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Quel posemètre acheter ?

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benoit
Bonjour,


J'ai vraiment envie de m'acheter un posemètre qui me permette de
mesurer la lumière incidente. Les photos de plage sont une horreur si on
se fie à la cellule de l'appareil.

J'ai regardé sur le net d'ebay au bon coin en passant par des sites
spécialisés en matériel photo et les prix vont de 20 à quelques
centaines d'euros alors je suis à la recherche de conseils.

L'autre façon de faire serait d'avoir une feuille imprimé en gris
moyen, le fameux 18% sur lequel on lit tout et son contraire. Est-ce
réalisable soi-même (ouvrir photoshop, remplir l'image de ce fameux gris
avec le RVB qui va bien) et faire imprimer sur un site photo avec une
Kodak Q60 en même temps comme souvenir.

D'avance merci

--
"La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La
pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi.
Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et
personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]

10 réponses

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Jean-Pierre Roche
Le 05/07/2014 07:29, jdanield a écrit :

??? la correction d'exposition en fonction du tirage ne
serait plutôt un
avantage du posemètre interne ? et son absence un gros
inconvénient du
posemètre externe ? Du moins pour ceux qui font de la
macro. D'autant plus que
calculer la correction avec les optiques modernes est
quasiment impossible...



le posemetre n'a jamais été indiqué pour faire de la macro...



Le même problème s'applique pour les filtres...

C'est exactement l'inverse : tu décris les avantages du
posemètre intégré qui
mesure la lumière arrivant réellement sur le capteur. Dans
bon nombre de cas
ne pas appliquer de corrections = photo ratée.



ben non.

ce qui compte c'est la lumière disponible, si le but est de
rendre ce que l'on voit. Tout le reste n'est que trucage
(légitime) qui ne dépends plus que de ce qui est dans la
tête du photographe



Tu as une conception très bizarre des choses... La photo est
un procédé technique, intégrant de plus en plus de
paramètres avec le numérique. Dont le but est justement de
procurer une restitution "réaliste" dans les situations les
plus diverses par de nombreuses corrections. Croire qu'une
mesure de lumière faisant l'impasse sur toutes ces
corrections donnerait une image plus naturelle et conforme à
une réalité supposée me semble un pur délire. Corriger
l'exposition en fonction du tirage ou de la présence d'un
filtre c'est purement technique et n'a vraiment rien d'un
trucage.

--
Jean-Pierre Roche

enlever sanspub pour m'écrire...
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jdanield
Le 05/07/2014 07:43, Jean-Pierre Roche a écrit :

Tu as une conception très bizarre des choses... La photo est un procédé
technique, intégrant de plus en plus de paramètres avec le numérique. Dont le
but est justement de procurer une restitution "réaliste" dans les situations
les plus diverses par de nombreuses corrections. Croire qu'une mesure de
lumière faisant l'impasse sur toutes ces corrections donnerait une image plus
naturelle et conforme à une réalité supposée me semble un pur délire. Corriger
l'exposition en fonction du tirage ou de la présence d'un filtre c'est
purement technique et n'a vraiment rien d'un trucage.




tirage ou filtre?

j'ai bien précisé depuis le début que l'usage de la cellule était
essentiellement utile dans le cas où la lumière a une source lointaine et
constante, c'est le cas au soleil, en particulier sur la plage et sur la
neige, où le fort contraste fait que la mesure moyenne est difficile.

Il faut de surplus que l'on ai accès à proximité du sujet (ou que la lumière
soit la même pour le photographe et le sujet) et qu'on ai le temps de faire la
mesure, ce qui suffit à expliquer que la cellule soit mal commode.

la sensibilité iso (http://fr.wikipedia.org/wiki/Sensibilit%C3%A9_ISO) a
précisément été définie pour gérer le rapport de la lumière au capteur (film
ou numérique).

la reproduction du réel n'a donc besoin que de l'ensemble sensibilité iso /
diaphragme / vitesse d'obturation, rien d'autre. Les différents "modes" de
certains appareils ne visent qu'à corriger les écarts de mesure de la
luminance par rapport à la valeur retenue par la norme ISO.

Il faut corriger si on veut modifier la réalité, en éclaircissant le sujet (et
en grillant le fond), par exemple, et ca aucun appareil ne peut le savoir si
on ne le lui dit pas.

la photo n'a rien de très technique en dehors de ca... tout le reste étant le
cadrage et le choix du sujet.

La meilleure preuve est que beaucoup de photographes professionnels, du temps
de l'argentique, ne faisaient pas eux-même leurs tirages.

quand aux filtres, à par les ND qui ne sont qu'un complément du diaphragme, si
ce n'est pas du trucage, je ne sais pas ce que c'est

jdd
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Ricco
Stephane Legras-Decussy a pensé très fort :
Le 04/07/2014 12:09, jdanield a écrit :

justement éviter de se casser la tête avec toutes les corrections...



sauf que plus le capteur est moderne, moins il y a besoin d'exposer pile.

une peloche 400iso dans un jetable ça marchait déja très bien
sans expo.

alors un capteur de D800 en raw, ça marche encore mieux...



oui, ça fonctionnait, mais avec des résultats divers et variés, mais
bon, comme disaient les gens " du moment qu'on reconnait les
personnages "

--
ricco
--

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Ricco
GhostRaider a exprimé avec précision :
Le 04/07/2014 20:20, Ricco a écrit :
GhostRaider a présenté l'énoncé suivant :
Le 04/07/2014 14:34, Ricco a écrit :

alors qu'il continue ?
puisque l'argentique aurait une âme ?



Oui, l'argentique avait une âme, perdue corps et biens par le numérique.
C'est triste mais c'est comme ça.



on en a parlé souvent, pour moi, que dalle, rien du tout
c'est un procédé photographique et c'est pas plus, parce qu'on n'avait
pas autre chose.
je ne comprends pas, c'est de vous dont vous parlez, de l'époque et des
photos que vous faisiez, le reste, c'est de la chimie et de la physique,
et ça n'était pas facile.



Tu m'as pris au sérieux, là, avec cette histoire d'âme ?



pas spécialement, mais j'entends ça tellement souvent, et de la part de
gens qui eux sont sérieux, quand je leur demande ce qu'ils veulent
dire, là, c'est autre chose, ça doit être de l'ésotérisme

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ricco
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Ricco
jdanield avait prétendu :
Le 05/07/2014 07:10, Jean-Pierre Roche a écrit :

??? la correction d'exposition en fonction du tirage ne serait plutôt un
avantage du posemètre interne ? et son absence un gros inconvénient du
posemètre externe ? Du moins pour ceux qui font de la macro. D'autant plus
que
calculer la correction avec les optiques modernes est quasiment
impossible...



le posemetre n'a jamais été indiqué pour faire de la macro...

C'est exactement l'inverse : tu décris les avantages du posemètre intégré
qui
mesure la lumière arrivant réellement sur le capteur. Dans bon nombre de
cas
ne pas appliquer de corrections = photo ratée.



ben non.

ce qui compte c'est la lumière disponible, si le but est de rendre ce que
l'on voit. Tout le reste n'est que trucage (légitime) qui ne dépends plus que
de ce qui est dans la tête du photographe

jdd



toujours cette façon d'ergoter en tous sens, tu
dérives systématiquement pour avoir raison

--
ricco
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Ricco
Jean-Pierre Roche a écrit :
Le 05/07/2014 07:29, jdanield a écrit :

??? la correction d'exposition en fonction du tirage ne
serait plutôt un
avantage du posemètre interne ? et son absence un gros
inconvénient du
posemètre externe ? Du moins pour ceux qui font de la
macro. D'autant plus que
calculer la correction avec les optiques modernes est
quasiment impossible...



le posemetre n'a jamais été indiqué pour faire de la macro...



Le même problème s'applique pour les filtres...

C'est exactement l'inverse : tu décris les avantages du
posemètre intégré qui
mesure la lumière arrivant réellement sur le capteur. Dans
bon nombre de cas
ne pas appliquer de corrections = photo ratée.



ben non.

ce qui compte c'est la lumière disponible, si le but est de
rendre ce que l'on voit. Tout le reste n'est que trucage
(légitime) qui ne dépends plus que de ce qui est dans la
tête du photographe



Tu as une conception très bizarre des choses... La photo est un procédé
technique, intégrant de plus en plus de paramètres avec le numérique. Dont le
but est justement de procurer une restitution "réaliste" dans les situations
les plus diverses par de nombreuses corrections. Croire qu'une mesure de
lumière faisant l'impasse sur toutes ces corrections donnerait une image plus
naturelle et conforme à une réalité supposée me semble un pur délire.
Corriger l'exposition en fonction du tirage ou de la présence d'un filtre
c'est purement technique et n'a vraiment rien d'un trucage.



surtout l'allongement du temps de pose en fonction du tirage, quand il
fallait calculer ça en macro, bonjour !

--
ricco
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jdanield
Le 05/07/2014 09:36, Ricco a écrit :

toujours cette façon d'ergoter en tous sens, tu
dérives systématiquement pour avoir raison



ce n'est pas moi qui dérive. Que l'essentiel soit la lumière ambiante devrait
être évident pour tout le monde! Quand tu regarde un objet, tu ne te pose pas
de question sur son albédo...

jdd
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Ricco

La meilleure preuve est que beaucoup de photographes professionnels, du temps
de l'argentique, ne faisaient pas eux-même leurs tirages.



tu parles d'une preuve, du temps du N&B beaucoup le faisaient, quand
vraiment on est passé à la couleur, c'est tellement lourd à mettre en
oeuvre, matériel, filtrage, temps passé que le travail est allé dans
les labos, ça n'a absolument rien d'un preuve, là, tu as une vision
tatalement fausse de la question, tu joues les pros par procuration,
bon, comme moi j'avoue, mais mon voisin de boutique était photographe,
alors, je le sais quand même, non ?

quand aux filtres, à par les ND qui ne sont qu'un complément du diaphragme,
si ce n'est pas du trucage, je ne sais pas ce que c'est



substituer un diaphragme différent est un trucage, un autre dispositif
pour diminuer la quantité de lumière c'est un trucage, là, faudra que
tu m'expliques, il doit y avoir un truc ?
là, ça, ce que tu viens de dire est une ineptie.
s'il t'entendait, ton père te tancerait vertement.

--
ricco
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Ricco
jdanield vient de nous annoncer :
Le 05/07/2014 09:36, Ricco a écrit :

toujours cette façon d'ergoter en tous sens, tu
dérives systématiquement pour avoir raison



ce n'est pas moi qui dérive. Que l'essentiel soit la lumière ambiante devrait
être évident pour tout le monde! Quand tu regarde un objet, tu ne te pose pas
de question sur son albédo...

jdd



oui, mais c'est une évidence non ?
on ne fait pas de photo sans lumière, enfin, celle dont on parle
et maintant, tu mesure la lumière réflechie pas l'objet, et tu mesure
la lumière incidente, y a t il une différence ?
tu poses pour quelle indication ?

--
ricco
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Jean-Pierre Roche
Le 05/07/2014 09:30, jdanield a écrit :

j'ai bien précisé depuis le début que l'usage de la cellule
était essentiellement utile dans le cas où la lumière a une
source lointaine et constante, c'est le cas au soleil, en
particulier sur la plage et sur la neige, où le fort
contraste fait que la mesure moyenne est difficile.



Pas tant que ça amha, surtout avec les appareils actuels qui
"reconnaissent" ces situations de prise de vue.

la reproduction du réel n'a donc besoin que de l'ensemble
sensibilité iso / diaphragme / vitesse d'obturation, rien
d'autre. Les différents "modes" de certains appareils ne
visent qu'à corriger les écarts de mesure de la luminance
par rapport à la valeur retenue par la norme ISO.

Il faut corriger si on veut modifier la réalité, en
éclaircissant le sujet (et en grillant le fond), par
exemple, et ca aucun appareil ne peut le savoir si on ne le
lui dit pas.



Mais si il peut le faire. Du moins dans un bon pourcentage
de cas car les posemètres des appareils les plus élaborés ne
se contentent pas d'une mesure globale mais prennent en
compte, par exemple, la distance de mise au point (donc
savent différencier le sujet et le fond) et la couleur du
sujet. On est donc très loin d'une simple mesure moyenne de
lumière réfléchie...

la photo n'a rien de très technique en dehors de ca... tout
le reste étant le cadrage et le choix du sujet.



C'est une vision très simpliste des choses amha.

La meilleure preuve est que beaucoup de photographes
professionnels, du temps de l'argentique, ne faisaient pas
eux-même leurs tirages.



Oulala... Bien sûr mais tout dépend de quoi on parle... Pour
l'édition et la presse magazine, par exemple, sauf si on
remonte au temps de l'édition en NB, on travaillait en
diapos (dites "ektas") donc pas le moindre tirage à
l'horizon. Et si tirages il y avait ça pouvait être très
élaboré donc la photo "pas très technique" n'était qu'une
illusion. Le "simple amateur" n'avait aucune chance
d'obtenir des résultats similaires.

quand aux filtres, à par les ND qui ne sont qu'un complément
du diaphragme, si ce n'est pas du trucage, je ne sais pas ce
que c'est



Et la température de couleur (filtres CC) ? Car, avant le
numérique, on n'avait pas de "balance de blancs" et
d'ailleurs comment ce paramètre s'intègre dans ta
"reproduction de la réalité" ?

--
Jean-Pierre Roche

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