j'ai bien précisé depuis le début que l'usage de la cellule était
essentiellement utile dans le cas où la lumière a une source lointaine
et constante, c'est le cas au soleil, en particulier sur la plage et sur
la neige, où le fort contraste fait que la mesure moyenne est difficile.
Il faut de surplus que l'on ai accès à proximité du sujet (ou que la
lumière soit la même pour le photographe et le sujet) et qu'on ai le
temps de faire la mesure, ce qui suffit à expliquer que la cellule soit
mal commode.
la sensibilité iso (http://fr.wikipedia.org/wiki/Sensibilit%C3%A9_ISO) a
précisément été définie pour gérer le rapport de la lumière au capteur
(film ou numérique).
la reproduction du réel n'a donc besoin que de l'ensemble sensibilité
iso / diaphragme / vitesse d'obturation, rien d'autre. Les différents
"modes" de certains appareils ne visent qu'à corriger les écarts de
mesure de la luminance par rapport à la valeur retenue par la norme ISO.
Il faut corriger si on veut modifier la réalité, en éclaircissant le
sujet (et en grillant le fond), par exemple, et ca aucun appareil ne
peut le savoir si on ne le lui dit pas.
la photo n'a rien de très technique en dehors de ca... tout le reste
étant le cadrage et le choix du sujet.
La meilleure preuve est que beaucoup de photographes professionnels, du
temps de l'argentique, ne faisaient pas eux-même leurs tirages.
quand aux filtres, à par les ND qui ne sont qu'un complément du
diaphragme, si ce n'est pas du trucage, je ne sais pas ce que c'est
j'ai bien précisé depuis le début que l'usage de la cellule était
essentiellement utile dans le cas où la lumière a une source lointaine
et constante, c'est le cas au soleil, en particulier sur la plage et sur
la neige, où le fort contraste fait que la mesure moyenne est difficile.
Il faut de surplus que l'on ai accès à proximité du sujet (ou que la
lumière soit la même pour le photographe et le sujet) et qu'on ai le
temps de faire la mesure, ce qui suffit à expliquer que la cellule soit
mal commode.
la sensibilité iso (http://fr.wikipedia.org/wiki/Sensibilit%C3%A9_ISO) a
précisément été définie pour gérer le rapport de la lumière au capteur
(film ou numérique).
la reproduction du réel n'a donc besoin que de l'ensemble sensibilité
iso / diaphragme / vitesse d'obturation, rien d'autre. Les différents
"modes" de certains appareils ne visent qu'à corriger les écarts de
mesure de la luminance par rapport à la valeur retenue par la norme ISO.
Il faut corriger si on veut modifier la réalité, en éclaircissant le
sujet (et en grillant le fond), par exemple, et ca aucun appareil ne
peut le savoir si on ne le lui dit pas.
la photo n'a rien de très technique en dehors de ca... tout le reste
étant le cadrage et le choix du sujet.
La meilleure preuve est que beaucoup de photographes professionnels, du
temps de l'argentique, ne faisaient pas eux-même leurs tirages.
quand aux filtres, à par les ND qui ne sont qu'un complément du
diaphragme, si ce n'est pas du trucage, je ne sais pas ce que c'est
j'ai bien précisé depuis le début que l'usage de la cellule était
essentiellement utile dans le cas où la lumière a une source lointaine
et constante, c'est le cas au soleil, en particulier sur la plage et sur
la neige, où le fort contraste fait que la mesure moyenne est difficile.
Il faut de surplus que l'on ai accès à proximité du sujet (ou que la
lumière soit la même pour le photographe et le sujet) et qu'on ai le
temps de faire la mesure, ce qui suffit à expliquer que la cellule soit
mal commode.
la sensibilité iso (http://fr.wikipedia.org/wiki/Sensibilit%C3%A9_ISO) a
précisément été définie pour gérer le rapport de la lumière au capteur
(film ou numérique).
la reproduction du réel n'a donc besoin que de l'ensemble sensibilité
iso / diaphragme / vitesse d'obturation, rien d'autre. Les différents
"modes" de certains appareils ne visent qu'à corriger les écarts de
mesure de la luminance par rapport à la valeur retenue par la norme ISO.
Il faut corriger si on veut modifier la réalité, en éclaircissant le
sujet (et en grillant le fond), par exemple, et ca aucun appareil ne
peut le savoir si on ne le lui dit pas.
la photo n'a rien de très technique en dehors de ca... tout le reste
étant le cadrage et le choix du sujet.
La meilleure preuve est que beaucoup de photographes professionnels, du
temps de l'argentique, ne faisaient pas eux-même leurs tirages.
quand aux filtres, à par les ND qui ne sont qu'un complément du
diaphragme, si ce n'est pas du trucage, je ne sais pas ce que c'est
jdanield vient de nous annoncer :ce n'est pas moi qui dérive. Que l'essentiel soit la lumière ambiante
devrait être évident pour tout le monde! Quand tu regarde un objet, tu
ne te pose pas de question sur son albédo...
oui, mais c'est une évidence non ?
on ne fait pas de photo sans lumière, enfin, celle dont on parle
et maintant, tu mesure la lumière réflechie pas l'objet, et tu mesure la
lumière incidente, y a t il une différence ?
tu poses pour quelle indication ?
jdanield vient de nous annoncer :
ce n'est pas moi qui dérive. Que l'essentiel soit la lumière ambiante
devrait être évident pour tout le monde! Quand tu regarde un objet, tu
ne te pose pas de question sur son albédo...
oui, mais c'est une évidence non ?
on ne fait pas de photo sans lumière, enfin, celle dont on parle
et maintant, tu mesure la lumière réflechie pas l'objet, et tu mesure la
lumière incidente, y a t il une différence ?
tu poses pour quelle indication ?
jdanield vient de nous annoncer :ce n'est pas moi qui dérive. Que l'essentiel soit la lumière ambiante
devrait être évident pour tout le monde! Quand tu regarde un objet, tu
ne te pose pas de question sur son albédo...
oui, mais c'est une évidence non ?
on ne fait pas de photo sans lumière, enfin, celle dont on parle
et maintant, tu mesure la lumière réflechie pas l'objet, et tu mesure la
lumière incidente, y a t il une différence ?
tu poses pour quelle indication ?
la photo n'a rien de très technique en dehors de ca... tout
le reste étant le cadrage et le choix du sujet.
C'est une vision très simpliste des choses amha.La meilleure preuve est que beaucoup de photographes
professionnels, du temps de l'argentique, ne faisaient pas
eux-même leurs tirages.
Oulala... Bien sûr mais tout dépend de quoi on parle... Pour l'édition et la
presse magazine, par exemple, sauf si on remonte au temps de l'édition en NB,
on travaillait en diapos (dites "ektas") donc pas le moindre tirage à
l'horizon. Et si tirages il y avait ça pouvait être très élaboré donc la
photo "pas très technique" n'était qu'une illusion. Le "simple amateur"
n'avait aucune chance d'obtenir des résultats similaires.
quand aux filtres, à par les ND qui ne sont qu'un complément
du diaphragme, si ce n'est pas du trucage, je ne sais pas ce
que c'est
Et la température de couleur (filtres CC) ? Car, avant le numérique, on
n'avait pas de "balance de blancs" et d'ailleurs comment ce paramètre
s'intègre dans ta "reproduction de la réalité" ?
la photo n'a rien de très technique en dehors de ca... tout
le reste étant le cadrage et le choix du sujet.
C'est une vision très simpliste des choses amha.
La meilleure preuve est que beaucoup de photographes
professionnels, du temps de l'argentique, ne faisaient pas
eux-même leurs tirages.
Oulala... Bien sûr mais tout dépend de quoi on parle... Pour l'édition et la
presse magazine, par exemple, sauf si on remonte au temps de l'édition en NB,
on travaillait en diapos (dites "ektas") donc pas le moindre tirage à
l'horizon. Et si tirages il y avait ça pouvait être très élaboré donc la
photo "pas très technique" n'était qu'une illusion. Le "simple amateur"
n'avait aucune chance d'obtenir des résultats similaires.
quand aux filtres, à par les ND qui ne sont qu'un complément
du diaphragme, si ce n'est pas du trucage, je ne sais pas ce
que c'est
Et la température de couleur (filtres CC) ? Car, avant le numérique, on
n'avait pas de "balance de blancs" et d'ailleurs comment ce paramètre
s'intègre dans ta "reproduction de la réalité" ?
la photo n'a rien de très technique en dehors de ca... tout
le reste étant le cadrage et le choix du sujet.
C'est une vision très simpliste des choses amha.La meilleure preuve est que beaucoup de photographes
professionnels, du temps de l'argentique, ne faisaient pas
eux-même leurs tirages.
Oulala... Bien sûr mais tout dépend de quoi on parle... Pour l'édition et la
presse magazine, par exemple, sauf si on remonte au temps de l'édition en NB,
on travaillait en diapos (dites "ektas") donc pas le moindre tirage à
l'horizon. Et si tirages il y avait ça pouvait être très élaboré donc la
photo "pas très technique" n'était qu'une illusion. Le "simple amateur"
n'avait aucune chance d'obtenir des résultats similaires.
quand aux filtres, à par les ND qui ne sont qu'un complément
du diaphragme, si ce n'est pas du trucage, je ne sais pas ce
que c'est
Et la température de couleur (filtres CC) ? Car, avant le numérique, on
n'avait pas de "balance de blancs" et d'ailleurs comment ce paramètre
s'intègre dans ta "reproduction de la réalité" ?
Moui, voilà une photo de plage, brute de capteur, avec ciel bleu, mer bleue,
sable, nuages légers et vagues qui se brisent, prise en auto mode matriciel
par un bridge d'il y a 13 ans. Il n'a pas eu l'air de trouver ça trop
compliqué à gérer.
http://cjoint.com/14ju/DGfkrfcFea7_p4170519.jpg
Depuis, les APN on fait bien des progrès.
SO.
Ça me paraît considérablement plus complexe.
Il y a une foule d'éléments supplémentaires dont il faudrait tenir compte si
on utilise une cellule :
- filtres (on l'a dit)
- tirage réel en fonction du réglage de distance (on l'a dit)
- tubes allonges (on l'a dit)
- affaiblissement en cas de bonnette
- diaphragme réel T
- vignettage éventuel
- sensibilités du capteur et de la cellule aux différentes couleurs
- température de couleur des sources
Etc.. je dois en oublier.
Les APN gèrent tout ça automatiquement.
Prends par exemple le mode "Portrait de nuit" : l'APN équilibre
automatiquement la lumière d'arrière-plan avec celle du flash, laquelle
dépend du sujet et de sa distance. Il y a tout un réglage entre iso, vitesse,
diaphragme et puissance du flash. C'est difficile et très lent à faire à la
main alors que l'APN le fait très bien en un éclair.
Si vraiment on n'est pas satisfait des automatismes sur la plage ou la neige,
on photographie en RAW.Il faut corriger si on veut modifier la réalité, en éclaircissant le
sujet (et en grillant le fond), par exemple, et ca aucun appareil ne
peut le savoir si on ne le lui dit pas.
Tu sembles oublier que les APN disposent en mémoire de très nombreux exemples
de scènes et s'en inspirent pour les réglages.
la photo n'a rien de très technique en dehors de ca... tout le reste
étant le cadrage et le choix du sujet.
Du temps de Nadar...
Les APN sont des monstres de technicité, on n'en a pas idée quand on appuie
sur le bouton.
La meilleure preuve est que beaucoup de photographes professionnels, du
temps de l'argentique, ne faisaient pas eux-même leurs tirages.
La preuve de quoi ? Le tirage est un autre métier qui prend du temps.
quand aux filtres, à par les ND qui ne sont qu'un complément du
diaphragme, si ce n'est pas du trucage, je ne sais pas ce que c'est
Question sémantique uniquement.
Moui, voilà une photo de plage, brute de capteur, avec ciel bleu, mer bleue,
sable, nuages légers et vagues qui se brisent, prise en auto mode matriciel
par un bridge d'il y a 13 ans. Il n'a pas eu l'air de trouver ça trop
compliqué à gérer.
http://cjoint.com/14ju/DGfkrfcFea7_p4170519.jpg
Depuis, les APN on fait bien des progrès.
SO.
Ça me paraît considérablement plus complexe.
Il y a une foule d'éléments supplémentaires dont il faudrait tenir compte si
on utilise une cellule :
- filtres (on l'a dit)
- tirage réel en fonction du réglage de distance (on l'a dit)
- tubes allonges (on l'a dit)
- affaiblissement en cas de bonnette
- diaphragme réel T
- vignettage éventuel
- sensibilités du capteur et de la cellule aux différentes couleurs
- température de couleur des sources
Etc.. je dois en oublier.
Les APN gèrent tout ça automatiquement.
Prends par exemple le mode "Portrait de nuit" : l'APN équilibre
automatiquement la lumière d'arrière-plan avec celle du flash, laquelle
dépend du sujet et de sa distance. Il y a tout un réglage entre iso, vitesse,
diaphragme et puissance du flash. C'est difficile et très lent à faire à la
main alors que l'APN le fait très bien en un éclair.
Si vraiment on n'est pas satisfait des automatismes sur la plage ou la neige,
on photographie en RAW.
Il faut corriger si on veut modifier la réalité, en éclaircissant le
sujet (et en grillant le fond), par exemple, et ca aucun appareil ne
peut le savoir si on ne le lui dit pas.
Tu sembles oublier que les APN disposent en mémoire de très nombreux exemples
de scènes et s'en inspirent pour les réglages.
la photo n'a rien de très technique en dehors de ca... tout le reste
étant le cadrage et le choix du sujet.
Du temps de Nadar...
Les APN sont des monstres de technicité, on n'en a pas idée quand on appuie
sur le bouton.
La meilleure preuve est que beaucoup de photographes professionnels, du
temps de l'argentique, ne faisaient pas eux-même leurs tirages.
La preuve de quoi ? Le tirage est un autre métier qui prend du temps.
quand aux filtres, à par les ND qui ne sont qu'un complément du
diaphragme, si ce n'est pas du trucage, je ne sais pas ce que c'est
Question sémantique uniquement.
Moui, voilà une photo de plage, brute de capteur, avec ciel bleu, mer bleue,
sable, nuages légers et vagues qui se brisent, prise en auto mode matriciel
par un bridge d'il y a 13 ans. Il n'a pas eu l'air de trouver ça trop
compliqué à gérer.
http://cjoint.com/14ju/DGfkrfcFea7_p4170519.jpg
Depuis, les APN on fait bien des progrès.
SO.
Ça me paraît considérablement plus complexe.
Il y a une foule d'éléments supplémentaires dont il faudrait tenir compte si
on utilise une cellule :
- filtres (on l'a dit)
- tirage réel en fonction du réglage de distance (on l'a dit)
- tubes allonges (on l'a dit)
- affaiblissement en cas de bonnette
- diaphragme réel T
- vignettage éventuel
- sensibilités du capteur et de la cellule aux différentes couleurs
- température de couleur des sources
Etc.. je dois en oublier.
Les APN gèrent tout ça automatiquement.
Prends par exemple le mode "Portrait de nuit" : l'APN équilibre
automatiquement la lumière d'arrière-plan avec celle du flash, laquelle
dépend du sujet et de sa distance. Il y a tout un réglage entre iso, vitesse,
diaphragme et puissance du flash. C'est difficile et très lent à faire à la
main alors que l'APN le fait très bien en un éclair.
Si vraiment on n'est pas satisfait des automatismes sur la plage ou la neige,
on photographie en RAW.Il faut corriger si on veut modifier la réalité, en éclaircissant le
sujet (et en grillant le fond), par exemple, et ca aucun appareil ne
peut le savoir si on ne le lui dit pas.
Tu sembles oublier que les APN disposent en mémoire de très nombreux exemples
de scènes et s'en inspirent pour les réglages.
la photo n'a rien de très technique en dehors de ca... tout le reste
étant le cadrage et le choix du sujet.
Du temps de Nadar...
Les APN sont des monstres de technicité, on n'en a pas idée quand on appuie
sur le bouton.
La meilleure preuve est que beaucoup de photographes professionnels, du
temps de l'argentique, ne faisaient pas eux-même leurs tirages.
La preuve de quoi ? Le tirage est un autre métier qui prend du temps.
quand aux filtres, à par les ND qui ne sont qu'un complément du
diaphragme, si ce n'est pas du trucage, je ne sais pas ce que c'est
Question sémantique uniquement.
Le 05/07/2014 09:56, Ricco a écrit :jdanield vient de nous annoncer :ce n'est pas moi qui dérive. Que l'essentiel soit la lumière ambiante
devrait être évident pour tout le monde! Quand tu regarde un objet, tu
ne te pose pas de question sur son albédo...oui, mais c'est une évidence non ?
on ne fait pas de photo sans lumière, enfin, celle dont on parle
et maintant, tu mesure la lumière réflechie pas l'objet, et tu mesure la
lumière incidente, y a t il une différence ?
tu poses pour quelle indication ?
Je viens de ressortir ma Lunasix 3.
La preuve :
http://cjoint.com/14ju/DGfk7a74Uva_img_20140705_105042_1.jpg
Les mesures en lumière incidente, lumière réfléchie et par le D7000 sont, à
1/3 de diaphragme près, identiques.
Mais il faudrait voir ça sur la neige (je m'envole demain pour l'Alaska) et
sur la plage (Tahiti n'est qu'à 15 heures de vol).
1/3 de diaphragme, c'est d'ailleurs la précision de lecture et de réglage de
la Lunasix.
L'APN est lui, bien plus précis.
Il ne reste plus qu'à acheter un posemètre moderne à 500 ¤, pour le plaisir
de se compliquer la vie.
Le 05/07/2014 09:56, Ricco a écrit :
jdanield vient de nous annoncer :
ce n'est pas moi qui dérive. Que l'essentiel soit la lumière ambiante
devrait être évident pour tout le monde! Quand tu regarde un objet, tu
ne te pose pas de question sur son albédo...
oui, mais c'est une évidence non ?
on ne fait pas de photo sans lumière, enfin, celle dont on parle
et maintant, tu mesure la lumière réflechie pas l'objet, et tu mesure la
lumière incidente, y a t il une différence ?
tu poses pour quelle indication ?
Je viens de ressortir ma Lunasix 3.
La preuve :
http://cjoint.com/14ju/DGfk7a74Uva_img_20140705_105042_1.jpg
Les mesures en lumière incidente, lumière réfléchie et par le D7000 sont, à
1/3 de diaphragme près, identiques.
Mais il faudrait voir ça sur la neige (je m'envole demain pour l'Alaska) et
sur la plage (Tahiti n'est qu'à 15 heures de vol).
1/3 de diaphragme, c'est d'ailleurs la précision de lecture et de réglage de
la Lunasix.
L'APN est lui, bien plus précis.
Il ne reste plus qu'à acheter un posemètre moderne à 500 ¤, pour le plaisir
de se compliquer la vie.
Le 05/07/2014 09:56, Ricco a écrit :jdanield vient de nous annoncer :ce n'est pas moi qui dérive. Que l'essentiel soit la lumière ambiante
devrait être évident pour tout le monde! Quand tu regarde un objet, tu
ne te pose pas de question sur son albédo...oui, mais c'est une évidence non ?
on ne fait pas de photo sans lumière, enfin, celle dont on parle
et maintant, tu mesure la lumière réflechie pas l'objet, et tu mesure la
lumière incidente, y a t il une différence ?
tu poses pour quelle indication ?
Je viens de ressortir ma Lunasix 3.
La preuve :
http://cjoint.com/14ju/DGfk7a74Uva_img_20140705_105042_1.jpg
Les mesures en lumière incidente, lumière réfléchie et par le D7000 sont, à
1/3 de diaphragme près, identiques.
Mais il faudrait voir ça sur la neige (je m'envole demain pour l'Alaska) et
sur la plage (Tahiti n'est qu'à 15 heures de vol).
1/3 de diaphragme, c'est d'ailleurs la précision de lecture et de réglage de
la Lunasix.
L'APN est lui, bien plus précis.
Il ne reste plus qu'à acheter un posemètre moderne à 500 ¤, pour le plaisir
de se compliquer la vie.
Je viens de ressortir ma Lunasix 3.
La preuve :
http://cjoint.com/14ju/DGfk7a74Uva_img_20140705_105042_1.jpg
Les mesures en lumière incidente, lumière réfléchie et par le D7000
sont, à 1/3 de diaphragme près, identiques.
Mais il faudrait voir ça sur la neige (je m'envole demain pour
l'Alaska) et sur la plage (Tahiti n'est qu'à 15 heures de vol).
1/3 de diaphragme, c'est d'ailleurs la précision de lecture et de
réglage de la Lunasix.
L'APN est lui, bien plus précis.
Il ne reste plus qu'à acheter un posemètre moderne à 500 ¤, pour le
plaisir de se compliquer la vie.
Je viens de ressortir ma Lunasix 3.
La preuve :
http://cjoint.com/14ju/DGfk7a74Uva_img_20140705_105042_1.jpg
Les mesures en lumière incidente, lumière réfléchie et par le D7000
sont, à 1/3 de diaphragme près, identiques.
Mais il faudrait voir ça sur la neige (je m'envole demain pour
l'Alaska) et sur la plage (Tahiti n'est qu'à 15 heures de vol).
1/3 de diaphragme, c'est d'ailleurs la précision de lecture et de
réglage de la Lunasix.
L'APN est lui, bien plus précis.
Il ne reste plus qu'à acheter un posemètre moderne à 500 ¤, pour le
plaisir de se compliquer la vie.
Je viens de ressortir ma Lunasix 3.
La preuve :
http://cjoint.com/14ju/DGfk7a74Uva_img_20140705_105042_1.jpg
Les mesures en lumière incidente, lumière réfléchie et par le D7000
sont, à 1/3 de diaphragme près, identiques.
Mais il faudrait voir ça sur la neige (je m'envole demain pour
l'Alaska) et sur la plage (Tahiti n'est qu'à 15 heures de vol).
1/3 de diaphragme, c'est d'ailleurs la précision de lecture et de
réglage de la Lunasix.
L'APN est lui, bien plus précis.
Il ne reste plus qu'à acheter un posemètre moderne à 500 ¤, pour le
plaisir de se compliquer la vie.
Le 03/07/2014 10:08, Claudio Bonavolta a écrit :1) l'intérêt d'un posemètre avec les boîtiers numériques actuels n'est
pas
nul, il est carrément contre-productif.
Tous les boîtiers ont des outils intégrés qui vont au-delà de ce que
permet un
posemètre, même sophistiqué.
L'histogramme te permet de voir la répartition spectrale et l'outil
des zones
brûlées te permet de poser pour les hautes lumières, ce qui est le
problème
majeur en numérique.
pas d'accord. L'usage n'est pas le même. Le posemètre permet de mesurer
*avant* la photo. On a pas toujours le temps de vérifier l'histogramme,
ni la possibilité de refaire si c'est mauvais.
De plus, ce qui compte c'est bien la lumière incidente, or aucun boitier
ne mesure cette lumière incidente. Toutes les tentatives de correction
ne sont que des béquilles, mêmes si elles sont sophistiquées.
La lumière incidente ne change que lentement. Une mesure sur la plage
est valable une demi-heure, sauf passage de nuages.
Pour info, j'utilise un boîtier numérique comme flashmètre en studio
pour mes
prises de vue argentiques et c'est non seulement plus performant qu'un
flashmètre classique
tu mesure sur quoi? sur le modèle? n'importe quel APN sur une charte de
gris te donne la lumière incidente.
Si un boîtier numérique peut être considéré comme du consommable,
c'est pas
vraiment le cas des optiques qui, elles, vont durer bien plus longtemps.
ca n'est plus vrai avec le numérique. Les optiques ont fait autant de
progrès que les boitiers et sont bien plus universelles
après, ne me fais pas dire que le posemètre est mieux, c'est juste autre
chose, et il faut dépenser le prix d'un boitier pour en avoir un qui
vaille le coup, et avoir la pratique où c'est utile.
Le meilleur compromis est la charte de gris, j'en ai une depuis 30 ans,
qui me sert de temps en temps, et en tout cas ca ne coute rien
http://www.amazon.fr/Opteka-Couleurs-d%C3%A9clenchement-Photographie-Num%C3%A9rique/dp/B004ZGDWE6/ref=sr_1_1?ie=UTF8&qid04377188&sr=8-1&keywords=charte+gris
jdd
Le 03/07/2014 10:08, Claudio Bonavolta a écrit :
1) l'intérêt d'un posemètre avec les boîtiers numériques actuels n'est
pas
nul, il est carrément contre-productif.
Tous les boîtiers ont des outils intégrés qui vont au-delà de ce que
permet un
posemètre, même sophistiqué.
L'histogramme te permet de voir la répartition spectrale et l'outil
des zones
brûlées te permet de poser pour les hautes lumières, ce qui est le
problème
majeur en numérique.
pas d'accord. L'usage n'est pas le même. Le posemètre permet de mesurer
*avant* la photo. On a pas toujours le temps de vérifier l'histogramme,
ni la possibilité de refaire si c'est mauvais.
De plus, ce qui compte c'est bien la lumière incidente, or aucun boitier
ne mesure cette lumière incidente. Toutes les tentatives de correction
ne sont que des béquilles, mêmes si elles sont sophistiquées.
La lumière incidente ne change que lentement. Une mesure sur la plage
est valable une demi-heure, sauf passage de nuages.
Pour info, j'utilise un boîtier numérique comme flashmètre en studio
pour mes
prises de vue argentiques et c'est non seulement plus performant qu'un
flashmètre classique
tu mesure sur quoi? sur le modèle? n'importe quel APN sur une charte de
gris te donne la lumière incidente.
Si un boîtier numérique peut être considéré comme du consommable,
c'est pas
vraiment le cas des optiques qui, elles, vont durer bien plus longtemps.
ca n'est plus vrai avec le numérique. Les optiques ont fait autant de
progrès que les boitiers et sont bien plus universelles
après, ne me fais pas dire que le posemètre est mieux, c'est juste autre
chose, et il faut dépenser le prix d'un boitier pour en avoir un qui
vaille le coup, et avoir la pratique où c'est utile.
Le meilleur compromis est la charte de gris, j'en ai une depuis 30 ans,
qui me sert de temps en temps, et en tout cas ca ne coute rien
http://www.amazon.fr/Opteka-Couleurs-d%C3%A9clenchement-Photographie-Num%C3%A9rique/dp/B004ZGDWE6/ref=sr_1_1?ie=UTF8&qid04377188&sr=8-1&keywords=charte+gris
jdd
Le 03/07/2014 10:08, Claudio Bonavolta a écrit :1) l'intérêt d'un posemètre avec les boîtiers numériques actuels n'est
pas
nul, il est carrément contre-productif.
Tous les boîtiers ont des outils intégrés qui vont au-delà de ce que
permet un
posemètre, même sophistiqué.
L'histogramme te permet de voir la répartition spectrale et l'outil
des zones
brûlées te permet de poser pour les hautes lumières, ce qui est le
problème
majeur en numérique.
pas d'accord. L'usage n'est pas le même. Le posemètre permet de mesurer
*avant* la photo. On a pas toujours le temps de vérifier l'histogramme,
ni la possibilité de refaire si c'est mauvais.
De plus, ce qui compte c'est bien la lumière incidente, or aucun boitier
ne mesure cette lumière incidente. Toutes les tentatives de correction
ne sont que des béquilles, mêmes si elles sont sophistiquées.
La lumière incidente ne change que lentement. Une mesure sur la plage
est valable une demi-heure, sauf passage de nuages.
Pour info, j'utilise un boîtier numérique comme flashmètre en studio
pour mes
prises de vue argentiques et c'est non seulement plus performant qu'un
flashmètre classique
tu mesure sur quoi? sur le modèle? n'importe quel APN sur une charte de
gris te donne la lumière incidente.
Si un boîtier numérique peut être considéré comme du consommable,
c'est pas
vraiment le cas des optiques qui, elles, vont durer bien plus longtemps.
ca n'est plus vrai avec le numérique. Les optiques ont fait autant de
progrès que les boitiers et sont bien plus universelles
après, ne me fais pas dire que le posemètre est mieux, c'est juste autre
chose, et il faut dépenser le prix d'un boitier pour en avoir un qui
vaille le coup, et avoir la pratique où c'est utile.
Le meilleur compromis est la charte de gris, j'en ai une depuis 30 ans,
qui me sert de temps en temps, et en tout cas ca ne coute rien
http://www.amazon.fr/Opteka-Couleurs-d%C3%A9clenchement-Photographie-Num%C3%A9rique/dp/B004ZGDWE6/ref=sr_1_1?ie=UTF8&qid04377188&sr=8-1&keywords=charte+gris
jdd
oui, ça fonctionnait, mais avec des résultats divers et variés, mais
bon, comme disaient les gens " du moment qu'on reconnait les personnages "
oui, ça fonctionnait, mais avec des résultats divers et variés, mais
bon, comme disaient les gens " du moment qu'on reconnait les personnages "
oui, ça fonctionnait, mais avec des résultats divers et variés, mais
bon, comme disaient les gens " du moment qu'on reconnait les personnages "
Un coup d'oeil sur les zones brûlées prend moins d'une seconde, t'en rajoutes
2-3 pour l'histogramme.
A comparer avec une mesure incidente où tu dois placer le posemètre près du
sujet, lire les valeurs et les reporter manuellement sur le boitier.
A moins de faire des tests d'exposition de surface sensible et chercher une
exposition "objective", la mesure de la lumière incidente n'a pas vraiment
d'intérêt en photographie pratique.
Hormis les dias qu'on peut considérer comme un produit fini, le reste, négas
ou fichiers numériques sortis du boîtier, n'est à considérer que comme une
étape intermédiaire avant traitement final.
Du coup, en prise de vue, tu ne cherches qu'à faire entrer le maximum du
contraste de la scène dans la latitude de pose de ta surface sensible.
Que le gris 18% ne soit pas reproduit comme un gris 18%, à ce stade-là, on
s'en fout complètement ...
J'imagine qu'en une demi-heure, tu dois avoir le temps de vérifier
histogramme, zones brûlées et faire 36 essais si nécessaire ...
Mais c'est là où Benoit et toi ne comprenez pas: l'expo objective, non
seulement on s'en fout, mais surtout, elle peut être contre-productive parce
qu'elle fige ta fenêtre d'exposition dans une zone bien précise alors que ton
image peut demander un décalage de celle-ci.
ca n'est plus vrai avec le numérique. Les optiques ont fait autant de
progrès que les boitiers et sont bien plus universelles
J'ai fait toute une batterie de tests avec mon D800 et les optiques dont je
dispose, certaines datant de la fin des années 70.
Ma conclusion est assez simple, une bonne optique de l'époque, la plupart du
temps fixe, tient encore étonnamment bien la route, bien mieux qu'un zoom
grand-public actuel par exemple.
C'est une méthode qui se justifiait avec des surfaces sensibles qui ne
permettaient pas de prévisualiser le résultat.
Un coup d'oeil sur les zones brûlées prend moins d'une seconde, t'en rajoutes
2-3 pour l'histogramme.
A comparer avec une mesure incidente où tu dois placer le posemètre près du
sujet, lire les valeurs et les reporter manuellement sur le boitier.
A moins de faire des tests d'exposition de surface sensible et chercher une
exposition "objective", la mesure de la lumière incidente n'a pas vraiment
d'intérêt en photographie pratique.
Hormis les dias qu'on peut considérer comme un produit fini, le reste, négas
ou fichiers numériques sortis du boîtier, n'est à considérer que comme une
étape intermédiaire avant traitement final.
Du coup, en prise de vue, tu ne cherches qu'à faire entrer le maximum du
contraste de la scène dans la latitude de pose de ta surface sensible.
Que le gris 18% ne soit pas reproduit comme un gris 18%, à ce stade-là, on
s'en fout complètement ...
J'imagine qu'en une demi-heure, tu dois avoir le temps de vérifier
histogramme, zones brûlées et faire 36 essais si nécessaire ...
Mais c'est là où Benoit et toi ne comprenez pas: l'expo objective, non
seulement on s'en fout, mais surtout, elle peut être contre-productive parce
qu'elle fige ta fenêtre d'exposition dans une zone bien précise alors que ton
image peut demander un décalage de celle-ci.
ca n'est plus vrai avec le numérique. Les optiques ont fait autant de
progrès que les boitiers et sont bien plus universelles
J'ai fait toute une batterie de tests avec mon D800 et les optiques dont je
dispose, certaines datant de la fin des années 70.
Ma conclusion est assez simple, une bonne optique de l'époque, la plupart du
temps fixe, tient encore étonnamment bien la route, bien mieux qu'un zoom
grand-public actuel par exemple.
C'est une méthode qui se justifiait avec des surfaces sensibles qui ne
permettaient pas de prévisualiser le résultat.
Un coup d'oeil sur les zones brûlées prend moins d'une seconde, t'en rajoutes
2-3 pour l'histogramme.
A comparer avec une mesure incidente où tu dois placer le posemètre près du
sujet, lire les valeurs et les reporter manuellement sur le boitier.
A moins de faire des tests d'exposition de surface sensible et chercher une
exposition "objective", la mesure de la lumière incidente n'a pas vraiment
d'intérêt en photographie pratique.
Hormis les dias qu'on peut considérer comme un produit fini, le reste, négas
ou fichiers numériques sortis du boîtier, n'est à considérer que comme une
étape intermédiaire avant traitement final.
Du coup, en prise de vue, tu ne cherches qu'à faire entrer le maximum du
contraste de la scène dans la latitude de pose de ta surface sensible.
Que le gris 18% ne soit pas reproduit comme un gris 18%, à ce stade-là, on
s'en fout complètement ...
J'imagine qu'en une demi-heure, tu dois avoir le temps de vérifier
histogramme, zones brûlées et faire 36 essais si nécessaire ...
Mais c'est là où Benoit et toi ne comprenez pas: l'expo objective, non
seulement on s'en fout, mais surtout, elle peut être contre-productive parce
qu'elle fige ta fenêtre d'exposition dans une zone bien précise alors que ton
image peut demander un décalage de celle-ci.
ca n'est plus vrai avec le numérique. Les optiques ont fait autant de
progrès que les boitiers et sont bien plus universelles
J'ai fait toute une batterie de tests avec mon D800 et les optiques dont je
dispose, certaines datant de la fin des années 70.
Ma conclusion est assez simple, une bonne optique de l'époque, la plupart du
temps fixe, tient encore étonnamment bien la route, bien mieux qu'un zoom
grand-public actuel par exemple.
C'est une méthode qui se justifiait avec des surfaces sensibles qui ne
permettaient pas de prévisualiser le résultat.
Le 05/07/2014 09:30, Ricco a écrit :
oui, ça fonctionnait, mais avec des résultats divers et variés, mais
bon, comme disaient les gens " du moment qu'on reconnait les personnages "
c'était acceptable sans le moindre photoshop, c'est pour dire !
aujourd'hui il y aurait 3 position d'expo :
-clair
-moyen
-sombre
sur un D800 en raw, que ça couvrirait tout ...
il suffit d'essayer en fait. Prenez votre reflex cet aprem et faites
des photos quelconques à 1/125 f11 100iso tout le temps ...
Le 05/07/2014 09:30, Ricco a écrit :
oui, ça fonctionnait, mais avec des résultats divers et variés, mais
bon, comme disaient les gens " du moment qu'on reconnait les personnages "
c'était acceptable sans le moindre photoshop, c'est pour dire !
aujourd'hui il y aurait 3 position d'expo :
-clair
-moyen
-sombre
sur un D800 en raw, que ça couvrirait tout ...
il suffit d'essayer en fait. Prenez votre reflex cet aprem et faites
des photos quelconques à 1/125 f11 100iso tout le temps ...
Le 05/07/2014 09:30, Ricco a écrit :
oui, ça fonctionnait, mais avec des résultats divers et variés, mais
bon, comme disaient les gens " du moment qu'on reconnait les personnages "
c'était acceptable sans le moindre photoshop, c'est pour dire !
aujourd'hui il y aurait 3 position d'expo :
-clair
-moyen
-sombre
sur un D800 en raw, que ça couvrirait tout ...
il suffit d'essayer en fait. Prenez votre reflex cet aprem et faites
des photos quelconques à 1/125 f11 100iso tout le temps ...