1974 et 2015.
dmkgbt
Thomas wrote:
Dominique G. avait prétendu : > Thomas wrote: > >> Mais si la pétasse de service s'était retrouvée à Drancy pour subir les >> inconséquences de la politique de regroupement familial, > > Entre août 1941 et août 1944?
Non, entre 1974 et 2015.
Moi aussi, en 62, dans l'Aisne, je me suis retrouvée avec des gosses paumés qui avaient un drôle d'accent... Ben, on leur a fait une place sur les bancs de l'école, et on leur a appris à manger du Maroilles et à attendre la venue de Saint-Nicolas sous la neige :-D
"...soucieux que leurs enfants puissent reprendre une scolarité normale, ont quitté Marseille, dont les écoles n'ont pas assez de places à offrir, pour d'autres villes et villages de France. Ils y sont fortement encouragés par les autorités, qui les poussent à s'installer dans la moitié nord du pays, où les perspectives d'emploi et de logement sont alors plus favorables que sur le littoral méditerranéen."
<http://preview.tinyurl.com/nryqmb8>
-- Blanc-seing
Thomas <ThxxxGr@gmail.com> wrote:
Dominique G. avait prétendu :
> Thomas <ThxxxGr@gmail.com> wrote:
>
>> Mais si la pétasse de service s'était retrouvée à Drancy pour subir les
>> inconséquences de la politique de regroupement familial,
>
> Entre août 1941 et août 1944?
Non, entre 1974 et 2015.
Moi aussi, en 62, dans l'Aisne, je me suis retrouvée avec des gosses
paumés qui avaient un drôle d'accent...
Ben, on leur a fait une place sur les bancs de l'école, et on leur a
appris à manger du Maroilles et à attendre la venue de Saint-Nicolas
sous la neige :-D
"...soucieux que leurs enfants puissent reprendre une scolarité normale,
ont quitté Marseille, dont les écoles n'ont pas assez de places à
offrir, pour d'autres villes et villages de France. Ils y sont fortement
encouragés par les autorités, qui les poussent à s'installer dans la
moitié nord du pays, où les perspectives d'emploi et de logement sont
alors plus favorables que sur le littoral méditerranéen."
Dominique G. avait prétendu : > Thomas wrote: > >> Mais si la pétasse de service s'était retrouvée à Drancy pour subir les >> inconséquences de la politique de regroupement familial, > > Entre août 1941 et août 1944?
Non, entre 1974 et 2015.
Moi aussi, en 62, dans l'Aisne, je me suis retrouvée avec des gosses paumés qui avaient un drôle d'accent... Ben, on leur a fait une place sur les bancs de l'école, et on leur a appris à manger du Maroilles et à attendre la venue de Saint-Nicolas sous la neige :-D
"...soucieux que leurs enfants puissent reprendre une scolarité normale, ont quitté Marseille, dont les écoles n'ont pas assez de places à offrir, pour d'autres villes et villages de France. Ils y sont fortement encouragés par les autorités, qui les poussent à s'installer dans la moitié nord du pays, où les perspectives d'emploi et de logement sont alors plus favorables que sur le littoral méditerranéen."